Parmi les faits qui ont marqué l'actualité de la semaine précédente, on rappellera le cambrioleur retrouvé à cause d'une session Facebook ouverte et non fermée sur les lieux des méfaits, l'ouverture d'un Windows Café à Paris dans le cadre du lancement du nouvel OS made in Redmond, la condamnation d'une société pour non-respect des termes de la licence GNU GPL, les poursuites judiciaires engagées contre Facebook pour violation de brevet et le sauvetage de Zataz grâce au soutien de ses fidèles lecteurs.

Sur ce, bonne lecture et bon début de semaine sur GNT.


L'addiction à Facebook conduit un cambrioleur en prison : l'addiction à Facebook va coûter très cher à un cambrioleur. Retrouvé à cause d'une session non fermée, le jeune homme de dix-neuf ans encourt une peine allant jusqu'à dix ans de prison.


Un Windows café dans la capitale française : le 22 octobre prochain, la firme de Redmond ouvrira un Windows Café en plein Paris, afin d'y présenter Windows 7, son tout nouveau système d'exploitation. Rendez-vous d'ici quelques semaines au 47 boulevard Sébastopol, dans le 1er arrondissement de Paris.


Condamné pour non-respect de la licence GNU GPL : la licence GNU GPL, cela se respecte à la lettre et la cour d'appel de Paris vient de le confirmer à la plus grande joie de la Free Software Foundation France. La société poursuivie, Edu4, proposait une solution logicielle basée sur l'application VNC publiée sous licence GNU GPL. Pour avoir notamment refusé de fournir le code source, contrairement à ce que prévoit la licence GNU GPL, elle a été condamnée à 8 000 euros d'amende.


Facebook devant les tribunaux pour violation de brevet : outre-Atlantique, le réseau communautaire fait l'objet de poursuites judiciaires. La société WhoGlue lui reproche la violation d'un brevet technologie portant sur le partage et le contrôle des informations dont elle détient les droits.


Les lecteurs de Zataz ne voulaient pas sa fermeture : bonne nouvelle du côté du site Zataz.com, spécialisé dans la sécurité informatique. Son fondateur a décidé de ne pas mettre la clé sous la porte, les dons des fidèles lecteurs sont suffisants pour payer l'amende de 3 500 euros à laquelle il a été condamné suite à la publication d'un article révélant une importante faille de sécurité.