Avis de création d'un site de Notation des Avocats
46 réponses
Girgols
J'ai le plaisir d'informer apr=E8s mures r=E9flexions sur l'opportunit=E9
de la cr=E9ation d'un site de notation d'avocat, que ce type de website
fonctionnera de primes abords selon cette r=E8gle (la r=E9flexion est
encore ouverte) :
Cette notation viendra concr=EAtement refl=E9ter les difficult=E9s
rencontr=E9es par les justiciables avec leurs propres auxiliaires de
justice (chantage financier, abus de toutes sortes)... en particulier,
toute plainte transmise au site de Notation Des Avocats devrat =EAtre
accompagn=E9 d'une proc=E9dure d'envoi de copie au barreau duquel est
rattach=E9 l'avocat... tout plaignant s'engage =E9galement =E0 informer
des suites du dossier (g=E9n=E9ralement les plaintes sont class=E9es sans
suite malgr=E9 des faits av=E9r=E9s)... le site ne faisant que r=E9aliser
une publicit=E9 sur le degr=E9 de confiance (lien de confiance essentiel
entre un avocat et son client).
Si des personnes parmi vous, sont int=E9ress=E9s par ce projet novateur
lequel a besoin de toutes les comp=E9tences idoines et notamment
juridiques et informatiques ainsi de la disponibilit=E9 ces volontaires
peuvent se faire connaitre =E0 cette adresse :
biensur que si!! l'avocat a une obligation de moyens... c'est de resultat qu'il n'a pas obligation!...
obligation de conseil et d'information, il a effectivement obligation de résultat il n'a pas
Droger Jean-Paul
j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!!
-- Pour m'envoyer un mail, remplacer anti par droger et manama par wanadoo; to send me directly a mail replace anti with droger and manama with wanadoo;
j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en
diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!!
--
Pour m'envoyer un mail, remplacer anti par droger et manama par
wanadoo; to send me directly a mail replace anti with droger and manama
with wanadoo;
anti.jean-paul@manama.fr
j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!!
-- Pour m'envoyer un mail, remplacer anti par droger et manama par wanadoo; to send me directly a mail replace anti with droger and manama with wanadoo;
Girouette
Droger Jean-Paul a écrit :
j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!!
Il me semble aussi que c'est immanquable. D'autant que le ouï-dire fonctionne parfaitement. Pas besoin d'internet.
Droger Jean-Paul a écrit :
j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en
diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!!
Il me semble aussi que c'est immanquable.
D'autant que le ouï-dire fonctionne parfaitement.
Pas besoin d'internet.
j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!!
Il me semble aussi que c'est immanquable. D'autant que le ouï-dire fonctionne parfaitement. Pas besoin d'internet.
Girgols
Droger Jean-Paul a écrit :
j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!!
arrêtez d'avoir peur de votre ombre... tout ce qui sera publié dans ce site sera probant démontré et patent autrement dit inattaquable.... de plus un droit de réponse est ouvert au auxiliaire de justice mise en cause. tout avocat connait ce qu'il en coute de s'adonner aux abus de procédure car c'est sanctionné par la loi...et tout procès demeure une publicité dés lors que quelques médias soient alertés sur un harcélement d'un lobby quelconque à l'égard d'une association courageuse qui dénonce les abus d'un groupe de personne surtout si ce groupe est censé faire partie de l'appareil judiciaire.
autrement dit, si un client d'avocat, par exemple, dit avoir été abusé sur les honoraires ou qu'il a été planté par son avocat en pleine procédure et que l'on a effectivement une copie de lettre de réclamation avec l'accusé de réception du barreau auprès duquel cet avocat est rattaché, il est claire que ce problème a eu lieu et qu'il est intéressant de le mentionner et ce tout en offrant à cet avocat le droit de réponse... le public est seul juge.
en outre un livre blanc sera transmis aux associations de consommateurs et aux ministres de tutelle pour pointer les dysfonctionnements et les abus des auxiliaires de justice aux fins de réglementer la profession si nécessaire.
tout le bénéfice est pour le consommateur et le justiciable...
