http://soufron.free.fr/files/recherche.html
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http://soufron.free.fr/files/recherche.html
- l'usage commerciale ou non n'entre pas en ligne de compte. - le fait de
diffuser une copie est illégal, la copie dans un réseau P2P
n'est plus à usage privé mais public.
La copie privée implique que la copie doit rester privée et exclue sa
mise à disposition du public (réseau P2P). L'exemplaire mis à
disposition dans un réseau P2P étant déjà une copie privée, elle est
interdite de mise à disposition du public.
- l'usage commerciale ou non n'entre pas en ligne de compte. - le fait de
diffuser une copie est illégal, la copie dans un réseau P2P
n'est plus à usage privé mais public.
La copie privée implique que la copie doit rester privée et exclue sa
mise à disposition du public (réseau P2P). L'exemplaire mis à
disposition dans un réseau P2P étant déjà une copie privée, elle est
interdite de mise à disposition du public.
- l'usage commerciale ou non n'entre pas en ligne de compte. - le fait de
diffuser une copie est illégal, la copie dans un réseau P2P
n'est plus à usage privé mais public.
La copie privée implique que la copie doit rester privée et exclue sa
mise à disposition du public (réseau P2P). L'exemplaire mis à
disposition dans un réseau P2P étant déjà une copie privée, elle est
interdite de mise à disposition du public.
> La copie privée implique que la copie doit rester privée et exclue sa
> mise à disposition du public (réseau P2P). L'exemplaire mis à
> disposition dans un réseau P2P étant déjà une copie privée, elle est
> interdite de mise à disposition du public.
Reste à savoir si l'introduction d'une oeuvre dans un réseau P2P est, ou
non, une utilisation collective... Ce n'est pas évident!
> La copie privée implique que la copie doit rester privée et exclue sa
> mise à disposition du public (réseau P2P). L'exemplaire mis à
> disposition dans un réseau P2P étant déjà une copie privée, elle est
> interdite de mise à disposition du public.
Reste à savoir si l'introduction d'une oeuvre dans un réseau P2P est, ou
non, une utilisation collective... Ce n'est pas évident!
> La copie privée implique que la copie doit rester privée et exclue sa
> mise à disposition du public (réseau P2P). L'exemplaire mis à
> disposition dans un réseau P2P étant déjà une copie privée, elle est
> interdite de mise à disposition du public.
Reste à savoir si l'introduction d'une oeuvre dans un réseau P2P est, ou
non, une utilisation collective... Ce n'est pas évident!
> Pardon ? C'est la mise à disposition du *public* de la contrefaçon d'une
oeuvre protégée (public ==> copie perd son caractère privée donc
devient une contrefaçon)
Donc, au mieux, la télécharger est du recel de contrefaçon.
De même personne ne peut ignorer que télécharger gratuitement une
oeuvre protégée n'est pas télécharger une contrefaçon.
Tu pleures parce que la copie privée est en danger mais c'est justement
en voulant, à tout prix, justifier la contrefaçon de masse via la copie
privée que tu mets cette dernière en danger. Tant que les échanges sur
Internet se limitaient à du confidentiel (Usenet, FTP), les
professionnels du disque n'avaient pas mis de dispositif anti-copie
La copie privée ne reste privée que si le copiste ne s'en défait pas ou
qu'il ne la diffuse pas (il ne dispose pas librement du droit de
représentation d'une oeuvre protégée même en ayant l'original).
Même
si on arrive à faire passer cela pour de la représentation publique, les
droits à la SACEM ne sont pas payés et on revient à un délit assimilé
à la contrefaçon.
De même les proprio de serveurs P2P sont des prestataires de services
Internet, ils doivent donc, sur le territoire français, logguer les
informations pour répondre aux réquisitions de la justice. S'ils
logguent, ils doivent déclarer leur fichier à la CNIL. Dans les deux
cas, il y a matière à emmerder les proprio des serveurs si la justice et
les ayants-droits voulaient le faire.
> Pardon ? C'est la mise à disposition du *public* de la contrefaçon d'une
oeuvre protégée (public ==> copie perd son caractère privée donc
devient une contrefaçon)
Donc, au mieux, la télécharger est du recel de contrefaçon.
