Stéphane CARPENTIER vient de nous annoncer :*.-pipolin-.* wrote:Cumbalero avait prétendu :Le Tue, 23 Jun 2009 13:09:34 +0200, *.-pipolin-.* a écrit :pris 30 et fais 0
Tu veux faire croire ça à qui?
je dis juste comment cela c'est passé,
Tu écris surtout ce que tu en as compris, ce qui n'est pas forcément
ce qui s'est passé.et que tu ne le crois pas n'y change rien, ça c'est passé comme cela...
Je viens de ressortir les notes que j'avais prises en cours de
règlement il y a plus de 10 ans pour être sûr que ma mémoire ne me
joue pas de tours. Je n'ai pas le TTA 104 sous la main, mais j'ai
confiance dans mes notes.
Je ne crois pas que ça s'est passé comme tu le racontes pour trois
raisons (sans parler de la raison pour laquelle tu as ouvert ta
gueule, je vais y répondre ailleurs) :
1° : Il n'est pas possible de donner plus de 20 jours d'arrêt
consécutifs. Il est possible de demander 30 jours et c'est la
hiérarchie qui avalise ou réduit la peine. Et la raison invoquée, à
elle seule, ne peut pas permettre une avalisation par la hiérarchie de
30 jours, ce serait ridicule. Surtout que la hiérarchie, c'est le
colonel et que si le colonel t'avait déjà donné raison de venir le
voir, il ne va pas te punir pour ça ensuite.
2° : Tout militaire dispose d'un droit de recours lorsqu'il estime
avoir été puni abusivement. Mais ça ne l'empêche pas de purger sa
peine. Le chef de corps a au maximum 10 jours pour donner son avis,
mais ce n'est pas instantané. C'est une demande écrite qui doit être
faite, et le colonel ne va pas se déplacer dans l'heure pour te voir.
Tu aurais fait au moins quelques heures de trous avant d'aller
t'expliquer devant le colonel.
3° : Comme c'est le colonel qui t'avait donné ta punition, au moment
où tu t'expliques, il est évidant qu'il va souffler dans les bronches
de celui qui t'a puni. Si c'est un engagé, il va avoir des problèmes
de carrière.
Je veux bien croire que ton lieutenant/capitaine ait voulu te faire
peur, mais qu'il t'ai donné 30 jours, je n'y crois pas.
ce qui me sidère chez, c'est ta faculté à prétendre mieux connaitre mon
histoire que moi,
Stéphane CARPENTIER vient de nous annoncer :
*.-pipolin-.* wrote:
Cumbalero avait prétendu :
Le Tue, 23 Jun 2009 13:09:34 +0200, *.-pipolin-.* a écrit :
pris 30 et fais 0
Tu veux faire croire ça à qui?
je dis juste comment cela c'est passé,
Tu écris surtout ce que tu en as compris, ce qui n'est pas forcément
ce qui s'est passé.
et que tu ne le crois pas n'y change rien, ça c'est passé comme cela...
Je viens de ressortir les notes que j'avais prises en cours de
règlement il y a plus de 10 ans pour être sûr que ma mémoire ne me
joue pas de tours. Je n'ai pas le TTA 104 sous la main, mais j'ai
confiance dans mes notes.
Je ne crois pas que ça s'est passé comme tu le racontes pour trois
raisons (sans parler de la raison pour laquelle tu as ouvert ta
gueule, je vais y répondre ailleurs) :
1° : Il n'est pas possible de donner plus de 20 jours d'arrêt
consécutifs. Il est possible de demander 30 jours et c'est la
hiérarchie qui avalise ou réduit la peine. Et la raison invoquée, à
elle seule, ne peut pas permettre une avalisation par la hiérarchie de
30 jours, ce serait ridicule. Surtout que la hiérarchie, c'est le
colonel et que si le colonel t'avait déjà donné raison de venir le
voir, il ne va pas te punir pour ça ensuite.
2° : Tout militaire dispose d'un droit de recours lorsqu'il estime
avoir été puni abusivement. Mais ça ne l'empêche pas de purger sa
peine. Le chef de corps a au maximum 10 jours pour donner son avis,
mais ce n'est pas instantané. C'est une demande écrite qui doit être
faite, et le colonel ne va pas se déplacer dans l'heure pour te voir.
Tu aurais fait au moins quelques heures de trous avant d'aller
t'expliquer devant le colonel.
3° : Comme c'est le colonel qui t'avait donné ta punition, au moment
où tu t'expliques, il est évidant qu'il va souffler dans les bronches
de celui qui t'a puni. Si c'est un engagé, il va avoir des problèmes
de carrière.
Je veux bien croire que ton lieutenant/capitaine ait voulu te faire
peur, mais qu'il t'ai donné 30 jours, je n'y crois pas.
ce qui me sidère chez, c'est ta faculté à prétendre mieux connaitre mon
histoire que moi,
Stéphane CARPENTIER vient de nous annoncer :*.-pipolin-.* wrote:Cumbalero avait prétendu :Le Tue, 23 Jun 2009 13:09:34 +0200, *.-pipolin-.* a écrit :pris 30 et fais 0
Tu veux faire croire ça à qui?
je dis juste comment cela c'est passé,
Tu écris surtout ce que tu en as compris, ce qui n'est pas forcément
ce qui s'est passé.et que tu ne le crois pas n'y change rien, ça c'est passé comme cela...
Je viens de ressortir les notes que j'avais prises en cours de
règlement il y a plus de 10 ans pour être sûr que ma mémoire ne me
joue pas de tours. Je n'ai pas le TTA 104 sous la main, mais j'ai
confiance dans mes notes.
