C'est de la photo à consommer : de la guerre, des catastrophes, et pour désamorcer le tout, le pastiche.
Voilà.
Bour-Brown
Cyril Fakiri a écrit ( )
Je crois qu'il faut aller au delà de l'image brute.
Ce que je trouve pitoyable ce ne sont pas les images - je comprends qu'il puisse y en avoir de difficiles - c'est uniquement cette autocongratulation. Que des professions le fassent avec des oeuvres de fiction passe encore (cinéma, littérature, musique) mais se décerner des récompenses pour la capture la plus bouleversante, beurk.
Le photojournalisme est un métier difficile [...] parce qu'aujourd'hui il manque cruellement de reconnaissance et de moyens.
Grâce aux moyens colossaux des mass media il dispose déjà de la reconnaissance planétaire, c'est pas encore assez ?
Je trouve cela plutôt intéressant et enrichissant.
C'est bien pour cela que tu as posté le lien, ce qui nous permet d'en discuter.
Cyril Fakiri a écrit
( 0egdp4dn7muarrcbkevktdid0u2mq4flt5@4ax.com )
Je crois qu'il faut aller au delà de l'image brute.
Ce que je trouve pitoyable ce ne sont pas les images - je comprends qu'il
puisse y en avoir de difficiles - c'est uniquement cette autocongratulation.
Que des professions le fassent avec des oeuvres de fiction passe encore
(cinéma, littérature, musique) mais se décerner des récompenses pour la
capture la plus bouleversante, beurk.
Le photojournalisme est un métier difficile [...] parce qu'aujourd'hui il
manque cruellement de reconnaissance et de moyens.
Grâce aux moyens colossaux des mass media il dispose déjà de la
reconnaissance planétaire, c'est pas encore assez ?
Je trouve cela plutôt intéressant et enrichissant.
C'est bien pour cela que tu as posté le lien, ce qui nous permet d'en
discuter.
Je crois qu'il faut aller au delà de l'image brute.
Ce que je trouve pitoyable ce ne sont pas les images - je comprends qu'il puisse y en avoir de difficiles - c'est uniquement cette autocongratulation. Que des professions le fassent avec des oeuvres de fiction passe encore (cinéma, littérature, musique) mais se décerner des récompenses pour la capture la plus bouleversante, beurk.
Le photojournalisme est un métier difficile [...] parce qu'aujourd'hui il manque cruellement de reconnaissance et de moyens.
Grâce aux moyens colossaux des mass media il dispose déjà de la reconnaissance planétaire, c'est pas encore assez ?
Je trouve cela plutôt intéressant et enrichissant.
C'est bien pour cela que tu as posté le lien, ce qui nous permet d'en discuter.
Cyril Fakiri
On Sat, 14 Feb 2009 15:28:07 +0100, "Bour-Brown" wrote:
Cyril Fakiri a écrit ( )
Je crois qu'il faut aller au delà de l'image brute.
Ce que je trouve pitoyable ce ne sont pas les images - je comprends qu'il puisse y en avoir de difficiles - c'est uniquement cette autocongratulation. Que des professions le fassent avec des oeuvres de fiction passe encore (cinéma, littérature, musique) mais se décerner des récompenses pour la capture la plus bouleversante, beurk.
Pas tant que ça a mon sens. Le worldPress est une organisation indépendante qui rassemble en efffet des professionels de l'images. Ce sont de fait les mieux placés pour juger le travail des autres. Dans le monde du travail, partout dans le monde, les gens sont mesurés, notés, comparés les uns au autres...par leurs patrons. Je ne suis pas sur que ce soit mieux ou simpplment objectif. D'autre part, contrairement à beaucoup d'autres événements, ici il s'agit bien d'un "concours" auquel tout professionel (seule restriction) peut participer ..et gratuitement. On n'est pas dans le petit cercle fermé du cinema (Canne, Cesar...Oscars)....où là oui on peut bel et bien parler d'auto congratulation et où d'ailleurs a part quelques exceptions, on retrouve toujours les mêmes sur les tapis rouges. Ce domaine du People où là oui l'argent coule a flos.
