Un truc super dans MacSOUP pour les messages en html :-)
36 réponses
ludovic.cynomys
D'ahbitude, je préfère utiliser MacSOUP pour gérer les listes de
diffusion... (Mail s'est un peu amélioré à ce sujet, mais ce n'est pas
vraiment ça)
L'ennui, c'est avec les listes où les gens postent en html -- beuark,
oui je sais -- mais c'est le cas de TidBITS Talk par exemple *
Les messages en html ressemblent à une bouillie pour les cahts dans
MacSOUP -- je suis donc forcé d'utiliser Mail pour lire les messages...
Jusqu'à ce que je jette un coup dans l' *excellente* traduction du
manuel de la version 2.7, faite par JPK et son équipe :-)
Où on y apprend qu'on peut contourner le problème à l'aide d'un tube.
En voyant ça, je me suis dit : encore un truc vzovggnoyr pour unixiens
barbus ;->
J'ai suivi pas à pas la procédure indiquée sur la page 45 et le modèle
de la page 46 (pas trop compliquée, quand même, je n'ai pas eu besoin de
vi, juste de TextEdit ;-))
Et le message en clair est apparu dans Safari sous mes yeux ébahis :-)
Bon, on ne peut pas encore remplacer la bouillie pour les chats
directement dans la fenêtre de MacSOUP, m'enfin...
Il n'est pas rare qu'on revienne bredouille soit parce que le facteur a du retard soit parce que y a personne qui m'aime.
Et il n'y a même pas un peu de pub ? J'en récupère bien 500 grammes par jour en moyenne.
(J'ai encore écrit spontanément « récupère » - voir ma réponse à Benoit. Mais il est possible que ce soit une déformation de language de ma part)
-- Gérard FLEUROT <fleurot@(en-trop.)fr.fm>
blanc
La Rouille wrote:
En français de France on ne peut ramener que ce qui a des mains, donc ta mere avait raison.
Tu peut utiliser apporter dans le cas ou tu conside cette fille comme un objet (de desir) car de toutes facons tu n'a pas envie de lui prendre les mains ;-)
Hum... amha "mener", et par extension "amener" et "ramener" qui en dérivent n'impliquent absolument pas la notion de mains : Quand on ramène une vache à l'étable, il n'est pas nécessaire que celle-ci ait des mains !... Ni même qu'elle soit tirée par la main. Le dictionnaire étymologique Larousse me dit en fait que "mener" viens du bas latin "minare" = "pousser les animaux devant soi en criant, en les menaçant". Pas vraiment de mains nécessaires ici.
Quant à "apporter" et "rapporter", il dérivent de porter et donc impliquent que l'on porte l'objet (ou l'animal ou la personne) . On peut donc parfaitement rapporter un petit chiot à la niche ou un enfant à sa mère, du moment qu'on les a mis dans ses bras.
Mais il est clair que ces sens ont évolué. Par exemple, on doit *** ramener *** une voiture au garage (Il paraît en effet difficile de la (rap)porter). Et pourtant, on ne le fait pas en criant ou en la menaçant... ;-)
Et qu'en est -il d'un avion ou d'un bateau ? Le pilote doit-il le rapporter à bon port ?
Non. Il me semble que ramener s'est imposé de lui-même dans ces cas.
Il me paraît donc clair que la distinction donnée par Tanguy :
on 'amène' quelqu'un et on 'apporte' quelque chose. est fausse.
Pour cette raison également la définition donnée par le "Dictionnaire des difficultés du français" de Robert ne me paraît pas satisfaisante :
<< [Amener] implique un contact avec le sol et [apporter] implique l'absence de contact >>
Amha la bonne définition me semblerait être plutôt : << Est porté (apporté/rapporté) ce qui est maintenu sans contact avec le sol soit par notre effort, soit parce qu'il repose sur nous.
Est mené (amené/ramené) tout ce qui n'est pas porté. >>
Pour le courrier, il est donc clair qu'on le rapporte (on le porte dans ses mains), lorsqu'on va relever la boîte au rez-de-chaussée de l'immeuble.
Mais doit on dire encore cela, si croisant le facteur à notre retour à la maison, celui-ci a juste déposé les lettres dans notre voiture ? Doit-on considérer celle-ci comme une extension de nous même et considérer que nous portons le courrier ?
Dans le cas du courrier électronique, c'est encore plus compliqué : le logiciel (Fetch* par exemple) le porte-t-il à bout de bras ? ou bien le mène-t-il en criant et le menaçant ?...
En fait il apparaît qu'avec la complexification due au progrès, ses deux vocables ne suffisent plus à rendre compte de tous les cas de figures.
Qu'on s'étonne ensuite qu'ils soient utilisés l'un pour l'autre avec la plus grande confusion...
Qu'en pensez-vous ?
JPaul.
