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Accidents photographiques

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Ghost-Raider
http://actualites.nouvelobs.com/photo/20140127.OBS3906/les-accidents-photographiques-sont-aussi-de-l-art.html?from=wm#xtor=EREC-210-[WM]-20140128

10 réponses

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jdanield
Le 29/01/2014 09:16, Jac a écrit :

Puis j'ai eu un Contaflex à dos interchangeable.



oua, le friqué :-))

jdd
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Jac
"jdanield" a écrit :

Le 29/01/2014 09:16, Jac a écrit :

Puis j'ai eu un Contaflex à dos interchangeable.



oua, le friqué :-))



Je l'avais récupéré auprès de mon père, il faisait de moins en moins de
photos.
Comme il voyageait beaucoup, il préférait acheter des cartes postales,
"au moins, il était sûr du résultat" :-)
Et il avait des angles de prises de vues que lui, simple touriste, ne
pouvait pas avoir.

--
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Jac
"jdanield" a écrit :

déjà que les appareils n'enroulaient pas toujours le film proprement,
avec des différences d'écart entre photos, alors changer de film. J'ai
essayé une ou deux fois, pas plus (qui plus est il était délicat de ne
pas rentrer l'amorce au rembobinage - je dois encore avoir un
"tire-amorce" :-))



En 24 X 36, je mettais la pellicule sur la bobine réceptrice à la
deuxième perforation (comme il se doit).
Un coup pour vérifier l'enroulement, fermeture du boîtier.
Après, je faisais deux coups à vide et c'était prêt. Je mettais alors le
compteur de vues à zéro.
Quand je changeais de film, je rembobinais contre mon oreille jusqu'à
entendre le petit bruit de la pellicule qui se décrochait, juste au
moment où la manivelle devenait molle. Si on allait trop loin, elle
rentrait dans l'escargot, fallait démonter dans le noir ;-(
Quand je mettais une pellicule entamée, je faisais toujours pareil, 2e
cran, enroulement, fermeture, deux coups, compteur, prises dans le noir
jusqu'où il fallait et par sécurité, je mettais une photo de plus (ce
qui était parfaitement inutile mais bon).
Évidemment, j'avais une perte mais bien souvent, j'utilisais du 35 mm
que j'achetais en galettes de 15 mètres et j'étais habitué à manipuler
dans le noir complet. Pareil pour développer, il fallait bobiner le film
dans la cuve dans le noir absolu, pas question d'utiliser une lampe
rouge comme lorsque je développais (dans le cas d'une pelloche noir et
blanc, évidemment).
Un mètre de 35 mm faisait exactement 24 photos si on les faisait à la
suite.

--
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Jac
"Jac" a écrit ;

pas question d'utiliser une lampe rouge comme lorsque je développais



Sur le papier, le lecteur (s'il y en a ) aura rectifié de lui-même.

--
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Ghost-Raider
Le 29/01/2014 06:16, jp willm a écrit :

Je comptais les vues prises et réutilisais le film ultérieurement.
Bon, j'ai dû mal compter :o|



Je faisais ça aussi.
Sur mon Pentax je tournais la molette pour indiquer N&B ou couleur avec
la sensibilité et je collais une étiquette sur la cartouche pour
indiquer le nombre de vues.
Le rêve inaccessible : un Blad !
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Markorki
jdanield a écrit :
Le 28/01/2014 22:40, André a écrit :

"Elohan" a écrit dans le message de news:
lc94rq$1ji$
on voit bien l'homme qui sort sont appareil photo deux fois par an :
en été à
la mer, en hiver à la montagne. :-)



D'où la difficulté pour le film d'avancer jusqu'à la vue suivante.
C'est la rouille.


Pasde rouille Le Nikon FE offrait la ossibilité de débrayer l'avancement
pour faire une double exposition



oui, mais pas le brownie Flash... ou le lubitel



Le brownie flash, si.
En position "instantané" (l'autre c'est "pose B") , l' obturateur est
toujours armé, et si on n'avance pas le film à la main, on peut en
prendre 50 ou 1000 sur la même...



--
Chomsky (Noam) est un (fieffé) con...
Je ne dis pas ça que pour la NSA que je shitandfucke-démasses
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Ghost-Raider
Le 29/01/2014 10:13, Jac a écrit :
"jdanield" a écrit :

déjà que les appareils n'enroulaient pas toujours le film proprement,
avec des différences d'écart entre photos, alors changer de film. J'ai
essayé une ou deux fois, pas plus (qui plus est il était délicat de ne
pas rentrer l'amorce au rembobinage - je dois encore avoir un
"tire-amorce" :-))






Moi, je pliais fortement le bout l'amorce à 90°, comme ça elle ne
pouvait plus rentrer dans l'escargot et je rembobinais jusqu'à la
résistance.

