10.6 - questions avant installation

michele

30/08/2009 à 21:31

> JLB21 : Effectivement, il va me falloir faire maigrir ma Bib. Il

> y a Application Support à 5,6 Go [...] Parallels à 0,5 Go...

Tu me diras, avec ce que je viens de lire dans le fil (20 Go, 30 Go, 69
Go...), je me dis que tu es un petit joueur et moi un protozoaire (avec
ma Bib User à 676 Mo, ridicule, et heureusement que j'ai le Littré
dedans pour faire un peu de poids)
...

> Il faut dire que j'ai un nombre incalculable de logiciels

Ah, si tu ne te sers pas de tout, ça fait gourmand.

Éric Lévénez

30/08/2009 à 22:12

Gerald a écrit :

- Rosetta : quel serait l'intérêt de ne *pas* cocher son installation ?

C'est un signe fort que Rosetta ne sera pas présent dans Mac OS X 10.7.

--
Éric Lévénez -- <http://www.levenez.com/>
Unix is not only an OS, it's a way of life.

Gerald

30/08/2009 à 23:21

JLB21 wrote:

Il faut dire que j'ai un nombre incalculable de logiciels installés...
Mais il va falloir que je regarde cela d'un peu plus près quand même !

C'est des petits joueurs : mon dossier bib fait plus de 32 Go :-)

/mode provoc ON/
les bibliothèques de petite taille c'est pour ceux qui ne font rien avec
leur ordi :-)
/mode provoc OFF/

Concrètement, des *choix* d'utilisation et certains logiciels peuvent
faire enfler considérablement la bibliothèque. Logic Studio, par exemple
est livré avec 34 Go de boucles Apple Loops (et je ne parle pas de
celles qu'on peut acheter et ajouter !), l'abonnement à Mobile Me
donnait accès aux "Jam Pack Promotion" à hauteur de 6 Go, FinalCut
Studio, rien que pour les polices, objets et textures de LiveType a
besoin de 9,7 Go, et il installait SoundTrack avec un gros paquet de
boucles de bruitages très utiles, GarageBand '09 s'installe aussi avec
13 Go de boucles... iDVD aussi est assez gourmand avec ses modèles... et
je ne parle pas de la taille du dossier de polices d'un professionnel
des arts graphiques...

Alors naturellement on peut "déporter" ces packages en dehors du dossier
bibliothèque. En cas d'utilisation nomade, il faudra alors soit se
trimballer systématiquement le disque externe qui les contient soit ne
pas travailler avec Logic par exemple... Mais si on a la place (et c'est
désormais plus facile) pourquoi ne pas se les garder sous la main ?

Donc rester vigilant certainement, toiletter pourquoi pas, mais se la
jouer "concours de la plus petite bite" dans l'abstrait, franchement, ça
ne ressemble pas à grand chose :-)

--
Gérald

michele

31/08/2009 à 01:49

> Gerald :
Donc rester vigilant certainement, toiletter pourquoi pas, mais se la
jouer "concours de la plus petite bite" dans l'abstrait, franchement, ça
ne ressemble pas à grand chose :-)

Quel que soit l'angle par lequel j'observe la chose, il m'est difficile
de nier que j'ai une très très très petite bite. Étonnemment, au vu de
la quantité de terminaisons nerveuses au millimètre carré, le rapport
taille du bouzin / quantité d'effet explose largement les bites dites
grandes. Je n'y suis pour rien, c'est physiologique.
Concernant les boucles et packs d'effets livrés avec certains logiciels,
ça peut parfois se révéler la même chose (comprenne qui pourra).

Si je dois parler de ce que je connais, pour le dossier police, un
flasheur doit impérativement avoir les Garamonds de chaque fondeur, les
Didots de chaque fondeur, etc... pour la sécurité et toutes les polices
utilisées par ses clients. ce qui fait vite un monceau énorme de
polices. Mais c'est un flasheur.
Pour un maquettiste, même orienté typographie, la charte de ses clients
le limite en quantité de polices. Aussi, pour éviter de noyer l'½il ou
de tomber dans la laideur, la quantité de polices utilisables dans un
même doc est limitée. Même quand je travaillais pour Lancôme ou Armani,
il n'était pas question de dégaîner une police inusitée pour "faire
différent des autres" mais de savoir précisément comment utiliser la
police choisie (ça, c'est quand on faisait des trucs hors charte). Je
n'ai donc jamais eu de quantités énormes de polices car l'obligation
d'élégance et d'inventivité de la maquette primait sur le nombre ou
l'excentricité des polices, bien sûr.
Quant à la variété, on ne peut utiliser des polices très alambiquées que
pour certains sujets comme la titraille des livres pour enfants par
exemple où on peut se lâcher un petit poil (mais pour le body, on
revient à du classique à cause de la nécessité de lisibilité).
Enfin, quel profane fera la différence à l'½il entre 3 familles
d'Elzévir (police à empattement triangulaire).
Seul peut-être le designer de flyers de boite de nuit ou d'évènements
musicaux va s'amuser vraiment avec des typos incroyables et de la
couleur dans tous les sens car le support appelle ce genre de chose : il
doit frapper l'imagination en 1 coup d'½il.

