C'est idiot, ce que tu dis. La protection ne peut pas t'interdire de
faire une copie privée, ce droit est garantie
et il n'est écrit nulle
part qu'une copie de l'oeuvre doit disposer des mêmes mesures de
protection.
C'est idiot, ce que tu dis. La protection ne peut pas t'interdire de
faire une copie privée, ce droit est garantie
et il n'est écrit nulle
part qu'une copie de l'oeuvre doit disposer des mêmes mesures de
protection.
C'est idiot, ce que tu dis. La protection ne peut pas t'interdire de
faire une copie privée, ce droit est garantie
et il n'est écrit nulle
part qu'une copie de l'oeuvre doit disposer des mêmes mesures de
protection.
Et tout ce qui va avec. Le deuxième cas n'est pas trop gênant :
virer les DRM sur un morceau qu'on a acheté devient un délit de
contrefaçon, ce qui au fond n'est pas si choquant que ça.
En effet.Il suffit de réencoder le morceau pour ne pas avoir de problème.
C'est à dire faire de la contrefaçon.
Le premier est potentiellement gênant : si on fait un logiciel open
source qui décode un morceau avec des DRM, on porte clairement
atteinte à la mesure technique utilisée. Bon, ce n'est un délit que
si c'est *dans le but d'_altérer_ la* *protection*, donc écrire un
logiciel qui lit des morceaux de musique avec DRM ne pose a priori
pas de problème, mais c'est tout de même un peu limite !
C'est plus que limite, c'est aussi de la contrefaçon. Les mesures
techniques seront incompatibles avec du code ouvert, si je comprends
bien : soit on utilise du code éventuellement libre mais sans source,
soit on ne peut pas accéder au contenu sans être contrefacteur.
Et tout ce qui va avec. Le deuxième cas n'est pas trop gênant :
virer les DRM sur un morceau qu'on a acheté devient un délit de
contrefaçon, ce qui au fond n'est pas si choquant que ça.
En effet.
Il suffit de réencoder le morceau pour ne pas avoir de problème.
C'est à dire faire de la contrefaçon.
Le premier est potentiellement gênant : si on fait un logiciel open
source qui décode un morceau avec des DRM, on porte clairement
atteinte à la mesure technique utilisée. Bon, ce n'est un délit que
si c'est *dans le but d'_altérer_ la* *protection*, donc écrire un
logiciel qui lit des morceaux de musique avec DRM ne pose a priori
pas de problème, mais c'est tout de même un peu limite !
C'est plus que limite, c'est aussi de la contrefaçon. Les mesures
techniques seront incompatibles avec du code ouvert, si je comprends
bien : soit on utilise du code éventuellement libre mais sans source,
soit on ne peut pas accéder au contenu sans être contrefacteur.
Et tout ce qui va avec. Le deuxième cas n'est pas trop gênant :
virer les DRM sur un morceau qu'on a acheté devient un délit de
contrefaçon, ce qui au fond n'est pas si choquant que ça.
En effet.Il suffit de réencoder le morceau pour ne pas avoir de problème.
C'est à dire faire de la contrefaçon.
Le premier est potentiellement gênant : si on fait un logiciel open
source qui décode un morceau avec des DRM, on porte clairement
atteinte à la mesure technique utilisée. Bon, ce n'est un délit que
si c'est *dans le but d'_altérer_ la* *protection*, donc écrire un
logiciel qui lit des morceaux de musique avec DRM ne pose a priori
pas de problème, mais c'est tout de même un peu limite !
C'est plus que limite, c'est aussi de la contrefaçon. Les mesures
techniques seront incompatibles avec du code ouvert, si je comprends
bien : soit on utilise du code éventuellement libre mais sans source,
soit on ne peut pas accéder au contenu sans être contrefacteur.
Blaise Potard s'est exprimé en ces termes:Donc, tant que ça reste dans le cadre du droit à la copie privée, la
question ne se pose même pas. Réencoder pour son usage personnel, c'est
totalement du droit à la copie privée.
