Dans le message 48b87128$0$23840$, Bernard Guérin
exprime ceci:Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial,
qui avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Non
Dans le cadre d'une réunion privée, les propos sont privés.
A contrario dans le cadre d'une réunion publique forcément les propos
sont publics. C'est ce qui permet à un journaliste de les rapporter sans
autorisation.
A+
Dans le message 48b87128$0$23840$426a74cc@news.free.fr, Bernard Guérin
<bguerin@hotmail.com> exprime ceci:
Bonjour,
"Marc-Antoine" <antoine@marcom.invalid> a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$426a74cc@news.free.fr...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial,
qui avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Non
Dans le cadre d'une réunion privée, les propos sont privés.
A contrario dans le cadre d'une réunion publique forcément les propos
sont publics. C'est ce qui permet à un journaliste de les rapporter sans
autorisation.
A+
Dans le message 48b87128$0$23840$, Bernard Guérin
exprime ceci:Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial,
qui avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Non
Dans le cadre d'une réunion privée, les propos sont privés.
A contrario dans le cadre d'une réunion publique forcément les propos
sont publics. C'est ce qui permet à un journaliste de les rapporter sans
autorisation.
A+
Dans le message 48b88809$0$22688$, Marc-Antoine
exprime ceci:Message du 29/08/2008Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui
avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Et l'avocat n'est-il pas tenu au secret professionnel ? je
qualifierait donc cet entretien de confidentiel, comme est
confidentielle une consultation chez le médecin.
Heu...non.
L'avocat est effectivement tenu au secret, mais pas ses interlocuteurs.
Vous évoquez le médecin, c'est vrai, mais le patient n'est tenu à rien.
A+
--
Dans le message 48b88809$0$22688$426a74cc@news.free.fr, Marc-Antoine
<antoine@marcom.invalid> exprime ceci:
Message du 29/08/2008
Bonjour,
"Marc-Antoine" <antoine@marcom.invalid> a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$426a74cc@news.free.fr...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui
avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Et l'avocat n'est-il pas tenu au secret professionnel ? je
qualifierait donc cet entretien de confidentiel, comme est
confidentielle une consultation chez le médecin.
Heu...non.
L'avocat est effectivement tenu au secret, mais pas ses interlocuteurs.
Vous évoquez le médecin, c'est vrai, mais le patient n'est tenu à rien.
A+
--
Dans le message 48b88809$0$22688$, Marc-Antoine
exprime ceci:Message du 29/08/2008Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui
avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Et l'avocat n'est-il pas tenu au secret professionnel ? je
qualifierait donc cet entretien de confidentiel, comme est
confidentielle une consultation chez le médecin.
Heu...non.
L'avocat est effectivement tenu au secret, mais pas ses interlocuteurs.
Vous évoquez le médecin, c'est vrai, mais le patient n'est tenu à rien.
A+
--
Dans le message 48b87128$0$23840$, Bernard Guérin
exprime ceci:Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui
avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Non
Dans le cadre d'une réunion privée, les propos sont privés.
A contrario dans le cadre d'une réunion publique forcément les propos sont
publics. C'est ce qui permet à un journaliste de les rapporter sans
autorisation.
A+
--
Dans le message 48b87128$0$23840$426a74cc@news.free.fr, Bernard Guérin
<bguerin@hotmail.com> exprime ceci:
Bonjour,
"Marc-Antoine" <antoine@marcom.invalid> a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$426a74cc@news.free.fr...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui
avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Non
Dans le cadre d'une réunion privée, les propos sont privés.
A contrario dans le cadre d'une réunion publique forcément les propos sont
publics. C'est ce qui permet à un journaliste de les rapporter sans
autorisation.
A+
--
Dans le message 48b87128$0$23840$, Bernard Guérin
exprime ceci:Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui
avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Non
Dans le cadre d'une réunion privée, les propos sont privés.
A contrario dans le cadre d'une réunion publique forcément les propos sont
publics. C'est ce qui permet à un journaliste de les rapporter sans
autorisation.
A+
--
Et dans ce cas présent, comment doit-on qualifier une "réunion" *dans*
le bureau d'un avocat. Peut-elle, sous prétexte qu'elle traite d'affaire
publique, être enregistrée ?
Le consentement à un enregistrement, est demandé afin que la personne
évite de divulguer des infos qui n'on rien à voir avec le sujet traité.
Comment l'avocat, s'il n'a pas été informé de l'enregistrement, peut-il
éviter de "glisser" vers une discussion d'ordre privée (il peut-être
intime avec le client) ou confidentiel (au sujet d'un autre dossier par
exemple) ?
