Sur un dédié virtuel, quelles sont les ressources en commun au niveau
logiciel ?
S'il y en a aucune, le seul intérêt est-il de payer moins cher pour un
mini-dédié ?
Là où je bosse, on utilise un bladecenter & un san ibm. Il suffit de quelques secondes pour déplacer une machine d'une lame vers une autre.
Oui, avec un san totalement redondant ca le fait bien. Mais à quel prix...
Christophe Baegert
Emmel wrote:
A mon avis, le seul avantage, c'est par rapport à un hébergement mutualisé : l'ensemble des ressources (BP, CPU, RAM, ...) ne peut être monopolisé par un utilisateur (script merdique, ...)
Oui, mais vous risquez aussi de pâtir vous-même des limitations en question les jours de pics sur votre site !!! D'ailleurs sur un hébergement mutualisé sérieux il y a en principe des dispositifs de surveillance de ce qui tourne pour éviter les accidents (sans ça un mutu ne peut pas tourner de manière fiable). Au final, hormis les cas de virtualisation basé sur un SAN dans un contexte grand compte ou pour faire tourner autre chose que le classique linux-apache-mysql-php, l'intérêt d'un dédié virtuel est faible AMHA.
Emmel wrote:
A mon avis, le seul avantage, c'est par rapport à un hébergement
mutualisé : l'ensemble des ressources (BP, CPU, RAM, ...) ne peut être
monopolisé par un utilisateur (script merdique, ...)
Oui, mais vous risquez aussi de pâtir vous-même des limitations en question
les jours de pics sur votre site !!! D'ailleurs sur un hébergement
mutualisé sérieux il y a en principe des dispositifs de surveillance de ce
qui tourne pour éviter les accidents (sans ça un mutu ne peut pas tourner
de manière fiable). Au final, hormis les cas de virtualisation basé sur un
SAN dans un contexte grand compte ou pour faire tourner autre chose que le
classique linux-apache-mysql-php, l'intérêt d'un dédié virtuel est faible
AMHA.
A mon avis, le seul avantage, c'est par rapport à un hébergement mutualisé : l'ensemble des ressources (BP, CPU, RAM, ...) ne peut être monopolisé par un utilisateur (script merdique, ...)
Oui, mais vous risquez aussi de pâtir vous-même des limitations en question les jours de pics sur votre site !!! D'ailleurs sur un hébergement mutualisé sérieux il y a en principe des dispositifs de surveillance de ce qui tourne pour éviter les accidents (sans ça un mutu ne peut pas tourner de manière fiable). Au final, hormis les cas de virtualisation basé sur un SAN dans un contexte grand compte ou pour faire tourner autre chose que le classique linux-apache-mysql-php, l'intérêt d'un dédié virtuel est faible AMHA.
Marc Plunian
Emmel wrote:
A mon avis, le seul avantage, c'est par rapport à un hébergement mutualisé : l'ensemble des ressources (BP, CPU, RAM, ...) ne peut être monopolisé par un utilisateur (script merdique, ...)
Oui, mais vous risquez aussi de pâtir vous-même des limitations en question les jours de pics sur votre site !!! Non ce n'est pas le cas. En général les caractéristiques annoncées sont
des valeurs minimum garanties. En cas de besoin le système peut allouer (si l'hébergeur a configuré le serveur virtuel pour ça!)des ressources supplémentaires si les autres serveurs n'en n'ont pas besoin. Il est rare que X serveurs virtuels sur la même machine physique aient des pics en même temps. D'ou l'intérêt de la virtualisation. D'ailleurs sur un hébergement
mutualisé sérieux il y a en principe des dispositifs de surveillance de ce qui tourne pour éviter les accidents (sans ça un mutu ne peut pas tourner de manière fiable). Sans doute pour les gros mais chez les petis moyens, il n'y a rien.
