"pas de risque" ne veut rien dire c'est physiquement impossible
Il n'y a aucune
ambiguïté là-dedans : si vous vous faites rentrer dedans alors que vous
sortiez un stop, c'est que vous y êtes allé trop tôt, vous êtes en tord,
c'est tout.
Si je sort d'un stop et que je parcour 50 km, et qu'une personne me rentre
dedans par l'arriére, je suis donc en tord ?
Le bon sens est la chose la moins bien partagée, au monde
Admettons que l'on vous demande de programmer un robot qui conduit une
voiture, comment vous les calez les paramétres qui déclenche la sortie a
un stop ?
Vitesse, distance........ect
"pas de risque" ne veut rien dire c'est physiquement impossible
Il n'y a aucune
ambiguïté là-dedans : si vous vous faites rentrer dedans alors que vous
sortiez un stop, c'est que vous y êtes allé trop tôt, vous êtes en tord,
c'est tout.
Si je sort d'un stop et que je parcour 50 km, et qu'une personne me rentre
dedans par l'arriére, je suis donc en tord ?
Le bon sens est la chose la moins bien partagée, au monde
Admettons que l'on vous demande de programmer un robot qui conduit une
voiture, comment vous les calez les paramétres qui déclenche la sortie a
un stop ?
Vitesse, distance........ect
"pas de risque" ne veut rien dire c'est physiquement impossible
Il n'y a aucune
ambiguïté là-dedans : si vous vous faites rentrer dedans alors que vous
sortiez un stop, c'est que vous y êtes allé trop tôt, vous êtes en tord,
c'est tout.
Si je sort d'un stop et que je parcour 50 km, et qu'une personne me rentre
dedans par l'arriére, je suis donc en tord ?
Le bon sens est la chose la moins bien partagée, au monde
Admettons que l'on vous demande de programmer un robot qui conduit une
voiture, comment vous les calez les paramétres qui déclenche la sortie a
un stop ?
Vitesse, distance........ect
JLC wrote:Comme tu dis. Mais tes élucubrations auraient plutôt tendance à me faire
pleurer, quand je pense que je peux te croiser un jour sans le savoir.
Je vois surtout que tu n'as pas compris un poil de ce que je disais
et que ton humour doit te faire du mal tellement son absence est
r^Hvisible.
--
Les gens sans humour manquent de sérieux.
JLC <lukejohn@free.fr> wrote:
Comme tu dis. Mais tes élucubrations auraient plutôt tendance à me faire
pleurer, quand je pense que je peux te croiser un jour sans le savoir.
Je vois surtout que tu n'as pas compris un poil de ce que je disais
et que ton humour doit te faire du mal tellement son absence est
r^Hvisible.
--
Les gens sans humour manquent de sérieux.
JLC wrote:Comme tu dis. Mais tes élucubrations auraient plutôt tendance à me faire
pleurer, quand je pense que je peux te croiser un jour sans le savoir.
Je vois surtout que tu n'as pas compris un poil de ce que je disais
et que ton humour doit te faire du mal tellement son absence est
r^Hvisible.
--
Les gens sans humour manquent de sérieux.
Le Sat, 17 Jun 2006 10:31:25 +0200, claude brun a écrit dans
<news:4493bd6d$0$7765$:Bonjour,
"Benoit Leraillez" a écrit dans le
message de news:
1hh2lhb.ka14g8oelmdoN%
| Michel MARTIN wrote:
|
|> mon beau-frère qui a eu un accident à cet endroit, a eu une réponse
|> "nette" de son assureur (nette ne veut pas dire légale):
|> jusqu'à 50 m après le stop, vous êtes en tord, plus c'est le "suiveur"
|> qui est en tord.
|> Maintenant, c'est encore peut-être un coup tordu de l'assureur
|
| Quand on rentre sur un nationale avec des voitures qui roulent à
| 90 km/h, 50 m me semble court. Même si un accélère et l'autre freine. La
| distance de freinage à 90 sur sol sec est donné pour 52 km/k. Mais le
| temps de réaction étant d'une seconde :
|
| - Combien de mètres seront parcourus avant que la voiture à 90 ne
| commence à freiner ?
| - Quelle est la distance parcourue par une voiture de 5 CV en une
| seconde depuis un arrêt ?
|
| S'il reste plus de trois mètres de distance entre les voitures pour
| tenir compte de leurs longueurs par rapport au centre de gravité, on
| peut estimer que l'accident peut être évité.
