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Besoin d'aide pour mes parents

37 réponses
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Romain Coutant
Bonjour,
Voici l'histoire atypique de mes parents. Ils ont acheté une maison en 1978
à Chantonnay. La maison se trouve éloignée de la route et il y a un chemin
qui permet de l'atteindre. Dans les actes de vente, un droit de passage
était accordé mais le notaire de l'époque a oublié de le recopier. Un voisin
s'est installé dans la maison voisine en 1979. Il a emprunté le chemin
pendant 10 ans et l'a acquis vers 1993. Depuis, il est en procédure avec mes
parents pour les empêcher de passer. Il a perdu 4 fois en justice mais la
justice lui a donné raison en 2002 et mes parents n'ont plus aucun recours.
Les voilà privés d'accès à leur maison depuis décembre 2002 sans possibilité
de remettre du fioul ou d'entretenir le jardin et la maison qui "pourrie"
sur place. Heureusement que mon père est principal de collège à Nantes et
qu'il bénéficie d'un logement de fonction sinon ils seraient à la rue.
L'ancien propriétaire a été condamné à faire un nouveau chemin à mes
parents. Il s'agit d'une personne âgée qui n'a pas forcément les moyens.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là ! Comme pour nous harceler, la voisine
(car son mari est décédé) somme mes parents de retirer les lignes
électriques, téléphoniques et même les canalisations d'eau qui passent sur
ce chemin ! C'est quand même formidable ! Bientôt, il faudra détruire la
maison parce qu'elle lui fait de l'ombre !
Je pense que cela s'appelle du harcelement car depuis plus de 10 ans, mes
parents subissent les attaques répétées de ces voisins et l'intervention des
médias est notre seul recours car la maison est en train de tomber en ruine
sans entretien.

Merci de vos commentaires avisés !

Cordialement,


Romain Coutant

10 réponses

1 2 3 4
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Ruddy
Et la responsabilité du notaire, alors ?

"Romain Coutant" a écrit
: Bonjour,
: Voici l'histoire atypique de mes parents....
Avatar
Ruddy
Alors qu'attendent-ils donc ? la prescription ?
Le notaire est assuré ! Il n'y a qu'à lui demander
de signaler le sinistre à sa compagnie d'assurances.
La preuve doit pouvoir se faire simplement par la
comparaison des actes de ventes.

"Romain Coutant" a écrit dans le
message de news: bf624v$70u$
:
: > Et la responsabilité du notaire, alors ?
: >
:
: L'avocat de mes parents a indiqué à l'ancien propriétaire
qu'il pouvait se
: retourner contre le notaire qui a effectué la vente.
:
: Romain
:
:
Avatar
Romain Coutant
> La preuve doit pouvoir se faire simplement par la
comparaison des actes de ventes.



Je viens de demander des précisions à mes parents.
Voici le problème :
Ils ont un retrouvé un acte de vente de 1826 où le droit de passage est
noté.
Mais lors de la vente du chemin en 1993, le notaire ne s'est pas préoccupé
de savoir s'il y avait un droit de passage et nous ne disposons pas des
actes de vente entre 1826 et la vente de 1993 (Car entre temps, il y a eu
plusieurs ventes et l'oubli a pu avoir lieu lors de ces ventes successives).

Et nous ne savons pas où chercher les actes de vente de 1826 à 1993.

Merci de votre aide

Romain
Avatar
Ruddy
Recherches à "Origine de propriété" dans l'acte de 1993.
Ensuite, je pense que tu dois pouvoir te procurer une copie
à l'enregistrement (Services fiscaux).
Bonne chance.

