Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
Cet objectif est réputé être le meilleur en macro pour le µ4/3, mais
effectivement ce n'est pas pour autant qu'il est parfait.
La chasse à main levée, je suis plutôt avec le zoom "animalier" en mode
proxi.
Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
Cet objectif est réputé être le meilleur en macro pour le µ4/3, mais
effectivement ce n'est pas pour autant qu'il est parfait.
La chasse à main levée, je suis plutôt avec le zoom "animalier" en mode
proxi.
Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
Cet objectif est réputé être le meilleur en macro pour le µ4/3, mais
effectivement ce n'est pas pour autant qu'il est parfait.
La chasse à main levée, je suis plutôt avec le zoom "animalier" en mode
proxi.
Le 11/04/2020 à 16:18, Thierry Houx a écrit :Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
C'est quoi ça? J'ai vu que je l'ai activé en manipulant les menus du GX9
mais je n'ai aucune idée de ce que c'est.
Cet objectif est réputé être le meilleur en macro pour le µ4/3, mais
effectivement ce n'est pas pour autant qu'il est parfait.
La chasse à main levée, je suis plutôt avec le zoom "animalier" en
mode proxi.
Je peux te dire que le 2.8/30 Pana est vraiment excellentissime, et il
n'a pas ces histoires de zones de mise au point qui en pratique doivent
être galères à utiliser. Par contre à 1:1 on est vraiment tout prêt de
la lentille frontale. Pas question d'utiliser le flash interne par
exemple, diffusé ou pas, ni de s'approcher d'un papillon vivant.
Le 11/04/2020 à 16:18, Thierry Houx a écrit :
Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
C'est quoi ça? J'ai vu que je l'ai activé en manipulant les menus du GX9
mais je n'ai aucune idée de ce que c'est.
Cet objectif est réputé être le meilleur en macro pour le µ4/3, mais
effectivement ce n'est pas pour autant qu'il est parfait.
La chasse à main levée, je suis plutôt avec le zoom "animalier" en
mode proxi.
Je peux te dire que le 2.8/30 Pana est vraiment excellentissime, et il
n'a pas ces histoires de zones de mise au point qui en pratique doivent
être galères à utiliser. Par contre à 1:1 on est vraiment tout prêt de
la lentille frontale. Pas question d'utiliser le flash interne par
exemple, diffusé ou pas, ni de s'approcher d'un papillon vivant.
Le 11/04/2020 à 16:18, Thierry Houx a écrit :Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
C'est quoi ça? J'ai vu que je l'ai activé en manipulant les menus du GX9
mais je n'ai aucune idée de ce que c'est.
Cet objectif est réputé être le meilleur en macro pour le µ4/3, mais
effectivement ce n'est pas pour autant qu'il est parfait.
La chasse à main levée, je suis plutôt avec le zoom "animalier" en
mode proxi.
Je peux te dire que le 2.8/30 Pana est vraiment excellentissime, et il
n'a pas ces histoires de zones de mise au point qui en pratique doivent
être galères à utiliser. Par contre à 1:1 on est vraiment tout prêt de
la lentille frontale. Pas question d'utiliser le flash interne par
exemple, diffusé ou pas, ni de s'approcher d'un papillon vivant.
Le 11/04/2020 à 15:03, Ghost-Raider a écrit :Le 11/04/2020 à 11:21, Thierry Houx a écrit :Le 11/04/2020 à 10:34, Ghost-Raider a écrit :Le 11/04/2020 à 06:01, Thierry Houx a écrit :https://www.cjoint.com/data/JDld7xvJSji_-1030246.jpg
Il faut que tu revoies ta méthode de mise au point, les étamines du
premier plan sont moins bien définies que celles du second plan.
Et F5,6 c'est trop ouvert.
Attention quand même, on est sur du µ4/3, ça implique quelques
différences en PdC et en ouverture par rapport à l'APS-C ou le FF.
Y'a pas de raison d'avoir un premier plan moins piqué que le second plan.L'objectif à plusieurs modes, pour jouer sur le rapprochement.
J'ai trouvé ce site pour du conseil, mais bien sûr il faut faire sa
propre expérience:
https://jpmartel.quebec/2013/01/06/m-zuiko-60mm-macro/
Voilà un article de blog intéressant malgré une foultitude d'idées reçues.
Mais il date de 2014, les choses ont changé depuis.
Je recopie certains points avec mes commentaires.
"Blog : L’objectif M.Zuiko 60mm F/2,8 Macro...
...Toutefois, puisque ce téléobjectif n’est pas stabilisé, on pourra
l’utiliser à main levée sur des appareils photo d’Olympus et sur les
rares appareils de Panasonic dotés d’un stabilisateur d’image interne.
Autrement, on ne devraient utiliser cet objectif que lorsque leur
appareil est monté sur un trépied ou seulement lorsque la vitesse
d’obturation est telle que cela n’a plus d’importance.
