Albert ARIBAUD a écrit :
>>> Moui, un juge techno-inculte n'y verra pas grand intérêt.
>> Maître Eolas pourrait lui expliquer.
>
>> Non mais c'est toutes les NTIC qui posent des problèmes juridiques
>> nouveaux.
>
> Pas selon le même Eolas dont il est fait mention plus haut, ce me
> semble : il signale souvent que ce qu'on appelle "vide juridique" est
> vide... surtout de sens.
Dominique n'a pas parlé de vide, car, c'est vrai, il n'y a pas de tel
vide. Mais plutôt des textes inadaptés à la réalité actuelle.
Albert ARIBAUD a écrit :
>>> Moui, un juge techno-inculte n'y verra pas grand intérêt.
>> Maître Eolas pourrait lui expliquer.
>
>> Non mais c'est toutes les NTIC qui posent des problèmes juridiques
>> nouveaux.
>
> Pas selon le même Eolas dont il est fait mention plus haut, ce me
> semble : il signale souvent que ce qu'on appelle "vide juridique" est
> vide... surtout de sens.
Dominique n'a pas parlé de vide, car, c'est vrai, il n'y a pas de tel
vide. Mais plutôt des textes inadaptés à la réalité actuelle.
Albert ARIBAUD a écrit :
>>> Moui, un juge techno-inculte n'y verra pas grand intérêt.
>> Maître Eolas pourrait lui expliquer.
>
>> Non mais c'est toutes les NTIC qui posent des problèmes juridiques
>> nouveaux.
>
> Pas selon le même Eolas dont il est fait mention plus haut, ce me
> semble : il signale souvent que ce qu'on appelle "vide juridique" est
> vide... surtout de sens.
Dominique n'a pas parlé de vide, car, c'est vrai, il n'y a pas de tel
vide. Mais plutôt des textes inadaptés à la réalité actuelle.
Bref, quand on voit que même la crise financière que nous avons connue
en 2008 ne fait pas changer les mentalités, j'ai un sérieux doute sur la
possibilité d'une législation globale sur Internet.
Bref, quand on voit que même la crise financière que nous avons connue
en 2008 ne fait pas changer les mentalités, j'ai un sérieux doute sur la
possibilité d'une législation globale sur Internet.
Bref, quand on voit que même la crise financière que nous avons connue
en 2008 ne fait pas changer les mentalités, j'ai un sérieux doute sur la
possibilité d'une législation globale sur Internet.
Nous, les français, avons deux défauts : nous créons une loi pour le
moindre pet de travers, avec une inconscience des conséquences qui
sidére nos amis anglo-saxons et nous abrogeons peu, quitte à utiliser -
après quelques aménagements - une loi de 1881 qui portait sur la presse
*écrite* pour régler certains litiges d'Internet.
Nous, les français, avons deux défauts : nous créons une loi pour le
moindre pet de travers, avec une inconscience des conséquences qui
sidére nos amis anglo-saxons et nous abrogeons peu, quitte à utiliser -
après quelques aménagements - une loi de 1881 qui portait sur la presse
*écrite* pour régler certains litiges d'Internet.
Nous, les français, avons deux défauts : nous créons une loi pour le
moindre pet de travers, avec une inconscience des conséquences qui
sidére nos amis anglo-saxons et nous abrogeons peu, quitte à utiliser -
après quelques aménagements - une loi de 1881 qui portait sur la presse
*écrite* pour régler certains litiges d'Internet.
Le Mon, 19 Jan 2009 11:07:51 +0100, Dégé a écrit :
> Nous, les français, avons deux défauts : nous créons une loi pour le
> moindre pet de travers, avec une inconscience des conséquences qui
> sidére nos amis anglo-saxons et nous abrogeons peu, quitte à utiliser -
> après quelques aménagements - une loi de 1881 qui portait sur la presse
> *écrite* pour régler certains litiges d'Internet.