Sauf si les moyens employés pour réencoder circonviennent à la condition
de "non-contournement des protections". Crac, dedans.
Blaise Potard s'est exprimé en ces termes:
Donc, tant que ça reste dans le cadre du droit à la copie privée, la
question ne se pose même pas. Réencoder pour son usage personnel, c'est
totalement du droit à la copie privée.
Sauf si les moyens employés pour réencoder circonviennent à la condition
de "non-contournement des protections". Crac, dedans.
Blaise Potard s'est exprimé en ces termes:Donc, tant que ça reste dans le cadre du droit à la copie privée, la
question ne se pose même pas. Réencoder pour son usage personnel, c'est
totalement du droit à la copie privée.
Sauf si les moyens employés pour réencoder circonviennent à la condition
de "non-contournement des protections". Crac, dedans.
L'amendement VU/Sacem/BSA,
s'il est réel,
le dit, lui.
« Est assimilé à un délit de contrefaçon :
2° Le fait d'éditer ou de mettre à la disposition du public,
sous quelque forme que ce soit, un logiciel autre que celui
visé au 1° ci-dessus, dès lors que, ayant connaissance de ce
que ledit logiciel est manifestement utilisé pour la la mise
à disposition non autorisée au public d'oeuvres ou d'objets
protégés par un droit littéraire et artistique, l'éditeur n'a
pas pris les mesures pour, en l'état de la technique, préserver
ces oeuvres ou objets protégés contre un usage non autorisé. »
L'amendement VU/Sacem/BSA,
s'il est réel,
le dit, lui.
« Est assimilé à un délit de contrefaçon :
2° Le fait d'éditer ou de mettre à la disposition du public,
sous quelque forme que ce soit, un logiciel autre que celui
visé au 1° ci-dessus, dès lors que, ayant connaissance de ce
que ledit logiciel est manifestement utilisé pour la la mise
à disposition non autorisée au public d'oeuvres ou d'objets
protégés par un droit littéraire et artistique, l'éditeur n'a
pas pris les mesures pour, en l'état de la technique, préserver
ces oeuvres ou objets protégés contre un usage non autorisé. »
L'amendement VU/Sacem/BSA,
s'il est réel,
le dit, lui.
« Est assimilé à un délit de contrefaçon :
2° Le fait d'éditer ou de mettre à la disposition du public,
sous quelque forme que ce soit, un logiciel autre que celui
visé au 1° ci-dessus, dès lors que, ayant connaissance de ce
que ledit logiciel est manifestement utilisé pour la la mise
à disposition non autorisée au public d'oeuvres ou d'objets
protégés par un droit littéraire et artistique, l'éditeur n'a
pas pris les mesures pour, en l'état de la technique, préserver
ces oeuvres ou objets protégés contre un usage non autorisé. »
Maintenant, tu tapes "FT Division Contenus" dans
Google, et tu contemples la première page, remplie
de "VU/SACEM/BSA/FT Division Contenus".
Internet, c'est magique.
s'il est réel,
???
S'il n'est pas réel, on a là un foutage de gueule comme
j'en ai rarement vu. Je pense qu'il l'est.
On dirait que le 1° rendrait illégal la distribution d'un
logiciel genre Napster grande époque (façon "manifestement
destiné"). On dirait que le 2° interdirait aussi la
distribution d'un logiciel pas prévu pour ça (et ta soeur)
mais pourtant utilisé ainsi par certains (sans blague !) de
ses utilisateurs (tous les logiciels de p2p, donc...)
C'est ça ?
sauf à prendre les "mesures" pour "préserver" et là
je ne comprends RIEN.
Maintenant, tu tapes "FT Division Contenus" dans
Google, et tu contemples la première page, remplie
de "VU/SACEM/BSA/FT Division Contenus".
Internet, c'est magique.
s'il est réel,
???
S'il n'est pas réel, on a là un foutage de gueule comme
j'en ai rarement vu. Je pense qu'il l'est.