De même personne ne peut ignorer que télécharger gratuitement une
oeuvre protégée n'est pas télécharger une contrefaçon.
Tu pleures parce que la copie privée est en danger mais c'est justement
en voulant, à tout prix, justifier la contrefaçon de masse via la copie
privée que tu mets cette dernière en danger. Tant que les échanges sur
Internet se limitaient à du confidentiel (Usenet, FTP), les
professionnels du disque n'avaient pas mis de dispositif anti-copie
La copie privée ne reste privée que si le copiste ne s'en défait pas ou
qu'il ne la diffuse pas (il ne dispose pas librement du droit de
représentation d'une oeuvre protégée même en ayant l'original).
Même
si on arrive à faire passer cela pour de la représentation publique, les
droits à la SACEM ne sont pas payés et on revient à un délit assimilé
à la contrefaçon.
De même les proprio de serveurs P2P sont des prestataires de services
Internet, ils doivent donc, sur le territoire français, logguer les
informations pour répondre aux réquisitions de la justice. S'ils
logguent, ils doivent déclarer leur fichier à la CNIL. Dans les deux
cas, il y a matière à emmerder les proprio des serveurs si la justice et
les ayants-droits voulaient le faire.
> Pardon ? C'est la mise à disposition du *public* de la contrefaçon d'une
oeuvre protégée (public ==> copie perd son caractère privée donc
devient une contrefaçon)
Donc, au mieux, la télécharger est du recel de contrefaçon.
De même personne ne peut ignorer que télécharger gratuitement une
oeuvre protégée n'est pas télécharger une contrefaçon.
Tu pleures parce que la copie privée est en danger mais c'est justement
en voulant, à tout prix, justifier la contrefaçon de masse via la copie
privée que tu mets cette dernière en danger. Tant que les échanges sur
Internet se limitaient à du confidentiel (Usenet, FTP), les
professionnels du disque n'avaient pas mis de dispositif anti-copie
La copie privée ne reste privée que si le copiste ne s'en défait pas ou
qu'il ne la diffuse pas (il ne dispose pas librement du droit de
représentation d'une oeuvre protégée même en ayant l'original).
Même
si on arrive à faire passer cela pour de la représentation publique, les
droits à la SACEM ne sont pas payés et on revient à un délit assimilé
à la contrefaçon.
De même les proprio de serveurs P2P sont des prestataires de services
Internet, ils doivent donc, sur le territoire français, logguer les
informations pour répondre aux réquisitions de la justice. S'ils
logguent, ils doivent déclarer leur fichier à la CNIL. Dans les deux
cas, il y a matière à emmerder les proprio des serveurs si la justice et
les ayants-droits voulaient le faire.
Dans la news:, soufron
a écrit:Surtout, je reste ouvert toutes les suggestions pour le modifier,
l'amliorer, etc. Notamment n'hsitez pas me faire savoir si j'ai commis
des contresens ou s'il y'a des imprcisions trop lourdes.
http://soufron.free.fr/files/recherche.html
Bonjour
Je réagis à la partie introductive (l'historique) de votre article et,
à vrai dire, à la première phrase : "C'est pour protéger les auteurs
contre leurs éditeurs qu'on a cru bon d'imposer une réglementation du
droit d'auteur".
D'après Jean-Claude Guedon, c'était plutôt un phénomène inverse qui
serait à l'origine du droit d'auteur :
http://doc-iep.univ-lyon2.fr/Edelec/article.php3?id_article=5
Ewcia
Dans la news:pan.2003.08.11.10.26.37.433008@libertysurf.fr, soufron
<jean-baptiste.soufron@libertysurf.fr> a écrit:
Surtout, je reste ouvert toutes les suggestions pour le modifier,
l'amliorer, etc. Notamment n'hsitez pas me faire savoir si j'ai commis
des contresens ou s'il y'a des imprcisions trop lourdes.
http://soufron.free.fr/files/recherche.html
Bonjour
Je réagis à la partie introductive (l'historique) de votre article et,
à vrai dire, à la première phrase : "C'est pour protéger les auteurs
contre leurs éditeurs qu'on a cru bon d'imposer une réglementation du
droit d'auteur".