-- Pour m'envoyer un mail, remplacer anti par droger et manama par wanadoo; to send me directly a mail replace anti with droger and manama with wanadoo;
Droger Jean-Paul a écrit :
j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en
diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!!
arrêtez d'avoir peur de votre ombre...
tout ce qui sera publié dans ce site sera probant démontré et patent
autrement dit inattaquable.... de plus un droit de réponse est ouvert
au auxiliaire de justice mise en cause.
tout avocat connait ce qu'il en coute de s'adonner aux abus de
procédure car c'est sanctionné par la loi...et tout procès demeure
une publicité dés lors que quelques médias soient alertés sur un
harcélement d'un lobby quelconque à l'égard d'une association
courageuse qui dénonce les abus d'un groupe de personne surtout si ce
groupe est censé faire partie de l'appareil judiciaire.
autrement dit, si un client d'avocat, par exemple, dit avoir été
abusé sur les honoraires ou qu'il a été planté par son avocat en
pleine procédure et que l'on a effectivement une copie de lettre de
réclamation avec l'accusé de réception du barreau auprès duquel cet
avocat est rattaché, il est claire que ce problème a eu lieu et qu'il
est intéressant de le mentionner et ce tout en offrant à cet avocat
le droit de réponse... le public est seul juge.
en outre un livre blanc sera transmis aux associations de consommateurs
et aux ministres de tutelle pour pointer les dysfonctionnements et les
abus des auxiliaires de justice aux fins de réglementer la profession
si nécessaire.
tout le bénéfice est pour le consommateur et le justiciable...
--
Pour m'envoyer un mail, remplacer anti par droger et manama par
wanadoo; to send me directly a mail replace anti with droger and manama
with wanadoo;
anti.jean-paul@manama.fr
j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!!
arrêtez d'avoir peur de votre ombre... tout ce qui sera publié dans ce site sera probant démontré et patent autrement dit inattaquable.... de plus un droit de réponse est ouvert au auxiliaire de justice mise en cause. tout avocat connait ce qu'il en coute de s'adonner aux abus de procédure car c'est sanctionné par la loi...et tout procès demeure une publicité dés lors que quelques médias soient alertés sur un harcélement d'un lobby quelconque à l'égard d'une association courageuse qui dénonce les abus d'un groupe de personne surtout si ce groupe est censé faire partie de l'appareil judiciaire.
autrement dit, si un client d'avocat, par exemple, dit avoir été abusé sur les honoraires ou qu'il a été planté par son avocat en pleine procédure et que l'on a effectivement une copie de lettre de réclamation avec l'accusé de réception du barreau auprès duquel cet avocat est rattaché, il est claire que ce problème a eu lieu et qu'il est intéressant de le mentionner et ce tout en offrant à cet avocat le droit de réponse... le public est seul juge.
en outre un livre blanc sera transmis aux associations de consommateurs et aux ministres de tutelle pour pointer les dysfonctionnements et les abus des auxiliaires de justice aux fins de réglementer la profession si nécessaire.
tout le bénéfice est pour le consommateur et le justiciable...
-- Pour m'envoyer un mail, remplacer anti par droger et manama par wanadoo; to send me directly a mail replace anti with droger and manama with wanadoo;
news
Girgols wrote:
tout ce qui sera publié dans ce site sera probant démontré et patent autrement dit inattaquable....
completement utopique et irrealiste vous devrez apres avoir déclaré le site ET le fichier nominatif à la cnil (qui dispose de pouvoirs coercitifs depuis 2004) solliciter l'autorisation expresse de chaque individu (hé oui les avocats sont aussi des individus) pour pouvoir l'incorporer à votre fichier.
Girgols wrote:
tout ce qui sera publié dans ce site sera probant démontré et patent
autrement dit inattaquable....
completement utopique et irrealiste
vous devrez apres avoir déclaré le site ET le fichier nominatif à la cnil
(qui dispose de pouvoirs coercitifs depuis 2004) solliciter l'autorisation
expresse de chaque individu (hé oui les avocats sont aussi des individus)
pour pouvoir l'incorporer à votre fichier.
tout ce qui sera publié dans ce site sera probant démontré et patent autrement dit inattaquable....
completement utopique et irrealiste vous devrez apres avoir déclaré le site ET le fichier nominatif à la cnil (qui dispose de pouvoirs coercitifs depuis 2004) solliciter l'autorisation expresse de chaque individu (hé oui les avocats sont aussi des individus) pour pouvoir l'incorporer à votre fichier.
Girgols
Girouette a écrit :
Droger Jean-Paul a écrit :
> j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en > diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!!
Il me semble aussi que c'est immanquable.
indubitablement ça sera un bras de fer, et seuls ceux qui aiment se battre aiment ça
D'autant que le ouï-dire fonctionne parfaitement. Pas besoin d'internet.
le "ouie-dire" via l'Internet va booster ce "ouie-dire"... croyez moi. beaucoup de gens vivent avec leur temps ! les auxilaire de justice ne sont pas à l'abris du droit... les dysfonctionnement doivent être publiée et réglée, une tribune doit être offerte aux victimes des auxiliaires de justice. et notamment le pointage des dysfonctonnement et abus avérés ne pourront être attaqués sans risquer un abus de procédure.
que cette initiative soit condamnable.... ça ferait marrer pas mal de médias. et dés lors la publicité de cette tribune serait assurée.
Girouette a écrit :
Droger Jean-Paul a écrit :
> j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en
> diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!!
