Twitter iPhone pliant OnePlus 12 PS5 Disney+ Orange Livebox Windows 11 ChatGPT

Le rapport du CIDE sur les réseaux pédocriminels en France et ailleurs - AgoraVox le média citoyen

127 réponses
Avatar
luciole135
http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/le-rapport-du-cide-sur-les-reseaux-154210

Ce très long article est l'intégralité du rapport du CIDE
Introduction de l'article :
"L'affaire outreau fut une débâcle qui a permis de nier la parole des
enfants. Mais, la France a un long passé de tolérance envers les
pédophiles, et de négation de l'existence des réseaux pédocriminels.
Pourtant, un rapport du CIDE (Comité international pour la dignité de
l’enfant) énumère des dossiers particulièrement sensibles, touchant à
des réseaux pédophiles aussi puissants qu'impunis."
...
...
Quelques extraits :
"L’affaire Dutroux, du réseau international au prédateur isolé…
...
Les synthèses des PV d’enquête du dossier Dutroux ont précisément aussi
remonté le fil de l’Histoire. On y retrouve les heures sombres de
l’époque des « Tueurs du Brabant », qui ont semé mort, terreur et
zizanie dans la première partie des années 1980, ou de « l’affaire Pinon
» – du nom d’un psychiatre bruxellois qui a dénoncé à la même période
une vaste affaire de « ballets roses » impliquant encore une fois
ministres, magistrats, avocats, policiers, noblesse… Jusqu’à Albert II
(prince à l’époque). – Rumeurs infondées, dira la justice à plusieurs
reprises (le dossier a été littéralement scellé, enterré à l’époque dans
le coffre-fort du Procureur du Roi de Nivelles, Jean Deprêtre. Mais le
magazine « L’Investigateur » en a publié un extrait édifiant : la
retranscription d’un enregistrement sonore). De fait, et malgré les
nombreux efforts des « étouffeurs », « l’affaire Pinon » ne cessera au
fil des années de ressortir de son carton et de rebondir. Les synthèses
des PV de l’affaire Dutroux montrent que les enquêtes autour du «
monstre de Charleroi » ont rouvert tous les placards des affaires Pinon
et « Tueurs du Brabant »… Et voilà que le l’on retrouve un certain
nombre – un nombre certain, plutôt – de mêmes personnages, de mêmes
personnalités, à la croisée des chemins de ces trois dossiers. Et
défilent d’autres enlèvements, disparitions, tortures, morts, dont celle
de Christine Van Hees dans l’affaire dite « de la Champignonnière »."
...
...
"L’affaire des CD-ROM de Zandvoort :
...
Interviewé sur « France 2 » le 16 mai 2000, le procureur Yvon Tallec
tiendra ces propos hallucinants : « Les photos sont anciennes », « la
plupart des enfants ne sont pas français » et « les enfants étaient
consentants, ou c’était avec le consentement de leurs parents »…"
[L'article donne un lien vidéo « France 2 » sur l'INA qui n'existe plus.]
...
...
"L’horreur au quotidien : c’est quoi la pédophilie dont on parle ? :
...
En mars 1988, l’industriel italien Alessandro Moncini, membre important
de la fameuse loge maçonnique P2 de Licio Gelli, est arrêté en
Californie. Il avait été mis sur écoute par le FBI et l’audition d’un
extrait d’une conversation téléphonique entre Moncini et un
interlocuteur non identifié fut demandée par le juge lors de son procès :

- Moncini : Que puis-je faire à ce petit animal (il évoque une fillette
mexicaine) ?

- Interlocuteur : Tout.

- Moncini : Je peux l’enchaîner ?

- Interlocuteur : Bien sûr.

- Moncini : La fouetter ?

- Interlocuteur : Oui.

- Moncini : Je peux lui faire bouffer de la m… ?

- Interlocuteur : Je ne sais pas…

- Moncini : Pisser dans sa bouche ?

- Interlocuteur : Oui, je pense…

- Moncini : Enfoncer des aiguilles dans ses mamelons ?

