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Arnaque

41 réponses
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martes
Bonjour,
Depuis des années, ma mère a pris un crédit chez Cofinoga. Je viens de
m'apercevoir que tous les mois, Cofinoga lui prélève 16 ? !
Maman a 91 ans. Impossible de remettre la main sur le contrat initial, ni
sur la carte.
Je voudrais pourtant résilier cette ponction plus qu'inutile.
Comment faire pour avoir gain de cause sans délai, malgré l'absence de carte
et de contrat ?
Merci de votre réponse. La situation est assez stressante.
Bien cordialement
martes

10 réponses

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Marc-Antoine
Je répond à Cl.Massé qui a écrit :


Ça dépend ce que t'appelles contrat. Les sens est donné par le contexte.


C'est pas la peine de tourner autour du pot, un contrat est légal ou ne
l'est pas il ne peut pas l'être à moitié.



J'ai pas dit qu'il l'était à moitieé, relis.


Non mais : "...Ça dépend ce que t'appelles contrat. Les sens est donné
par le contexte..."
Avec ça au moins je suis renseigné, en effet.

Vous êtes décidément le spécialiste des contradictions et des non sens,



Ou plutôt ce que tu es capable d'en comprendre, càd pas grand chose. On peut
se faire arnaquer même si le vendeur dit que le contrat est légal, point.


Ce "point" en dit long et comment vous comprendre si vous vous exprimer
mal? C'est pas ce que "le *vendeur dit* mais le contrat lui même dont
il est question.

En guise de boucher vous m'en faites un bon vous, cela veut donc dire que
l'on ne peut poursuivre quelqu'un pour arnaque, qui est un terme français
et qui a pour *synonyme* (vous savez ce que c'est ?) "Escroquerie" et si le
premier est inconnu du CP le second lui est bien connu.



Ben oui ça veut dire ça. Les termes juridiques sont fait pour être utilisés
dans un cadre juridique.


Donc si je dépose une plainte en disant que je me suis fait arnaquer,
le procureur la rejettera car ce terme n'est pas juridique ? Merci
encore, vous être décidément précieux.


Dites à un juge je me suis fait arnaquer, n'ayez crainte qu'il sera en
traduite le sens.



Pfff, bien sûr que non. Il qualifiera l'infraction à partir des faits, et
n'utilisera jamais ce terme.


Mais on s'en fiche des termes que le magistrat utilisera, c'est pas le
problème du plaignant.

C'est auprès des fonctionnaires de police ou du procureur de la République
qu'on dit ce genre de chose d'ailleurs.
Et oui, le droit c'est pas la charcuterie.


Compte tenu de l'idée que vous vous faite des lois; "qu'elles sont peut
être illégales et que cela est même mentionné dans le préambule de
notre constitution" (sic dans un précédent fil)
je préférerais quand même faire appel à un charcutier plutôt qu'à vous,
c'est sur.

Mercure était le dieu des marchands *et* des voleurs.





Et vous en concluez bêtement que les marchands sont *tous* des voleurs,
bien entendu.



J'ai conclu quelque chose? Ah bon!


Vous n'avez pas conclu vous avez affirmé :
"...d'ailleurs, les vendeurs sont les premiers à jouer de cette
ambiguïté...il feraient comment pour gagner leurs vies sinon?"

Je rappelle que l'ambiguïté consiste à faire déposer par le vendeur et
de manière *illégale*, la signature du client sur un contrat qui lui
reste malgré tout légal.

Vous n'avez pas utiliser le terme de voleur c'est vrai, mais en sous
entendu d'arnaqueur, donc qui escroque, donc qui vole...
Vous avez dit ambiguïté ....

--
Marc-Antoine
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Cl.Massé
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
news:4df49d54$0$17743$
Je répond à Cl.Massé qui a écrit :


Ça dépend ce que t'appelles contrat. Les sens est donné par le
contexte.


C'est pas la peine de tourner autour du pot, un contrat est légal ou ne
l'est pas il ne peut pas l'être à moitié.



