halos clairs dans le ciel au contact des têtes, cette image pue.
Je n'ai pas tout regardé, et effectivement sur le plan éthique, on peut
discuter.
halos clairs dans le ciel au contact des têtes, cette image pue.
Je n'ai pas tout regardé, et effectivement sur le plan éthique, on peut
discuter.
halos clairs dans le ciel au contact des têtes, cette image pue.
Je n'ai pas tout regardé, et effectivement sur le plan éthique, on peut
discuter.
Palmerclaude a écrit
( 45d22872$0$5076$ )halos clairs dans le ciel au contact des têtes, cette image pue.
Je n'ai pas tout regardé, et effectivement sur le plan éthique, on peut
discuter.
On peut tout autant discuter du labo numérique.
Tu parles recadrage, certes, mais je ne fais *aucune* confiance à des
gougnafiers qui travaillent si mal une image. Le halo au niveau des têtes
montre qu'ici on n'a pas seulement affaire à un ajustement de niveaux même
par des courbes, mais qu'il y a eu modification du contraste local. Je
penche pour bien autre chose que de l'accentuation maladroite. Sans doute
un
rehaussement des ombres.
C'est donc du labo numérique, du vrai. Les couleurs, le tampon, le
cadrage,
va savoir ? Perso je m'en fiche, mais je ne pense pas qu'on puisse venir
avec ces images alimentaires défendre la cause d'un purisme esthétique ou
même d'une quelconque déontologie, venant de photographes de presse je n'y
crois pas une seconde.
A mon humble avis bien sûr.
Palmerclaude a écrit
( 45d22872$0$5076$ba4acef3@news.orange.fr )
halos clairs dans le ciel au contact des têtes, cette image pue.
Je n'ai pas tout regardé, et effectivement sur le plan éthique, on peut
discuter.
On peut tout autant discuter du labo numérique.
Tu parles recadrage, certes, mais je ne fais *aucune* confiance à des
gougnafiers qui travaillent si mal une image. Le halo au niveau des têtes
montre qu'ici on n'a pas seulement affaire à un ajustement de niveaux même
par des courbes, mais qu'il y a eu modification du contraste local. Je
penche pour bien autre chose que de l'accentuation maladroite. Sans doute
un
rehaussement des ombres.
C'est donc du labo numérique, du vrai. Les couleurs, le tampon, le
cadrage,
va savoir ? Perso je m'en fiche, mais je ne pense pas qu'on puisse venir
avec ces images alimentaires défendre la cause d'un purisme esthétique ou
même d'une quelconque déontologie, venant de photographes de presse je n'y
crois pas une seconde.
A mon humble avis bien sûr.
Palmerclaude a écrit
( 45d22872$0$5076$ )halos clairs dans le ciel au contact des têtes, cette image pue.
Je n'ai pas tout regardé, et effectivement sur le plan éthique, on peut
discuter.
On peut tout autant discuter du labo numérique.
Tu parles recadrage, certes, mais je ne fais *aucune* confiance à des
gougnafiers qui travaillent si mal une image. Le halo au niveau des têtes
montre qu'ici on n'a pas seulement affaire à un ajustement de niveaux même
par des courbes, mais qu'il y a eu modification du contraste local. Je
penche pour bien autre chose que de l'accentuation maladroite. Sans doute
un
rehaussement des ombres.
C'est donc du labo numérique, du vrai. Les couleurs, le tampon, le
cadrage,
va savoir ? Perso je m'en fiche, mais je ne pense pas qu'on puisse venir
avec ces images alimentaires défendre la cause d'un purisme esthétique ou
même d'une quelconque déontologie, venant de photographes de presse je n'y
crois pas une seconde.
A mon humble avis bien sûr.
Je suis revenu, tant pis pour vous !
et je conforte mon point de vue avec ce lien que je vous suggère de
regarder religieusement :
http://www.worldpressphoto.com/index.php?option=com_photogallery&task=blogsection&id&Itemid6&bandwidth=high
Ces sont des photos des lauréats du World press photo, et je n'y vois
guère de recadrages ?
Je suis revenu, tant pis pour vous !
et je conforte mon point de vue avec ce lien que je vous suggère de
regarder religieusement :
http://www.worldpressphoto.com/index.php?option=com_photogallery&task=blogsection&id&Itemid6&bandwidth=high
Ces sont des photos des lauréats du World press photo, et je n'y vois
guère de recadrages ?
Je suis revenu, tant pis pour vous !
et je conforte mon point de vue avec ce lien que je vous suggère de
regarder religieusement :
http://www.worldpressphoto.com/index.php?option=com_photogallery&task=blogsection&id&Itemid6&bandwidth=high
Ces sont des photos des lauréats du World press photo, et je n'y vois
guère de recadrages ?
Palmerclaude wrote:Je suis revenu, tant pis pour vous !
et je conforte mon point de vue avec ce lien que je vous suggère de
regarder religieusement :
http://www.worldpressphoto.com/index.php?option=com_photogallery&task=blogsection&id&Itemid6&bandwidth=high
Ces sont des photos des lauréats du World press photo, et je n'y vois
guère de recadrages ?