Et dans ce cas présent, comment doit-on qualifier une "réunion" *dans*
le bureau d'un avocat. Peut-elle, sous prétexte qu'elle traite d'affaire
publique, être enregistrée ?
Le consentement à un enregistrement, est demandé afin que la personne
évite de divulguer des infos qui n'on rien à voir avec le sujet traité.
Comment l'avocat, s'il n'a pas été informé de l'enregistrement, peut-il
éviter de "glisser" vers une discussion d'ordre privée (il peut-être
intime avec le client) ou confidentiel (au sujet d'un autre dossier par
exemple) ?
Et dans ce cas présent, comment doit-on qualifier une "réunion" *dans*
le bureau d'un avocat. Peut-elle, sous prétexte qu'elle traite d'affaire
publique, être enregistrée ?
Le consentement à un enregistrement, est demandé afin que la personne
évite de divulguer des infos qui n'on rien à voir avec le sujet traité.
Comment l'avocat, s'il n'a pas été informé de l'enregistrement, peut-il
éviter de "glisser" vers une discussion d'ordre privée (il peut-être
intime avec le client) ou confidentiel (au sujet d'un autre dossier par
exemple) ?
Lors de la réunion, j'ai posé une question précise. L'avocat élude la
question; je lui signale qu'il n'y a pas répondu; il apporte une réponse
incorrecte (qui m'a, en partie, convaincu de signer un contrat).
Pourrais-je utiliser l'extrait de la conversation ne contenant que la
question et la réponse erronée ?
Quelle est la différence, fondamentalement, entre les notes "écrites" prises
lors de la réunion et un enregistrement "audio" ? Dans les deux cas,
"j'enregistre" les mots qui sont prononcés.
Seulement, dans le cas des notes écrites, l'avocat a beau jeu de dire : "vous
avez mal compris, je n'ai pas dit cela." Alors qu'avec un enregistrement
audio, à moins de le truquer, il ne peut contester.
Je demande par curiosité.
Cordialement.
Lors de la réunion, j'ai posé une question précise. L'avocat élude la
question; je lui signale qu'il n'y a pas répondu; il apporte une réponse
incorrecte (qui m'a, en partie, convaincu de signer un contrat).
Pourrais-je utiliser l'extrait de la conversation ne contenant que la
question et la réponse erronée ?
Quelle est la différence, fondamentalement, entre les notes "écrites" prises
lors de la réunion et un enregistrement "audio" ? Dans les deux cas,
"j'enregistre" les mots qui sont prononcés.
Seulement, dans le cas des notes écrites, l'avocat a beau jeu de dire : "vous
avez mal compris, je n'ai pas dit cela." Alors qu'avec un enregistrement
audio, à moins de le truquer, il ne peut contester.
Je demande par curiosité.
Cordialement.
Lors de la réunion, j'ai posé une question précise. L'avocat élude la
question; je lui signale qu'il n'y a pas répondu; il apporte une réponse
incorrecte (qui m'a, en partie, convaincu de signer un contrat).
Pourrais-je utiliser l'extrait de la conversation ne contenant que la
question et la réponse erronée ?
Quelle est la différence, fondamentalement, entre les notes "écrites" prises
lors de la réunion et un enregistrement "audio" ? Dans les deux cas,
"j'enregistre" les mots qui sont prononcés.
Seulement, dans le cas des notes écrites, l'avocat a beau jeu de dire : "vous
avez mal compris, je n'ai pas dit cela." Alors qu'avec un enregistrement
audio, à moins de le truquer, il ne peut contester.
Je demande par curiosité.
Cordialement.
Message du 30/08/2008Dans le message 48b88809$0$22688$, Marc-Antoine
exprime ceci:Message du 29/08/2008Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un
d'impartial, qui avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Et l'avocat n'est-il pas tenu au secret professionnel ? je
qualifierait donc cet entretien de confidentiel, comme est
confidentielle une consultation chez le médecin.
Heu...non.
L'avocat est effectivement tenu au secret, mais pas ses
interlocuteurs. Vous évoquez le médecin, c'est vrai, mais le patient
n'est tenu à rien. A+
--
Message du 30/08/2008
Dans le message 48b88809$0$22688$426a74cc@news.free.fr, Marc-Antoine
<antoine@marcom.invalid> exprime ceci:
Message du 29/08/2008
Bonjour,
"Marc-Antoine" <antoine@marcom.invalid> a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$426a74cc@news.free.fr...
Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un
d'impartial, qui avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Et l'avocat n'est-il pas tenu au secret professionnel ? je
qualifierait donc cet entretien de confidentiel, comme est
confidentielle une consultation chez le médecin.
Heu...non.