Il me semble aussi que c'est immanquable.
indubitablement ça sera un bras de fer, et seuls ceux qui aiment se
battre aiment ça
D'autant que le ouï-dire fonctionne parfaitement.
Pas besoin d'internet.
le "ouie-dire" via l'Internet va booster ce "ouie-dire"... croyez moi.
beaucoup de gens vivent avec leur temps !
les auxilaire de justice ne sont pas à l'abris du droit... les
dysfonctionnement doivent être publiée et réglée, une tribune doit
être offerte aux victimes des auxiliaires de justice. et notamment le
pointage des dysfonctonnement et abus avérés ne pourront être
attaqués sans risquer un abus de procédure.
que cette initiative soit condamnable.... ça ferait marrer pas mal de
médias.
et dés lors la publicité de cette tribune serait assurée.
> j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en > diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!!
Il me semble aussi que c'est immanquable.
indubitablement ça sera un bras de fer, et seuls ceux qui aiment se battre aiment ça
D'autant que le ouï-dire fonctionne parfaitement. Pas besoin d'internet.
le "ouie-dire" via l'Internet va booster ce "ouie-dire"... croyez moi. beaucoup de gens vivent avec leur temps ! les auxilaire de justice ne sont pas à l'abris du droit... les dysfonctionnement doivent être publiée et réglée, une tribune doit être offerte aux victimes des auxiliaires de justice. et notamment le pointage des dysfonctonnement et abus avérés ne pourront être attaqués sans risquer un abus de procédure.
que cette initiative soit condamnable.... ça ferait marrer pas mal de médias. et dés lors la publicité de cette tribune serait assurée.
Girouette
Girgols a écrit :
Girouette a écrit :
> Droger Jean-Paul a écrit : > > > j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en > > diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!! > > Il me semble aussi que c'est immanquable.
indubitablement ça sera un bras de fer, et seuls ceux qui aiment se battre aiment ça
> D'autant que le ouï-dire fonctionne parfaitement. > Pas besoin d'internet.
le "ouie-dire" via l'Internet va booster ce "ouie-dire"... croyez moi. beaucoup de gens vivent avec leur temps ! les auxilaire de justice ne sont pas à l'abris du droit... les dysfonctionnement doivent être publiée et réglée, une tribune doit être offerte aux victimes des auxiliaires de justice. et notamment le pointage des dysfonctonnement et abus avérés ne pourront être attaqués sans risquer un abus de procédure.
que cette initiative soit condamnable.... ça ferait marrer pas mal de médias. et dés lors la publicité de cette tribune serait assurée.
Je ne voulais que vous mettre en garde et bien evidemment, c'est vous qui voyez. Aucun problème en ce qui me concerne.
Girgols a écrit :
Girouette a écrit :
> Droger Jean-Paul a écrit :
>
> > j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en
> > diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!!
>
> Il me semble aussi que c'est immanquable.
indubitablement ça sera un bras de fer, et seuls ceux qui aiment se
battre aiment ça
> D'autant que le ouï-dire fonctionne parfaitement.
> Pas besoin d'internet.
le "ouie-dire" via l'Internet va booster ce "ouie-dire"... croyez moi.
beaucoup de gens vivent avec leur temps !
les auxilaire de justice ne sont pas à l'abris du droit... les
dysfonctionnement doivent être publiée et réglée, une tribune doit
être offerte aux victimes des auxiliaires de justice. et notamment le
pointage des dysfonctonnement et abus avérés ne pourront être
attaqués sans risquer un abus de procédure.
que cette initiative soit condamnable.... ça ferait marrer pas mal de
médias.
et dés lors la publicité de cette tribune serait assurée.
Je ne voulais que vous mettre en garde et bien evidemment, c'est vous
qui
voyez. Aucun problème en ce qui me concerne.
> Droger Jean-Paul a écrit : > > > j'espère que vous avez un bon avocat vous même, les procès en > > diffamation ne vont sans doute pa tarder à pleuvoir!! > > Il me semble aussi que c'est immanquable.
indubitablement ça sera un bras de fer, et seuls ceux qui aiment se battre aiment ça
> D'autant que le ouï-dire fonctionne parfaitement. > Pas besoin d'internet.
le "ouie-dire" via l'Internet va booster ce "ouie-dire"... croyez moi. beaucoup de gens vivent avec leur temps ! les auxilaire de justice ne sont pas à l'abris du droit... les dysfonctionnement doivent être publiée et réglée, une tribune doit être offerte aux victimes des auxiliaires de justice. et notamment le pointage des dysfonctonnement et abus avérés ne pourront être attaqués sans risquer un abus de procédure.
que cette initiative soit condamnable.... ça ferait marrer pas mal de médias. et dés lors la publicité de cette tribune serait assurée.
