Prend l'exemple de ta maison : si j'en fais le tour "pour voir si une porte est ouverte", je vais forcément passer sur une propriété privée, la tienne ou celle de tes voisins :-)
Ben non
En fait, la mienne, si. De même que celle de Dominique. Mais ce n'est pas le cas de toutes les maisons.
Oui, de la même manière certains serveurs sont directement sur Internet et d'autres sur un LAN privé. Dans tous les cas on ne "regarde" que ce qui est directement sur Internet (ie: sur la voie publique)
Bonne comparaison (la voie publique)
Merci ;-)
Le 05/09/2012, Roland Garcia a supposé :
Le 05/09/2012 09:40, Alain Montfranc a écrit :
Patrick V a exprimé avec précision :
Le 05/09/2012 07:04, Alain Montfranc a écrit :
Prend l'exemple de ta maison : si j'en fais le tour "pour voir si une
porte est ouverte", je vais forcément passer sur une propriété privée,
la tienne ou celle de tes voisins :-)
Ben non
En fait, la mienne, si. De même que celle de Dominique. Mais ce n'est
pas le cas de toutes les maisons.
Oui, de la même manière certains serveurs sont directement sur Internet
et d'autres sur un LAN privé. Dans tous les cas on ne "regarde" que ce
qui est directement sur Internet (ie: sur la voie publique)
Prend l'exemple de ta maison : si j'en fais le tour "pour voir si une porte est ouverte", je vais forcément passer sur une propriété privée, la tienne ou celle de tes voisins :-)
Ben non
En fait, la mienne, si. De même que celle de Dominique. Mais ce n'est pas le cas de toutes les maisons.
Oui, de la même manière certains serveurs sont directement sur Internet et d'autres sur un LAN privé. Dans tous les cas on ne "regarde" que ce qui est directement sur Internet (ie: sur la voie publique)
Bonne comparaison (la voie publique)
Merci ;-)
Stéphane Catteau
moisse devait dire quelque chose comme ceci :
Je me suis contenté de démontrer, par un exemple, que l'on ne pouvait présumer l'intention du seul constat de l'action.
Oui le lascar qui baisse le pentalon de la joggeuse n'est coupable de rien à ce stade.
Ce qui n'a rien à voir, de près ou de loin, même en tant que métaphore, avec le scan de ports. Mais je peux la refaire si tu le veux : L'on ne peut pas toujours présumer de l'intention, du seul constat de l'action, et justement le (double) cas particulier traité ici (scan de ports, tour de la maison), est l'un des cas où on ne le peut pas.
Cela dit, si le pantalon est en feu, je me permettrais de présumer que c'est pour lui sauver la vie qu'il l'a baissé.
[...] Tout au plus déposerais-je une main courante auprès du commissariat (ou de la gendarmerie) dont je dépendrais si j'avais une maison, pour pouvoir attester de la préméditation, si d'aventure je venais à être cambriolé par la suite.
La préméditation n'aggrave pas le délit.
Non seulement je n'ai pas dit cela, mais en plus ton affirmation est inexacte et provient d'une mauvaise interprétation des intentions des deux importuns que j'ai surpris entrain de faire le tour de ma maison. Ils n'ont jamais eu l'intention de me voler, je ne possède pas grand chose, c'est après la vie d'un ami que j'héberge pour quelques jours qu'ils en avaient. Or, que je sache, le meurtre est agravé par la préméditation. Bref, présumer des intentions est certes possible dans tous les cas, mais ce n'est pas pour autant que l'on a raison et la justice le sait. Ainsi, ton quidam qui aura baissé le pantalon d'une joggeuse, dans l'intention de la violer, ne sera-t-il condamné que pour agression (voire seulement tentative ?). Tout simplement parce qu'à ce stade le viol n'a pas été commis et que l'intention n'est pas démontrable sans ses aveux ; ces derniers pouvant néanmoins avoir précédé l'acte, le quidam pouvant parfaitement avoir énoncé ses intentions pendant qu'il baissait le pantalon. Cela ne veut pas dire que l'intention n'est jamais démontrable et/ou qu'elle n'a aucune valeur en matière de droit, juste que l'impression personnelle n'est pas suffisante en elle-même pour démontrer cette intention. L'on ne peut donc pas considérer le scan de port comme un délit à part entière, juste comme la préméditation de celui-ci, si d'aventure il est ensuite commis.