* to fetch="aller chercher", "(r)amener", "(r)apporter" d'après Robert & Collins. [Hou le vilain, c'est lui qui précise : person / thing pour ces deux derniers] ;-/ -- /==/==- Jean-Paul BLANC / /--/--// quelque-part (somewhere) |/| L | en (in) /|| = ||| FRANCE
La Rouille <news@NONffspeleo.com> wrote:
En français de France on ne peut ramener que ce qui a des mains, donc ta
mere avait raison.
Tu peut utiliser apporter dans le cas ou tu conside cette fille comme un
objet (de desir) car de toutes facons tu n'a pas envie de lui prendre
les mains ;-)
Hum... amha "mener", et par extension "amener" et "ramener" qui en
dérivent n'impliquent absolument pas la notion de mains : Quand on
ramène une vache à l'étable, il n'est pas nécessaire que celle-ci ait
des mains !... Ni même qu'elle soit tirée par la main.
Le dictionnaire étymologique Larousse me dit en fait que "mener" viens
du bas latin "minare" = "pousser les animaux devant soi en criant, en
les menaçant". Pas vraiment de mains nécessaires ici.
Quant à "apporter" et "rapporter", il dérivent de porter et donc
impliquent que l'on porte l'objet (ou l'animal ou la personne) . On peut
donc parfaitement rapporter un petit chiot à la niche ou un enfant à sa
mère, du moment qu'on les a mis dans ses bras.
Mais il est clair que ces sens ont évolué. Par exemple, on doit ***
ramener *** une voiture au garage (Il paraît en effet difficile de la
(rap)porter). Et pourtant, on ne le fait pas en criant ou en la
menaçant... ;-)
Et qu'en est -il d'un avion ou d'un bateau ? Le pilote doit-il le
rapporter à bon port ?
Non. Il me semble que ramener s'est imposé de lui-même dans ces cas.
Il me paraît donc clair que la distinction donnée par Tanguy :
on 'amène'
quelqu'un et on 'apporte' quelque chose.
est fausse.
Pour cette raison également la définition donnée par le "Dictionnaire
des difficultés du français" de Robert ne me paraît pas satisfaisante :
<< [Amener] implique un contact avec le sol et [apporter] implique
l'absence de contact >>
Amha la bonne définition me semblerait être plutôt :
<< Est porté (apporté/rapporté) ce qui est maintenu sans contact avec le
sol soit par notre effort, soit parce qu'il repose sur nous.
Est mené (amené/ramené) tout ce qui n'est pas porté. >>
Pour le courrier, il est donc clair qu'on le rapporte (on le porte dans
ses mains), lorsqu'on va relever la boîte au rez-de-chaussée de
l'immeuble.
Mais doit on dire encore cela, si croisant le facteur à notre retour à
la maison, celui-ci a juste déposé les lettres dans notre voiture ?
Doit-on considérer celle-ci comme une extension de nous même et
considérer que nous portons le courrier ?
Dans le cas du courrier électronique, c'est encore plus compliqué : le
logiciel (Fetch* par exemple) le porte-t-il à bout de bras ? ou bien le
mène-t-il en criant et le menaçant ?...
En fait il apparaît qu'avec la complexification due au progrès, ses deux
vocables ne suffisent plus à rendre compte de tous les cas de figures.
Qu'on s'étonne ensuite qu'ils soient utilisés l'un pour l'autre avec la
plus grande confusion...
Qu'en pensez-vous ?
JPaul.
* to fetch="aller chercher", "(r)amener", "(r)apporter" d'après Robert &
Collins. [Hou le vilain, c'est lui qui précise : person / thing pour
ces deux derniers] ;-/
--
/==/==\- Jean-Paul BLANC
/ /--/--//\ quelque-part (somewhere)
|/| L |\ en (in)
/|| = |||\ FRANCE
En français de France on ne peut ramener que ce qui a des mains, donc ta mere avait raison.
Tu peut utiliser apporter dans le cas ou tu conside cette fille comme un objet (de desir) car de toutes facons tu n'a pas envie de lui prendre les mains ;-)
Hum... amha "mener", et par extension "amener" et "ramener" qui en dérivent n'impliquent absolument pas la notion de mains : Quand on ramène une vache à l'étable, il n'est pas nécessaire que celle-ci ait des mains !... Ni même qu'elle soit tirée par la main. Le dictionnaire étymologique Larousse me dit en fait que "mener" viens du bas latin "minare" = "pousser les animaux devant soi en criant, en les menaçant". Pas vraiment de mains nécessaires ici.
Quant à "apporter" et "rapporter", il dérivent de porter et donc impliquent que l'on porte l'objet (ou l'animal ou la personne) . On peut donc parfaitement rapporter un petit chiot à la niche ou un enfant à sa mère, du moment qu'on les a mis dans ses bras.