"Romain Coutant"
:
: > La preuve doit pouvoir se faire simplement par la
: > comparaison des actes de ventes.
:
: Je viens de demander des précisions à mes parents.
: Voici le problème :
: Ils ont un retrouvé un acte de vente de 1826 où le droit
de passage est
: noté.
: Mais lors de la vente du chemin en 1993, le notaire ne
s'est pas préoccupé
: de savoir s'il y avait un droit de passage et nous ne
disposons pas des
: actes de vente entre 1826 et la vente de 1993 (Car entre
temps, il y a eu
: plusieurs ventes et l'oubli a pu avoir lieu lors de ces
ventes successives).
:
: Et nous ne savons pas où chercher les actes de vente de
1826 à 1993.
:
: Merci de votre aide
:
: Romain
:
:
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Romain Coutant
> L'avocat aurait dû se procurer le précédent acte notairé et faire valoir


ce
passage;
Pourquoi de droit de passage, même oublié dans le nouvel acte, n'a-t-il


pas
pu être reconnu ?
Il doit y avoir autre chose qui fait que le voisin a gagné.



Bonjour,

Voici l'autre chose :

La juge a considéré que l'enclavement de la maison avait eu lieu à la vente
en 1978 par découpage d'une parcelle. Or ceci est inexacte mais le jugement
était déjà en appel et nous ne pouvons plus fournir les preuves de ceci
(alors que nous les détenons).
Nous devons aller en cassation : C'est à dire 2 ans d'attente et une maison
à l'abandon.

Voila.

Merci

Romain
Avatar
Romain Coutant
> Recherches à "Origine de propriété" dans l'acte de 1993.
Ensuite, je pense que tu dois pouvoir te procurer une copie
à l'enregistrement (Services fiscaux).
Bonne chance.



Merci !
On va essayer de remonter bien que notre précédente tentative n'est pas
aboutie.

Au fait, une personne à le droit de demander le détournement des lignes
téléphoniques et des canalisations d'eau ?

Romain
Avatar
Laurent CAMPEDEL
Mais, comment un juge a-t-il pu justifier sa décision d'enclaver une
parcelle (à plus forte raison contenant une maison) à contrario des articles
retranscrit plus bas ? Le fait que le droit de passage n'ai pas été fait
dans les règles à la séparation de la parcelle ne devrait pas supprimer le
droit de passage, mais amener à sa négociation avec le fond idoines, qui
n'est peut-être par contre pas celui de votre voisin (voir Ar 683)....... Le
fait qu'un juge vous empêche de rentrer chez vous me semble contraire à bien
des choses, à commencer par la loi et le bon sens...
Êtes-vous sur de tout nous dire ?
Si c'est le cas, je pense qu'effectivement un passage à quelques émissions
de télé adéquates pourrait faire avancer les choses.....


--

Laurent CAMPEDEL

(rajouter un l devant l'adresse pour me répondre)


Extrait du code civil :

Article 682
(Loi du 20 août 1881 Journal Officiel du 26 août 1881)
(Loi nº 67-1253 du 30 décembre 1967 art. 36 Journal Officiel du 3 janvier
1968 rectificatif JORF 12 janvier)

Le propriétaire dont les fonds sont enclavés et qui n'a sur la voie
publique aucune issue, ou qu'une issue insuffisante, soit pour
l'exploitation agricole, industrielle ou commerciale de sa propriété, soit
pour la réalisation d'opérations de construction ou de lotissement, est
fondé à réclamer sur les fonds de ses voisins un passage suffisant pour
assurer la desserte complète de ses fonds, à charge d'une indemnité
proportionnée au dommage qu'il peut occasionner.

Article 683
(Loi du 20 août 1881 Journal Officiel du 26 août 1881)

Le passage doit régulièrement être pris du côté où le trajet est le plus
court du fonds enclavé à la voie publique.
Néanmoins, il doit être fixé dans l'endroit le moins dommageable à celui
sur le fonds duquel il est accordé.

