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Question de formulation - Help !

39 réponses
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michel.legeria
Bonjour,

Un de mes coll=E8gues de travail a adress=E9 =E0 moi et certains de mes
coll=E8gues un message (par mail) contenant des insultes dont la cible
n'est pas pr=E9cis=E9e nomm=E9ment. Je suis n=E9anmoins certain d'=EAtre un=
e des
personnes pouvant =EAtre vis=E9e par ces insultes. Et tout le monde sait
bien ce qu'il en est. L'=E9metteur du mail a voulu me dire des choses
sans prendre de risque juridiques, et faire savoir aussi ce qu'il
pensait de moi =E0 mes coll=E8gues.

Je voudrais envoyer une lettre recommand=E9e =E0 l'=E9metteur de ce mail
pour lui demander si je suis ou pas, la cible de ses propos
insultants. Je voudrais qu'il se positionne.

Je ne sais pas bien comment formuler la demande pour pouvoir m'appuyer
ensuite, =E9ventuellement sur sa r=E9ponse devant un tribunal. Je me
demande aussi comment dire les choses pour pouvoir, en cas de non-
r=E9ponse, invoquer l'adage "qui ne dit mot consent".

Quelqu'un peut-il me conseiller ?

Michel.

10 réponses

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moisse
Odilon Crocq avait prétendu :
Le 14/11/2011 07:51, moisse a écrit :

Tu parles d'un juriste avisé : Il faut éviter les méthodes de petite
frappe, tapette et autres tafioles dans la résolution des conflits.
En fait rien ne vaut la batte de base-ball c'est une technique éprouvée.
Quant au reste sur la force de frappe j'en rigole mais bon comme cela
reste dans le domaine du virtuel il est inutile de comparer les palmarès.



Bref vous ne supportez pas qu'on utilise envers vous le même ton que celui
que vous employez, ou dit autrement vous trouvez votre soupe infâme quand
c'est à vous qu'on la sert.



Je ne crois pas non.
Le premier qui a utilisé un vocabulaire inapproprié c'est bien vous.
Je me suis senti visé par votre remarque inutile sur les techniques de
"petites frapppes", et je puis vous assurer que tout balèze que vous
prétendez être, cela vous en aurait cuit de vive voix.
Et je redis bien qu'on peut toujours utiliser votre méthodes "d'homme"
pour régler tous les litiges.
Je ne m'en suis pas privé en son temps.
Il suffit de changer l'intitulé du forum et de modifier un peu sa
charte.
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dmkgbt
Odilon Crocq wrote:

Le 13/11/2011 20:29, Dominique Gobeaut a écrit :
> Odilon Crocq wrote:
>
>> le point de savoir si la personne visée est ou non
>> identifiable s'évince de la lecture
>
> "s'évincer" ? Est-ce bien français ?

Tous les juristes connaissent :



J'ai posé une question simple et vous ne donnez pas de réponse
directecomme en donne mon dictionnaire:

Petit Robert :
évincer : verbe transitif
étym. 1412 : latin juridique evincere, de vincere « vaincre »
Famille étymologique : vaincre.

1. Dr. Déposséder juridiquement (qqn).

2. (1546, repris 1823) Déposséder (qqn) par intrigue d'une affaire,
d'une place, chasser, écarter, éliminer, éloigner, exclure.
« On voulait m'évincer, me plaquer, me laisser en plan » (Cocteau).
P. p. adj. Elle « sut reprendre tout son pouvoir sur ses deux soupirants
évincés » (Henriot).


http://www.dictionnaire-juridique.com/definition/evincer-il-s-evince.php



Ha, c'est donc du langage technique :

"Dans les jugements et les arrêts des tribunaux et dans les écrits que
s'échangent les avocats et les avoués on peut lire l'expression : "il
s'évince de... que" avec le sens de : "il résulte de... que"."

Je ne connaissait pas ce sens, je me coucherai donc moins ignorante qu'à
mon lever et je vous en remercie :-)


--
"Quoique la justice soit un principe à portée universelle,
le juste apparait pouvoir varier en fonction de facteurs
culturels." Wikipedia
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dmkgbt
Odilon Crocq wrote:

Le 13/11/2011 20:29, Dominique Gobeaut a écrit :
> Odilon Crocq wrote:

>>> On obtient forcément une réponse. Un refus est une réponse.
>>
>> Quel humour, vous avez fait l'école du rire ?
>
> Non, il a raison.

Parfait, expliquez-moi donc qu'elle sera l'efficacité concrète de cet
onéreux refus de réponse au regard de la question posée ?