Mais il est clair que ces sens ont évolué. Par exemple, on doit *** ramener *** une voiture au garage (Il paraît en effet difficile de la (rap)porter). Et pourtant, on ne le fait pas en criant ou en la menaçant... ;-)
Et qu'en est -il d'un avion ou d'un bateau ? Le pilote doit-il le rapporter à bon port ?
Non. Il me semble que ramener s'est imposé de lui-même dans ces cas.
Il me paraît donc clair que la distinction donnée par Tanguy :
on 'amène' quelqu'un et on 'apporte' quelque chose. est fausse.
Pour cette raison également la définition donnée par le "Dictionnaire des difficultés du français" de Robert ne me paraît pas satisfaisante :
<< [Amener] implique un contact avec le sol et [apporter] implique l'absence de contact >>
Amha la bonne définition me semblerait être plutôt : << Est porté (apporté/rapporté) ce qui est maintenu sans contact avec le sol soit par notre effort, soit parce qu'il repose sur nous.
Est mené (amené/ramené) tout ce qui n'est pas porté. >>
Pour le courrier, il est donc clair qu'on le rapporte (on le porte dans ses mains), lorsqu'on va relever la boîte au rez-de-chaussée de l'immeuble.
Mais doit on dire encore cela, si croisant le facteur à notre retour à la maison, celui-ci a juste déposé les lettres dans notre voiture ? Doit-on considérer celle-ci comme une extension de nous même et considérer que nous portons le courrier ?
Dans le cas du courrier électronique, c'est encore plus compliqué : le logiciel (Fetch* par exemple) le porte-t-il à bout de bras ? ou bien le mène-t-il en criant et le menaçant ?...
En fait il apparaît qu'avec la complexification due au progrès, ses deux vocables ne suffisent plus à rendre compte de tous les cas de figures.
Qu'on s'étonne ensuite qu'ils soient utilisés l'un pour l'autre avec la plus grande confusion...
Qu'en pensez-vous ?
JPaul.
* to fetch="aller chercher", "(r)amener", "(r)apporter" d'après Robert & Collins. [Hou le vilain, c'est lui qui précise : person / thing pour ces deux derniers] ;-/ -- /==/==- Jean-Paul BLANC / /--/--// quelque-part (somewhere) |/| L | en (in) /|| = ||| FRANCE
blanc
J. J. Lodder wrote:
'Fetch' is more like a command given to a dog. With luck it will come back with a newspaper :-)
Apport!
Ou encore "Va chercher !"
JPaul.
-- /==/==- Jean-Paul BLANC / /--/--// quelque-part (somewhere) |/| L | en (in) /|| = ||| FRANCE
J. J. Lodder <nospam@de-ster.demon.nl> wrote:
'Fetch' is more like a command given to a dog.
With luck it will come back with a newspaper :-)
Apport!
Ou encore "Va chercher !"
JPaul.
--
/==/==\- Jean-Paul BLANC
/ /--/--//\ quelque-part (somewhere)
|/| L |\ en (in)
/|| = |||\ FRANCE
'Fetch' is more like a command given to a dog. With luck it will come back with a newspaper :-)
Apport!
Ou encore "Va chercher !"
JPaul.
-- /==/==- Jean-Paul BLANC / /--/--// quelque-part (somewhere) |/| L | en (in) /|| = ||| FRANCE
nospam
JPaul wrote:
Hum... amha "mener", et par extension "amener" et "ramener" qui en dérivent n'impliquent absolument pas la notion de mains : Quand on ramène une vache à l'étable, il n'est pas nécessaire que celle-ci ait des mains !... Ni même qu'elle soit tirée par la main. Le dictionnaire étymologique Larousse me dit en fait que "mener" viens du bas latin "minare" = "pousser les animaux devant soi en criant, en les menaçant". Pas vraiment de mains nécessaires ici.
Absolument.
Le dictionnaire étymologique Larousse me dit en fait que "mener" viens du bas latin "minare" = "pousser les animaux devant soi en criant, en les menaçant". Pas vraiment de mains nécessaires ici.
Ne pas oublier l'exception (qui confirme la règle) de l'utilisation de 'amener' en tant que terme de marine (amener les voiles, entre autres). Mais il est alors limité à ce domaine.
Quant à "apporter" et "rapporter", il dérivent de porter et donc impliquent que l'on porte l'objet (ou l'animal ou la personne) .
Non. Porter a un sens plus général. Cf porter secours, porter bonheur, porter un coup, porter un jugement, ...
On peut donc parfaitement rapporter un petit chiot à la niche
Oui.
ou un enfant à sa mère, du moment qu'on les a mis dans ses bras.
Non, on ne rapporte pas un enfant; on le ramène, même si on le porte.
Mais il est clair que ces sens ont évolué. Par exemple, on doit *** ramener *** une voiture au garage (Il paraît en effet difficile de la (rap)porter). Et pourtant, on ne le fait pas en criant ou en la menaçant... ;-)
Oh non. Tu rapportes une voiture au garage. Tu ne la ramènes pas.