GR : en poursuite d'insecte, la stabilisation est obligatoire.
Oui, je n'ai pas de problème, mes deux boitiers (GX9 et GX80) sont
stabilisés. Il n’empêche qu'en macro on reste très près de la petite
bête et c'est souvent elle qui bouge :-)
Blog : Ce tableau indique que lorsqu’un objet est situé à 40 cm (soit la
distance minimale), la profondeur de champ est faible, variant de 0,3 à
1,3 cm selon l’ouverture du diaphragme. En réalité, à cette distance, la
profondeur peut aller jusqu’à 3 cm puisque le diaphragme peut se fermer
jusqu’à F/22.
GR : oui mais la diffraction intervient à partir de F 11 en µ4/3.
Tout à fait d'accord, f11 est un max et je vais rarement au delà.Blog : De « 0.19m à l’infini »
Lorsque cette plage de distance est choisie, l’objectif s’attend à ce le
sujet puisse être situé quelque part, n’importe où dans toute l’étendue
des distances où il peut faire la mise au point. Puisque cet écart est
le plus vaste, la mise au point est plus lente.
GR : plus rapide en 2020
Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
Blog : Et si l’appareil photo bouge au moment précis où la mise au point
devrait se faire sur le sujet, l’objectif rate sa cible, poursuit sa
recherche et, n’ayant rien trouvé, revient sur ses pas jusqu’à ce qu’il
réussisse à trouver quelque chose. Bref, ce mode est le plus lent. Je ne
le conseille pas, à moins d’utiliser un trépied.
GR : c'est un défaut rédhibitoire, cet objectif n'est pas adapté à la
chasse à main levée même si la MAP par contraste est plus rapide
maintenant.
Cet objectif est réputé être le meilleur en macro pour le µ4/3, mais
effectivement ce n'est pas pour autant qu'il est parfait.
La chasse à main levée, je suis plutôt avec le zoom "animalier" en mode
proxi.Blog : Le « 1:1 »
C’est le mode de la macrophotographie au sens restreint du terme,
c’est-à-dire lorsque la taille de l’image du sujet sur le capteur
correspond exactement à la taille réelle de ce sujet (d’où l’appellation
« 1:1 »).
Lorsqu’on tourne le sélecteur à « 1:1 », celui-ci ne reste pas là mais
revient automatiquement à « 0.19m à 0.4m ». On peut choisir de le mettre
manuellement sur n’importe quelle autre plage de distance.
GR : pourquoi ce retour ?
C'est une bonne question, je ne sais pas. Ca oblige à faire une certaine
gymnastique.Blog : Il est à noter que la distance de mise au point est celle qui
sépare le sujet du capteur (et non de l’extrémité avant de l’objectif).
Compte tenu des dimensions de l’objectif (8,2 cm de longueur) et de
l’espace entre le capteur et l’arrière de l’objectif (soit 2 cm), la
mise au point en mode macro se fait lorsque le sujet est à 19 cm du
capteur, ce qui signifie à 8,8 cm du devant de l’objectif.
GR : deuxième défaut rédhibitoire pour la chasse aux insectes, dont la
distance de sécurité est très généralement de 20 à 30 cm. Pour faire la
chasse aux insectes, il faut un 150 ou 180 mm (cher). Mon 300 en mode
macro a une distance focale effective de 180 mm. Ma distance de prise de
vue est de 350 mm avec un grandissement de 0,9.
Oui, tout dépend de l'insecte en question.
Quand j'en suis à ce type d'insecte c'est le 100-400 qui prend la
relève. La difficulté, c'est qu'il n'ouvre pas à 2.8 comme cet objectif.
Blog : Dès qu’on a choisi ce mode, la moindre modification de la mise au
point fait en sorte qu’on cesse d’être en mode macro. Par exemple, si on
tourne la bague striée de l’objectif, c’est foutu.
GR : c'est une défaut de conception incompréhensible.
Tous ceux qui ont cet objectif le trouvent très bon, mais qu'il
nécessite un temps d'apprentissage. J'en suis là aussi >Blog : Voilà pourquoi l’appareil doit absolument être en mode manuel.
Autrement, dès qu’on appuie sur le déclencheur, l’appareil tente
automatiquement de faire une nouvelle mise au point — quelque part dans
la plage de distance indiquée par le sélecteur — et cessera alors d’être
en mode macro.
GR : catastrophe, cet objectif "macro" fait tout son possible pour
quitter le mode macro.
Ben pas simple, mais on y arrive. Et il faut voir les clichés que ceux
qui le maîtrisent font avec, c'est vraiment bon.Blog : Mais que fait-on si on n’est pas satisfait de l’image qu’on voit
dans le viseur ou sur l’écran arrière de l’appareil ? Il faut déplacer
le sujet ou l’appareil. Il n’y a pas d’autre alternative.
