Il se trouve que je n'ai pas encore vendu mon D7000 (GR en a déjà un :-).
Je l'ai utilisé la semaine dernière pour des photos d'orchestre (que je
n'ai pas encore eu le temps de regarder), en plus du gx80.
J'ai vendu tout le reste (EOS 5D...) et je n'ai pas de problème d'argent
(pas de cet ordre de grandeur).
Je peux donc baisser le prix (actuellement 550€), mais j'ai réalisé que
c'est mon dernier "vrai" réflexe numérique.
Y a-t-il des usages pas trop exotiques ou l'usage d'un vrai réflexe à
miroir est vraiment préférable à un hybride à viseur numérique comme le
gx80, qui justifierai de conserver le d7000 "au cas où"?
On Sun, 23 Jun 2019 08:56:12 +0200, Jean-Pierre Roche a wrote :
Le 22/06/2019 à 10:38, Paul Aubrin a écrit :
Dans le cas d'une photo numérique, quel est l'intérêt du réflexe ? Le système réflexe n'apporte rien à un appareil numérique avec un bon viseur et des objectifs interchangeables.
Qu'on le veuille ou non, un viseur électronique constitue un filtre entre le sujet et l’œil du photographe. Et ce filtre, pour un utilisateur expérimenté, a, la plupart du temps, un effet négatif.
Le viseur électronique restitue l'image reçue par le capteur. S'il est bien fait, elle sera très proche de celle qui sera enregistrée quand on appuiera sur le déclencheur.
Par ailleurs, un reflex peut rester allumé des jours voire des semaines sans que la batterie perde de sa charge alors qu'un viseur électronique l'épuisera en quelques heures...
Si l'on oubliait de remettre sur off les appareils réflex, on retrouvait assez vite la batterie à plat (bon je ne parle pas de ceux qui n'avaient pas de cellule photo-électrique, ni de mise au point automatique).
On Sun, 23 Jun 2019 08:56:12 +0200, Jean-Pierre Roche a wrote :
Le 22/06/2019 à 10:38, Paul Aubrin a écrit :
Dans le cas d'une photo numérique, quel est l'intérêt du réflexe ? Le
système réflexe n'apporte rien à un appareil numérique avec un bon
viseur et des objectifs interchangeables.
Qu'on le veuille ou non, un viseur électronique constitue un filtre
entre le sujet et l’œil du photographe. Et ce filtre,
pour un utilisateur expérimenté, a, la plupart du temps, un effet
négatif.
Le viseur électronique restitue l'image reçue par le capteur. S'il est
bien fait, elle sera très proche de celle qui sera enregistrée quand on
appuiera sur le déclencheur.
Par ailleurs, un reflex peut rester allumé des jours voire des semaines
sans que la batterie perde de sa charge alors qu'un viseur électronique
l'épuisera en quelques heures...
Si l'on oubliait de remettre sur off les appareils réflex, on retrouvait
assez vite la batterie à plat (bon je ne parle pas de ceux qui n'avaient
pas de cellule photo-électrique, ni de mise au point automatique).
On Sun, 23 Jun 2019 08:56:12 +0200, Jean-Pierre Roche a wrote :
Le 22/06/2019 à 10:38, Paul Aubrin a écrit :
Dans le cas d'une photo numérique, quel est l'intérêt du réflexe ? Le système réflexe n'apporte rien à un appareil numérique avec un bon viseur et des objectifs interchangeables.
Qu'on le veuille ou non, un viseur électronique constitue un filtre entre le sujet et l’œil du photographe. Et ce filtre, pour un utilisateur expérimenté, a, la plupart du temps, un effet négatif.
Le viseur électronique restitue l'image reçue par le capteur. S'il est bien fait, elle sera très proche de celle qui sera enregistrée quand on appuiera sur le déclencheur.
Par ailleurs, un reflex peut rester allumé des jours voire des semaines sans que la batterie perde de sa charge alors qu'un viseur électronique l'épuisera en quelques heures...
Si l'on oubliait de remettre sur off les appareils réflex, on retrouvait assez vite la batterie à plat (bon je ne parle pas de ceux qui n'avaient pas de cellule photo-électrique, ni de mise au point automatique).
