Parmi les faits qui ont marqué l'actualité de la semaine précédente, on peut rappeler la disponibilité des films en vidéo à la demande ramenée à quatre mois après leur sortie dans les salles obscures, l'annonce du système d'exploitation Google qui n'est désormais plus une rumeur, la cyberattaque qui a paralysé un grand nombre de sites gouvernementaux sud-coréens et l'adoption du projet de loi Hadopi 2 par le Sénat.

Sur ce, bonne lecture et bon début de semaine sur GNT.


Les films disponibles en VOD sous 4 mois : organisations du cinéma, chaînes de télévision et éditeurs de vidéo à la demande ont signé lundi un accord pour le réaménagement de la chronologie des médias en France. Les films seront notamment disponibles en vidéo à la demande quatre mois après leur sortie dans les salles obscures. Auparavant, il fallait attendre sept mois et demi au minimum.


Annonce du système d'exploitation de Google : la firme de Mountain View a annoncé l'arrivée au second semestre 2010 d'un système d'exploitation opensource nommé Google Chrome OS, qui se destinera dans un premier temps aux netbooks, ces mini-ordinateurs portables à bas prix qui rencontrent un franc succès auprès du grand public.


Des ventes en précommande fortes pour Windows Seven : l'offre de vente en précommande de Windows Seven, le prochain système d'exploitation made in Redmond, semble rencontrer le succès outre-Atlantique. Depuis le lancement de l'offre, l'OS truste la première place des ventes logicielles du cybermarchand Amazon aux USA.


La Corée du Sud est cyberattaquée : la Corée du Sud a été victime d'une cyberattaque d'envergure qui a paralysé plusieurs de ses sites gouvernementaux. Une cyberattaque qu'ont expérimentée quelques jours auparavant les États-Unis.


Hadopi 2 adopté par le Sénat : en l'espace d'une petite après-midi, le Sénat a adopté le texte du projet de loi Hadopi 2, visant pour rappel à lutter contre le téléchargement illégal des œuvres soumises aux droits d'auteur, à 189 voix pour et 142 contre. Dans celui-ci, il est notamment distingué l'internaute qui a téléchargé et l'abonné dont la ligne a été utilisée pour le téléchargement. Les deux encourent néanmoins des sanctions.