Je ne crois pas que ça s'est passé comme tu le racontes pour trois
raisons (sans parler de la raison pour laquelle tu as ouvert ta
gueule, je vais y répondre ailleurs) :
1° : Il n'est pas possible de donner plus de 20 jours d'arrêt
consécutifs. Il est possible de demander 30 jours et c'est la
hiérarchie qui avalise ou réduit la peine. Et la raison invoquée, à
elle seule, ne peut pas permettre une avalisation par la hiérarchie de
30 jours, ce serait ridicule. Surtout que la hiérarchie, c'est le
colonel et que si le colonel t'avait déjà donné raison de venir le
voir, il ne va pas te punir pour ça ensuite.
2° : Tout militaire dispose d'un droit de recours lorsqu'il estime
avoir été puni abusivement. Mais ça ne l'empêche pas de purger sa
peine. Le chef de corps a au maximum 10 jours pour donner son avis,
mais ce n'est pas instantané. C'est une demande écrite qui doit être
faite, et le colonel ne va pas se déplacer dans l'heure pour te voir.
Tu aurais fait au moins quelques heures de trous avant d'aller
t'expliquer devant le colonel.
3° : Comme c'est le colonel qui t'avait donné ta punition, au moment
où tu t'expliques, il est évidant qu'il va souffler dans les bronches
de celui qui t'a puni. Si c'est un engagé, il va avoir des problèmes
de carrière.
Je veux bien croire que ton lieutenant/capitaine ait voulu te faire
peur, mais qu'il t'ai donné 30 jours, je n'y crois pas.
ce qui me sidère chez, c'est ta faculté à prétendre mieux connaitre mon
histoire que moi,
*.-pipolin-.* wrote:Stéphane CARPENTIER vient de nous annoncer :*.-pipolin-.* wrote:Cumbalero avait prétendu :Le Tue, 23 Jun 2009 13:09:34 +0200, *.-pipolin-.* a écrit :pris 30 et fais 0
Tu veux faire croire ça à qui?
je dis juste comment cela c'est passé,
Tu écris surtout ce que tu en as compris, ce qui n'est pas forcément ce
qui s'est passé.et que tu ne le crois pas n'y change rien, ça c'est passé comme cela...
Je viens de ressortir les notes que j'avais prises en cours de règlement
il y a plus de 10 ans pour être sûr que ma mémoire ne me joue pas de
tours. Je n'ai pas le TTA 104 sous la main, mais j'ai confiance dans mes
notes.
Je ne crois pas que ça s'est passé comme tu le racontes pour trois raisons
(sans parler de la raison pour laquelle tu as ouvert ta gueule, je vais y
répondre ailleurs) :
1° : Il n'est pas possible de donner plus de 20 jours d'arrêt consécutifs.
Il est possible de demander 30 jours et c'est la hiérarchie qui avalise ou
réduit la peine. Et la raison invoquée, à elle seule, ne peut pas
permettre une avalisation par la hiérarchie de 30 jours, ce serait
ridicule. Surtout que la hiérarchie, c'est le colonel et que si le colonel
t'avait déjà donné raison de venir le voir, il ne va pas te punir pour ça
ensuite.
2° : Tout militaire dispose d'un droit de recours lorsqu'il estime avoir
été puni abusivement. Mais ça ne l'empêche pas de purger sa peine. Le chef
de corps a au maximum 10 jours pour donner son avis, mais ce n'est pas
instantané. C'est une demande écrite qui doit être faite, et le colonel ne
va pas se déplacer dans l'heure pour te voir. Tu aurais fait au moins
quelques heures de trous avant d'aller t'expliquer devant le colonel.
3° : Comme c'est le colonel qui t'avait donné ta punition, au moment où tu
t'expliques, il est évidant qu'il va souffler dans les bronches de celui
qui t'a puni. Si c'est un engagé, il va avoir des problèmes de carrière.
Je veux bien croire que ton lieutenant/capitaine ait voulu te faire peur,
mais qu'il t'ai donné 30 jours, je n'y crois pas.
ce qui me sidère chez, c'est ta faculté à prétendre mieux connaitre mon
histoire que moi,
Je ne prétends pas mieux connaître ton histoire que toi.
Je ne sais pas ce qui t'est arrivé.
Mais je sais ce qui n'a pas pu se passer.
Tu m'as confirmé que cette histoire de couverture par la sécu militaire est
du grand n'importe quoi.
Une punition de 30 jours n'est pas possible non plus.
Je te parle du règlement militaire, pas de tes fantasmes ni de ce que tu
rêves d'avoir vécu.
Pour ma santé mentale, je ne m'inquiète pas. Par contre, pour la tienne, il
semble y avoir un terme qui s'appelle mythomanie.
*.-pipolin-.* wrote:
Stéphane CARPENTIER vient de nous annoncer :
*.-pipolin-.* wrote:
Cumbalero avait prétendu :
Le Tue, 23 Jun 2009 13:09:34 +0200, *.-pipolin-.* a écrit :
pris 30 et fais 0
Tu veux faire croire ça à qui?
je dis juste comment cela c'est passé,
Tu écris surtout ce que tu en as compris, ce qui n'est pas forcément ce
qui s'est passé.
et que tu ne le crois pas n'y change rien, ça c'est passé comme cela...
Je viens de ressortir les notes que j'avais prises en cours de règlement
il y a plus de 10 ans pour être sûr que ma mémoire ne me joue pas de
tours. Je n'ai pas le TTA 104 sous la main, mais j'ai confiance dans mes
notes.
Je ne crois pas que ça s'est passé comme tu le racontes pour trois raisons
(sans parler de la raison pour laquelle tu as ouvert ta gueule, je vais y
répondre ailleurs) :
1° : Il n'est pas possible de donner plus de 20 jours d'arrêt consécutifs.