Je regarde (pas très) religieusement les rapports L/H -- incidemment,
nonobstant l'anticlic droit -- et je relève quelques valeurs. La plupart
colle bien aux rapports standard 3/2=1,5 ou 1/1=1,0, mais je relève aussi
quelques valeurs plus étonnantes :
1,378 : Alex Livesey, Peter Crouch scores against...
1,413 : Arturo Rodríguez, Migrants wait for....
1,432 : Yonathan Weitzman, Forced evacuation...
1,461 : Oded Balilty, Settler woman struggles...
1,533 : Daniel Aguilar, Accused burglar
1,713 : Mohammed Ballas, Public execution...
Pas de recadrage, vraiment ?
Charles
P.S. Aucun rapport autour de 1,333, je suis déçu. Les pros n'utilisent pas
les capteurs 4/3 -- ou alors ils recadrent sauvagement :-))
Quelle merveilleuse obstination pour contrer mon point de vue ;-)
Je vais faire UNE concession : un cadrage mineur pour entrer dans un format
Palmerclaude wrote:
Je suis revenu, tant pis pour vous !
et je conforte mon point de vue avec ce lien que je vous suggère de
regarder religieusement :
http://www.worldpressphoto.com/index.php?option=com_photogallery&task=blogsection&id&Itemid6&bandwidth=high
Ces sont des photos des lauréats du World press photo, et je n'y vois
guère de recadrages ?
Je regarde (pas très) religieusement les rapports L/H -- incidemment,
nonobstant l'anticlic droit -- et je relève quelques valeurs. La plupart
colle bien aux rapports standard 3/2=1,5 ou 1/1=1,0, mais je relève aussi
quelques valeurs plus étonnantes :
1,378 : Alex Livesey, Peter Crouch scores against...
1,413 : Arturo Rodríguez, Migrants wait for....
1,432 : Yonathan Weitzman, Forced evacuation...
1,461 : Oded Balilty, Settler woman struggles...
1,533 : Daniel Aguilar, Accused burglar
1,713 : Mohammed Ballas, Public execution...
Pas de recadrage, vraiment ?
Charles
P.S. Aucun rapport autour de 1,333, je suis déçu. Les pros n'utilisent pas
les capteurs 4/3 -- ou alors ils recadrent sauvagement :-))
Quelle merveilleuse obstination pour contrer mon point de vue ;-)
Je vais faire UNE concession : un cadrage mineur pour entrer dans un format
Palmerclaude wrote:Je suis revenu, tant pis pour vous !
et je conforte mon point de vue avec ce lien que je vous suggère de
regarder religieusement :
http://www.worldpressphoto.com/index.php?option=com_photogallery&task=blogsection&id&Itemid6&bandwidth=high
Ces sont des photos des lauréats du World press photo, et je n'y vois
guère de recadrages ?
Je regarde (pas très) religieusement les rapports L/H -- incidemment,
nonobstant l'anticlic droit -- et je relève quelques valeurs. La plupart
colle bien aux rapports standard 3/2=1,5 ou 1/1=1,0, mais je relève aussi
quelques valeurs plus étonnantes :
1,378 : Alex Livesey, Peter Crouch scores against...
1,413 : Arturo Rodríguez, Migrants wait for....
1,432 : Yonathan Weitzman, Forced evacuation...
1,461 : Oded Balilty, Settler woman struggles...
1,533 : Daniel Aguilar, Accused burglar
1,713 : Mohammed Ballas, Public execution...
Pas de recadrage, vraiment ?
Charles
P.S. Aucun rapport autour de 1,333, je suis déçu. Les pros n'utilisent pas
les capteurs 4/3 -- ou alors ils recadrent sauvagement :-))
Quelle merveilleuse obstination pour contrer mon point de vue ;-)
Je vais faire UNE concession : un cadrage mineur pour entrer dans un format
"Charles VASSALLO" in message: 45d2d5f1$0$25947$Je regarde (pas très) religieusement les rapports L/H
[et j'en trouve qui vont de 1,38 à 1,71]
Pas de recadrage, vraiment ?
Quelle merveilleuse obstination pour contrer mon point de vue ;-)
Je vais faire UNE concession : un cadrage mineur pour entrer dans un
format avec un rapport de 1, 533 au lieu de 1,5 sera absous.[....]
On continue ? Ou cela gave-t-il les autres lecteurs ? On les remercie de
nous le faire savoir, auquel cas on arrête... si tu veux bien.
"Charles VASSALLO" in message: 45d2d5f1$0$25947$ba4acef3@news.orange.fr...
Je regarde (pas très) religieusement les rapports L/H
[et j'en trouve qui vont de 1,38 à 1,71]
Pas de recadrage, vraiment ?
Quelle merveilleuse obstination pour contrer mon point de vue ;-)
Je vais faire UNE concession : un cadrage mineur pour entrer dans un
format avec un rapport de 1, 533 au lieu de 1,5 sera absous.[....]
On continue ? Ou cela gave-t-il les autres lecteurs ? On les remercie de
nous le faire savoir, auquel cas on arrête... si tu veux bien.
"Charles VASSALLO" in message: 45d2d5f1$0$25947$Je regarde (pas très) religieusement les rapports L/H
[et j'en trouve qui vont de 1,38 à 1,71]
Pas de recadrage, vraiment ?