D'après Jean-Claude Guedon, c'était plutôt un phénomène inverse qui
serait à l'origine du droit d'auteur :
http://doc-iep.univ-lyon2.fr/Edelec/article.php3?id_article=5
Ewcia
Dans la news:, soufron
a écrit:Surtout, je reste ouvert toutes les suggestions pour le modifier,
l'amliorer, etc. Notamment n'hsitez pas me faire savoir si j'ai commis
des contresens ou s'il y'a des imprcisions trop lourdes.
http://soufron.free.fr/files/recherche.html
Bonjour
Je réagis à la partie introductive (l'historique) de votre article et,
à vrai dire, à la première phrase : "C'est pour protéger les auteurs
contre leurs éditeurs qu'on a cru bon d'imposer une réglementation du
droit d'auteur".
D'après Jean-Claude Guedon, c'était plutôt un phénomène inverse qui
serait à l'origine du droit d'auteur :
http://doc-iep.univ-lyon2.fr/Edelec/article.php3?id_article=5
Ewcia
> Pardon ? C'est la mise à disposition du *public* de la contrefaçon d'une
> oeuvre protégée (public ==> copie perd son caractère privée donc
> devient une contrefaçon)
> Donc, au mieux, la télécharger est du recel de contrefaçon.
Une copie privée c'est :
1. usage privé du copiste... celui qui réalise la copie
2. utilisation non-collective...
A partir de là, la manière dont on fait la copie n'a aucune importance. On
peut la faire par téléchargement ou en reliant deux magnétoscopes... c'est
pareil!
Ce qui est important c'est de savoir si le fait d'avoir une oeuvre sur son
ordinateur et d'être présent sur un réseau P2P est une utilisation
collective ou non.
> De même personne ne peut ignorer que télécharger gratuitement une
> oeuvre protégée n'est pas télécharger une contrefaçon.
Cela peut être une copie privée : si mon fils télécharge les mp3 de nos
cds sur mon serveur ftp pour le mettre sur son ordinateur, c'est une copie
privée!
Reste à savoir à partir de quand cela devient une contrefaçon. Je suis
désolé mais la loi n'est pas claire et tout dépend de l'inteprétation
extensive ou réductrice que l'on en a.
> Tu pleures parce que la copie privée est en danger mais c'est justement
> en voulant, à tout prix, justifier la contrefaçon de masse via la copie
> privée que tu mets cette dernière en danger. Tant que les échanges sur
> Internet se limitaient à du confidentiel (Usenet, FTP), les
> professionnels du disque n'avaient pas mis de dispositif anti-copie
Comme je le dis, on peut maintenant échanger des vidéos et de la musique
gratuitement, sans limites et instantanément. Faut-il donc continuer à
respecter un monopole qui n'est là que pour protéger les gens qui
remplissaient ces missions...
> La copie privée ne reste privée que si le copiste ne s'en défait pas ou
> qu'il ne la diffuse pas (il ne dispose pas librement du droit de
> représentation d'une oeuvre protégée même en ayant l'original).
La copie privée est privée quand son utilisation est non-collective, pas
quand il ne s'en défait pas. Rien n'empèche le copiste de permettre à son
tour une copie de sa copie... Cela ne correspond pas à une utilisation
collective...
Rien n'affirme nulle part que le copiste doit garder la copie dans son
coffre-fort!
> Même
> si on arrive à faire passer cela pour de la représentation publique, les
> droits à la SACEM ne sont pas payés et on revient à un délit assimilé
> à la contrefaçon.
Les droits sont payés grâce à la taxe sur les supports de stockage
numérique. Et rien n'empèche
de créer une nouvelle taxe sur les connexions internet haut-débit!
> De même les proprio de serveurs P2P sont des prestataires de services
> Internet, ils doivent donc, sur le territoire français, logguer les
> informations pour répondre aux réquisitions de la justice. S'ils
> logguent, ils doivent déclarer leur fichier à la CNIL. Dans les deux
> cas, il y a matière à emmerder les proprio des serveurs si la justice et
> les ayants-droits voulaient le faire.