Au final, hormis les cas de virtualisation basé sur un
SAN dans un contexte grand compte ou pour faire tourner autre chose que le classique linux-apache-mysql-php, l'intérêt d'un dédié virtuel est faible AMHA. Pas d'accord, on peut très bien augmenté la disponibilité des
applications avec la virtualisation sans passer forcément par des SAN ou NAS. Par exemple, on duplique (de façon autotmatique)le serveur virtuel un ou 2 fois par jour sur un autre serveur, si on plante le serveur de prod, on peut redémarrer en quelques minutes (1/4 d'heure) avec ses données de la veille sur l'autre serveur. C'est quand même mieux que de tout réinstaller (système + applis) et de restaurer ses données (quand on a une sauvegarde !).
Emmel wrote:
A mon avis, le seul avantage, c'est par rapport à un hébergement
mutualisé : l'ensemble des ressources (BP, CPU, RAM, ...) ne peut être
monopolisé par un utilisateur (script merdique, ...)
Oui, mais vous risquez aussi de pâtir vous-même des limitations en question
les jours de pics sur votre site !!!
Non ce n'est pas le cas. En général les caractéristiques annoncées sont
des valeurs minimum garanties. En cas de besoin le système peut allouer
(si l'hébergeur a configuré le serveur virtuel pour ça!)des ressources
supplémentaires si les autres serveurs n'en n'ont pas besoin. Il est
rare que X serveurs virtuels sur la même machine physique
aient des pics en même temps. D'ou l'intérêt de la virtualisation.
D'ailleurs sur un hébergement
mutualisé sérieux il y a en principe des dispositifs de surveillance de ce
qui tourne pour éviter les accidents (sans ça un mutu ne peut pas tourner
de manière fiable).
Sans doute pour les gros mais chez les petis moyens, il n'y a rien.
Au final, hormis les cas de virtualisation basé sur un
SAN dans un contexte grand compte ou pour faire tourner autre chose que le
classique linux-apache-mysql-php, l'intérêt d'un dédié virtuel est faible
AMHA.
Pas d'accord, on peut très bien augmenté la disponibilité des
applications avec la virtualisation sans passer forcément par des SAN ou
NAS. Par exemple, on duplique (de façon autotmatique)le serveur virtuel
un ou 2 fois par jour sur un autre serveur, si on plante le serveur de
prod, on peut redémarrer en quelques minutes (1/4 d'heure) avec ses
données de la veille sur l'autre serveur. C'est quand même mieux que de
tout réinstaller (système + applis) et de restaurer ses données (quand
on a une sauvegarde !).
A mon avis, le seul avantage, c'est par rapport à un hébergement mutualisé : l'ensemble des ressources (BP, CPU, RAM, ...) ne peut être monopolisé par un utilisateur (script merdique, ...)
Oui, mais vous risquez aussi de pâtir vous-même des limitations en question les jours de pics sur votre site !!! Non ce n'est pas le cas. En général les caractéristiques annoncées sont
des valeurs minimum garanties. En cas de besoin le système peut allouer (si l'hébergeur a configuré le serveur virtuel pour ça!)des ressources supplémentaires si les autres serveurs n'en n'ont pas besoin. Il est rare que X serveurs virtuels sur la même machine physique aient des pics en même temps. D'ou l'intérêt de la virtualisation. D'ailleurs sur un hébergement
mutualisé sérieux il y a en principe des dispositifs de surveillance de ce qui tourne pour éviter les accidents (sans ça un mutu ne peut pas tourner de manière fiable). Sans doute pour les gros mais chez les petis moyens, il n'y a rien.
Au final, hormis les cas de virtualisation basé sur un
SAN dans un contexte grand compte ou pour faire tourner autre chose que le classique linux-apache-mysql-php, l'intérêt d'un dédié virtuel est faible AMHA. Pas d'accord, on peut très bien augmenté la disponibilité des
applications avec la virtualisation sans passer forcément par des SAN ou NAS. Par exemple, on duplique (de façon autotmatique)le serveur virtuel un ou 2 fois par jour sur un autre serveur, si on plante le serveur de prod, on peut redémarrer en quelques minutes (1/4 d'heure) avec ses données de la veille sur l'autre serveur. C'est quand même mieux que de tout réinstaller (système + applis) et de restaurer ses données (quand on a une sauvegarde !).