D'ailleurs, pour illustrer tout ca, on pourra noter que le laureat 2009 cherche du boulot : http://mediawatch.afp.com/?post/2009/02/14/Revers-de-la-medaille-%3A-le-laureat-du-World-Press-Photo-2008-cherche-du-travail
Le photojournalisme est un métier difficile [...] parce qu'aujourd'hui il manque cruellement de reconnaissance et de moyens.
Grâce aux moyens colossaux des mass media il dispose déjà de la reconnaissance planétaire, c'est pas encore assez ?
Reconnaissance planétaire je ne crois pas. C'est un secteur en crise, qui n'intéresse plus grand monde. Nous ne sommes plus dans les années 80, où d'ailleurs la France était leader en la matière. Aujourd'hui pour décrocher une garantie,il faut se lever de bonne heure. La plupart des photojournalistes doivent trouver des moyens indépendants de production. C'est souvent en travaillant à côté dans un domaine qui peut ne rien avoir a voir avec la photo, ou en faisant du corporate à fond (encore faut'il trouver des clients), ou en organisant des expos - donc en fait en allant chercher des financements pour monter un projet et monter une expo donc - ou encore en participant ...à des concours. Trop rarement en bénéficiant des fonds (conséquents) des grands groupes de presse. Pas facile.
On Sat, 14 Feb 2009 15:28:07 +0100, "Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr>
wrote:
Cyril Fakiri a écrit
( 0egdp4dn7muarrcbkevktdid0u2mq4flt5@4ax.com )
Je crois qu'il faut aller au delà de l'image brute.
Ce que je trouve pitoyable ce ne sont pas les images - je comprends qu'il
puisse y en avoir de difficiles - c'est uniquement cette autocongratulation.
Que des professions le fassent avec des oeuvres de fiction passe encore
(cinéma, littérature, musique) mais se décerner des récompenses pour la
capture la plus bouleversante, beurk.
Pas tant que ça a mon sens. Le worldPress est une organisation
indépendante qui rassemble en efffet des professionels de l'images. Ce
sont de fait les mieux placés pour juger le travail des autres. Dans
le monde du travail, partout dans le monde, les gens sont mesurés,
notés, comparés les uns au autres...par leurs patrons. Je ne suis pas
sur que ce soit mieux ou simpplment objectif.
D'autre part, contrairement à beaucoup d'autres événements, ici il
s'agit bien d'un "concours" auquel tout professionel (seule
restriction) peut participer ..et gratuitement. On n'est pas dans le
petit cercle fermé du cinema (Canne, Cesar...Oscars)....où là oui on
peut bel et bien parler d'auto congratulation et où d'ailleurs a part
quelques exceptions, on retrouve toujours les mêmes sur les tapis
rouges. Ce domaine du People où là oui l'argent coule a flos.
D'ailleurs, pour illustrer tout ca, on pourra noter que le laureat
2009 cherche du boulot :
http://mediawatch.afp.com/?post/2009/02/14/Revers-de-la-medaille-%3A-le-laureat-du-World-Press-Photo-2008-cherche-du-travail
Le photojournalisme est un métier difficile [...] parce qu'aujourd'hui il
manque cruellement de reconnaissance et de moyens.
Grâce aux moyens colossaux des mass media il dispose déjà de la
reconnaissance planétaire, c'est pas encore assez ?
Reconnaissance planétaire je ne crois pas.
C'est un secteur en crise, qui n'intéresse plus grand monde. Nous ne
sommes plus dans les années 80, où d'ailleurs la France était leader
en la matière. Aujourd'hui pour décrocher une garantie,il faut se
lever de bonne heure. La plupart des photojournalistes doivent trouver
des moyens indépendants de production. C'est souvent en travaillant à
côté dans un domaine qui peut ne rien avoir a voir avec la photo, ou
en faisant du corporate à fond (encore faut'il trouver des clients),
ou en organisant des expos - donc en fait en allant chercher des
financements pour monter un projet et monter une expo donc - ou encore
en participant ...à des concours. Trop rarement en bénéficiant des
fonds (conséquents) des grands groupes de presse.
Pas facile.
On Sat, 14 Feb 2009 15:28:07 +0100, "Bour-Brown" wrote:
Cyril Fakiri a écrit ( )
Je crois qu'il faut aller au delà de l'image brute.