L'avocat est effectivement tenu au secret, mais pas ses
interlocuteurs. Vous évoquez le médecin, c'est vrai, mais le patient
n'est tenu à rien. A+
--
Message du 30/08/2008Dans le message 48b88809$0$22688$, Marc-Antoine
exprime ceci:Message du 29/08/2008Bonjour,
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
groupe de discussion : 48b8368a$0$30999$Qu'y avait-il de privé ou de confidentiel dans ce que l'avocat a
dit ?
Y aurait-il une autre alternative ?avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet
avocat nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de
"conciliateur". Il s'est présenté à moi comme quelqu'un
d'impartial, qui avait un
devoir de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note"
(sic).
convoqués ensemble, présenté comme impartial, ça fait plus penser à
une action publique que privée ?
Et l'avocat n'est-il pas tenu au secret professionnel ? je
qualifierait donc cet entretien de confidentiel, comme est
confidentielle une consultation chez le médecin.
Heu...non.
L'avocat est effectivement tenu au secret, mais pas ses
interlocuteurs. Vous évoquez le médecin, c'est vrai, mais le patient
n'est tenu à rien. A+
--
Marc-Antoine wrote:Et dans ce cas présent, comment doit-on qualifier une "réunion"
*dans* le bureau d'un avocat. Peut-elle, sous prétexte qu'elle
traite d'affaire publique, être enregistrée ?
Le consentement à un enregistrement, est demandé afin que la personne
évite de divulguer des infos qui n'on rien à voir avec le sujet
traité. Comment l'avocat, s'il n'a pas été informé de
l'enregistrement,
peut-il éviter de "glisser" vers une discussion d'ordre privée (il
peut-être intime avec le client) ou confidentiel (au sujet d'un
autre dossier par exemple) ?
Lors de la réunion, j'ai posé une question précise. L'avocat élude la
question; je lui signale qu'il n'y a pas répondu; il apporte une
réponse incorrecte (qui m'a, en partie, convaincu de signer un
contrat).
Pourrais-je utiliser l'extrait de la conversation ne contenant que la
question et la réponse erronée ?
Quelle est la différence, fondamentalement, entre les notes "écrites"
prises lors de la réunion et un enregistrement "audio" ? Dans les deux
cas, "j'enregistre" les mots qui sont prononcés.
Seulement, dans le cas des notes écrites, l'avocat a beau jeu de dire
: "vous avez mal compris, je n'ai pas dit cela." Alors qu'avec un
enregistrement audio, à moins de le truquer, il ne peut contester.
Je demande par curiosité.
Cordialement.
Marc-Antoine wrote:
Et dans ce cas présent, comment doit-on qualifier une "réunion"
*dans* le bureau d'un avocat. Peut-elle, sous prétexte qu'elle
traite d'affaire publique, être enregistrée ?
Le consentement à un enregistrement, est demandé afin que la personne
évite de divulguer des infos qui n'on rien à voir avec le sujet
traité. Comment l'avocat, s'il n'a pas été informé de
l'enregistrement,
peut-il éviter de "glisser" vers une discussion d'ordre privée (il
peut-être intime avec le client) ou confidentiel (au sujet d'un
autre dossier par exemple) ?
Lors de la réunion, j'ai posé une question précise. L'avocat élude la
question; je lui signale qu'il n'y a pas répondu; il apporte une
réponse incorrecte (qui m'a, en partie, convaincu de signer un
contrat).
Pourrais-je utiliser l'extrait de la conversation ne contenant que la
question et la réponse erronée ?
Quelle est la différence, fondamentalement, entre les notes "écrites"
prises lors de la réunion et un enregistrement "audio" ? Dans les deux
cas, "j'enregistre" les mots qui sont prononcés.
Seulement, dans le cas des notes écrites, l'avocat a beau jeu de dire
: "vous avez mal compris, je n'ai pas dit cela." Alors qu'avec un
enregistrement audio, à moins de le truquer, il ne peut contester.
Je demande par curiosité.
Cordialement.
Marc-Antoine wrote:Et dans ce cas présent, comment doit-on qualifier une "réunion"
*dans* le bureau d'un avocat. Peut-elle, sous prétexte qu'elle
traite d'affaire publique, être enregistrée ?
Le consentement à un enregistrement, est demandé afin que la personne
évite de divulguer des infos qui n'on rien à voir avec le sujet
traité. Comment l'avocat, s'il n'a pas été informé de
l'enregistrement,
peut-il éviter de "glisser" vers une discussion d'ordre privée (il
peut-être intime avec le client) ou confidentiel (au sujet d'un
autre dossier par exemple) ?
Lors de la réunion, j'ai posé une question précise. L'avocat élude la
question; je lui signale qu'il n'y a pas répondu; il apporte une
réponse incorrecte (qui m'a, en partie, convaincu de signer un
contrat).
