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Une idée

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Sylvain
Qu'il soit vendu des très petit transpondeurs avec un numéro unique, agréer
par l'état et facturés avec une TVA négative, c'est à dire que l'état en
paye une partie pour inciter la population a en acheter.

Ces petits transpondeurs, vous pouvez les mettre dans les objets de valeurs
que vous transportez sur vous, dans la voiture, sur les chantiers de
travail....... par exemple dans le porte-monnaie, dans le porte-feuilles,
dans le téléphone mobile, dans l'appareil photo.........

Toutes les caméras de vidéo surveillances captent les transpondeurs et
annotent les images de la position des transpondeurs, les images sont
analysées par les caméras et si un transpondeurs passe rapidement d'une
personnes a une autre la caméra zoom automatiquement et suit l'objet.

En plus on a sur notre corps un détecteur qui signal aussitôt qu'un objet
s'éloigne, par un son ou une vibration, et qui envoie un signal radio qui
peut être capté par les caméra de vidéo surveillances et les fait zoomer et
suivre l'objet

Et mettre des caméra de vidéo surveillance partout, avec le système
d'enregistrement du positionnement des transpondeurs , relier a la 4G et les
images enregistrée sur un compte google+ de façon a ce que même si la caméra
est détruite les images ne peuvent pas être détruire

Même mettre des caméra de vidéo surveillance partout chez soi, dans son
jardin dans sa maison et pareil vendu avec une TVA négative et les images
via la 4G misent sur un compte google+

Ce système permet de chopper a coup sûr tous les pickpockets. Les
pickpockets attrapés comme ça sont admonesté et taper très fort en même
temps pour qu'ils comprennent

En plus il y aura un effet vaccin, il n'est pas nécessaire de vacciner la
totalité de la population pour que toute la population soit protégée, c'est
à dire que même si tout le monde n'est pas équipé, le pickpocket ne pourra
pas savoir les gens équipé ou non et aura tellement peur de se faire gauler
qu'il ne volera personne

Est-ce que ce serait bien ?

10 réponses

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Bidulette
Le 02/11/2016 à 14:22, zeLittle a écrit :
ceux qui croient que tout leur est dû sans payer.

Bien parler. Et pour finir de clouer le bec aux "100% suventionnistes",
j'ajoute que je sais plus qui a dit, mais il l'a dit: "there's no free
lunch".

Mouais. Faudrait dire ça aux tradeurs et aux actionnaires des banques
qui se sont bien gavé ces dernières années.
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Mol
Le 02/11/2016 à 14:14, zeLittle a écrit :
Il faudrait surtout que les gens aient la possibilité de voter pour
d'autres, des qui pensent au bien des individus plutôt qu'à leurs
prébendes, et à laisser faire tout ce qui est honnête plutôt qu'à le
taxer et le redistribuer aux copains.

Vous voulez dire qu'il y a bien trop d'intermédiations inutiles en
politique, et que par conséquent on pourrait gérer à minima aussi mal la
France qu'actuellement, avec donc beaucoup moins de gens qui confondent
"en être" et "être tout court"?

On pourrait surtout laisser 90% des activités de la France se gérer
elles-mêmes, sans passer par des intermédiaires qui se prétendent
indispensables, qui en ont convaincu les médias, et qui ont voté lois et
règlements pour faire perdurer le système qui les fait vivre.
La politique, ce devrait être comme le reste, récompensé largement et
poursuivi mais seulement en cas de succès, et sanctionné et stoppé au
plus vite en cas d'échec. Celui qui échoue doit garder le droit de
proposer autre chose, mais il doit être viré immédiatement s'il veut
poursuivre dans la voie du gâchis.
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Mol
Le 02/11/2016 à 14:44, Mol a écrit :
Celui qui échoue doit garder le droit de proposer autre chose, mais
il doit être viré immédiatement s'il veut poursuivre dans la voie du
gâchis.