On dirait que le 1° rendrait illégal la distribution d'un
logiciel genre Napster grande époque (façon "manifestement
destiné"). On dirait que le 2° interdirait aussi la
distribution d'un logiciel pas prévu pour ça (et ta soeur)
mais pourtant utilisé ainsi par certains (sans blague !) de
ses utilisateurs (tous les logiciels de p2p, donc...)
C'est ça ?
sauf à prendre les "mesures" pour "préserver" et là
je ne comprends RIEN.
Maintenant, tu tapes "FT Division Contenus" dans
Google, et tu contemples la première page, remplie
de "VU/SACEM/BSA/FT Division Contenus".
Internet, c'est magique.
s'il est réel,
???
S'il n'est pas réel, on a là un foutage de gueule comme
j'en ai rarement vu. Je pense qu'il l'est.
On dirait que le 1° rendrait illégal la distribution d'un
logiciel genre Napster grande époque (façon "manifestement
destiné"). On dirait que le 2° interdirait aussi la
distribution d'un logiciel pas prévu pour ça (et ta soeur)
mais pourtant utilisé ainsi par certains (sans blague !) de
ses utilisateurs (tous les logiciels de p2p, donc...)
C'est ça ?
sauf à prendre les "mesures" pour "préserver" et là
je ne comprends RIEN.
Manuel Leclerc s'est exprimé en ces termes:Maintenant, tu tapes "FT Division Contenus" dans
Google, et tu contemples la première page, remplie
de "VU/SACEM/BSA/FT Division Contenus".
Internet, c'est magique.
C'est un peu ce qui me pose problème.
Et le pourquoi je préfère prendre mes précautions
comme ci-dessous:s'il est réel,
???
S'il n'est pas réel, on a là un foutage de gueule comme
j'en ai rarement vu. Je pense qu'il l'est.
Tant que je n'aurai pas une source autre que EUCD.info
pour me le dire, je n'en sais rien. _Tous_ les liens
trouvés sur Google après recherche pointent vers EUCD.info.
Donc en attendant d'en avoir un autre, par exemple le texte
officiel, je préfère rester au conditionnel plutôt que de
crier au loup.
On dirait que le 1° rendrait illégal la distribution d'un
logiciel genre Napster grande époque (façon "manifestement
destiné"). On dirait que le 2° interdirait aussi la
distribution d'un logiciel pas prévu pour ça (et ta soeur)
mais pourtant utilisé ainsi par certains (sans blague !) de
ses utilisateurs (tous les logiciels de p2p, donc...)
C'est ça ?
C'est comme ça que le texte pourrait être interprété (pour
ne pas dire détourné) par justement les supporters de la loi
DADVSI. En tout cas, c'est comme ça que je le comprends.
sauf à prendre les "mesures" pour "préserver" et là
je ne comprends RIEN.
En gros, je vois ça comme une menace du genre "vous pouvez
faire des copies numériques au titre de la copie privée, [...]
Manuel Leclerc s'est exprimé en ces termes:
Maintenant, tu tapes "FT Division Contenus" dans
Google, et tu contemples la première page, remplie
de "VU/SACEM/BSA/FT Division Contenus".
Internet, c'est magique.
C'est un peu ce qui me pose problème.
Et le pourquoi je préfère prendre mes précautions
comme ci-dessous:
s'il est réel,
???
S'il n'est pas réel, on a là un foutage de gueule comme
j'en ai rarement vu. Je pense qu'il l'est.
Tant que je n'aurai pas une source autre que EUCD.info
pour me le dire, je n'en sais rien. _Tous_ les liens
trouvés sur Google après recherche pointent vers EUCD.info.
Donc en attendant d'en avoir un autre, par exemple le texte
officiel, je préfère rester au conditionnel plutôt que de
crier au loup.
On dirait que le 1° rendrait illégal la distribution d'un
logiciel genre Napster grande époque (façon "manifestement
destiné"). On dirait que le 2° interdirait aussi la
distribution d'un logiciel pas prévu pour ça (et ta soeur)
mais pourtant utilisé ainsi par certains (sans blague !) de
ses utilisateurs (tous les logiciels de p2p, donc...)
C'est ça ?