Jean-Pierre Roche
Le 23/06/2019 à 17:29, Paul Aubrin a écrit :
Le viseur électronique restitue l'image reçue par le capteur. S'il est bien fait, elle sera très proche de celle qui sera enregistrée quand on appuiera sur le déclencheur.
Hum... Demandez-vous comment un écran 8 bits par couleur peut restituer les 14 bits d'un capteur actuel... Vous ne faites que reproduire les écrits publicitaires sur la question, la réalité est toute autre.
Par ailleurs, un reflex peut rester allumé des jours voire des semaines sans que la batterie perde de sa charge alors qu'un viseur électronique l'épuisera en quelques heures...
Si l'on oubliait de remettre sur off les appareils réflex, on retrouvait assez vite la batterie à plat (bon je ne parle pas de ceux qui n'avaient pas de cellule photo-électrique, ni de mise au point automatique).
Si vous aviez fait l'expérience vous vous seriez rendu compte que c'est faux. Il m'est arrivé d'oublier un de mes boîtiers reflex numérique (Nikon) allumé dans un fourre-tout et de le retrouver avec une batterie sensiblement au même niveau de charge deux mois plus tard : il suffit d'essayer pour le constater... -- Jean-Pierre Roche enlever sanspub pour m'écrire...
Le 23/06/2019 à 17:29, Paul Aubrin a écrit :
Le viseur électronique restitue l'image reçue par le capteur. S'il est
bien fait, elle sera très proche de celle qui sera enregistrée quand on
appuiera sur le déclencheur.
Hum... Demandez-vous comment un écran 8 bits par couleur
peut restituer les 14 bits d'un capteur actuel... Vous ne
faites que reproduire les écrits publicitaires sur la
question, la réalité est toute autre.
Par ailleurs, un reflex peut rester allumé des jours voire des semaines
sans que la batterie perde de sa charge alors qu'un viseur électronique
l'épuisera en quelques heures...
Si l'on oubliait de remettre sur off les appareils réflex, on retrouvait
assez vite la batterie à plat (bon je ne parle pas de ceux qui n'avaient
pas de cellule photo-électrique, ni de mise au point automatique).
Si vous aviez fait l'expérience vous vous seriez rendu
compte que c'est faux. Il m'est arrivé d'oublier un de mes
boîtiers reflex numérique (Nikon) allumé dans un fourre-tout
et de le retrouver avec une batterie sensiblement au même
niveau de charge deux mois plus tard : il suffit d'essayer
pour le constater...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Le viseur électronique restitue l'image reçue par le capteur. S'il est bien fait, elle sera très proche de celle qui sera enregistrée quand on appuiera sur le déclencheur.
Hum... Demandez-vous comment un écran 8 bits par couleur peut restituer les 14 bits d'un capteur actuel... Vous ne faites que reproduire les écrits publicitaires sur la question, la réalité est toute autre.
Par ailleurs, un reflex peut rester allumé des jours voire des semaines sans que la batterie perde de sa charge alors qu'un viseur électronique l'épuisera en quelques heures...
Si l'on oubliait de remettre sur off les appareils réflex, on retrouvait assez vite la batterie à plat (bon je ne parle pas de ceux qui n'avaient pas de cellule photo-électrique, ni de mise au point automatique).
Si vous aviez fait l'expérience vous vous seriez rendu compte que c'est faux. Il m'est arrivé d'oublier un de mes boîtiers reflex numérique (Nikon) allumé dans un fourre-tout et de le retrouver avec une batterie sensiblement au même niveau de charge deux mois plus tard : il suffit d'essayer pour le constater... -- Jean-Pierre Roche enlever sanspub pour m'écrire...
efji
On 23/06/2019 17:47, Jean-Pierre Roche wrote:
Si vous aviez fait l'expérience vous vous seriez rendu compte que c'est faux. Il m'est arrivé d'oublier un de mes boîtiers reflex numérique (Nikon) allumé dans un fourre-tout et de le retrouver avec une batterie sensiblement au même niveau de charge deux mois plus tard : il suffit d'essayer pour le constater...