La Révolution Française avait instauré une tradition de raccourcissement
par la tête pour les gouvernements en échec, qu'on pourrait remettre au
goût du jour...
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Bidulette
Le 02/11/2016 à 17:47, Mol a écrit :
Le 02/11/2016 à 14:44, Mol a écrit :
Celui qui échoue doit garder le droit de proposer autre chose, mais
il doit être viré immédiatement s'il veut poursuivre dans la voie du
gâchis.

La Révolution Française avait instauré une tradition de raccourcissement
par la tête pour les gouvernements en échec, qu'on pourrait remettre au
goût du jour...

Pas de bol, Sarko et Hollande ne sont pas très grands.
Je suspecte là une stratégie maline pour passer en dessous de la lame.
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zeLittle
La politique, ce devrait être comme le reste, récompensé largeme nt et
poursuivi mais seulement en cas de succès, et sanctionné et stoppé au
plus vite en cas d'échec. Celui qui échoue doit garder le droit de
proposer autre chose, mais il doit être viré immédiatement s'il veut
poursuivre dans la voie du gâchis.

Bon, effectivement un homme politique qualifie souvent un corps de
personnes comme appartenant à "la société civile", quand ils n'ont ni fait
l'ENA ou ni fait Science Po.: c'est aussi confondant, pas seulement
poujadiste.
Je lance donc en l'air:
- l'idée d'une convention collective de l'homme politique, comme tout le
monde, où il lui serait accordé une aide à la formation en cas d'é chec à
des élections. Ça éviterait d'en voir certains s'accrocher au syst ème
(comme autre chose ailleurs), quoiqu'il en coûte à la "société c ivile"
(les autres, pas eux).
- l'idée d'une obligation de gestion de chaque ministère, avec une
direction
bipartites constituée d'experts élus par leurs pères dans le domai ne géré
par le ministère (compétence), et par la cours des comptes (faisabil ité,
gestion du risque en amont). L'homme politique serait là pour trancher en
dernier recours et communiquer (ce qu'il sait souvent bien et le mieux
faire) sur quelque chose de pragmatique, choisi parmi les seules solutio ns
possibles non éliminées pour cause d'infaisabilité.
- l'idée d'un "Indice du mieux vivre" géré par l'INSEE. Ça perme ttrait
d'avoir un indicateur des conséquences politiques.
- et enfin, je termine par l'idée d'une clause "chaise éjectable" da ns la
constitution, du genre "impeachment" (comme je sais que les américains ont
toujours 10 ans d'avance dans leur démocratie sur la nôtre) jouant e n cas
de trop grand malus en un temps court imparti - un homme politique n'est
pas là pour tout cassé - et jouant aussi en cas de pas assez de bonu s sur
une échelle de temps plus grande - l'homme politique doit être là aussi
pour assumer ce en quoi il s'est engagé.
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oscar nügel
Le 02/11/2016 à 18:32, zeLittle a écrit :
La politique, ce devrait être comme le reste, récompensé largement et
poursuivi mais seulement en cas de succès, et sanctionné et stoppé au
plus vite en cas d'échec. Celui qui échoue doit garder le droit de
proposer autre chose, mais il doit être viré immédiatement s'il veut
poursuivre dans la voie du gâchis.

Bon, effectivement un homme politique qualifie souvent un corps de
personnes comme appartenant à "la société civile", quand ils n'ont ni
fait l'ENA ou ni fait Science Po.: c'est aussi confondant, pas seulement
poujadiste.
Je lance donc en l'air:
- l'idée d'une convention collective de l'homme politique, comme tout le
monde, où il lui serait accordé une aide à la formation en cas d'échec à
des élections. Ça éviterait d'en voir certains s'accrocher au système
(comme autre chose ailleurs), quoiqu'il en coûte à la "société civile"
(les autres, pas eux).

et pourquoi donc un traitement de faveur pour ces pillards
(actuellement, ce ne sont que des pillards) ? il est accordé une aide à
la formation à la fin d'un cdd d'un honnête salarié ?
- l'idée d'une obligation de gestion de chaque ministère, avec une
direction
bipartites constituée d'experts élus par leurs pères dans le domaine
géré par le ministère (compétence), et par la cours des comptes
(faisabilité, gestion du risque en amont). L'homme politique serait là
pour trancher en dernier recours et communiquer (ce qu'il sait souvent
bien et le mieux faire) sur quelque chose de pragmatique, choisi parmi
les seules solutions possibles non éliminées pour cause d'infaisabilité.