Je ne voulais que vous mettre en garde et bien evidemment, c'est vous qui voyez. Aucun problème en ce qui me concerne.
Bartleby
On 25 Sep 2006 09:46:46 -0700, "Girgols" wrote:
Cette notation viendra concrêtement refléter les difficultés rencontrées par les justiciables avec leurs propres auxiliaires de justice (chantage financier, abus de toutes sortes)... en particulier, toute plainte transmise au site de Notation Des Avocats devrat être accompagné d'une procédure d'envoi de copie au barreau duquel est rattaché l'avocat... tout plaignant s'engage également à informer des suites du dossier (généralement les plaintes sont classées sans suite malgré des faits avérés)... le site ne faisant que réaliser une publicité sur le degré de confiance (lien de confiance essentiel entre un avocat et son client).
Démarche qui repose sur des a priori négatifs et inexacts. Si des plaintes sont restées sans suite, c'est qu'elles étaient mal fondées. En effet, si l'on peut soupçonner que les barreaux aient tendance à protéger leurs pairs, il convient de rappeler que le Parquet général a la possibilité d'engager des poursuites disciplinaires en cas de refus ou d'inaction du Bâtonnier et égaelment de faire appel de la décision du Conseil de l'Ordre. Il est donc faux et diffamatoire de dire que les plaintes sont généralement classées sans suite dans un but d'étouffement entre copains (surtout quand on connaît l'appétit grandissant des juges quand il s'agit de "bouffer de l'avocat"). Quant à la "notation" de l'avocat, il semble que l'auteur de cette intiative ait une vision un peu lacunaire de la réglementation de la profession, qui exige beaucoup plus de l'avocat que du citoyen lambda, ce qui est naturel. Mettons de côté les agissements qui relèvent d'une qualification pénale (escroquerie, abus de confiance, etc...) qui ne passent pas par le filtre du Barreau et dont la victime peut saisir directement la juridiction pénale. La faute disciplinaire relève d'un examen préalable du barreau concerné sous la surveillance ud parquet général. Outre des infractions déontologiques précises, il y a la notion générale de "manquement à la délicatesse" qui peut entraîner des peines disciplianires allant jusqu'à la radiation. Sur le plan des honoraires, il y a également une procédure de contestation sur laquelle là encore ce sont les juges qui ont le dernier mot. Reste enfin le manquement à l'obligation de moyens ou du devoir de conseil. Il s'agit du droit commun de la responsabilité civile professionelle qui est lui aussi du ressort des tribunaux ordinaires et il existe une jursiprudence abondante de plus en plus sévère pour l'avocat. Je ne crois pas que le justiciable ait une compétence particulière pour donner une note sur ce point. Bref, sur quoi "noter" un avocat ? sur sa bonne tête, la couleur de moquette de son cabinet, le fait qu'il soit cordial et d'un naturel enjoué ou au contraire froid et réservé ? Autant d'éléments essentiellement subjectifs qui génèrent ou non la confiance. Cela dit, et c'est un principe de base dans la profession, la relation de confiance est primordiale, et si l'avocat perd la confiance de son client, quelqu'en soient les motifs, c'est non seulement le droit absolu du client de changer de conseil, mais également le devoir de celui-ci d'abandonner le dossier.
On 25 Sep 2006 09:46:46 -0700, "Girgols" <girgols@alicemail.fr> wrote:
Cette notation viendra concrêtement refléter les difficultés
rencontrées par les justiciables avec leurs propres auxiliaires de
justice (chantage financier, abus de toutes sortes)... en particulier,
toute plainte transmise au site de Notation Des Avocats devrat être
accompagné d'une procédure d'envoi de copie au barreau duquel est
rattaché l'avocat... tout plaignant s'engage également à informer
des suites du dossier (généralement les plaintes sont classées sans
suite malgré des faits avérés)... le site ne faisant que réaliser
une publicité sur le degré de confiance (lien de confiance essentiel
entre un avocat et son client).
Démarche qui repose sur des a priori négatifs et inexacts.
Si des plaintes sont restées sans suite, c'est qu'elles étaient mal
fondées.
En effet, si l'on peut soupçonner que les barreaux aient tendance à
protéger leurs pairs, il convient de rappeler que le Parquet général a
la possibilité d'engager des poursuites disciplinaires en cas de refus
ou d'inaction du Bâtonnier et égaelment de faire appel de la décision
du Conseil de l'Ordre.
Il est donc faux et diffamatoire de dire que les plaintes sont
généralement classées sans suite dans un but d'étouffement entre
copains (surtout quand on connaît l'appétit grandissant des juges
quand il s'agit de "bouffer de l'avocat").