Article 684
(Loi du 20 août 1881 Journal Officiel du 26 août 1881)

Si l'enclave résulte de la division d'un fonds par suite d'une vente,
d'un échange, d'un partage ou de tout autre contrat, le passage ne peut être

demandé que sur les terrains qui ont fait l'objet de ces actes.
Toutefois, dans le cas où un passage suffisant ne pourrait être établi
sur les fonds divisés, l'article 682 serait applicable.

Article 685
(Loi du 20 août 1881 Journal Officiel du 26 août 1881)

L'assiette et le mode de servitude de passage pour cause d'enclave sont
déterminés par trente ans d'usage continu.
L'action en indemnité, dans le cas prévu par l'article 682, est
prescriptible, et le passage peut être continué, quoique l'action en
indemnité ne soit plus recevable.



"Romain Coutant" a écrit dans le message de
news:bf64jq$eqe$

> L'avocat aurait dû se procurer le précédent acte notairé et faire valoir
ce
> passage;
> Pourquoi de droit de passage, même oublié dans le nouvel acte, n'a-t-il
pas
> pu être reconnu ?
> Il doit y avoir autre chose qui fait que le voisin a gagné.

Bonjour,

Voici l'autre chose :

La juge a considéré que l'enclavement de la maison avait eu lieu à la


vente
en 1978 par découpage d'une parcelle. Or ceci est inexacte mais le


jugement
était déjà en appel et nous ne pouvons plus fournir les preuves de ceci
(alors que nous les détenons).
Nous devons aller en cassation : C'est à dire 2 ans d'attente et une


maison
à l'abandon.

Voila.

Merci

Romain




Avatar
Romain Coutant
> Mais, comment un juge a-t-il pu justifier sa décision d'enclaver une
parcelle (à plus forte raison contenant une maison) à contrario des


articles
retranscrit plus bas ? Le fait que le droit de passage n'ai pas été fait
dans les règles à la séparation de la parcelle ne devrait pas supprimer le
droit de passage, mais amener à sa négociation avec le fond idoines, qui
n'est peut-être par contre pas celui de votre voisin (voir Ar 683).......


Le
fait qu'un juge vous empêche de rentrer chez vous me semble contraire à


bien
des choses, à commencer par la loi et le bon sens...



C'est l'avis de tout le monde ici !

Êtes-vous sur de tout nous dire ?



Je vous assure ! Ah non, notre voisine ayant son mari décédé se retrouve
mère seule de 5 enfants ! Peut-être que cela a pesé auprès de la juge bien
qu'un juge se doit d'être impartial !!!
La juge s'est appuyé sur l'article 684 bien que cela ne soit pas applicable
car l'enclavement ne vient pas d'une division de la parcelle initiale.
Pour savoir le pourquoi du comment, il faudrait demander à Mme la juge !!!
Nous avon essayer de faire valoir les trente annuités d'utilisation car le
chemin existait déjà en 1826 et a été empierré en 1950 et des brouettes !
Nous avons même retrouvé la personne qui a empierré le chemin !
Mais tout cela n'a pas décidé le juge !
C'est à ne plus rien comprendre dans la justice...


Si c'est le cas, je pense qu'effectivement un passage à quelques émissions
de télé adéquates pourrait faire avancer les choses.....




Nous sommes aussi de cet avis.


--

Laurent CAMPEDEL




Romain Coutant

(rajouter un l devant l'adresse pour me répondre)


Extrait du code civil :

Article 682
(Loi du 20 août 1881 Journal Officiel du 26 août 1881)
(Loi nº 67-1253 du 30 décembre 1967 art. 36 Journal Officiel du 3 janvier
1968 rectificatif JORF 12 janvier)

Le propriétaire dont les fonds sont enclavés et qui n'a sur la voie
publique aucune issue, ou qu'une issue insuffisante, soit pour
l'exploitation agricole, industrielle ou commerciale de sa propriété, soit
pour la réalisation d'opérations de construction ou de lotissement, est
fondé à réclamer sur les fonds de ses voisins un passage suffisant pour
assurer la desserte complète de ses fonds, à charge d'une indemnité
proportionnée au dommage qu'il peut occasionner.