GR : c'est absurde.
Blog : Les étapes à suivre pour faire de la macrophotographie sont donc
les suivantes :
— mettez votre appareil en mode manuel,
— donnez la priorité à l’ouverture du diaphragme,
— choisissez la profondeur de champ souhaitée en sélectionnant
l’ouverture de diaphragme correspondante,
— tournez le sélecteur de plage de distance à « 1:1 »,
— effectuer la mise au point en approchant l’appareil du sujet ou
l’inverse.
GR : cette technique n'a aucun sens sur le terrain.
Ma méthode est complètement opposée pour la chasse aux insectes :
- à main levée, blocage de respiration et support du bras replié
- objectif 18-300 à 300
- bonnette de 2,85 dioptries
- F16
- 1/250
- flash diffusée en mode auto (c'est lui qui règle automatiquement la
variation de lumière)
- auto-focus central continu
Oui, mais ta méthode est sur du matériel différent: un zoom "standard"
sur lequel tu adapte un système optique pour la macro.
La mise au point finale décrite sur le blog c'est parce que la
profondeur de champ est extrêmement faible et que ça joue sur moins d'un
millimètre. Si on veut une plus grande profondeur de champ, il faire du
focus stacking (heureusement, les Pana ont stacking auto très efficace).
Blog : Les deux photos ci-dessous représentent un gros plan d’une aile
de papillon prise par le M.Zuiko 60 mm. Dans la première, publiée ici
telle quelle, c’est-à-dire sans aucune amélioration, j’ai ajouté un
rectangle rouge qui correspond à la partie de l’image qui est ‘zoomée’ à
100% dans la deuxième.
Aile d’un papillon
Détail de l’aile du papillon
Vous noterez que les écales de l’aile du papillon sur les côtés de
l’image sont un peu floues. Ce n’est pas parce que l’objectif manque de
netteté en périphérie : c’est simplement parce que j’ai centré la région
de l’image la plus nette.
GR : sujet statique plat, facile à traiter
Blog : Et il suffit d’un rien pour qu’une partie du sujet ne soit pas au
foyer, en raison de l’étroitesse de la profondeur de champ.
GR : d'où
- soit un pied et un sujet fixe
- soit un AF de course
Comme toi.
Blog : Afin de contourner cette difficulté, dans la photo ci-dessous,
j’ai diminué l’ouverture du diaphragme à F/11 afin de maximiser la
profondeur de champ, ce qui a eu pour effet de faire grimper l’ISO à 6400.
GR : et quels détails verra-t-on à 6400 ISO sur un µ4/3 sans
retraitement musclé ? NB : l'insecte en question a des yeux morts qui
reflètent des rampes de lampes.
Sur GX80 le 6400ISO fonctionne, mais c'est vraiment limite; sur le GX9
c'est mieux. Pas de retraitement musclé, mais traiter points "collés"
pour certaines photos c'est indispensable.Blog : Un flash d’appoint ?
Lorsqu’on photographie de très près un sujet minuscule susceptible de
bouger, une vitesse d’obturation rapide est nécessaire. De plus, la
lumière qu’il réfléchit est souvent insuffisante à maintenir l’ISO bas.
D’où l’intérêt d’utiliser un flash.
GR : oui
Blog : Ne comptez pas sur le flash intégré à votre appareil photo; en
photographie rapprochée, l’objectif lui-même ferait de l’ombre au sujet.
GR : exact, utiliser un diffuseur
Blog : Une première solution est d’utiliser un flash annulaire à DEL,
habituellement vendu entre 60$ et 120$ (de 40 à 80 euros). Ces flashs
viennent avec des bagues adaptatrices destinées à visser le flash à
l’ouverture de votre objectif.
GR : inutile de dépenser des sous
Oui, j'ai essayé ce type de flash au club photo, pas du tout convainquant.Blog : On peut également utiliser un flash traditionnel, couplé à un
diffuseur de lumière. C’est ainsi que travaille le photographe
australien Mark Berkery.
GR : ...et GR : diffuseur sur le flash interne
Oui, à base de papier calque Canson pour ma part.
Blog : Conclusion
Toutefois, en mode macro, l’étroitesse de sa profondeur de champ —
toujours moindre que cinq millimètres — le limite aux sujets où cela est
souhaitable (en entomologie, c’est-à-dire dans l’étude des insectes,
plutôt qu’en botanique, par exemple).
Pour terminer, le néophyte doit savoir que rater une photo est une chose
normale en photographie très rapprochée… du moins lorsque le sujet est
un être vivant incontrôlable.
GR : non, il faut une technique adaptée
Si par là tu penses utiliser un autre objectif et passer en proxi, je
suis d'accord.