Peut-être mais sûrement pas la contravention pour non respect de la priorité
de passage de celui qui circule sur la nationale...
D'autre part, il serait intéressant de demander à l'assureur auteur de la
réponse rapportée ci-dessus par le "beau-frère" :
- qu'il donne la source de cette information ou bien le ou les textes de loi
confirmant cette affirmation.
- comment il envisage de décompter et prouver un tel métrage déterminant à
partir d'un constat amiable qui ne demande pas ni ne propose cette
information.
Bonsoir,
pour l'histoire: une petite route qui sort d'un hyper, arrivant sur une
voie rapide (limitée à 70. Hé oui les voies rapides sont aussi limitées)
le bof sort de son stop, après avoir vu au l oin une Porche arriver vers
lui, et pensant avoir le temps de passer. Hors, la Porche, conduite
(pour la 1e fois) par la nièce du propriétaire du véhicule, n'a pas
réussi à limiter sa vitesse, ni à s'arrêter à temps.
Constat amiable: il est prtécisé que le choc a eu lieu à environ 35/40 m
du Stop. La vitesse élevée de la Porche n'a pas été retenue, aucun
appareil ne l'ayant enregistrée (malgré les témoins).
Il reste donc ces 35/40 m. Et là, l'assureur sort: "à 50 m, c'était bon,
mais là c'est trop court, vous êtes en tord!"
Si le constat donnait 50/60 m, peut-être que l'assureur aurait dit :" à
partir de 75 m, c'était bon ..."
En général, les assureurs ont la facilité de donner tord à tout le
monde, ce qui permet de mettre du malus. A moins d'avoir les textes en
vigueur et prouver que l'assureur n'a pas raison. Mais c'est très
difficile pour le commun des mortels.
Pour répondre à Hamiral, je dirai: la vitesse ne peut donc être retenue
s'il n'y a aucun moyen de la mesurer, donc, aucune faute pour celui qui
roule trop vite (sans savoir s'arrêter à temps).
Au fait, si au vert, les piétons continuent à traverser, comment on fait
pour passer? (et pourtant ça devient de plus en plus fréquent).
Amicalement, Michel
Le Sat, 17 Jun 2006 10:31:25 +0200, claude brun a écrit dans
<news:4493bd6d$0$7765$7a628cd7@news.club-internet.fr>:
Bonjour,
"Benoit Leraillez" <benoit.sansspam@leraillez.sansspam.com> a écrit dans le
message de news:
1hh2lhb.ka14g8oelmdoN%benoit.sansspam@leraillez.sansspam.com...
| Michel MARTIN <michel.martin47@netpratique.fr> wrote:
|
|> mon beau-frère qui a eu un accident à cet endroit, a eu une réponse
|> "nette" de son assureur (nette ne veut pas dire légale):
|> jusqu'à 50 m après le stop, vous êtes en tord, plus c'est le "suiveur"
|> qui est en tord.
|> Maintenant, c'est encore peut-être un coup tordu de l'assureur
|
| Quand on rentre sur un nationale avec des voitures qui roulent à
| 90 km/h, 50 m me semble court. Même si un accélère et l'autre freine. La
| distance de freinage à 90 sur sol sec est donné pour 52 km/k. Mais le
| temps de réaction étant d'une seconde :
|
| - Combien de mètres seront parcourus avant que la voiture à 90 ne
| commence à freiner ?
| - Quelle est la distance parcourue par une voiture de 5 CV en une
| seconde depuis un arrêt ?
|
| S'il reste plus de trois mètres de distance entre les voitures pour
| tenir compte de leurs longueurs par rapport au centre de gravité, on
| peut estimer que l'accident peut être évité.
Peut-être mais sûrement pas la contravention pour non respect de la priorité
de passage de celui qui circule sur la nationale...
D'autre part, il serait intéressant de demander à l'assureur auteur de la
réponse rapportée ci-dessus par le "beau-frère" :
- qu'il donne la source de cette information ou bien le ou les textes de loi
confirmant cette affirmation.
- comment il envisage de décompter et prouver un tel métrage déterminant à
partir d'un constat amiable qui ne demande pas ni ne propose cette
information.