Ce que je trouve pitoyable ce ne sont pas les images - je comprends qu'il puisse y en avoir de difficiles - c'est uniquement cette autocongratulation. Que des professions le fassent avec des oeuvres de fiction passe encore (cinéma, littérature, musique) mais se décerner des récompenses pour la capture la plus bouleversante, beurk.
Pas tant que ça a mon sens. Le worldPress est une organisation indépendante qui rassemble en efffet des professionels de l'images. Ce sont de fait les mieux placés pour juger le travail des autres. Dans le monde du travail, partout dans le monde, les gens sont mesurés, notés, comparés les uns au autres...par leurs patrons. Je ne suis pas sur que ce soit mieux ou simpplment objectif. D'autre part, contrairement à beaucoup d'autres événements, ici il s'agit bien d'un "concours" auquel tout professionel (seule restriction) peut participer ..et gratuitement. On n'est pas dans le petit cercle fermé du cinema (Canne, Cesar...Oscars)....où là oui on peut bel et bien parler d'auto congratulation et où d'ailleurs a part quelques exceptions, on retrouve toujours les mêmes sur les tapis rouges. Ce domaine du People où là oui l'argent coule a flos.
D'ailleurs, pour illustrer tout ca, on pourra noter que le laureat 2009 cherche du boulot : http://mediawatch.afp.com/?post/2009/02/14/Revers-de-la-medaille-%3A-le-laureat-du-World-Press-Photo-2008-cherche-du-travail
Le photojournalisme est un métier difficile [...] parce qu'aujourd'hui il manque cruellement de reconnaissance et de moyens.
Grâce aux moyens colossaux des mass media il dispose déjà de la reconnaissance planétaire, c'est pas encore assez ?
Reconnaissance planétaire je ne crois pas. C'est un secteur en crise, qui n'intéresse plus grand monde. Nous ne sommes plus dans les années 80, où d'ailleurs la France était leader en la matière. Aujourd'hui pour décrocher une garantie,il faut se lever de bonne heure. La plupart des photojournalistes doivent trouver des moyens indépendants de production. C'est souvent en travaillant à côté dans un domaine qui peut ne rien avoir a voir avec la photo, ou en faisant du corporate à fond (encore faut'il trouver des clients), ou en organisant des expos - donc en fait en allant chercher des financements pour monter un projet et monter une expo donc - ou encore en participant ...à des concours. Trop rarement en bénéficiant des fonds (conséquents) des grands groupes de presse. Pas facile.
Ce sont de fait les mieux placés pour juger le travail des autres.
Ah bon ? Je serais curieux de savoir pourquoi. (à les entendre ils sont toujours excellents)
D'ailleurs, pour illustrer tout ca, on pourra noter que le laureat 2009 cherche du boulot : http://mediawatch.afp.com/?post/2009/02/14/Revers-de-la-medaille-%3A-le-laureat-du-World-Press-Photo-2008-cherche-du-travail
Comme quoi ça ne sert pas à grand chose...
Cyril Fakiri a écrit
( tl0gp417g2ek4bpk2454i98u2jch8p0a08@4ax.com )
Ce sont de fait les mieux placés pour juger le travail des autres.
Ah bon ? Je serais curieux de savoir pourquoi.
(à les entendre ils sont toujours excellents)
D'ailleurs, pour illustrer tout ca, on pourra noter que le laureat
2009 cherche du boulot :
http://mediawatch.afp.com/?post/2009/02/14/Revers-de-la-medaille-%3A-le-laureat-du-World-Press-Photo-2008-cherche-du-travail
Ce sont de fait les mieux placés pour juger le travail des autres.
Ah bon ? Je serais curieux de savoir pourquoi. (à les entendre ils sont toujours excellents)
D'ailleurs, pour illustrer tout ca, on pourra noter que le laureat 2009 cherche du boulot : http://mediawatch.afp.com/?post/2009/02/14/Revers-de-la-medaille-%3A-le-laureat-du-World-Press-Photo-2008-cherche-du-travail
Comme quoi ça ne sert pas à grand chose...
Cyril Fakiri
On Sun, 15 Feb 2009 17:34:00 +0100, "Bour-Brown" wrote:
Cyril Fakiri a écrit ( )
Ce sont de fait les mieux placés pour juger le travail des autres.
Ah bon ? Je serais curieux de savoir pourquoi.