Blog : À titre d’exemple, je rate plus de 90% de mes mes photos de
papillon. Si les photos publiées sur ce blogue sont réussies, c’est
qu’elles sont la crème de la crème parmi les milliers photos de papillon
que j’ai prises.
GR : Avec ma technique, je réussis 90% de mes photos de papillons.
Les papillons sont d'ailleurs un cas particulier plus difficile que des
insectes rampants car la majorité des espèces volètent en zig-zag sans
se poser, sauf les Paons du jour, qui sont communs, ou quelques autres.
Piéride du navet :
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlmNmt5eL6_D7000-07923-003.jpg
Pas de flash, il y avait du soleil au bon endroit.
Les piérides se posent rarement, on a deux secondes pour les photographier.
Mais sur ton exemple, on voit bien que la profondeur de champ est
étroite; comme elle commence au-devant du papillon, tu n'as pas celui-ci
entièrement net. Bon, c'est juste une critique à froid, parce que dans
les faits il fallait la prendre et ça reste un beau cliché.
Blog : Ceci étant dit, en obtenir d’aussi bonnes n’est pas compliqué.
N’importe quel utilisateur du M.Zuiko 60mm Macro peut faire pareil; il
lui suffit de s’armer d’un peu de patience. Les résultats assurés qu’il
obtiendra récompenseront ses efforts.
GR : bonne chasse !
Oui, pour l'instant, les papillons sont hors champ de la macro pour moi.
En proxi, même sans flash et environnement peut favorable, j'arrive à
avoir des résultats honnêtes:
Exemple à 3200ISO
https://www.cjoint.com/data/JDloqwiI8Si_-1020881-01.jpg
Le 11/04/2020 à 15:03, Ghost-Raider a écrit :
Le 11/04/2020 à 11:21, Thierry Houx a écrit :
Le 11/04/2020 à 10:34, Ghost-Raider a écrit :
Le 11/04/2020 à 06:01, Thierry Houx a écrit :
https://www.cjoint.com/data/JDld7xvJSji_-1030246.jpg
Il faut que tu revoies ta méthode de mise au point, les étamines du
premier plan sont moins bien définies que celles du second plan.
Et F5,6 c'est trop ouvert.
Attention quand même, on est sur du µ4/3, ça implique quelques
différences en PdC et en ouverture par rapport à l'APS-C ou le FF.
Y'a pas de raison d'avoir un premier plan moins piqué que le second plan.
L'objectif à plusieurs modes, pour jouer sur le rapprochement.
J'ai trouvé ce site pour du conseil, mais bien sûr il faut faire sa
propre expérience:
https://jpmartel.quebec/2013/01/06/m-zuiko-60mm-macro/
Voilà un article de blog intéressant malgré une foultitude d'idées reçues.
Mais il date de 2014, les choses ont changé depuis.
Je recopie certains points avec mes commentaires.
"Blog : L’objectif M.Zuiko 60mm F/2,8 Macro...
...Toutefois, puisque ce téléobjectif n’est pas stabilisé, on pourra
l’utiliser à main levée sur des appareils photo d’Olympus et sur les
rares appareils de Panasonic dotés d’un stabilisateur d’image interne.
Autrement, on ne devraient utiliser cet objectif que lorsque leur
appareil est monté sur un trépied ou seulement lorsque la vitesse
d’obturation est telle que cela n’a plus d’importance.
GR : en poursuite d'insecte, la stabilisation est obligatoire.
Oui, je n'ai pas de problème, mes deux boitiers (GX9 et GX80) sont
stabilisés. Il n’empêche qu'en macro on reste très près de la petite
bête et c'est souvent elle qui bouge :-)
Blog : Ce tableau indique que lorsqu’un objet est situé à 40 cm (soit la
distance minimale), la profondeur de champ est faible, variant de 0,3 à
1,3 cm selon l’ouverture du diaphragme. En réalité, à cette distance, la
profondeur peut aller jusqu’à 3 cm puisque le diaphragme peut se fermer
jusqu’à F/22.
GR : oui mais la diffraction intervient à partir de F 11 en µ4/3.
Tout à fait d'accord, f11 est un max et je vais rarement au delà.
Blog : De « 0.19m à l’infini »
Lorsque cette plage de distance est choisie, l’objectif s’attend à ce le
sujet puisse être situé quelque part, n’importe où dans toute l’étendue
des distances où il peut faire la mise au point. Puisque cet écart est
le plus vaste, la mise au point est plus lente.
GR : plus rapide en 2020
Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
Blog : Et si l’appareil photo bouge au moment précis où la mise au point
devrait se faire sur le sujet, l’objectif rate sa cible, poursuit sa
recherche et, n’ayant rien trouvé, revient sur ses pas jusqu’à ce qu’il
réussisse à trouver quelque chose. Bref, ce mode est le plus lent. Je ne
le conseille pas, à moins d’utiliser un trépied.
