Parmi les faits qui ont marqué l'actualité de la semaine précédente, l'arrivée du bouton Panic sur le réseau social Facebook au Royaume-Uni, le retour des voitures Street View sans leur équipement Wi-Fi, l'affaire opposant LVMH et Google qui va revenir en appel, l'affaire judiciaire mettant en cause le système de paiement en ligne PayPal et la validation du caractère exclusif de la chaîne de télévision Orange Sport dont seuls les clients Orange profitent.

Sur ce, bonne lecture et bon début de semaine sur GNT.


Le bouton Panic arrive sur Facebook au Royaume-Uni : les responsables du réseau communautaire Facebook ont répondu favorablement à la demande d'une organisation britannique de protection de l'enfance avec un bouton panique qui permettra de dénoncer tout acte visant à manipuler sur Internet les enfants à des fins sexuelles.


Retour des voitures Street View, mais sans le Wi-Fi : la firme californienne Google a annoncé que les voitures chargées des prises de vue pour son service Street View, lequel offre pour rappel la possibilité de naviguer à 360° dans les rues des grandes villes, allaient reprendre du service après avoir été délestées de leur équipement Wi-Fi. C'est déjà le cas dans certains pays, mais pas encore en France.


Satisfaction de LVMH et de Google dans l'affaire AdWords : après la décision de la Cour de cassation dans l'affaire qui oppose la marque Louis Vuitton au groupe Google et son service AdWords, les deux parties font part de leur satisfaction. Pourtant, au final, il n'y aura qu'un vainqueur et c'est Google qui semble tenir la corde. La Cour de cassation a renvoyé l'affaire en Cour d'appel.


eBay poursuivi à cause de PayPal : le spécialiste des enchères en ligne eBay fait l'objet de poursuites judiciaires pour l'utilisation de plusieurs technologies ne lui appartenant pas au sein de son service paiement sécurisé en ligne PayPal.


Orange Sport reste une exclusivité pour les clients Orange : la Cour de cassation a validé le caractère exclusif de la chaîne de télévision Orange Sport, qui, d'après elle, ne prive en rien le consommateur du choix de son fournisseur d'accès à Internet et permet au premier FAI français de se démarquer de la concurrence.