Pour les boucles des logiciels musicaux, il me semble que si un musicien
de techno va s'éclater avec les packages énormes d'effets, ce sera moins
le cas d'un autre type de musicien qui préfèrera réaliser ses effets sur
ses instruments de musique.

A chacun son usage des logiciels. Et clairement tout le monde ne les
pratiquent pas de la même façon.

De plus, parfois, les effets ou packs offerts vous font tomber de la
chaise. Honnêtement, plutôt que d'utiliser les 450 Mo d'horribles fonds
offerts par Toast, je préfère faire le fond moi-même car le pack offert
est tout simplement hideux. Mais c'est sûrement un cas extrême.

Sous photoshop, je préfère faire mes effets à la main qu'avec des
filtres car ils ne font jamais ce que je demande. Un seul filtre m'a
bluffé, c'est le filtre noir et blanc de Nikon parce qu'il n'y pas un
gramme d'esbrouffe dans ce filtre (mais il ne réussit pas dans toutes
les situations ; dans certaines, il echoue et le rendu manuel est
meilleur). Et depuis quelques temps, je peux le refaire à la main. Ce
n'est pas par obsession, c'est pour comprendre ce qui se passe. Quand
j'ai compris intuitivement ce qui s'est passé, je progresse. Si
j'applique bêtement, je ne m'amuse plus.

Bref, chacun sa façon de s'amuser.

> Gerald :
Donc rester vigilant certainement, toiletter pourquoi pas, mais se la
jouer "concours de la plus petite bite" dans l'abstrait, franchement, ça
ne ressemble pas à grand chose :-)

Quel que soit l'angle par lequel j'observe la chose, il m'est difficile
de nier que j'ai une très très très petite bite. Étonnemment, au vu de
la quantité de terminaisons nerveuses au millimètre carré, le rapport
taille du bouzin / quantité d'effet explose largement les bites dites
grandes. Je n'y suis pour rien, c'est physiologique.
Concernant les boucles et packs d'effets livrés avec certains logiciels,
ça peut parfois se révéler la même chose (comprenne qui pourra).

Si je dois parler de ce que je connais, pour le dossier police, un
flasheur doit impérativement avoir les Garamonds de chaque fondeur, les
Didots de chaque fondeur, etc... pour la sécurité et toutes les polices
utilisées par ses clients. ce qui fait vite un monceau énorme de
polices. Mais c'est un flasheur.
Pour un maquettiste, même orienté typographie, la charte de ses clients
le limite en quantité de polices. Aussi, pour éviter de noyer l'½il ou
de tomber dans la laideur, la quantité de polices utilisables dans un
même doc est limitée. Même quand je travaillais pour Lancôme ou Armani,
il n'était pas question de dégaîner une police inusitée pour "faire
différent des autres" mais de savoir précisément comment utiliser la
police choisie (ça, c'est quand on faisait des trucs hors charte). Je
n'ai donc jamais eu de quantités énormes de polices car l'obligation
d'élégance et d'inventivité de la maquette primait sur le nombre ou
l'excentricité des polices, bien sûr.
Quant à la variété, on ne peut utiliser des polices très alambiquées que
pour certains sujets comme la titraille des livres pour enfants par
exemple où on peut se lâcher un petit poil (mais pour le body, on
revient à du classique à cause de la nécessité de lisibilité).
Enfin, quel profane fera la différence à l'½il entre 3 familles
d'Elzévir (police à empattement triangulaire).
Seul peut-être le designer de flyers de boite de nuit ou d'évènements
musicaux va s'amuser vraiment avec des typos incroyables et de la
couleur dans tous les sens car le support appelle ce genre de chose : il
doit frapper l'imagination en 1 coup d'½il.

Pour les boucles des logiciels musicaux, il me semble que si un musicien
de techno va s'éclater avec les packages énormes d'effets, ce sera moins
le cas d'un autre type de musicien qui préfèrera réaliser ses effets sur
ses instruments de musique.

A chacun son usage des logiciels. Et clairement tout le monde ne les
pratiquent pas de la même façon.

De plus, parfois, les effets ou packs offerts vous font tomber de la
chaise. Honnêtement, plutôt que d'utiliser les 450 Mo d'horribles fonds
offerts par Toast, je préfère faire le fond moi-même car le pack offert
est tout simplement hideux. Mais c'est sûrement un cas extrême.