Article 683
(Loi du 20 août 1881 Journal Officiel du 26 août 1881)

Le passage doit régulièrement être pris du côté où le trajet est le


plus
court du fonds enclavé à la voie publique.
Néanmoins, il doit être fixé dans l'endroit le moins dommageable à


celui
sur le fonds duquel il est accordé.

Article 684
(Loi du 20 août 1881 Journal Officiel du 26 août 1881)

Si l'enclave résulte de la division d'un fonds par suite d'une vente,
d'un échange, d'un partage ou de tout autre contrat, le passage ne peut


être

demandé que sur les terrains qui ont fait l'objet de ces actes.
Toutefois, dans le cas où un passage suffisant ne pourrait être établi
sur les fonds divisés, l'article 682 serait applicable.

Article 685
(Loi du 20 août 1881 Journal Officiel du 26 août 1881)

L'assiette et le mode de servitude de passage pour cause d'enclave sont
déterminés par trente ans d'usage continu.
L'action en indemnité, dans le cas prévu par l'article 682, est
prescriptible, et le passage peut être continué, quoique l'action en
indemnité ne soit plus recevable.



"Romain Coutant" a écrit dans le message de
news:bf64jq$eqe$
>
> > L'avocat aurait dû se procurer le précédent acte notairé et faire


valoir
> ce
> > passage;
> > Pourquoi de droit de passage, même oublié dans le nouvel acte,


n'a-t-il
> pas
> > pu être reconnu ?
> > Il doit y avoir autre chose qui fait que le voisin a gagné.
>
> Bonjour,
>
> Voici l'autre chose :
>
> La juge a considéré que l'enclavement de la maison avait eu lieu à la
vente
> en 1978 par découpage d'une parcelle. Or ceci est inexacte mais le
jugement
> était déjà en appel et nous ne pouvons plus fournir les preuves de ceci
> (alors que nous les détenons).
> Nous devons aller en cassation : C'est à dire 2 ans d'attente et une
maison
> à l'abandon.
>
> Voila.
>
> Merci
>
> Romain
>
>




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Ruddy
Le fait qu'un juge vous empêche de rentrer chez vous me
semble contraire à
: bien des choses, à commencer par la loi et le bon sens...
:
Ca, ça n'étonne personne...
Avatar
pierre giles
Manifestement, ya qqe chose que l'on ne compend pas du tout :

le juge a l'obligation d'imposer une servitude pour desenclaver un terrain
c'est une certitude, je pense que vous devriez nous donner
in extenso le contenu du dernier jugement.

Le fait que la voisine soit seule ou pas n'a rien a voir
cinq gosses non plus quand a sa raison d'attaquer : on ne pige pas !!!
Si vous voulez de l'aide il faut donner je pense le dernier jugement.


"Romain Coutant" a écrit dans le message de news:
bf69td$v2f$

> Mais, comment un juge a-t-il pu justifier sa décision d'enclaver une
> parcelle (à plus forte raison contenant une maison) à contrario des
articles
> retranscrit plus bas ? Le fait que le droit de passage n'ai pas été fait
> dans les règles à la séparation de la parcelle ne devrait pas supprimer


le
> droit de passage, mais amener à sa négociation avec le fond idoines, qui
> n'est peut-être par contre pas celui de votre voisin (voir Ar


683).......
Le
> fait qu'un juge vous empêche de rentrer chez vous me semble contraire à
bien
> des choses, à commencer par la loi et le bon sens...

C'est l'avis de tout le monde ici !

> Êtes-vous sur de tout nous dire ?