Bonsoir,
pour l'histoire: une petite route qui sort d'un hyper, arrivant sur une
voie rapide (limitée à 70. Hé oui les voies rapides sont aussi limitées)
le bof sort de son stop, après avoir vu au l oin une Porche arriver vers
lui, et pensant avoir le temps de passer. Hors, la Porche, conduite
(pour la 1e fois) par la nièce du propriétaire du véhicule, n'a pas
réussi à limiter sa vitesse, ni à s'arrêter à temps.
Constat amiable: il est prtécisé que le choc a eu lieu à environ 35/40 m
du Stop. La vitesse élevée de la Porche n'a pas été retenue, aucun
appareil ne l'ayant enregistrée (malgré les témoins).
Il reste donc ces 35/40 m. Et là, l'assureur sort: "à 50 m, c'était bon,
mais là c'est trop court, vous êtes en tord!"
Si le constat donnait 50/60 m, peut-être que l'assureur aurait dit :" à
partir de 75 m, c'était bon ..."
En général, les assureurs ont la facilité de donner tord à tout le
monde, ce qui permet de mettre du malus. A moins d'avoir les textes en
vigueur et prouver que l'assureur n'a pas raison. Mais c'est très
difficile pour le commun des mortels.
Pour répondre à Hamiral, je dirai: la vitesse ne peut donc être retenue
s'il n'y a aucun moyen de la mesurer, donc, aucune faute pour celui qui
roule trop vite (sans savoir s'arrêter à temps).
Au fait, si au vert, les piétons continuent à traverser, comment on fait
pour passer? (et pourtant ça devient de plus en plus fréquent).
Amicalement, Michel
Le Sat, 17 Jun 2006 10:31:25 +0200, claude brun a écrit dans
<news:4493bd6d$0$7765$:Bonjour,
"Benoit Leraillez" a écrit dans le
message de news:
1hh2lhb.ka14g8oelmdoN%
| Michel MARTIN wrote:
|
|> mon beau-frère qui a eu un accident à cet endroit, a eu une réponse
|> "nette" de son assureur (nette ne veut pas dire légale):
|> jusqu'à 50 m après le stop, vous êtes en tord, plus c'est le "suiveur"
|> qui est en tord.
|> Maintenant, c'est encore peut-être un coup tordu de l'assureur
|
| Quand on rentre sur un nationale avec des voitures qui roulent à
| 90 km/h, 50 m me semble court. Même si un accélère et l'autre freine. La
| distance de freinage à 90 sur sol sec est donné pour 52 km/k. Mais le
| temps de réaction étant d'une seconde :
|
| - Combien de mètres seront parcourus avant que la voiture à 90 ne
| commence à freiner ?
| - Quelle est la distance parcourue par une voiture de 5 CV en une
| seconde depuis un arrêt ?
|
| S'il reste plus de trois mètres de distance entre les voitures pour
| tenir compte de leurs longueurs par rapport au centre de gravité, on
| peut estimer que l'accident peut être évité.
Peut-être mais sûrement pas la contravention pour non respect de la priorité
de passage de celui qui circule sur la nationale...
D'autre part, il serait intéressant de demander à l'assureur auteur de la
réponse rapportée ci-dessus par le "beau-frère" :
- qu'il donne la source de cette information ou bien le ou les textes de loi
confirmant cette affirmation.
- comment il envisage de décompter et prouver un tel métrage déterminant à
partir d'un constat amiable qui ne demande pas ni ne propose cette
information.
Bonsoir,
pour l'histoire: une petite route qui sort d'un hyper, arrivant sur une
voie rapide (limitée à 70. Hé oui les voies rapides sont aussi limitées)
le bof sort de son stop, après avoir vu au l oin une Porche arriver vers
lui, et pensant avoir le temps de passer. Hors, la Porche, conduite
(pour la 1e fois) par la nièce du propriétaire du véhicule, n'a pas
réussi à limiter sa vitesse, ni à s'arrêter à temps.
Constat amiable: il est prtécisé que le choc a eu lieu à environ 35/40 m
du Stop. La vitesse élevée de la Porche n'a pas été retenue, aucun
appareil ne l'ayant enregistrée (malgré les témoins).
Il reste donc ces 35/40 m. Et là, l'assureur sort: "à 50 m, c'était bon,
mais là c'est trop court, vous êtes en tord!"
