Juste pour vous dire que c'est fait : J'ai déposé les statuts de
l'association Breizh Art Squat à la préfecture.
Quel est son objectif : occuper les locaux commerciaux vides pour que
des artistes puissent montrer leur travail, et que le public ait accès
aux artistes contenporains.
Foctionnement :
- Le propriétaire nous donne le local (réduction fiscale à la clef) le
temps qu'il trouve un autre locataire.
- L'artiste participe aux frais de fonctionnement du local (assurance et
électricité)
- Tous les deux/trois mois un vernissage de toutes les galeries aura
lieu, le même jour.
Pour l'instant j'ai contacté cinq propriétaires de local vide (certains
depuis plusieurs années) sur les onze que l'on trouve dans un rayon de
100m. Tous sont a priori d'accord et regardent les différents types de
contrat et bail que je leur ai soumis.
--
Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
Quelle taxe sur les transferts ? Transferts de fonds de France aux USA ? Non, pas de taxe. Tu veux parler des retenues à la source prélevées sur certains revenus ?
on parler d'un appartement donné (ou prêté) à quelqu'un qui a des ressources et donc ne peut pas bénéficier de pension https://www.impots.gouv.fr/portail/particulier/dons-exoneres ce n'est même que tous les 15 ans, sont pas généreux > pour louer son appartement a ses enfants: https://www.capital.fr/immobilier/preter-ou-louer-un-appartement-a-son-enfant-quelles-sont-les-regles-867197
Là, ils mélangent tout et n'importe quoi et ne tirent pas les conséquences fiscales de l'obligation alimentaire, qu'ils citent, c'est à dire que la mise à disposition gratuite d'un logement à un enfant sans ressources constitue une pension en nature, déductible chez les parents, taxable chez les enfants. Benoit et moi nous parlions des pensions versées en espèces ou en nature, déclarées annuellement en tant que revenus par le bénéficiaire et en tant que charges déductibles par la partie versante, mais pas des donations qui suivent une législation très différente car il ne s'agit pas de revenus mais de transferts de patrimoine.
Le 06/04/2018 à 12:50, jdd a écrit :
Le 06/04/2018 à 12:35, GhostRaider a écrit :
Quelle taxe sur les transferts ?
Transferts de fonds de France aux USA ? Non, pas de taxe.
Tu veux parler des retenues à la source prélevées sur certains revenus ?
on parler d'un appartement donné (ou prêté) à quelqu'un qui a des
ressources et donc ne peut pas bénéficier de pension
Là, ils mélangent tout et n'importe quoi et ne tirent pas les
conséquences fiscales de l'obligation alimentaire, qu'ils citent, c'est
à dire que la mise à disposition gratuite d'un logement à un enfant sans
ressources constitue une pension en nature, déductible chez les parents,
taxable chez les enfants.
Benoit et moi nous parlions des pensions versées en espèces ou en
nature, déclarées annuellement en tant que revenus par le bénéficiaire
et en tant que charges déductibles par la partie versante, mais pas des
donations qui suivent une législation très différente car il ne s'agit
pas de revenus mais de transferts de patrimoine.
Quelle taxe sur les transferts ? Transferts de fonds de France aux USA ? Non, pas de taxe. Tu veux parler des retenues à la source prélevées sur certains revenus ?
on parler d'un appartement donné (ou prêté) à quelqu'un qui a des ressources et donc ne peut pas bénéficier de pension https://www.impots.gouv.fr/portail/particulier/dons-exoneres ce n'est même que tous les 15 ans, sont pas généreux > pour louer son appartement a ses enfants: https://www.capital.fr/immobilier/preter-ou-louer-un-appartement-a-son-enfant-quelles-sont-les-regles-867197
Là, ils mélangent tout et n'importe quoi et ne tirent pas les conséquences fiscales de l'obligation alimentaire, qu'ils citent, c'est à dire que la mise à disposition gratuite d'un logement à un enfant sans ressources constitue une pension en nature, déductible chez les parents, taxable chez les enfants. Benoit et moi nous parlions des pensions versées en espèces ou en nature, déclarées annuellement en tant que revenus par le bénéficiaire et en tant que charges déductibles par la partie versante, mais pas des donations qui suivent une législation très différente car il ne s'agit pas de revenus mais de transferts de patrimoine.
Stephane Legras-Decussy
Le 06/04/2018 08:45, jdd a écrit :
Le 06/04/2018 à 08:09, GhostRaider a écrit :
investissement qui rapporte un loyer dès qu'il est occupé.
si ton locataire paie, moi je suis tombé sur un escroc, pas de bol :-(
pas besoin de locataire... en occupant ton propre bien, tu économises le loyer que tu devrais payer, donc tu le percois virtuellement.
Le 06/04/2018 08:45, jdd a écrit :
Le 06/04/2018 à 08:09, GhostRaider a écrit :
investissement qui rapporte un loyer dès qu'il est occupé.
si ton locataire paie, moi je suis tombé sur un escroc, pas de bol :-(
pas besoin de locataire... en occupant ton propre bien, tu économises
le loyer que tu devrais payer, donc tu le percois virtuellement.
investissement qui rapporte un loyer dès qu'il est occupé.
si ton locataire paie, moi je suis tombé sur un escroc, pas de bol :-(
pas besoin de locataire... en occupant ton propre bien, tu économises le loyer que tu devrais payer, donc tu le percois virtuellement.
Et quand tu t'essuies toi-même, tu le déclares comme soins à la personne ?
MDR
GhostRaider
Le 06/04/2018 à 16:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 06/04/2018 15:36, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
pas besoin de locataire... en occupant ton propre bien, tu économises le loyer que tu devrais payer, donc tu le percois virtuellement.
Et quand tu t'essuies toi-même, tu le déclares comme soins à la personne ?
je plaisante pas, c'est tout à fait logique. il a même été question à un moment d'être imposé sur ce revenu virtuel.
C'est une vieille idée, aussi sotte que grenue. https://www.challenges.fr/immobilier/actu-immo/immobilier-les-petits-proprietaires-bientot-imposes-sur-des-loyers-fictifs_436957
Le 06/04/2018 à 16:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 06/04/2018 15:36, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
pas besoin de locataire... en occupant ton propre bien, tu économises
le loyer que tu devrais payer, donc tu le percois virtuellement.
Et quand tu t'essuies toi-même, tu le déclares comme soins à la
personne ?
je plaisante pas, c'est tout à fait logique.
il a même été question à un moment d'être imposé sur ce revenu virtuel.
C'est une vieille idée, aussi sotte que grenue.
https://www.challenges.fr/immobilier/actu-immo/immobilier-les-petits-proprietaires-bientot-imposes-sur-des-loyers-fictifs_436957
Le 06/04/2018 à 16:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 06/04/2018 15:36, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
pas besoin de locataire... en occupant ton propre bien, tu économises le loyer que tu devrais payer, donc tu le percois virtuellement.
Et quand tu t'essuies toi-même, tu le déclares comme soins à la personne ?
je plaisante pas, c'est tout à fait logique. il a même été question à un moment d'être imposé sur ce revenu virtuel.
C'est une vieille idée, aussi sotte que grenue. https://www.challenges.fr/immobilier/actu-immo/immobilier-les-petits-proprietaires-bientot-imposes-sur-des-loyers-fictifs_436957
Stephane Legras-Decussy
Le 06/04/2018 18:15, jdd a écrit :
Le 06/04/2018 à 16:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :
il a même été question à un moment d'être imposé sur ce revenu virtuel.
ca s'appelle même les impots locaux (habitation et foncier) :-)
c'est pas faux mais : https://www.challenges.fr/immobilier/actu-immo/immobilier-les-petits-proprietaires-bientot-imposes-sur-des-loyers-fictifs_436957
Le 06/04/2018 18:15, jdd a écrit :
Le 06/04/2018 à 16:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :
il a même été question à un moment d'être imposé sur ce revenu virtuel.