Quelle merveilleuse obstination pour contrer mon point de vue ;-)
Je vais faire UNE concession : un cadrage mineur pour entrer dans un
format avec un rapport de 1, 533 au lieu de 1,5 sera absous.[....]
On continue ? Ou cela gave-t-il les autres lecteurs ? On les remercie de
nous le faire savoir, auquel cas on arrête... si tu veux bien.
je ne vois pas pourquoi "focaliser" sur une des centaines d'images
présentées dont beaucoup trés belles et utiles en terme d'information.
Quant à "alimentaire" c'est un curieux mépris pour des professionnels
ont peut-être autant l'amour de leur métier et le désir d'informer avec
une déontologie certaine, un métier et un goût assez sûr.
je ne vois pas pourquoi "focaliser" sur une des centaines d'images
présentées dont beaucoup trés belles et utiles en terme d'information.
Quant à "alimentaire" c'est un curieux mépris pour des professionnels
ont peut-être autant l'amour de leur métier et le désir d'informer avec
une déontologie certaine, un métier et un goût assez sûr.
je ne vois pas pourquoi "focaliser" sur une des centaines d'images
présentées dont beaucoup trés belles et utiles en terme d'information.
Quant à "alimentaire" c'est un curieux mépris pour des professionnels
ont peut-être autant l'amour de leur métier et le désir d'informer avec
une déontologie certaine, un métier et un goût assez sûr.
Palmerclaude wrote:
"Charles VASSALLO" in message:
45d2d5f1$0$25947$Je regarde (pas très) religieusement les rapports L/H [et j'en trouve
qui vont de 1,38 à 1,71]
Pas de recadrage, vraiment ?
Quelle merveilleuse obstination pour contrer mon point de vue ;-) Je vais
faire UNE concession : un cadrage mineur pour entrer dans un format avec
un rapport de 1, 533 au lieu de 1,5 sera absous.[....]
Oui, accordé de grand coeur... mais 1,38 ? ou 1,71 ? Pêché véniel ou un
rab de purgatoire ?
Il est de bon sens que chaque photographe utilise au mieux la petite
fenêtre qu'il a sur le monde et qu'il place au mieux le cadre de son
viseur au moment de la prise de vue. Dans la plupart des cas, ça marchera
très bien et le recadrage sera inutile ou purement cosmétique. Ça me fait
penser aux puristes du point fort qui l'auraient voulu à 38,2% (pile le
nombre d'or) plutôt qu'à un tiers bien pesé ; ça n'est pas aussi pointu
que ça.
Mais le point est : est-ce qu'on cède au fétichisme des marges brutes ou
pas ? On rencontre parfois des sujets qui ne peuvent pas s'inscrire dans
le rapport 3/2 ou 4/3 de sa boiboîte. Plutôt que de détourner les yeux
d'une telle horreur, j'appuie sur le bouton et je recadrerai plus tard.On continue ? Ou cela gave-t-il les autres lecteurs ? On les remercie de
nous le faire savoir, auquel cas on arrête... si tu veux bien.
Ne t'inquiète pas, ce n'est pas comme si ce forum était surchargé. Tant
que les gardiens du temple dorment...
Charles
Allez hop, ce qui ne rentre pas dans la boîte, on corrige les 80 photos en
assemblage avec autopano ou autre, puis en panoramique 360°avec Ptgui...
Palmerclaude wrote:
"Charles VASSALLO" in message:
45d2d5f1$0$25947$ba4acef3@news.orange.fr...
Je regarde (pas très) religieusement les rapports L/H [et j'en trouve
qui vont de 1,38 à 1,71]
Pas de recadrage, vraiment ?
Quelle merveilleuse obstination pour contrer mon point de vue ;-) Je vais
faire UNE concession : un cadrage mineur pour entrer dans un format avec
un rapport de 1, 533 au lieu de 1,5 sera absous.[....]
Oui, accordé de grand coeur... mais 1,38 ? ou 1,71 ? Pêché véniel ou un
rab de purgatoire ?
Il est de bon sens que chaque photographe utilise au mieux la petite
fenêtre qu'il a sur le monde et qu'il place au mieux le cadre de son
viseur au moment de la prise de vue. Dans la plupart des cas, ça marchera
très bien et le recadrage sera inutile ou purement cosmétique. Ça me fait
penser aux puristes du point fort qui l'auraient voulu à 38,2% (pile le
nombre d'or) plutôt qu'à un tiers bien pesé ; ça n'est pas aussi pointu
que ça.
Mais le point est : est-ce qu'on cède au fétichisme des marges brutes ou
pas ? On rencontre parfois des sujets qui ne peuvent pas s'inscrire dans
le rapport 3/2 ou 4/3 de sa boiboîte. Plutôt que de détourner les yeux
d'une telle horreur, j'appuie sur le bouton et je recadrerai plus tard.
On continue ? Ou cela gave-t-il les autres lecteurs ? On les remercie de
nous le faire savoir, auquel cas on arrête... si tu veux bien.
Ne t'inquiète pas, ce n'est pas comme si ce forum était surchargé. Tant
que les gardiens du temple dorment...