Si le constat donnait 50/60 m, peut-être que l'assureur aurait dit :" à
partir de 75 m, c'était bon ..."
En général, les assureurs ont la facilité de donner tord à tout le
monde, ce qui permet de mettre du malus. A moins d'avoir les textes en
vigueur et prouver que l'assureur n'a pas raison. Mais c'est très
difficile pour le commun des mortels.
Pour répondre à Hamiral, je dirai: la vitesse ne peut donc être retenue
s'il n'y a aucun moyen de la mesurer, donc, aucune faute pour celui qui
roule trop vite (sans savoir s'arrêter à temps).
Au fait, si au vert, les piétons continuent à traverser, comment on fait
pour passer? (et pourtant ça devient de plus en plus fréquent).
Amicalement, Michel
Pour répondre à Hamiral, je dirai: la vitesse ne peut donc être retenue
s'il n'y a aucun moyen de la mesurer, donc, aucune faute pour celui qui
roule trop vite (sans savoir s'arrêter à temps).
Au fait, si au vert, les piétons continuent à traverser, comment on fait
pour passer? (et pourtant ça devient de plus en plus fréquent).
Pour répondre à Hamiral, je dirai: la vitesse ne peut donc être retenue
s'il n'y a aucun moyen de la mesurer, donc, aucune faute pour celui qui
roule trop vite (sans savoir s'arrêter à temps).
Au fait, si au vert, les piétons continuent à traverser, comment on fait
pour passer? (et pourtant ça devient de plus en plus fréquent).
Pour répondre à Hamiral, je dirai: la vitesse ne peut donc être retenue
s'il n'y a aucun moyen de la mesurer, donc, aucune faute pour celui qui
roule trop vite (sans savoir s'arrêter à temps).
Au fait, si au vert, les piétons continuent à traverser, comment on fait
pour passer? (et pourtant ça devient de plus en plus fréquent).
Il reste donc ces 35/40 m. Et là, l'assureur sort: "à 50 m, c'était bon,
mais là c'est trop court, vous êtes en tord!"
Il reste donc ces 35/40 m. Et là, l'assureur sort: "à 50 m, c'était bon,
mais là c'est trop court, vous êtes en tord!"
Il reste donc ces 35/40 m. Et là, l'assureur sort: "à 50 m, c'était bon,
mais là c'est trop court, vous êtes en tord!"
Michel MARTIN wrote:Il reste donc ces 35/40 m. Et là, l'assureur sort: "à 50 m, c'était
bon, mais là c'est trop court, vous êtes en tord!"
Il suffit de faire constater les dégâts générer sur les véhicules
par un expert qui saura estimer la vitesse de l'impact. À partir du
moment où on connait la vitesse de l'impact, la vitesse d'un des
véhicules (facile de savoir à qeulle vitesse une 2CV ou une Maserati
peut aller en 35m) on peut déterminer la vitesse de la Porsche avant
l'impact et justifier le fait qu'il ne pouvait imaginer que ce la
génère un accident.
Michel MARTIN <michel.martin47@netpratique.fr> wrote:
Il reste donc ces 35/40 m. Et là, l'assureur sort: "à 50 m, c'était
bon, mais là c'est trop court, vous êtes en tord!"
Il suffit de faire constater les dégâts générer sur les véhicules
par un expert qui saura estimer la vitesse de l'impact. À partir du
moment où on connait la vitesse de l'impact, la vitesse d'un des
véhicules (facile de savoir à qeulle vitesse une 2CV ou une Maserati
peut aller en 35m) on peut déterminer la vitesse de la Porsche avant
l'impact et justifier le fait qu'il ne pouvait imaginer que ce la
génère un accident.
Michel MARTIN wrote:Il reste donc ces 35/40 m. Et là, l'assureur sort: "à 50 m, c'était
bon, mais là c'est trop court, vous êtes en tord!"
Il suffit de faire constater les dégâts générer sur les véhicules
par un expert qui saura estimer la vitesse de l'impact. À partir du
moment où on connait la vitesse de l'impact, la vitesse d'un des
véhicules (facile de savoir à qeulle vitesse une 2CV ou une Maserati
peut aller en 35m) on peut déterminer la vitesse de la Porsche avant
l'impact et justifier le fait qu'il ne pouvait imaginer que ce la
génère un accident.