ca s'appelle même les impots locaux (habitation et foncier) :-)
Le 06/04/2018 à 16:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :
il a même été question à un moment d'être imposé sur ce revenu virtuel.
ca s'appelle même les impots locaux (habitation et foncier) :-)
c'est pas faux mais : https://www.challenges.fr/immobilier/actu-immo/immobilier-les-petits-proprietaires-bientot-imposes-sur-des-loyers-fictifs_436957
efji
Le 06/04/2018 à 22:12, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 06/04/2018 18:15, jdd a écrit :
Le 06/04/2018 à 16:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :
il a même été question à un moment d'être imposé sur ce revenu virtuel.
ca s'appelle même les impots locaux (habitation et foncier) :-)
c'est pas faux mais : https://www.challenges.fr/immobilier/actu-immo/immobilier-les-petits-proprietaires-bientot-imposes-sur-des-loyers-fictifs_436957
C'est des conneries ! Jamais aucun gouvernement n'osera faire ça. Le lendemain l'immobilier s'effondre et les petits propriétaires mettent la tête de Macron au bout d'une pique. -- F.J.
Le 06/04/2018 à 22:12, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 06/04/2018 18:15, jdd a écrit :
Le 06/04/2018 à 16:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :
il a même été question à un moment d'être imposé sur ce revenu virtuel.
ca s'appelle même les impots locaux (habitation et foncier) :-)
C'est des conneries !
Jamais aucun gouvernement n'osera faire ça. Le lendemain l'immobilier
s'effondre et les petits propriétaires mettent la tête de Macron au bout
d'une pique.
Le 06/04/2018 à 22:12, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 06/04/2018 18:15, jdd a écrit :
Le 06/04/2018 à 16:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :
il a même été question à un moment d'être imposé sur ce revenu virtuel.
ca s'appelle même les impots locaux (habitation et foncier) :-)
c'est pas faux mais : https://www.challenges.fr/immobilier/actu-immo/immobilier-les-petits-proprietaires-bientot-imposes-sur-des-loyers-fictifs_436957
C'est des conneries ! Jamais aucun gouvernement n'osera faire ça. Le lendemain l'immobilier s'effondre et les petits propriétaires mettent la tête de Macron au bout d'une pique. -- F.J.
pehache
Le 05/04/2018 à 08:16, GhostRaider a écrit :
Et donc ? Je peux te citer aussi plein de cas croisés de branleurs/fumistes/véreux non syndiqués.
Oui, mais ils ne sont pas protégés, et ça fait une sacrée différence.
Un délégué du personnel n'est pas protégé contre toutes les conneries qu'il fait.
Oh que si. Pour virer un salarié protégé, il faut se lever de bonne heure.
Non, il faut juste avoir un motif valable de licenciement, et pas un motif bidon ou branlant comme c'est souvent le cas.
Il faut accumuler un dossier haut de 1 mètre.
Pour licencier quelqu'un pour faute, il faut un dossier solide sinon ça ne tient pas aux prudhommes si le gars attaque et qu'il est bien défendu. La différence pour le salarié protégé est en quelque sorte que le "jugement" se fait a priori et pas a posteriori.
Ce qui change pour un salarié protégé c'est que le motif doit être validé en amont par l'inspection du travail. Si l'inspecteur du travail le retoque, c'est que le motif n'est pas très solide.
On
Ce qui est clair en tous c'est qu'on voit tout de suite où tu situes : pas en observateur, mais avec la direction.
a voulu licencier 2 salariés protégés, avec les mêmes motifs : faute lourde : violences, sabotage etc.
Oui, le truc classique dès qu'il y a des actions syndicales, si les mecs ne font pas hyper attention à ce qu'ils font il peuvent se faire facilement piéger.
L'inspecteur du travail retoque. On a fait un recours hiérarchique au ministre. Décision du ministre : un licenciement accepté, l'autre refusé. Comme ça, tout le monde a gagné.
Notre prof de judo, on n'a pas pu le coincer, et pourtant.
Un huissier qui aurait constaté qu'il était au judo pendant ses heures de délégation aurait été un bon point de départ.
Faire faire un contrôle en dehors de l'entreprise, là où on n'a aucun pouvoir hiérarchique, ç’aurait été déclarer la guerre au syndicat qui aurait défendu son représentant de toutes façons. On a préféré laisser couler ; il était moins gênant dehors que dedans. Et puis, enseigner le judo gratis montrait que c'était un type bien.
Faudrait savoir...
D'ailleurs, dès qu'un branleur/fumiste/véreux se sentait dans le collimateur, il se présentait aux élections. Même non élu, il était protégé pendant 6 mois.
Et les syndicats l'accueillent à bras ouverts, tu penses bien. Un branleur protégé, le rêve pour foutre le bordel !
La plupart des syndicalistes que je connais sont aussi intègres que toi ou moi. Il y a évidemment des cons et des brebis galeuses comme partout, mais pas plus qu'ailleurs.
Mais pas moins. Beaucoup font du militantisme de compensation, refusent les promotions, sont persuadés d'avoir une mission divine.
Et alors ? Si on commence à analyser les motivations profondes et pas toujours conscientes de chacun dans la vie... De mon point de vue tu as aussi un discours un exalté et mystique sur les conceptions sociales. -- "...sois ouvert aux idées des autres pour peu qu'elles aillent dans le même sens que les tiennes.", ST sur fr.bio.medecine
Le 05/04/2018 à 08:16, GhostRaider a écrit :
Et donc ?
Je peux te citer aussi plein de cas croisés de
branleurs/fumistes/véreux non syndiqués.
Oui, mais ils ne sont pas protégés, et ça fait une sacrée différence.
Un délégué du personnel n'est pas protégé contre toutes les
conneries qu'il fait.
Oh que si. Pour virer un salarié protégé, il faut se lever de bonne
heure.
Non, il faut juste avoir un motif valable de licenciement, et pas un
motif bidon ou branlant comme c'est souvent le cas.
Il faut accumuler un dossier haut de 1 mètre.
Pour licencier quelqu'un pour faute, il faut un dossier solide sinon ça
ne tient pas aux prudhommes si le gars attaque et qu'il est bien
défendu. La différence pour le salarié protégé est en quelque sorte que
le "jugement" se fait a priori et pas a posteriori.
Ce qui change pour un salarié protégé c'est que le motif doit être
validé en amont par l'inspection du travail. Si l'inspecteur du
travail le retoque, c'est que le motif n'est pas très solide.
On
Ce qui est clair en tous c'est qu'on voit tout de suite où tu situes :
pas en observateur, mais avec la direction.
a voulu licencier 2 salariés protégés, avec les mêmes motifs : faute
lourde : violences, sabotage etc.
Oui, le truc classique dès qu'il y a des actions syndicales, si les mecs
ne font pas hyper attention à ce qu'ils font il peuvent se faire
facilement piéger.
L'inspecteur du travail retoque.
On a fait un recours hiérarchique au ministre.
Décision du ministre : un licenciement accepté, l'autre refusé.
Comme ça, tout le monde a gagné.
Notre prof de judo, on n'a pas pu le coincer, et pourtant.
Un huissier qui aurait constaté qu'il était au judo pendant ses heures
de délégation aurait été un bon point de départ.
Faire faire un contrôle en dehors de l'entreprise, là où on n'a aucun
pouvoir hiérarchique, ç’aurait été déclarer la guerre au syndicat qui
aurait défendu son représentant de toutes façons. On a préféré laisser
couler ; il était moins gênant dehors que dedans.
Et puis, enseigner le judo gratis montrait que c'était un type bien.
Faudrait savoir...
D'ailleurs, dès qu'un branleur/fumiste/véreux se sentait dans le
collimateur, il se présentait aux élections. Même non élu, il était
protégé pendant 6 mois.
Et les syndicats l'accueillent à bras ouverts, tu penses bien.
Un branleur protégé, le rêve pour foutre le bordel !
La plupart des syndicalistes que je connais sont aussi intègres que
toi ou moi. Il y a évidemment des cons et des brebis galeuses comme
partout, mais pas plus qu'ailleurs.
Mais pas moins. Beaucoup font du militantisme de compensation, refusent
les promotions, sont persuadés d'avoir une mission divine.
Et alors ? Si on commence à analyser les motivations profondes et pas
toujours conscientes de chacun dans la vie... De mon point de vue tu as
aussi un discours un exalté et mystique sur les conceptions sociales.
--
"...sois ouvert aux idées des autres pour peu qu'elles aillent dans le
même sens que les tiennes.", ST sur fr.bio.medecine
Et donc ? Je peux te citer aussi plein de cas croisés de branleurs/fumistes/véreux non syndiqués.
Oui, mais ils ne sont pas protégés, et ça fait une sacrée différence.
Un délégué du personnel n'est pas protégé contre toutes les conneries qu'il fait.
Oh que si. Pour virer un salarié protégé, il faut se lever de bonne heure.
Non, il faut juste avoir un motif valable de licenciement, et pas un motif bidon ou branlant comme c'est souvent le cas.
Il faut accumuler un dossier haut de 1 mètre.
Pour licencier quelqu'un pour faute, il faut un dossier solide sinon ça ne tient pas aux prudhommes si le gars attaque et qu'il est bien défendu. La différence pour le salarié protégé est en quelque sorte que le "jugement" se fait a priori et pas a posteriori.
Ce qui change pour un salarié protégé c'est que le motif doit être validé en amont par l'inspection du travail. Si l'inspecteur du travail le retoque, c'est que le motif n'est pas très solide.
On
Ce qui est clair en tous c'est qu'on voit tout de suite où tu situes : pas en observateur, mais avec la direction.
a voulu licencier 2 salariés protégés, avec les mêmes motifs : faute lourde : violences, sabotage etc.
Oui, le truc classique dès qu'il y a des actions syndicales, si les mecs ne font pas hyper attention à ce qu'ils font il peuvent se faire facilement piéger.
L'inspecteur du travail retoque. On a fait un recours hiérarchique au ministre. Décision du ministre : un licenciement accepté, l'autre refusé. Comme ça, tout le monde a gagné.
Notre prof de judo, on n'a pas pu le coincer, et pourtant.
Un huissier qui aurait constaté qu'il était au judo pendant ses heures de délégation aurait été un bon point de départ.
Faire faire un contrôle en dehors de l'entreprise, là où on n'a aucun pouvoir hiérarchique, ç’aurait été déclarer la guerre au syndicat qui aurait défendu son représentant de toutes façons. On a préféré laisser couler ; il était moins gênant dehors que dedans. Et puis, enseigner le judo gratis montrait que c'était un type bien.
Faudrait savoir...
D'ailleurs, dès qu'un branleur/fumiste/véreux se sentait dans le collimateur, il se présentait aux élections. Même non élu, il était protégé pendant 6 mois.
Et les syndicats l'accueillent à bras ouverts, tu penses bien. Un branleur protégé, le rêve pour foutre le bordel !
La plupart des syndicalistes que je connais sont aussi intègres que toi ou moi. Il y a évidemment des cons et des brebis galeuses comme partout, mais pas plus qu'ailleurs.
Mais pas moins. Beaucoup font du militantisme de compensation, refusent les promotions, sont persuadés d'avoir une mission divine.
Et alors ? Si on commence à analyser les motivations profondes et pas toujours conscientes de chacun dans la vie... De mon point de vue tu as aussi un discours un exalté et mystique sur les conceptions sociales. -- "...sois ouvert aux idées des autres pour peu qu'elles aillent dans le même sens que les tiennes.", ST sur fr.bio.medecine