C'est quand même davantage que quelques aménagements. Et si ces
aménagements sont bien faits, n'est-ce pas une bonne chose que de vouloir
éviter de pondre une nouvelle loi pour chaque nouveau problème,
justement, et ne vaut-il pas mieux conserver en une loi ce qui est somme
toute le même problème quel que soit le medium ?
Amicalement,
Le Mon, 19 Jan 2009 11:07:51 +0100, Dégé a écrit :
> Nous, les français, avons deux défauts : nous créons une loi pour le
> moindre pet de travers, avec une inconscience des conséquences qui
> sidére nos amis anglo-saxons et nous abrogeons peu, quitte à utiliser -
> après quelques aménagements - une loi de 1881 qui portait sur la presse
> *écrite* pour régler certains litiges d'Internet.
C'est quand même davantage que quelques aménagements. Et si ces
aménagements sont bien faits, n'est-ce pas une bonne chose que de vouloir
éviter de pondre une nouvelle loi pour chaque nouveau problème,
justement, et ne vaut-il pas mieux conserver en une loi ce qui est somme
toute le même problème quel que soit le medium ?
Amicalement,
Le Mon, 19 Jan 2009 11:07:51 +0100, Dégé a écrit :
> Nous, les français, avons deux défauts : nous créons une loi pour le
> moindre pet de travers, avec une inconscience des conséquences qui
> sidére nos amis anglo-saxons et nous abrogeons peu, quitte à utiliser -
> après quelques aménagements - une loi de 1881 qui portait sur la presse
> *écrite* pour régler certains litiges d'Internet.
C'est quand même davantage que quelques aménagements. Et si ces
aménagements sont bien faits, n'est-ce pas une bonne chose que de vouloir
éviter de pondre une nouvelle loi pour chaque nouveau problème,
justement, et ne vaut-il pas mieux conserver en une loi ce qui est somme
toute le même problème quel que soit le medium ?
Amicalement,
Albert ARIBAUD wrote:Le Mon, 19 Jan 2009 11:07:51 +0100, Dégé a écrit :
> Nous, les français, avons deux défauts : nous créons une loi pour le
> moindre pet de travers, avec une inconscience des conséquences qui
> sidére nos amis anglo-saxons et nous abrogeons peu, quitte à utiliser
> - après quelques aménagements - une loi de 1881 qui portait sur la
> presse *écrite* pour régler certains litiges d'Internet.
C'est quand même davantage que quelques aménagements. Et si ces
aménagements sont bien faits, n'est-ce pas une bonne chose que de
vouloir éviter de pondre une nouvelle loi pour chaque nouveau problème,
justement, et ne vaut-il pas mieux conserver en une loi ce qui est
somme toute le même problème quel que soit le medium ?
Le problème est justement que le medium Internet n'est pas un medium
comme les autres. Si la loi de 1881 peut s'appliquer facilement à la
radio ou à la TV, qui disposent de structures et de dirigeants contre
qui agir, quid d'un media à la fois évanescent et de diffusion illimitée
dans l'espace et dans le temps, et constitué à partir des contributions
de millions de personnes réparties dans le monde entier ? Comment
espérer appliquer une petite loi nationale à un media qui se définit
lui-même comme une Toile ?
Pour aborder un autre plan, les lois non appliquées sont nombreuses en
France et je me demande si toutes les lois sur le numérique qui pourront
être votées seraient appliquées, de toute façon :
http://www.libres.org/francais/actualite/archives/actualite_0806/
C'est quelque chose qui dépasse le simple contributeur voire le député
de base. Je me demande même si quelqu'un peut avoir une vision globale
de l'ensemble des problèmes posés par ce medium car les informaticien
sont rarement juristes et inversement.
Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> wrote:
Le Mon, 19 Jan 2009 11:07:51 +0100, Dégé a écrit :
> Nous, les français, avons deux défauts : nous créons une loi pour le
> moindre pet de travers, avec une inconscience des conséquences qui
> sidére nos amis anglo-saxons et nous abrogeons peu, quitte à utiliser
> - après quelques aménagements - une loi de 1881 qui portait sur la
> presse *écrite* pour régler certains litiges d'Internet.