Michel MARTIN wrote:Il reste donc ces 35/40 m. Et là, l'assureur sort: "à 50 m, c'était bon,
mais là c'est trop court, vous êtes en tord!"
Il suffit de faire constater les dégâts générer sur les véhicules
par un expert qui saura estimer la vitesse de l'impact. À partir du
moment où on connait la vitesse de l'impact, la vitesse d'un des
véhicules (facile de savoir à qeulle vitesse une 2CV ou une Maserati
peut aller en 35m) on peut déterminer la vitesse de la Porsche avant
l'impact et justifier le fait qu'il ne pouvait imaginer que ce la génère
un accident.
--
Les gens sans humour manquent de sérieux.
Michel MARTIN <michel.martin47@netpratique.fr> wrote:
Il reste donc ces 35/40 m. Et là, l'assureur sort: "à 50 m, c'était bon,
mais là c'est trop court, vous êtes en tord!"
Il suffit de faire constater les dégâts générer sur les véhicules
par un expert qui saura estimer la vitesse de l'impact. À partir du
moment où on connait la vitesse de l'impact, la vitesse d'un des
véhicules (facile de savoir à qeulle vitesse une 2CV ou une Maserati
peut aller en 35m) on peut déterminer la vitesse de la Porsche avant
l'impact et justifier le fait qu'il ne pouvait imaginer que ce la génère
un accident.
--
Les gens sans humour manquent de sérieux.
Michel MARTIN wrote:Il reste donc ces 35/40 m. Et là, l'assureur sort: "à 50 m, c'était bon,
mais là c'est trop court, vous êtes en tord!"
Il suffit de faire constater les dégâts générer sur les véhicules
par un expert qui saura estimer la vitesse de l'impact. À partir du
moment où on connait la vitesse de l'impact, la vitesse d'un des
véhicules (facile de savoir à qeulle vitesse une 2CV ou une Maserati
peut aller en 35m) on peut déterminer la vitesse de la Porsche avant
l'impact et justifier le fait qu'il ne pouvait imaginer que ce la génère
un accident.
--
Les gens sans humour manquent de sérieux.
Heu, j'ai bien tout compris, là ?
Heu, j'ai bien tout compris, là ?
Heu, j'ai bien tout compris, là ?
Justement, ce n'est pas un robot qui conduit, mais bien un être humain.
Justement, ce n'est pas un robot qui conduit, mais bien un être humain.
Justement, ce n'est pas un robot qui conduit, mais bien un être humain.
Hamiral a écrit :Justement, ce n'est pas un robot qui conduit, mais bien un être humain.
J'ai travaillé en R&D pour un constructeur francais, et dans des
services de R&D, ils faisaient des essais sur Autoroute de conduite
automatique.
Ce n'est peut etre pas si lointain que tu le penses.
D'ailleurs au niveau du droit c'est une question interessante :
Qui est reponsable en cas d'accident si c'est en pilotage automatique :
Le propietaire de la voiture, celui qui est derriere le volant mais qui
ne conduit pas activement à l'instant de l'accident ou le constructeur ?
Hamiral a écrit :
Justement, ce n'est pas un robot qui conduit, mais bien un être humain.
J'ai travaillé en R&D pour un constructeur francais, et dans des
services de R&D, ils faisaient des essais sur Autoroute de conduite
automatique.
Ce n'est peut etre pas si lointain que tu le penses.
D'ailleurs au niveau du droit c'est une question interessante :
Qui est reponsable en cas d'accident si c'est en pilotage automatique :
Le propietaire de la voiture, celui qui est derriere le volant mais qui
ne conduit pas activement à l'instant de l'accident ou le constructeur ?
Hamiral a écrit :Justement, ce n'est pas un robot qui conduit, mais bien un être humain.
J'ai travaillé en R&D pour un constructeur francais, et dans des
services de R&D, ils faisaient des essais sur Autoroute de conduite
automatique.
Ce n'est peut etre pas si lointain que tu le penses.
D'ailleurs au niveau du droit c'est une question interessante :
Qui est reponsable en cas d'accident si c'est en pilotage automatique :
Le propietaire de la voiture, celui qui est derriere le volant mais qui
ne conduit pas activement à l'instant de l'accident ou le constructeur ?