GR : c'est un défaut rédhibitoire, cet objectif n'est pas adapté à la
chasse à main levée même si la MAP par contraste est plus rapide
maintenant.
Cet objectif est réputé être le meilleur en macro pour le µ4/3, mais
effectivement ce n'est pas pour autant qu'il est parfait.
La chasse à main levée, je suis plutôt avec le zoom "animalier" en mode
proxi.
Blog : Le « 1:1 »
C’est le mode de la macrophotographie au sens restreint du terme,
c’est-à-dire lorsque la taille de l’image du sujet sur le capteur
correspond exactement à la taille réelle de ce sujet (d’où l’appellation
« 1:1 »).
Lorsqu’on tourne le sélecteur à « 1:1 », celui-ci ne reste pas là mais
revient automatiquement à « 0.19m à 0.4m ». On peut choisir de le mettre
manuellement sur n’importe quelle autre plage de distance.
GR : pourquoi ce retour ?
C'est une bonne question, je ne sais pas. Ca oblige à faire une certaine
gymnastique.
Blog : Il est à noter que la distance de mise au point est celle qui
sépare le sujet du capteur (et non de l’extrémité avant de l’objectif).
Compte tenu des dimensions de l’objectif (8,2 cm de longueur) et de
l’espace entre le capteur et l’arrière de l’objectif (soit 2 cm), la
mise au point en mode macro se fait lorsque le sujet est à 19 cm du
capteur, ce qui signifie à 8,8 cm du devant de l’objectif.
GR : deuxième défaut rédhibitoire pour la chasse aux insectes, dont la
distance de sécurité est très généralement de 20 à 30 cm. Pour faire la
chasse aux insectes, il faut un 150 ou 180 mm (cher). Mon 300 en mode
macro a une distance focale effective de 180 mm. Ma distance de prise de
vue est de 350 mm avec un grandissement de 0,9.
Oui, tout dépend de l'insecte en question.
Quand j'en suis à ce type d'insecte c'est le 100-400 qui prend la
relève. La difficulté, c'est qu'il n'ouvre pas à 2.8 comme cet objectif.
Blog : Dès qu’on a choisi ce mode, la moindre modification de la mise au
point fait en sorte qu’on cesse d’être en mode macro. Par exemple, si on
tourne la bague striée de l’objectif, c’est foutu.
GR : c'est une défaut de conception incompréhensible.
Tous ceux qui ont cet objectif le trouvent très bon, mais qu'il
nécessite un temps d'apprentissage. J'en suis là aussi >
Blog : Voilà pourquoi l’appareil doit absolument être en mode manuel.
Autrement, dès qu’on appuie sur le déclencheur, l’appareil tente
automatiquement de faire une nouvelle mise au point — quelque part dans
la plage de distance indiquée par le sélecteur — et cessera alors d’être
en mode macro.
GR : catastrophe, cet objectif "macro" fait tout son possible pour
quitter le mode macro.
Ben pas simple, mais on y arrive. Et il faut voir les clichés que ceux
qui le maîtrisent font avec, c'est vraiment bon.
Blog : Mais que fait-on si on n’est pas satisfait de l’image qu’on voit
dans le viseur ou sur l’écran arrière de l’appareil ? Il faut déplacer
le sujet ou l’appareil. Il n’y a pas d’autre alternative.
GR : c'est absurde.
Blog : Les étapes à suivre pour faire de la macrophotographie sont donc
les suivantes :
— mettez votre appareil en mode manuel,
— donnez la priorité à l’ouverture du diaphragme,
— choisissez la profondeur de champ souhaitée en sélectionnant
l’ouverture de diaphragme correspondante,
— tournez le sélecteur de plage de distance à « 1:1 »,
— effectuer la mise au point en approchant l’appareil du sujet ou
l’inverse.
GR : cette technique n'a aucun sens sur le terrain.
Ma méthode est complètement opposée pour la chasse aux insectes :
- à main levée, blocage de respiration et support du bras replié
- objectif 18-300 à 300
- bonnette de 2,85 dioptries
- F16
- 1/250
- flash diffusée en mode auto (c'est lui qui règle automatiquement la
variation de lumière)
- auto-focus central continu
Oui, mais ta méthode est sur du matériel différent: un zoom "standard"
sur lequel tu adapte un système optique pour la macro.
La mise au point finale décrite sur le blog c'est parce que la
profondeur de champ est extrêmement faible et que ça joue sur moins d'un
millimètre. Si on veut une plus grande profondeur de champ, il faire du
focus stacking (heureusement, les Pana ont stacking auto très efficace).