D'abord, dans l'idéal, il n'y a pas de "serveur" P2P puisque chaque client
est connecté à un autre client. Ensuite, quand il y'a des "noeuds" dans le
réseau, ces noeuds appartiennent à des particuliers bénévoles... souvent
situés à l'étranger.
> Pardon ? C'est la mise à disposition du *public* de la contrefaçon d'une
> oeuvre protégée (public ==> copie perd son caractère privée donc
> devient une contrefaçon)
> Donc, au mieux, la télécharger est du recel de contrefaçon.
Une copie privée c'est :
1. usage privé du copiste... celui qui réalise la copie
2. utilisation non-collective...
A partir de là, la manière dont on fait la copie n'a aucune importance. On
peut la faire par téléchargement ou en reliant deux magnétoscopes... c'est
pareil!
Ce qui est important c'est de savoir si le fait d'avoir une oeuvre sur son
ordinateur et d'être présent sur un réseau P2P est une utilisation
collective ou non.
> De même personne ne peut ignorer que télécharger gratuitement une
> oeuvre protégée n'est pas télécharger une contrefaçon.
Cela peut être une copie privée : si mon fils télécharge les mp3 de nos
cds sur mon serveur ftp pour le mettre sur son ordinateur, c'est une copie
privée!
Reste à savoir à partir de quand cela devient une contrefaçon. Je suis
désolé mais la loi n'est pas claire et tout dépend de l'inteprétation
extensive ou réductrice que l'on en a.
> Tu pleures parce que la copie privée est en danger mais c'est justement
> en voulant, à tout prix, justifier la contrefaçon de masse via la copie
> privée que tu mets cette dernière en danger. Tant que les échanges sur
> Internet se limitaient à du confidentiel (Usenet, FTP), les
> professionnels du disque n'avaient pas mis de dispositif anti-copie
Comme je le dis, on peut maintenant échanger des vidéos et de la musique
gratuitement, sans limites et instantanément. Faut-il donc continuer à
respecter un monopole qui n'est là que pour protéger les gens qui
remplissaient ces missions...
> La copie privée ne reste privée que si le copiste ne s'en défait pas ou
> qu'il ne la diffuse pas (il ne dispose pas librement du droit de
> représentation d'une oeuvre protégée même en ayant l'original).
La copie privée est privée quand son utilisation est non-collective, pas
quand il ne s'en défait pas. Rien n'empèche le copiste de permettre à son
tour une copie de sa copie... Cela ne correspond pas à une utilisation
collective...
Rien n'affirme nulle part que le copiste doit garder la copie dans son
coffre-fort!
> Même
> si on arrive à faire passer cela pour de la représentation publique, les
> droits à la SACEM ne sont pas payés et on revient à un délit assimilé
> à la contrefaçon.
Les droits sont payés grâce à la taxe sur les supports de stockage
numérique. Et rien n'empèche
de créer une nouvelle taxe sur les connexions internet haut-débit!
> De même les proprio de serveurs P2P sont des prestataires de services
> Internet, ils doivent donc, sur le territoire français, logguer les
> informations pour répondre aux réquisitions de la justice. S'ils
> logguent, ils doivent déclarer leur fichier à la CNIL. Dans les deux
> cas, il y a matière à emmerder les proprio des serveurs si la justice et
> les ayants-droits voulaient le faire.
D'abord, dans l'idéal, il n'y a pas de "serveur" P2P puisque chaque client
est connecté à un autre client. Ensuite, quand il y'a des "noeuds" dans le
réseau, ces noeuds appartiennent à des particuliers bénévoles... souvent
situés à l'étranger.
> Pardon ? C'est la mise à disposition du *public* de la contrefaçon d'une
> oeuvre protégée (public ==> copie perd son caractère privée donc
> devient une contrefaçon)
> Donc, au mieux, la télécharger est du recel de contrefaçon.
Une copie privée c'est :
1. usage privé du copiste... celui qui réalise la copie
2. utilisation non-collective...
A partir de là, la manière dont on fait la copie n'a aucune importance. On
peut la faire par téléchargement ou en reliant deux magnétoscopes... c'est
pareil!
Ce qui est important c'est de savoir si le fait d'avoir une oeuvre sur son
ordinateur et d'être présent sur un réseau P2P est une utilisation
collective ou non.