Charles
Allez hop, ce qui ne rentre pas dans la boîte, on corrige les 80 photos en
assemblage avec autopano ou autre, puis en panoramique 360°avec Ptgui...
Palmerclaude wrote:
"Charles VASSALLO" in message:
45d2d5f1$0$25947$Je regarde (pas très) religieusement les rapports L/H [et j'en trouve
qui vont de 1,38 à 1,71]
Pas de recadrage, vraiment ?
Quelle merveilleuse obstination pour contrer mon point de vue ;-) Je vais
faire UNE concession : un cadrage mineur pour entrer dans un format avec
un rapport de 1, 533 au lieu de 1,5 sera absous.[....]
Oui, accordé de grand coeur... mais 1,38 ? ou 1,71 ? Pêché véniel ou un
rab de purgatoire ?
Il est de bon sens que chaque photographe utilise au mieux la petite
fenêtre qu'il a sur le monde et qu'il place au mieux le cadre de son
viseur au moment de la prise de vue. Dans la plupart des cas, ça marchera
très bien et le recadrage sera inutile ou purement cosmétique. Ça me fait
penser aux puristes du point fort qui l'auraient voulu à 38,2% (pile le
nombre d'or) plutôt qu'à un tiers bien pesé ; ça n'est pas aussi pointu
que ça.
Mais le point est : est-ce qu'on cède au fétichisme des marges brutes ou
pas ? On rencontre parfois des sujets qui ne peuvent pas s'inscrire dans
le rapport 3/2 ou 4/3 de sa boiboîte. Plutôt que de détourner les yeux
d'une telle horreur, j'appuie sur le bouton et je recadrerai plus tard.On continue ? Ou cela gave-t-il les autres lecteurs ? On les remercie de
nous le faire savoir, auquel cas on arrête... si tu veux bien.
Ne t'inquiète pas, ce n'est pas comme si ce forum était surchargé. Tant
que les gardiens du temple dorment...
Charles
Allez hop, ce qui ne rentre pas dans la boîte, on corrige les 80 photos en
assemblage avec autopano ou autre, puis en panoramique 360°avec Ptgui...
"Charles VASSALLO" a écrit dans le
message de news: 45cf40f2$0$5112$Palmerclaude wrote:Enfin, pour les arguments contraires, je n'ai jamais entendu que ceux
qui tiennent à la doxodoxie de l'orthodoxie ("c'est parce que c'est
comme ça") et j'aimerais bien un peu plus de développements et
d'arguments de la part d'un anti-recadrage...
Je ne sais pas si c'esy le bon forum pour développer tout ça. Sinon,
dites-moi où continuer et j'y vais. Je vais ailleurs?
bof, aussi bon qu'ailleurs. On est plus orienté cuisine d'ordinaire ici,
ce serait peut-être mieux en place dans frpl, pour une fois que la
discussion décollerait des paquerettes...Dans ma première vie de photographe (années 50) mes amis et moi
considérions que quand on a quelque chose à dire par l'image, on saisit
l'instant , le cadrage original, la situation, le mouvement. le
caractère unique du noir et blanc.Cela ne souffrait, dans mon esprit,
aucun compromis.le recadrage était considéré comme une bidouille parce
que, sans recadrage on avait LA photo [...]
[.....]
On retrouve toujours cette orthodoxie consistant à exprimer des choses
que l'on ressent et qu'on offre au regard des autres espérant qu'ils y
trouveront quelque chose qui les attire, les retient. [......]
Est-ce que je reste sur les mêmes bases avec le numérique et les
possibilités immenses des logiciels graphiques ? je pense
qu'instinctivement et pour l'essentiel oui..
Ta profession de foi est curieuse. Avec ta première citation du papier
http://www.luminous-landscape.com/essays/und-crop.shtml
j'aurais cru que tu partageais pleinement le point de vue qui s'y
exprimait.
Pour moi, comme expliqué dans l'article, le cadrage est un élément
signifiant de la composition que l'on choisit en fonction de ce que l'on
veut dire. Point barre. A la rigueur, je pourrais accepter des compromis
pour des raisons très anecdotiques, comme l'unité de présentation d'une
série dans un lieu particulier, mais s'imposer au départ de travailler --
et de toujours travailler -- dans un format donné pour la seule et unique
raison que c'est celui de son matériel me paraît débile. Enfin, libre à
chacun de courir le 100 m à cloche pied, certains le feront même plus
vite que moi, mais je préfère pour ma part me servir de tous les pieds
que la nature m'a donnés
Charles
Sur le point de ne travailler qu'avec un format donné et se limiter à cela
n'est pas un argument, nous travaillions comme professionnels dans tous
les formats du 24x36 au 20x25 et actuellement, je ne pense pas qu'un
photographe travaillant sur un affiche métro le fait ,sauf pour un effet
de mosaïque, avec un 6 mégapixels en APN; Les Hasselblad à 35 000? ou les
dos numériques en grands formats ne sont pas faits pour les chiens...
Par ailleurs je respecte ton point de vue, tout comme la réponse subtile
de Michel-Ange au pape, que je n'avais pas lue ( la photo que j'avais
remarquée était sur le même site une carriole en noir et blanc que j'avais
trouvée bien cadrée mais sans commentaire particulier de ma part.et à
laquelle on pouvait souscrire).