- Interlocuteur : Oui…

- Moncini : Et si le petit animal vient à être cassé… Je veux dire blessé… ?

- Interlocuteur : Faites disparaître le corps…

- Moncini : Et cela va coûter combien ?

- Interlocuteur : 5’000 dollars.

Alessandro Moncini encourait une peine de prison de trente ans. Il fut
condamné à… trois mois fermes pour avoir importé du matériel
pédopornographique. "
...
...
"La filière sectaire sataniste :
...
Mais lorsque Willy Marceau commence à évoquer à Bruno Fouchereau les
liens entre Kripten et certains membres de la brigade des mineurs et de
la magistrature parisienne (p 22-23), « je ne pus m’empêcher d’être un
peu sceptique », écrit l’auteur. « Plus tard, lorsque je rencontrai
enfin Samir Aouchiche et qu’il me confirma ces accusations, j’hésitai
encore à le croire… Ce sont trois autres affaires de pédophilie –
révélées par la presse en janvier 1996 – et l’étude précise que j’en fis
par la suite, qui vinrent corroborer les conjectures que seul le
témoignage de Samir m’avait permis d’élaborer. L’expérience de Samir
n’était pas la seule à révéler cette terrible réalité de notre société.
Désabusé et inquiet pour notre démocratie, je balayai alors tous mes
doutes."
...
...

Bon, je n'en suis même pas à la moitié de la lecture de ce rapport, je
m'arrête là.



--
Mon site pour arrêter de fumer en se sevrant progressivement des
additifs du tabac
http://additifstabac.free.fr

10 réponses

1 2 3 4 5
Avatar
jr
Khat Tsang Khat Phe Zho wrote:
jr a écrit:

remises en causes de décisions de justice



Bravo ! Il faut jeter le discrédit sur les bacs B qui ne représentent qu'eux-mêmes.



Tiens, on va rouvrir l'affaire de Villiers, alors. Foin des non-lieux,
d'ailleurs il y a un bouquin de la victime qui explique tout très bien, et
moi-même j'ai un mauvais feeling.

--
Naturellement trouble.
Avatar
Khat Tsang Khat Phe Zho
jr a écrit:

moi-même j'ai un mauvais feeling.



C'est un peeling que vous devriez faire.

--
À qui Rodriguez téléphonait-il lorsque le requin est entré dans la cabine ?
Avatar
luciole135
Le 11/07/2014 10:15, jr a écrit :
luciole135 wrote:

Comment savez-vous que c'est un ramassis de conneries ?



Mon petit doigt, dont personne ne s'est plaint jusqu'à présent.




Donc, vous n'en savez rien, vous avez des certitudes fondées sur votre foi.

Des insinuations ? non, des faits.



Des théories du complot citées dans des bouquins sous la seule
responsabilité des auteurs dont le premier rôle est de faire gagner du
pognon à l'éditeur.




Non, pas de théorie du complot, des faits.

Expliquez-nous comment dans l'affaire Allègre, la police et les experts
judiciaires ont pu conclure au suicide de personnes retrouvées les mains
liées dans le dos, un mouchoir dans la bouche et une balle dans la tête ?



Vous en savez des choses, sans aller toutefois jusqu'à savoir comment
s'écrit Alègre.




Une faute d'orthographe, garde, arrêtez cet homme !

Je viens d'aller le chercher dans la remise. En effet, il y a un seul
"l". Vous avez lu le livre ?

Quant à Baudis, le gendarme Roussel explique dans son livre que c'est un
contrefeu allumé par ces mêmes réseaux afin d’étouffer l'affaire.



L'affaire a été jugée avec la contribution de l'enquête dudit gendarme,
lequel s'est d'ailleurs fait remonter les bretelles.



Ah oui, quelle bretelles s'est-il fait remonter ?

Faire un livre est une
façon d'avoir le dernier mot, hélas ce mot ne vaut pas grand chose.



Vous voulez dire que les faits décrits dans le livre sont faux ?

