les images contenues dans les fichiers RAW sont-elles déjà traitées contre
le bruit numérique ?
De plus, est-ce que l'ensemble des réglages d'image (netteté, saturation,
filtre bruit, etc..) des appareils n'a aucune incidence sur les données RAW
?
Mes questions portent en particulier sur les Olympus.
http://cjoint.com/?idngM2tdLL .... On comprend que la dynamique va de début de la
dynamique 2.10(1) e- (le signal minimum hors du bruit) à la saturation 8,5.10(4)….000e- (fin de la dynamique). Le rapport des deux 8,5.10(4)/2.10(1) c'est 4,25(3) soit 4.250 niveaux différents; 20lg(4250)udb.
Les gens qui pratiquent l'idiome local lisent plutôt la figure dans l'autre sens, à partir de l'axe des abscisses. On émerge du bruit v ers 10^9 photons/sec/cm2 et on sature vers 4. 10^12, soit une dynamique de 4000, ou encore 12 diaphs. On est d'accord que si on remplit un RAW de 12bits par des valeurs
croissantes de O à 4000 on passera du noir au blanc.
Ça paraît bien beaucoup pour un capteur ! Bon, le début avec un r apport S/B=1 n'est pas utilisable en pratique. On peut convenir d'enlever 4 diaphs pour démarrer avec un rapport signal/bruit de 16. Resterait encore 8 diaphs de dynamique, et ça fait toujours beaucoup. A titre d e comparaison, un relevé plus naïf du capteur d'un Canon 1DS, dans http://www.galerie-photo.com/sensito-numerique.html seulement 6 diaphs J'ai un peu de mal, sans les paramètres de prise de vue.
Maintenant, je pense que j'ai été abusé par l'aspect de cette fig ure dans son emballage de doc scientifique. Il ne s'agit sûrement pas un relevé expérimental mais d'une modélisation théorique. Non ? Non, non, pas abusé; ce n'est que la traduction d'une notice d'un
capteur Kodak identifié parmi d'autres capteurs qui peut même équip er des appareils Kodak ou autre. http://www.kodak.com/US/en/dpq/site/SENSORS/name/KAF-1602_product/show/KA F-1602_productSpecifications
Comment dire : les astronomes amateurs qui font des photos ont du mal à baisser la lumière des étoiles.
J'ai passé quelques temps sur les specifications d'un capteur 35mm, pou r le cinéma, les comparaisons argentique-numérique, et les dynamiques ( 11 diaphragme à la prise de vue, les mêmes en salle derrière un arc électrique mais seulement 5 diaphragmes vers un écran de télé ou d'ordinateur. La contrainte cinéma c'est la durée d'ouverture constan te qui fait ajouter ou retirer des filtres neutres pour travailler avec le bon diaphragme qui donne la bonne profondeur de champ. Pour un film 64ISO qui fait de la bien belle couleur, je vois une analogie forte avec le capteur. Une grande dynamique "à bien utliser". Le mystère entretenu sur les références des capteurs utilisés dan s les appareils photos sera-t-il levé ?
Richard
http://cjoint.com/?idngM2tdLL
.... On comprend que la dynamique va de début de la
dynamique 2.10(1)=20e- (le signal minimum hors du bruit) à la
saturation 8,5.10(4)=85.000e- (fin de la dynamique). Le rapport des
deux 8,5.10(4)/2.10(1) c'est 4,25(3) soit 4.250 niveaux différents;
20lg(4250)=75db.
Les gens qui pratiquent l'idiome local lisent plutôt la figure dans
l'autre sens, à partir de l'axe des abscisses. On émerge du bruit v ers
10^9 photons/sec/cm2 et on sature vers 4. 10^12, soit une dynamique de
4000, ou encore 12 diaphs.
On est d'accord que si on remplit un RAW de 12bits par des valeurs
croissantes de O à 4000 on passera du noir au blanc.
Ça paraît bien beaucoup pour un capteur ! Bon, le début avec un r apport
S/B=1 n'est pas utilisable en pratique. On peut convenir d'enlever 4
diaphs pour démarrer avec un rapport signal/bruit de 16. Resterait
encore 8 diaphs de dynamique, et ça fait toujours beaucoup. A titre d e
comparaison, un relevé plus naïf du capteur d'un Canon 1DS, dans
http://www.galerie-photo.com/sensito-numerique.html
seulement 6 diaphs
J'ai un peu de mal, sans les paramètres de prise de vue.
Maintenant, je pense que j'ai été abusé par l'aspect de cette fig ure
dans son emballage de doc scientifique. Il ne s'agit sûrement pas un
relevé expérimental mais d'une modélisation théorique. Non ?
Non, non, pas abusé; ce n'est que la traduction d'une notice d'un
capteur Kodak identifié parmi d'autres capteurs qui peut même équip er
des appareils Kodak ou autre.
http://www.kodak.com/US/en/dpq/site/SENSORS/name/KAF-1602_product/show/KA F-1602_productSpecifications
Comment dire : les astronomes amateurs qui font des photos ont du mal à
baisser la lumière des étoiles.