Sous photoshop, je préfère faire mes effets à la main qu'avec des
filtres car ils ne font jamais ce que je demande. Un seul filtre m'a
bluffé, c'est le filtre noir et blanc de Nikon parce qu'il n'y pas un
gramme d'esbrouffe dans ce filtre (mais il ne réussit pas dans toutes
les situations ; dans certaines, il echoue et le rendu manuel est
meilleur). Et depuis quelques temps, je peux le refaire à la main. Ce
n'est pas par obsession, c'est pour comprendre ce qui se passe. Quand
j'ai compris intuitivement ce qui s'est passé, je progresse. Si
j'applique bêtement, je ne m'amuse plus.

Bref, chacun sa façon de s'amuser.

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> Gerald :
Donc rester vigilant certainement, toiletter pourquoi pas, mais se la
jouer "concours de la plus petite bite" dans l'abstrait, franchement, ça
ne ressemble pas à grand chose :-)

Quel que soit l'angle par lequel j'observe la chose, il m'est difficile
de nier que j'ai une très très très petite bite. Étonnemment, au vu de
la quantité de terminaisons nerveuses au millimètre carré, le rapport
taille du bouzin / quantité d'effet explose largement les bites dites
grandes. Je n'y suis pour rien, c'est physiologique.
Concernant les boucles et packs d'effets livrés avec certains logiciels,
ça peut parfois se révéler la même chose (comprenne qui pourra).

Si je dois parler de ce que je connais, pour le dossier police, un
flasheur doit impérativement avoir les Garamonds de chaque fondeur, les
Didots de chaque fondeur, etc... pour la sécurité et toutes les polices
utilisées par ses clients. ce qui fait vite un monceau énorme de
polices. Mais c'est un flasheur.
Pour un maquettiste, même orienté typographie, la charte de ses clients
le limite en quantité de polices. Aussi, pour éviter de noyer l'½il ou
de tomber dans la laideur, la quantité de polices utilisables dans un
même doc est limitée. Même quand je travaillais pour Lancôme ou Armani,
il n'était pas question de dégaîner une police inusitée pour "faire
différent des autres" mais de savoir précisément comment utiliser la
police choisie (ça, c'est quand on faisait des trucs hors charte). Je
n'ai donc jamais eu de quantités énormes de polices car l'obligation
d'élégance et d'inventivité de la maquette primait sur le nombre ou
l'excentricité des polices, bien sûr.
Quant à la variété, on ne peut utiliser des polices très alambiquées que
pour certains sujets comme la titraille des livres pour enfants par
exemple où on peut se lâcher un petit poil (mais pour le body, on
revient à du classique à cause de la nécessité de lisibilité).
Enfin, quel profane fera la différence à l'½il entre 3 familles
d'Elzévir (police à empattement triangulaire).
Seul peut-être le designer de flyers de boite de nuit ou d'évènements
musicaux va s'amuser vraiment avec des typos incroyables et de la
couleur dans tous les sens car le support appelle ce genre de chose : il
doit frapper l'imagination en 1 coup d'½il.

Pour les boucles des logiciels musicaux, il me semble que si un musicien
de techno va s'éclater avec les packages énormes d'effets, ce sera moins
le cas d'un autre type de musicien qui préfèrera réaliser ses effets sur
ses instruments de musique.

A chacun son usage des logiciels. Et clairement tout le monde ne les
pratiquent pas de la même façon.

De plus, parfois, les effets ou packs offerts vous font tomber de la
chaise. Honnêtement, plutôt que d'utiliser les 450 Mo d'horribles fonds
offerts par Toast, je préfère faire le fond moi-même car le pack offert
est tout simplement hideux. Mais c'est sûrement un cas extrême.

Sous photoshop, je préfère faire mes effets à la main qu'avec des
filtres car ils ne font jamais ce que je demande. Un seul filtre m'a
bluffé, c'est le filtre noir et blanc de Nikon parce qu'il n'y pas un
gramme d'esbrouffe dans ce filtre (mais il ne réussit pas dans toutes
les situations ; dans certaines, il echoue et le rendu manuel est
meilleur). Et depuis quelques temps, je peux le refaire à la main. Ce
n'est pas par obsession, c'est pour comprendre ce qui se passe. Quand
j'ai compris intuitivement ce qui s'est passé, je progresse. Si
j'applique bêtement, je ne m'amuse plus.

Bref, chacun sa façon de s'amuser.

Gerald

31/08/2009 à 07:57

michele wrote:

Pour un maquettiste, même orienté typographie, la charte de ses clients
le limite en quantité de polices.

C'est parfaitement exact et mon dossier Fonts utilisateur est
effectivement très raisonnable (236 Mo). Le dossier Fonts de la racine
est plus copieux mais plein de polices installées par les logiciels (en
particulier de gravure musicale). À mon intention : mauvais exemple,
changer d'exemple.

Note que tu omets de citer *celle* qui sauve à chaque fois qu'on se met
à douter. Selon le vieil adage : « quand tu ne sais pas quoi choisir,
prend la Caslon, ça ira toujours » :-) Donc si on ne devait en avoir
qu'une seule (pour être *vraiment* minimaliste :-))...