bref, des fonks supplémentaires pour soit disant gérer... il est évident
que ça débouchera évidemment sur le népotisme et la connivence : comment
espérer que les pères ne voteront pas inconditionnellement pour leurs fils ?
et ça marche aussi pour les pairs qui voteront inconditionnellement pour
leurs pairs.
- l'idée d'un "Indice du mieux vivre" géré par l'INSEE. Ça permettrait
d'avoir un indicateur des conséquences politiques.

ce n'est pas à l'insee de dire ce qu'est la qualité de vie. c'est à
chacun de définir ce qui le rend heureux et de tenter d'atteindre ce but.
- et enfin, je termine par l'idée d'une clause "chaise éjectable" dans
la constitution, du genre "impeachment" (comme je sais que les
américains ont toujours 10 ans d'avance dans leur démocratie sur la
nôtre) jouant en cas de trop grand malus en un temps court imparti - un
homme politique n'est pas là pour tout cassé - et jouant aussi en cas de
pas assez de bonus sur une échelle de temps plus grande - l'homme
politique doit être là aussi pour assumer ce en quoi il s'est engagé.

si l'élu était responsable sur son patrimoine, nul doute qu'il
s'éjecterait de lui même rapidement en cas d'échec.
je propose : tout candidat à un poste électif devrait déposer une
certaine somme à la caisse des dépôts et consignations, par exemple 1
% du budget annuel multiplié par le nombre d'années du mandat de
l'entité qu'ils prétendent gérer.
si ils ne sont pas élus, ils récupèrent immédiatement leur mise. si ils
sont élus, ils récupèrent leur mise à la fin du mandat après avoir
épongé par exemple 10 % du déficit qu'ils ont provoqué. si avant la fin
du mandat ils ont provoqué assez de déficit pour épuiser leur dépôt
initial, ils remettent la main au pot ou alors élections anticipées.
bien sûr, il ne faut pas qu'un bâton, il faut aussi une carotte :
intéressement de 10 % sur les excédants qu'ils auront réussi à générer.
pour ma petite ville de province, budget de 44 millions d'euros, 33
conseillers municipaux, voilà le calcul :
44 x 6 ans = 264 millions d'euros à gérer. 2,64 millions d'euros à
consigner ou à nantir pour présenter une liste, soit 80 000 euros par
personne (ou tout autre répartition décidée par les colistiers, c'est
une affaire interne entre eux).
alors évidemment, tout le monde ne pourrait pas déposer sur la table 80
000 euros, tout le monde ne pourrait pas se présenter aux élections.
mais c'est plutôt rassurant : si à 50 ou 60 ans on n'a pas été capable
d'accumuler 80 000 euros de patrimoine, on n'est manifestement pas
qualifié pour gérer l'argent des autres. et si on n'est pas d'accord
pour risquer la valeur d'un petit appartement en ville, quelle confiance
accorder au programme ?
en vérité, la plaie en france, c'est le nombre d'élus (600 000 en
comptant tout, principalement dans les 36 000 communes) qui sont pour
l'extrême majorité de bonne volonté, qui veulent le bien commun, mais,
problème essentiel, pas avec leurs sous... il y a trop de ces gens de
bonnes intentions qui croient qu'ils doivent absolument être utiles à
leurs contemporains.
il y aurait en france 6 000 communes, on aurait 150 000 élus, c'est à
dire 4 fois moins de gens qui se posent la question 7 jours par semaine
"comment dépenser l'argent des gens qui habitent dans mon village, dans
ma ville ?"
oscar nügel
Avatar
Mol
Le 02/11/2016 à 18:32, zeLittle a écrit :
La politique, ce devrait être comme le reste, récompensé largement et
poursuivi mais seulement en cas de succès, et sanctionné et stoppé au
plus vite en cas d'échec. Celui qui échoue doit garder le droit de
proposer autre chose, mais il doit être viré immédiatement s'il veut
poursuivre dans la voie du gâchis.