Vous voulez dire que lorsque le gendarme Roussel relate la mort de
Valérie Tariotte, il ment ?

Je recopie le livre "Le 22 février 1989, Valérie Tariotte, une jolie
femme de vingt-deux ans, est tuée dans son appartement.
Le concierge de l'immeuble s'est inquiété de retrouver un sac à main, un
trousseau de clefs et une chaussure dans le local à poubelles. Valérie
ne répond pas aux coups de sonnette. Sa porte est forcée. On retrouvera
son corps ligoté sur le lit. Elle est triplement bâillonnée : un tissu
est enfoncé dans sa gorge, un autre dans sa bouche, et un troisième
recouvre ses lèvres. Une casserole contenant du liquide biologique est
placée sous l'oreiller sur lequel repose sa tête. La sureté urbaine de
Toulouse est chargée de l'enquête initiale.
la police fait du bon travail : enquête de personnalité, environnement
de la victime, amis, collègues. Elle recherche d'abord de façon
objective comment cette jeune fille est morte. Les mains liées sur le
bas-ventre, les bâillons, tout concourt à la thèse du meurtre. Mais les
connaissances de Valérie sont retrouvées et mises hors de cause.
Personne n'a remarqué d'inconnu susceptible d'être entré chez elle.
Hélas pour la suite de l'enquête, parmi les objets saisis dans le
studio de Valérie, il y a un livre : Suicide, mode d'emploi. "Hélas",
car dès lors la thèse du suicide vient bousculer toutes les autres dans
l'esprit des enquêteurs : puisqu'ils ne peuvent prouver que c'est un
meurtre, alors ce doit être un suicide. L'autopsie de Valérie révèle la
présence de tranquillisants dans son organisme. La conclusion des
médecins légistes finit de convaincre les enquêteurs : "suicide
médicamenteux"...
Valérie dépressive aurait pris des médicaments pour mourir. Puis elle
aurait enfoncé un bâillon dans dans la gorge, certaine ainsi de ne pas
vomir. elle aurait ensuite mis un bâillon dans sa bouche et un autre
sur ses lèvres pour mieux s'asphyxier. Enfin, elle se serait attaché les
poignets seule, pour s'empêcher de retirer les bâillons dans un ultime
réflexe de survie"

Elle s'est vraiment suicidée ainsi ? vraiment ?

--
Mon site pour arrêter de fumer en se sevrant progressivement des
additifs du tabac
http://additifstabac.free.fr
Avatar
luciole135
Le 11/07/2014 10:14, Moshe Raddam a écrit :
luciole135 a écrit :
Le 11/07/2014 08:59, Moshe Raddam a écrit :
luciole135 a écrit :
Le 10/07/2014 23:34, Moshe Raddam a écrit :
luciole135 a écrit :

Bon, je n'en suis même pas à la moitié de la lecture de ce
rapport, je
m'arrête là.



Et donc ?



Je vous laisse le soin de lire la suite.



Et quelle serait la question que vous posez, selon vous ?



Vous avez posé une question, j'y ai répondu.



Alors que votre déballage initial n'en comporte aucune.



Et alors ?

--
Mon site pour arrêter de fumer en se sevrant progressivement des
additifs du tabac
http://additifstabac.free.fr
Avatar
jr
luciole135 wrote:
Le 11/07/2014 10:15, jr a écrit :
luciole135 wrote:

Comment savez-vous que c'est un ramassis de conneries ?



Mon petit doigt, dont personne ne s'est plaint jusqu'à présent.




Donc, vous n'en savez rien, vous avez des certitudes fondées sur votre foi.

Des insinuations ? non, des faits.



Des théories du complot citées dans des bouquins sous la seule
responsabilité des auteurs dont le premier rôle est de faire gagner du
pognon à l'éditeur.




Non, pas de théorie du complot, des faits.

Expliquez-nous comment dans l'affaire Allègre, la police et les experts
judiciaires ont pu conclure au suicide de personnes retrouvées les mains
liées dans le dos, un mouchoir dans la bouche et une balle dans la tête ?



