Je crois surtout que l'usage du terme "investissement" est impropre pour
tout matériel amateur. Pour un amateur tout matériel est une DEPENSE,
puisqu'il n'en tire par défintion aucun profitn monétaire...
Le problème ne réside pas à mon avis dans le coût d'une chambre n oire
(ça n'a jamais été aussi bas pour du matériel très pro d'occase ). Mais
dans l'absence de certitudes sur la durée d'utilisation possible de la
chose (et, dans une moindre mesure de la disparition de certains
matériels de photo-finishing du marché: glaceuses rotatives par
exemple). Même en écartant du problème une disparition rapide des
fournitures (chères depuis la pseudo crise de l'argent, fabriquée de
toute pièce dans les années 80 de toutes façons), le coeur de la
question réside dans une augmentation exponentielle de leur coût dans un
avenir proche... Ainsi notre questionneur peut-il se retrouver dans les
5 ans à venir avec un matériuel parfaitement opérationnel mais qu'il
n'aura plus les moyens financiers d'alimenter.
Le problème du cout d'un laboratoire de tirage numérique est à mon avis
mal posé dans votre réponse.
Compter l'ordinateur (machine multi-tâches s'il en est et dont vous
comme lui disposez déjà) dans le coût est irréaliste (idem pour s es
mises à niveau ou remplacements) c'est injuste pour l'imprimante dont
seul le suircoût par rapport à une imprimante bureautique est à pre ndre
en compte, idem pour le type de scanner.
Si on se limite à des tirages A3+ (on en fait pas tous les jours) le
coût de l'imprimante est de l'ordre de 500 et on peut espérer une durée
de vie de l'ordre de 5 ans.
Un scanner permettant des résultats de
qualité jusqu'à cette dimension maxi avec des négas correctement ex posés
ne dépsse plus aujourd'hui les 500 (les scanners dédiés films pe uvent
être intrinséquement plus performants, mais à cette dimension et av ec un
peu plus de boulot sous Photoshop, le principal inconvénient perceptible
des scanners à plat est une certaine lenteur de numérisation).
Et si la discussion reste ouverte pour le N&B, elle est close pour la
couleur dès lors qu'on s'écarte des tirages "amateurs" 10x15 en Minil ab
et avec la couleur on a aussi la possibilité de maîtriser son image de
la prise de vue à l'épreuve finale, pour un coût largement inféri eur à
celui d'un tirage en labo pro.
Vous êtes très optimiste... Je pense que dans 5 ans il deviendra tr ès
difficile de se procurer des consommables argentiques de tirage de
qualité à un prix décent.
Quant à la durée, seule les épreuves argentiques bien traitées (m ais
aussi bien conservées et non continuellement exposées à la lumièr e ont
une telle durée... J'ai beaucoup d'archives photographiques familiales
qui remontent assez loin dans le temps. Bien que nombre d'entre-elles
aient été réalisées en leur temps par des pros, toutes ne sont pl us de
la première fraîcheur.
Or, nous somme loin du temps où les encres s'effçaient au bout de
quelques mois comme sur les premières imprimantes jets d'encres.
Dans le domaine de l'image fixe, il y a une limite naturelle,
biologique, à ce progrès : notre vision et son imperfection.
vraiment que les gens soeint assez stupides pour acheter sans fin des
produits peut-être réellement plus performants sur le plan scientifiq ue
mais dont les progrès ne seront plus perceptibles?
Dans une dizaine d'années au plus, l'image fixe numérique aura atteint
ou dépassé l'image fixe argentique sur le plan qualitatif dans tous l es
domaines. Il ne faut pas se faire d'illusion.
Autant il est absurde (comme le font certains ici) de proclamer que le
numérique petit format a déjà atteint le niveau de l'argentique sans
l'artifice d'un lissage et d'une interpolation logiciels, autant il est
assez ridicule de penser que le numérique n'y arrivera jamais.
Dès lors, le problème ne se posera plus. Seuls ceux qui voudront
s'amuser avec la chimie traditionnelle (si les "ensectés" de l'idéolo gie
éco(n)logique les laissent faire) y trouveront un quelconque intérê t.
L'ennui c'est que ce genre de loisirs sera devenu inabordable au plus
grand nombre dans l'intervalle.
encore que le taux de profit moyen soit réputé "suffisant"... Je ne
pense pas que le faible nombre d'amateur enroe passionné de labo N&B au
point de vouloir pratiqué la chambre noire (et encore réduit par
l'abandon de ceux qui ne pourront plus suivre financièrement) laisse une
niche suffisamment juteuse pour rendre viable ce genre de production
industrielle encore très longtemps...
Soyons réalistes et efficaces... La finalité c'est quand même l'ima ge et
sa qualité.
Je crois surtout que l'usage du terme "investissement" est impropre pour
tout matériel amateur. Pour un amateur tout matériel est une DEPENSE,
puisqu'il n'en tire par défintion aucun profitn monétaire...