Et qu'en est -il d'un avion ou d'un bateau ? Le pilote doit-il le rapporter à bon port ?
Non, il doit les ramener, cf l'utilisation de 'amener' dans la marine.
Il me paraît donc clair que la distinction donnée par Tanguy :
on 'amène' quelqu'un et on 'apporte' quelque chose. est fausse.
Libre à toi d'être dans l'erreur. ;-)
-- Dies irae, dies illa
Anonyme Les catacombes online: http://www.catas.net
JPaul <blanc@empty.org> wrote:
Hum... amha "mener", et par extension "amener" et "ramener" qui en
dérivent n'impliquent absolument pas la notion de mains : Quand on
ramène une vache à l'étable, il n'est pas nécessaire que celle-ci ait
des mains !... Ni même qu'elle soit tirée par la main.
Le dictionnaire étymologique Larousse me dit en fait que "mener" viens
du bas latin "minare" = "pousser les animaux devant soi en criant, en
les menaçant". Pas vraiment de mains nécessaires ici.
Absolument.
Le dictionnaire étymologique Larousse me dit en fait que "mener" viens
du bas latin "minare" = "pousser les animaux devant soi en criant, en
les menaçant". Pas vraiment de mains nécessaires ici.
Ne pas oublier l'exception (qui confirme la règle) de l'utilisation de
'amener' en tant que terme de marine (amener les voiles, entre autres).
Mais il est alors limité à ce domaine.
Quant à "apporter" et "rapporter", il dérivent de porter et donc
impliquent que l'on porte l'objet (ou l'animal ou la personne) .
Non. Porter a un sens plus général. Cf porter secours, porter bonheur,
porter un coup, porter un jugement, ...
On peut donc parfaitement rapporter un petit chiot à la niche
Oui.
ou un enfant à sa mère, du moment qu'on les a mis dans ses bras.
Non, on ne rapporte pas un enfant; on le ramène, même si on le porte.
Mais il est clair que ces sens ont évolué. Par exemple, on doit ***
ramener *** une voiture au garage (Il paraît en effet difficile de la
(rap)porter). Et pourtant, on ne le fait pas en criant ou en la
menaçant... ;-)
Oh non. Tu rapportes une voiture au garage. Tu ne la ramènes pas.
Et qu'en est -il d'un avion ou d'un bateau ? Le pilote doit-il le
rapporter à bon port ?
Non, il doit les ramener, cf l'utilisation de 'amener' dans la marine.
Il me paraît donc clair que la distinction donnée par Tanguy :
on 'amène'
quelqu'un et on 'apporte' quelque chose.
est fausse.
Libre à toi d'être dans l'erreur. ;-)
--
Dies irae, dies illa
Anonyme <tanguy@alussinan.org>
Les catacombes online: http://www.catas.net
Hum... amha "mener", et par extension "amener" et "ramener" qui en dérivent n'impliquent absolument pas la notion de mains : Quand on ramène une vache à l'étable, il n'est pas nécessaire que celle-ci ait des mains !... Ni même qu'elle soit tirée par la main. Le dictionnaire étymologique Larousse me dit en fait que "mener" viens du bas latin "minare" = "pousser les animaux devant soi en criant, en les menaçant". Pas vraiment de mains nécessaires ici.
Absolument.
Le dictionnaire étymologique Larousse me dit en fait que "mener" viens du bas latin "minare" = "pousser les animaux devant soi en criant, en les menaçant". Pas vraiment de mains nécessaires ici.
Ne pas oublier l'exception (qui confirme la règle) de l'utilisation de 'amener' en tant que terme de marine (amener les voiles, entre autres). Mais il est alors limité à ce domaine.
Quant à "apporter" et "rapporter", il dérivent de porter et donc impliquent que l'on porte l'objet (ou l'animal ou la personne) .
Non. Porter a un sens plus général. Cf porter secours, porter bonheur, porter un coup, porter un jugement, ...
On peut donc parfaitement rapporter un petit chiot à la niche
Oui.
ou un enfant à sa mère, du moment qu'on les a mis dans ses bras.
Non, on ne rapporte pas un enfant; on le ramène, même si on le porte.
Mais il est clair que ces sens ont évolué. Par exemple, on doit *** ramener *** une voiture au garage (Il paraît en effet difficile de la (rap)porter). Et pourtant, on ne le fait pas en criant ou en la menaçant... ;-)
Oh non. Tu rapportes une voiture au garage. Tu ne la ramènes pas.
Et qu'en est -il d'un avion ou d'un bateau ? Le pilote doit-il le rapporter à bon port ?
Non, il doit les ramener, cf l'utilisation de 'amener' dans la marine.
Il me paraît donc clair que la distinction donnée par Tanguy :
on 'amène' quelqu'un et on 'apporte' quelque chose. est fausse.
