La personne compétente se moque en effet du vandalisme. Par exemple, sauf opération de relation publique (pour répondre aux interrogations du style "mais que fait la police?"), la chasse aux auteurs de virus, l'étude de la psychologie des auteurs de virus, etc... c'est du bidon royal. 10.000 auteurs de virus ne valent pas une faille dans la structure. Il y a quand même des gens qui s'en rendent compte.
C'est clairement l'avis du CERTA:
"Il n'y a pas de fatalité vis-à-vis des virus informatiques. Ils se propagent essentiellement en exploitant : 1. de mauvaises configurations des systèmes d'information ; 2. une mauvaise sensibilisation de l'utilisateur. C'est pourquoi il est en général inutile de faire des alertes systématiques sur chacun des virus qui sortent chaque jour. Le CERTA communique peu sur des virus particuliers et préfère régulièrement faire une note de rappel sur les bonnes pratiques." http://www.certa.ssi.gouv.fr/site/CERTA-2003-AVI-084/index.html.2.html
Parmi ses nombreuses positions.
Roland Garcia
La personne compétente se moque en effet du vandalisme. Par exemple,
sauf opération de relation publique (pour répondre aux interrogations du
style "mais que fait la police?"), la chasse aux auteurs de virus,
l'étude de la psychologie des auteurs de virus, etc... c'est du bidon
royal. 10.000 auteurs de virus ne valent pas une faille dans la
structure. Il y a quand même des gens qui s'en rendent compte.
C'est clairement l'avis du CERTA:
"Il n'y a pas de fatalité vis-à-vis des virus informatiques. Ils se
propagent essentiellement en exploitant :
1. de mauvaises configurations des systèmes d'information ;
2. une mauvaise sensibilisation de l'utilisateur.
C'est pourquoi il est en général inutile de faire des alertes
systématiques sur chacun des virus qui sortent chaque jour. Le CERTA
communique peu sur des virus particuliers et préfère régulièrement faire
une note de rappel sur les bonnes pratiques."
http://www.certa.ssi.gouv.fr/site/CERTA-2003-AVI-084/index.html.2.html
La personne compétente se moque en effet du vandalisme. Par exemple, sauf opération de relation publique (pour répondre aux interrogations du style "mais que fait la police?"), la chasse aux auteurs de virus, l'étude de la psychologie des auteurs de virus, etc... c'est du bidon royal. 10.000 auteurs de virus ne valent pas une faille dans la structure. Il y a quand même des gens qui s'en rendent compte.
C'est clairement l'avis du CERTA:
"Il n'y a pas de fatalité vis-à-vis des virus informatiques. Ils se propagent essentiellement en exploitant : 1. de mauvaises configurations des systèmes d'information ; 2. une mauvaise sensibilisation de l'utilisateur. C'est pourquoi il est en général inutile de faire des alertes systématiques sur chacun des virus qui sortent chaque jour. Le CERTA communique peu sur des virus particuliers et préfère régulièrement faire une note de rappel sur les bonnes pratiques." http://www.certa.ssi.gouv.fr/site/CERTA-2003-AVI-084/index.html.2.html
Parmi ses nombreuses positions.
Roland Garcia
Olivier Aichelbaum
Roland Garcia wrote:
C'est clairement l'avis du CERTA:
"Il n'y a pas de fatalité vis-à-vis des virus informatiques. Ils se propagent essentiellement en exploitant : 1. de mauvaises configurations des systèmes d'information ; 2. une mauvaise sensibilisation de l'utilisateur. C'est pourquoi il est en général inutile de faire des alertes systématiques sur chacun des virus qui sortent chaque jour. Le CERTA communique peu sur des virus particuliers et préfère régulièrement faire une note de rappel sur les bonnes pratiques." http://www.certa.ssi.gouv.fr/site/CERTA-2003-AVI-084/index.html.2.html
Parmi ses nombreuses positions.
Cela n'empêche pas les polices d'arrêter les diffuseurs de virus lorsqu'elles en ont l'occasion.
-- Olivier Aichelbaum
Roland Garcia wrote:
C'est clairement l'avis du CERTA:
"Il n'y a pas de fatalité vis-à-vis des virus informatiques. Ils se
propagent essentiellement en exploitant :
1. de mauvaises configurations des systèmes d'information ;
2. une mauvaise sensibilisation de l'utilisateur.