> De même personne ne peut ignorer que télécharger gratuitement une
> oeuvre protégée n'est pas télécharger une contrefaçon.
Cela peut être une copie privée : si mon fils télécharge les mp3 de nos
cds sur mon serveur ftp pour le mettre sur son ordinateur, c'est une copie
privée!
Reste à savoir à partir de quand cela devient une contrefaçon. Je suis
désolé mais la loi n'est pas claire et tout dépend de l'inteprétation
extensive ou réductrice que l'on en a.
> Tu pleures parce que la copie privée est en danger mais c'est justement
> en voulant, à tout prix, justifier la contrefaçon de masse via la copie
> privée que tu mets cette dernière en danger. Tant que les échanges sur
> Internet se limitaient à du confidentiel (Usenet, FTP), les
> professionnels du disque n'avaient pas mis de dispositif anti-copie
Comme je le dis, on peut maintenant échanger des vidéos et de la musique
gratuitement, sans limites et instantanément. Faut-il donc continuer à
respecter un monopole qui n'est là que pour protéger les gens qui
remplissaient ces missions...
> La copie privée ne reste privée que si le copiste ne s'en défait pas ou
> qu'il ne la diffuse pas (il ne dispose pas librement du droit de
> représentation d'une oeuvre protégée même en ayant l'original).
La copie privée est privée quand son utilisation est non-collective, pas
quand il ne s'en défait pas. Rien n'empèche le copiste de permettre à son
tour une copie de sa copie... Cela ne correspond pas à une utilisation
collective...
Rien n'affirme nulle part que le copiste doit garder la copie dans son
coffre-fort!
> Même
> si on arrive à faire passer cela pour de la représentation publique, les
> droits à la SACEM ne sont pas payés et on revient à un délit assimilé
> à la contrefaçon.
Les droits sont payés grâce à la taxe sur les supports de stockage
numérique. Et rien n'empèche
de créer une nouvelle taxe sur les connexions internet haut-débit!
> De même les proprio de serveurs P2P sont des prestataires de services
> Internet, ils doivent donc, sur le territoire français, logguer les
> informations pour répondre aux réquisitions de la justice. S'ils
> logguent, ils doivent déclarer leur fichier à la CNIL. Dans les deux
> cas, il y a matière à emmerder les proprio des serveurs si la justice et
> les ayants-droits voulaient le faire.
D'abord, dans l'idéal, il n'y a pas de "serveur" P2P puisque chaque client
est connecté à un autre client. Ensuite, quand il y'a des "noeuds" dans le
réseau, ces noeuds appartiennent à des particuliers bénévoles... souvent
situés à l'étranger.
> Vous avez une manière bien particulière d'affirmer avoir raison, tout en
restant dans l'erreur, qui a du aggacer plus d'un professeur...
La copie cesse d'être privée lorsqu'elle est cédée à autrui, à titre
gratuit ou non, puisque le droit de reproduction n'a pas été transmis,
faute de contrat en ce sens.
De même, l'enregistrement sur un support différent n'est pas non-plus
autorisée, autrement qu'à usage privé (voir plus haut). Evidemment, si
vous transférez un CD audio sur votre disque dur, en format Wave, vous
restez dans le même format. Mais si vous le transformez en format MP3,
vous ne pouvez le faire qu'à titre strictement privé, puisqu'aucun
contrat ne vous y autorise.
Enfin, si vous diffusez cette oeuvre sur internet, quelqu'en soit le
format (wav ou mp3), vous procédez à une reproduction à usage public de
l'oeuvre, voir dans certains cas à une représentation de l'oeuvre. Dans
les deux cas, celà vous est interdit, faute de contrat..
Pour finir, l'utilisateur internet qui récupère votre fichier est bien
coupable du recel de contrefaçon, puisqu'il ne peut pas justifier
disposer de l'original de l'oeuvre, ce qui suppose que son fichier ne
provient pas d'une copie privée.
> Vous avez une manière bien particulière d'affirmer avoir raison, tout en
restant dans l'erreur, qui a du aggacer plus d'un professeur...