Il n'a pas dit que le refus de répondre serait efficace, il a écrit que
le refus de répondre est en soi une réponse.
Et j'ai écrit : "il a raison".
Parce que tous les juristes connaissent la notion d'accord ou de refus
"tacite" résultant d'une absence de réponse :-)

(...)
> Bon, on va arrêter la lecture du déplaisant, là :-(

Je réponds à mon interlocuteur sur le même registre que celui qu'il a
employé à mon égard : cela s'appelle le parallélisme des formes.



C'est vous qui avez commencé à le traiter de petite frappe, lui ne
faisant que vous suggérer de le lui répéter en face, cela devant vous
occasionner quelques soucis de fessier, si j'ai bien compris :-)


--
"Quoique la justice soit un principe à portée universelle,
le juste apparait pouvoir varier en fonction de facteurs
culturels." Wikipedia
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Odilon Crocq
Le 14/11/2011 11:24, moisse a écrit :
Odilon Crocq avait prétendu :

Bref vous ne supportez pas qu'on utilise envers vous le même ton que
celui que vous employez, ou dit autrement vous trouvez votre soupe
infâme quand c'est à vous qu'on la sert.



Je ne crois pas non.
Le premier qui a utilisé un vocabulaire inapproprié c'est bien vous.
Je me suis senti visé par votre remarque inutile sur les techniques de
"petites frapppes",



Désolé de vous avoir chagriné, mais s'agissant de manœuvres
d'intimidation le terme de "petites frappes" est parfaitement approprié.

et je puis vous assurer que tout balèze que vous
prétendez être, cela vous en aurait cuit de vive voix.



Je suis terrorisé...

Et je redis bien qu'on peut toujours utiliser votre méthodes "d'homme"
pour régler tous les litiges.



Ma méthode "d'homme" ? De quoi parlez-vous ?
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Odilon Crocq
Le 14/11/2011 13:42, Dominique Gobeaut a écrit :
Odilon Crocq wrote:

On obtient forcément une réponse. Un refus est une réponse.



Quel humour, vous avez fait l'école du rire ?



Non, il a raison.



Parfait, expliquez-moi donc qu'elle sera l'efficacité concrète de cet
onéreux refus de réponse au regard de la question posée ?



Il n'a pas dit que le refus de répondre serait efficace, il a écrit que
le refus de répondre est en soi une réponse.
Et j'ai écrit : "il a raison".



Oui, je vois le genre :

http://www.amazon.fr/davoir-toujours-raison-Arthur-Schopenhauer/dp/284205301X

Parce que tous les juristes connaissent la notion d'accord ou de refus
"tacite" résultant d'une absence de réponse :-)

(...)
Bon, on va arrêter la lecture du déplaisant, là :-(



Je réponds à mon interlocuteur sur le même registre que celui qu'il a
employé à mon égard : cela s'appelle le parallélisme des formes.



C'est vous qui avez commencé à le traiter de petite frappe, lui ne
faisant que vous suggérer de le lui répéter en face, cela devant vous
occasionner quelques soucis de fessier, si j'ai bien compris :-)



Bon, vous deviez arrêter de me lire mais pas de me répondre je vois...

Je ne l'ai pas traité de petite frappe, vos sens vous font défaut. J'ai
parlé de méthodes de petite frappe, j'ignorais que le monsieur en était
un adepte.
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moisse
Il se trouve que Odilon Crocq a formulé :
Le 14/11/2011 11:24, moisse a écrit :
Odilon Crocq avait prétendu :



Bref vous ne supportez pas qu'on utilise envers vous le même ton que
celui que vous employez, ou dit autrement vous trouvez votre soupe
infâme quand c'est à vous qu'on la sert.



Je ne crois pas non.
Le premier qui a utilisé un vocabulaire inapproprié c'est bien vous.
Je me suis senti visé par votre remarque inutile sur les techniques de
"petites frapppes",



Désolé de vous avoir chagriné, mais s'agissant de man½uvres d'intimidation le
terme de "petites frappes" est parfaitement approprié.



Quel con ce mec.
Une technique juridique, qu'elle soit ou non appropriée n'est jamais
une manoeuvre d'intimidation. Elle correspond à l'application d'un
texte.
J'ai bien compris que vous préférez les techniques des hommes vrais, la
batte, moi c'est le coup de latte pour péter le genou.

et je puis vous assurer que tout balèze que vous
prétendez être, cela vous en aurait cuit de vive voix.



Je suis terrorisé...



Et je redis bien qu'on peut toujours utiliser votre méthodes "d'homme"
pour régler tous les litiges.



Ma méthode "d'homme" ? De quoi parlez-vous ?