-- 17/06/1969 - 18/01/2011
Repose en paix mon amour :'(
moisse devait dire quelque chose comme ceci :
Je me suis contenté de
démontrer, par un exemple, que l'on ne pouvait présumer l'intention du
seul constat de l'action.
Oui le lascar qui baisse le pentalon de la joggeuse n'est coupable de
rien à ce stade.
Ce qui n'a rien à voir, de près ou de loin, même en tant que
métaphore, avec le scan de ports. Mais je peux la refaire si tu le veux
:
L'on ne peut pas toujours présumer de l'intention, du seul constat de
l'action, et justement le (double) cas particulier traité ici (scan de
ports, tour de la maison), est l'un des cas où on ne le peut pas.
Cela dit, si le pantalon est en feu, je me permettrais de présumer que
c'est pour lui sauver la vie qu'il l'a baissé.
[...] Tout au plus déposerais-je une main courante auprès du
commissariat (ou de la gendarmerie) dont je dépendrais si j'avais une
maison, pour pouvoir attester de la préméditation, si d'aventure je
venais à être cambriolé par la suite.
La préméditation n'aggrave pas le délit.
Non seulement je n'ai pas dit cela, mais en plus ton affirmation est
inexacte et provient d'une mauvaise interprétation des intentions des
deux importuns que j'ai surpris entrain de faire le tour de ma maison.
Ils n'ont jamais eu l'intention de me voler, je ne possède pas grand
chose, c'est après la vie d'un ami que j'héberge pour quelques jours
qu'ils en avaient. Or, que je sache, le meurtre est agravé par la
préméditation.
Bref, présumer des intentions est certes possible dans tous les cas,
mais ce n'est pas pour autant que l'on a raison et la justice le sait.
Ainsi, ton quidam qui aura baissé le pantalon d'une joggeuse, dans
l'intention de la violer, ne sera-t-il condamné que pour agression
(voire seulement tentative ?). Tout simplement parce qu'à ce stade le
viol n'a pas été commis et que l'intention n'est pas démontrable sans
ses aveux ; ces derniers pouvant néanmoins avoir précédé l'acte, le
quidam pouvant parfaitement avoir énoncé ses intentions pendant qu'il
baissait le pantalon.
Cela ne veut pas dire que l'intention n'est jamais démontrable et/ou
qu'elle n'a aucune valeur en matière de droit, juste que l'impression
personnelle n'est pas suffisante en elle-même pour démontrer cette
intention.
L'on ne peut donc pas considérer le scan de port comme un délit à part
entière, juste comme la préméditation de celui-ci, si d'aventure il est
ensuite commis.
Je me suis contenté de démontrer, par un exemple, que l'on ne pouvait présumer l'intention du seul constat de l'action.
Oui le lascar qui baisse le pentalon de la joggeuse n'est coupable de rien à ce stade.
Ce qui n'a rien à voir, de près ou de loin, même en tant que métaphore, avec le scan de ports. Mais je peux la refaire si tu le veux : L'on ne peut pas toujours présumer de l'intention, du seul constat de l'action, et justement le (double) cas particulier traité ici (scan de ports, tour de la maison), est l'un des cas où on ne le peut pas.
Cela dit, si le pantalon est en feu, je me permettrais de présumer que c'est pour lui sauver la vie qu'il l'a baissé.
[...] Tout au plus déposerais-je une main courante auprès du commissariat (ou de la gendarmerie) dont je dépendrais si j'avais une maison, pour pouvoir attester de la préméditation, si d'aventure je venais à être cambriolé par la suite.
La préméditation n'aggrave pas le délit.
Non seulement je n'ai pas dit cela, mais en plus ton affirmation est inexacte et provient d'une mauvaise interprétation des intentions des deux importuns que j'ai surpris entrain de faire le tour de ma maison. Ils n'ont jamais eu l'intention de me voler, je ne possède pas grand chose, c'est après la vie d'un ami que j'héberge pour quelques jours qu'ils en avaient. Or, que je sache, le meurtre est agravé par la préméditation. Bref, présumer des intentions est certes possible dans tous les cas, mais ce n'est pas pour autant que l'on a raison et la justice le sait. Ainsi, ton quidam qui aura baissé le pantalon d'une joggeuse, dans l'intention de la violer, ne sera-t-il condamné que pour agression (voire seulement tentative ?). Tout simplement parce qu'à ce stade le viol n'a pas été commis et que l'intention n'est pas démontrable sans ses aveux ; ces derniers pouvant néanmoins avoir précédé l'acte, le quidam pouvant parfaitement avoir énoncé ses intentions pendant qu'il baissait le pantalon. Cela ne veut pas dire que l'intention n'est jamais démontrable et/ou qu'elle n'a aucune valeur en matière de droit, juste que l'impression personnelle n'est pas suffisante en elle-même pour démontrer cette intention. L'on ne peut donc pas considérer le scan de port comme un délit à part entière, juste comme la préméditation de celui-ci, si d'aventure il est ensuite commis.
-- 17/06/1969 - 18/01/2011
Repose en paix mon amour :'(
Stéphane Catteau
Alain Montfranc devait dire quelque chose comme ceci :
Bon, pour revenir au sujet de ce fil, quelqu'un peut m'expliquer pourquoi on fait un scan de port si ce n'est pas dans l'idée de se livrer à une intrusion dans un système informatique, à ce moment là ou plus tard?
Ben oui, dans tous les cas c'est suspect.
Ben non. Tout admin reseau en fait régulièrement pour des motifs plus que legitime
Parfois il ne sait même pas qu'il le fait, l'IDS le faisant pour lui et ne l'avertissant qu'en cas de résultat positif. Toi-même, dans le cas que tu as évoqué, tu pourrais parfaitement automatiser la tache pour un certain nombre de cas, et n'être averti que lorsque ton système a trouvé un nouveau proxy et bloqué son adresse IP ou demander confirmation pour le blocage.
-- 17/06/1969 - 18/01/2011
Repose en paix mon amour :'(
Alain Montfranc devait dire quelque chose comme ceci :
Bon, pour revenir au sujet de ce fil, quelqu'un peut m'expliquer
pourquoi on fait un scan de port si ce n'est pas dans l'idée de se
livrer à une intrusion dans un système informatique, à ce moment là ou
plus tard?
Ben oui, dans tous les cas c'est suspect.
Ben non. Tout admin reseau en fait régulièrement pour des motifs plus
que legitime
Parfois il ne sait même pas qu'il le fait, l'IDS le faisant pour lui
et ne l'avertissant qu'en cas de résultat positif. Toi-même, dans le
cas que tu as évoqué, tu pourrais parfaitement automatiser la tache
pour un certain nombre de cas, et n'être averti que lorsque ton système
a trouvé un nouveau proxy et bloqué son adresse IP ou demander
confirmation pour le blocage.
Alain Montfranc devait dire quelque chose comme ceci :
Bon, pour revenir au sujet de ce fil, quelqu'un peut m'expliquer pourquoi on fait un scan de port si ce n'est pas dans l'idée de se livrer à une intrusion dans un système informatique, à ce moment là ou plus tard?
Ben oui, dans tous les cas c'est suspect.
Ben non. Tout admin reseau en fait régulièrement pour des motifs plus que legitime
Parfois il ne sait même pas qu'il le fait, l'IDS le faisant pour lui et ne l'avertissant qu'en cas de résultat positif. Toi-même, dans le cas que tu as évoqué, tu pourrais parfaitement automatiser la tache pour un certain nombre de cas, et n'être averti que lorsque ton système a trouvé un nouveau proxy et bloqué son adresse IP ou demander confirmation pour le blocage.
-- 17/06/1969 - 18/01/2011
Repose en paix mon amour :'(
moisse
Stéphane Catteau avait soumis l'idée :
moisse devait dire quelque chose comme ceci :
Je me suis contenté de démontrer, par un exemple, que l'on ne pouvait présumer l'intention du seul constat de l'action.
Oui le lascar qui baisse le pentalon de la joggeuse n'est coupable de rien à ce stade.
Ce qui n'a rien à voir, de près ou de loin, même en tant que métaphore, avec le scan de ports. Mais je peux la refaire si tu le veux
L'on ne peut pas toujours présumer de l'intention, du seul constat de l'action, et justement le (double) cas particulier traité ici (scan de ports, tour de la maison), est l'un des cas où on ne le peut pas.
Cela dit, si le pantalon est en feu, je me permettrais de présumer que c'est pour lui sauver la vie qu'il l'a baissé.
[...] Tout au plus déposerais-je une main courante auprès du commissariat (ou de la gendarmerie) dont je dépendrais si j'avais une maison, pour pouvoir attester de la préméditation, si d'aventure je venais à être cambriolé par la suite.
La préméditation n'aggrave pas le délit.