Vous en savez des choses, sans aller toutefois jusqu'à savoir comment
s'écrit Alègre.




Une faute d'orthographe, garde, arrêtez cet homme !

Je viens d'aller le chercher dans la remise. En effet, il y a un seul
"l". Vous avez lu le livre ?

Quant à Baudis, le gendarme Roussel explique dans son livre que c'est un
contrefeu allumé par ces mêmes réseaux afin d’étouffer l'affaire.



L'affaire a été jugée avec la contribution de l'enquête dudit gendarme,
lequel s'est d'ailleurs fait remonter les bretelles.



Ah oui, quelle bretelles s'est-il fait remonter ?

Faire un livre est une
façon d'avoir le dernier mot, hélas ce mot ne vaut pas grand chose.



Vous voulez dire que les faits décrits dans le livre sont faux ?

Vous voulez dire que lorsque le gendarme Roussel relate la mort de
Valérie Tariotte, il ment ?

Je recopie le livre "Le 22 février 1989, Valérie Tariotte, une jolie
femme de vingt-deux ans, est tuée dans son appartement.
Le concierge de l'immeuble s'est inquiété de retrouver un sac à main, un
trousseau de clefs et une chaussure dans le local à poubelles. Valérie ne
répond pas aux coups de sonnette. Sa porte est forcée. On retrouvera son
corps ligoté sur le lit. Elle est triplement bâillonnée : un tissu est
enfoncé dans sa gorge, un autre dans sa bouche, et un troisième recouvre
ses lèvres. Une casserole contenant du liquide biologique est placée sous
l'oreiller sur lequel repose sa tête. La sureté urbaine de Toulouse est
chargée de l'enquête initiale.
la police fait du bon travail : enquête de personnalité, environnement de
la victime, amis, collègues. Elle recherche d'abord de façon objective
comment cette jeune fille est morte. Les mains liées sur le bas-ventre,
les bâillons, tout concourt à la thèse du meurtre. Mais les connaissances
de Valérie sont retrouvées et mises hors de cause. Personne n'a remarqué
d'inconnu susceptible d'être entré chez elle.
Hélas pour la suite de l'enquête, parmi les objets saisis dans le
studio de Valérie, il y a un livre : Suicide, mode d'emploi. "Hélas", car
dès lors la thèse du suicide vient bousculer toutes les autres dans
l'esprit des enquêteurs : puisqu'ils ne peuvent prouver que c'est un
meurtre, alors ce doit être un suicide. L'autopsie de Valérie révèle la
présence de tranquillisants dans son organisme. La conclusion des
médecins légistes finit de convaincre les enquêteurs : "suicide médicamenteux"...
Valérie dépressive aurait pris des médicaments pour mourir. Puis elle
aurait enfoncé un bâillon dans dans la gorge, certaine ainsi de ne pas
vomir. elle aurait ensuite mis un bâillon dans sa bouche et un autre sur
ses lèvres pour mieux s'asphyxier. Enfin, elle se serait attaché les
poignets seule, pour s'empêcher de retirer les bâillons dans un ultime réflexe de survie"

Elle s'est vraiment suicidée ainsi ? vraiment ?



Votre gendarme et vous-même n'avez pas l'air de savoir qu'Alègre a reconnu
le viol et le meurtre de cette femme. Comme quoi les enquêtes aboutissent
et les mystères de bouquins à scandale n'en sont pas.

--
Naturellement trouble.
Avatar
luciole135
Le 11/07/2014 12:08, jr a écrit :
luciole135 wrote:
Le 11/07/2014 10:15, jr a écrit :
luciole135 wrote:

Comment savez-vous que c'est un ramassis de conneries ?



Mon petit doigt, dont personne ne s'est plaint jusqu'à présent.




Donc, vous n'en savez rien, vous avez des certitudes fondées sur votre foi.

Des insinuations ? non, des faits.



Des théories du complot citées dans des bouquins sous la seule
responsabilité des auteurs dont le premier rôle est de faire gagner du
pognon à l'éditeur.