Je déduis de vos propos qu'on utilise soit des méthodes de petite
frappe, soit des méthodes d'homme.
Maintenant si vous êtes incompréhensible passez votre chemin et
n'oubliez pas le pain en rentrant de votre salle de musculation.
Avatar
Odilon Crocq
Le 14/11/2011 19:24, moisse a écrit :
Il se trouve que Odilon Crocq a formulé :

Désolé de vous avoir chagriné, mais s'agissant de manœuvres
d'intimidation le terme de "petites frappes" est parfaitement approprié.



Quel con ce mec.



Tiens, en plus vous êtes grossier (je ne sais pas pourquoi mais cela ne
m'étonne pas). Vous respirez la classe jusqu'au bout des ongles...

Une technique juridique, qu'elle soit ou non appropriée n'est jamais une
manoeuvre d'intimidation.



D'où sortez-vous un précepte aussi stupide, comment pouvez-vous
sérieusement affirmer qu'une menace de procès par exemple n'est jamais
une manœuvre d'intimidation ?

Elle correspond à l'application d'un texte.



Dans ce cas vous n'aurez aucun mal à indiquer à quel texte correspond la
délivrance d'une sommation interpellative dans le cas dont nous
discutons. Allez-y je suis tout ouïe.

J'ai bien compris que vous préférez les techniques des hommes vrais,
la batte



Vous ne pouviez pas mieux montrer qu'en fait vous n'avez strictement
rien compris car précisément je condamne toute formes d'intimidation.

Je déduis de vos propos qu'on utilise soit des méthodes de petite
frappe, soit des méthodes d'homme.



Vos propos sont abscons, quelle différence faite vous entre les deux ?

Maintenant si vous êtes incompréhensible



???? Ce sont vos propos qui le sont.
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jr
Le 14/11/2011 19:24, moisse a écrit :

Une technique juridique, qu'elle soit ou non appropriée n'est jamais une
manoeuvre d'intimidation.



Vi enfin, faut vraiment vivre au pays des Bisounours pour affirmer que
des huissiers ne vendent pas de l'intimidation au sens français du
terme, par exemple dans des contentieux non jugés en abusant de leur
position d'officier ministériel.

--
jr
Avatar
jr
Le 15/11/2011 07:35, Odilon Crocq a écrit :

Je déduis de vos propos qu'on utilise soit des méthodes de petite
frappe, soit des méthodes d'homme.



Vos propos sont abscons, quelle différence faite vous entre les deux ?



Je crois que moisse n'a compris de "frappe" que le genre féminin du mot.

--
jr
Avatar
dmkgbt
Odilon Crocq wrote:

Le 14/11/2011 13:42, Dominique Gobeaut a écrit :
> Odilon Crocq wrote:

>>>>> On obtient forcément une réponse. Un refus est une réponse.
>>>>
>>>> Quel humour, vous avez fait l'école du rire ?
>>>
>>> Non, il a raison.
>>
>> Parfait, expliquez-moi donc qu'elle sera l'efficacité concrète de cet
>> onéreux refus de réponse au regard de la question posée ?
>
> Il n'a pas dit que le refus de répondre serait efficace, il a écrit que
> le refus de répondre est en soi une réponse.
> Et j'ai écrit : "il a raison".

Oui, je vois le genre :



Non, vous n'avez pas compris et vous refusez de l'admettre :-)

http://www.amazon.fr/davoir-toujours-raison-Arthur-Schopenhauer/dp/284205301X



Vous vous référez toujours à Schopenhauer (excellent opuscule
d'ailleurs) quand vous êtes emm^Wennuyé par les propos de votre
interlocuteur ?

> Parce que tous les juristes connaissent la notion d'accord ou de refus
> "tacite" résultant d'une absence de réponse :-)
>
> (...)
>>> Bon, on va arrêter la lecture du déplaisant, là :-(
>>
>> Je réponds à mon interlocuteur sur le même registre que celui qu'il a
>> employé à mon égard : cela s'appelle le parallélisme des formes.
>
> C'est vous qui avez commencé à le traiter de petite frappe, lui ne
> faisant que vous suggérer de le lui répéter en face, cela devant vous
> occasionner quelques soucis de fessier, si j'ai bien compris :-)

Bon, vous deviez arrêter de me lire mais pas de me répondre je vois...

Je ne l'ai pas traité de petite frappe, vos sens vous font défaut. J'ai
parlé de méthodes de petite frappe,



À propos d'une procédure juridique qu'il conseillait...

j'ignorais que le monsieur en était un adepte.



L'ignorance n'est pas une excuse.
Sinon, vous seriez excusé illico :-)


--
"Quoique la justice soit un principe à portée universelle,
le juste apparait pouvoir varier en fonction de facteurs
culturels." Wikipedia
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