Non seulement je n'ai pas dit cela, mais en plus ton affirmation est inexacte et provient d'une mauvaise interprétation des intentions des deux importuns que j'ai surpris entrain de faire le tour de ma maison. Ils n'ont jamais eu l'intention de me voler, je ne possède pas grand chose, c'est après la vie d'un ami que j'héberge pour quelques jours qu'ils en avaient. Or, que je sache, le meurtre est agravé par la préméditation.
C'est un cambriolage qui a été évoqué et non un meurtre. Au demeurant dans une affaire de meurtre, d'avoir taté ou non le pêne de la porte d'entrée ne sera même pas évoqué.
Bref, présumer des intentions est certes possible dans tous les cas, mais ce n'est pas pour autant que l'on a raison et la justice le sait. Ainsi, ton quidam qui aura baissé le pantalon d'une joggeuse, dans l'intention de la violer, ne sera-t-il condamné que pour agression (voire seulement tentative ?). Tout simplement parce qu'à ce stade le viol n'a pas été commis et que l'intention n'est pas démontrable sans ses aveux ; ces derniers pouvant néanmoins avoir précédé l'acte, le quidam pouvant parfaitement avoir énoncé ses intentions pendant qu'il baissait le pantalon. Cela ne veut pas dire que l'intention n'est jamais démontrable et/ou qu'elle n'a aucune valeur en matière de droit, juste que l'impression personnelle n'est pas suffisante en elle-même pour démontrer cette intention. L'on ne peut donc pas considérer le scan de port comme un délit à part entière, juste comme la préméditation de celui-ci, si d'aventure il est ensuite commis.
Stéphane Catteau avait soumis l'idée :
moisse devait dire quelque chose comme ceci :
Je me suis contenté de
démontrer, par un exemple, que l'on ne pouvait présumer l'intention du
seul constat de l'action.
Oui le lascar qui baisse le pentalon de la joggeuse n'est coupable de
rien à ce stade.
Ce qui n'a rien à voir, de près ou de loin, même en tant que
métaphore, avec le scan de ports. Mais je peux la refaire si tu le veux
L'on ne peut pas toujours présumer de l'intention, du seul constat de
l'action, et justement le (double) cas particulier traité ici (scan de
ports, tour de la maison), est l'un des cas où on ne le peut pas.
Cela dit, si le pantalon est en feu, je me permettrais de présumer que
c'est pour lui sauver la vie qu'il l'a baissé.
[...] Tout au plus déposerais-je une main courante auprès du
commissariat (ou de la gendarmerie) dont je dépendrais si j'avais une
maison, pour pouvoir attester de la préméditation, si d'aventure je
venais à être cambriolé par la suite.
La préméditation n'aggrave pas le délit.
Non seulement je n'ai pas dit cela, mais en plus ton affirmation est
inexacte et provient d'une mauvaise interprétation des intentions des
deux importuns que j'ai surpris entrain de faire le tour de ma maison.
Ils n'ont jamais eu l'intention de me voler, je ne possède pas grand
chose, c'est après la vie d'un ami que j'héberge pour quelques jours
qu'ils en avaient. Or, que je sache, le meurtre est agravé par la
préméditation.
C'est un cambriolage qui a été évoqué et non un meurtre.
Au demeurant dans une affaire de meurtre, d'avoir taté ou non le pêne
de la porte d'entrée ne sera même pas évoqué.
Bref, présumer des intentions est certes possible dans tous les cas,
mais ce n'est pas pour autant que l'on a raison et la justice le sait.
Ainsi, ton quidam qui aura baissé le pantalon d'une joggeuse, dans
l'intention de la violer, ne sera-t-il condamné que pour agression
(voire seulement tentative ?). Tout simplement parce qu'à ce stade le
viol n'a pas été commis et que l'intention n'est pas démontrable sans
ses aveux ; ces derniers pouvant néanmoins avoir précédé l'acte, le
quidam pouvant parfaitement avoir énoncé ses intentions pendant qu'il
baissait le pantalon.
Cela ne veut pas dire que l'intention n'est jamais démontrable et/ou
qu'elle n'a aucune valeur en matière de droit, juste que l'impression
personnelle n'est pas suffisante en elle-même pour démontrer cette
intention.
L'on ne peut donc pas considérer le scan de port comme un délit à part
entière, juste comme la préméditation de celui-ci, si d'aventure il est
ensuite commis.
Je me suis contenté de démontrer, par un exemple, que l'on ne pouvait présumer l'intention du seul constat de l'action.
Oui le lascar qui baisse le pentalon de la joggeuse n'est coupable de rien à ce stade.
Ce qui n'a rien à voir, de près ou de loin, même en tant que métaphore, avec le scan de ports. Mais je peux la refaire si tu le veux
L'on ne peut pas toujours présumer de l'intention, du seul constat de l'action, et justement le (double) cas particulier traité ici (scan de ports, tour de la maison), est l'un des cas où on ne le peut pas.
Cela dit, si le pantalon est en feu, je me permettrais de présumer que c'est pour lui sauver la vie qu'il l'a baissé.
[...] Tout au plus déposerais-je une main courante auprès du commissariat (ou de la gendarmerie) dont je dépendrais si j'avais une maison, pour pouvoir attester de la préméditation, si d'aventure je venais à être cambriolé par la suite.
La préméditation n'aggrave pas le délit.
Non seulement je n'ai pas dit cela, mais en plus ton affirmation est inexacte et provient d'une mauvaise interprétation des intentions des deux importuns que j'ai surpris entrain de faire le tour de ma maison. Ils n'ont jamais eu l'intention de me voler, je ne possède pas grand chose, c'est après la vie d'un ami que j'héberge pour quelques jours qu'ils en avaient. Or, que je sache, le meurtre est agravé par la préméditation.
C'est un cambriolage qui a été évoqué et non un meurtre. Au demeurant dans une affaire de meurtre, d'avoir taté ou non le pêne de la porte d'entrée ne sera même pas évoqué.
Bref, présumer des intentions est certes possible dans tous les cas, mais ce n'est pas pour autant que l'on a raison et la justice le sait. Ainsi, ton quidam qui aura baissé le pantalon d'une joggeuse, dans l'intention de la violer, ne sera-t-il condamné que pour agression (voire seulement tentative ?). Tout simplement parce qu'à ce stade le viol n'a pas été commis et que l'intention n'est pas démontrable sans ses aveux ; ces derniers pouvant néanmoins avoir précédé l'acte, le quidam pouvant parfaitement avoir énoncé ses intentions pendant qu'il baissait le pantalon. Cela ne veut pas dire que l'intention n'est jamais démontrable et/ou qu'elle n'a aucune valeur en matière de droit, juste que l'impression personnelle n'est pas suffisante en elle-même pour démontrer cette intention. L'on ne peut donc pas considérer le scan de port comme un délit à part entière, juste comme la préméditation de celui-ci, si d'aventure il est ensuite commis.
MichellePadovani
"Dominique" a écrit dans le message de news: 1kpy2d5.xx53z611051cyN%
Patrick V wrote:
Le 05/09/2012 07:04, Alain Montfranc a écrit : >> Prend l'exemple de ta maison : si j'en fais le tour "pour voir si une >> porte est ouverte", je vais forcément passer sur une propriété privée, >> la tienne ou celle de tes voisins :-) > > Ben non
En fait, la mienne, si. De même que celle de Dominique.
ah ! elle est propriétaire ? Plutôt hébergée hein ?
CDLT
-- "N'écoute pas mon amour, le chant des baleines, 2012 2013"
Une Corse de Corti.
"Dominique" <dmkgbt@free.invalid> a écrit dans le message de news:
1kpy2d5.xx53z611051cyN%dmkgbt@free.invalid...
Patrick V <Patrick.V.u.i.c.h.a.r.d@mitgard.invalid> wrote:
Le 05/09/2012 07:04, Alain Montfranc a écrit :
>> Prend l'exemple de ta maison : si j'en fais le tour "pour voir si une
>> porte est ouverte", je vais forcément passer sur une propriété privée,
>> la tienne ou celle de tes voisins :-)
>
> Ben non
En fait, la mienne, si. De même que celle de Dominique.
ah ! elle est propriétaire ? Plutôt hébergée hein ?
CDLT
--
"N'écoute pas mon amour, le chant des baleines,
2012 2013"
"Dominique" a écrit dans le message de news: 1kpy2d5.xx53z611051cyN%
Patrick V wrote:
Le 05/09/2012 07:04, Alain Montfranc a écrit : >> Prend l'exemple de ta maison : si j'en fais le tour "pour voir si une >> porte est ouverte", je vais forcément passer sur une propriété privée, >> la tienne ou celle de tes voisins :-) > > Ben non
En fait, la mienne, si. De même que celle de Dominique.
ah ! elle est propriétaire ? Plutôt hébergée hein ?
CDLT
-- "N'écoute pas mon amour, le chant des baleines, 2012 2013"