JPR et son petit bout de lorgnette habituel :) Moi j'avais (j'ai toujours) un Nikon FM. La pub de l'époque vantait l'appareil baroudeur, tout mécanique, qui fonctionnait parfaitement sans pile contrairement à la concurrence ou commençait à loucher du côté de l'électronique. Baroudeur ça m'allait bien, j'étais coeur de cible ! Cette merveille était toute mécanique en effet mais faisait une légère concession à la modernité en incorporant un posemètre dit "semi auto" matérialisé par 3 minuscules diodes rouges dans le viseur et que l'on allumait en ouvrant légèrement le levier d'armement. Evidemment ce satané levier avait la fâcheuse habitude de s'ouvrir tout seul dans le Domke du baroudeur, et hop, plus de cellule. Un peu plus tard j'ai eu le Leica M6 qui faisait un peu le même cirque (tout mécanique + posemètre rouge) que l'on l'activait en touchant le déclencheur, donc encore plus facilement. Mais les ingénieurs de Leica étant plus futés que ceux de Nikon, la diode sous-ex ne s'allumait pas en cas de trop forte sous-ex, donc dans le fourre-tout :) Bref ces histoires de batterie c'est du prétexte à la JPR :) -- F.J.
On 23/06/2019 17:47, Jean-Pierre Roche wrote:
Si vous aviez fait l'expérience vous vous seriez rendu compte que c'est
faux. Il m'est arrivé d'oublier un de mes boîtiers reflex numérique
(Nikon) allumé dans un fourre-tout et de le retrouver avec une batterie
sensiblement au même niveau de charge deux mois plus tard : il suffit
d'essayer pour le constater...
JPR et son petit bout de lorgnette habituel :)
Moi j'avais (j'ai toujours) un Nikon FM. La pub de l'époque vantait
l'appareil baroudeur, tout mécanique, qui fonctionnait parfaitement sans
pile contrairement à la concurrence ou commençait à loucher du côté de
l'électronique. Baroudeur ça m'allait bien, j'étais coeur de cible !
Cette merveille était toute mécanique en effet mais faisait une légère
concession à la modernité en incorporant un posemètre dit "semi auto"
matérialisé par 3 minuscules diodes rouges dans le viseur et que l'on
allumait en ouvrant légèrement le levier d'armement. Evidemment ce
satané levier avait la fâcheuse habitude de s'ouvrir tout seul dans le
Domke du baroudeur, et hop, plus de cellule.
Un peu plus tard j'ai eu le Leica M6 qui faisait un peu le même cirque
(tout mécanique + posemètre rouge) que l'on l'activait en touchant le
déclencheur, donc encore plus facilement. Mais les ingénieurs de Leica
étant plus futés que ceux de Nikon, la diode sous-ex ne s'allumait pas
en cas de trop forte sous-ex, donc dans le fourre-tout :)
Bref ces histoires de batterie c'est du prétexte à la JPR :)
Si vous aviez fait l'expérience vous vous seriez rendu compte que c'est faux. Il m'est arrivé d'oublier un de mes boîtiers reflex numérique (Nikon) allumé dans un fourre-tout et de le retrouver avec une batterie sensiblement au même niveau de charge deux mois plus tard : il suffit d'essayer pour le constater...
JPR et son petit bout de lorgnette habituel :) Moi j'avais (j'ai toujours) un Nikon FM. La pub de l'époque vantait l'appareil baroudeur, tout mécanique, qui fonctionnait parfaitement sans pile contrairement à la concurrence ou commençait à loucher du côté de l'électronique. Baroudeur ça m'allait bien, j'étais coeur de cible ! Cette merveille était toute mécanique en effet mais faisait une légère concession à la modernité en incorporant un posemètre dit "semi auto" matérialisé par 3 minuscules diodes rouges dans le viseur et que l'on allumait en ouvrant légèrement le levier d'armement. Evidemment ce satané levier avait la fâcheuse habitude de s'ouvrir tout seul dans le Domke du baroudeur, et hop, plus de cellule. Un peu plus tard j'ai eu le Leica M6 qui faisait un peu le même cirque (tout mécanique + posemètre rouge) que l'on l'activait en touchant le déclencheur, donc encore plus facilement. Mais les ingénieurs de Leica étant plus futés que ceux de Nikon, la diode sous-ex ne s'allumait pas en cas de trop forte sous-ex, donc dans le fourre-tout :) Bref ces histoires de batterie c'est du prétexte à la JPR :) -- F.J.