C'est quand même davantage que quelques aménagements. Et si ces
aménagements sont bien faits, n'est-ce pas une bonne chose que de
vouloir éviter de pondre une nouvelle loi pour chaque nouveau problème,
justement, et ne vaut-il pas mieux conserver en une loi ce qui est
somme toute le même problème quel que soit le medium ?
Le problème est justement que le medium Internet n'est pas un medium
comme les autres. Si la loi de 1881 peut s'appliquer facilement à la
radio ou à la TV, qui disposent de structures et de dirigeants contre
qui agir, quid d'un media à la fois évanescent et de diffusion illimitée
dans l'espace et dans le temps, et constitué à partir des contributions
de millions de personnes réparties dans le monde entier ? Comment
espérer appliquer une petite loi nationale à un media qui se définit
lui-même comme une Toile ?
Pour aborder un autre plan, les lois non appliquées sont nombreuses en
France et je me demande si toutes les lois sur le numérique qui pourront
être votées seraient appliquées, de toute façon :
http://www.libres.org/francais/actualite/archives/actualite_0806/
C'est quelque chose qui dépasse le simple contributeur voire le député
de base. Je me demande même si quelqu'un peut avoir une vision globale
de l'ensemble des problèmes posés par ce medium car les informaticien
sont rarement juristes et inversement.
Albert ARIBAUD wrote:Le Mon, 19 Jan 2009 11:07:51 +0100, Dégé a écrit :
> Nous, les français, avons deux défauts : nous créons une loi pour le
> moindre pet de travers, avec une inconscience des conséquences qui
> sidére nos amis anglo-saxons et nous abrogeons peu, quitte à utiliser
> - après quelques aménagements - une loi de 1881 qui portait sur la
> presse *écrite* pour régler certains litiges d'Internet.
C'est quand même davantage que quelques aménagements. Et si ces
aménagements sont bien faits, n'est-ce pas une bonne chose que de
vouloir éviter de pondre une nouvelle loi pour chaque nouveau problème,
justement, et ne vaut-il pas mieux conserver en une loi ce qui est
somme toute le même problème quel que soit le medium ?
Le problème est justement que le medium Internet n'est pas un medium
comme les autres. Si la loi de 1881 peut s'appliquer facilement à la
radio ou à la TV, qui disposent de structures et de dirigeants contre
qui agir, quid d'un media à la fois évanescent et de diffusion illimitée
dans l'espace et dans le temps, et constitué à partir des contributions
de millions de personnes réparties dans le monde entier ? Comment
espérer appliquer une petite loi nationale à un media qui se définit
lui-même comme une Toile ?
Pour aborder un autre plan, les lois non appliquées sont nombreuses en
France et je me demande si toutes les lois sur le numérique qui pourront
être votées seraient appliquées, de toute façon :
http://www.libres.org/francais/actualite/archives/actualite_0806/
C'est quelque chose qui dépasse le simple contributeur voire le député
de base. Je me demande même si quelqu'un peut avoir une vision globale
de l'ensemble des problèmes posés par ce medium car les informaticien
sont rarement juristes et inversement.
Patrick V wrote:Et vu la jurisprudence, les modificiations doivent avoir clairement été
prévues:
Mais usenet est dans un cadre technique et contractuel très particulier.
Tellement particulier qu'il me parait difficile d'affirmer que les
pratiques constatées seraient ou non sanctionnées.
Il faudrait que quelqu'un se dévoue pour créer de la jurisprudence ;-)
OK.
On commence par le plus gros, tout de suite ?
Qui me suit dans une action contre Google ?
J'aurai besoin d'un ou deux sponsors :-D
Patrick V <Patrick.V.u.i.c.h.a.r.d@mitgard.invalid> wrote:
Et vu la jurisprudence, les modificiations doivent avoir clairement été
prévues:
Mais usenet est dans un cadre technique et contractuel très particulier.