Le problème ne réside pas à mon avis dans le coût d'une chambre n oire
(ça n'a jamais été aussi bas pour du matériel très pro d'occase ). Mais
dans l'absence de certitudes sur la durée d'utilisation possible de la
chose (et, dans une moindre mesure de la disparition de certains
matériels de photo-finishing du marché: glaceuses rotatives par
exemple). Même en écartant du problème une disparition rapide des
fournitures (chères depuis la pseudo crise de l'argent, fabriquée de
toute pièce dans les années 80 de toutes façons), le coeur de la
question réside dans une augmentation exponentielle de leur coût dans un
avenir proche... Ainsi notre questionneur peut-il se retrouver dans les
5 ans à venir avec un matériuel parfaitement opérationnel mais qu'il
n'aura plus les moyens financiers d'alimenter.
Le problème du cout d'un laboratoire de tirage numérique est à mon avis
mal posé dans votre réponse.
Compter l'ordinateur (machine multi-tâches s'il en est et dont vous
comme lui disposez déjà) dans le coût est irréaliste (idem pour s es
mises à niveau ou remplacements) c'est injuste pour l'imprimante dont
seul le suircoût par rapport à une imprimante bureautique est à pre ndre
en compte, idem pour le type de scanner.
Si on se limite à des tirages A3+ (on en fait pas tous les jours) le
coût de l'imprimante est de l'ordre de 500 et on peut espérer une durée
de vie de l'ordre de 5 ans.
Un scanner permettant des résultats de
qualité jusqu'à cette dimension maxi avec des négas correctement ex posés
ne dépsse plus aujourd'hui les 500 (les scanners dédiés films pe uvent
être intrinséquement plus performants, mais à cette dimension et av ec un
peu plus de boulot sous Photoshop, le principal inconvénient perceptible
des scanners à plat est une certaine lenteur de numérisation).
Et si la discussion reste ouverte pour le N&B, elle est close pour la
couleur dès lors qu'on s'écarte des tirages "amateurs" 10x15 en Minil ab
et avec la couleur on a aussi la possibilité de maîtriser son image de
la prise de vue à l'épreuve finale, pour un coût largement inféri eur à
celui d'un tirage en labo pro.
Vous êtes très optimiste... Je pense que dans 5 ans il deviendra tr ès
difficile de se procurer des consommables argentiques de tirage de
qualité à un prix décent.
Quant à la durée, seule les épreuves argentiques bien traitées (m ais
aussi bien conservées et non continuellement exposées à la lumièr e ont
une telle durée... J'ai beaucoup d'archives photographiques familiales
qui remontent assez loin dans le temps. Bien que nombre d'entre-elles
aient été réalisées en leur temps par des pros, toutes ne sont pl us de
la première fraîcheur.
Or, nous somme loin du temps où les encres s'effçaient au bout de
quelques mois comme sur les premières imprimantes jets d'encres.
Dans le domaine de l'image fixe, il y a une limite naturelle,
biologique, à ce progrès : notre vision et son imperfection.
vraiment que les gens soeint assez stupides pour acheter sans fin des
produits peut-être réellement plus performants sur le plan scientifiq ue
mais dont les progrès ne seront plus perceptibles?
Dans une dizaine d'années au plus, l'image fixe numérique aura atteint
ou dépassé l'image fixe argentique sur le plan qualitatif dans tous l es
domaines. Il ne faut pas se faire d'illusion.
Autant il est absurde (comme le font certains ici) de proclamer que le
numérique petit format a déjà atteint le niveau de l'argentique sans
l'artifice d'un lissage et d'une interpolation logiciels, autant il est
assez ridicule de penser que le numérique n'y arrivera jamais.
Dès lors, le problème ne se posera plus. Seuls ceux qui voudront
s'amuser avec la chimie traditionnelle (si les "ensectés" de l'idéolo gie
éco(n)logique les laissent faire) y trouveront un quelconque intérê t.
L'ennui c'est que ce genre de loisirs sera devenu inabordable au plus
grand nombre dans l'intervalle.
encore que le taux de profit moyen soit réputé "suffisant"... Je ne
pense pas que le faible nombre d'amateur enroe passionné de labo N&B au
point de vouloir pratiqué la chambre noire (et encore réduit par
l'abandon de ceux qui ne pourront plus suivre financièrement) laisse une
niche suffisamment juteuse pour rendre viable ce genre de production
industrielle encore très longtemps...
Soyons réalistes et efficaces... La finalité c'est quand même l'ima ge et
sa qualité.
Je crois surtout que l'usage du terme "investissement" est impropre pour
tout matériel amateur. Pour un amateur tout matériel est une DEPENSE,
puisqu'il n'en tire par défintion aucun profitn monétaire...
Le problème ne réside pas à mon avis dans le coût d'une chambre n oire
(ça n'a jamais été aussi bas pour du matériel très pro d'occase ). Mais
dans l'absence de certitudes sur la durée d'utilisation possible de la
chose (et, dans une moindre mesure de la disparition de certains
matériels de photo-finishing du marché: glaceuses rotatives par
exemple). Même en écartant du problème une disparition rapide des
fournitures (chères depuis la pseudo crise de l'argent, fabriquée de
toute pièce dans les années 80 de toutes façons), le coeur de la
question réside dans une augmentation exponentielle de leur coût dans un
avenir proche... Ainsi notre questionneur peut-il se retrouver dans les
5 ans à venir avec un matériuel parfaitement opérationnel mais qu'il
n'aura plus les moyens financiers d'alimenter.