Le développement que l'on peut apporter à cet échange serait le suivant :
C'est la subjectivité du photographe qui définit sa règle du jeu. S'il
ressent qu' à la prise de vue il a ce qu'il veut c'est normal. S'il
s'aperçoit qu'il arrive à ses fins avec photoshop et des bidouilles à base
de masques ou de calques ou d'effets c'est aussi de la création. Mais ce
n'est peut-être plus un photographe, mais un peintre ou un graphiste
puisqu'il ne retranscrit pas une vision instantanée sans artifice de la
réalité qu'il voit. (Est-ce une vision pseudo aristocratique d'un ego
démesuré)
Reste que pour les gens qui visualisent l'image, la perception et l'idée
sensible qu'il s'en font vient bien de la prise du vue, sujet, lumière,
cadrage etc... Donc mon point de vue reste valable.
Maintenant, anecdote pour rééquilibrer nos propos : j'avais eu dans les
années 70 à mener une série de photos tests pour la Caisse Nationale
d'Allocations Familiales dans le cadre d 'une enquête auprès d'assujettis.
Le sociologue avec lequel je travaillais m'avait donné une certaine
liberté mais un trame trés précise pour présenter une série de photos à
des personnes et tenter de les faire décrire des situations trés simples :
par exemple un homme avance un bras vers une femme : pour la frapper ?
l'attirer à lui ? lui montrer quelque chose défini dans un autre document?
etc., SOn bras est-il coupé dans le cadrage parce qu'il est infirme, ou
qu'il en fait autre chose et quoi?
Donc des photos volontairement ambigües.
Autre exemple : gestionnaire des archives de la Coopération pendant 20 ans
de 50 000 photos de 3 photographes amis ayant couvert plusieurs mois
l'Afrique francophone, les commandes de tirages de particuliers , de
journalistes, de pays de la Coopératon sur les planches de contacts
faisaient ressortir le choix de quelques centaines de photos qui
revenaient en permanence. Cet exemple est éclairant c'étaient toujours des
photos sans aucun recadrage, et même les expositions du Ministère qui en
organisait plusieurs diffusées partout, ne demandaient pas de recadrages.
Comment comprendre cela?
Je ne suis pas convaincu que des photos de spectacle par exemple prises
maintenant et néanmoins trés bonnes, soient utilisées et exploitables
recadrées et/ou sensibles longtemps comme la fameuse photo cubaine du Che,
ou comme celles de Gainsbourg de mon ami Terrasson qui exposait cet été à
La Rochelle.(et en plus de l'argentique en noir et blanc...rien que de
l'argentique) !
Il semble bien que les personnes qui observent des photos projettent leur
propre subjectivité sur les signifiés de ces images. Ce n'est pas
forcément le cas de photos d'amateurs des concours Kodak ou des photos
retravaillées considérées seulement comme "jolies" ou "belles". Et
d'ailleurs c'est toujours la prise de vue originelle qui définit l'intérêt
dans le temps.. Enfin je le crois..
Mais il est vrai que devant l'énorme accroissement du nombre de prises de
vues et d'exploitants de l'image, presse ou audiovisuel, je me plais,
comme je l'assume maintenant, à faire surtout de la radio qui,
culturellement est beaucoup plus intellectuelle que la photo en terme de
hiérarchie des sens ... et de sens.... :-) Mais on ne se refait pas... je
refais beaucoup plus de photos depuis que je suis passé au reflex
numérique ces mois derniers...
C'est un peu de la parlote, mais j'en mettrai bientôt en exposition
permanente sur un blog puisque je suis en reportage en permanence avec un
micro... et un appareil photo.. et c'est parfois difficile de faire comme
Edouard Tissé le cameraman d'Eisenstein qui disait pendant la révolution
d'octobre tenir une caméra d'une main et un pistolet de l'autre.. je
suppose que c'était un propos symbolique sur son engagement
révolutionnaire, car je ne crois pas que j'y arriverai et j'ai parfois du
mal à tenir les deux en même temps... :-(
"Charles VASSALLO" <charles.rosemarie.vassallo@waoo.fr> a écrit dans le
message de news: 45cf40f2$0$5112$ba4acef3@news.orange.fr...
Palmerclaude wrote:
Enfin, pour les arguments contraires, je n'ai jamais entendu que ceux
qui tiennent à la doxodoxie de l'orthodoxie ("c'est parce que c'est
comme ça") et j'aimerais bien un peu plus de développements et
d'arguments de la part d'un anti-recadrage...
Je ne sais pas si c'esy le bon forum pour développer tout ça. Sinon,
dites-moi où continuer et j'y vais. Je vais ailleurs?
bof, aussi bon qu'ailleurs. On est plus orienté cuisine d'ordinaire ici,
ce serait peut-être mieux en place dans frpl, pour une fois que la
discussion décollerait des paquerettes...
Dans ma première vie de photographe (années 50) mes amis et moi
considérions que quand on a quelque chose à dire par l'image, on saisit
l'instant , le cadrage original, la situation, le mouvement. le
caractère unique du noir et blanc.Cela ne souffrait, dans mon esprit,
aucun compromis.le recadrage était considéré comme une bidouille parce
que, sans recadrage on avait LA photo [...]