Pourrais-je utiliser l'extrait de la conversation ne contenant que la
question et la réponse erronée ?
Quelle est la différence, fondamentalement, entre les notes "écrites"
prises lors de la réunion et un enregistrement "audio" ? Dans les deux
cas, "j'enregistre" les mots qui sont prononcés.
Seulement, dans le cas des notes écrites, l'avocat a beau jeu de dire
: "vous avez mal compris, je n'ai pas dit cela." Alors qu'avec un
enregistrement audio, à moins de le truquer, il ne peut contester.
Je demande par curiosité.
Cordialement.
Bonjour,
Autrefois, dans une galaxie très, très éloignée, un employeur a p ayé un
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat
nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur".
Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un d evoir
de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
Etant d'un naturel méfiant, tendance parano, j'avais amené un dictaph one
rangé dans la poche de ma chemise, et j'ai enregistré l'intégralit é de
la conversation.
Quelques mois plus tard, je me rends compte que l'avocat a dit quelque
chose d'incorrect, et cette erreur entraîne, pour moi, un manque à
gagner d'environ 3000 euros.
Je contacte l'avocat, qui nie avoir dit ce qu'il a dit. (Il ignore que
j'ai enregistré la conversation.)
Quelle est la valeur de cet enregistrement ?
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il
prétend n'avoir pas dit ?
Cordialement.
Bonjour,
Autrefois, dans une galaxie très, très éloignée, un employeur a p ayé un
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat
nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur".
Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un d evoir
de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
Etant d'un naturel méfiant, tendance parano, j'avais amené un dictaph one
rangé dans la poche de ma chemise, et j'ai enregistré l'intégralit é de
la conversation.
Quelques mois plus tard, je me rends compte que l'avocat a dit quelque
chose d'incorrect, et cette erreur entraîne, pour moi, un manque à
gagner d'environ 3000 euros.
Je contacte l'avocat, qui nie avoir dit ce qu'il a dit. (Il ignore que
j'ai enregistré la conversation.)
Quelle est la valeur de cet enregistrement ?
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il
prétend n'avoir pas dit ?
Cordialement.
Bonjour,
Autrefois, dans une galaxie très, très éloignée, un employeur a p ayé un
avocat pour le conseiller, dans le cadre de mon licenciement. Cet avocat
nous a convoqué ensemble, afin de jouer le rôle de "conciliateur".
Il s'est présenté à moi comme quelqu'un d'impartial, qui avait un d evoir
de conseil à mon égard, "même si je ne payais pas la note" (sic).
Etant d'un naturel méfiant, tendance parano, j'avais amené un dictaph one
rangé dans la poche de ma chemise, et j'ai enregistré l'intégralit é de
la conversation.
Quelques mois plus tard, je me rends compte que l'avocat a dit quelque
chose d'incorrect, et cette erreur entraîne, pour moi, un manque à
gagner d'environ 3000 euros.
Je contacte l'avocat, qui nie avoir dit ce qu'il a dit. (Il ignore que
j'ai enregistré la conversation.)
Quelle est la valeur de cet enregistrement ?
Puis-je m'en servir pour prouver que l'avocat a bien dit ce qu'il
prétend n'avoir pas dit ?
Cordialement.
"Etant d'un naturel méfiant, tendance parano", je me demande
comment vous avez pu accepter quoi que ce soit d'un avocat
engagé par l'employeur.
Je vous conseille de laisser tomber devant les risques évoqués
dans les autres réponses.
"Etant d'un naturel méfiant, tendance parano", je me demande
comment vous avez pu accepter quoi que ce soit d'un avocat
engagé par l'employeur.
Je vous conseille de laisser tomber devant les risques évoqués
dans les autres réponses.
"Etant d'un naturel méfiant, tendance parano", je me demande
comment vous avez pu accepter quoi que ce soit d'un avocat
engagé par l'employeur.
Je vous conseille de laisser tomber devant les risques évoqués
dans les autres réponses.
Art 226-1 du Code Pénal : Est puni d'un an d'emprisonnement et de 45000E
d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque, volontairement de
porter attente à l'intimité de la vie privée d'autrui:
... en captant, *enregistrant* ou transmettant, *sans le consentement* de
leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel...
Art 226-1 du Code Pénal : Est puni d'un an d'emprisonnement et de 45000E
d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque, volontairement de
porter attente à l'intimité de la vie privée d'autrui:
... en captant, *enregistrant* ou transmettant, *sans le consentement* de
leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel...
Art 226-1 du Code Pénal : Est puni d'un an d'emprisonnement et de 45000E
d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque, volontairement de
porter attente à l'intimité de la vie privée d'autrui:
... en captant, *enregistrant* ou transmettant, *sans le consentement* de
leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel...