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L'art a horreur du vide

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benoit
Bonjour,


Juste pour vous dire que c'est fait : J'ai déposé les statuts de
l'association Breizh Art Squat à la préfecture.

Quel est son objectif : occuper les locaux commerciaux vides pour que
des artistes puissent montrer leur travail, et que le public ait accès
aux artistes contenporains.

Foctionnement :

- Le propriétaire nous donne le local (réduction fiscale à la clef) le
temps qu'il trouve un autre locataire.
- L'artiste participe aux frais de fonctionnement du local (assurance et
électricité)
- Tous les deux/trois mois un vernissage de toutes les galeries aura
lieu, le même jour.

Pour l'instant j'ai contacté cinq propriétaires de local vide (certains
depuis plusieurs années) sur les onze que l'on trouve dans un rayon de
100m. Tous sont a priori d'accord et regardent les différents types de
contrat et bail que je leur ai soumis.


--
Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.

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GhostRaider
Le 04/04/2018 à 23:15, pehache a écrit :
Le 03/04/2018 à 15:08, GhostRaider a écrit :
De même, il s'était inscrit à un groupe de cadres qui parrainait
bénévolement des personnes au chômage pour les aider à retrouver un
travail, noble dévouement.
Mais ce salaud baratinait les dames, leur promettait un travail et
les
baisait dans sa voiture (de fonction).
J'ai les noms, les adresses, les mails, les aveux réciproques,
tout...
Je garde ça, au cas où...

Ce qui est très gênant c'est que tu sembles utiliser tout ça pour en
tirer un avantage personnel.

Je n'ai pas dit à la Direction Groupe que j'allais révéler publiquement
la chose, je les ai juste informés.
Ils en ont tiré des conclusions qui n’engageaient qu'eux sans que je
les
y pousse.

ha ok c'est juste de la délation :-)

Je suis un bon citoyen.

Pour avoir cafeté un fait non répréhensible (les romans pornos) ?

C'est une faute professionnelle grave, susceptible de sanctions.
Si tu étais un bon citoyen tu aurais par contre fourni les preuves de
ses agissements répréhensibles à ses victimes féminines pour qu'elles
puissent porter plainte si elles le souhaitaient, plutôt que les garder
"au cas où" (quoi ?).

Les preuves, elles les avaient, avec tous les mails échangés.
Il en a embauché une d'ailleurs, on n'a pas compris. Sa définition de
poste à été laborieuse.
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pehache
Le 04/04/2018 à 23:39, GhostRaider a écrit :
J'étais Directeur Général gestion-finances dans un groupe international.
Je faisais tous les dossiers, de CIR, ou d'ICPE ou autres.
Ce n'est guère compliqué d'ailleurs, c'est juste dévoreur de temps.
Je prenais avec moi une jeune ingénieure agro du service qualité pour
collecter les pièces, les données, mais c'était moi qui bâtissais le
rapport et qui rédigeais.
Je lui faisais co-signer les rapports, pour son CV.

Oui, en général on confie les étapes finales aux non-techniciens, qui
savent mieux enrobe la mariée.

Ce ne sont pas des techniciens qui vont lire le rapport, alors...

En principe si, aussi. Il y a des experts nommés pour les relire. Sauf
que... ce sont souvent des milieux où tout le monde se connait, avec
tous les effets pervers possibles.
D'ailleurs, Cher Pehache, tu mettrais tes secrets de recherche dans un
rapport semi-public ?

Si c'est un vrai secret non divulgué en externe d'aucune manière (donc
pas de brevet déposé non plus), non. Mais il me semble que dans le CIR
il existe une procédure spéciale pour ce genre de cas (besoin d'une
confidentialité renforcée). Cela dit je ne vois pas trop le rapport avec
ce qui précède.
Mais les critères du CIR ne réclame nullement en réalité que la
recherche ait abouti. Donc même si on a abouti on n'est pas obligé de le
dire.
Dans la pharmacie en particulier, ça ne rigole pas du tout avec
leurs phase1, phase 2, essais cliniques etc...

Dans la pharmacie je veux bien croire que les possibilités de
maquiller la réalité soient plus limitées, compte tenu que c'est un
secteur par ailleurs très surveillé.

Ils n'y pensent même pas.

hum...

Oh non. Ce sont les commerciaux qui truandent à tout va, et les PDG.

Hum...
Note que je ne parle pas forcément de fraude caractérisée, mais
des zones grises qui permettent de faire passer plein de choses
comme de la "recherche" si on n'y regarde pas de trop près.

Quand une entreprise possède un centre de recherche parfaitement
défini, avec locaux, personnel, matériel et rapports constants à la
DG, justifier le CIR n'est pas vraiment très difficile, et sans
frauder.

Encore une fois je ne parle pas tant de fraude caractérisée que
d'embellissement de la réalité. Même dans un centre ou un service de
recherche, toutes les activités ne tombent pas dans les critères
théoriques du CIR. Le jeu est est d'arriver à en faire passer le
plus possible.

Peut-être mais c'est à la marge,

Non, justement. Je vais juste en conclure que tu n'as pas tout vu.

J'aimerais voir des exemples précis de "fraude".

Je ne suis pas un bon citoyen, donc je ne peux rien dire :-(
--
"...sois ouvert aux idées des autres pour peu qu'elles aillent dans le
même sens que les tiennes.", ST sur fr.bio.medecine
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GhostRaider
Le 04/04/2018 à 23:42, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 04/04/2018 23:35, GhostRaider a écrit :
De ne pas avoir à manger des patates à partir du 20 du mois.

on mange très bien tous les jours avec un CAP coiffure.
tu peux entamer 10 ans de psy sur le thème "qu'avais-je donc à prouver?"

Ben, j'ai trois appartement dont un à New York, mais ça ne prouve rien.

c'est même pas à Manhattan et tu n'y vis pas... c'est pas avec ça que tu
vas motiver les jeunes qui nous lisent :-)

Manhattan est surfait, encombré, pollué, cher... Brooklyn est bien plus
agréable.
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GhostRaider
Le 05/04/2018 à 00:06, GhostRaider a écrit :
Le 04/04/2018 à 23:05, pehache a écrit :
Le 03/04/2018 à 13:06, GhostRaider a écrit :
Le 02/04/2018 à 23:39, pehache a écrit :
Le 02/04/2018 à 20:17, GhostRaider a écrit :
Vaudrait mieux éviter de trop en faire, on est déjà trop
nombreux sur Terre.

Pas trop nombreux, mal répartis.
La France, vue d'avion, est immense, verte, vide, sauf quelques
grandes agglomérations.

Ce n'est pas tant une question d'espace pour habiter, mais de
ressources disponibles.

La France est un pays de cocagne, tout pousse.

Même le lithium ?

Non, ça ne pousse pas dans les arbres.

En effet. Mais tu as sans doute remarqué que dans notre mode de vie on
ne se contente pas de manger des pommes.


Je ne sais pas à quoi sert le lithium, à part à calmer les angoissés.
Les Français ne connaissent pas leur bonheur.
Ailleurs, c'est souvent pareil,


Mais pas toujours.
Ah, donc finalement la France n'a rien de spécial :-)

Si, c'est un pays de cocagne, et c'est ce qui explique qu'il y ait si
peu d'Américains  d'origine Française comparé aux Polonais, Italiens,
Irlandais, Juifs etc... qui crevaient de faim.

L'histoire raconté comme ça, c'est fabuleux. A part les Irlandais lors
de l'épisode de la grande famine (qui de plus a eu des causes
politiques et pas uniquement naturelles), je ne crois pas qu'aucun des
peuples que tu cites ait "crevé de faim" au sens littéral.


Les pogroms contre les Juifs ? Les Italiens du sud de la péninsule (les
familles New Yorkaises ne viennent pas de milan) ?
Mais au fait, d'où viennent les Québecois ?


Ils ont été importé par le royaume de France pour peupler le Canada.
mais les gouvernements, aidés en cela par les religions, sabotent
les progrès.

Et hop, un petit cliché de plus.

Ben tiens. Je connais quelque peu le monde musulman. La
cristallisation des esprits est incompréhensible pour nous.

Tu n'es pas le seul à connaître des musulman et à avoir voyagé.


Ma fille docteure en sociologie est spécialiste de l'Indonésie, premier
pays musulman au monde par sa population.
Les systèmes de retraite (tous) ont un petit côté chaîne de Ponzi.

Oui, il ne faut pas faire trop confiance aux scénarios sur
lesquels ils sont basés, il faut aussi, si on peut, l'autofinancer.

La retraite par capitalisation c'est aussi du Ponzi : les pensions
"promises" reposent sur l'hypothèse d'une croissance continuelle.

Le meilleur placement pour la retraite, c'est un bon appartement
bien placé.
Le logement est l'un des 3 besoins essentiels qui devra toujours
être satisfait.

L'explosion des prix de l'immobilier depuis 20 ans en fait un
placement très séduisant pour la retraite. Ca n'a pas toujours été
le cas.

Un appartement présente un double avantage :
- tu peux y habiter, donc il te rapporte un loyer virtuel
- tu peux le vendre et sauf à avoir mal acheté, tu n'y perdras rien.
Juste un petit inconvénient : vu cette explosion des prix, les
jeunes n'arrivent plus à se loger sans s'endetter abominablement.

Tu raisonnes en Français.

Ben tu m'excuseras, mais si on parle du contexte français...

Il faut ouvrir tes yeux vers le grand large.
Aux USA,  il existe le système des co-op, immeubles en société où
l'acheteur ne doit pas avoir des revenus supérieurs à une limite
assez basse.

Quels assistés ces américains !

Ils sont souvent bien plus pratiques que nous.
Mais c'est quand même un comble : un système qui s'emballe et qui
favorise les rentiers, du coup la collectivité doit aider les jeunes
qui sont victimes de ce systèmes.

S'il s'emballe, forcément il favorise ceux qui ont le pouvoir et l'argent.
Et la solidarité inter-générationnelle est aussi un instinct puissant.
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Stephane Legras-Decussy
Le 05/04/2018 00:06, GhostRaider a écrit :
Quels assistés ces américains !

Ils sont souvent bien plus pratiques que nous.

bah un américain c'est juste un franco-italo-irlandais
avec un flingue et une maîtresse mexicaine.
Quant au système US, c'est un hybride qui cumule
des planifications énormes à la soviet et une absence de protection
de l'individu.
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pehache
Le 04/04/2018 à 23:46, GhostRaider a écrit :
Le 04/04/2018 à 22:27, pehache a écrit :
Le 03/04/2018 à 11:57, GhostRaider a écrit :
Dans toute ma carrière, je n'ai pratiquement jamais rencontré
d'employé qui ne cherchait pas à bien travailler, ne serait-ce
que pour sa satisfaction personnelle.
Sauf les syndicalistes qui passaient leur temps à se promener
pour "défendre les travailleurs" grâce à leurs généreuses heures
de délégation.


Mais non tu ne parles pas par clichés, pas du tout.

Ah là là, si tu savais !
Deux exemples :
1 - un délégué FO prenait toujours ses heures de délégation le
mercredi après-midi, on a découvert qu'il était professeur de judo
pour les enfants.
2 - lors d'un licenciement économique collectif, les employées sont
parties avec 16 mois de salaire net. Toutes ont accepté, toutes ?
Non, les déléguées CGT voulaient le double, mais juste pour elles,
pour convaincre les copines, sans leur dire évidemment.
J'en ai des wagons comme ça.

Et donc ?
Je peux te citer aussi plein de cas croisés de
branleurs/fumistes/véreux non syndiqués.

Oui, mais ils ne sont pas protégés, et ça fait une sacrée différence.

Un délégué du personnel n'est pas protégé contre toutes les conneries
qu'il fait.

Oh que si. Pour virer un salarié protégé, il faut se lever de bonne heure.

Non, il faut juste avoir un motif valable de licenciement, et pas un
motif bidon ou branlant comme c'est souvent le cas.
Ce qui change pour un salarié protégé c'est que le motif doit être
validé en amont par l'inspection du travail. Si l'inspecteur du travail
le retoque, c'est que le motif n'est pas très solide.
Notre prof de judo, on n'a pas pu le coincer, et pourtant.

Un huissier qui aurait constaté qu'il était au judo pendant ses heures
de délégation aurait été un bon point de départ.
D'ailleurs, ce n'aurait pas été malin, ils nous aurait nui bien plus ;
là, il se contentait de ne pas travailler, mais sans foutre le souk dans
son atelier puisqu'il enseignait le judo aux gosses.
D'ailleurs, dès qu'un branleur/fumiste/véreux se sentait dans le
collimateur, il se présentait aux élections. Même non élu, il était
protégé pendant 6 mois.


Et les syndicats l'accueillent à bras ouverts, tu penses bien.
Un branleur protégé, le rêve pour foutre le bordel !

La plupart des syndicalistes que je connais sont aussi intègres que toi
ou moi. Il y a évidemment des cons et des brebis galeuses comme partout,
mais pas plus qu'ailleurs.
--
"...sois ouvert aux idées des autres pour peu qu'elles aillent dans le
même sens que les tiennes.", ST sur fr.bio.medecine
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Stephane Legras-Decussy
Le 05/04/2018 00:15, GhostRaider a écrit :
Manhattan est surfait, encombré, pollué, cher... Brooklyn est bien plus
agréable.

on en reparle avec un appart au 40ème étage, avec le chrysler building
en vis-à-vis... :-)
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pehache
Le 04/04/2018 à 23:51, GhostRaider a écrit :
Oui, mais contrairement à toi il ne bloque pas là-dessus et est
ouvert au principe.

Comment facilement ratisser des voix par le populisme.

Tu peux arrêter de raconter n'importe quoi ? L'interview est de 2011,
date à laquelle il avait abandonné la vie politique depuis 4 ou 5 ans.
Je suis certain que tu ne l'ignores pas.

1 : je l'ignorais

lol
2 : un mec d'extrême droite reste d'extrême droite et ne peux s'empêcher
de prêcher l'extrême droite.

Bon, déjà, Madelin a été dans des mouvements d'extrême droite dans sa
jeunesse, mais il s'en est éloigné assez vite. Pas très loin certes, et
on peut parler de droite dure le concernant, mais c'est un
démocrate/républicain à ma connaissance. Et en tant que ministre il a
plutôt été le genre pragmatique.
En matière économique c'est un ultra-libéral.
N'oublions pas que c'est un gars d'extrême droite.

Qui comme tout le monde sait ont "rêves de socialos qui passent leurs
vies en réunions de cellules pour refaire un monde qui n'existe pas en
dehors de Paris 20ème"

Ma fille grande et généreuse a fait partie d'une cellule du PS dans son
coin pendant 2 ans. Elle en est partie, catastrophée de leur médiocrité.

C'est bien. Mais je ne vois pas très bien le rapport avec Madelin, à
moins qu'elle l'y ait croisé.
--
"...sois ouvert aux idées des autres pour peu qu'elles aillent dans le
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pehache
Le 05/04/2018 à 00:01, GhostRaider a écrit :
Le 04/04/2018 à 22:45, pehache a écrit :
Le 03/04/2018 à 15:07, GhostRaider a écrit :
La pension de retraire a "libéré" les personnes âgées (jusqu'au
moment de la dépendance médicale, qui est un autre sujet). De même
qu'un R.U. libèrerait les jeunes par rapport à leurs parents.

Les vieux ont payé leur devoir à la société en élevant les jeunes.
Ils ont droit à la reconnaissance.

Hein ? Je ne leur ai rien demandé de tel, personnellement. Ils ont eu
des enfants parce qu'ils l'ont voulu, pas par devoir (enfin, j'espère
pour eux en tous cas).

La perpétuation de l'espèce est un instinct auquel on ne se dérobe pas.

S'ils ont fait des gosses par instinct, ils n'ont pas besoin de
reconnaissance non plus.
--
"...sois ouvert aux idées des autres pour peu qu'elles aillent dans le
même sens que les tiennes.", ST sur fr.bio.medecine
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benoit
Stephane Legras-Decussy wrote:
Le 04/04/2018 18:18, GhostRaider a écrit :
Mais j'ai terminé comme directeur général gestion-finances d'un groupe
international, avec le salaire. Travailler, ça vaut le coup,

ça vaut le coup de quoi ?
t'as une Velsatis, une montre à 10¤, un pavillon en banlieue et tu fais
des photos de guêpe dans les parcs.

On voit le gus pour qui le flouze c'est ce qui permet de mieux assurer
quand on chasse la blonde dans les bas quartiers. Avoir de la fraîche
sans le montrer c'est dingue ! Non ?*
Avec ce que tu décris, si c'est pas pour une GTC4lusso + une île privée,
je reste dans mon lit.

Bin voilà, tu aimes le glingling. Tu es dans la catégorie
moyen-orientale avec du fioul, de la blanche ou du thé amélioré à
fourguer ?
tu peux entamer 10 ans de psy sur le thème "qu'avais-je donc à prouver?"

Poufpouf ! Pas mieux ! Ayant dit la même chose que le précédent
participant, vous ne gagnez rien.
* À ce sujet, il y a un couple d'ouvriers de la France profonde qui a
gagné pas loin de 100M¤ au loto. Ils font quoi aujourd'hui ? Ils
continuent d'aller bosser à l'usine chacun avec sa vieille caisse, ils
n'ont pas déménagé, ils continuent de voir leur copains comme si rien ne
s'était passé. Ils n'ont pas claqué un seul fifrelin. Mais au lieu de
prendre un mois de vacances avec la caravanne au camping, comme avant,
ils n'y vont plus que deux semaines. Les deux autres sont sur un
paquebot en classe 1, premium, star... Sans que qui ce soit ne le sache,
à commencer par leurs enfants. Eux ils savent ce que vaut la fortune,
toi.. pas sûr du tout. Toute mes condoléances.
--
Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.