[.....]
On retrouve toujours cette orthodoxie consistant à exprimer des choses
que l'on ressent et qu'on offre au regard des autres espérant qu'ils y
trouveront quelque chose qui les attire, les retient. [......]
Est-ce que je reste sur les mêmes bases avec le numérique et les
possibilités immenses des logiciels graphiques ? je pense
qu'instinctivement et pour l'essentiel oui..
Ta profession de foi est curieuse. Avec ta première citation du papier
http://www.luminous-landscape.com/essays/und-crop.shtml
j'aurais cru que tu partageais pleinement le point de vue qui s'y
exprimait.
Pour moi, comme expliqué dans l'article, le cadrage est un élément
signifiant de la composition que l'on choisit en fonction de ce que l'on
veut dire. Point barre. A la rigueur, je pourrais accepter des compromis
pour des raisons très anecdotiques, comme l'unité de présentation d'une
série dans un lieu particulier, mais s'imposer au départ de travailler --
et de toujours travailler -- dans un format donné pour la seule et unique
raison que c'est celui de son matériel me paraît débile. Enfin, libre à
chacun de courir le 100 m à cloche pied, certains le feront même plus
vite que moi, mais je préfère pour ma part me servir de tous les pieds
que la nature m'a donnés
Charles
Sur le point de ne travailler qu'avec un format donné et se limiter à cela
n'est pas un argument, nous travaillions comme professionnels dans tous
les formats du 24x36 au 20x25 et actuellement, je ne pense pas qu'un
photographe travaillant sur un affiche métro le fait ,sauf pour un effet
de mosaïque, avec un 6 mégapixels en APN; Les Hasselblad à 35 000? ou les
dos numériques en grands formats ne sont pas faits pour les chiens...
Par ailleurs je respecte ton point de vue, tout comme la réponse subtile
de Michel-Ange au pape, que je n'avais pas lue ( la photo que j'avais
remarquée était sur le même site une carriole en noir et blanc que j'avais
trouvée bien cadrée mais sans commentaire particulier de ma part.et à
laquelle on pouvait souscrire).
Le développement que l'on peut apporter à cet échange serait le suivant :
C'est la subjectivité du photographe qui définit sa règle du jeu. S'il
ressent qu' à la prise de vue il a ce qu'il veut c'est normal. S'il
s'aperçoit qu'il arrive à ses fins avec photoshop et des bidouilles à base
de masques ou de calques ou d'effets c'est aussi de la création. Mais ce
n'est peut-être plus un photographe, mais un peintre ou un graphiste
puisqu'il ne retranscrit pas une vision instantanée sans artifice de la
réalité qu'il voit. (Est-ce une vision pseudo aristocratique d'un ego
démesuré)
Reste que pour les gens qui visualisent l'image, la perception et l'idée
sensible qu'il s'en font vient bien de la prise du vue, sujet, lumière,
cadrage etc... Donc mon point de vue reste valable.
Maintenant, anecdote pour rééquilibrer nos propos : j'avais eu dans les
années 70 à mener une série de photos tests pour la Caisse Nationale
d'Allocations Familiales dans le cadre d 'une enquête auprès d'assujettis.
Le sociologue avec lequel je travaillais m'avait donné une certaine
liberté mais un trame trés précise pour présenter une série de photos à
des personnes et tenter de les faire décrire des situations trés simples :
par exemple un homme avance un bras vers une femme : pour la frapper ?
l'attirer à lui ? lui montrer quelque chose défini dans un autre document?
etc., SOn bras est-il coupé dans le cadrage parce qu'il est infirme, ou
qu'il en fait autre chose et quoi?
Donc des photos volontairement ambigües.
Autre exemple : gestionnaire des archives de la Coopération pendant 20 ans
de 50 000 photos de 3 photographes amis ayant couvert plusieurs mois
l'Afrique francophone, les commandes de tirages de particuliers , de
journalistes, de pays de la Coopératon sur les planches de contacts
faisaient ressortir le choix de quelques centaines de photos qui
revenaient en permanence. Cet exemple est éclairant c'étaient toujours des
photos sans aucun recadrage, et même les expositions du Ministère qui en
organisait plusieurs diffusées partout, ne demandaient pas de recadrages.
Comment comprendre cela?
Je ne suis pas convaincu que des photos de spectacle par exemple prises
maintenant et néanmoins trés bonnes, soient utilisées et exploitables
recadrées et/ou sensibles longtemps comme la fameuse photo cubaine du Che,
ou comme celles de Gainsbourg de mon ami Terrasson qui exposait cet été à
La Rochelle.(et en plus de l'argentique en noir et blanc...rien que de
l'argentique) !
Il semble bien que les personnes qui observent des photos projettent leur
propre subjectivité sur les signifiés de ces images. Ce n'est pas
forcément le cas de photos d'amateurs des concours Kodak ou des photos
retravaillées considérées seulement comme "jolies" ou "belles". Et
d'ailleurs c'est toujours la prise de vue originelle qui définit l'intérêt
dans le temps.. Enfin je le crois..