Emmel
Franck wrote:
Emmel wrote:
Ah oui ? et l'OS de la machine virtuelle, les fichiers, les données, ils viennent d'où ? génération spontanée ?
Sur un SAN évidemment.
Faire de la machine virtuelle sur un simple PC puissant, c'est faisable, mais quand on veut faire ça professionnellement, on externalise le stockage des machines virtuelles, on ne se contente pas d'utiliser les disques internes à la machine...
Là où je bosse, on utilise un bladecenter & un san ibm. Il suffit de quelques secondes pour déplacer une machine d'une lame vers une autre.
Tu peux aussi le faire avec des dédiés 'normaux', pas simplement avec des machines virtuelles qui, à ce niveau n'apportent rien (d'où ma remarque)
ML
Franck wrote:
Emmel wrote:
Ah oui ? et l'OS de la machine virtuelle, les fichiers, les données, ils
viennent d'où ? génération spontanée ?
Sur un SAN évidemment.
Faire de la machine virtuelle sur un simple PC puissant, c'est faisable,
mais quand on veut faire ça professionnellement, on externalise le
stockage des machines virtuelles, on ne se contente pas d'utiliser les
disques internes à la machine...
Là où je bosse, on utilise un bladecenter & un san ibm. Il suffit de
quelques secondes pour déplacer une machine d'une lame vers une autre.
Tu peux aussi le faire avec des dédiés 'normaux', pas simplement avec
des machines virtuelles qui, à ce niveau n'apportent rien (d'où ma remarque)
Ah oui ? et l'OS de la machine virtuelle, les fichiers, les données, ils viennent d'où ? génération spontanée ?
Sur un SAN évidemment.
Faire de la machine virtuelle sur un simple PC puissant, c'est faisable, mais quand on veut faire ça professionnellement, on externalise le stockage des machines virtuelles, on ne se contente pas d'utiliser les disques internes à la machine...
Là où je bosse, on utilise un bladecenter & un san ibm. Il suffit de quelques secondes pour déplacer une machine d'une lame vers une autre.
Tu peux aussi le faire avec des dédiés 'normaux', pas simplement avec des machines virtuelles qui, à ce niveau n'apportent rien (d'où ma remarque)
ML
Mihamina Rakotomandimby
Franck wrote:
Ceci dit, la plupart des hébergeurs proposant du dédié et du dédié virtuel proposent également de l'infogérance.
Une infogérance qui coute 3 ou 4 fois le serveur n'est pas commercialement viable. Une infogérance qui a le meme cout que le serveur (virtuel),... je me demande en quoi c'est de l'infogérance.
Je dis ça,...
Franck wrote:
Ceci dit, la plupart des hébergeurs proposant du dédié et du dédié
virtuel proposent également de l'infogérance.
Une infogérance qui coute 3 ou 4 fois le serveur n'est pas
commercialement viable.
Une infogérance qui a le meme cout que le serveur (virtuel),... je me
demande en quoi c'est de l'infogérance.
Ceci dit, la plupart des hébergeurs proposant du dédié et du dédié virtuel proposent également de l'infogérance.
Une infogérance qui coute 3 ou 4 fois le serveur n'est pas commercialement viable. Une infogérance qui a le meme cout que le serveur (virtuel),... je me demande en quoi c'est de l'infogérance.
Je dis ça,...
Olivier Masson
de manière fiable). Au final, hormis les cas de virtualisation basé sur un SAN dans un contexte grand compte ou pour faire tourner autre chose que le classique linux-apache-mysql-php, l'intérêt d'un dédié virtuel est faible AMHA.
L'intérêt que j'y vois pour mon compte, c'est d'avoir plus puissant qu'un mutualisé (avoir 20% d'un P4 me semble plus puissant que d'être un des 20, 50, 100 sites d'un mutualisé), de pouvoir modifier les config de PHP, installer PostgreSQL si je veux, installer cacti, installer d'autres appli.
de manière fiable). Au final, hormis les cas de virtualisation basé sur un
SAN dans un contexte grand compte ou pour faire tourner autre chose que le
classique linux-apache-mysql-php, l'intérêt d'un dédié virtuel est faible
AMHA.