Quant à la "notation" de l'avocat, il semble que l'auteur de cette
intiative ait une vision un peu lacunaire de la réglementation de la
profession, qui exige beaucoup plus de l'avocat que du citoyen lambda,
ce qui est naturel.
Mettons de côté les agissements qui relèvent d'une qualification
pénale (escroquerie, abus de confiance, etc...) qui ne passent pas par
le filtre du Barreau et dont la victime peut saisir directement la
juridiction pénale.
La faute disciplinaire relève d'un examen préalable du barreau
concerné sous la surveillance ud parquet général.
Outre des infractions déontologiques précises, il y a la notion
générale de "manquement à la délicatesse" qui peut entraîner des
peines disciplianires allant jusqu'à la radiation.
Sur le plan des honoraires, il y a également une procédure de
contestation sur laquelle là encore ce sont les juges qui ont le
dernier mot.
Reste enfin le manquement à l'obligation de moyens ou du devoir de
conseil.
Il s'agit du droit commun de la responsabilité civile professionelle
qui est lui aussi du ressort des tribunaux ordinaires et il existe une
jursiprudence abondante de plus en plus sévère pour l'avocat.
Je ne crois pas que le justiciable ait une compétence particulière
pour donner une note sur ce point.
Bref, sur quoi "noter" un avocat ?
sur sa bonne tête, la couleur de moquette de son cabinet, le fait
qu'il soit cordial et d'un naturel enjoué ou au contraire froid et
réservé ?
Autant d'éléments essentiellement subjectifs qui génèrent ou non la
confiance.
Cela dit, et c'est un principe de base dans la profession, la relation
de confiance est primordiale, et si l'avocat perd la confiance de son
client, quelqu'en soient les motifs, c'est non seulement le droit
absolu du client de changer de conseil, mais également le devoir de
celui-ci d'abandonner le dossier.
Cette notation viendra concrêtement refléter les difficultés rencontrées par les justiciables avec leurs propres auxiliaires de justice (chantage financier, abus de toutes sortes)... en particulier, toute plainte transmise au site de Notation Des Avocats devrat être accompagné d'une procédure d'envoi de copie au barreau duquel est rattaché l'avocat... tout plaignant s'engage également à informer des suites du dossier (généralement les plaintes sont classées sans suite malgré des faits avérés)... le site ne faisant que réaliser une publicité sur le degré de confiance (lien de confiance essentiel entre un avocat et son client).
Démarche qui repose sur des a priori négatifs et inexacts. Si des plaintes sont restées sans suite, c'est qu'elles étaient mal fondées. En effet, si l'on peut soupçonner que les barreaux aient tendance à protéger leurs pairs, il convient de rappeler que le Parquet général a la possibilité d'engager des poursuites disciplinaires en cas de refus ou d'inaction du Bâtonnier et égaelment de faire appel de la décision du Conseil de l'Ordre. Il est donc faux et diffamatoire de dire que les plaintes sont généralement classées sans suite dans un but d'étouffement entre copains (surtout quand on connaît l'appétit grandissant des juges quand il s'agit de "bouffer de l'avocat"). Quant à la "notation" de l'avocat, il semble que l'auteur de cette intiative ait une vision un peu lacunaire de la réglementation de la profession, qui exige beaucoup plus de l'avocat que du citoyen lambda, ce qui est naturel. Mettons de côté les agissements qui relèvent d'une qualification pénale (escroquerie, abus de confiance, etc...) qui ne passent pas par le filtre du Barreau et dont la victime peut saisir directement la juridiction pénale. La faute disciplinaire relève d'un examen préalable du barreau concerné sous la surveillance ud parquet général. Outre des infractions déontologiques précises, il y a la notion générale de "manquement à la délicatesse" qui peut entraîner des peines disciplianires allant jusqu'à la radiation. Sur le plan des honoraires, il y a également une procédure de contestation sur laquelle là encore ce sont les juges qui ont le dernier mot. Reste enfin le manquement à l'obligation de moyens ou du devoir de conseil. Il s'agit du droit commun de la responsabilité civile professionelle qui est lui aussi du ressort des tribunaux ordinaires et il existe une jursiprudence abondante de plus en plus sévère pour l'avocat. Je ne crois pas que le justiciable ait une compétence particulière pour donner une note sur ce point. Bref, sur quoi "noter" un avocat ? sur sa bonne tête, la couleur de moquette de son cabinet, le fait qu'il soit cordial et d'un naturel enjoué ou au contraire froid et réservé ? Autant d'éléments essentiellement subjectifs qui génèrent ou non la confiance. Cela dit, et c'est un principe de base dans la profession, la relation de confiance est primordiale, et si l'avocat perd la confiance de son client, quelqu'en soient les motifs, c'est non seulement le droit absolu du client de changer de conseil, mais également le devoir de celui-ci d'abandonner le dossier.
Girgols
Bartleby a écrit :
Démarche qui repose sur des a priori négatifs et inexacts. Si des plaintes sont restées sans suite, c'est qu'elles étaient mal fondées.
je vous arrête tout de suite... j'ai un cas d'un avocat qui devant témoin (notaires) a transmis un faux en écriture visant à atrophier le lien filiale entre un père et sa fille. une plainte judicaire à été déposée, le procureur s'est rapproch é du batonnier pour obtenir des explications de la part de l'avocat concerné et puis plus rien... affaire classée. pourtant les faits sont patents démontrés et devant témoins privilégiés.
En effet, si l'on peut soupçonner que les barreaux aient tendance à protéger leurs pairs,
ce n'est pas une tendance c'est un fait patent
il convient de rappeler que le Parquet général a la possibilité d'engager des poursuites disciplinaires en cas de refus ou d'inaction du Bâtonnier et égaelment de faire appel de la décisi on du Conseil de l'Ordre.
bon a savoir mais lorsqu'un victime voit sa plainte mise au rebus par le batonnier il ne va pas plus loin...
Il est donc faux et diffamatoire de dire que les plaintes sont généralement classées sans suite dans un but d'étouffement entre copains (surtout quand on connaît l'appétit grandissant des juges quand il s'agit de "bouffer de l'avocat").
le contentieux des avocats est grandissant notamment du simple fait de l'obligation de recourir à l'assistance d'un avocat pour des affaires de plus en plus anodine... même devant le tribunal d'instance maintenant. belle clientèle captive en somme et peu de chance pour l'avocat d'être sanctionné en cas d'abus soyez pas naif je vous prie et regarder les faits
Quant à la "notation" de l'avocat, il semble que l'auteur de cette intiative ait une vision un peu lacunaire de la réglementation de la profession, qui exige beaucoup plus de l'avocat que du citoyen lambda, ce qui est naturel.
ceci justifie la notation... et ceci appuyé sur des faits patents de la rupture du lien de confiance.
Mettons de côté les agissements qui relèvent d'une qualification pénale (escroquerie, abus de confiance, etc...) qui ne passent pas par le filtre du Barreau et dont la victime peut saisir directement la juridiction pénale.
j'ai déjà dit plus haut comment le procureur s'en réfère au batonnier avant de classer l'affaire... le serpent se mord la queue système pervers
La faute disciplinaire relève d'un examen préalable du barreau concerné sous la surveillance ud parquet général. Outre des infractions déontologiques précises, il y a la notion générale de "manquement à la délicatesse" qui peut entraîner des peines disciplianires allant jusqu'à la radiation.
huhuhu ! les faits sont différents à cette théorie
Sur le plan des honoraires, il y a également une procédure de contestation sur laquelle là encore ce sont les juges qui ont le dernier mot.
ah bon, les juges sont saisis pour les litiges concernant les honoraires ? quelle jurididiction est compétente ? où lire la jurisprudence svp ?
Reste enfin le manquement à l'obligation de moyens ou du devoir de conseil.
obligation de moyen, de conseil et d'information
Il s'agit du droit commun de la responsabilité civile professionelle qui est lui aussi du ressort des tribunaux ordinaires et il existe une jursiprudence abondante de plus en plus sévère pour l'avocat. Je ne crois pas que le justiciable ait une compétence particulière pour donner une note sur ce point.
laissez moi devinez ! vous êtes un auxiliaire de justice... un avocat !
Bref, sur quoi "noter" un avocat ?
sur le lien de confiance, l'efficience et l'absence de litige sur les honoaires. sur ce point la profession doit admettre que tout professionnel doit pour des procédure ordinaire effectuer une estimation (sans quoi ce n'est pas un pro) voire même proposer un système de forfait pour ces procédures courantes. or ce n'est pas le cas... c'est loin de l'être.
sur sa bonne tête, la couleur de moquette de son cabinet, le fait qu'il soit cordial et d'un naturel enjoué ou au contraire froid et réservé ?
huhuhu
Autant d'éléments essentiellement subjectifs qui génèrent ou non la confiance.
n'exagérez pas...
Cela dit, et c'est un principe de base dans la profession, la relation de confiance est primordiale,
essentielle !
et si l'avocat perd la confiance de son client, quelqu'en soient les motifs, c'est non seulement le droit absolu du client de changer de conseil, mais également le devoir de celui-ci d'abandonner le dossier.
et ainsi après paiement des honoraires par le client des avocats empoche ces honoraire sans rien effectué et mettent à la porte leur clientèle... ça se voit croyez moi.
de nombreuses brebis galeuse sont dans la place, le but du site de de donner tribune aux victimes et de séparer le bon grain de l'ivraie
Bartleby a écrit :
Démarche qui repose sur des a priori négatifs et inexacts.
