Cette semaine, Facebook a annoncé sa fonction sauvegarde et Associated Press ses robots journalistes, pendant que Google était mis au pied du mur et un passager aérien rappelé à l'ordre à cause d'un tweet.

Chez nous, Netflix a confirmé son arrivée pour la rentrée, tandis que les clients Orange savent enfin ce qui s'est passé il y a quelques mois.

Sur ce, bonne lecture et bon début de semaine sur GNT.

Une fonction sauvegarde chez Facebook : peu de temps après le lancement en test de son bouton "j'achète", le réseau social Facebook a annoncé l'arrivée d'une fonctionnalité permettant aux utilisateurs d'enregistrer des pages au gré de leur parcours sur le site afin de les consulter plus tard.

Netflix en septembre : le géant américain de la vidéo à la demande Netflix a profité de l’annonce de ses résultats financiers pour confirmer son arrivée dans plusieurs pays d’Europe, dont la France, d'ici le mois de septembre.

Des robots journalistes déjà à l’œuvre : l'agence de presse américaine Associated Press l'avait annoncé à la fin du mois de juin dernier. C’est désormais chose faite : certains articles publiés sur Internet sont produits par des robots. Une mention le précise dans ce cas.

Google a dix-huit mois pour réagir : après l'Allemagne et la France, c'est au tour de l'Italie de hausser le ton face à la politique du traitement des données personnelles de Google. Le gouvernement italien vient de donner 18 mois au groupe américain pour changer son fonctionnement.

Livebox en proie à une attaque : à la fin du mois de mai, certains utilisateurs des services d'Orange sur l'Internet fixe se voyaient incapables d'accéder à l'administration de leur box. L'origine du problème est désormais connue : il s’agissait d’un détournement de DNS ( service de correspondance entre adresses IP et noms de domaine ) visant à subtiliser des données bancaires.

Pas bien de tweeter son mécontentement : partager son mécontentement et critiquer certains services est devenu une véritable tradition sur les réseaux sociaux. Au moindre accroc, les utilisateurs n'hésitent plus à dégainer leur smartphone pour en faire part au monde entier. Mieux vaut toutefois garder à l’esprit que tout n'est pas bon à dire, ou plutôt à écrire.