C'est comme ça que le texte pourrait être interprété (pour
ne pas dire détourné) par justement les supporters de la loi
DADVSI. En tout cas, c'est comme ça que je le comprends.
sauf à prendre les "mesures" pour "préserver" et là
je ne comprends RIEN.
En gros, je vois ça comme une menace du genre "vous pouvez
faire des copies numériques au titre de la copie privée, [...]
Manuel Leclerc s'est exprimé en ces termes:Maintenant, tu tapes "FT Division Contenus" dans
Google, et tu contemples la première page, remplie
de "VU/SACEM/BSA/FT Division Contenus".
Internet, c'est magique.
C'est un peu ce qui me pose problème.
Et le pourquoi je préfère prendre mes précautions
comme ci-dessous:s'il est réel,
???
S'il n'est pas réel, on a là un foutage de gueule comme
j'en ai rarement vu. Je pense qu'il l'est.
Tant que je n'aurai pas une source autre que EUCD.info
pour me le dire, je n'en sais rien. _Tous_ les liens
trouvés sur Google après recherche pointent vers EUCD.info.
Donc en attendant d'en avoir un autre, par exemple le texte
officiel, je préfère rester au conditionnel plutôt que de
crier au loup.
On dirait que le 1° rendrait illégal la distribution d'un
logiciel genre Napster grande époque (façon "manifestement
destiné"). On dirait que le 2° interdirait aussi la
distribution d'un logiciel pas prévu pour ça (et ta soeur)
mais pourtant utilisé ainsi par certains (sans blague !) de
ses utilisateurs (tous les logiciels de p2p, donc...)
C'est ça ?
C'est comme ça que le texte pourrait être interprété (pour
ne pas dire détourné) par justement les supporters de la loi
DADVSI. En tout cas, c'est comme ça que je le comprends.
sauf à prendre les "mesures" pour "préserver" et là
je ne comprends RIEN.
En gros, je vois ça comme une menace du genre "vous pouvez
faire des copies numériques au titre de la copie privée, [...]
Distribution d'un logiciels de p2p "manifestement destiné à"
ou "manifestement utilisé pour". Quel est le RAPPORT avec
la copie privée ? Ils parlent de mesures pour préserver qui
sont à prendre "dans" le logiciel de p2p.
Distribution d'un logiciels de p2p "manifestement destiné à"
ou "manifestement utilisé pour". Quel est le RAPPORT avec
la copie privée ? Ils parlent de mesures pour préserver qui
sont à prendre "dans" le logiciel de p2p.
Distribution d'un logiciels de p2p "manifestement destiné à"
ou "manifestement utilisé pour". Quel est le RAPPORT avec
la copie privée ? Ils parlent de mesures pour préserver qui
sont à prendre "dans" le logiciel de p2p.
s'il est réel,
???
S'il n'est pas réel, on a là un foutage de gueule comme
j'en ai rarement vu. Je pense qu'il l'est.
s'il est réel,
???
S'il n'est pas réel, on a là un foutage de gueule comme
j'en ai rarement vu. Je pense qu'il l'est.
s'il est réel,
???
S'il n'est pas réel, on a là un foutage de gueule comme
j'en ai rarement vu. Je pense qu'il l'est.
Voyons le point 1°.
« Le fait, en connaissance de cause, d'éditer ou de mettre à la
disposition du public, sous quelque forme que ce soit, un logiciel
manifestement destiné à la mise à disposition non autorisée au public
d'oeuvres ou d'objets protégés par un droit littéraire et artistique qui
ne comprend pas les mesures pour, en l'état de la technique, préserver
ces oeuvres ou objets protégés contre un usage non autorisé. »
Pour moi, mettre à disposition du public une oeuvre non protégée ce
n'est pas nécessairement la mettre à disposition sur du P2P. A vrai
dire, je ne parle même pas de P2P ici, puisque je me place dans la
position du consommateur qui achète ses disques pour les ripper.