Non, pas de théorie du complot, des faits.

Expliquez-nous comment dans l'affaire Allègre, la police et les experts
judiciaires ont pu conclure au suicide de personnes retrouvées les mains
liées dans le dos, un mouchoir dans la bouche et une balle dans la tête ?



Vous en savez des choses, sans aller toutefois jusqu'à savoir comment
s'écrit Alègre.




Une faute d'orthographe, garde, arrêtez cet homme !

Je viens d'aller le chercher dans la remise. En effet, il y a un seul
"l". Vous avez lu le livre ?

Quant à Baudis, le gendarme Roussel explique dans son livre que c'est un
contrefeu allumé par ces mêmes réseaux afin d’étouffer l'affaire.



L'affaire a été jugée avec la contribution de l'enquête dudit gendarme,
lequel s'est d'ailleurs fait remonter les bretelles.



Ah oui, quelle bretelles s'est-il fait remonter ?

Faire un livre est une
façon d'avoir le dernier mot, hélas ce mot ne vaut pas grand chose.



Vous voulez dire que les faits décrits dans le livre sont faux ?

Vous voulez dire que lorsque le gendarme Roussel relate la mort de
Valérie Tariotte, il ment ?

Je recopie le livre "Le 22 février 1989, Valérie Tariotte, une jolie
femme de vingt-deux ans, est tuée dans son appartement.
Le concierge de l'immeuble s'est inquiété de retrouver un sac à main, un
trousseau de clefs et une chaussure dans le local à poubelles. Valérie ne
répond pas aux coups de sonnette. Sa porte est forcée. On retrouvera son
corps ligoté sur le lit. Elle est triplement bâillonnée : un tissu est
enfoncé dans sa gorge, un autre dans sa bouche, et un troisième recouvre
ses lèvres. Une casserole contenant du liquide biologique est placée sous
l'oreiller sur lequel repose sa tête. La sureté urbaine de Toulouse est
chargée de l'enquête initiale.
la police fait du bon travail : enquête de personnalité, environnement de
la victime, amis, collègues. Elle recherche d'abord de façon objective
comment cette jeune fille est morte. Les mains liées sur le bas-ventre,
les bâillons, tout concourt à la thèse du meurtre. Mais les connaissances
de Valérie sont retrouvées et mises hors de cause. Personne n'a remarqué
d'inconnu susceptible d'être entré chez elle.
Hélas pour la suite de l'enquête, parmi les objets saisis dans le
studio de Valérie, il y a un livre : Suicide, mode d'emploi. "Hélas", car
dès lors la thèse du suicide vient bousculer toutes les autres dans
l'esprit des enquêteurs : puisqu'ils ne peuvent prouver que c'est un
meurtre, alors ce doit être un suicide. L'autopsie de Valérie révèle la
présence de tranquillisants dans son organisme. La conclusion des
médecins légistes finit de convaincre les enquêteurs : "suicide médicamenteux"...
Valérie dépressive aurait pris des médicaments pour mourir. Puis elle
aurait enfoncé un bâillon dans dans la gorge, certaine ainsi de ne pas
vomir. elle aurait ensuite mis un bâillon dans sa bouche et un autre sur
ses lèvres pour mieux s'asphyxier. Enfin, elle se serait attaché les
poignets seule, pour s'empêcher de retirer les bâillons dans un ultime réflexe de survie"

Elle s'est vraiment suicidée ainsi ? vraiment ?



Votre gendarme et vous-même n'avez pas l'air de savoir qu'Alègre a reconnu
le viol et le meurtre de cette femme. Comme quoi les enquêtes aboutissent
et les mystères de bouquins à scandale n'en sont pas.




Ce bouquin a été achevé d'imprimé en janvier 2004, quand Alègre a-t-il
reconnu ce meurtre ?

--
Mon site pour arrêter de fumer en se sevrant progressivement des
additifs du tabac
http://additifstabac.free.fr
Avatar
jr
luciole135 wrote:

Elle s'est vraiment suicidée ainsi ? vraiment ?