C'est pourquoi il est en général inutile de faire des alertes
systématiques sur chacun des virus qui sortent chaque jour. Le CERTA
communique peu sur des virus particuliers et préfère régulièrement faire
une note de rappel sur les bonnes pratiques."
http://www.certa.ssi.gouv.fr/site/CERTA-2003-AVI-084/index.html.2.html
Parmi ses nombreuses positions.
Cela n'empêche pas les polices d'arrêter les diffuseurs de virus
lorsqu'elles en ont l'occasion.
"Il n'y a pas de fatalité vis-à-vis des virus informatiques. Ils se propagent essentiellement en exploitant : 1. de mauvaises configurations des systèmes d'information ; 2. une mauvaise sensibilisation de l'utilisateur. C'est pourquoi il est en général inutile de faire des alertes systématiques sur chacun des virus qui sortent chaque jour. Le CERTA communique peu sur des virus particuliers et préfère régulièrement faire une note de rappel sur les bonnes pratiques." http://www.certa.ssi.gouv.fr/site/CERTA-2003-AVI-084/index.html.2.html
Parmi ses nombreuses positions.
Cela n'empêche pas les polices d'arrêter les diffuseurs de virus lorsqu'elles en ont l'occasion.
-- Olivier Aichelbaum
Ewa (siostra Ani) N.
Olivier Aichelbaum wrote:
Nicob wrote:
Je ne te demande pas la définition (d'une expression où tu oublies le mot "informatique"), je te demande la preuve que les diffuseurs de virus n'agissent pas par but idéologique, etc.
C'est généralement à l'accusation de prouver. Donne-nous donc une liste d'objectifs idéologiques de diffuseurs de virus ...
Voilà un des exemples de virus à but politique : http://www2.canoe.com/techno/nouvelles/archives/2003/09/20030904-163020.html
Mais c'est juste une parenthèse car tu réduis fortement la définition du mot "terroriste".
Mon Petit Robert ajoute deux autres points : "1. Politique de la terreur des années 1793-1794 en France."
et surtout : "3. Attitude d'intimidation."
Le chantage opéré par Spanska pour avoir son nom dans un antivirus avant de s'en prendre au public entre AMHA parfaitement dans ce cas.
Le Petit Robert fournit également l'exemple de cette 3e acception du mot "terroriste" :
Puis-je vous demander pourquoi vous l'avez supprimé ? Il n'était pas long (et puis c'est pas bien de couper les définitions d'un dictionnaire)
-- Ewcia /francophone non de naissance/
Olivier Aichelbaum wrote:
Nicob wrote:
Je ne te demande pas la définition (d'une expression où tu oublies le
mot "informatique"), je te demande la preuve que les diffuseurs de virus
n'agissent pas par but idéologique, etc.
C'est généralement à l'accusation de prouver.
Donne-nous donc une liste d'objectifs idéologiques de diffuseurs de virus ...
Voilà un des exemples de virus à but politique :
http://www2.canoe.com/techno/nouvelles/archives/2003/09/20030904-163020.html
Mais c'est juste une parenthèse car tu réduis fortement la
définition du mot "terroriste".
Mon Petit Robert ajoute deux autres points :
"1. Politique de la terreur des années 1793-1794 en France."
et surtout :
"3. Attitude d'intimidation."
Le chantage opéré par Spanska pour avoir son nom dans un antivirus
avant de s'en prendre au public entre AMHA parfaitement dans ce cas.
Le Petit Robert fournit également l'exemple de cette 3e acception du mot
"terroriste" :
Je ne te demande pas la définition (d'une expression où tu oublies le mot "informatique"), je te demande la preuve que les diffuseurs de virus n'agissent pas par but idéologique, etc.
C'est généralement à l'accusation de prouver. Donne-nous donc une liste d'objectifs idéologiques de diffuseurs de virus ...
Voilà un des exemples de virus à but politique : http://www2.canoe.com/techno/nouvelles/archives/2003/09/20030904-163020.html
Mais c'est juste une parenthèse car tu réduis fortement la définition du mot "terroriste".
Mon Petit Robert ajoute deux autres points : "1. Politique de la terreur des années 1793-1794 en France."
et surtout : "3. Attitude d'intimidation."
Le chantage opéré par Spanska pour avoir son nom dans un antivirus avant de s'en prendre au public entre AMHA parfaitement dans ce cas.