Le problème du cout d'un laboratoire de tirage numérique est à mon avis
mal posé dans votre réponse.
Compter l'ordinateur (machine multi-tâches s'il en est et dont vous
comme lui disposez déjà) dans le coût est irréaliste (idem pour s es
mises à niveau ou remplacements) c'est injuste pour l'imprimante dont
seul le suircoût par rapport à une imprimante bureautique est à pre ndre
en compte, idem pour le type de scanner.
Si on se limite à des tirages A3+ (on en fait pas tous les jours) le
coût de l'imprimante est de l'ordre de 500 et on peut espérer une durée
de vie de l'ordre de 5 ans.
Un scanner permettant des résultats de
qualité jusqu'à cette dimension maxi avec des négas correctement ex posés
ne dépsse plus aujourd'hui les 500 (les scanners dédiés films pe uvent
être intrinséquement plus performants, mais à cette dimension et av ec un
peu plus de boulot sous Photoshop, le principal inconvénient perceptible
des scanners à plat est une certaine lenteur de numérisation).
Et si la discussion reste ouverte pour le N&B, elle est close pour la
couleur dès lors qu'on s'écarte des tirages "amateurs" 10x15 en Minil ab
et avec la couleur on a aussi la possibilité de maîtriser son image de
la prise de vue à l'épreuve finale, pour un coût largement inféri eur à
celui d'un tirage en labo pro.
Vous êtes très optimiste... Je pense que dans 5 ans il deviendra tr ès
difficile de se procurer des consommables argentiques de tirage de
qualité à un prix décent.
Quant à la durée, seule les épreuves argentiques bien traitées (m ais
aussi bien conservées et non continuellement exposées à la lumièr e ont
une telle durée... J'ai beaucoup d'archives photographiques familiales
qui remontent assez loin dans le temps. Bien que nombre d'entre-elles
aient été réalisées en leur temps par des pros, toutes ne sont pl us de
la première fraîcheur.
Or, nous somme loin du temps où les encres s'effçaient au bout de
quelques mois comme sur les premières imprimantes jets d'encres.
Dans le domaine de l'image fixe, il y a une limite naturelle,
biologique, à ce progrès : notre vision et son imperfection.
vraiment que les gens soeint assez stupides pour acheter sans fin des
produits peut-être réellement plus performants sur le plan scientifiq ue
mais dont les progrès ne seront plus perceptibles?
Dans une dizaine d'années au plus, l'image fixe numérique aura atteint
ou dépassé l'image fixe argentique sur le plan qualitatif dans tous l es
domaines. Il ne faut pas se faire d'illusion.
Autant il est absurde (comme le font certains ici) de proclamer que le
numérique petit format a déjà atteint le niveau de l'argentique sans
l'artifice d'un lissage et d'une interpolation logiciels, autant il est
assez ridicule de penser que le numérique n'y arrivera jamais.
Dès lors, le problème ne se posera plus. Seuls ceux qui voudront
s'amuser avec la chimie traditionnelle (si les "ensectés" de l'idéolo gie
éco(n)logique les laissent faire) y trouveront un quelconque intérê t.
L'ennui c'est que ce genre de loisirs sera devenu inabordable au plus
grand nombre dans l'intervalle.
encore que le taux de profit moyen soit réputé "suffisant"... Je ne
pense pas que le faible nombre d'amateur enroe passionné de labo N&B au
point de vouloir pratiqué la chambre noire (et encore réduit par
l'abandon de ceux qui ne pourront plus suivre financièrement) laisse une
niche suffisamment juteuse pour rendre viable ce genre de production
industrielle encore très longtemps...
Soyons réalistes et efficaces... La finalité c'est quand même l'ima ge et
sa qualité.
Michel CADART a écrit :Bonjour,
WEILL wrote:il serait dommage de faire des
tirages sur papier RC (largement battus par les imprimantes).
C'est vrai ? D'autres avis sur le sujet ? des comparatifs ?Ensuite, la technologie de restitution sur imprimante des épreuves
monochrome est de plus en plus au point et il est à peu près certain
(si ce n'est déjà fait avec certains haut de gamme) que le rendu façon
argentique est pratiquement atteint.
Mêmes questions. Quelqu'un peut-il préciser quels sont les imprimantes
qui permettent, en noir et blanc, le même rendu que les papiers
barytés, ou même RC, s'il vous plaît.
Je suis intéressé.
Bonjour,
Supérieur aux résultats en RC : Epson 2100 en A3 (celle dont je dispose
actuellement)et la A4 de même génération équivalente.
Equivalent ou presque au tirages barytés classiques sur papier de
qualité la dernière gamme Epson (R 2400 en A3, et Stylus Pro 4800 en A2)
Avec trois encre dédiées: noir, gris foncé et gris clair et un profil
spécial intégré).
En N&B la qualité de reproduction et la richesse des tonalités ont
progressé considérablement avec les encres en gamme de gris.