Pour les boucles des logiciels musicaux, il me semble que si un musicien
de techno va s'éclater avec les packages énormes d'effets, ce sera moins
le cas d'un autre type de musicien qui préfèrera réaliser ses effets sur
ses instruments de musique.

Du fait de leur qualité intrinsèque et de leurs capacités de dilatation
ou de désaccordage, les Apple Loops sont devenues depuis quelques années
un standard de fait. J'estime à 50 % environ la musique illustrative
commerciale réalisée avec les packages de base. Mon fils s'amuse
d'ailleurs beaucoup à le repérer dans chaque nouvelle pub télé.

La plupart des compositeurs de « musiques dépassant cinq ou six
instruments » utilisent désormais des instruments virtuels, qui pèsent
lourd, très lourd, en poids d'octets comme en prix. Juste pour situer un
exemple :
<http://www.univers-sons.com/sons/vienna-symphonic-library-symphonic-cub
e-full-cubefull.html>
On atteint vite le téraoctet et au delà !
Jusqu'à une date récente, les productions leur payaient ensuite de
quelques musiciens à un orchestre symphonique (le Bolchoï de Moscou se
« loue » ainsi facilement sous un nom d'emprunt, mais tout autant
l'orchestre des Pays de Savoie pour un budget plus limité). Mais la
montée en qualité des instruments virtuels et la crise font désormais
qu'une bonne partie de la production ou post-production reste au niveau
des machines avec quelques vrais instruments en avant-plan pour donner
de l'authenticité.

A chacun son usage des logiciels. Et clairement tout le monde ne les
pratiquent pas de la même façon.

Tout à fait et ce que je propose n'est qu'un exemple. Il situe
simplement qu'en plus de la nécessité de bien savoir ce qu'on fait pour
toiletter et dégraisser son système et ses bibliothèques (dont on a
parlé précédemment), le résultat final peut largement dépendre de
l'utilisation qu'on fait de son ordinateur et de ses applications. D'où
le caractère très relatif de la chasse à l'octet (expression que je
substitue à la précédente et dont je soupçonne que tu la préfères :-))

cordialement,

--
Gérald

michele <michele@sansalussinan.org> wrote:

Pour un maquettiste, même orienté typographie, la charte de ses clients
le limite en quantité de polices.

C'est parfaitement exact et mon dossier Fonts utilisateur est
effectivement très raisonnable (236 Mo). Le dossier Fonts de la racine
est plus copieux mais plein de polices installées par les logiciels (en
particulier de gravure musicale). À mon intention : mauvais exemple,
changer d'exemple.

Note que tu omets de citer *celle* qui sauve à chaque fois qu'on se met
à douter. Selon le vieil adage : « quand tu ne sais pas quoi choisir,
prend la Caslon, ça ira toujours » :-) Donc si on ne devait en avoir
qu'une seule (pour être *vraiment* minimaliste :-))...

Pour les boucles des logiciels musicaux, il me semble que si un musicien
de techno va s'éclater avec les packages énormes d'effets, ce sera moins
le cas d'un autre type de musicien qui préfèrera réaliser ses effets sur
ses instruments de musique.

Du fait de leur qualité intrinsèque et de leurs capacités de dilatation
ou de désaccordage, les Apple Loops sont devenues depuis quelques années
un standard de fait. J'estime à 50 % environ la musique illustrative
commerciale réalisée avec les packages de base. Mon fils s'amuse
d'ailleurs beaucoup à le repérer dans chaque nouvelle pub télé.

La plupart des compositeurs de « musiques dépassant cinq ou six
instruments » utilisent désormais des instruments virtuels, qui pèsent
lourd, très lourd, en poids d'octets comme en prix. Juste pour situer un
exemple :
<http://www.univers-sons.com/sons/vienna-symphonic-library-symphonic-cub
e-full-cubefull.html>
On atteint vite le téraoctet et au delà !
Jusqu'à une date récente, les productions leur payaient ensuite de
quelques musiciens à un orchestre symphonique (le Bolchoï de Moscou se
« loue » ainsi facilement sous un nom d'emprunt, mais tout autant
l'orchestre des Pays de Savoie pour un budget plus limité). Mais la
montée en qualité des instruments virtuels et la crise font désormais
qu'une bonne partie de la production ou post-production reste au niveau
des machines avec quelques vrais instruments en avant-plan pour donner
de l'authenticité.

A chacun son usage des logiciels. Et clairement tout le monde ne les
pratiquent pas de la même façon.