Je veux dire par là qu'ils connaissent ce métier et que donc ils sont a même de pouvoir prendre la mesure du travail réalisé. Je ne parlais pas per exemple de la dimension artistique ou esthétique de l'image.
(à les entendre ils sont toujours excellents)
c'est qui "les" ? Si tout le monde était excellent, il n'y gagnants, ni perdants.
D'ailleurs, pour illustrer tout ca, on pourra noter que le laureat 2009 cherche du boulot : http://mediawatch.afp.com/?post/2009/02/14/Revers-de-la-medaille-%3A-le-laureat-du-World-Press-Photo-2008-cherche-du-travail
On Sun, 15 Feb 2009 17:34:00 +0100, "Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr>
wrote:
Cyril Fakiri a écrit
( tl0gp417g2ek4bpk2454i98u2jch8p0a08@4ax.com )
Ce sont de fait les mieux placés pour juger le travail des autres.
Ah bon ? Je serais curieux de savoir pourquoi.
Je veux dire par là qu'ils connaissent ce métier et que donc ils sont
a même de pouvoir prendre la mesure du travail réalisé. Je ne parlais
pas per exemple de la dimension artistique ou esthétique de l'image.
(à les entendre ils sont toujours excellents)
c'est qui "les" ?
Si tout le monde était excellent, il n'y gagnants, ni perdants.
D'ailleurs, pour illustrer tout ca, on pourra noter que le laureat
2009 cherche du boulot :
http://mediawatch.afp.com/?post/2009/02/14/Revers-de-la-medaille-%3A-le-laureat-du-World-Press-Photo-2008-cherche-du-travail
On Sun, 15 Feb 2009 17:34:00 +0100, "Bour-Brown" wrote:
Cyril Fakiri a écrit ( )
Ce sont de fait les mieux placés pour juger le travail des autres.
Ah bon ? Je serais curieux de savoir pourquoi.
Je veux dire par là qu'ils connaissent ce métier et que donc ils sont a même de pouvoir prendre la mesure du travail réalisé. Je ne parlais pas per exemple de la dimension artistique ou esthétique de l'image.
(à les entendre ils sont toujours excellents)
c'est qui "les" ? Si tout le monde était excellent, il n'y gagnants, ni perdants.
D'ailleurs, pour illustrer tout ca, on pourra noter que le laureat 2009 cherche du boulot : http://mediawatch.afp.com/?post/2009/02/14/Revers-de-la-medaille-%3A-le-laureat-du-World-Press-Photo-2008-cherche-du-travail
Ceux qui portent un regard sur eux-mêmes, sur leur profession, et ça dans toutes les branches. Sont pas nombreux à dire publiquement, de façon officielle « la profession, c'est largement du n'importe quoi ». En général, qu'ils soient chauffeurs de taxi ou photographes ils ont toujours d'excellentes raisons de se plaindre, c'est toujours très difficile, ils ne sont jamais appréciés à leur juste valeur, c'était toujours mieux avant, la concurrence est toujours déloyale, etc.
Cyril Fakiri a écrit
( 6e3hp4dv5ijmjm176l6gcvgt7vv21pcpkl@4ax.com )
c'est qui "les" ?
Ceux qui portent un regard sur eux-mêmes, sur leur profession, et ça dans
toutes les branches. Sont pas nombreux à dire publiquement, de façon
officielle « la profession, c'est largement du n'importe quoi ». En général,
qu'ils soient chauffeurs de taxi ou photographes ils ont toujours
d'excellentes raisons de se plaindre, c'est toujours très difficile, ils ne
sont jamais appréciés à leur juste valeur, c'était toujours mieux avant, la
concurrence est toujours déloyale, etc.
Ceux qui portent un regard sur eux-mêmes, sur leur profession, et ça dans toutes les branches. Sont pas nombreux à dire publiquement, de façon officielle « la profession, c'est largement du n'importe quoi ». En général, qu'ils soient chauffeurs de taxi ou photographes ils ont toujours d'excellentes raisons de se plaindre, c'est toujours très difficile, ils ne sont jamais appréciés à leur juste valeur, c'était toujours mieux avant, la concurrence est toujours déloyale, etc.
Cyril Fakiri
On Mon, 16 Feb 2009 20:50:34 +0100, "Bour-Brown" wrote:
Cyril Fakiri a écrit ( )
c'est qui "les" ?