Libre à toi d'être dans l'erreur. ;-)
-- Dies irae, dies illa
Anonyme Les catacombes online: http://www.catas.net
laurent.pertois
Fleuger wrote:
Il me semble que la relève du courrier est effectuée par le service des postes à l'heure de levée indiquée sur la boîte à lettres dans laquelle on dépose le courrier. (Je pense aux boîtes jaunes ou aux avaloirs devant et dans les bureaux de poste). Il n'y a donc pas d'équivalent informatique de cette action puisqu'on ne peut qu'envoyer ou récupérer le courrier. Dans le courrier électronique, on vide soi-même la boîte d'envoi.
Euh, non, je ne lis plus mes mails en faisant des telnet sur le serveur, je demande à mon logiciel d'aller vider la boîte sur le serveur pour déposer le tout dans une boîte sur ma machine...
Dans le courrier postal, c'est le facteur qui vide (relève) la boîte d'envoi.
...chez moi, le logiciel est un facteur qui relève et m'amène le tout pour que je le lise tranquillement.
-- Politically Correct Unix - UTILITIES The "touch" command has been removed from the standard distribution due to its inappropriate use by high-level managers.
Fleuger <fleurot@entrop.fr.fm> wrote:
Il me semble que la relève du courrier est effectuée par le service des
postes à l'heure de levée indiquée sur la boîte à lettres dans laquelle
on dépose le courrier. (Je pense aux boîtes jaunes ou aux avaloirs
devant et dans les bureaux de poste).
Il n'y a donc pas d'équivalent informatique de cette action puisqu'on ne
peut qu'envoyer ou récupérer le courrier.
Dans le courrier électronique, on vide soi-même la boîte d'envoi.
Euh, non, je ne lis plus mes mails en faisant des telnet sur le serveur,
je demande à mon logiciel d'aller vider la boîte sur le serveur pour
déposer le tout dans une boîte sur ma machine...
Dans le courrier postal, c'est le facteur qui vide (relève) la boîte
d'envoi.
...chez moi, le logiciel est un facteur qui relève et m'amène le tout
pour que je le lise tranquillement.
--
Politically Correct Unix - UTILITIES
The "touch" command has been removed from the standard distribution due
to its inappropriate use by high-level managers.
Il me semble que la relève du courrier est effectuée par le service des postes à l'heure de levée indiquée sur la boîte à lettres dans laquelle on dépose le courrier. (Je pense aux boîtes jaunes ou aux avaloirs devant et dans les bureaux de poste). Il n'y a donc pas d'équivalent informatique de cette action puisqu'on ne peut qu'envoyer ou récupérer le courrier. Dans le courrier électronique, on vide soi-même la boîte d'envoi.
Euh, non, je ne lis plus mes mails en faisant des telnet sur le serveur, je demande à mon logiciel d'aller vider la boîte sur le serveur pour déposer le tout dans une boîte sur ma machine...
Dans le courrier postal, c'est le facteur qui vide (relève) la boîte d'envoi.
...chez moi, le logiciel est un facteur qui relève et m'amène le tout pour que je le lise tranquillement.
-- Politically Correct Unix - UTILITIES The "touch" command has been removed from the standard distribution due to its inappropriate use by high-level managers.
J.P. Kuypers
In article (Dans l'article) <1gtl8kd.1t0r0lybsew3jN%, JPaul wrote (écrivait) :
Pour le courrier, il est donc clair qu'on le rapporte (on le porte dans ses mains), lorsqu'on va relever la boîte au rez-de-chaussée de l'immeuble.
Je note "relever la boîte", écrit comme cela, spontanément dans un article (fort) plus large.
C'est sans doute un signe de l'usage courant.
C'est cela que je pense idoine dans la traduction pour cette notion d'aller voir/vérifier s'il y a du courrier ou des articles sur le serveur de boîte aux lettres ou de Nouvelles.
"Mail Toolbox" dissocie bien l'étape de "Relever le courrier" et "Ramener". Mais la plupart des applications (Eudora, NewsWatcher, etc.), ramènent le courrier ou les articles si la relève révèle qu'il y a matière à (1).
(1) On relèvera la tournure qui consiste à achever une phrase par une préposition sans complémént.Les Héxagonaux considéreront sans doute cela comme une faute de français, mais en Gelbique on sait se laisser influencer par d'autres idiomes une fois. Nous savons sucer tout le jus avec la langue des autres.
-- Jean-Pierre Kuypers
Veuillez émailler les phrases dans leur con- texte avant de câbler sciemment.
Le présent article étant d'affliction pure, toute ressemblance avec une opinion exprimée ne pourra être attribuée qu'au hasard et, en aucun cas, être considérée comme celle de mon employeur.
In article (Dans l'article) <1gtl8kd.1t0r0lybsew3jN%blanc@empty.org>,
JPaul <blanc@empty.org> wrote (écrivait) :
Pour le courrier, il est donc clair qu'on le rapporte (on le porte dans
ses mains), lorsqu'on va relever la boîte au rez-de-chaussée de
l'immeuble.