L'intérêt que j'y vois pour mon compte, c'est d'avoir plus puissant
qu'un mutualisé (avoir 20% d'un P4 me semble plus puissant que d'être un
des 20, 50, 100 sites d'un mutualisé), de pouvoir modifier les config de
PHP, installer PostgreSQL si je veux, installer cacti, installer
d'autres appli.
de manière fiable). Au final, hormis les cas de virtualisation basé sur un SAN dans un contexte grand compte ou pour faire tourner autre chose que le classique linux-apache-mysql-php, l'intérêt d'un dédié virtuel est faible AMHA.
L'intérêt que j'y vois pour mon compte, c'est d'avoir plus puissant qu'un mutualisé (avoir 20% d'un P4 me semble plus puissant que d'être un des 20, 50, 100 sites d'un mutualisé), de pouvoir modifier les config de PHP, installer PostgreSQL si je veux, installer cacti, installer d'autres appli.
Au final, hormis les cas de virtualisation basé sur un SAN dans un contexte grand compte ou pour faire tourner autre chose que le classique linux-apache-mysql-php, l'intérêt d'un dédié virtuel est faible
Sur un dédié virtuel vous pouvez aussi: - Voir la console système du serveur (pratique si plus de reseau, pb de fichier manque, etc ...) -> pas possible sur un vrai dédié sauf reboot sur un OS de virtualisation - Faire une install depuis le CDROM -> pas possible sur un vrai dédié car vous n'avez pas accès à la machine - Et dans certain cas booter sur une disquette (genre freedos, tomsrtbt)
Et comme sur un vrai dédié, vous pouvez: - Booter en rescue sur un mini OS - avoir jusqu'à 4 disques dur - gérer vos propres partition - faire du RAID soft entre disque dur (même si le serveur hôte est déjà en RAID hard) - faire du LVM sur les disques dur
Au final, hormis les cas de virtualisation basé sur un
SAN dans un contexte grand compte ou pour faire tourner autre chose que le
classique linux-apache-mysql-php, l'intérêt d'un dédié virtuel est faible
Sur un dédié virtuel vous pouvez aussi:
- Voir la console système du serveur (pratique si plus de reseau, pb de
fichier manque, etc ...)
-> pas possible sur un vrai dédié sauf reboot sur un OS de virtualisation
- Faire une install depuis le CDROM
-> pas possible sur un vrai dédié car vous n'avez pas accès à la machine
- Et dans certain cas booter sur une disquette (genre freedos, tomsrtbt)
Et comme sur un vrai dédié, vous pouvez:
- Booter en rescue sur un mini OS
- avoir jusqu'à 4 disques dur
- gérer vos propres partition
- faire du RAID soft entre disque dur (même si le serveur hôte est déjà en
RAID hard)
- faire du LVM sur les disques dur
Au final, hormis les cas de virtualisation basé sur un SAN dans un contexte grand compte ou pour faire tourner autre chose que le classique linux-apache-mysql-php, l'intérêt d'un dédié virtuel est faible
Sur un dédié virtuel vous pouvez aussi: - Voir la console système du serveur (pratique si plus de reseau, pb de fichier manque, etc ...) -> pas possible sur un vrai dédié sauf reboot sur un OS de virtualisation - Faire une install depuis le CDROM -> pas possible sur un vrai dédié car vous n'avez pas accès à la machine - Et dans certain cas booter sur une disquette (genre freedos, tomsrtbt)
Et comme sur un vrai dédié, vous pouvez: - Booter en rescue sur un mini OS - avoir jusqu'à 4 disques dur - gérer vos propres partition - faire du RAID soft entre disque dur (même si le serveur hôte est déjà en RAID hard) - faire du LVM sur les disques dur
Marc Plunian
Franck wrote:
Ceci dit, la plupart des hébergeurs proposant du dédié et du dédié virtuel proposent également de l'infogérance.
Une infogérance qui coute 3 ou 4 fois le serveur n'est pas commercialement viable. Une infogérance qui a le meme cout que le serveur (virtuel),... je me demande en quoi c'est de l'infogérance.
Je dis ça,... ça, ou rien du tout ...
Je ne vois pas en quoi le fait que l'infogérance serait 3 à 4 fois le prix du serveur ne serait pas viable commercialement ?? Et d'abord pour qui ? Le client ou l'hébergeur ? L'infogérance sur un serveur dédié aura le même coût que sur le serveur dédié. Si le client ne sait pas administrer son serveur, c'est le cas de beaucoup d'agences Web, cela leur coutera moins cher de prendre 1 Serveur Virtuel + Infogérance qu'un Serveur dédié + Infogérance.
Franck wrote:
Ceci dit, la plupart des hébergeurs proposant du dédié et du dédié
virtuel proposent également de l'infogérance.
Une infogérance qui coute 3 ou 4 fois le serveur n'est pas
commercialement viable.
Une infogérance qui a le meme cout que le serveur (virtuel),... je me
demande en quoi c'est de l'infogérance.
Je dis ça,...
ça, ou rien du tout ...
Je ne vois pas en quoi le fait que l'infogérance serait 3 à 4 fois le
prix du serveur ne serait pas viable commercialement ?? Et d'abord pour
qui ? Le client ou l'hébergeur ?
L'infogérance sur un serveur dédié aura le même coût que sur le serveur
dédié. Si le client ne sait pas administrer son serveur, c'est le cas de
beaucoup d'agences Web, cela leur coutera moins cher de prendre 1
Serveur Virtuel + Infogérance qu'un Serveur dédié + Infogérance.
Ceci dit, la plupart des hébergeurs proposant du dédié et du dédié virtuel proposent également de l'infogérance.
Une infogérance qui coute 3 ou 4 fois le serveur n'est pas commercialement viable. Une infogérance qui a le meme cout que le serveur (virtuel),... je me demande en quoi c'est de l'infogérance.
Je dis ça,... ça, ou rien du tout ...
Je ne vois pas en quoi le fait que l'infogérance serait 3 à 4 fois le prix du serveur ne serait pas viable commercialement ?? Et d'abord pour qui ? Le client ou l'hébergeur ? L'infogérance sur un serveur dédié aura le même coût que sur le serveur dédié. Si le client ne sait pas administrer son serveur, c'est le cas de beaucoup d'agences Web, cela leur coutera moins cher de prendre 1 Serveur Virtuel + Infogérance qu'un Serveur dédié + Infogérance.
Olivier Masson
Sur un dédié virtuel vous pouvez aussi: - Voir la console système du serveur (pratique si plus de reseau, pb de fichier manque, etc ...) -> pas possible sur un vrai dédié sauf reboot sur un OS de virtualisation - Faire une install depuis le CDROM -> pas possible sur un vrai dédié car vous n'avez pas accès à la machine - Et dans certain cas booter sur une disquette (genre freedos, tomsrtbt)
Je suis un peu tarte : en quoi ai-je davantage accès à la machine sur un dédié virtuel ?
Et comme sur un vrai dédié, vous pouvez: - Booter en rescue sur un mini OS - avoir jusqu'à 4 disques dur - gérer vos propres partition - faire du RAID soft entre disque dur (même si le serveur hôte est déjà en RAID hard) - faire du LVM sur les disques dur
C'est le virtuel haut de gamme ! Jamais vu (donc pas assez cherché) de dédié virtuel ou je pouvais ajouter des disques durs.
Sur un dédié virtuel vous pouvez aussi:
- Voir la console système du serveur (pratique si plus de reseau, pb de
fichier manque, etc ...)
-> pas possible sur un vrai dédié sauf reboot sur un OS de virtualisation
- Faire une install depuis le CDROM
-> pas possible sur un vrai dédié car vous n'avez pas accès à la machine
- Et dans certain cas booter sur une disquette (genre freedos, tomsrtbt)
Je suis un peu tarte : en quoi ai-je davantage accès à la machine sur un
dédié virtuel ?