Ceux qui portent un regard sur eux-mêmes, sur leur profession, et ça dans toutes les branches. Sont pas nombreux à dire publiquement, de façon officielle « la profession, c'est largement du n'importe quoi ». En général, qu'ils soient chauffeurs de taxi ou photographes ils ont toujours d'excellentes raisons de se plaindre, c'est toujours très difficile, ils ne sont jamais appréciés à leur juste valeur, c'était toujours mieux avant, la concurrence est toujours déloyale, etc.
Y' a du vrai la dedans. Il y a toujours des types qui fréquentent les cocktails, qui bouffent les petits fours et qui savent toujours tout sur tout. Et d'autres qui triment dans l'ombre en prenant parfois des risques. Ca s'applique aussi au monde du photojournalisme, pas d'exception. Et puis il y a les frustrés, les sans talents, qui se croient obligés de la ramener pour exister. Mais je crois qu'il y a plein de bonnes choses à tirer de ce concours, je préfère ignorer le reste.
On Mon, 16 Feb 2009 20:50:34 +0100, "Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr>
wrote:
Cyril Fakiri a écrit
( 6e3hp4dv5ijmjm176l6gcvgt7vv21pcpkl@4ax.com )
c'est qui "les" ?
Ceux qui portent un regard sur eux-mêmes, sur leur profession, et ça dans
toutes les branches. Sont pas nombreux à dire publiquement, de façon
officielle « la profession, c'est largement du n'importe quoi ». En général,
qu'ils soient chauffeurs de taxi ou photographes ils ont toujours
d'excellentes raisons de se plaindre, c'est toujours très difficile, ils ne
sont jamais appréciés à leur juste valeur, c'était toujours mieux avant, la
concurrence est toujours déloyale, etc.
Y' a du vrai la dedans. Il y a toujours des types qui fréquentent les
cocktails, qui bouffent les petits fours et qui savent toujours tout
sur tout. Et d'autres qui triment dans l'ombre en prenant parfois des
risques. Ca s'applique aussi au monde du photojournalisme, pas
d'exception. Et puis il y a les frustrés, les sans talents, qui se
croient obligés de la ramener pour exister.
Mais je crois qu'il y a plein de bonnes choses à tirer de ce concours,
je préfère ignorer le reste.
On Mon, 16 Feb 2009 20:50:34 +0100, "Bour-Brown" wrote:
Cyril Fakiri a écrit ( )
c'est qui "les" ?
Ceux qui portent un regard sur eux-mêmes, sur leur profession, et ça dans toutes les branches. Sont pas nombreux à dire publiquement, de façon officielle « la profession, c'est largement du n'importe quoi ». En général, qu'ils soient chauffeurs de taxi ou photographes ils ont toujours d'excellentes raisons de se plaindre, c'est toujours très difficile, ils ne sont jamais appréciés à leur juste valeur, c'était toujours mieux avant, la concurrence est toujours déloyale, etc.
Y' a du vrai la dedans. Il y a toujours des types qui fréquentent les cocktails, qui bouffent les petits fours et qui savent toujours tout sur tout. Et d'autres qui triment dans l'ombre en prenant parfois des risques. Ca s'applique aussi au monde du photojournalisme, pas d'exception. Et puis il y a les frustrés, les sans talents, qui se croient obligés de la ramener pour exister. Mais je crois qu'il y a plein de bonnes choses à tirer de ce concours, je préfère ignorer le reste.
Mais je crois qu'il y a plein de bonnes choses à tirer de ce concours, je préfère ignorer le reste.
Je ne sais pas. Ce sont des photos faites dans des contextes précis, puis proposées et classées ensuite par un jury sur des critères que je ne comprends pas. Pour dire la photo gagnante cette année me paraît à mille lieues d'une image forte. Hors explications elle n'a strictement aucun sens, c'est rien, que dalle.
(pour moi bien sûr)
Cyril Fakiri a écrit
( 5gijp4dq2f6jeghqrabk6fodbfmsujr4al@4ax.com )
Mais je crois qu'il y a plein de bonnes choses à tirer de ce concours,
je préfère ignorer le reste.
Je ne sais pas. Ce sont des photos faites dans des contextes précis, puis
proposées et classées ensuite par un jury sur des critères que je ne
comprends pas. Pour dire la photo gagnante cette année me paraît à mille
lieues d'une image forte. Hors explications elle n'a strictement aucun sens,
c'est rien, que dalle.