La durée des tirages aussi puisqu'en exposition non permanente à la
luimière on annonce des durées supérieures à 200 ans avec le supports
homologués (mais ce point reste à vérifier).
Pour un comparatif personnel je n'ai rien de graphique à proposer (je
suis actuellement dans un logement provisioire pendant les travaux sur
mon nouveau "home"... Mais déjàç avec la 2100 j'ai eu l'opccasion de
comparer avec le même négatif tiré sur RC, c'est sans appel (en
particulier le côté pur des blancs et la saturation des noirs)... La
gamme de gris intermédiaires est meilleur mais n'égale pas celle d'un
baryté de haute qualité...
Pour les nouveaux modèles, j'ai simplement eu l'occasion de voir des
tirages et ils sont vraiment extraordinaires... Je pense que seul un
grand maître du labo N&B pourrait faire mieux et encore.
Ne crachons pas sur les technologies numériques de labo, même si nous
restons attaché à l'argentique en prise de vue. Je pense qu'elles seront
au même niveau que l'argentique à très brêves échéance (si ce n'est déjà
le cas)... Ce n'est hélas pas la même chose pour la prise de vue dans le
cadre d'un budget "raisonnable".
François P. WEILL
Michel CADART a écrit :
Bonjour,
WEILL wrote:
il serait dommage de faire des
tirages sur papier RC (largement battus par les imprimantes).
C'est vrai ? D'autres avis sur le sujet ? des comparatifs ?
Ensuite, la technologie de restitution sur imprimante des épreuves
monochrome est de plus en plus au point et il est à peu près certain
(si ce n'est déjà fait avec certains haut de gamme) que le rendu façon
argentique est pratiquement atteint.
Mêmes questions. Quelqu'un peut-il préciser quels sont les imprimantes
qui permettent, en noir et blanc, le même rendu que les papiers
barytés, ou même RC, s'il vous plaît.
Je suis intéressé.
Bonjour,
Supérieur aux résultats en RC : Epson 2100 en A3 (celle dont je dispose
actuellement)et la A4 de même génération équivalente.
Equivalent ou presque au tirages barytés classiques sur papier de
qualité la dernière gamme Epson (R 2400 en A3, et Stylus Pro 4800 en A2)
Avec trois encre dédiées: noir, gris foncé et gris clair et un profil
spécial intégré).
En N&B la qualité de reproduction et la richesse des tonalités ont
progressé considérablement avec les encres en gamme de gris.
La durée des tirages aussi puisqu'en exposition non permanente à la
luimière on annonce des durées supérieures à 200 ans avec le supports
homologués (mais ce point reste à vérifier).
Pour un comparatif personnel je n'ai rien de graphique à proposer (je
suis actuellement dans un logement provisioire pendant les travaux sur
mon nouveau "home"... Mais déjàç avec la 2100 j'ai eu l'opccasion de
comparer avec le même négatif tiré sur RC, c'est sans appel (en
particulier le côté pur des blancs et la saturation des noirs)... La
gamme de gris intermédiaires est meilleur mais n'égale pas celle d'un
baryté de haute qualité...
Pour les nouveaux modèles, j'ai simplement eu l'occasion de voir des
tirages et ils sont vraiment extraordinaires... Je pense que seul un
grand maître du labo N&B pourrait faire mieux et encore.
Ne crachons pas sur les technologies numériques de labo, même si nous
restons attaché à l'argentique en prise de vue. Je pense qu'elles seront
au même niveau que l'argentique à très brêves échéance (si ce n'est déjà
le cas)... Ce n'est hélas pas la même chose pour la prise de vue dans le
cadre d'un budget "raisonnable".
François P. WEILL
Michel CADART a écrit :Bonjour,
WEILL wrote:il serait dommage de faire des
tirages sur papier RC (largement battus par les imprimantes).
C'est vrai ? D'autres avis sur le sujet ? des comparatifs ?Ensuite, la technologie de restitution sur imprimante des épreuves
monochrome est de plus en plus au point et il est à peu près certain
(si ce n'est déjà fait avec certains haut de gamme) que le rendu façon
argentique est pratiquement atteint.
Mêmes questions. Quelqu'un peut-il préciser quels sont les imprimantes
qui permettent, en noir et blanc, le même rendu que les papiers
barytés, ou même RC, s'il vous plaît.
Je suis intéressé.
Bonjour,
Supérieur aux résultats en RC : Epson 2100 en A3 (celle dont je dispose
actuellement)et la A4 de même génération équivalente.
Equivalent ou presque au tirages barytés classiques sur papier de
qualité la dernière gamme Epson (R 2400 en A3, et Stylus Pro 4800 en A2)
Avec trois encre dédiées: noir, gris foncé et gris clair et un profil
spécial intégré).
En N&B la qualité de reproduction et la richesse des tonalités ont
progressé considérablement avec les encres en gamme de gris.
La durée des tirages aussi puisqu'en exposition non permanente à la
luimière on annonce des durées supérieures à 200 ans avec le supports
homologués (mais ce point reste à vérifier).