Il est possible de demander 30 jours et c'est la hiérarchie qui avalise ou
réduit la peine. Et la raison invoquée, à elle seule, ne peut pas
permettre une avalisation par la hiérarchie de 30 jours, ce serait
ridicule. Surtout que la hiérarchie, c'est le colonel et que si le colonel
t'avait déjà donné raison de venir le voir, il ne va pas te punir pour ça
ensuite.
2° : Tout militaire dispose d'un droit de recours lorsqu'il estime avoir
été puni abusivement. Mais ça ne l'empêche pas de purger sa peine. Le chef
de corps a au maximum 10 jours pour donner son avis, mais ce n'est pas
instantané. C'est une demande écrite qui doit être faite, et le colonel ne
va pas se déplacer dans l'heure pour te voir. Tu aurais fait au moins
quelques heures de trous avant d'aller t'expliquer devant le colonel.
3° : Comme c'est le colonel qui t'avait donné ta punition, au moment où tu
t'expliques, il est évidant qu'il va souffler dans les bronches de celui
qui t'a puni. Si c'est un engagé, il va avoir des problèmes de carrière.
Je veux bien croire que ton lieutenant/capitaine ait voulu te faire peur,
mais qu'il t'ai donné 30 jours, je n'y crois pas.
ce qui me sidère chez, c'est ta faculté à prétendre mieux connaitre mon
histoire que moi,
Je ne prétends pas mieux connaître ton histoire que toi.
Je ne sais pas ce qui t'est arrivé.
Mais je sais ce qui n'a pas pu se passer.
Tu m'as confirmé que cette histoire de couverture par la sécu militaire est
du grand n'importe quoi.
Une punition de 30 jours n'est pas possible non plus.
Je te parle du règlement militaire, pas de tes fantasmes ni de ce que tu
rêves d'avoir vécu.
Pour ma santé mentale, je ne m'inquiète pas. Par contre, pour la tienne, il
semble y avoir un terme qui s'appelle mythomanie.
*.-pipolin-.* wrote:Stéphane CARPENTIER vient de nous annoncer :*.-pipolin-.* wrote:Cumbalero avait prétendu :Le Tue, 23 Jun 2009 13:09:34 +0200, *.-pipolin-.* a écrit :pris 30 et fais 0
Tu veux faire croire ça à qui?
je dis juste comment cela c'est passé,
Tu écris surtout ce que tu en as compris, ce qui n'est pas forcément ce
qui s'est passé.et que tu ne le crois pas n'y change rien, ça c'est passé comme cela...
Je viens de ressortir les notes que j'avais prises en cours de règlement
il y a plus de 10 ans pour être sûr que ma mémoire ne me joue pas de
tours. Je n'ai pas le TTA 104 sous la main, mais j'ai confiance dans mes
notes.
Je ne crois pas que ça s'est passé comme tu le racontes pour trois raisons
(sans parler de la raison pour laquelle tu as ouvert ta gueule, je vais y
répondre ailleurs) :
1° : Il n'est pas possible de donner plus de 20 jours d'arrêt consécutifs.
Il est possible de demander 30 jours et c'est la hiérarchie qui avalise ou
réduit la peine. Et la raison invoquée, à elle seule, ne peut pas
permettre une avalisation par la hiérarchie de 30 jours, ce serait
ridicule. Surtout que la hiérarchie, c'est le colonel et que si le colonel
t'avait déjà donné raison de venir le voir, il ne va pas te punir pour ça
ensuite.
2° : Tout militaire dispose d'un droit de recours lorsqu'il estime avoir
été puni abusivement. Mais ça ne l'empêche pas de purger sa peine. Le chef
de corps a au maximum 10 jours pour donner son avis, mais ce n'est pas
instantané. C'est une demande écrite qui doit être faite, et le colonel ne
va pas se déplacer dans l'heure pour te voir. Tu aurais fait au moins
quelques heures de trous avant d'aller t'expliquer devant le colonel.
3° : Comme c'est le colonel qui t'avait donné ta punition, au moment où tu
t'expliques, il est évidant qu'il va souffler dans les bronches de celui
qui t'a puni. Si c'est un engagé, il va avoir des problèmes de carrière.
Je veux bien croire que ton lieutenant/capitaine ait voulu te faire peur,
mais qu'il t'ai donné 30 jours, je n'y crois pas.
ce qui me sidère chez, c'est ta faculté à prétendre mieux connaitre mon
histoire que moi,
Je ne prétends pas mieux connaître ton histoire que toi.
Je ne sais pas ce qui t'est arrivé.
Mais je sais ce qui n'a pas pu se passer.
Tu m'as confirmé que cette histoire de couverture par la sécu militaire est
du grand n'importe quoi.
Une punition de 30 jours n'est pas possible non plus.
Je te parle du règlement militaire, pas de tes fantasmes ni de ce que tu
rêves d'avoir vécu.
Pour ma santé mentale, je ne m'inquiète pas. Par contre, pour la tienne, il
semble y avoir un terme qui s'appelle mythomanie.
*.-pipolin-.* wrote:Le 25/06/2009, Stéphane CARPENTIER a supposé :*.-pipolin-.* wrote:pendant les semaines de services, les gars qui n'étais pas bloqué par une
garde le week-end, n'avait pas de permission mais des autorisations de
sorties, ce qui fait qu'ils n'étaient couverts par la sécu militaire que
dans un périmètre de quelques kilomètres,
C'est quoi ton délire ?
C'est dans quel film que tu as vu qu'il fallait poser une permission pour
sortir le week-end ?
C'est quoi cette histoire de couverture par la sécu militaire en dehors
d'une certaine zone ?
C'est quoi cette histoire d'interdiction de s'éloigner du régiment qui se
compte en kilomètres ?
Une autorisation de sortie, je ne sais pas ce que c'est.
Je connais :
- les permissions de longue durée qui sont un droit et ne peuvent être
supprimées si elles sont signées. Par contre, en permission, le militaire
doit être joignable et peut être rappelé avant la fin de la permission.
- les permissions de courte durée qui sont des permissions < 72 h et qui
étaient réservées aux appelés. Ce n'était pas un droit, elles pouvaient
être supprimées. Je ne vois pas en quoi c'est horrible étant donné
qu'elles n'étaient pas déduites des jours de permissions de longue durée.
C'était des bonus. Il n'y avait pas de limite de distance.
- les autorisations d'absence. Elles font moins de 24 heures. Pareil que
les perms de courte durée, pas un droit, peuvent être retirées, mais pas
déduites des jours de perm. C'est aussi un bonus, je ne vois pas le
problème. Il est théoriquement possible de traverser la France pour
rentrer chez soi, mais faut être motivé.
Je ne vois pas contre quoi tu t'élevais, ni pourquoi le colonel t'aurait
donné raison.
que tu ne le vois pas n'a absolument aucune importance, parce que cela ne
changeras rien à ce qui c'est passé...
Merci de confirmer que cette histoire de couverture par la sécu militaire est
du pipo.
*.-pipolin-.* wrote:
Le 25/06/2009, Stéphane CARPENTIER a supposé :
*.-pipolin-.* wrote:
pendant les semaines de services, les gars qui n'étais pas bloqué par une
garde le week-end, n'avait pas de permission mais des autorisations de
sorties, ce qui fait qu'ils n'étaient couverts par la sécu militaire que
dans un périmètre de quelques kilomètres,
C'est quoi ton délire ?
C'est dans quel film que tu as vu qu'il fallait poser une permission pour
sortir le week-end ?
C'est quoi cette histoire de couverture par la sécu militaire en dehors
d'une certaine zone ?
C'est quoi cette histoire d'interdiction de s'éloigner du régiment qui se
compte en kilomètres ?
Une autorisation de sortie, je ne sais pas ce que c'est.
Je connais :
- les permissions de longue durée qui sont un droit et ne peuvent être
supprimées si elles sont signées. Par contre, en permission, le militaire
doit être joignable et peut être rappelé avant la fin de la permission.
- les permissions de courte durée qui sont des permissions < 72 h et qui
étaient réservées aux appelés. Ce n'était pas un droit, elles pouvaient
être supprimées. Je ne vois pas en quoi c'est horrible étant donné
qu'elles n'étaient pas déduites des jours de permissions de longue durée.
C'était des bonus. Il n'y avait pas de limite de distance.
- les autorisations d'absence. Elles font moins de 24 heures. Pareil que
les perms de courte durée, pas un droit, peuvent être retirées, mais pas
déduites des jours de perm. C'est aussi un bonus, je ne vois pas le
problème. Il est théoriquement possible de traverser la France pour
rentrer chez soi, mais faut être motivé.
Je ne vois pas contre quoi tu t'élevais, ni pourquoi le colonel t'aurait
donné raison.
que tu ne le vois pas n'a absolument aucune importance, parce que cela ne
changeras rien à ce qui c'est passé...
Merci de confirmer que cette histoire de couverture par la sécu militaire est
du pipo.
*.-pipolin-.* wrote:Le 25/06/2009, Stéphane CARPENTIER a supposé :*.-pipolin-.* wrote:pendant les semaines de services, les gars qui n'étais pas bloqué par une
garde le week-end, n'avait pas de permission mais des autorisations de
sorties, ce qui fait qu'ils n'étaient couverts par la sécu militaire que
dans un périmètre de quelques kilomètres,
C'est quoi ton délire ?
C'est dans quel film que tu as vu qu'il fallait poser une permission pour
sortir le week-end ?
C'est quoi cette histoire de couverture par la sécu militaire en dehors
d'une certaine zone ?
C'est quoi cette histoire d'interdiction de s'éloigner du régiment qui se
compte en kilomètres ?
Une autorisation de sortie, je ne sais pas ce que c'est.
Je connais :
- les permissions de longue durée qui sont un droit et ne peuvent être
supprimées si elles sont signées. Par contre, en permission, le militaire
doit être joignable et peut être rappelé avant la fin de la permission.
- les permissions de courte durée qui sont des permissions < 72 h et qui
étaient réservées aux appelés. Ce n'était pas un droit, elles pouvaient
être supprimées. Je ne vois pas en quoi c'est horrible étant donné
qu'elles n'étaient pas déduites des jours de permissions de longue durée.
C'était des bonus. Il n'y avait pas de limite de distance.
- les autorisations d'absence. Elles font moins de 24 heures. Pareil que
les perms de courte durée, pas un droit, peuvent être retirées, mais pas
déduites des jours de perm. C'est aussi un bonus, je ne vois pas le
problème. Il est théoriquement possible de traverser la France pour
rentrer chez soi, mais faut être motivé.
Je ne vois pas contre quoi tu t'élevais, ni pourquoi le colonel t'aurait
donné raison.
que tu ne le vois pas n'a absolument aucune importance, parce que cela ne
changeras rien à ce qui c'est passé...
Merci de confirmer que cette histoire de couverture par la sécu militaire est
du pipo.
Stéphane CARPENTIER a couché sur son écran :Je veux bien croire que ton lieutenant/capitaine ait voulu te faire
peur, mais qu'il t'ai donné 30 jours, je n'y crois pas.
[..]
Une punition de 30 jours n'est pas possible non plus.
c'est ce que mon capitaine m'a pourtant promis pour avoir bypassé la
hierarchie...
Stéphane CARPENTIER a couché sur son écran :
Je veux bien croire que ton lieutenant/capitaine ait voulu te faire
peur, mais qu'il t'ai donné 30 jours, je n'y crois pas.