Mais je crois qu'il y a plein de bonnes choses à tirer de ce concours, je préfère ignorer le reste.
Je ne sais pas. Ce sont des photos faites dans des contextes précis, puis proposées et classées ensuite par un jury sur des critères que je ne comprends pas. Pour dire la photo gagnante cette année me paraît à mille lieues d'une image forte. Hors explications elle n'a strictement aucun sens, c'est rien, que dalle.
(pour moi bien sûr)
delestaque
Bour-Brown wrote:
Cyril Fakiri a écrit ( )
Mais je crois qu'il y a plein de bonnes choses à tirer de ce concours, je préfère ignorer le reste.
Je ne sais pas. Ce sont des photos faites dans des contextes précis, puis proposées et classées ensuite par un jury sur des critères que je ne comprends pas. Pour dire la photo gagnante cette année me paraît à mille lieues d'une image forte. Hors explications elle n'a strictement aucun sens, c'est rien, que dalle.
(pour moi bien sûr)
Bof des critères d'interet, des critères de salon, comme si tout ça n'était pas completement pipé
ric
Bour-Brown wrote:
Cyril Fakiri a écrit
( 5gijp4dq2f6jeghqrabk6fodbfmsujr4al@4ax.com )
Mais je crois qu'il y a plein de bonnes choses à tirer de ce
concours, je préfère ignorer le reste.
Je ne sais pas. Ce sont des photos faites dans des contextes précis,
puis proposées et classées ensuite par un jury sur des critères que
je ne comprends pas. Pour dire la photo gagnante cette année me
paraît à mille lieues d'une image forte. Hors explications elle n'a
strictement aucun sens, c'est rien, que dalle.
(pour moi bien sûr)
Bof des critères d'interet, des critères de salon, comme si tout ça n'était
pas completement pipé
Mais je crois qu'il y a plein de bonnes choses à tirer de ce concours, je préfère ignorer le reste.
Je ne sais pas. Ce sont des photos faites dans des contextes précis, puis proposées et classées ensuite par un jury sur des critères que je ne comprends pas. Pour dire la photo gagnante cette année me paraît à mille lieues d'une image forte. Hors explications elle n'a strictement aucun sens, c'est rien, que dalle.
(pour moi bien sûr)
Bof des critères d'interet, des critères de salon, comme si tout ça n'était pas completement pipé
ric
Ghost-Rider
Bour-Brown a écrit :
Je ne sais pas. Ce sont des photos faites dans des contextes précis, puis proposées et classées ensuite par un jury sur des critères que je ne comprends pas. Pour dire la photo gagnante cette année me paraît à mille lieues d'une image forte. Hors explications elle n'a strictement aucun sens, c'est rien, que dalle.
(pour moi bien sûr)
C'est vrai, sans explication, on ne la comprend pas. Et pourtant elle a gagné, sans doute en raison du contraste entre la vision idyllique de l'Amérique, pays de la liberté et la réalité plus prosaïque, voire inquiétante.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
Bour-Brown a écrit :
Je ne sais pas. Ce sont des photos faites dans des contextes précis, puis
proposées et classées ensuite par un jury sur des critères que je ne
comprends pas. Pour dire la photo gagnante cette année me paraît à mille
lieues d'une image forte. Hors explications elle n'a strictement aucun
sens,
c'est rien, que dalle.
(pour moi bien sûr)
C'est vrai, sans explication, on ne la comprend pas. Et pourtant elle a
gagné, sans doute en raison du contraste entre la vision idyllique de
l'Amérique, pays de la liberté et la réalité plus prosaïque, voire
inquiétante.
Je ne sais pas. Ce sont des photos faites dans des contextes précis, puis proposées et classées ensuite par un jury sur des critères que je ne comprends pas. Pour dire la photo gagnante cette année me paraît à mille lieues d'une image forte. Hors explications elle n'a strictement aucun sens, c'est rien, que dalle.
(pour moi bien sûr)
C'est vrai, sans explication, on ne la comprend pas. Et pourtant elle a gagné, sans doute en raison du contraste entre la vision idyllique de l'Amérique, pays de la liberté et la réalité plus prosaïque, voire inquiétante.