Blog : Les deux photos ci-dessous représentent un gros plan d’une aile
de papillon prise par le M.Zuiko 60 mm. Dans la première, publiée ici
telle quelle, c’est-à-dire sans aucune amélioration, j’ai ajouté un
rectangle rouge qui correspond à la partie de l’image qui est ‘zoomée’ à
100% dans la deuxième.
Aile d’un papillon
Détail de l’aile du papillon
Vous noterez que les écales de l’aile du papillon sur les côtés de
l’image sont un peu floues. Ce n’est pas parce que l’objectif manque de
netteté en périphérie : c’est simplement parce que j’ai centré la région
de l’image la plus nette.
GR : sujet statique plat, facile à traiter
Blog : Et il suffit d’un rien pour qu’une partie du sujet ne soit pas au
foyer, en raison de l’étroitesse de la profondeur de champ.
GR : d'où
- soit un pied et un sujet fixe
- soit un AF de course
Comme toi.
Blog : Afin de contourner cette difficulté, dans la photo ci-dessous,
j’ai diminué l’ouverture du diaphragme à F/11 afin de maximiser la
profondeur de champ, ce qui a eu pour effet de faire grimper l’ISO à 6400.
GR : et quels détails verra-t-on à 6400 ISO sur un µ4/3 sans
retraitement musclé ? NB : l'insecte en question a des yeux morts qui
reflètent des rampes de lampes.
Sur GX80 le 6400ISO fonctionne, mais c'est vraiment limite; sur le GX9
c'est mieux. Pas de retraitement musclé, mais traiter points "collés"
pour certaines photos c'est indispensable.
Blog : Un flash d’appoint ?
Lorsqu’on photographie de très près un sujet minuscule susceptible de
bouger, une vitesse d’obturation rapide est nécessaire. De plus, la
lumière qu’il réfléchit est souvent insuffisante à maintenir l’ISO bas.
D’où l’intérêt d’utiliser un flash.
GR : oui
Blog : Ne comptez pas sur le flash intégré à votre appareil photo; en
photographie rapprochée, l’objectif lui-même ferait de l’ombre au sujet.
GR : exact, utiliser un diffuseur
Blog : Une première solution est d’utiliser un flash annulaire à DEL,
habituellement vendu entre 60$ et 120$ (de 40 à 80 euros). Ces flashs
viennent avec des bagues adaptatrices destinées à visser le flash à
l’ouverture de votre objectif.
GR : inutile de dépenser des sous
Oui, j'ai essayé ce type de flash au club photo, pas du tout convainquant.
Blog : On peut également utiliser un flash traditionnel, couplé à un
diffuseur de lumière. C’est ainsi que travaille le photographe
australien Mark Berkery.
GR : ...et GR : diffuseur sur le flash interne
Oui, à base de papier calque Canson pour ma part.
Blog : Conclusion
Toutefois, en mode macro, l’étroitesse de sa profondeur de champ —
toujours moindre que cinq millimètres — le limite aux sujets où cela est
souhaitable (en entomologie, c’est-à-dire dans l’étude des insectes,
plutôt qu’en botanique, par exemple).
Pour terminer, le néophyte doit savoir que rater une photo est une chose
normale en photographie très rapprochée… du moins lorsque le sujet est
un être vivant incontrôlable.
GR : non, il faut une technique adaptée
Si par là tu penses utiliser un autre objectif et passer en proxi, je
suis d'accord.
Blog : À titre d’exemple, je rate plus de 90% de mes mes photos de
papillon. Si les photos publiées sur ce blogue sont réussies, c’est
qu’elles sont la crème de la crème parmi les milliers photos de papillon
que j’ai prises.
GR : Avec ma technique, je réussis 90% de mes photos de papillons.
Les papillons sont d'ailleurs un cas particulier plus difficile que des
insectes rampants car la majorité des espèces volètent en zig-zag sans
se poser, sauf les Paons du jour, qui sont communs, ou quelques autres.
Piéride du navet :
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlmNmt5eL6_D7000-07923-003.jpg
Pas de flash, il y avait du soleil au bon endroit.
Les piérides se posent rarement, on a deux secondes pour les photographier.
Mais sur ton exemple, on voit bien que la profondeur de champ est
étroite; comme elle commence au-devant du papillon, tu n'as pas celui-ci
entièrement net. Bon, c'est juste une critique à froid, parce que dans
les faits il fallait la prendre et ça reste un beau cliché.
Blog : Ceci étant dit, en obtenir d’aussi bonnes n’est pas compliqué.
N’importe quel utilisateur du M.Zuiko 60mm Macro peut faire pareil; il
lui suffit de s’armer d’un peu de patience. Les résultats assurés qu’il
obtiendra récompenseront ses efforts.
GR : bonne chasse !
Oui, pour l'instant, les papillons sont hors champ de la macro pour moi.