Des logiciels libres qui rippent un CD et collent des DRM aux mp3, je
n'en connais pas. Donc ces logiciels ne comprennent pas les « mesures
pour, en l'état de la technique, préserver ces oeuvres ou objets
protégés contre un usage non autorisé ». Ils sont donc déclarés illégaux
(à ce sujet, le point 2° est énorme puisqu'un logiciel autre que celui
visé par le 1° peut devenir au petit bonheur la chance illégal en
fonction du beau temps et de l'âge du capitaine).
Le point 3° rend illégal l'usage d'un tel logiciel. Comment je fais,
pour faire ma copie privée en toute légalité ? J'installe Windows et je
me fade Windows Media Player et son DRM. Adieu la liberté.
Voyons le point 1°.
« Le fait, en connaissance de cause, d'éditer ou de mettre à la
disposition du public, sous quelque forme que ce soit, un logiciel
manifestement destiné à la mise à disposition non autorisée au public
d'oeuvres ou d'objets protégés par un droit littéraire et artistique qui
ne comprend pas les mesures pour, en l'état de la technique, préserver
ces oeuvres ou objets protégés contre un usage non autorisé. »
Pour moi, mettre à disposition du public une oeuvre non protégée ce
n'est pas nécessairement la mettre à disposition sur du P2P. A vrai
dire, je ne parle même pas de P2P ici, puisque je me place dans la
position du consommateur qui achète ses disques pour les ripper.
Des logiciels libres qui rippent un CD et collent des DRM aux mp3, je
n'en connais pas. Donc ces logiciels ne comprennent pas les « mesures
pour, en l'état de la technique, préserver ces oeuvres ou objets
protégés contre un usage non autorisé ». Ils sont donc déclarés illégaux
(à ce sujet, le point 2° est énorme puisqu'un logiciel autre que celui
visé par le 1° peut devenir au petit bonheur la chance illégal en
fonction du beau temps et de l'âge du capitaine).
Le point 3° rend illégal l'usage d'un tel logiciel. Comment je fais,
pour faire ma copie privée en toute légalité ? J'installe Windows et je
me fade Windows Media Player et son DRM. Adieu la liberté.
Voyons le point 1°.
« Le fait, en connaissance de cause, d'éditer ou de mettre à la
disposition du public, sous quelque forme que ce soit, un logiciel
manifestement destiné à la mise à disposition non autorisée au public
d'oeuvres ou d'objets protégés par un droit littéraire et artistique qui
ne comprend pas les mesures pour, en l'état de la technique, préserver
ces oeuvres ou objets protégés contre un usage non autorisé. »
Pour moi, mettre à disposition du public une oeuvre non protégée ce
n'est pas nécessairement la mettre à disposition sur du P2P. A vrai
dire, je ne parle même pas de P2P ici, puisque je me place dans la
position du consommateur qui achète ses disques pour les ripper.
Des logiciels libres qui rippent un CD et collent des DRM aux mp3, je
n'en connais pas. Donc ces logiciels ne comprennent pas les « mesures
pour, en l'état de la technique, préserver ces oeuvres ou objets
protégés contre un usage non autorisé ». Ils sont donc déclarés illégaux
(à ce sujet, le point 2° est énorme puisqu'un logiciel autre que celui
visé par le 1° peut devenir au petit bonheur la chance illégal en
fonction du beau temps et de l'âge du capitaine).
Le point 3° rend illégal l'usage d'un tel logiciel. Comment je fais,
pour faire ma copie privée en toute légalité ? J'installe Windows et je
me fade Windows Media Player et son DRM. Adieu la liberté.
Le problème c'est que la copie privée n'est pas un droit mais une
exception au droit, et que cette exception peut très bien disparaître
pour garantir la balance des intérêts entre le consomateur et
l'auteur.
Le problème c'est que la copie privée n'est pas un droit mais une
exception au droit, et que cette exception peut très bien disparaître
pour garantir la balance des intérêts entre le consomateur et
l'auteur.
Le problème c'est que la copie privée n'est pas un droit mais une
exception au droit, et que cette exception peut très bien disparaître
pour garantir la balance des intérêts entre le consomateur et
l'auteur.