Alf92
Paul Aubrin :
Petit APN: https://framapic.org/K0xQ2GP3qynb/Pzivn0VTOP9g.jpg (fin d'après-midi) Téléphone: https://framapic.org/fqOsimpNTzex/Ii5b4ZruaSO7.jpg
t'as un souci avec la saturation...
Paul Aubrin :
Petit APN:
https://framapic.org/K0xQ2GP3qynb/Pzivn0VTOP9g.jpg
(fin d'après-midi)
Petit APN: https://framapic.org/K0xQ2GP3qynb/Pzivn0VTOP9g.jpg (fin d'après-midi) Téléphone: https://framapic.org/fqOsimpNTzex/Ii5b4ZruaSO7.jpg
t'as un souci avec la saturation...
Stephane Legras-Decussy
On 06/23/2019 05:47 PM, Jean-Pierre Roche wrote:
Hum... Demandez-vous comment un écran 8 bits par couleur peut restituer les 14 bits d'un capteur actuel... Vous ne faites que reproduire les écrits publicitaires sur la question, la réalité est toute autre.
je comprends toujours pas quel est l'interet que ce soit beau dans le viseur ? ça afficherait comme une photo dans la journal, ça irait très bien pour voir ce qu'on cadre. même principe en astronomie, le chercheur pour cadrer ce qu'on veut observer est assez merdique, ça n'a aucun importance.
On 06/23/2019 05:47 PM, Jean-Pierre Roche wrote:
Hum... Demandez-vous comment un écran 8 bits par couleur peut restituer
les 14 bits d'un capteur actuel... Vous ne faites que reproduire les
écrits publicitaires sur la question, la réalité est toute autre.
je comprends toujours pas quel est l'interet que ce soit beau dans le
viseur ?
ça afficherait comme une photo dans la journal, ça irait très bien pour
voir ce qu'on cadre.
même principe en astronomie, le chercheur pour cadrer ce qu'on veut
observer est assez merdique, ça n'a aucun importance.
Hum... Demandez-vous comment un écran 8 bits par couleur peut restituer les 14 bits d'un capteur actuel... Vous ne faites que reproduire les écrits publicitaires sur la question, la réalité est toute autre.
je comprends toujours pas quel est l'interet que ce soit beau dans le viseur ? ça afficherait comme une photo dans la journal, ça irait très bien pour voir ce qu'on cadre. même principe en astronomie, le chercheur pour cadrer ce qu'on veut observer est assez merdique, ça n'a aucun importance.
Alf92
Stephane Legras-Decussy :
On 06/23/2019 05:47 PM, Jean-Pierre Roche wrote:
Hum... Demandez-vous comment un écran 8 bits par couleur peut restituer les 14 bits d'un capteur actuel... Vous ne faites que reproduire les écrits publicitaires sur la question, la réalité est toute autre.
je comprends toujours pas quel est l'interet que ce soit beau dans le viseur ? ça afficherait comme une photo dans la journal, ça irait très bien pour voir ce qu'on cadre. même principe en astronomie, le chercheur pour cadrer ce qu'on veut observer est assez merdique, ça n'a aucun importance.
+1 à l'époque les viseurs de réflex ne montraient souvent que 85 ou 90% de l'image réelle. c'est toujours le cas sur les réflex actuels ? si oui c'est un argument de plus pour le viseur électronique.
Stephane Legras-Decussy :
On 06/23/2019 05:47 PM, Jean-Pierre Roche wrote:
Hum... Demandez-vous comment un écran 8 bits par couleur peut restituer
les 14 bits d'un capteur actuel... Vous ne faites que reproduire les
écrits publicitaires sur la question, la réalité est toute autre.
je comprends toujours pas quel est l'interet que ce soit beau dans le
viseur ?