En proxi, même sans flash et environnement peut favorable, j'arrive à
avoir des résultats honnêtes:
Exemple à 3200ISO
https://www.cjoint.com/data/JDloqwiI8Si_-1020881-01.jpg
Le 11/04/2020 à 15:03, Ghost-Raider a écrit :Le 11/04/2020 à 11:21, Thierry Houx a écrit :Le 11/04/2020 à 10:34, Ghost-Raider a écrit :Le 11/04/2020 à 06:01, Thierry Houx a écrit :https://www.cjoint.com/data/JDld7xvJSji_-1030246.jpg
Il faut que tu revoies ta méthode de mise au point, les étamines du
premier plan sont moins bien définies que celles du second plan.
Et F5,6 c'est trop ouvert.
Attention quand même, on est sur du µ4/3, ça implique quelques
différences en PdC et en ouverture par rapport à l'APS-C ou le FF.
Y'a pas de raison d'avoir un premier plan moins piqué que le second plan.L'objectif à plusieurs modes, pour jouer sur le rapprochement.
J'ai trouvé ce site pour du conseil, mais bien sûr il faut faire sa
propre expérience:
https://jpmartel.quebec/2013/01/06/m-zuiko-60mm-macro/
Voilà un article de blog intéressant malgré une foultitude d'idées reçues.
Mais il date de 2014, les choses ont changé depuis.
Je recopie certains points avec mes commentaires.
"Blog : L’objectif M.Zuiko 60mm F/2,8 Macro...
...Toutefois, puisque ce téléobjectif n’est pas stabilisé, on pourra
l’utiliser à main levée sur des appareils photo d’Olympus et sur les
rares appareils de Panasonic dotés d’un stabilisateur d’image interne.
Autrement, on ne devraient utiliser cet objectif que lorsque leur
appareil est monté sur un trépied ou seulement lorsque la vitesse
d’obturation est telle que cela n’a plus d’importance.
GR : en poursuite d'insecte, la stabilisation est obligatoire.
Oui, je n'ai pas de problème, mes deux boitiers (GX9 et GX80) sont
stabilisés. Il n’empêche qu'en macro on reste très près de la petite
bête et c'est souvent elle qui bouge :-)
Blog : Ce tableau indique que lorsqu’un objet est situé à 40 cm (soit la
distance minimale), la profondeur de champ est faible, variant de 0,3 à
1,3 cm selon l’ouverture du diaphragme. En réalité, à cette distance, la
profondeur peut aller jusqu’à 3 cm puisque le diaphragme peut se fermer
jusqu’à F/22.
GR : oui mais la diffraction intervient à partir de F 11 en µ4/3.
Tout à fait d'accord, f11 est un max et je vais rarement au delà.Blog : De « 0.19m à l’infini »
Lorsque cette plage de distance est choisie, l’objectif s’attend à ce le
sujet puisse être situé quelque part, n’importe où dans toute l’étendue
des distances où il peut faire la mise au point. Puisque cet écart est
le plus vaste, la mise au point est plus lente.
GR : plus rapide en 2020
Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
Blog : Et si l’appareil photo bouge au moment précis où la mise au point
devrait se faire sur le sujet, l’objectif rate sa cible, poursuit sa
recherche et, n’ayant rien trouvé, revient sur ses pas jusqu’à ce qu’il
réussisse à trouver quelque chose. Bref, ce mode est le plus lent. Je ne
le conseille pas, à moins d’utiliser un trépied.
GR : c'est un défaut rédhibitoire, cet objectif n'est pas adapté à la
chasse à main levée même si la MAP par contraste est plus rapide
maintenant.
Cet objectif est réputé être le meilleur en macro pour le µ4/3, mais
effectivement ce n'est pas pour autant qu'il est parfait.
La chasse à main levée, je suis plutôt avec le zoom "animalier" en mode
proxi.Blog : Le « 1:1 »
C’est le mode de la macrophotographie au sens restreint du terme,
c’est-à-dire lorsque la taille de l’image du sujet sur le capteur
correspond exactement à la taille réelle de ce sujet (d’où l’appellation
« 1:1 »).
Lorsqu’on tourne le sélecteur à « 1:1 », celui-ci ne reste pas là mais
revient automatiquement à « 0.19m à 0.4m ». On peut choisir de le mettre
manuellement sur n’importe quelle autre plage de distance.
GR : pourquoi ce retour ?
C'est une bonne question, je ne sais pas. Ca oblige à faire une certaine
gymnastique.Blog : Il est à noter que la distance de mise au point est celle qui
sépare le sujet du capteur (et non de l’extrémité avant de l’objectif).
Compte tenu des dimensions de l’objectif (8,2 cm de longueur) et de
l’espace entre le capteur et l’arrière de l’objectif (soit 2 cm), la
mise au point en mode macro se fait lorsque le sujet est à 19 cm du
capteur, ce qui signifie à 8,8 cm du devant de l’objectif.