Bon, effectivement un homme politique qualifie souvent un corps de
personnes comme appartenant à "la société civile", quand ils n'ont ni
fait l'ENA ou ni fait Science Po.: c'est aussi confondant, pas seulement
poujadiste.
Je lance donc en l'air:
- l'idée d'une convention collective de l'homme politique, comme tout le
monde, où il lui serait accordé une aide à la formation en cas d'échec à
des élections. Ça éviterait d'en voir certains s'accrocher au système
(comme autre chose ailleurs), quoiqu'il en coûte à la "société civile"
(les autres, pas eux).
- l'idée d'une obligation de gestion de chaque ministère, avec une
direction
bipartites constituée d'experts élus par leurs pères dans le domaine
géré par le ministère (compétence), et par la cours des comptes
(faisabilité, gestion du risque en amont). L'homme politique serait là
pour trancher en dernier recours et communiquer (ce qu'il sait souvent
bien et le mieux faire) sur quelque chose de pragmatique, choisi parmi
les seules solutions possibles non éliminées pour cause d'infaisabilité.
- l'idée d'un "Indice du mieux vivre" géré par l'INSEE. Ça permettrait
d'avoir un indicateur des conséquences politiques.
- et enfin, je termine par l'idée d'une clause "chaise éjectable" dans
la constitution, du genre "impeachment" (comme je sais que les
américains ont toujours 10 ans d'avance dans leur démocratie sur la
nôtre) jouant en cas de trop grand malus en un temps court imparti - un
homme politique n'est pas là pour tout cassé - et jouant aussi en cas de
pas assez de bonus sur une échelle de temps plus grande - l'homme
politique doit être là aussi pour assumer ce en quoi il s'est engagé.

Jusqu'à cette dernière proposition, je croyais que c'était de l'ironie...
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zeLittle
ce n'est pas à l'insee de dire ce qu'est la qualité de vie. c'est à
chacun de définir ce qui le rend heureux et de tenter d'atteindre ce but.

Ben, oui. Mais ensuite, l'INSEE agrège des données. Ça donne un in dicateur
genre loi des grands nombres. Ce genre d'indice existe dans certain pays
nordiques.
Évidemment, ici, la règle du jeu est que celui qui gueule le plus fo rt
dans la rue et qui emm**de le maximum de ses congénères, s'impose co mme
indice-référence du moment, et donc impose le calendrier... Donc, le s
politiques gèrent au gré des événements que peuvent leur imposer des
corporatismes qui l'ont compris. De coup l'homme politique n'anticipe pl us
grand chose. Il gère.
Ça pose aussi le problème de l'homme politique masochiste: celui qui ne
peut pas s'empêcher de se rajouter des problèmes, comme s'il n'y en avait
pas déjà assez. Là, ça relève peut être plutôt du forum [p roblèmes
psychologiques].
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Mol
Le 04/11/2016 à 14:57, zeLittle a écrit :
ce n'est pas à l'insee de dire ce qu'est la qualité de vie. c'est à
chacun de définir ce qui le rend heureux et de tenter d'atteindre ce but.

Ben, oui. Mais ensuite, l'INSEE agrège des données. Ça donne un
indicateur genre loi des grands nombres.

Ca donne un indicateur dont seules quelques personnes à l'Insee
maîtrisent la signification, mais qui permet de justifier certains choix
collectifs en embrouillant l'électeur. La loi des grands nombres a des
conditions d'application que le but des statisticiens est de faire
oublier pour plaire à ceux qui les mandatent...
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Gloops
Le 02/11/2016 à 17:47, Mol a écrit :
Le 02/11/2016 à 14:44, Mol a écrit :
Celui qui échoue doit garder le droit de proposer autre chose, mais
il doit être viré immédiatement s'il veut poursuivre dans la voie du
gâchis.

La Révolution Française avait instauré une tradition de raccourcissement
par la tête pour les gouvernements en échec, qu'on pourrait remettre au
goût du jour...

Ah, tiens, va savoir pourquoi, voir Hollande en passer par là, ça me
ferait du bien :)
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