[..]
Une punition de 30 jours n'est pas possible non plus.
c'est ce que mon capitaine m'a pourtant promis pour avoir bypassé la
hierarchie...
Stéphane CARPENTIER a couché sur son écran :Je veux bien croire que ton lieutenant/capitaine ait voulu te faire
peur, mais qu'il t'ai donné 30 jours, je n'y crois pas.
[..]
Une punition de 30 jours n'est pas possible non plus.
c'est ce que mon capitaine m'a pourtant promis pour avoir bypassé la
hierarchie...
Stéphane CARPENTIER a formulé ce vendredi :*.-pipolin-.* wrote:Le 25/06/2009, Stéphane CARPENTIER a supposé :*.-pipolin-.* wrote:pendant les semaines de services, les gars qui n'étais pas bloqué
par une garde le week-end, n'avait pas de permission mais des
autorisations de sorties, ce qui fait qu'ils n'étaient couverts par
la sécu militaire que dans un périmètre de quelques kilomètres,
C'est quoi ton délire ?
C'est dans quel film que tu as vu qu'il fallait poser une permission
pour sortir le week-end ?
C'est quoi cette histoire de couverture par la sécu militaire en
dehors d'une certaine zone ?
C'est quoi cette histoire d'interdiction de s'éloigner du régiment
qui se compte en kilomètres ?
Une autorisation de sortie, je ne sais pas ce que c'est.
Je connais :
- les permissions de longue durée qui sont un droit et ne peuvent
être supprimées si elles sont signées. Par contre, en permission, le
militaire doit être joignable et peut être rappelé avant la fin de
la permission.
- les permissions de courte durée qui sont des permissions < 72 h et
qui étaient réservées aux appelés. Ce n'était pas un droit, elles
pouvaient être supprimées. Je ne vois pas en quoi c'est horrible
étant donné qu'elles n'étaient pas déduites des jours de permissions
de longue durée. C'était des bonus. Il n'y avait pas de limite de
distance.
- les autorisations d'absence. Elles font moins de 24 heures. Pareil
que les perms de courte durée, pas un droit, peuvent être retirées,
mais pas déduites des jours de perm. C'est aussi un bonus, je ne
vois pas le problème. Il est théoriquement possible de traverser la
France pour rentrer chez soi, mais faut être motivé.
Je ne vois pas contre quoi tu t'élevais, ni pourquoi le colonel
t'aurait donné raison.
que tu ne le vois pas n'a absolument aucune importance, parce que
cela ne changeras rien à ce qui c'est passé...
Merci de confirmer que cette histoire de couverture par la sécu
militaire est du pipo.
ba nan, désolé...
Stéphane CARPENTIER a formulé ce vendredi :
*.-pipolin-.* wrote:
Le 25/06/2009, Stéphane CARPENTIER a supposé :
*.-pipolin-.* wrote:
pendant les semaines de services, les gars qui n'étais pas bloqué
par une garde le week-end, n'avait pas de permission mais des
autorisations de sorties, ce qui fait qu'ils n'étaient couverts par
la sécu militaire que dans un périmètre de quelques kilomètres,
C'est quoi ton délire ?
C'est dans quel film que tu as vu qu'il fallait poser une permission
pour sortir le week-end ?
C'est quoi cette histoire de couverture par la sécu militaire en
dehors d'une certaine zone ?
C'est quoi cette histoire d'interdiction de s'éloigner du régiment
qui se compte en kilomètres ?
Une autorisation de sortie, je ne sais pas ce que c'est.
Je connais :
- les permissions de longue durée qui sont un droit et ne peuvent
être supprimées si elles sont signées. Par contre, en permission, le
militaire doit être joignable et peut être rappelé avant la fin de
la permission.
- les permissions de courte durée qui sont des permissions < 72 h et
qui étaient réservées aux appelés. Ce n'était pas un droit, elles
pouvaient être supprimées. Je ne vois pas en quoi c'est horrible
étant donné qu'elles n'étaient pas déduites des jours de permissions
de longue durée. C'était des bonus. Il n'y avait pas de limite de
distance.
- les autorisations d'absence. Elles font moins de 24 heures. Pareil
que les perms de courte durée, pas un droit, peuvent être retirées,
mais pas déduites des jours de perm. C'est aussi un bonus, je ne
vois pas le problème. Il est théoriquement possible de traverser la
France pour rentrer chez soi, mais faut être motivé.
Je ne vois pas contre quoi tu t'élevais, ni pourquoi le colonel
t'aurait donné raison.
que tu ne le vois pas n'a absolument aucune importance, parce que
cela ne changeras rien à ce qui c'est passé...
Merci de confirmer que cette histoire de couverture par la sécu
militaire est du pipo.
ba nan, désolé...
Stéphane CARPENTIER a formulé ce vendredi :*.-pipolin-.* wrote:Le 25/06/2009, Stéphane CARPENTIER a supposé :*.-pipolin-.* wrote:pendant les semaines de services, les gars qui n'étais pas bloqué
par une garde le week-end, n'avait pas de permission mais des
autorisations de sorties, ce qui fait qu'ils n'étaient couverts par
la sécu militaire que dans un périmètre de quelques kilomètres,
C'est quoi ton délire ?
C'est dans quel film que tu as vu qu'il fallait poser une permission
pour sortir le week-end ?
C'est quoi cette histoire de couverture par la sécu militaire en
dehors d'une certaine zone ?
C'est quoi cette histoire d'interdiction de s'éloigner du régiment
qui se compte en kilomètres ?
Une autorisation de sortie, je ne sais pas ce que c'est.
Je connais :
- les permissions de longue durée qui sont un droit et ne peuvent
être supprimées si elles sont signées. Par contre, en permission, le
militaire doit être joignable et peut être rappelé avant la fin de
la permission.