Évidemment, j'avais une perte mais bien souvent, j'utilisais du 35 mm
que j'achetais en galettes de 15 mètres et j'étais habitué à manipuler
dans le noir complet. Pareil pour développer, il fallait bobiner le film
dans la cuve dans le noir absolu, pas question d'utiliser une lampe
rouge comme lorsque je développais (dans le cas d'une pelloche noir et
blanc, évidemment).
Un mètre de 35 mm faisait exactement 24 photos si on les faisait à la
suite.



Je mettais plus que ça dans une cartouche mais à partir de 36, le
compteur ne comptait plus.
Les vues orphelines (37 et +) étaient embêtantes puisqu'elles ne
faisaient pas partie d'une bande de 6, le standard des enveloppes en
papier cristal et étaient plus délicates à mettre dans l'agrandisseur.
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Jac
"Ghost-Raider" a écrit :

dans le message de news: lcaid1$tfv$
Le 29/01/2014 10:13, Jac a écrit :
"jdanield" a écrit :

déjà que les appareils n'enroulaient pas toujours le film
proprement,
avec des différences d'écart entre photos, alors changer de film.
J'ai
essayé une ou deux fois, pas plus (qui plus est il était délicat de
ne
pas rentrer l'amorce au rembobinage - je dois encore avoir un
"tire-amorce" :-))






Moi, je pliais fortement le bout l'amorce à 90°, comme ça elle ne
pouvait plus rentrer dans l'escargot et je rembobinais jusqu'à la
résistance.



On a chacun ses trucs.

Un mètre de 35 mm faisait exactement 24 photos si on les faisait à la
suite.



Je mettais plus que ça dans une cartouche mais à partir de 36, le
compteur ne comptait plus.



Ça m'arrivait d'en mettre 1,5 m mais j'en fichais parfois la moitié en
l'air parce que ça me faisait de trop ou que j'étais pressé d'avoir les
tirages.

Les vues orphelines (37 et +) étaient embêtantes puisqu'elles ne
faisaient pas partie d'une bande de 6, le standard des enveloppes en
papier cristal et étaient plus délicates à mettre dans l'agrandisseur.



Entre deux plaques de verre.

--
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Jac
.
"Jac" a écrit :

Entre deux plaques de verre.



(Sur mon Durst 50, il y a aussi un dispositif avec un récepteur de
chaque côté qui supporte le négatif entier). Evidemment, tu ne l'as
entier que si tu le développes toi-même.
Autrement, pour scanner les diapos du commerce, je n'en mets que quatre
dans la barrette et c'est chiant.
Heureusement, j'ai aussi un scanner à dos éclairé, moins bon mais
beaucoup plus rapide.

Avant les scanners, j'ai eu de très bons résultats en rephotographiant
l'image du Carrousel sur un écran (c'est aussi comme ça que j'ai
numérisé mes films 8 et 9,5 mm (Heurtier tri-film). Les super 8 sonores,
je les ai faits avec mon Bell-Howell, toujours sur un écran.

--
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Ghost-Raider
Le 29/01/2014 11:39, Jac a écrit :
"Ghost-Raider" a écrit :

On a chacun ses trucs.



Ce truc-là, vachement réfléchi, j'en suis encore très fier.

Je mettais plus que ça dans une cartouche mais à partir de 36, le
compteur ne comptait plus.



Ça m'arrivait d'en mettre 1,5 m mais j'en fichais parfois la moitié en
l'air parce que ça me faisait de trop ou que j'étais pressé d'avoir les
tirages.



Jeter de la pellicule ? Tu es (étais) fou !
Moi, je la coupais au ciseaux dans l'appareil dans l'obscurité et je
redécoupais une amorce pour continuer à utiliser le reste.
Je crois qu'il existait un appareil qui avait une sorte de couteau pour
faire ça.

Les vues orphelines (37 et +) étaient embêtantes puisqu'elles ne
faisaient pas partie d'une bande de 6, le standard des enveloppes en
papier cristal et étaient plus délicates à mettre dans l'agrandisseur.



Entre deux plaques de verre.



J'ai essayé mais bonjour les poussières et surtout les anneaux
d'interférences. J'avais fait bricoler par un pote un passe-vue spécial
mono-photo avec deux plaques de circuits imprimés pour mon Durst.
J'aurais dû déposer un brevet, tiens...