Mais il est vrai que devant l'énorme accroissement du nombre de prises de
vues et d'exploitants de l'image, presse ou audiovisuel, je me plais,
comme je l'assume maintenant, à faire surtout de la radio qui,
culturellement est beaucoup plus intellectuelle que la photo en terme de
hiérarchie des sens ... et de sens.... :-) Mais on ne se refait pas... je
refais beaucoup plus de photos depuis que je suis passé au reflex
numérique ces mois derniers...
C'est un peu de la parlote, mais j'en mettrai bientôt en exposition
permanente sur un blog puisque je suis en reportage en permanence avec un
micro... et un appareil photo.. et c'est parfois difficile de faire comme
Edouard Tissé le cameraman d'Eisenstein qui disait pendant la révolution
d'octobre tenir une caméra d'une main et un pistolet de l'autre.. je
suppose que c'était un propos symbolique sur son engagement
révolutionnaire, car je ne crois pas que j'y arriverai et j'ai parfois du
mal à tenir les deux en même temps... :-(
"Charles VASSALLO" a écrit dans le
message de news: 45cf40f2$0$5112$Palmerclaude wrote:Enfin, pour les arguments contraires, je n'ai jamais entendu que ceux
qui tiennent à la doxodoxie de l'orthodoxie ("c'est parce que c'est
comme ça") et j'aimerais bien un peu plus de développements et
d'arguments de la part d'un anti-recadrage...
Je ne sais pas si c'esy le bon forum pour développer tout ça. Sinon,
dites-moi où continuer et j'y vais. Je vais ailleurs?
bof, aussi bon qu'ailleurs. On est plus orienté cuisine d'ordinaire ici,
ce serait peut-être mieux en place dans frpl, pour une fois que la
discussion décollerait des paquerettes...Dans ma première vie de photographe (années 50) mes amis et moi
considérions que quand on a quelque chose à dire par l'image, on saisit
l'instant , le cadrage original, la situation, le mouvement. le
caractère unique du noir et blanc.Cela ne souffrait, dans mon esprit,
aucun compromis.le recadrage était considéré comme une bidouille parce
que, sans recadrage on avait LA photo [...]
[.....]
On retrouve toujours cette orthodoxie consistant à exprimer des choses
que l'on ressent et qu'on offre au regard des autres espérant qu'ils y
trouveront quelque chose qui les attire, les retient. [......]
Est-ce que je reste sur les mêmes bases avec le numérique et les
possibilités immenses des logiciels graphiques ? je pense
qu'instinctivement et pour l'essentiel oui..
Ta profession de foi est curieuse. Avec ta première citation du papier
http://www.luminous-landscape.com/essays/und-crop.shtml
j'aurais cru que tu partageais pleinement le point de vue qui s'y
exprimait.
Pour moi, comme expliqué dans l'article, le cadrage est un élément
signifiant de la composition que l'on choisit en fonction de ce que l'on
veut dire. Point barre. A la rigueur, je pourrais accepter des compromis
pour des raisons très anecdotiques, comme l'unité de présentation d'une
série dans un lieu particulier, mais s'imposer au départ de travailler --
et de toujours travailler -- dans un format donné pour la seule et unique
raison que c'est celui de son matériel me paraît débile. Enfin, libre à
chacun de courir le 100 m à cloche pied, certains le feront même plus
vite que moi, mais je préfère pour ma part me servir de tous les pieds
que la nature m'a donnés
Charles
Sur le point de ne travailler qu'avec un format donné et se limiter à cela
n'est pas un argument, nous travaillions comme professionnels dans tous
les formats du 24x36 au 20x25 et actuellement, je ne pense pas qu'un
photographe travaillant sur un affiche métro le fait ,sauf pour un effet
de mosaïque, avec un 6 mégapixels en APN; Les Hasselblad à 35 000? ou les
dos numériques en grands formats ne sont pas faits pour les chiens...
Par ailleurs je respecte ton point de vue, tout comme la réponse subtile
de Michel-Ange au pape, que je n'avais pas lue ( la photo que j'avais
remarquée était sur le même site une carriole en noir et blanc que j'avais
trouvée bien cadrée mais sans commentaire particulier de ma part.et à
laquelle on pouvait souscrire).
Le développement que l'on peut apporter à cet échange serait le suivant :
C'est la subjectivité du photographe qui définit sa règle du jeu. S'il
ressent qu' à la prise de vue il a ce qu'il veut c'est normal. S'il
s'aperçoit qu'il arrive à ses fins avec photoshop et des bidouilles à base
de masques ou de calques ou d'effets c'est aussi de la création. Mais ce
n'est peut-être plus un photographe, mais un peintre ou un graphiste
puisqu'il ne retranscrit pas une vision instantanée sans artifice de la
réalité qu'il voit. (Est-ce une vision pseudo aristocratique d'un ego
démesuré)
Reste que pour les gens qui visualisent l'image, la perception et l'idée
sensible qu'il s'en font vient bien de la prise du vue, sujet, lumière,
cadrage etc... Donc mon point de vue reste valable.
Maintenant, anecdote pour rééquilibrer nos propos : j'avais eu dans les
années 70 à mener une série de photos tests pour la Caisse Nationale
d'Allocations Familiales dans le cadre d 'une enquête auprès d'assujettis.