Et comme sur un vrai dédié, vous pouvez:
- Booter en rescue sur un mini OS
- avoir jusqu'à 4 disques dur
- gérer vos propres partition
- faire du RAID soft entre disque dur (même si le serveur hôte est déjà
en RAID hard)
- faire du LVM sur les disques dur
C'est le virtuel haut de gamme ! Jamais vu (donc pas assez cherché) de
dédié virtuel ou je pouvais ajouter des disques durs.
Sur un dédié virtuel vous pouvez aussi: - Voir la console système du serveur (pratique si plus de reseau, pb de fichier manque, etc ...) -> pas possible sur un vrai dédié sauf reboot sur un OS de virtualisation - Faire une install depuis le CDROM -> pas possible sur un vrai dédié car vous n'avez pas accès à la machine - Et dans certain cas booter sur une disquette (genre freedos, tomsrtbt)
Je suis un peu tarte : en quoi ai-je davantage accès à la machine sur un dédié virtuel ?
Et comme sur un vrai dédié, vous pouvez: - Booter en rescue sur un mini OS - avoir jusqu'à 4 disques dur - gérer vos propres partition - faire du RAID soft entre disque dur (même si le serveur hôte est déjà en RAID hard) - faire du LVM sur les disques dur
C'est le virtuel haut de gamme ! Jamais vu (donc pas assez cherché) de dédié virtuel ou je pouvais ajouter des disques durs.
Christophe Baegert
Olivier Masson wrote:
L'intérêt que j'y vois pour mon compte, c'est d'avoir plus puissant qu'un mutualisé (avoir 20% d'un P4 me semble plus puissant que d'être un des 20, 50, 100 sites d'un mutualisé)
Pas forcément, puisque par moment vous pourriez avoir 80% d'un bi dual-core, d'un quad-core, d'un cluster... C'est tout l'intérêt du mutualisé, ça lisse les courbes de charge puisqu'il est rare que tous les hébergés aient leurs pics de fréquentation en même temps.
, de pouvoir modifier les config de PHP possible en mutu (chez nous en tout cas)
installer PostgreSQL si je veux possible en mutu (chez nous en tout cas)
installer cacti inutile en mutu puisque ce n'est pas à vous de gérer les ressources
installer d'autres appli. Oui, donc on est d'accord, l'intérêt principal c'est d'installer d'autres
choses que le classique LAMP.
Olivier Masson wrote:
L'intérêt que j'y vois pour mon compte, c'est d'avoir plus puissant
qu'un mutualisé (avoir 20% d'un P4 me semble plus puissant que d'être un
des 20, 50, 100 sites d'un mutualisé)
Pas forcément, puisque par moment vous pourriez avoir 80% d'un bi dual-core,
d'un quad-core, d'un cluster... C'est tout l'intérêt du mutualisé, ça lisse
les courbes de charge puisqu'il est rare que tous les hébergés aient leurs
pics de fréquentation en même temps.
, de pouvoir modifier les config de
PHP
possible en mutu (chez nous en tout cas)
installer PostgreSQL si je veux
possible en mutu (chez nous en tout cas)
installer cacti
inutile en mutu puisque ce n'est pas à vous de gérer les ressources
installer
d'autres appli.
Oui, donc on est d'accord, l'intérêt principal c'est d'installer d'autres
L'intérêt que j'y vois pour mon compte, c'est d'avoir plus puissant qu'un mutualisé (avoir 20% d'un P4 me semble plus puissant que d'être un des 20, 50, 100 sites d'un mutualisé)
Pas forcément, puisque par moment vous pourriez avoir 80% d'un bi dual-core, d'un quad-core, d'un cluster... C'est tout l'intérêt du mutualisé, ça lisse les courbes de charge puisqu'il est rare que tous les hébergés aient leurs pics de fréquentation en même temps.
, de pouvoir modifier les config de PHP possible en mutu (chez nous en tout cas)
installer PostgreSQL si je veux possible en mutu (chez nous en tout cas)
installer cacti inutile en mutu puisque ce n'est pas à vous de gérer les ressources
installer d'autres appli. Oui, donc on est d'accord, l'intérêt principal c'est d'installer d'autres