Pour un comparatif personnel je n'ai rien de graphique à proposer (je
suis actuellement dans un logement provisioire pendant les travaux sur
mon nouveau "home"... Mais déjàç avec la 2100 j'ai eu l'opccasion de
comparer avec le même négatif tiré sur RC, c'est sans appel (en
particulier le côté pur des blancs et la saturation des noirs)... La
gamme de gris intermédiaires est meilleur mais n'égale pas celle d'un
baryté de haute qualité...
Pour les nouveaux modèles, j'ai simplement eu l'occasion de voir des
tirages et ils sont vraiment extraordinaires... Je pense que seul un
grand maître du labo N&B pourrait faire mieux et encore.
Ne crachons pas sur les technologies numériques de labo, même si nous
restons attaché à l'argentique en prise de vue. Je pense qu'elles seront
au même niveau que l'argentique à très brêves échéance (si ce n'est déjà
le cas)... Ce n'est hélas pas la même chose pour la prise de vue dans le
cadre d'un budget "raisonnable".
François P. WEILL
damien a écrit :euh... quel est le coût des cartouches d'encre ? et on peut faire
combien de tirages avec une cartouche ?
Reprotes-toi aux indications fallacieuses des fabricants sur ce plan...
Il ne s'agit que de moyenne et celà dépendra en fait du sujet reproduit
Simplement mon expérience de quelques années maintenant m'amène à
constater que sur des tirages A4 le coût n'est pas plus élevé en moyenne
que celui du traitement classique. Mais j'inclus dans cette évaluation
l'absence de bouts d'essai, la possibilité d'une sélection plus
tatilllonne des images dont il est pris la décision de faire un tirage
etc...
c'est pour cela que de nombreux labo pro investissent dans des
agrandisseurs numériques avec des sorties sur du papier argentique n&b...
Non, pour des questions de débit... Pas de qualité car les labos pro à
petit et moyen débit de haute qualité (et non les labos industriels) se
servent couramment d'imprimantes jet d'encre grand format.
La technique de transfert dsur papier phot est surtout utilisée dans les
minilabs sauce numérique genre Fuji "Frontier".
François P. WEILL
damien a écrit :
euh... quel est le coût des cartouches d'encre ? et on peut faire
combien de tirages avec une cartouche ?
Reprotes-toi aux indications fallacieuses des fabricants sur ce plan...
Il ne s'agit que de moyenne et celà dépendra en fait du sujet reproduit
Simplement mon expérience de quelques années maintenant m'amène à
constater que sur des tirages A4 le coût n'est pas plus élevé en moyenne
que celui du traitement classique. Mais j'inclus dans cette évaluation
l'absence de bouts d'essai, la possibilité d'une sélection plus
tatilllonne des images dont il est pris la décision de faire un tirage
etc...
c'est pour cela que de nombreux labo pro investissent dans des
agrandisseurs numériques avec des sorties sur du papier argentique n&b...
Non, pour des questions de débit... Pas de qualité car les labos pro à
petit et moyen débit de haute qualité (et non les labos industriels) se
servent couramment d'imprimantes jet d'encre grand format.
La technique de transfert dsur papier phot est surtout utilisée dans les
minilabs sauce numérique genre Fuji "Frontier".
François P. WEILL
damien a écrit :euh... quel est le coût des cartouches d'encre ? et on peut faire
combien de tirages avec une cartouche ?
Reprotes-toi aux indications fallacieuses des fabricants sur ce plan...
Il ne s'agit que de moyenne et celà dépendra en fait du sujet reproduit
Simplement mon expérience de quelques années maintenant m'amène à
constater que sur des tirages A4 le coût n'est pas plus élevé en moyenne
que celui du traitement classique. Mais j'inclus dans cette évaluation
l'absence de bouts d'essai, la possibilité d'une sélection plus
tatilllonne des images dont il est pris la décision de faire un tirage
etc...
c'est pour cela que de nombreux labo pro investissent dans des
agrandisseurs numériques avec des sorties sur du papier argentique n&b...
Non, pour des questions de débit... Pas de qualité car les labos pro à
petit et moyen débit de haute qualité (et non les labos industriels) se
servent couramment d'imprimantes jet d'encre grand format.
La technique de transfert dsur papier phot est surtout utilisée dans les
minilabs sauce numérique genre Fuji "Frontier".
François P. WEILL
Dans mes bras !
Dans mes bras !
Dans mes bras !
Oui, mais pour un tirage de plus grand format, c'est beaucoup plus cher.
Et puis essaye de faire un 50x75 avec ta bécane :-)))
Oui, mais c'est en général pour de l'éphémère, genre salon, accueil
entreprise
Parce-que c'est la meilleure qualié et la la meilleure tenue au temps.
Oui, mais pour un tirage de plus grand format, c'est beaucoup plus cher.
Et puis essaye de faire un 50x75 avec ta bécane :-)))
Oui, mais c'est en général pour de l'éphémère, genre salon, accueil
entreprise
Parce-que c'est la meilleure qualié et la la meilleure tenue au temps.
Oui, mais pour un tirage de plus grand format, c'est beaucoup plus cher.
Et puis essaye de faire un 50x75 avec ta bécane :-)))
Oui, mais c'est en général pour de l'éphémère, genre salon, accueil
entreprise
Parce-que c'est la meilleure qualié et la la meilleure tenue au temps.
> pas vraiment d'accord
Le traitement d'images (en raw par exemple) me semble demander une
puissance certaine, à moins de patienter des heures devant sa machine
> pas vraiment d'accord
Le traitement d'images (en raw par exemple) me semble demander une
puissance certaine, à moins de patienter des heures devant sa machine
> pas vraiment d'accord
Le traitement d'images (en raw par exemple) me semble demander une
puissance certaine, à moins de patienter des heures devant sa machine
très rapidement (colorants organiques). On peut même estimer que la
conservation de très longue durée des épreuves argentiques noir et blanc
en exposition permanente n'était assurée qu'avec un virage à l'or ...
optimistes. Et de toutes façons pour moi c'est la matrice (en
l'occurence le néga ou la diapo) dont la conservation à très long t erme
importe.
> Parce-que c'est la meilleure qualié et la la meilleure tenue au temps.
L'aspect et la conservation est le cadet des
soucis des propriétaires de labos amateurs...
L'histoire de la conservation est vraiment devenue un légende...
longues durée, autant il n'a jamais été possible (sauf virage à l 'or)
Pourquoi demander d'emblée à la nouvelle technologie de tirage de fai re
mieux?
très rapidement (colorants organiques). On peut même estimer que la
conservation de très longue durée des épreuves argentiques noir et blanc
en exposition permanente n'était assurée qu'avec un virage à l'or ...
optimistes. Et de toutes façons pour moi c'est la matrice (en
l'occurence le néga ou la diapo) dont la conservation à très long t erme
importe.
> Parce-que c'est la meilleure qualié et la la meilleure tenue au temps.
L'aspect et la conservation est le cadet des
soucis des propriétaires de labos amateurs...
L'histoire de la conservation est vraiment devenue un légende...
longues durée, autant il n'a jamais été possible (sauf virage à l 'or)
Pourquoi demander d'emblée à la nouvelle technologie de tirage de fai re
mieux?
très rapidement (colorants organiques). On peut même estimer que la
conservation de très longue durée des épreuves argentiques noir et blanc
en exposition permanente n'était assurée qu'avec un virage à l'or ...
optimistes. Et de toutes façons pour moi c'est la matrice (en
l'occurence le néga ou la diapo) dont la conservation à très long t erme
importe.
> Parce-que c'est la meilleure qualié et la la meilleure tenue au temps.
L'aspect et la conservation est le cadet des
soucis des propriétaires de labos amateurs...
L'histoire de la conservation est vraiment devenue un légende...
longues durée, autant il n'a jamais été possible (sauf virage à l 'or)
Pourquoi demander d'emblée à la nouvelle technologie de tirage de fai re
mieux?
> Si on se limite à des tirages A3+ (on en fait pas tous les jours) le
coût de l'imprimante est de l'ordre de 500€ et on peut espérer une durée
de vie de l'ordre de 5 ans. Un scanner permettant des résultats de
qualité jusqu'à cette dimension maxi avec des négas correctement exposés
ne dépsse plus aujourd'hui les 500€ (les scanners dédiés films peuvent
être intrinséquement plus performants, mais à cette dimension et avec un
peu plus de boulot sous Photoshop, le principal inconvénient perceptible
Vous êtes très optimiste... Je pense que dans 5 ans il deviendra très
difficile de se procurer des consommables argentiques de tirage de
qualité à un prix décent.
> Si on se limite à des tirages A3+ (on en fait pas tous les jours) le
coût de l'imprimante est de l'ordre de 500€ et on peut espérer une durée
de vie de l'ordre de 5 ans. Un scanner permettant des résultats de
qualité jusqu'à cette dimension maxi avec des négas correctement exposés
ne dépsse plus aujourd'hui les 500€ (les scanners dédiés films peuvent
être intrinséquement plus performants, mais à cette dimension et avec un
peu plus de boulot sous Photoshop, le principal inconvénient perceptible
Vous êtes très optimiste... Je pense que dans 5 ans il deviendra très
difficile de se procurer des consommables argentiques de tirage de
qualité à un prix décent.
> Si on se limite à des tirages A3+ (on en fait pas tous les jours) le
coût de l'imprimante est de l'ordre de 500€ et on peut espérer une durée
de vie de l'ordre de 5 ans. Un scanner permettant des résultats de
qualité jusqu'à cette dimension maxi avec des négas correctement exposés
ne dépsse plus aujourd'hui les 500€ (les scanners dédiés films peuvent
être intrinséquement plus performants, mais à cette dimension et avec un
peu plus de boulot sous Photoshop, le principal inconvénient perceptible
Vous êtes très optimiste... Je pense que dans 5 ans il deviendra très
difficile de se procurer des consommables argentiques de tirage de
qualité à un prix décent.
>>
Dans les miens aussi ! En fait, ce qui me dérandge le plus dans la photo
numérique, c'est qu'elle s'accompagne de la mort de l'argentique.
Mais je suis résolu, tant qu'il y aura des clients, il y aura des
fournisseurs, ça marche aussi dans ce sens.