J'ai pas dit qu'il l'était à moitieé, relis.


Non mais : "...Ça dépend ce que t'appelles contrat. Les sens est donné par
le contexte..."
Avec ça au moins je suis renseigné, en effet.



LOL, ben va voir le contexte, qu'est-ce que tu veux que je te dise?

Vous êtes décidément le spécialiste des contradictions et des non sens,



Ou plutôt ce que tu es capable d'en comprendre, càd pas grand chose. On
peut se faire arnaquer même si le vendeur dit que le contrat est légal,
point.



Ce "point" en dit long et comment vous comprendre si vous vous exprimer
mal? C'est pas ce que "le *vendeur dit* mais le contrat lui même dont il
est question.



Et si c'était toi qui comprenait mal? C'est ce que le vendeur dit dont il
est question.

En guise de boucher vous m'en faites un bon vous, cela veut donc dire
que l'on ne peut poursuivre quelqu'un pour arnaque, qui est un terme
français et qui a pour *synonyme* (vous savez ce que c'est ?)
"Escroquerie" et si le premier est inconnu du CP le second lui est bien
connu.



Ben oui ça veut dire ça. Les termes juridiques sont fait pour être
utilisés dans un cadre juridique.



Donc si je dépose une plainte en disant que je me suis fait arnaquer, le
procureur la rejettera car ce terme n'est pas juridique ? Merci encore,
vous être décidément précieux.



Voilà, j'ai dit exactement le contraire, tu es un vrai mal comprenant. Dans
la plainte, on doit mettre les faits et les circonstances, non? Ce n'est
pas le plaignant qui fait la qualification. S'il met arnaque dans sa
plainte, bien sûr que ce sera ignoré, comme tout terme juridique qui n'est
pas factuel. Retourne dans ta boutique, y'a un client qui veut du
saucisson.

Dites à un juge je me suis fait arnaquer, n'ayez crainte qu'il sera en
traduite le sens.



Pfff, bien sûr que non. Il qualifiera l'infraction à partir des faits,
et n'utilisera jamais ce terme.



Mais on s'en fiche des termes que le magistrat utilisera, c'est pas le
problème du plaignant.



ROTFL

C'est auprès des fonctionnaires de police ou du procureur de la
République
qu'on dit ce genre de chose d'ailleurs.
Et oui, le droit c'est pas la charcuterie.



Compte tenu de l'idée que vous vous faite des lois; "qu'elles sont peut
être illégales et que cela est même mentionné dans le préambule de notre
constitution" (sic dans un précédent fil)
je préférerais quand même faire appel à un charcutier plutôt qu'à vous,
c'est sur.



Pour le saucisson, c'est sûr. Le client attend ...

Mercure était le dieu des marchands *et* des voleurs.





Et vous en concluez bêtement que les marchands sont *tous* des voleurs,
bien entendu.



J'ai conclu quelque chose? Ah bon!


Vous n'avez pas conclu vous avez affirmé :

"...d'ailleurs, les vendeurs sont les premiers à jouer de cette
ambiguïté...il feraient comment pour gagner leurs vies sinon?"

Je rappelle que l'ambiguïté consiste à faire déposer par le vendeur et de
manière *illégale*, la signature du client sur un contrat qui lui reste
malgré tout légal.

Vous n'avez pas utiliser le terme de voleur c'est vrai, mais en sous
entendu d'arnaqueur, donc qui escroque, donc qui vole...
Vous avez dit ambiguïté ....



J'ai dit que les marchands étaient des vendeurs? Pas de doute, t'es un pov'
mal comprenant.

--
~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
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Marc-Antoine
Je répond à Cl.Massé qui a écrit :

Pas de doute, t'es un pov' mal comprenant.



Je ne peux comprendre que ce qui est compréhensible.