Je vous assure ! Ah non, notre voisine ayant son mari décédé se retrouve
mère seule de 5 enfants ! Peut-être que cela a pesé auprès de la juge bien
qu'un juge se doit d'être impartial !!!
La juge s'est appuyé sur l'article 684 bien que cela ne soit pas


applicable
car l'enclavement ne vient pas d'une division de la parcelle initiale.
Pour savoir le pourquoi du comment, il faudrait demander à Mme la juge !!!
Nous avon essayer de faire valoir les trente annuités d'utilisation car le
chemin existait déjà en 1826 et a été empierré en 1950 et des brouettes !
Nous avons même retrouvé la personne qui a empierré le chemin !
Mais tout cela n'a pas décidé le juge !
C'est à ne plus rien comprendre dans la justice...


> Si c'est le cas, je pense qu'effectivement un passage à quelques


émissions
> de télé adéquates pourrait faire avancer les choses.....
>

Nous sommes aussi de cet avis.

>
> --
>
> Laurent CAMPEDEL
>

Romain Coutant

> (rajouter un l devant l'adresse pour me répondre)
>
>
> Extrait du code civil :
>
> Article 682
> (Loi du 20 août 1881 Journal Officiel du 26 août 1881)
> (Loi nº 67-1253 du 30 décembre 1967 art. 36 Journal Officiel du 3


janvier
> 1968 rectificatif JORF 12 janvier)
>
> Le propriétaire dont les fonds sont enclavés et qui n'a sur la voie
> publique aucune issue, ou qu'une issue insuffisante, soit pour
> l'exploitation agricole, industrielle ou commerciale de sa propriété,


soit
> pour la réalisation d'opérations de construction ou de lotissement, est
> fondé à réclamer sur les fonds de ses voisins un passage suffisant pour
> assurer la desserte complète de ses fonds, à charge d'une indemnité
> proportionnée au dommage qu'il peut occasionner.
>
> Article 683
> (Loi du 20 août 1881 Journal Officiel du 26 août 1881)
>
> Le passage doit régulièrement être pris du côté où le trajet est le
plus
> court du fonds enclavé à la voie publique.
> Néanmoins, il doit être fixé dans l'endroit le moins dommageable à
celui
> sur le fonds duquel il est accordé.
>
> Article 684
> (Loi du 20 août 1881 Journal Officiel du 26 août 1881)
>
> Si l'enclave résulte de la division d'un fonds par suite d'une vente,
> d'un échange, d'un partage ou de tout autre contrat, le passage ne peut
être
>
> demandé que sur les terrains qui ont fait l'objet de ces actes.
> Toutefois, dans le cas où un passage suffisant ne pourrait être


établi
> sur les fonds divisés, l'article 682 serait applicable.
>
> Article 685
> (Loi du 20 août 1881 Journal Officiel du 26 août 1881)
>
> L'assiette et le mode de servitude de passage pour cause d'enclave


sont
> déterminés par trente ans d'usage continu.
> L'action en indemnité, dans le cas prévu par l'article 682, est
> prescriptible, et le passage peut être continué, quoique l'action en
> indemnité ne soit plus recevable.
>
>
>
> "Romain Coutant" a écrit dans le message de
> news:bf64jq$eqe$
> >
> > > L'avocat aurait dû se procurer le précédent acte notairé et faire
valoir
> > ce
> > > passage;
> > > Pourquoi de droit de passage, même oublié dans le nouvel acte,
n'a-t-il
> > pas
> > > pu être reconnu ?
> > > Il doit y avoir autre chose qui fait que le voisin a gagné.
> >
> > Bonjour,
> >
> > Voici l'autre chose :
> >
> > La juge a considéré que l'enclavement de la maison avait eu lieu à la
> vente
> > en 1978 par découpage d'une parcelle. Or ceci est inexacte mais le
> jugement
> > était déjà en appel et nous ne pouvons plus fournir les preuves de


ceci
> > (alors que nous les détenons).
> > Nous devons aller en cassation : C'est à dire 2 ans d'attente et une
> maison
> > à l'abandon.
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> > Voila.
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> > Merci
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