- les permissions de courte durée qui sont des permissions < 72 h et
qui étaient réservées aux appelés. Ce n'était pas un droit, elles
pouvaient être supprimées. Je ne vois pas en quoi c'est horrible
étant donné qu'elles n'étaient pas déduites des jours de permissions
de longue durée. C'était des bonus. Il n'y avait pas de limite de
distance.
- les autorisations d'absence. Elles font moins de 24 heures. Pareil
que les perms de courte durée, pas un droit, peuvent être retirées,
mais pas déduites des jours de perm. C'est aussi un bonus, je ne
vois pas le problème. Il est théoriquement possible de traverser la
France pour rentrer chez soi, mais faut être motivé.
Je ne vois pas contre quoi tu t'élevais, ni pourquoi le colonel
t'aurait donné raison.
que tu ne le vois pas n'a absolument aucune importance, parce que
cela ne changeras rien à ce qui c'est passé...
Merci de confirmer que cette histoire de couverture par la sécu
militaire est du pipo.
ba nan, désolé...
*.-pipolin-.* wrote:Stéphane CARPENTIER a couché sur son écran :Je veux bien croire que ton lieutenant/capitaine ait voulu te faire
peur, mais qu'il t'ai donné 30 jours, je n'y crois pas.
[..]
Une punition de 30 jours n'est pas possible non plus.
c'est ce que mon capitaine m'a pourtant promis pour avoir bypassé la
hierarchie...
Voilà, il te les a promis. Il a pu les demander au colonel, mais il n'a pas
pu te les donner. Il n'a pas pu signer un papier indiquant que tu étais puni
pour 30 jours.
Tu confirmes ce que j'écris depuis le début, même si tu brailles en disant
que je ne sais rien.
*.-pipolin-.* wrote:
Stéphane CARPENTIER a couché sur son écran :
Je veux bien croire que ton lieutenant/capitaine ait voulu te faire
peur, mais qu'il t'ai donné 30 jours, je n'y crois pas.
[..]
Une punition de 30 jours n'est pas possible non plus.
c'est ce que mon capitaine m'a pourtant promis pour avoir bypassé la
hierarchie...
Voilà, il te les a promis. Il a pu les demander au colonel, mais il n'a pas
pu te les donner. Il n'a pas pu signer un papier indiquant que tu étais puni
pour 30 jours.
Tu confirmes ce que j'écris depuis le début, même si tu brailles en disant
que je ne sais rien.
*.-pipolin-.* wrote:Stéphane CARPENTIER a couché sur son écran :Je veux bien croire que ton lieutenant/capitaine ait voulu te faire
peur, mais qu'il t'ai donné 30 jours, je n'y crois pas.
[..]
Une punition de 30 jours n'est pas possible non plus.
c'est ce que mon capitaine m'a pourtant promis pour avoir bypassé la
hierarchie...
Voilà, il te les a promis. Il a pu les demander au colonel, mais il n'a pas
pu te les donner. Il n'a pas pu signer un papier indiquant que tu étais puni
pour 30 jours.
Tu confirmes ce que j'écris depuis le début, même si tu brailles en disant
que je ne sais rien.
*.-pipolin-.* wrote:Stéphane CARPENTIER a formulé ce vendredi :*.-pipolin-.* wrote:Le 25/06/2009, Stéphane CARPENTIER a supposé :*.-pipolin-.* wrote:pendant les semaines de services, les gars qui n'étais pas bloqué par
une garde le week-end, n'avait pas de permission mais des autorisations
de sorties, ce qui fait qu'ils n'étaient couverts par la sécu militaire
que dans un périmètre de quelques kilomètres,
C'est quoi ton délire ?
C'est dans quel film que tu as vu qu'il fallait poser une permission
pour sortir le week-end ?
C'est quoi cette histoire de couverture par la sécu militaire en dehors
d'une certaine zone ?
C'est quoi cette histoire d'interdiction de s'éloigner du régiment qui
se compte en kilomètres ?
Une autorisation de sortie, je ne sais pas ce que c'est.
Je connais :
- les permissions de longue durée qui sont un droit et ne peuvent être
supprimées si elles sont signées. Par contre, en permission, le
militaire doit être joignable et peut être rappelé avant la fin de la
permission.
- les permissions de courte durée qui sont des permissions < 72 h et qui
étaient réservées aux appelés. Ce n'était pas un droit, elles pouvaient
être supprimées. Je ne vois pas en quoi c'est horrible étant donné
qu'elles n'étaient pas déduites des jours de permissions de longue
durée. C'était des bonus. Il n'y avait pas de limite de distance.
- les autorisations d'absence. Elles font moins de 24 heures. Pareil que
les perms de courte durée, pas un droit, peuvent être retirées, mais pas
déduites des jours de perm. C'est aussi un bonus, je ne vois pas le
problème. Il est théoriquement possible de traverser la France pour
rentrer chez soi, mais faut être motivé.
Je ne vois pas contre quoi tu t'élevais, ni pourquoi le colonel
t'aurait donné raison.
que tu ne le vois pas n'a absolument aucune importance, parce que cela ne
changeras rien à ce qui c'est passé...
Merci de confirmer que cette histoire de couverture par la sécu militaire
est du pipo.
ba nan, désolé...
Ton histoire ne veut rien dire et tu refuses d'expliquer.
*.-pipolin-.* wrote:
Stéphane CARPENTIER a formulé ce vendredi :
*.-pipolin-.* wrote:
Le 25/06/2009, Stéphane CARPENTIER a supposé :
*.-pipolin-.* wrote:
pendant les semaines de services, les gars qui n'étais pas bloqué par
une garde le week-end, n'avait pas de permission mais des autorisations
de sorties, ce qui fait qu'ils n'étaient couverts par la sécu militaire
que dans un périmètre de quelques kilomètres,
C'est quoi ton délire ?