Tout à fait et ce que je propose n'est qu'un exemple. Il situe
simplement qu'en plus de la nécessité de bien savoir ce qu'on fait pour
toiletter et dégraisser son système et ses bibliothèques (dont on a
parlé précédemment), le résultat final peut largement dépendre de
l'utilisation qu'on fait de son ordinateur et de ses applications. D'où
le caractère très relatif de la chasse à l'octet (expression que je
substitue à la précédente et dont je soupçonne que tu la préfères :-))

cordialement,

--
Gérald

Vous avez filtré cet utilisateur ! Consultez son message

michele wrote:

Pour un maquettiste, même orienté typographie, la charte de ses clients
le limite en quantité de polices.

C'est parfaitement exact et mon dossier Fonts utilisateur est
effectivement très raisonnable (236 Mo). Le dossier Fonts de la racine
est plus copieux mais plein de polices installées par les logiciels (en
particulier de gravure musicale). À mon intention : mauvais exemple,
changer d'exemple.

Note que tu omets de citer *celle* qui sauve à chaque fois qu'on se met
à douter. Selon le vieil adage : « quand tu ne sais pas quoi choisir,
prend la Caslon, ça ira toujours » :-) Donc si on ne devait en avoir
qu'une seule (pour être *vraiment* minimaliste :-))...

Pour les boucles des logiciels musicaux, il me semble que si un musicien
de techno va s'éclater avec les packages énormes d'effets, ce sera moins
le cas d'un autre type de musicien qui préfèrera réaliser ses effets sur
ses instruments de musique.

Du fait de leur qualité intrinsèque et de leurs capacités de dilatation
ou de désaccordage, les Apple Loops sont devenues depuis quelques années
un standard de fait. J'estime à 50 % environ la musique illustrative
commerciale réalisée avec les packages de base. Mon fils s'amuse
d'ailleurs beaucoup à le repérer dans chaque nouvelle pub télé.

La plupart des compositeurs de « musiques dépassant cinq ou six
instruments » utilisent désormais des instruments virtuels, qui pèsent
lourd, très lourd, en poids d'octets comme en prix. Juste pour situer un
exemple :
<http://www.univers-sons.com/sons/vienna-symphonic-library-symphonic-cub
e-full-cubefull.html>
On atteint vite le téraoctet et au delà !
Jusqu'à une date récente, les productions leur payaient ensuite de
quelques musiciens à un orchestre symphonique (le Bolchoï de Moscou se
« loue » ainsi facilement sous un nom d'emprunt, mais tout autant
l'orchestre des Pays de Savoie pour un budget plus limité). Mais la
montée en qualité des instruments virtuels et la crise font désormais
qu'une bonne partie de la production ou post-production reste au niveau
des machines avec quelques vrais instruments en avant-plan pour donner
de l'authenticité.

A chacun son usage des logiciels. Et clairement tout le monde ne les
pratiquent pas de la même façon.

Tout à fait et ce que je propose n'est qu'un exemple. Il situe
simplement qu'en plus de la nécessité de bien savoir ce qu'on fait pour
toiletter et dégraisser son système et ses bibliothèques (dont on a
parlé précédemment), le résultat final peut largement dépendre de
l'utilisation qu'on fait de son ordinateur et de ses applications. D'où
le caractère très relatif de la chasse à l'octet (expression que je
substitue à la précédente et dont je soupçonne que tu la préfères :-))

cordialement,

--
Gérald

JLB21

31/08/2009 à 10:27

Le 2009-08-30 20:26:19 +0200, JLB21 dit :

Le 2009-08-29 20:28:51 +0200, (michele) dit :

> JLB21wrote :
> le dossier Biblioth

michele

31/08/2009 à 20:50

> Gerald : J'estime à 50 % environ la musique illustrative

> commerciale réalisée avec les packages de base.
Ça fait peur. Et c'est d'autant plus dégueu que justement, la musique
illustrative est celle qui est payée. Mais bon...

> la chasse à l'octet (expression que je substitue à la précédente
> et dont je soupçonne que tu la préfères :-))
Ben voui, le concours de petite bite pour une fille, ça ne veut rien
dire, voyons.
Disons que quand tu te retrouves avec 3 Go d'espace devant toi et que tu
n'as pas les moyens d'acheter un nouveau disque (même s'ils sont peu
chers), ben, tu chasses l'octet. Quand tu as réussi à récupérer10 Go,
t'es content. Et pour ceux qui ont des SSD très chers pour des espaces
offerts assez restreints, ça aide aussi.

Je me vois mal balancer les éléments constitutifs de Nikon NX. Mais un
dictionnaire japonais-anglais de 400 Mo, je n'ai pas de raison de le
garder. Je préfère avoir 400 Mo de place en plus (même si ce n'est
aujourd'hui plus grand chose) pour ranger quelques raw.
Et puis je veux savoir à qui servent tous les machins qui traînent dans
tous les sens parce que j'aime comprendre les outils que j'utilise.

Gerald

01/09/2009 à 07:14

michele wrote:

Ça fait peur. Et c'est d'autant plus dégueu que justement, la musique
illustrative est celle qui est payée. Mais bon...