Si des plaintes sont restées sans suite, c'est qu'elles étaient mal
fondées.
je vous arrête tout de suite... j'ai un cas d'un avocat qui devant
témoin (notaires) a transmis un faux en écriture visant à atrophier
le lien filiale entre un père et sa fille.
une plainte judicaire à été déposée, le procureur s'est rapproch é
du batonnier pour obtenir des explications de la part de l'avocat
concerné et puis plus rien...
affaire classée.
pourtant les faits sont patents démontrés et devant témoins
privilégiés.
En effet, si l'on peut soupçonner que les barreaux aient tendance à
protéger leurs pairs,
ce n'est pas une tendance c'est un fait patent
il convient de rappeler que le Parquet général a
la possibilité d'engager des poursuites disciplinaires en cas de refus
ou d'inaction du Bâtonnier et égaelment de faire appel de la décisi on
du Conseil de l'Ordre.
bon a savoir mais lorsqu'un victime voit sa plainte mise au rebus par
le batonnier il ne va pas plus loin...
Il est donc faux et diffamatoire de dire que les plaintes sont
généralement classées sans suite dans un but d'étouffement entre
copains (surtout quand on connaît l'appétit grandissant des juges
quand il s'agit de "bouffer de l'avocat").
le contentieux des avocats est grandissant notamment du simple fait de
l'obligation de recourir à l'assistance d'un avocat pour des affaires
de plus en plus anodine... même devant le tribunal d'instance
maintenant.
belle clientèle captive en somme et peu de chance pour l'avocat
d'être sanctionné en cas d'abus
soyez pas naif je vous prie et regarder les faits
Quant à la "notation" de l'avocat, il semble que l'auteur de cette
intiative ait une vision un peu lacunaire de la réglementation de la
profession, qui exige beaucoup plus de l'avocat que du citoyen lambda,
ce qui est naturel.
ceci justifie la notation... et ceci appuyé sur des faits patents de
la rupture du lien de confiance.
Mettons de côté les agissements qui relèvent d'une qualification
pénale (escroquerie, abus de confiance, etc...) qui ne passent pas par
le filtre du Barreau et dont la victime peut saisir directement la
juridiction pénale.
j'ai déjà dit plus haut comment le procureur s'en réfère au
batonnier avant de classer l'affaire... le serpent se mord la queue
système pervers
La faute disciplinaire relève d'un examen préalable du barreau
concerné sous la surveillance ud parquet général.
Outre des infractions déontologiques précises, il y a la notion
générale de "manquement à la délicatesse" qui peut entraîner des
peines disciplianires allant jusqu'à la radiation.
huhuhu !
les faits sont différents à cette théorie
Sur le plan des honoraires, il y a également une procédure de
contestation sur laquelle là encore ce sont les juges qui ont le
dernier mot.
ah bon, les juges sont saisis pour les litiges concernant les
honoraires ?
quelle jurididiction est compétente ?
où lire la jurisprudence svp ?
Reste enfin le manquement à l'obligation de moyens ou du devoir de
conseil.
obligation de moyen, de conseil et d'information
Il s'agit du droit commun de la responsabilité civile professionelle
qui est lui aussi du ressort des tribunaux ordinaires et il existe une
jursiprudence abondante de plus en plus sévère pour l'avocat.
Je ne crois pas que le justiciable ait une compétence particulière
pour donner une note sur ce point.
laissez moi devinez !
vous êtes un auxiliaire de justice... un avocat !
Bref, sur quoi "noter" un avocat ?
sur le lien de confiance, l'efficience et l'absence de litige sur les
honoaires.
sur ce point la profession doit admettre que tout professionnel doit
pour des procédure ordinaire effectuer une estimation (sans quoi ce
n'est pas un pro) voire même proposer un système de forfait pour ces
procédures courantes.
or ce n'est pas le cas... c'est loin de l'être.
sur sa bonne tête, la couleur de moquette de son cabinet, le fait
qu'il soit cordial et d'un naturel enjoué ou au contraire froid et
réservé ?
huhuhu
Autant d'éléments essentiellement subjectifs qui génèrent ou non la
confiance.
n'exagérez pas...