Je note "relever la boîte", écrit comme cela, spontanément dans un
article (fort) plus large.
C'est sans doute un signe de l'usage courant.
C'est cela que je pense idoine dans la traduction pour cette notion
d'aller voir/vérifier s'il y a du courrier ou des articles sur le
serveur de boîte aux lettres ou de Nouvelles.
"Mail Toolbox" dissocie bien l'étape de "Relever le courrier" et
"Ramener". Mais la plupart des applications (Eudora, NewsWatcher,
etc.), ramènent le courrier ou les articles si la relève révèle qu'il y
a matière à (1).
(1) On relèvera la tournure qui consiste à achever une phrase par une
préposition sans complémént.Les Héxagonaux considéreront sans doute
cela comme une faute de français, mais en Gelbique on sait se laisser
influencer par d'autres idiomes une fois. Nous savons sucer tout le jus
avec la langue des autres.
--
Jean-Pierre Kuypers
Veuillez émailler les phrases dans leur con-
texte avant de câbler sciemment.
Le présent article étant d'affliction pure, toute ressemblance avec une
opinion exprimée ne pourra être attribuée qu'au hasard et, en aucun cas,
être considérée comme celle de mon employeur.
In article (Dans l'article) <1gtl8kd.1t0r0lybsew3jN%, JPaul wrote (écrivait) :
Pour le courrier, il est donc clair qu'on le rapporte (on le porte dans ses mains), lorsqu'on va relever la boîte au rez-de-chaussée de l'immeuble.
Je note "relever la boîte", écrit comme cela, spontanément dans un article (fort) plus large.
C'est sans doute un signe de l'usage courant.
C'est cela que je pense idoine dans la traduction pour cette notion d'aller voir/vérifier s'il y a du courrier ou des articles sur le serveur de boîte aux lettres ou de Nouvelles.
"Mail Toolbox" dissocie bien l'étape de "Relever le courrier" et "Ramener". Mais la plupart des applications (Eudora, NewsWatcher, etc.), ramènent le courrier ou les articles si la relève révèle qu'il y a matière à (1).
(1) On relèvera la tournure qui consiste à achever une phrase par une préposition sans complémént.Les Héxagonaux considéreront sans doute cela comme une faute de français, mais en Gelbique on sait se laisser influencer par d'autres idiomes une fois. Nous savons sucer tout le jus avec la langue des autres.
-- Jean-Pierre Kuypers
Veuillez émailler les phrases dans leur con- texte avant de câbler sciemment.
Le présent article étant d'affliction pure, toute ressemblance avec une opinion exprimée ne pourra être attribuée qu'au hasard et, en aucun cas, être considérée comme celle de mon employeur.
fleurot
Benoit Leraillez wrote:
Cas 3 Ta boîte aux lettres est vide & tu ne récupères rien. C'est normal, qui dira le contraire ? Tu n'as rien perdu puisque tu n'as rien trouvé puisque tu n'attendais rien. Et tu n'as rien à trier, jeter, brûler...
Bien sûr, ce cas là est imparable. Mais peut-on aussi relever une BAL vide ? Effectivement à l'heure de la levée (et non de la relève, c'est écrit sur la boîte), le facteur ouvre la boîte : s'il n'y a rien, il la referme et il n'a rien levé ni récupéré. Et pourtant, on appelle cette action une levée. Conclusion : il a bossé pour rien. Zut ! Encore un modèle économique non viable ! Et on s'étonne de la fermeture des bureaux de postes... ;-)
Eh oui ! Tu te croyais tranquille mais ma victoire sur tes propos aura été ardue. & si j'ai gagné, je n'ai donc pas perdu... & pourtant il faut que je récupère ! ;-)
Bravo. Je ne puis que m'incliner devant ta démonstration des différents sens de récupérer plus qu'éloquente.
Pour essayer de faire avancer le schmilblick, il me semble que "levée" serait plus approprié que "relève". Lever est bien un des sens décrits dans les dictionnaires et qui pourrait s'appliquer au courrier.
Bon. En fait, je ne sais plus trop, car il n'y a rien de vraiment satisfaisant et mon intervention n'est pas très constructive.
Euh... Pourquoi as-tu redirigé ce fil vers fr.comp.sys.mac ?
Cas 3 Ta boîte aux lettres est vide & tu ne récupères rien. C'est
normal, qui dira le contraire ? Tu n'as rien perdu puisque tu
n'as rien trouvé puisque tu n'attendais rien. Et tu n'as rien à
trier, jeter, brûler...
Bien sûr, ce cas là est imparable. Mais peut-on aussi relever une BAL
vide ? Effectivement à l'heure de la levée (et non de la relève, c'est
écrit sur la boîte), le facteur ouvre la boîte : s'il n'y a rien, il la
referme et il n'a rien levé ni récupéré. Et pourtant, on appelle cette
action une levée.