ça afficherait comme une photo dans la journal, ça irait très bien pour
voir ce qu'on cadre.
même principe en astronomie, le chercheur pour cadrer ce qu'on veut
observer est assez merdique, ça n'a aucun importance.
+1
à l'époque les viseurs de réflex ne montraient souvent que 85 ou 90% de
l'image réelle. c'est toujours le cas sur les réflex actuels ?
si oui c'est un argument de plus pour le viseur électronique.
Hum... Demandez-vous comment un écran 8 bits par couleur peut restituer les 14 bits d'un capteur actuel... Vous ne faites que reproduire les écrits publicitaires sur la question, la réalité est toute autre.
je comprends toujours pas quel est l'interet que ce soit beau dans le viseur ? ça afficherait comme une photo dans la journal, ça irait très bien pour voir ce qu'on cadre. même principe en astronomie, le chercheur pour cadrer ce qu'on veut observer est assez merdique, ça n'a aucun importance.
+1 à l'époque les viseurs de réflex ne montraient souvent que 85 ou 90% de l'image réelle. c'est toujours le cas sur les réflex actuels ? si oui c'est un argument de plus pour le viseur électronique.
Jean-Pierre Roche
Le 23/06/2019 à 22:11, Alf92 a écrit :
Hum... Demandez-vous comment un écran 8 bits par couleur peut restituer les 14 bits d'un capteur actuel... Vous ne faites que reproduire les écrits publicitaires sur la question, la réalité est toute autre.
je comprends toujours pas quel est l'interet que ce soit beau dans le viseur ? ça afficherait comme une photo dans la journal, ça irait très bien pour voir ce qu'on cadre. même principe en astronomie, le chercheur pour cadrer ce qu'on veut observer est assez merdique, ça n'a aucun importance.
+1 à l'époque les viseurs de réflex ne montraient souvent que 85 ou 90% de l'image réelle. c'est toujours le cas sur les réflex actuels ? si oui c'est un argument de plus pour le viseur électronique.
Les viseurs 100 % existent depuis fort longtemps... Pas besoin d'électronique pour ça ! Plus généralement, amha, il faut surtout que le viseur électronique éventuel n'embellisse pas l'image, trompant ainsi l'utilisateur sur le résultat qu'il va obtenir. Selon moi, la prise de vue c'est de la captation/numérisation et c'est ensuite que le photographe crée l'image qu'il souhaite avec les logiciels adéquats. Mais croire qu'un viseur peut donner une sorte de prévisualisation du résultat final est une grosse erreur. Sauf si on souhaite faire du jpeg basique. -- Jean-Pierre Roche enlever sanspub pour m'écrire...
Le 23/06/2019 à 22:11, Alf92 a écrit :
Hum... Demandez-vous comment un écran 8 bits par couleur peut restituer
les 14 bits d'un capteur actuel... Vous ne faites que reproduire les
écrits publicitaires sur la question, la réalité est toute autre.
je comprends toujours pas quel est l'interet que ce soit beau dans le
viseur ?
ça afficherait comme une photo dans la journal, ça irait très bien pour
voir ce qu'on cadre.
même principe en astronomie, le chercheur pour cadrer ce qu'on veut
observer est assez merdique, ça n'a aucun importance.
+1
à l'époque les viseurs de réflex ne montraient souvent que 85 ou 90% de
l'image réelle. c'est toujours le cas sur les réflex actuels ?
si oui c'est un argument de plus pour le viseur électronique.
Les viseurs 100 % existent depuis fort longtemps... Pas
besoin d'électronique pour ça !
Plus généralement, amha, il faut surtout que le viseur
électronique éventuel n'embellisse pas l'image, trompant
ainsi l'utilisateur sur le résultat qu'il va obtenir.
Selon moi, la prise de vue c'est de la
captation/numérisation et c'est ensuite que le photographe
crée l'image qu'il souhaite avec les logiciels adéquats.
Mais croire qu'un viseur peut donner une sorte de
prévisualisation du résultat final est une grosse erreur.
Sauf si on souhaite faire du jpeg basique.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Hum... Demandez-vous comment un écran 8 bits par couleur peut restituer les 14 bits d'un capteur actuel... Vous ne faites que reproduire les écrits publicitaires sur la question, la réalité est toute autre.
je comprends toujours pas quel est l'interet que ce soit beau dans le viseur ? ça afficherait comme une photo dans la journal, ça irait très bien pour voir ce qu'on cadre. même principe en astronomie, le chercheur pour cadrer ce qu'on veut observer est assez merdique, ça n'a aucun importance.
+1 à l'époque les viseurs de réflex ne montraient souvent que 85 ou 90% de l'image réelle. c'est toujours le cas sur les réflex actuels ? si oui c'est un argument de plus pour le viseur électronique.
Les viseurs 100 % existent depuis fort longtemps... Pas besoin d'électronique pour ça ! Plus généralement, amha, il faut surtout que le viseur électronique éventuel n'embellisse pas l'image, trompant ainsi l'utilisateur sur le résultat qu'il va obtenir. Selon moi, la prise de vue c'est de la captation/numérisation et c'est ensuite que le photographe crée l'image qu'il souhaite avec les logiciels adéquats. Mais croire qu'un viseur peut donner une sorte de prévisualisation du résultat final est une grosse erreur. Sauf si on souhaite faire du jpeg basique. -- Jean-Pierre Roche enlever sanspub pour m'écrire...
Paul Aubrin
On Mon, 24 Jun 2019 08:38:10 +0200, Jean-Pierre Roche a wrote :
d'électronique pour ça ! Plus généralement, amha, il faut surtout que le viseur électronique éventuel n'embellisse pas l'image, trompant ainsi l'utilisateur sur le résultat qu'il va obtenir.
Voilà. Ce que l'on attend d'un viseur est qu'il vous donne l'idée la plus précise possible de ce qui sera enregistré quand on appuiera sur le déclencheur. L'interprétation à donner peut-être différente entre les viseurs optiques des réflexes (où il fallait une certaine habitude pour deviner le résultat qu'on aurait au développement) et les viseurs numériques.
On Mon, 24 Jun 2019 08:38:10 +0200, Jean-Pierre Roche a wrote :
d'électronique pour ça !
Plus généralement, amha, il faut surtout que le viseur électronique
éventuel n'embellisse pas l'image, trompant ainsi l'utilisateur sur le
résultat qu'il va obtenir.
Voilà. Ce que l'on attend d'un viseur est qu'il vous donne l'idée la plus
précise possible de ce qui sera enregistré quand on appuiera sur le
déclencheur. L'interprétation à donner peut-être différente entre les
viseurs optiques des réflexes (où il fallait une certaine habitude pour
deviner le résultat qu'on aurait au développement) et les viseurs
numériques.
On Mon, 24 Jun 2019 08:38:10 +0200, Jean-Pierre Roche a wrote :
d'électronique pour ça ! Plus généralement, amha, il faut surtout que le viseur électronique éventuel n'embellisse pas l'image, trompant ainsi l'utilisateur sur le résultat qu'il va obtenir.
Voilà. Ce que l'on attend d'un viseur est qu'il vous donne l'idée la plus précise possible de ce qui sera enregistré quand on appuiera sur le déclencheur. L'interprétation à donner peut-être différente entre les viseurs optiques des réflexes (où il fallait une certaine habitude pour deviner le résultat qu'on aurait au développement) et les viseurs numériques.
Jean-Pierre Roche
Le 24/06/2019 à 08:44, Paul Aubrin a écrit :
Plus généralement, amha, il faut surtout que le viseur électronique éventuel n'embellisse pas l'image, trompant ainsi l'utilisateur sur le résultat qu'il va obtenir.
Voilà. Ce que l'on attend d'un viseur est qu'il vous donne l'idée la plus précise possible de ce qui sera enregistré quand on appuiera sur le déclencheur. L'interprétation à donner peut-être différente entre les viseurs optiques des réflexes (où il fallait une certaine habitude pour deviner le résultat qu'on aurait au développement) et les viseurs numériques.
Dans la pratique de la photo numérique, les règles de base n'ont pas changé depuis ses débuts : exposer pour éviter absolument toute surexposition des zones utiles de l'image. Un règle déjà valable pour tous ceux qui pratiquaient la prise de vue sur film inversible (diapositive) en argentique... Ce qui a changé, c'est le coût nul de la prise de vue (on peut multiplier les essais s'il s'agit d'un sujet statique) et la dynamique impressionnante des capteurs actuels et la gamme de sensibilités à la dispostion de l'utilisateur par simple manipulation d'une molette. Et naturellement les capacités des logiciels de traitement sans comparaison avec un labo argentique. Dont, selon moi, le viseur doit permettre de *voir* ce qu'on photographie mais pas interprêter l'image. -- Jean-Pierre Roche enlever sanspub pour m'écrire...
Le 24/06/2019 à 08:44, Paul Aubrin a écrit :
Plus généralement, amha, il faut surtout que le viseur électronique
éventuel n'embellisse pas l'image, trompant ainsi l'utilisateur sur le
résultat qu'il va obtenir.
Voilà. Ce que l'on attend d'un viseur est qu'il vous donne l'idée la plus
précise possible de ce qui sera enregistré quand on appuiera sur le
déclencheur. L'interprétation à donner peut-être différente entre les
viseurs optiques des réflexes (où il fallait une certaine habitude pour
deviner le résultat qu'on aurait au développement) et les viseurs
numériques.
Dans la pratique de la photo numérique, les règles de base
n'ont pas changé depuis ses débuts : exposer pour éviter
absolument toute surexposition des zones utiles de l'image.
Un règle déjà valable pour tous ceux qui pratiquaient la
prise de vue sur film inversible (diapositive) en
argentique... Ce qui a changé, c'est le coût nul de la prise
de vue (on peut multiplier les essais s'il s'agit d'un sujet
statique) et la dynamique impressionnante des capteurs
actuels et la gamme de sensibilités à la dispostion de
l'utilisateur par simple manipulation d'une molette. Et
naturellement les capacités des logiciels de traitement sans
comparaison avec un labo argentique. Dont, selon moi, le
viseur doit permettre de *voir* ce qu'on photographie mais
pas interprêter l'image.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Plus généralement, amha, il faut surtout que le viseur électronique éventuel n'embellisse pas l'image, trompant ainsi l'utilisateur sur le résultat qu'il va obtenir.
Voilà. Ce que l'on attend d'un viseur est qu'il vous donne l'idée la plus précise possible de ce qui sera enregistré quand on appuiera sur le déclencheur. L'interprétation à donner peut-être différente entre les viseurs optiques des réflexes (où il fallait une certaine habitude pour deviner le résultat qu'on aurait au développement) et les viseurs numériques.
Dans la pratique de la photo numérique, les règles de base n'ont pas changé depuis ses débuts : exposer pour éviter absolument toute surexposition des zones utiles de l'image. Un règle déjà valable pour tous ceux qui pratiquaient la prise de vue sur film inversible (diapositive) en argentique... Ce qui a changé, c'est le coût nul de la prise de vue (on peut multiplier les essais s'il s'agit d'un sujet statique) et la dynamique impressionnante des capteurs actuels et la gamme de sensibilités à la dispostion de l'utilisateur par simple manipulation d'une molette. Et naturellement les capacités des logiciels de traitement sans comparaison avec un labo argentique. Dont, selon moi, le viseur doit permettre de *voir* ce qu'on photographie mais pas interprêter l'image. -- Jean-Pierre Roche enlever sanspub pour m'écrire...
benoit
Jean-Pierre Roche wrote:
Le 24/06/2019 à 08:44, Paul Aubrin a écrit :
Plus généralement, amha, il faut surtout que le viseur électronique éventuel n'embellisse pas l'image, trompant ainsi l'utilisateur sur le résultat qu'il va obtenir.
Voilà. Ce que l'on attend d'un viseur est qu'il vous donne l'idée la plus précise possible de ce qui sera enregistré quand on appuiera sur le déclencheur. L'interprétation à donner peut-être différente entre les viseurs optiques des réflexes (où il fallait une certaine habitude pour deviner le résultat qu'on aurait au développement) et les viseurs numériques.