>>
Dans les miens aussi ! En fait, ce qui me dérandge le plus dans la photo
numérique, c'est qu'elle s'accompagne de la mort de l'argentique.
Mais je suis résolu, tant qu'il y aura des clients, il y aura des
fournisseurs, ça marche aussi dans ce sens.
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Dans les miens aussi ! En fait, ce qui me dérandge le plus dans la photo
numérique, c'est qu'elle s'accompagne de la mort de l'argentique.
Mais je suis résolu, tant qu'il y aura des clients, il y aura des
fournisseurs, ça marche aussi dans ce sens.
Je n'ai pas dis autre chose... sauf que l'imprimante qu'il aura achete
au meme prix que son labo, voire plus cher sera au mieux invendable, au
pire inutilisable depuis longtemps, que ce soit par panne ou par
difficulte pour trouver les encres(rapidement, j'entend...)...
Pas sur si l'usage est simplement photographique (mes imprimantes ne me
servent pas a autre chose...)... de meme l'imprimante dedier est quand
meme un minimum...
Soit en gros l'investissement pour un petit labo 24x36... CQFD... Si au
bout de 5 ans, il ne peut plus faire d'agrandissement, il aura amorti
son labo par rapport a une imprimante ;o))
En 24x36, AMHA, c'est largement indispensable, le scanner film... il
suffit d'essayer les deux pour voir la difference (et pour finalement
une difference de prix pas si enorme)
Y'a plein de gens optimiste qui penses qu'ils vont toucher une retraite
... voire meme l'augmenter avec des produits de type boursier... avec
un krach tous les 10 a 20 ans y a de quoi se marrer!
;o)))
Plus (moins) serieusement, je suis assez optimiste pour continuer dans
l'argentique, d'avoir un parc de chambre (tres) grand format non
negligeable et un certain nombre d'autres argentique...
J'ai refais la meme experience (involontaire) avec une HP recente
(moins de 18 mois...)
Dans le domaine de l'image fixe, comme dans tous les autres domaines,
la limite est l'imagination et la creativite qui permettent de sortir
des carcans...
oui, il ya plein d'exemple de creation de besoin nouveau ou de
conditionnement a la consommation
Je n'ai pas dis le contraire, mais un certain nombre d'images seront
aussi et meme plus agreable sur un certain nombre de support...
J'ai sous les yeux deux trois images qui necessitaient le mode de
traitement utilise par le photographe: un paysage couleur tiree
numeriquement sur papier mat (Epson pigmentaire), une nature morte
tiree en cyanotype sur du Capellades (un papier fait a la main en
Espagne) et un nu tire en platine sur un papier japonais (Gampi)...
plein de sensations differente que la seule utilisation du numerique ne
saurait procurer....
Je n'ai jamais parle de qualite intrinseque ou extrineque de
l'argentique ou du numerique (a part une petite evocation de la
conservation)... toute tentative de comparaison est a mon avis
illusoire, les deux (ou les multiples) mediums sont different. Point.
La seul chose qui m'agace un peu c'est la pensee unique qui fait dire
ici ou ailleurs, on ne peut pas faire autrement, tout de facon ca va
disparaitre... comme disait Pierre-Desproges "vivons heureux en
attendant la mort"!
1) tout reste abordable, la chimie se trouve le monde est grand et les
echange... mondialise! la moitie de mes chimie viennent de l'etranger!
2) le mariage analogique (chimique) numerique reste possible dans le
mode d'expresseion photographique: meme en l'absence de materiel
argentique, on peut produire un nega numerique et fabriquer son papier
au charbon, sa gomme ou son platine...
L'avenir nous le dira... mais quelques indices donnent finalement la
niche pour plus vivace qu'initialement predit
Mais parlons aussi du plaisir! du plaisir de faire et du plaisir de
regarder!
Bien amicalement
Je n'ai pas dis autre chose... sauf que l'imprimante qu'il aura achete
au meme prix que son labo, voire plus cher sera au mieux invendable, au
pire inutilisable depuis longtemps, que ce soit par panne ou par
difficulte pour trouver les encres(rapidement, j'entend...)...
Pas sur si l'usage est simplement photographique (mes imprimantes ne me
servent pas a autre chose...)... de meme l'imprimante dedier est quand
meme un minimum...
Soit en gros l'investissement pour un petit labo 24x36... CQFD... Si au
bout de 5 ans, il ne peut plus faire d'agrandissement, il aura amorti
son labo par rapport a une imprimante ;o))
En 24x36, AMHA, c'est largement indispensable, le scanner film... il
suffit d'essayer les deux pour voir la difference (et pour finalement
une difference de prix pas si enorme)
Y'a plein de gens optimiste qui penses qu'ils vont toucher une retraite
... voire meme l'augmenter avec des produits de type boursier... avec
un krach tous les 10 a 20 ans y a de quoi se marrer!
;o)))
Plus (moins) serieusement, je suis assez optimiste pour continuer dans
l'argentique, d'avoir un parc de chambre (tres) grand format non
negligeable et un certain nombre d'autres argentique...
J'ai refais la meme experience (involontaire) avec une HP recente
(moins de 18 mois...)