Je ne sais pas bien si « ça fait peur » où ce que tu mets dans cette
expression. Il y a belle lurette qu'on utilise des instruments virtuels,
les premiers standards en la matière ayant été les GigaStudio. Cette
estimation signe simplement la très bonne qualité technique des Apple
Loops qui s'ajoute à leur facilité d'obtention (quasi gratuité ou plutôt
« mise à disposition associée » dans trois cas : achat d'une nouvelle
machine, achat de certains logiciels Apple, abonnement à Mobile Me, et
faible coût dans les autre cas pour les packs commercialisés).

Et pour ceux qui ont des SSD très chers pour des espaces
offerts assez restreints, ça aide aussi.

Effectivement, j'avais zappé cette catégorie.

Et puis je veux savoir à qui servent tous les machins qui traînent dans
tous les sens parce que j'aime comprendre les outils que j'utilise.

Louable (à un prix raisonnable quand même) et bel exemple !
Cordialement.

--
Gérald

JLB21

01/09/2009 à 10:26

Le 2009-08-28 18:54:15 +0200, JLB21 dit :

Le 2009-08-28 08:41:00 +0200, (Gerald) dit :

D'après les premiers commentaires sur l'installation de Snow Leopard
semble qu'il faille se mettre au clair sur un certain nombre de points
avant de la lancer pour ne pas avoir à y revenir ensuite. Dans l'attente
de sa réception, j'en ai déjà quelques unes :

- QuickTime X : il est dit chez MacPlus que pour les utilisateurs
actuels de FinalCut (dans mon cas FinalCut Express, qui n'a pas été mis
à jour récemment comme FinalCut Studio) il faudrait en désactiver
l'installation et en rester à QuickTime 7. Quelle en serait la raison ?
Comment cela se manifesterait-il ? Qu'y a-t-il d'à ce point différent
dans QuickTime X ? Cela concerne-t-il aussi iMovie '09 ?

Je viens de l'installer (durée : 53 mn sur un iMac Intel 2,4 GHz).

iMovie '09 fonctionne parfaitement. la lecture plein écran d'événements
en HD me semble beaucoup meilleure qualitativement q'auparavant.
Au premier lancement d'une vidéo par double-clic, c'est QT 7 qui s'est
lancé. J'ai donc cliqué du droit sur une vidéo et provoqué son
ouverture avec QT 10.
Depuis, toutes les vidéos lancées par double-clic s'ouvrent avec QT 10.

Par contre, par la suite, j'ai constaté que QT 7 avait été déplacé dans
le dossier Utilitaires. Comme QT 10 n'intègre pas Flip4Mac, il faut
donc forcer l'ouverture des fichiers de type .wmv avec QT 7 et tout
redevient comme avant l'install de Snow...
Apparemment, les deux QT fonctionnent côte à côte sans conflit. Mais il
faut avouer que la denêtre de QT 10 est superbe !

- Rosetta : quel serait l'intérêt de ne *pas* cocher son installation ?
Ça ne pèse pas lourd et comme on ne sait jamais si un utilitaire ou un
autre peut ou non en avoir besoin (vous vérifiez, vous ?)... Pourquoi
est-il décoché par défaut ?

Je n'ai rien eu à cocher durant l'installation qui s'est réalisée sans
ma participation. Mais si on le souhaite, on peut choisir de
personnaliser pour sélectionner les composants à installer.

Par contre, après re-démarrage (qui a été plus long qu'un démarrage
normal), lorsque j'ai voulu lancer Photoshop (de la CS 2), une fenêtre
est apparue, me demandant si je souhaitais installer Rosetta. J'ai
confirmé le OK. L'installation n'a pris que quelques secondes.

- la sélection du volume de sauvegarde : de quelle sauvegarde est-il
question ? Du volume qui servira ensuite à récupérer les données via
Assistant Migration ? J'imagine qu'il vaut alors mieux choisir une
sauvegarde "miroir" bootable plutôt qu'une sauvegarde Time Machine dont
on a peut-être exclu certains dossiers utiles ? Ou bien s'agit-il d'un
volume sur lequel le système veut sauvegarder les données de l'ancien
système (au lieu de le mettre dans previous system sur le disque de
démarrage) ? Question subsidiaire : par défaut, ceux qui ne disposent
pas de sauvegarde voient-ils leurs comptes utilisateurs
supprimés/écrasés ?

J'ai toujours une sauvegarde de mes documents, images, musiques,
vidéos, ainsi que de ma 'Library'.

Mais là, je n'ai rien fait de spécial, juste mis le DVD d'install puis
cliqué sur l'installateur.

Aucun compte n'est touché. Après le démarrage suivant l'installation,
on retrouve tout, exactement comme c'était avant l'install. Juste la
luminosité de l'écran à régler. Chaque logiciel est un peu plus long à
lancer lors de la première fois, puis tout revient dans l'ordre.