Le Petit Robert fournit également l'exemple de cette 3e acception du mot "terroriste" :
Puis-je vous demander pourquoi vous l'avez supprimé ? Il n'était pas long (et puis c'est pas bien de couper les définitions d'un dictionnaire)
C'est un *exemple* (qui confirme ce que je disais).
On parlait *définitions*. Si vous vouliez les exemples aussi, reprochez à mon interlocuteur de ne pas avoir recopié la longue liste de la partie "2" de "Terrorisme" dans le Robert. Et surtout de ne pas nous avoir donné les parties "1" et "3"...
Salutations, -- Olivier Aichelbaum
"Ewa (siostra Ani) N." wrote:
Mais c'est juste une parenthèse car tu réduis fortement la
définition du mot "terroriste".
Mon Petit Robert ajoute deux autres points :
"1. Politique de la terreur des années 1793-1794 en France."
et surtout :
"3. Attitude d'intimidation."
Le chantage opéré par Spanska pour avoir son nom dans un antivirus
avant de s'en prendre au public entre AMHA parfaitement dans ce cas.
Le Petit Robert fournit également l'exemple de cette 3e acception du mot
"terroriste" :
Puis-je vous demander pourquoi vous l'avez supprimé ? Il n'était pas
long (et puis c'est pas bien de couper les définitions d'un dictionnaire)
C'est un *exemple* (qui confirme ce que je disais).
On parlait *définitions*. Si vous vouliez les exemples aussi, reprochez
à mon interlocuteur de ne pas avoir recopié la longue liste de la
partie "2" de "Terrorisme" dans le Robert. Et surtout de ne pas nous
avoir donné les parties "1" et "3"...
Puis-je vous demander pourquoi vous l'avez supprimé ? Il n'était pas long (et puis c'est pas bien de couper les définitions d'un dictionnaire)
C'est un *exemple* (qui confirme ce que je disais).
On parlait *définitions*. Si vous vouliez les exemples aussi, reprochez à mon interlocuteur de ne pas avoir recopié la longue liste de la partie "2" de "Terrorisme" dans le Robert. Et surtout de ne pas nous avoir donné les parties "1" et "3"...
C'est une science exacte la lutte contre les virus.
Perdu.
-- Tweakie
Roland Garcia
Roland Garcia wrote:
C'est clairement l'avis du CERTA:
"Il n'y a pas de fatalité vis-à-vis des virus informatiques. Ils se propagent essentiellement en exploitant : 1. de mauvaises configurations des systèmes d'information ; 2. une mauvaise sensibilisation de l'utilisateur. C'est pourquoi il est en général inutile de faire des alertes systématiques sur chacun des virus qui sortent chaque jour. Le CERTA communique peu sur des virus particuliers et préfère régulièrement faire une note de rappel sur les bonnes pratiques." http://www.certa.ssi.gouv.fr/site/CERTA-2003-AVI-084/index.html.2.html
Parmi ses nombreuses positions.
Cela n'empêche pas les polices d'arrêter les diffuseurs de virus lorsqu'elles en ont l'occasion.
Ou de ne pas les arrêter si ce n'est pas opportun, l'opportunité des poursuites n'étant ni de votre ressort ni du mien.
Concentrez vous plutôt sur les problèmes: 1. les mauvaises configurations des systèmes d'information ; 2. la mauvaise sensibilisation de l'utilisateur.
Roland Garcia
Roland Garcia wrote:
C'est clairement l'avis du CERTA:
"Il n'y a pas de fatalité vis-à-vis des virus informatiques. Ils se
propagent essentiellement en exploitant :
1. de mauvaises configurations des systèmes d'information ;
2. une mauvaise sensibilisation de l'utilisateur.
C'est pourquoi il est en général inutile de faire des alertes
systématiques sur chacun des virus qui sortent chaque jour. Le CERTA
communique peu sur des virus particuliers et préfère régulièrement faire
une note de rappel sur les bonnes pratiques."
http://www.certa.ssi.gouv.fr/site/CERTA-2003-AVI-084/index.html.2.html
Parmi ses nombreuses positions.
Cela n'empêche pas les polices d'arrêter les diffuseurs de virus
lorsqu'elles en ont l'occasion.
Ou de ne pas les arrêter si ce n'est pas opportun, l'opportunité des
poursuites n'étant ni de votre ressort ni du mien.