Et je comprends qu'un contrat qui est susceptible d'être entaché, soit
d'un vice de consentement (dol, tromperie) soit d'un abus de faiblesse
ne peut être légal, quel qu'en soit le contexte.
Vouloir nous faire croire qu'un contrat peut être légal par certains
côtes et pas par d'autres est un non sens. Et je ne comprends pas en
effet les non sens.

Malgré vos efforts de vouloir embrouiller les choses, je comprend aussi
que si arnaque il y a, celle-ci est réprimée par le CP, que le terme
soit ou non "juridiquement" impropre. Vous vous empêtrer dans vos
démonstrations et explications aussi vaseuses qu'inutiles puisque
l'arnaque *EST* pénalement répréhensible.

Par contre il y a des choses que je n'ai toujours pas comprises en
effet comment, par exemple, pouvez vous vous passer de vendeurs pour
acheter : "...mais moi j'ai pas besoin de vendeur pour acheter...".

Comme d'ailleurs, je n'ai toujours pas compris comment une loi pouvait
être illégale, pourtant c'est pas force de vous questionner la dessus.

Je vous laisse à vos délires car je ne veux pas participer à la
pollution du forum qui l'est déjà assez par vos seuls interventions.

--
Marc-Antoine
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Roland Garcia
Le 12/06/2011 18:06, Marc-Antoine a écrit :

Comme d'ailleurs, je n'ai toujours pas compris comment une loi pouvait
être illégale



Exemple:

http://fr.wikisource.org/wiki/Conseil_constitutionnel,_d%C3%A9cision_n%C2%B0_2011-131_QPC_du_20_mai_2011

--
Roland Garcia
Avatar
Marc-Antoine
Je répond à Roland Garcia qui a écrit :
Le 12/06/2011 18:06, Marc-Antoine a écrit :

Comme d'ailleurs, je n'ai toujours pas compris comment une loi pouvait
être illégale



Exemple:

http://fr.wikisource.org/wiki/Conseil_constitutionnel,_d%C3%A9cision_n%C2%B0_2011-131_QPC_du_20_mai_2011



Bien évidemment que le conseil constitutionnel régit la procédure
d'élaboration des projets de loi, elle peut ainsi rejeter en partie ou
partiellement ce projet, c'est bien connu, et les cas ne sont pas rares
d'ailleurs.

Soit une loi est promulguée soit elle ne l'est pas, et si elle l'est et
qu'elle s'avère anticonstitutionnelle, par la suite (je ne sais pas si
le cas existe) il faudra une autre loi pour la supprimée.

--
Marc-Antoine
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Cl.Massé
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
news:4df5d38d$0$20792$
Je répond à Roland Garcia qui a écrit :
Le 12/06/2011 18:06, Marc-Antoine a écrit :

Comme d'ailleurs, je n'ai toujours pas compris comment une loi pouvait
être illégale



Exemple:

http://fr.wikisource.org/wiki/Conseil_constitutionnel,_d%C3%A9cision_n%C2%B0_2011-131_QPC_du_20_mai_2011



Bien évidemment que le conseil constitutionnel régit la procédure
d'élaboration des projets de loi, elle peut ainsi rejeter en partie ou
partiellement ce projet, c'est bien connu, et les cas ne sont pas rares
d'ailleurs.

Soit une loi est promulguée soit elle ne l'est pas, et si elle l'est et
qu'elle s'avère anticonstitutionnelle, par la suite



Donc si elle est illégale ...

(je ne sais pas si le cas existe)



La loi sur le Contrat Nouvelle Embauche.

il faudra une autre loi pour la supprimée.

Non, les tribunaux ne l'appliquent pas et c'est tout. L'assemblée n'a pas
le temps de l'abroger.

--
~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
Avatar
Marc-Antoine
Je répond à Cl.Massé qui a écrit :
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
news:4df5d38d$0$20792$
Je répond à Roland Garcia qui a écrit :
Le 12/06/2011 18:06, Marc-Antoine a écrit :

Comme d'ailleurs, je n'ai toujours pas compris comment une loi pouvait
être illégale



Exemple:

http://fr.wikisource.org/wiki/Conseil_constitutionnel,_d%C3%A9cision_n%C2%B0_2011-131_QPC_du_20_mai_2011



Bien évidemment que le conseil constitutionnel régit la procédure
d'élaboration des projets de loi, elle peut ainsi rejeter en partie ou
partiellement ce projet, c'est bien connu, et les cas ne sont pas rares
d'ailleurs.