Conclusion : il a bossé pour rien.
Zut ! Encore un modèle économique non viable ! Et on s'étonne de la
fermeture des bureaux de postes... ;-)
Eh oui ! Tu te croyais tranquille mais ma victoire sur tes propos aura
été ardue. & si j'ai gagné, je n'ai donc pas perdu... & pourtant il faut
que je récupère ! ;-)
Bravo. Je ne puis que m'incliner devant ta démonstration des différents
sens de récupérer plus qu'éloquente.
Pour essayer de faire avancer le schmilblick, il me semble que "levée"
serait plus approprié que "relève".
Lever est bien un des sens décrits dans les dictionnaires et qui
pourrait s'appliquer au courrier.
Bon. En fait, je ne sais plus trop, car il n'y a rien de vraiment
satisfaisant et mon intervention n'est pas très constructive.
Euh... Pourquoi as-tu redirigé ce fil vers fr.comp.sys.mac ?
Cas 3 Ta boîte aux lettres est vide & tu ne récupères rien. C'est normal, qui dira le contraire ? Tu n'as rien perdu puisque tu n'as rien trouvé puisque tu n'attendais rien. Et tu n'as rien à trier, jeter, brûler...
Bien sûr, ce cas là est imparable. Mais peut-on aussi relever une BAL vide ? Effectivement à l'heure de la levée (et non de la relève, c'est écrit sur la boîte), le facteur ouvre la boîte : s'il n'y a rien, il la referme et il n'a rien levé ni récupéré. Et pourtant, on appelle cette action une levée. Conclusion : il a bossé pour rien. Zut ! Encore un modèle économique non viable ! Et on s'étonne de la fermeture des bureaux de postes... ;-)
Eh oui ! Tu te croyais tranquille mais ma victoire sur tes propos aura été ardue. & si j'ai gagné, je n'ai donc pas perdu... & pourtant il faut que je récupère ! ;-)
Bravo. Je ne puis que m'incliner devant ta démonstration des différents sens de récupérer plus qu'éloquente.
Pour essayer de faire avancer le schmilblick, il me semble que "levée" serait plus approprié que "relève". Lever est bien un des sens décrits dans les dictionnaires et qui pourrait s'appliquer au courrier.
Bon. En fait, je ne sais plus trop, car il n'y a rien de vraiment satisfaisant et mon intervention n'est pas très constructive.
Euh... Pourquoi as-tu redirigé ce fil vers fr.comp.sys.mac ?
-- Gérard FLEUROT <fleurot@(en-trop.)fr.fm>
fleurot
Laurent Pertois wrote:
Dans le courrier électronique, on vide soi-même la boîte d'envoi.
Euh, non, je ne lis plus mes mails en faisant des telnet sur le serveur, je demande à mon logiciel d'aller vider la boîte sur le serveur pour déposer le tout dans une boîte sur ma machine...
Dans le courrier postal, c'est le facteur qui vide (relève) la boîte d'envoi.
...chez moi, le logiciel est un facteur qui relève et m'amène le tout pour que je le lise tranquillement.
Oui, c'est vrai, avec un script, MacSoup fait tout cela. Inconvénient (pour moi) : il faut bien penser à cocher l'enveloppe brouillon tant que le courrier n'est pas rédigé complètement autrement, on risque de ne plus retrouver un courrier non terminé car il aura été relevé. (Et là, le mot relevé a un sens correct).
Ce cas là me fait penser à un secrétariat d'une subdivision d'une société dans laquelle un coursier traite les corbeilles "courrier départ" et "courrier arrivée" entre les différents services.
Cette comparaison reflète mieux la logique informatique de traitement du courrier puisque les deux boîtes sont contiguës, ce qui est différent du courrier postal.
Mais alors, comment définir les actions du coursier ?
Dans le courrier électronique, on vide soi-même la boîte d'envoi.
Euh, non, je ne lis plus mes mails en faisant des telnet sur le serveur,
je demande à mon logiciel d'aller vider la boîte sur le serveur pour
déposer le tout dans une boîte sur ma machine...
Dans le courrier postal, c'est le facteur qui vide (relève) la boîte
d'envoi.
...chez moi, le logiciel est un facteur qui relève et m'amène le tout
pour que je le lise tranquillement.
Oui, c'est vrai, avec un script, MacSoup fait tout cela.
Inconvénient (pour moi) : il faut bien penser à cocher l'enveloppe
brouillon tant que le courrier n'est pas rédigé complètement autrement,
on risque de ne plus retrouver un courrier non terminé car il aura été
relevé.
(Et là, le mot relevé a un sens correct).
Ce cas là me fait penser à un secrétariat d'une subdivision d'une
société dans laquelle un coursier traite les corbeilles "courrier
départ" et "courrier arrivée" entre les différents services.