Tellement particulier qu'il me parait difficile d'affirmer que les
pratiques constatées seraient ou non sanctionnées.
Il faudrait que quelqu'un se dévoue pour créer de la jurisprudence ;-)
OK.
On commence par le plus gros, tout de suite ?
Qui me suit dans une action contre Google ?
J'aurai besoin d'un ou deux sponsors :-D
Patrick V wrote:Et vu la jurisprudence, les modificiations doivent avoir clairement été
prévues:
Mais usenet est dans un cadre technique et contractuel très particulier.
Tellement particulier qu'il me parait difficile d'affirmer que les
pratiques constatées seraient ou non sanctionnées.
Il faudrait que quelqu'un se dévoue pour créer de la jurisprudence ;-)
OK.
On commence par le plus gros, tout de suite ?
Qui me suit dans une action contre Google ?
J'aurai besoin d'un ou deux sponsors :-D
Pourquoi choisir celui qui respecte le plus d'exigences (qui respecte de
plus le XNA)?
Techniquement, quelle différence y a t'il entre:
- qqu'un qui publie publiquement un texte sur le web, avec son accord
implice de reprise par les proxys, et les caches de navigateurs.
- qqu'un qui poste sur les newsgroups, et autorise donc la reprise par
les différents serveurs de news dans le cadre de la diffusion.
Chaque newsgroup a une charte. Les noms de domaine aussi, et le non
respect de celle ci est invoquée dans la jurisprudence.
Si la charte du newsgroup notifie l'absence de publicité, alors
reprendre le contenu pour l'exploiter avec pubs est aussi une infraction.
Pourquoi choisir celui qui respecte le plus d'exigences (qui respecte de
plus le XNA)?
Techniquement, quelle différence y a t'il entre:
- qqu'un qui publie publiquement un texte sur le web, avec son accord
implice de reprise par les proxys, et les caches de navigateurs.
- qqu'un qui poste sur les newsgroups, et autorise donc la reprise par
les différents serveurs de news dans le cadre de la diffusion.
Chaque newsgroup a une charte. Les noms de domaine aussi, et le non
respect de celle ci est invoquée dans la jurisprudence.
Si la charte du newsgroup notifie l'absence de publicité, alors
reprendre le contenu pour l'exploiter avec pubs est aussi une infraction.
Pourquoi choisir celui qui respecte le plus d'exigences (qui respecte de
plus le XNA)?
Techniquement, quelle différence y a t'il entre:
- qqu'un qui publie publiquement un texte sur le web, avec son accord
implice de reprise par les proxys, et les caches de navigateurs.
- qqu'un qui poste sur les newsgroups, et autorise donc la reprise par
les différents serveurs de news dans le cadre de la diffusion.
Chaque newsgroup a une charte. Les noms de domaine aussi, et le non
respect de celle ci est invoquée dans la jurisprudence.
Si la charte du newsgroup notifie l'absence de publicité, alors
reprendre le contenu pour l'exploiter avec pubs est aussi une infraction.
Techniquement, quelle différence y a t'il entre:
- qqu'un qui publie publiquement un texte sur le web, avec son accord
implice de reprise par les proxys, et les caches de navigateurs.
- qqu'un qui poste sur les newsgroups, et autorise donc la reprise par
les différents serveurs de news dans le cadre de la diffusion.
La question n'est pas la reprise par les serveurs mais, comme je l'ai
précisé, qu'appelle-t-on un serveur ? Un archiveur pur est-il un serveur ?
Techniquement, quelle différence y a t'il entre:
- qqu'un qui publie publiquement un texte sur le web, avec son accord
implice de reprise par les proxys, et les caches de navigateurs.
- qqu'un qui poste sur les newsgroups, et autorise donc la reprise par
les différents serveurs de news dans le cadre de la diffusion.