C'est dans quel film que tu as vu qu'il fallait poser une permission
pour sortir le week-end ?
C'est quoi cette histoire de couverture par la sécu militaire en dehors
d'une certaine zone ?
C'est quoi cette histoire d'interdiction de s'éloigner du régiment qui
se compte en kilomètres ?
Une autorisation de sortie, je ne sais pas ce que c'est.
Je connais :
- les permissions de longue durée qui sont un droit et ne peuvent être
supprimées si elles sont signées. Par contre, en permission, le
militaire doit être joignable et peut être rappelé avant la fin de la
permission.
- les permissions de courte durée qui sont des permissions < 72 h et qui
étaient réservées aux appelés. Ce n'était pas un droit, elles pouvaient
être supprimées. Je ne vois pas en quoi c'est horrible étant donné
qu'elles n'étaient pas déduites des jours de permissions de longue
durée. C'était des bonus. Il n'y avait pas de limite de distance.
- les autorisations d'absence. Elles font moins de 24 heures. Pareil que
les perms de courte durée, pas un droit, peuvent être retirées, mais pas
déduites des jours de perm. C'est aussi un bonus, je ne vois pas le
problème. Il est théoriquement possible de traverser la France pour
rentrer chez soi, mais faut être motivé.
Je ne vois pas contre quoi tu t'élevais, ni pourquoi le colonel
t'aurait donné raison.
que tu ne le vois pas n'a absolument aucune importance, parce que cela ne
changeras rien à ce qui c'est passé...
Merci de confirmer que cette histoire de couverture par la sécu militaire
est du pipo.
ba nan, désolé...
Ton histoire ne veut rien dire et tu refuses d'expliquer.
*.-pipolin-.* wrote:Stéphane CARPENTIER a formulé ce vendredi :*.-pipolin-.* wrote:Le 25/06/2009, Stéphane CARPENTIER a supposé :*.-pipolin-.* wrote:pendant les semaines de services, les gars qui n'étais pas bloqué par
une garde le week-end, n'avait pas de permission mais des autorisations
de sorties, ce qui fait qu'ils n'étaient couverts par la sécu militaire
que dans un périmètre de quelques kilomètres,
C'est quoi ton délire ?
C'est dans quel film que tu as vu qu'il fallait poser une permission
pour sortir le week-end ?
C'est quoi cette histoire de couverture par la sécu militaire en dehors
d'une certaine zone ?
C'est quoi cette histoire d'interdiction de s'éloigner du régiment qui
se compte en kilomètres ?
Une autorisation de sortie, je ne sais pas ce que c'est.
Je connais :
- les permissions de longue durée qui sont un droit et ne peuvent être
supprimées si elles sont signées. Par contre, en permission, le
militaire doit être joignable et peut être rappelé avant la fin de la
permission.
- les permissions de courte durée qui sont des permissions < 72 h et qui
étaient réservées aux appelés. Ce n'était pas un droit, elles pouvaient
être supprimées. Je ne vois pas en quoi c'est horrible étant donné
qu'elles n'étaient pas déduites des jours de permissions de longue
durée. C'était des bonus. Il n'y avait pas de limite de distance.
- les autorisations d'absence. Elles font moins de 24 heures. Pareil que
les perms de courte durée, pas un droit, peuvent être retirées, mais pas
déduites des jours de perm. C'est aussi un bonus, je ne vois pas le
problème. Il est théoriquement possible de traverser la France pour
rentrer chez soi, mais faut être motivé.
Je ne vois pas contre quoi tu t'élevais, ni pourquoi le colonel
t'aurait donné raison.
que tu ne le vois pas n'a absolument aucune importance, parce que cela ne
changeras rien à ce qui c'est passé...
Merci de confirmer que cette histoire de couverture par la sécu militaire
est du pipo.
ba nan, désolé...
Ton histoire ne veut rien dire et tu refuses d'expliquer.
Stéphane CARPENTIER a exprimé avec précision :*.-pipolin-.* wrote:Stéphane CARPENTIER a formulé ce vendredi :*.-pipolin-.* wrote:Le 25/06/2009, Stéphane CARPENTIER a supposé :*.-pipolin-.* wrote:pendant les semaines de services, les gars qui n'étais pas bloqué
par une garde le week-end, n'avait pas de permission mais des
autorisations de sorties, ce qui fait qu'ils n'étaient couverts
par la sécu militaire que dans un périmètre de quelques kilomètres,
C'est quoi ton délire ?
C'est dans quel film que tu as vu qu'il fallait poser une
permission pour sortir le week-end ?
C'est quoi cette histoire de couverture par la sécu militaire en
dehors d'une certaine zone ?
C'est quoi cette histoire d'interdiction de s'éloigner du régiment
qui se compte en kilomètres ?
Une autorisation de sortie, je ne sais pas ce que c'est.
Je connais :
- les permissions de longue durée qui sont un droit et ne peuvent
être supprimées si elles sont signées. Par contre, en permission,
le militaire doit être joignable et peut être rappelé avant la fin
de la permission.
- les permissions de courte durée qui sont des permissions < 72 h
et qui étaient réservées aux appelés. Ce n'était pas un droit,
elles pouvaient être supprimées. Je ne vois pas en quoi c'est
horrible étant donné qu'elles n'étaient pas déduites des jours de
permissions de longue durée. C'était des bonus. Il n'y avait pas
de limite de distance.
- les autorisations d'absence. Elles font moins de 24 heures.
Pareil que les perms de courte durée, pas un droit, peuvent être
retirées, mais pas déduites des jours de perm. C'est aussi un
bonus, je ne vois pas le problème. Il est théoriquement possible
de traverser la France pour rentrer chez soi, mais faut être motivé.
