Pour mon petit script de sauvegarde via rsync sur une machine qui est la
copie conforme du PC portable que j'utilise quotidiennement, j'utilise
la commande 'arp -n' au début de ce script, ce qui est censé (selon moi)
récupérer l'adresse IP du PC vers lequel s'effectue la sauvegarde.
Mais il y a vraisemblablement quelquechose que j'ai mal compris.
Quand je viens d'allumer le PC destinataire de la sauvegarde, 'arp -n'
ne "voit" pas ce PC alors qu'il est monté sur le réseau.
Si depuis mon PC portable quotidien, j'effectue un 'ping' vers le PC
destinataire de la sauvegarde (juste pendant quelques secondes, 3 ou 4
pings) alors la commande 'arp -n' voit ce PC destinataire (et mon script
arrive Í récupérer cette IP, ce qui m'évite d'avoir Í la taper).
Je sens bien qu'il n'y a quelque chose que je ne comprends pas dans la
commande 'arp'...
Quelle commande devrais-je utiliser depuis mon PC portable quotidien
pour qu'il voit que le PC destinataire de la sauvegarde est monté sur le
réseau ?
Le réseau est un LAN tout ce qu'il y a de plus bête : les PC obtiennent
une adresse en 192.168.1.x sur ma LiveBox configurée en mode routeur.
Rappelons qu'un mot étranger passé en français sous sa forme plurielle prendra une forme de pluriel français. Un spaghetti des spaghettis.
ok, un duplicatum des duplicatums
Sauf que «Â duplicatum » n'est pas un mot étranger, c'est un pur produit du jargon des administrations françaises. D'ailleurs, selon le TLFi, «Â duplicata » n'est même pas une forme plurielle Í l'origine, mais un féminin singulier, puisqu'il dériverait du latin médiéval «Â duplicata littera ».
Rappelons qu'un mot étranger passé en français sous sa forme plurielle
prendra une forme de pluriel français. Un spaghetti des spaghettis.
ok, un duplicatum des duplicatums
Sauf que «Â duplicatum » n'est pas un mot étranger, c'est un pur produit
du jargon des administrations françaises.
D'ailleurs, selon le TLFi, «Â duplicata » n'est même pas une forme
plurielle Í l'origine, mais un féminin singulier, puisqu'il dériverait
du latin médiéval «Â duplicata littera ».
donc un cunilingus, des cunilinguss ?
Non, d'après le pluriel latin : des cunnilingui
--
Serge http://cahierdesergio.free.fr/
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Rappelons qu'un mot étranger passé en français sous sa forme plurielle prendra une forme de pluriel français. Un spaghetti des spaghettis.
ok, un duplicatum des duplicatums
Sauf que «Â duplicatum » n'est pas un mot étranger, c'est un pur produit du jargon des administrations françaises. D'ailleurs, selon le TLFi, «Â duplicata » n'est même pas une forme plurielle Í l'origine, mais un féminin singulier, puisqu'il dériverait du latin médiéval «Â duplicata littera ».