La question n'est pas la reprise par les serveurs mais, comme je l'ai
précisé, qu'appelle-t-on un serveur ? Un archiveur pur est-il un serveur ?
Techniquement, quelle différence y a t'il entre:
- qqu'un qui publie publiquement un texte sur le web, avec son accord
implice de reprise par les proxys, et les caches de navigateurs.
- qqu'un qui poste sur les newsgroups, et autorise donc la reprise par
les différents serveurs de news dans le cadre de la diffusion.
La question n'est pas la reprise par les serveurs mais, comme je l'ai
précisé, qu'appelle-t-on un serveur ? Un archiveur pur est-il un serveur ?
(alors que l'identité du message se construit sur l'entete)
http://www.jurisexpert.net/web-20-et-droits-dauteur/ (La personne
utilisant les commentaires de personnes sur un site est fortement
incitée à demander expréssément les autorisations.)
Mes messages ne répondent plus à la définition d'un message usenet
(rfc1036).
(alors que l'identité du message se construit sur l'entete)
http://www.jurisexpert.net/web-20-et-droits-dauteur/ (La personne
utilisant les commentaires de personnes sur un site est fortement
incitée à demander expréssément les autorisations.)
Mes messages ne répondent plus à la définition d'un message usenet
(rfc1036).
(alors que l'identité du message se construit sur l'entete)
http://www.jurisexpert.net/web-20-et-droits-dauteur/ (La personne
utilisant les commentaires de personnes sur un site est fortement
incitée à demander expréssément les autorisations.)
Mes messages ne répondent plus à la définition d'un message usenet
(rfc1036).
Albert ARIBAUD wrote:Le Tue, 20 Jan 2009 19:49:39 +0100, Francois Cartegnie a écrit :(alors que l'identité du message se construit sur l'entete)
C'est un peu contradictoire avec l'idée que ce message relève du droit
d'auteur : c'est bien le contenu du tableau qui fait l'oeuvre, pas les
mentions imprimées sur le bois du cadre au dos. De même, c'est le
contenu du message qui est protégé, et non son véhicule technique.
On parle de signature et d'identification. Tentes donc d'engager une
procédure sur la base d'un email, sans les entêtes !
Le "véhicule technique" c'est NNTP. Le message c'est l'ensemble.
D'ailleurs, sans les entetes, plus aucun message n'a d'auteur.
On peut donc retirer la signature d'un tableau ?
Tu penses aussi pouvoir renommer une oeuvre librement ? Non.
Les entetes sont nécessaire pour identifier l'oeuvre.
Les enlever c'est renier l'auteur.
http://www.jurisexpert.net/web-20-et-droits-dauteur/ (La personne
utilisant les commentaires de personnes sur un site est fortement
incitée à demander expréssément les autorisations.)
Noter que cette page dit, comme je l'avais dit, tout commentaire (ou
message Usenet) n'est pas nécessairement protégé : il faut qu'il "porte
l'empreinte de son auteur".
Tu veux dire que ce que je dis n'est pas le reflet de ma personalité ?
Qu'est ce qui m'est imposé ici dans ce texte et qui ne résulterait pas
de ma personalité ?
Mais sur ce site, ils n'ont pas à "être un message Usenet" (et cette
qualité n'est pas pertinente en soi quant à la question du droit
d'auteur : le message est protégé parce qu'oeuvre, et non parce que
conforme à la RFC 1036.
L'auteur décide de la finalité de son oeuvre. Encore une fois, je donne
mon autorisation pour un diffusion sur usenet. Usenet est défini par les
RFC. L'en sortir c'est aller contre mes intentions. D'ailleurs les sites
mentionnent qu'ils "proviennent de l'usenet". Il n'en font plus partie.
Albert ARIBAUD wrote:
Le Tue, 20 Jan 2009 19:49:39 +0100, Francois Cartegnie a écrit :
(alors que l'identité du message se construit sur l'entete)
C'est un peu contradictoire avec l'idée que ce message relève du droit
d'auteur : c'est bien le contenu du tableau qui fait l'oeuvre, pas les
mentions imprimées sur le bois du cadre au dos. De même, c'est le
contenu du message qui est protégé, et non son véhicule technique.