La copie cesse d'être privée lorsqu'elle est cédée à autrui, à titre
gratuit ou non, puisque le droit de reproduction n'a pas été transmis,
faute de contrat en ce sens.
De même, l'enregistrement sur un support différent n'est pas non-plus
autorisée, autrement qu'à usage privé (voir plus haut). Evidemment, si
vous transférez un CD audio sur votre disque dur, en format Wave, vous
restez dans le même format. Mais si vous le transformez en format MP3,
vous ne pouvez le faire qu'à titre strictement privé, puisqu'aucun
contrat ne vous y autorise.
Enfin, si vous diffusez cette oeuvre sur internet, quelqu'en soit le
format (wav ou mp3), vous procédez à une reproduction à usage public de
l'oeuvre, voir dans certains cas à une représentation de l'oeuvre. Dans
les deux cas, celà vous est interdit, faute de contrat..
Pour finir, l'utilisateur internet qui récupère votre fichier est bien
coupable du recel de contrefaçon, puisqu'il ne peut pas justifier
disposer de l'original de l'oeuvre, ce qui suppose que son fichier ne
provient pas d'une copie privée.
> Vous avez une manière bien particulière d'affirmer avoir raison, tout en
restant dans l'erreur, qui a du aggacer plus d'un professeur...
La copie cesse d'être privée lorsqu'elle est cédée à autrui, à titre
gratuit ou non, puisque le droit de reproduction n'a pas été transmis,
faute de contrat en ce sens.
De même, l'enregistrement sur un support différent n'est pas non-plus
autorisée, autrement qu'à usage privé (voir plus haut). Evidemment, si
vous transférez un CD audio sur votre disque dur, en format Wave, vous
restez dans le même format. Mais si vous le transformez en format MP3,
vous ne pouvez le faire qu'à titre strictement privé, puisqu'aucun
contrat ne vous y autorise.
Enfin, si vous diffusez cette oeuvre sur internet, quelqu'en soit le
format (wav ou mp3), vous procédez à une reproduction à usage public de
l'oeuvre, voir dans certains cas à une représentation de l'oeuvre. Dans
les deux cas, celà vous est interdit, faute de contrat..
Pour finir, l'utilisateur internet qui récupère votre fichier est bien
coupable du recel de contrefaçon, puisqu'il ne peut pas justifier
disposer de l'original de l'oeuvre, ce qui suppose que son fichier ne
provient pas d'une copie privée.
Vous avez une manière bien particulière d'affirmer avoir raison, tout en
restant dans l'erreur, qui a du aggacer plus d'un professeur...
Ca ne m'a pas empéché de réussir mes études de droit :)
Vous avez une manière bien particulière d'affirmer avoir raison, tout en
restant dans l'erreur, qui a du aggacer plus d'un professeur...
Ca ne m'a pas empéché de réussir mes études de droit :)
Vous avez une manière bien particulière d'affirmer avoir raison, tout en
restant dans l'erreur, qui a du aggacer plus d'un professeur...
Ca ne m'a pas empéché de réussir mes études de droit :)
Je suis désolé de vous contredire mais il y'a bel et bien deux
conditions pour qu'une copie bénéficie de l'exception de copie privée :
Je cite l'article L-122-5 du CPI :
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire ... Les
copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du
copiste et non destinées à une utilisation collective..."
Je suis désolé de vous contredire mais il y'a bel et bien deux
conditions pour qu'une copie bénéficie de l'exception de copie privée :
Je cite l'article L-122-5 du CPI :
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire ... Les
copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du
copiste et non destinées à une utilisation collective..."
Je suis désolé de vous contredire mais il y'a bel et bien deux
conditions pour qu'une copie bénéficie de l'exception de copie privée :
Je cite l'article L-122-5 du CPI :
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire ... Les
copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du
copiste et non destinées à une utilisation collective..."
Alors là, je vais être bas, petit, tout ce que veux, mais ...
ça fait peur sur le niveau des études de droit en France.
Alors là, je vais être bas, petit, tout ce que veux, mais ...
ça fait peur sur le niveau des études de droit en France.
Alors là, je vais être bas, petit, tout ce que veux, mais ...
ça fait peur sur le niveau des études de droit en France.