Dans la pratique de la photo numérique, les règles de base n'ont pas changé depuis ses débuts : exposer pour éviter absolument toute surexposition des zones utiles de l'image. Un règle déjà valable pour tous ceux qui pratiquaient la prise de vue sur film inversible (diapositive) en argentique... Ce qui a changé, c'est le coût nul de la prise de vue (on peut multiplier les essais s'il s'agit d'un sujet statique) et la dynamique impressionnante des capteurs actuels et la gamme de sensibilités à la dispostion de l'utilisateur par simple manipulation d'une molette. Et naturellement les capacités des logiciels de traitement sans comparaison avec un labo argentique. Dont, selon moi, le viseur doit permettre de *voir* ce qu'on photographie mais pas interprêter l'image.
Absolument d'accord. Les autres avantages du viseur numérique sont la possibilité de mettre en évidence les zones cramées, de zoomer sur le sujet pour la mise au point et de cadrer la nuit. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
>> Plus généralement, amha, il faut surtout que le viseur électronique
>> éventuel n'embellisse pas l'image, trompant ainsi l'utilisateur sur le
>> résultat qu'il va obtenir.
>
> Voilà. Ce que l'on attend d'un viseur est qu'il vous donne l'idée la plus
> précise possible de ce qui sera enregistré quand on appuiera sur le
> déclencheur. L'interprétation à donner peut-être différente entre les
> viseurs optiques des réflexes (où il fallait une certaine habitude pour
> deviner le résultat qu'on aurait au développement) et les viseurs
> numériques.
>
Dans la pratique de la photo numérique, les règles de base
n'ont pas changé depuis ses débuts : exposer pour éviter
absolument toute surexposition des zones utiles de l'image.
Un règle déjà valable pour tous ceux qui pratiquaient la
prise de vue sur film inversible (diapositive) en
argentique... Ce qui a changé, c'est le coût nul de la prise
de vue (on peut multiplier les essais s'il s'agit d'un sujet
statique) et la dynamique impressionnante des capteurs
actuels et la gamme de sensibilités à la dispostion de
l'utilisateur par simple manipulation d'une molette. Et
naturellement les capacités des logiciels de traitement sans
comparaison avec un labo argentique. Dont, selon moi, le
viseur doit permettre de *voir* ce qu'on photographie mais
pas interprêter l'image.
Absolument d'accord. Les autres avantages du viseur numérique sont la
possibilité de mettre en évidence les zones cramées, de zoomer sur le
sujet pour la mise au point et de cadrer la nuit.
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Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Plus généralement, amha, il faut surtout que le viseur électronique éventuel n'embellisse pas l'image, trompant ainsi l'utilisateur sur le résultat qu'il va obtenir.
Voilà. Ce que l'on attend d'un viseur est qu'il vous donne l'idée la plus précise possible de ce qui sera enregistré quand on appuiera sur le déclencheur. L'interprétation à donner peut-être différente entre les viseurs optiques des réflexes (où il fallait une certaine habitude pour deviner le résultat qu'on aurait au développement) et les viseurs numériques.
Dans la pratique de la photo numérique, les règles de base n'ont pas changé depuis ses débuts : exposer pour éviter absolument toute surexposition des zones utiles de l'image. Un règle déjà valable pour tous ceux qui pratiquaient la prise de vue sur film inversible (diapositive) en argentique... Ce qui a changé, c'est le coût nul de la prise de vue (on peut multiplier les essais s'il s'agit d'un sujet statique) et la dynamique impressionnante des capteurs actuels et la gamme de sensibilités à la dispostion de l'utilisateur par simple manipulation d'une molette. Et naturellement les capacités des logiciels de traitement sans comparaison avec un labo argentique. Dont, selon moi, le viseur doit permettre de *voir* ce qu'on photographie mais pas interprêter l'image.
Absolument d'accord. Les autres avantages du viseur numérique sont la possibilité de mettre en évidence les zones cramées, de zoomer sur le sujet pour la mise au point et de cadrer la nuit. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com