Votre gendarme et vous-même n'avez pas l'air de savoir qu'Alègre a reconnu
le viol et le meurtre de cette femme. Comme quoi les enquêtes aboutissent
et les mystères de bouquins à scandale n'en sont pas.




Ce bouquin a été achevé d'imprimé en janvier 2004, quand Alègre a-t-il reconnu ce meurtre ?



C'est dans un article de la Dépêche de 2001. Feriez mieux de brûler ce
bouquin.

--
Naturellement trouble.
Avatar
luciole135
Le 11/07/2014 12:20, jr a écrit :
luciole135 wrote:

Elle s'est vraiment suicidée ainsi ? vraiment ?



Votre gendarme et vous-même n'avez pas l'air de savoir qu'Alègre a reconnu
le viol et le meurtre de cette femme. Comme quoi les enquêtes aboutissent
et les mystères de bouquins à scandale n'en sont pas.




Ce bouquin a été achevé d'imprimé en janvier 2004, quand Alègre a-t-il reconnu ce meurtre ?



C'est dans un article de la Dépêche de 2001. Feriez mieux de brûler ce
bouquin.




Brûler un livre ? Non, Allègre a en effet reconnu un crime (qui a été
qualifié par les enquêteurs de suicide) car il "disjoncterait".

Mais le témoignage de sa tante dans les médias viens semer le trouble :
"une conversation téléphonique de la jeune femme avec sa tante, quelques
jours avant sa mort. elle semblait très nerveuse et a dit qu'elle avait
peur, qu'elle se sentait menacée parce qu'elle avait mis les pieds là où
elle n'aurait pas dû"
Fallait-il faire taire Valérie Tariotte ? et si oui pourquoi ?

--
Mon site pour arrêter de fumer en se sevrant progressivement des
additifs du tabac
http://additifstabac.free.fr
Avatar
Moshe Raddam
luciole135 a écrit :
Le 11/07/2014 10:14, Moshe Raddam a écrit :
luciole135 a écrit :
Le 11/07/2014 08:59, Moshe Raddam a écrit :
luciole135 a écrit :
Le 10/07/2014 23:34, Moshe Raddam a écrit :




Je vous laisse le soin de lire la suite.



Et quelle serait la question que vous posez, selon vous ?



Vous avez posé une question, j'y ai répondu.



Alors que votre déballage initial n'en comporte aucune.



Et alors ?



Alors, vous avez fait une flaque.
Donc, rien à répondre puisque pas de question. Il se trouve que nous
sommes sur un forum de discussions, ce qui implique au minimum un
échange entre au moins deux personnes et non un monologue stérile.
Par conséquent, on s'en tape, de la flaque.
Conclusion, elle était inutile.
Avatar
jr
luciole135 wrote:
Le 11/07/2014 12:20, jr a écrit :
luciole135 wrote:

Elle s'est vraiment suicidée ainsi ? vraiment ?



Votre gendarme et vous-même n'avez pas l'air de savoir qu'Alègre a reconnu
le viol et le meurtre de cette femme. Comme quoi les enquêtes aboutissent
et les mystères de bouquins à scandale n'en sont pas.




Ce bouquin a été achevé d'imprimé en janvier 2004, quand Alègre a-t-il
reconnu ce meurtre ?



C'est dans un article de la Dépêche de 2001. Feriez mieux de brûler ce
bouquin.




Brûler un livre ? Non, Allègre a en effet reconnu un crime (qui a été
qualifié par les enquêteurs de suicide) car il "disjoncterait".



Alègre.


Mais le témoignage de sa tante dans les médias viens semer le trouble :



Ah oui, le témoignage de la tante dans les médias:) Ajouté au délire du
gendarme frustré, ça fait masse.

Fallait-il faire taire Valérie Tariotte ? et si oui pourquoi ?



Elle a été violée et tuée par Alègre, qui a le profil, l'ADN et qui a
avoué. Je sais c'est triste, ç'aurait pu être le roi des Belges.

--
Naturellement trouble.
1 2 3 4 5