Le sociologue avec lequel je travaillais m'avait donné une certaine
liberté mais un trame trés précise pour présenter une série de photos à
des personnes et tenter de les faire décrire des situations trés simples :
par exemple un homme avance un bras vers une femme : pour la frapper ?
l'attirer à lui ? lui montrer quelque chose défini dans un autre document?
etc., SOn bras est-il coupé dans le cadrage parce qu'il est infirme, ou
qu'il en fait autre chose et quoi?
Donc des photos volontairement ambigües.
Autre exemple : gestionnaire des archives de la Coopération pendant 20 ans
de 50 000 photos de 3 photographes amis ayant couvert plusieurs mois
l'Afrique francophone, les commandes de tirages de particuliers , de
journalistes, de pays de la Coopératon sur les planches de contacts
faisaient ressortir le choix de quelques centaines de photos qui
revenaient en permanence. Cet exemple est éclairant c'étaient toujours des
photos sans aucun recadrage, et même les expositions du Ministère qui en
organisait plusieurs diffusées partout, ne demandaient pas de recadrages.
Comment comprendre cela?
Je ne suis pas convaincu que des photos de spectacle par exemple prises
maintenant et néanmoins trés bonnes, soient utilisées et exploitables
recadrées et/ou sensibles longtemps comme la fameuse photo cubaine du Che,
ou comme celles de Gainsbourg de mon ami Terrasson qui exposait cet été à
La Rochelle.(et en plus de l'argentique en noir et blanc...rien que de
l'argentique) !
Il semble bien que les personnes qui observent des photos projettent leur
propre subjectivité sur les signifiés de ces images. Ce n'est pas
forcément le cas de photos d'amateurs des concours Kodak ou des photos
retravaillées considérées seulement comme "jolies" ou "belles". Et
d'ailleurs c'est toujours la prise de vue originelle qui définit l'intérêt
dans le temps.. Enfin je le crois..
Mais il est vrai que devant l'énorme accroissement du nombre de prises de
vues et d'exploitants de l'image, presse ou audiovisuel, je me plais,
comme je l'assume maintenant, à faire surtout de la radio qui,
culturellement est beaucoup plus intellectuelle que la photo en terme de
hiérarchie des sens ... et de sens.... :-) Mais on ne se refait pas... je
refais beaucoup plus de photos depuis que je suis passé au reflex
numérique ces mois derniers...
C'est un peu de la parlote, mais j'en mettrai bientôt en exposition
permanente sur un blog puisque je suis en reportage en permanence avec un
micro... et un appareil photo.. et c'est parfois difficile de faire comme
Edouard Tissé le cameraman d'Eisenstein qui disait pendant la révolution
d'octobre tenir une caméra d'une main et un pistolet de l'autre.. je
suppose que c'était un propos symbolique sur son engagement
révolutionnaire, car je ne crois pas que j'y arriverai et j'ai parfois du
mal à tenir les deux en même temps... :-(
Je suis revenu, tant pis pour vous !
et je conforte mon point de vue avec ce lien que je vous suggère de regarder
religieusement :
http://www.worldpressphoto.com/index.php?option=com_photogallery&task=blogsection&id&Itemid6&bandwidth=high
Ces sont des photos des lauréats du World press photo, et je n'y vois guère
de recadrages ?
Cette accumulation de chefs ouvres récents vous paraît-elle de nature à
justifier mon point de vue? Apparemment je ne suis pas le seul à avoir cette
exigence... (Joao Silva, photographe sud africain, pour le New-York Times -
attaque de sniper à Karmah en Irak-octobre 2006)... même sous les balles de
snipers il n'envisage pas de recadrage, ce serait inutile. :-)
Je suis revenu, tant pis pour vous !
et je conforte mon point de vue avec ce lien que je vous suggère de regarder
religieusement :
http://www.worldpressphoto.com/index.php?option=com_photogallery&task=blogsection&id&Itemid6&bandwidth=high
Ces sont des photos des lauréats du World press photo, et je n'y vois guère
de recadrages ?
Cette accumulation de chefs ouvres récents vous paraît-elle de nature à
justifier mon point de vue? Apparemment je ne suis pas le seul à avoir cette
exigence... (Joao Silva, photographe sud africain, pour le New-York Times -
attaque de sniper à Karmah en Irak-octobre 2006)... même sous les balles de
snipers il n'envisage pas de recadrage, ce serait inutile. :-)
Je suis revenu, tant pis pour vous !
et je conforte mon point de vue avec ce lien que je vous suggère de regarder
religieusement :
http://www.worldpressphoto.com/index.php?option=com_photogallery&task=blogsection&id&Itemid6&bandwidth=high
Ces sont des photos des lauréats du World press photo, et je n'y vois guère
de recadrages ?
Cette accumulation de chefs ouvres récents vous paraît-elle de nature à
justifier mon point de vue? Apparemment je ne suis pas le seul à avoir cette
exigence... (Joao Silva, photographe sud africain, pour le New-York Times -
attaque de sniper à Karmah en Irak-octobre 2006)... même sous les balles de
snipers il n'envisage pas de recadrage, ce serait inutile. :-)