J'ai passé quelques temps sur les specifications d'un capteur 35mm, pou r
le cinéma, les comparaisons argentique-numérique, et les dynamiques ( 11
diaphragme à la prise de vue, les mêmes en salle derrière un arc
électrique mais seulement 5 diaphragmes vers un écran de télé ou
d'ordinateur. La contrainte cinéma c'est la durée d'ouverture constan te
qui fait ajouter ou retirer des filtres neutres pour travailler avec le
bon diaphragme qui donne la bonne profondeur de champ.
Pour un film 64ISO qui fait de la bien belle couleur, je vois une
analogie forte avec le capteur. Une grande dynamique "à bien utliser".
Le mystère entretenu sur les références des capteurs utilisés dan s les
appareils photos sera-t-il levé ?
http://cjoint.com/?idngM2tdLL .... On comprend que la dynamique va de début de la
dynamique 2.10(1) e- (le signal minimum hors du bruit) à la saturation 8,5.10(4)….000e- (fin de la dynamique). Le rapport des deux 8,5.10(4)/2.10(1) c'est 4,25(3) soit 4.250 niveaux différents; 20lg(4250)udb.
Les gens qui pratiquent l'idiome local lisent plutôt la figure dans l'autre sens, à partir de l'axe des abscisses. On émerge du bruit v ers 10^9 photons/sec/cm2 et on sature vers 4. 10^12, soit une dynamique de 4000, ou encore 12 diaphs. On est d'accord que si on remplit un RAW de 12bits par des valeurs
croissantes de O à 4000 on passera du noir au blanc.
Ça paraît bien beaucoup pour un capteur ! Bon, le début avec un r apport S/B=1 n'est pas utilisable en pratique. On peut convenir d'enlever 4 diaphs pour démarrer avec un rapport signal/bruit de 16. Resterait encore 8 diaphs de dynamique, et ça fait toujours beaucoup. A titre d e comparaison, un relevé plus naïf du capteur d'un Canon 1DS, dans http://www.galerie-photo.com/sensito-numerique.html seulement 6 diaphs J'ai un peu de mal, sans les paramètres de prise de vue.
Maintenant, je pense que j'ai été abusé par l'aspect de cette fig ure dans son emballage de doc scientifique. Il ne s'agit sûrement pas un relevé expérimental mais d'une modélisation théorique. Non ? Non, non, pas abusé; ce n'est que la traduction d'une notice d'un
capteur Kodak identifié parmi d'autres capteurs qui peut même équip er des appareils Kodak ou autre. http://www.kodak.com/US/en/dpq/site/SENSORS/name/KAF-1602_product/show/KA F-1602_productSpecifications
Comment dire : les astronomes amateurs qui font des photos ont du mal à baisser la lumière des étoiles.
J'ai passé quelques temps sur les specifications d'un capteur 35mm, pou r le cinéma, les comparaisons argentique-numérique, et les dynamiques ( 11 diaphragme à la prise de vue, les mêmes en salle derrière un arc électrique mais seulement 5 diaphragmes vers un écran de télé ou d'ordinateur. La contrainte cinéma c'est la durée d'ouverture constan te qui fait ajouter ou retirer des filtres neutres pour travailler avec le bon diaphragme qui donne la bonne profondeur de champ. Pour un film 64ISO qui fait de la bien belle couleur, je vois une analogie forte avec le capteur. Une grande dynamique "à bien utliser". Le mystère entretenu sur les références des capteurs utilisés dan s les appareils photos sera-t-il levé ?
Richard
Ofnuts
Pierre Pallier wrote:
Hello, Richard a écrit dans <news:46b468d6$0$18869$
Une curiosité de la chaine photographique, c'est la suite des chiffres des diaphragmmes 2,8; 5,6; 11; 22 le passage d'une valeur à l'autre consiste à diviser par deux la surface du trou qui apparait dans l'objectif.
Si je puis me permettre, par rapport à ce que tu dis c'est plutôt :
2.8 - 4 - 5,6 - 8 - 11 - 16 - 22
C'est bien, y'en a un qui suit :-)
Pierre Pallier wrote:
Hello, Richard a écrit dans <news:46b468d6$0$18869$426a34cc@news.free.fr>
Une curiosité de la chaine photographique, c'est la suite des chiffres
des diaphragmmes 2,8; 5,6; 11; 22 le passage d'une valeur à l'autre
consiste à diviser par deux la surface du trou qui apparait dans
l'objectif.
Si je puis me permettre, par rapport à ce que tu dis c'est plutôt :
Hello, Richard a écrit dans <news:46b468d6$0$18869$
Une curiosité de la chaine photographique, c'est la suite des chiffres des diaphragmmes 2,8; 5,6; 11; 22 le passage d'une valeur à l'autre consiste à diviser par deux la surface du trou qui apparait dans l'objectif.
Si je puis me permettre, par rapport à ce que tu dis c'est plutôt :