Concentrez vous plutôt sur les problèmes:
1. les mauvaises configurations des systèmes d'information ;
2. la mauvaise sensibilisation de l'utilisateur.
"Il n'y a pas de fatalité vis-à-vis des virus informatiques. Ils se propagent essentiellement en exploitant : 1. de mauvaises configurations des systèmes d'information ; 2. une mauvaise sensibilisation de l'utilisateur. C'est pourquoi il est en général inutile de faire des alertes systématiques sur chacun des virus qui sortent chaque jour. Le CERTA communique peu sur des virus particuliers et préfère régulièrement faire une note de rappel sur les bonnes pratiques." http://www.certa.ssi.gouv.fr/site/CERTA-2003-AVI-084/index.html.2.html
Parmi ses nombreuses positions.
Cela n'empêche pas les polices d'arrêter les diffuseurs de virus lorsqu'elles en ont l'occasion.
Ou de ne pas les arrêter si ce n'est pas opportun, l'opportunité des poursuites n'étant ni de votre ressort ni du mien.
Concentrez vous plutôt sur les problèmes: 1. les mauvaises configurations des systèmes d'information ; 2. la mauvaise sensibilisation de l'utilisateur.
Roland Garcia
Roland Garcia
Oui, je suis l'une de vos victimes car j'avais refusé de dénigrer ....
Ces problèmes sont en voie d'être réglés où il se doit, s'il y a lieu.
Roland Garcia
Oui, je suis l'une de vos victimes car j'avais refusé de dénigrer ....
Ces problèmes sont en voie d'être réglés où il se doit, s'il y a lieu.
Oui, je suis l'une de vos victimes car j'avais refusé de dénigrer ....
Ces problèmes sont en voie d'être réglés où il se doit, s'il y a lieu.
Roland Garcia
Olivier Aichelbaum
Roland Garcia wrote:
Cela n'empêche pas les polices d'arrêter les diffuseurs de virus lorsqu'elles en ont l'occasion.
Ou de ne pas les arrêter si ce n'est pas opportun, l'opportunité des poursuites n'étant ni de votre ressort ni du mien.
Donnez-nous des exemples où il n'est pas opportun d'interpeler des diffuseurs de virus lorsque la police en a la preuve ?
Concentrez vous plutôt sur les problèmes: 1. les mauvaises configurations des systèmes d'information ; 2. la mauvaise sensibilisation de l'utilisateur.
Vous oubliez l'ancien "3. : acheter KAV" ;)
Il faut agir de tous les cotés AMHA. Empêcher les diffuseurs de virus de récidiver si on en a la possibilité en fait partie. Il y a des lois contre cela.
-- Olivier Aichelbaum
Roland Garcia wrote:
Cela n'empêche pas les polices d'arrêter les diffuseurs de virus
lorsqu'elles en ont l'occasion.
Ou de ne pas les arrêter si ce n'est pas opportun, l'opportunité des
poursuites n'étant ni de votre ressort ni du mien.
Donnez-nous des exemples où il n'est pas opportun d'interpeler
des diffuseurs de virus lorsque la police en a la preuve ?
Concentrez vous plutôt sur les problèmes:
1. les mauvaises configurations des systèmes d'information ;
2. la mauvaise sensibilisation de l'utilisateur.
Vous oubliez l'ancien "3. : acheter KAV" ;)
Il faut agir de tous les cotés AMHA. Empêcher les diffuseurs
de virus de récidiver si on en a la possibilité en fait partie.
Il y a des lois contre cela.
Cela n'empêche pas les polices d'arrêter les diffuseurs de virus lorsqu'elles en ont l'occasion.
Ou de ne pas les arrêter si ce n'est pas opportun, l'opportunité des poursuites n'étant ni de votre ressort ni du mien.
Donnez-nous des exemples où il n'est pas opportun d'interpeler des diffuseurs de virus lorsque la police en a la preuve ?
Concentrez vous plutôt sur les problèmes: 1. les mauvaises configurations des systèmes d'information ; 2. la mauvaise sensibilisation de l'utilisateur.
Vous oubliez l'ancien "3. : acheter KAV" ;)
Il faut agir de tous les cotés AMHA. Empêcher les diffuseurs de virus de récidiver si on en a la possibilité en fait partie. Il y a des lois contre cela.