On parle de signature et d'identification. Tentes donc d'engager une
procédure sur la base d'un email, sans les entêtes !
Le "véhicule technique" c'est NNTP. Le message c'est l'ensemble.
D'ailleurs, sans les entetes, plus aucun message n'a d'auteur.
On peut donc retirer la signature d'un tableau ?
Tu penses aussi pouvoir renommer une oeuvre librement ? Non.
Les entetes sont nécessaire pour identifier l'oeuvre.
Les enlever c'est renier l'auteur.
http://www.jurisexpert.net/web-20-et-droits-dauteur/ (La personne
utilisant les commentaires de personnes sur un site est fortement
incitée à demander expréssément les autorisations.)
Noter que cette page dit, comme je l'avais dit, tout commentaire (ou
message Usenet) n'est pas nécessairement protégé : il faut qu'il "porte
l'empreinte de son auteur".
Tu veux dire que ce que je dis n'est pas le reflet de ma personalité ?
Qu'est ce qui m'est imposé ici dans ce texte et qui ne résulterait pas
de ma personalité ?
Mais sur ce site, ils n'ont pas à "être un message Usenet" (et cette
qualité n'est pas pertinente en soi quant à la question du droit
d'auteur : le message est protégé parce qu'oeuvre, et non parce que
conforme à la RFC 1036.
L'auteur décide de la finalité de son oeuvre. Encore une fois, je donne
mon autorisation pour un diffusion sur usenet. Usenet est défini par les
RFC. L'en sortir c'est aller contre mes intentions. D'ailleurs les sites
mentionnent qu'ils "proviennent de l'usenet". Il n'en font plus partie.
Albert ARIBAUD wrote:Le Tue, 20 Jan 2009 19:49:39 +0100, Francois Cartegnie a écrit :(alors que l'identité du message se construit sur l'entete)
C'est un peu contradictoire avec l'idée que ce message relève du droit
d'auteur : c'est bien le contenu du tableau qui fait l'oeuvre, pas les
mentions imprimées sur le bois du cadre au dos. De même, c'est le
contenu du message qui est protégé, et non son véhicule technique.
On parle de signature et d'identification. Tentes donc d'engager une
procédure sur la base d'un email, sans les entêtes !
Le "véhicule technique" c'est NNTP. Le message c'est l'ensemble.
D'ailleurs, sans les entetes, plus aucun message n'a d'auteur.
On peut donc retirer la signature d'un tableau ?
Tu penses aussi pouvoir renommer une oeuvre librement ? Non.
Les entetes sont nécessaire pour identifier l'oeuvre.
Les enlever c'est renier l'auteur.
http://www.jurisexpert.net/web-20-et-droits-dauteur/ (La personne
utilisant les commentaires de personnes sur un site est fortement
incitée à demander expréssément les autorisations.)
Noter que cette page dit, comme je l'avais dit, tout commentaire (ou
message Usenet) n'est pas nécessairement protégé : il faut qu'il "porte
l'empreinte de son auteur".
Tu veux dire que ce que je dis n'est pas le reflet de ma personalité ?
Qu'est ce qui m'est imposé ici dans ce texte et qui ne résulterait pas
de ma personalité ?
Mais sur ce site, ils n'ont pas à "être un message Usenet" (et cette
qualité n'est pas pertinente en soi quant à la question du droit
d'auteur : le message est protégé parce qu'oeuvre, et non parce que
conforme à la RFC 1036.
L'auteur décide de la finalité de son oeuvre. Encore une fois, je donne
mon autorisation pour un diffusion sur usenet. Usenet est défini par les
RFC. L'en sortir c'est aller contre mes intentions. D'ailleurs les sites
mentionnent qu'ils "proviennent de l'usenet". Il n'en font plus partie.