Je ne vois pas contre quoi tu t'élevais, ni pourquoi le colonel
t'aurait donné raison.
que tu ne le vois pas n'a absolument aucune importance, parce que
cela ne changeras rien à ce qui c'est passé...
Merci de confirmer que cette histoire de couverture par la sécu
militaire est du pipo.
ba nan, désolé...
Ton histoire ne veut rien dire et tu refuses d'expliquer.
ce n'est pas parce que tu la comprend pas qu'elle ne veut rien dire...
Stéphane CARPENTIER a exprimé avec précision :
*.-pipolin-.* wrote:
Stéphane CARPENTIER a formulé ce vendredi :
*.-pipolin-.* wrote:
Le 25/06/2009, Stéphane CARPENTIER a supposé :
*.-pipolin-.* wrote:
pendant les semaines de services, les gars qui n'étais pas bloqué
par une garde le week-end, n'avait pas de permission mais des
autorisations de sorties, ce qui fait qu'ils n'étaient couverts
par la sécu militaire que dans un périmètre de quelques kilomètres,
C'est quoi ton délire ?
C'est dans quel film que tu as vu qu'il fallait poser une
permission pour sortir le week-end ?
C'est quoi cette histoire de couverture par la sécu militaire en
dehors d'une certaine zone ?
C'est quoi cette histoire d'interdiction de s'éloigner du régiment
qui se compte en kilomètres ?
Une autorisation de sortie, je ne sais pas ce que c'est.
Je connais :
- les permissions de longue durée qui sont un droit et ne peuvent
être supprimées si elles sont signées. Par contre, en permission,
le militaire doit être joignable et peut être rappelé avant la fin
de la permission.
- les permissions de courte durée qui sont des permissions < 72 h
et qui étaient réservées aux appelés. Ce n'était pas un droit,
elles pouvaient être supprimées. Je ne vois pas en quoi c'est
horrible étant donné qu'elles n'étaient pas déduites des jours de
permissions de longue durée. C'était des bonus. Il n'y avait pas
de limite de distance.
- les autorisations d'absence. Elles font moins de 24 heures.
Pareil que les perms de courte durée, pas un droit, peuvent être
retirées, mais pas déduites des jours de perm. C'est aussi un
bonus, je ne vois pas le problème. Il est théoriquement possible
de traverser la France pour rentrer chez soi, mais faut être motivé.
Je ne vois pas contre quoi tu t'élevais, ni pourquoi le colonel
t'aurait donné raison.
que tu ne le vois pas n'a absolument aucune importance, parce que
cela ne changeras rien à ce qui c'est passé...
Merci de confirmer que cette histoire de couverture par la sécu
militaire est du pipo.
ba nan, désolé...
Ton histoire ne veut rien dire et tu refuses d'expliquer.
ce n'est pas parce que tu la comprend pas qu'elle ne veut rien dire...
Stéphane CARPENTIER a exprimé avec précision :*.-pipolin-.* wrote:Stéphane CARPENTIER a formulé ce vendredi :*.-pipolin-.* wrote:Le 25/06/2009, Stéphane CARPENTIER a supposé :*.-pipolin-.* wrote:pendant les semaines de services, les gars qui n'étais pas bloqué
par une garde le week-end, n'avait pas de permission mais des
autorisations de sorties, ce qui fait qu'ils n'étaient couverts
par la sécu militaire que dans un périmètre de quelques kilomètres,
C'est quoi ton délire ?
C'est dans quel film que tu as vu qu'il fallait poser une
permission pour sortir le week-end ?
C'est quoi cette histoire de couverture par la sécu militaire en
dehors d'une certaine zone ?
C'est quoi cette histoire d'interdiction de s'éloigner du régiment
qui se compte en kilomètres ?
Une autorisation de sortie, je ne sais pas ce que c'est.
Je connais :
- les permissions de longue durée qui sont un droit et ne peuvent
être supprimées si elles sont signées. Par contre, en permission,
le militaire doit être joignable et peut être rappelé avant la fin
de la permission.
- les permissions de courte durée qui sont des permissions < 72 h
et qui étaient réservées aux appelés. Ce n'était pas un droit,
elles pouvaient être supprimées. Je ne vois pas en quoi c'est
horrible étant donné qu'elles n'étaient pas déduites des jours de
permissions de longue durée. C'était des bonus. Il n'y avait pas
de limite de distance.
- les autorisations d'absence. Elles font moins de 24 heures.
Pareil que les perms de courte durée, pas un droit, peuvent être
retirées, mais pas déduites des jours de perm. C'est aussi un
bonus, je ne vois pas le problème. Il est théoriquement possible
de traverser la France pour rentrer chez soi, mais faut être motivé.
Je ne vois pas contre quoi tu t'élevais, ni pourquoi le colonel
t'aurait donné raison.
que tu ne le vois pas n'a absolument aucune importance, parce que
cela ne changeras rien à ce qui c'est passé...
Merci de confirmer que cette histoire de couverture par la sécu
militaire est du pipo.
ba nan, désolé...
Ton histoire ne veut rien dire et tu refuses d'expliquer.
ce n'est pas parce que tu la comprend pas qu'elle ne veut rien dire...
en tous les cas, les mecs suite à ça, ils avaient des permissions et
plus des autorisations de sorties...
en tous les cas, les mecs suite à ça, ils avaient des permissions et
plus des autorisations de sorties...
en tous les cas, les mecs suite à ça, ils avaient des permissions et
plus des autorisations de sorties...
Mais a passé 5 jours
à l'hôpital militaire.
Mais a passé 5 jours
à l'hôpital militaire.
Mais a passé 5 jours
à l'hôpital militaire.