à suivre ? (et par avance merci à ceux qui savent)

A noter que le dossier Bibliothèque 'pèse' désormais 9,5 Go et le
dossier Système 4,45 Go. Je pense, bien que je ne l'aie pas noté, que
les tailles de ces deux dossiers était très supérieures avant.

J'espère que mon expérience t'aura été utile.

--

Le 2009-08-28 18:54:15 +0200, JLB21 <jlb21@free.fr> dit :

Le 2009-08-28 08:41:00 +0200, Gerald@alussinan.org (Gerald) dit :

D'après les premiers commentaires sur l'installation de Snow Leopard
semble qu'il faille se mettre au clair sur un certain nombre de points
avant de la lancer pour ne pas avoir à y revenir ensuite. Dans l'attente
de sa réception, j'en ai déjà quelques unes :

- QuickTime X : il est dit chez MacPlus que pour les utilisateurs
actuels de FinalCut (dans mon cas FinalCut Express, qui n'a pas été mis
à jour récemment comme FinalCut Studio) il faudrait en désactiver
l'installation et en rester à QuickTime 7. Quelle en serait la raison ?
Comment cela se manifesterait-il ? Qu'y a-t-il d'à ce point différent
dans QuickTime X ? Cela concerne-t-il aussi iMovie '09 ?

Je viens de l'installer (durée : 53 mn sur un iMac Intel 2,4 GHz).

iMovie '09 fonctionne parfaitement. la lecture plein écran d'événements
en HD me semble beaucoup meilleure qualitativement q'auparavant.
Au premier lancement d'une vidéo par double-clic, c'est QT 7 qui s'est
lancé. J'ai donc cliqué du droit sur une vidéo et provoqué son
ouverture avec QT 10.
Depuis, toutes les vidéos lancées par double-clic s'ouvrent avec QT 10.

Par contre, par la suite, j'ai constaté que QT 7 avait été déplacé dans
le dossier Utilitaires. Comme QT 10 n'intègre pas Flip4Mac, il faut
donc forcer l'ouverture des fichiers de type .wmv avec QT 7 et tout
redevient comme avant l'install de Snow...
Apparemment, les deux QT fonctionnent côte à côte sans conflit. Mais il
faut avouer que la denêtre de QT 10 est superbe !

- Rosetta : quel serait l'intérêt de ne *pas* cocher son installation ?
Ça ne pèse pas lourd et comme on ne sait jamais si un utilitaire ou un
autre peut ou non en avoir besoin (vous vérifiez, vous ?)... Pourquoi
est-il décoché par défaut ?

Je n'ai rien eu à cocher durant l'installation qui s'est réalisée sans
ma participation. Mais si on le souhaite, on peut choisir de
personnaliser pour sélectionner les composants à installer.

Par contre, après re-démarrage (qui a été plus long qu'un démarrage
normal), lorsque j'ai voulu lancer Photoshop (de la CS 2), une fenêtre
est apparue, me demandant si je souhaitais installer Rosetta. J'ai
confirmé le OK. L'installation n'a pris que quelques secondes.

- la sélection du volume de sauvegarde : de quelle sauvegarde est-il
question ? Du volume qui servira ensuite à récupérer les données via
Assistant Migration ? J'imagine qu'il vaut alors mieux choisir une
sauvegarde "miroir" bootable plutôt qu'une sauvegarde Time Machine dont
on a peut-être exclu certains dossiers utiles ? Ou bien s'agit-il d'un
volume sur lequel le système veut sauvegarder les données de l'ancien
système (au lieu de le mettre dans previous system sur le disque de
démarrage) ? Question subsidiaire : par défaut, ceux qui ne disposent
pas de sauvegarde voient-ils leurs comptes utilisateurs
supprimés/écrasés ?

J'ai toujours une sauvegarde de mes documents, images, musiques,
vidéos, ainsi que de ma 'Library'.

Mais là, je n'ai rien fait de spécial, juste mis le DVD d'install puis
cliqué sur l'installateur.

Aucun compte n'est touché. Après le démarrage suivant l'installation,
on retrouve tout, exactement comme c'était avant l'install. Juste la
luminosité de l'écran à régler. Chaque logiciel est un peu plus long à
lancer lors de la première fois, puis tout revient dans l'ordre.

à suivre ? (et par avance merci à ceux qui savent)

A noter que le dossier Bibliothèque 'pèse' désormais 9,5 Go et le
dossier Système 4,45 Go. Je pense, bien que je ne l'aie pas noté, que
les tailles de ces deux dossiers était très supérieures avant.

J'espère que mon expérience t'aura été utile.