Cette comparaison reflète mieux la logique informatique de traitement du
courrier puisque les deux boîtes sont contiguës, ce qui est différent du
courrier postal.
Mais alors, comment définir les actions du coursier ?
Dans le courrier électronique, on vide soi-même la boîte d'envoi.
Euh, non, je ne lis plus mes mails en faisant des telnet sur le serveur, je demande à mon logiciel d'aller vider la boîte sur le serveur pour déposer le tout dans une boîte sur ma machine...
Dans le courrier postal, c'est le facteur qui vide (relève) la boîte d'envoi.
...chez moi, le logiciel est un facteur qui relève et m'amène le tout pour que je le lise tranquillement.
Oui, c'est vrai, avec un script, MacSoup fait tout cela. Inconvénient (pour moi) : il faut bien penser à cocher l'enveloppe brouillon tant que le courrier n'est pas rédigé complètement autrement, on risque de ne plus retrouver un courrier non terminé car il aura été relevé. (Et là, le mot relevé a un sens correct).
Ce cas là me fait penser à un secrétariat d'une subdivision d'une société dans laquelle un coursier traite les corbeilles "courrier départ" et "courrier arrivée" entre les différents services.
Cette comparaison reflète mieux la logique informatique de traitement du courrier puisque les deux boîtes sont contiguës, ce qui est différent du courrier postal.
Mais alors, comment définir les actions du coursier ?
-- Gérard FLEUROT <fleurot@(en-trop.)fr.fm>
marcantispam
En outre, on peut préciser que la relève est plutôt réservée au domiane militaire, la relève de la garde, il y en a plusieurs de célèbres, qui par extension conduit à parler de rélève quand des jeunes peuvent remplacer des vieux pas nécessairement C**.
Par contre, j'imagine mal la relève du courrier, il n'y a pas de courrier descendant ni montant.
En outre, on peut préciser que la relève est plutôt réservée au domiane
militaire, la relève de la garde, il y en a plusieurs de célèbres, qui
par extension conduit à parler de rélève quand des jeunes peuvent
remplacer des vieux pas nécessairement C**.
Par contre, j'imagine mal la relève du courrier, il n'y a pas de
courrier descendant ni montant.
En outre, on peut préciser que la relève est plutôt réservée au domiane militaire, la relève de la garde, il y en a plusieurs de célèbres, qui par extension conduit à parler de rélève quand des jeunes peuvent remplacer des vieux pas nécessairement C**.
Par contre, j'imagine mal la relève du courrier, il n'y a pas de courrier descendant ni montant.
fleurot
Benoit Leraillez wrote:
Eh bin non ! Tu ne relèves pas le courrier que tu envoies, tu relèves celui que tu espères recevoir. Celui que tu envoies : tu l'expédies, tu le postes, tu vidanges ta boîte, tu purges ta corbeille de départ, tu rinces ta prose, tu vides ton sac ou tu envoies tes missives vers leurs destinations finales mais tu ne relèves rien d'autres que ta tête de l'écran pour souffler un coup. ;-)
Avec un script, ce n'est plus moi qui envoie, c'est le logiciel qui prend le courrier dans la boîte d'envoi et qui la vide tout comme le coursier vide la corbeille de courrier départ du secrétariat. Reste à savoir comment on peut définir l'action du coursier lorsqu'il vide la corbeille.
Eh bin non ! Tu ne relèves pas le courrier que tu envoies, tu relèves
celui que tu espères recevoir. Celui que tu envoies : tu l'expédies, tu
le postes, tu vidanges ta boîte, tu purges ta corbeille de départ, tu
rinces ta prose, tu vides ton sac ou tu envoies tes missives vers leurs
destinations finales mais tu ne relèves rien d'autres que ta tête de
l'écran pour souffler un coup.
;-)
Avec un script, ce n'est plus moi qui envoie, c'est le logiciel qui
prend le courrier dans la boîte d'envoi et qui la vide tout comme le
coursier vide la corbeille de courrier départ du secrétariat.
Reste à savoir comment on peut définir l'action du coursier lorsqu'il
vide la corbeille.
Eh bin non ! Tu ne relèves pas le courrier que tu envoies, tu relèves celui que tu espères recevoir. Celui que tu envoies : tu l'expédies, tu le postes, tu vidanges ta boîte, tu purges ta corbeille de départ, tu rinces ta prose, tu vides ton sac ou tu envoies tes missives vers leurs destinations finales mais tu ne relèves rien d'autres que ta tête de l'écran pour souffler un coup. ;-)
Avec un script, ce n'est plus moi qui envoie, c'est le logiciel qui prend le courrier dans la boîte d'envoi et qui la vide tout comme le coursier vide la corbeille de courrier départ du secrétariat. Reste à savoir comment on peut définir l'action du coursier lorsqu'il vide la corbeille.