Dans le domaine de l'image fixe, comme dans tous les autres domaines,
la limite est l'imagination et la creativite qui permettent de sortir
des carcans...
oui, il ya plein d'exemple de creation de besoin nouveau ou de
conditionnement a la consommation
Je n'ai pas dis le contraire, mais un certain nombre d'images seront
aussi et meme plus agreable sur un certain nombre de support...
J'ai sous les yeux deux trois images qui necessitaient le mode de
traitement utilise par le photographe: un paysage couleur tiree
numeriquement sur papier mat (Epson pigmentaire), une nature morte
tiree en cyanotype sur du Capellades (un papier fait a la main en
Espagne) et un nu tire en platine sur un papier japonais (Gampi)...
plein de sensations differente que la seule utilisation du numerique ne
saurait procurer....
Je n'ai jamais parle de qualite intrinseque ou extrineque de
l'argentique ou du numerique (a part une petite evocation de la
conservation)... toute tentative de comparaison est a mon avis
illusoire, les deux (ou les multiples) mediums sont different. Point.
La seul chose qui m'agace un peu c'est la pensee unique qui fait dire
ici ou ailleurs, on ne peut pas faire autrement, tout de facon ca va
disparaitre... comme disait Pierre-Desproges "vivons heureux en
attendant la mort"!
1) tout reste abordable, la chimie se trouve le monde est grand et les
echange... mondialise! la moitie de mes chimie viennent de l'etranger!
2) le mariage analogique (chimique) numerique reste possible dans le
mode d'expresseion photographique: meme en l'absence de materiel
argentique, on peut produire un nega numerique et fabriquer son papier
au charbon, sa gomme ou son platine...
L'avenir nous le dira... mais quelques indices donnent finalement la
niche pour plus vivace qu'initialement predit
Mais parlons aussi du plaisir! du plaisir de faire et du plaisir de
regarder!
Bien amicalement
Je n'ai pas dis autre chose... sauf que l'imprimante qu'il aura achete
au meme prix que son labo, voire plus cher sera au mieux invendable, au
pire inutilisable depuis longtemps, que ce soit par panne ou par
difficulte pour trouver les encres(rapidement, j'entend...)...
Pas sur si l'usage est simplement photographique (mes imprimantes ne me
servent pas a autre chose...)... de meme l'imprimante dedier est quand
meme un minimum...
Soit en gros l'investissement pour un petit labo 24x36... CQFD... Si au
bout de 5 ans, il ne peut plus faire d'agrandissement, il aura amorti
son labo par rapport a une imprimante ;o))
En 24x36, AMHA, c'est largement indispensable, le scanner film... il
suffit d'essayer les deux pour voir la difference (et pour finalement
une difference de prix pas si enorme)
Y'a plein de gens optimiste qui penses qu'ils vont toucher une retraite
... voire meme l'augmenter avec des produits de type boursier... avec
un krach tous les 10 a 20 ans y a de quoi se marrer!
;o)))
Plus (moins) serieusement, je suis assez optimiste pour continuer dans
l'argentique, d'avoir un parc de chambre (tres) grand format non
negligeable et un certain nombre d'autres argentique...
J'ai refais la meme experience (involontaire) avec une HP recente
(moins de 18 mois...)
Dans le domaine de l'image fixe, comme dans tous les autres domaines,
la limite est l'imagination et la creativite qui permettent de sortir
des carcans...
oui, il ya plein d'exemple de creation de besoin nouveau ou de
conditionnement a la consommation
Je n'ai pas dis le contraire, mais un certain nombre d'images seront
aussi et meme plus agreable sur un certain nombre de support...
J'ai sous les yeux deux trois images qui necessitaient le mode de
traitement utilise par le photographe: un paysage couleur tiree
numeriquement sur papier mat (Epson pigmentaire), une nature morte
tiree en cyanotype sur du Capellades (un papier fait a la main en
Espagne) et un nu tire en platine sur un papier japonais (Gampi)...
plein de sensations differente que la seule utilisation du numerique ne
saurait procurer....
Je n'ai jamais parle de qualite intrinseque ou extrineque de
l'argentique ou du numerique (a part une petite evocation de la
conservation)... toute tentative de comparaison est a mon avis
illusoire, les deux (ou les multiples) mediums sont different. Point.
La seul chose qui m'agace un peu c'est la pensee unique qui fait dire
ici ou ailleurs, on ne peut pas faire autrement, tout de facon ca va
disparaitre... comme disait Pierre-Desproges "vivons heureux en
attendant la mort"!
1) tout reste abordable, la chimie se trouve le monde est grand et les
echange... mondialise! la moitie de mes chimie viennent de l'etranger!
2) le mariage analogique (chimique) numerique reste possible dans le
mode d'expresseion photographique: meme en l'absence de materiel
argentique, on peut produire un nega numerique et fabriquer son papier
au charbon, sa gomme ou son platine...
L'avenir nous le dira... mais quelques indices donnent finalement la
niche pour plus vivace qu'initialement predit
Mais parlons aussi du plaisir! du plaisir de faire et du plaisir de
regarder!
Bien amicalement