Cela dit, et c'est un principe de base dans la profession, la relation
de confiance est primordiale,
essentielle !
et si l'avocat perd la confiance de son
client, quelqu'en soient les motifs, c'est non seulement le droit
absolu du client de changer de conseil, mais également le devoir de
celui-ci d'abandonner le dossier.
et ainsi après paiement des honoraires par le client des avocats
empoche ces honoraire sans rien effectué et mettent à la porte leur
clientèle... ça se voit croyez moi.
de nombreuses brebis galeuse sont dans la place, le but du site de de
donner tribune aux victimes et de séparer le bon grain de l'ivraie
Démarche qui repose sur des a priori négatifs et inexacts. Si des plaintes sont restées sans suite, c'est qu'elles étaient mal fondées.
je vous arrête tout de suite... j'ai un cas d'un avocat qui devant témoin (notaires) a transmis un faux en écriture visant à atrophier le lien filiale entre un père et sa fille. une plainte judicaire à été déposée, le procureur s'est rapproch é du batonnier pour obtenir des explications de la part de l'avocat concerné et puis plus rien... affaire classée. pourtant les faits sont patents démontrés et devant témoins privilégiés.
En effet, si l'on peut soupçonner que les barreaux aient tendance à protéger leurs pairs,
ce n'est pas une tendance c'est un fait patent
il convient de rappeler que le Parquet général a la possibilité d'engager des poursuites disciplinaires en cas de refus ou d'inaction du Bâtonnier et égaelment de faire appel de la décisi on du Conseil de l'Ordre.
bon a savoir mais lorsqu'un victime voit sa plainte mise au rebus par le batonnier il ne va pas plus loin...
Il est donc faux et diffamatoire de dire que les plaintes sont généralement classées sans suite dans un but d'étouffement entre copains (surtout quand on connaît l'appétit grandissant des juges quand il s'agit de "bouffer de l'avocat").
le contentieux des avocats est grandissant notamment du simple fait de l'obligation de recourir à l'assistance d'un avocat pour des affaires de plus en plus anodine... même devant le tribunal d'instance maintenant. belle clientèle captive en somme et peu de chance pour l'avocat d'être sanctionné en cas d'abus soyez pas naif je vous prie et regarder les faits
Quant à la "notation" de l'avocat, il semble que l'auteur de cette intiative ait une vision un peu lacunaire de la réglementation de la profession, qui exige beaucoup plus de l'avocat que du citoyen lambda, ce qui est naturel.
ceci justifie la notation... et ceci appuyé sur des faits patents de la rupture du lien de confiance.
Mettons de côté les agissements qui relèvent d'une qualification pénale (escroquerie, abus de confiance, etc...) qui ne passent pas par le filtre du Barreau et dont la victime peut saisir directement la juridiction pénale.
j'ai déjà dit plus haut comment le procureur s'en réfère au batonnier avant de classer l'affaire... le serpent se mord la queue système pervers
La faute disciplinaire relève d'un examen préalable du barreau concerné sous la surveillance ud parquet général. Outre des infractions déontologiques précises, il y a la notion générale de "manquement à la délicatesse" qui peut entraîner des peines disciplianires allant jusqu'à la radiation.
huhuhu ! les faits sont différents à cette théorie
Sur le plan des honoraires, il y a également une procédure de contestation sur laquelle là encore ce sont les juges qui ont le dernier mot.
ah bon, les juges sont saisis pour les litiges concernant les honoraires ? quelle jurididiction est compétente ? où lire la jurisprudence svp ?
Reste enfin le manquement à l'obligation de moyens ou du devoir de conseil.
obligation de moyen, de conseil et d'information
Il s'agit du droit commun de la responsabilité civile professionelle qui est lui aussi du ressort des tribunaux ordinaires et il existe une jursiprudence abondante de plus en plus sévère pour l'avocat. Je ne crois pas que le justiciable ait une compétence particulière pour donner une note sur ce point.
laissez moi devinez ! vous êtes un auxiliaire de justice... un avocat !
Bref, sur quoi "noter" un avocat ?
sur le lien de confiance, l'efficience et l'absence de litige sur les honoaires. sur ce point la profession doit admettre que tout professionnel doit pour des procédure ordinaire effectuer une estimation (sans quoi ce n'est pas un pro) voire même proposer un système de forfait pour ces procédures courantes. or ce n'est pas le cas... c'est loin de l'être.
sur sa bonne tête, la couleur de moquette de son cabinet, le fait qu'il soit cordial et d'un naturel enjoué ou au contraire froid et réservé ?
huhuhu
Autant d'éléments essentiellement subjectifs qui génèrent ou non la confiance.
n'exagérez pas...
Cela dit, et c'est un principe de base dans la profession, la relation de confiance est primordiale,
essentielle !
et si l'avocat perd la confiance de son client, quelqu'en soient les motifs, c'est non seulement le droit absolu du client de changer de conseil, mais également le devoir de celui-ci d'abandonner le dossier.
et ainsi après paiement des honoraires par le client des avocats empoche ces honoraire sans rien effectué et mettent à la porte leur clientèle... ça se voit croyez moi.
de nombreuses brebis galeuse sont dans la place, le but du site de de donner tribune aux victimes et de séparer le bon grain de l'ivraie