--

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Le 2009-08-28 18:54:15 +0200, JLB21 dit :

Le 2009-08-28 08:41:00 +0200, (Gerald) dit :

D'après les premiers commentaires sur l'installation de Snow Leopard
semble qu'il faille se mettre au clair sur un certain nombre de points
avant de la lancer pour ne pas avoir à y revenir ensuite. Dans l'attente
de sa réception, j'en ai déjà quelques unes :

- QuickTime X : il est dit chez MacPlus que pour les utilisateurs
actuels de FinalCut (dans mon cas FinalCut Express, qui n'a pas été mis
à jour récemment comme FinalCut Studio) il faudrait en désactiver
l'installation et en rester à QuickTime 7. Quelle en serait la raison ?
Comment cela se manifesterait-il ? Qu'y a-t-il d'à ce point différent
dans QuickTime X ? Cela concerne-t-il aussi iMovie '09 ?

Je viens de l'installer (durée : 53 mn sur un iMac Intel 2,4 GHz).

iMovie '09 fonctionne parfaitement. la lecture plein écran d'événements
en HD me semble beaucoup meilleure qualitativement q'auparavant.
Au premier lancement d'une vidéo par double-clic, c'est QT 7 qui s'est
lancé. J'ai donc cliqué du droit sur une vidéo et provoqué son
ouverture avec QT 10.
Depuis, toutes les vidéos lancées par double-clic s'ouvrent avec QT 10.

Par contre, par la suite, j'ai constaté que QT 7 avait été déplacé dans
le dossier Utilitaires. Comme QT 10 n'intègre pas Flip4Mac, il faut
donc forcer l'ouverture des fichiers de type .wmv avec QT 7 et tout
redevient comme avant l'install de Snow...
Apparemment, les deux QT fonctionnent côte à côte sans conflit. Mais il
faut avouer que la denêtre de QT 10 est superbe !

- Rosetta : quel serait l'intérêt de ne *pas* cocher son installation ?
Ça ne pèse pas lourd et comme on ne sait jamais si un utilitaire ou un
autre peut ou non en avoir besoin (vous vérifiez, vous ?)... Pourquoi
est-il décoché par défaut ?

Je n'ai rien eu à cocher durant l'installation qui s'est réalisée sans
ma participation. Mais si on le souhaite, on peut choisir de
personnaliser pour sélectionner les composants à installer.

Par contre, après re-démarrage (qui a été plus long qu'un démarrage
normal), lorsque j'ai voulu lancer Photoshop (de la CS 2), une fenêtre
est apparue, me demandant si je souhaitais installer Rosetta. J'ai
confirmé le OK. L'installation n'a pris que quelques secondes.

- la sélection du volume de sauvegarde : de quelle sauvegarde est-il
question ? Du volume qui servira ensuite à récupérer les données via
Assistant Migration ? J'imagine qu'il vaut alors mieux choisir une
sauvegarde "miroir" bootable plutôt qu'une sauvegarde Time Machine dont
on a peut-être exclu certains dossiers utiles ? Ou bien s'agit-il d'un
volume sur lequel le système veut sauvegarder les données de l'ancien
système (au lieu de le mettre dans previous system sur le disque de
démarrage) ? Question subsidiaire : par défaut, ceux qui ne disposent
pas de sauvegarde voient-ils leurs comptes utilisateurs
supprimés/écrasés ?

J'ai toujours une sauvegarde de mes documents, images, musiques,
vidéos, ainsi que de ma 'Library'.

Mais là, je n'ai rien fait de spécial, juste mis le DVD d'install puis
cliqué sur l'installateur.

Aucun compte n'est touché. Après le démarrage suivant l'installation,
on retrouve tout, exactement comme c'était avant l'install. Juste la
luminosité de l'écran à régler. Chaque logiciel est un peu plus long à
lancer lors de la première fois, puis tout revient dans l'ordre.

à suivre ? (et par avance merci à ceux qui savent)

A noter que le dossier Bibliothèque 'pèse' désormais 9,5 Go et le
dossier Système 4,45 Go. Je pense, bien que je ne l'aie pas noté, que
les tailles de ces deux dossiers était très supérieures avant.

J'espère que mon expérience t'aura été utile.

--

Philippe Di Valentin

01/09/2009 à 10:38

JLB21 a écrit :

Je viens de l'installer (durée : 53 mn sur un iMac Intel 2,4 GHz).

35 mn ici en personnalisé!!

Par contre, par la suite, j'ai constaté que QT 7 avait été dépl acé dans
le dossier Utilitaires. Comme QT 10 n'intègre pas Flip4Mac, il faut d onc
forcer l'ouverture des fichiers de type .wmv avec QT 7 et tout redevien t
comme avant l'install de Snow...

Les .wmv s'ouvrent avec le 10 et le 7!!

A noter que le dossier Bibliothèque 'pèse' désormais 9,5 Go et l e
dossier Système 4,45 Go. Je pense, bien que je ne l'aie pas noté, que
les tailles de ces deux dossiers était très supérieures avant.

Bibliothèquew,8 Mo
Système=4,35 Go et j'ai pas fini le "ménage":-)

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