Soit une loi est promulguée soit elle ne l'est pas, et si elle l'est et
qu'elle s'avère anticonstitutionnelle, par la suite



Donc si elle est illégale ...


Si elle est anticonstitutionnelle est ne sera pas promulguée, donc elle
n'existera pas, donc elle ne peut être illégale.

Si pour une raison X ou Y une loi ou un règlement administratif
(décret, arrêté), doit être abrogée, elle ne peuvent l'être que par un
texte ayant même valeur : une loi par une autre loi, un décret par un
autre décret etc. L'abrogation peut d'ailleurs ne porter que sur un ou
plusieurs article(s) d'une loi ou d'un règlement.

L'abrogation peut également être tacite, si par exemple un article de
la constitution abroge implicitement un article du code civil.

Il existe des lois tombées en désuétude et qui de ce fait ne sont plus
appliquées en effet, selon le principe des usages constants et reconnus
ou de la jurisprudence (ex. loi sur le port du pantalon pour les
femmes. Ce qui ne veut pas dire qu'elle soient illégales. La nuance est
importante.

"Loi illégale" est donc un non sens. "Légal" voulant tout simplement
dire conforme à la loi, établi par la loi.

--
Marc-Antoine
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Cl.Massé
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
news:4df637d7$0$676$

Soit une loi est promulguée soit elle ne l'est pas, et si elle l'est et
qu'elle s'avère anticonstitutionnelle,



Donc si elle est illégale ...



Si elle est anticonstitutionnelle est ne sera pas promulguée, donc elle
n'existera pas, donc elle ne peut être illégale.



LOL j'adore: "Si elle est promulguée et qu'elle s'avère
anticonstitutionnelle, elle ne sera pas promulguée."

--
~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
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dmkgbt
Roland Garcia wrote:

Le 13/06/2011 19:38, Roland Garcia a écrit :

> Donc, dès la parution de la décision du CC au journal officiel la loi
> visée par la décision est abrogée de fait.

Travaux pratiques ici:

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexteArticle.do;jsessionidŠ81BE3BA9A
6667819FE8B3B6AD63D2E.tpdjo06v_2?idArticle=LEGIARTI000024046481&cidTexte=L
EGITEXT000006070722&dateTexte 110613

Vérifiez bien que le b) est abrogé suivant la note de bas de page, et je
vous assure que le parlement n'y est pour rien.




Démonstration impeccable, chapeau !

--
"Quoique la justice soit un principe à portée universelle,
le juste apparait pouvoir varier en fonction de facteurs
culturels." Wikipedia
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Marc-Antoine
Je répond à Cl.Massé qui a écrit :
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
news:4df637d7$0$676$

Soit une loi est promulguée soit elle ne l'est pas, et si elle l'est et
qu'elle s'avère anticonstitutionnelle,



Donc si elle est illégale ...





Si elle est anticonstitutionnelle est ne sera pas promulguée, donc elle
n'existera pas, donc elle ne peut être illégale.



LOL j'adore: "Si elle est promulguée et qu'elle s'avère
anticonstitutionnelle, elle ne sera pas promulguée."



Je ne sais pas si vous savez lire, mais je n'ai jamais dis qu'une loi
jugée anticonstitutionnelle pouvait être promulguée ? J'ai bien dis au
contraire "Si elle est anticonstitutionnelle est ne sera pas
promulguée"
C'est écrit plus haut.

Par contre la constitution pouvant subir des modifications, certaines
lois peuvent implicitement ne plus être constitutionnelles et seront
tacitement abrogées (Abrogation tacite).

--
Marc-Antoine
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