GR : deuxième défaut rédhibitoire pour la chasse aux insectes, dont la
distance de sécurité est très généralement de 20 à 30 cm. Pour faire la
chasse aux insectes, il faut un 150 ou 180 mm (cher). Mon 300 en mode
macro a une distance focale effective de 180 mm. Ma distance de prise de
vue est de 350 mm avec un grandissement de 0,9.
Oui, tout dépend de l'insecte en question.
Quand j'en suis à ce type d'insecte c'est le 100-400 qui prend la
relève. La difficulté, c'est qu'il n'ouvre pas à 2.8 comme cet objectif.
Blog : Dès qu’on a choisi ce mode, la moindre modification de la mise au
point fait en sorte qu’on cesse d’être en mode macro. Par exemple, si on
tourne la bague striée de l’objectif, c’est foutu.
GR : c'est une défaut de conception incompréhensible.
Tous ceux qui ont cet objectif le trouvent très bon, mais qu'il
nécessite un temps d'apprentissage. J'en suis là aussi >Blog : Voilà pourquoi l’appareil doit absolument être en mode manuel.
Autrement, dès qu’on appuie sur le déclencheur, l’appareil tente
automatiquement de faire une nouvelle mise au point — quelque part dans
la plage de distance indiquée par le sélecteur — et cessera alors d’être
en mode macro.
GR : catastrophe, cet objectif "macro" fait tout son possible pour
quitter le mode macro.
Ben pas simple, mais on y arrive. Et il faut voir les clichés que ceux
qui le maîtrisent font avec, c'est vraiment bon.Blog : Mais que fait-on si on n’est pas satisfait de l’image qu’on voit
dans le viseur ou sur l’écran arrière de l’appareil ? Il faut déplacer
le sujet ou l’appareil. Il n’y a pas d’autre alternative.
GR : c'est absurde.
Blog : Les étapes à suivre pour faire de la macrophotographie sont donc
les suivantes :
— mettez votre appareil en mode manuel,
— donnez la priorité à l’ouverture du diaphragme,
— choisissez la profondeur de champ souhaitée en sélectionnant
l’ouverture de diaphragme correspondante,
— tournez le sélecteur de plage de distance à « 1:1 »,
— effectuer la mise au point en approchant l’appareil du sujet ou
l’inverse.
GR : cette technique n'a aucun sens sur le terrain.
Ma méthode est complètement opposée pour la chasse aux insectes :
- à main levée, blocage de respiration et support du bras replié
- objectif 18-300 à 300
- bonnette de 2,85 dioptries
- F16
- 1/250
- flash diffusée en mode auto (c'est lui qui règle automatiquement la
variation de lumière)
- auto-focus central continu
Oui, mais ta méthode est sur du matériel différent: un zoom "standard"
sur lequel tu adapte un système optique pour la macro.
La mise au point finale décrite sur le blog c'est parce que la
profondeur de champ est extrêmement faible et que ça joue sur moins d'un
millimètre. Si on veut une plus grande profondeur de champ, il faire du
focus stacking (heureusement, les Pana ont stacking auto très efficace).
Blog : Les deux photos ci-dessous représentent un gros plan d’une aile
de papillon prise par le M.Zuiko 60 mm. Dans la première, publiée ici
telle quelle, c’est-à-dire sans aucune amélioration, j’ai ajouté un
rectangle rouge qui correspond à la partie de l’image qui est ‘zoomée’ à
100% dans la deuxième.
Aile d’un papillon
Détail de l’aile du papillon
Vous noterez que les écales de l’aile du papillon sur les côtés de
l’image sont un peu floues. Ce n’est pas parce que l’objectif manque de
netteté en périphérie : c’est simplement parce que j’ai centré la région
de l’image la plus nette.
GR : sujet statique plat, facile à traiter
Blog : Et il suffit d’un rien pour qu’une partie du sujet ne soit pas au
foyer, en raison de l’étroitesse de la profondeur de champ.
GR : d'où
- soit un pied et un sujet fixe
- soit un AF de course
Comme toi.
Blog : Afin de contourner cette difficulté, dans la photo ci-dessous,
j’ai diminué l’ouverture du diaphragme à F/11 afin de maximiser la
profondeur de champ, ce qui a eu pour effet de faire grimper l’ISO à 6400.
GR : et quels détails verra-t-on à 6400 ISO sur un µ4/3 sans
retraitement musclé ? NB : l'insecte en question a des yeux morts qui
reflètent des rampes de lampes.
Sur GX80 le 6400ISO fonctionne, mais c'est vraiment limite; sur le GX9
c'est mieux. Pas de retraitement musclé, mais traiter points "collés"
pour certaines photos c'est indispensable.Blog : Un flash d’appoint ?
Lorsqu’on photographie de très près un sujet minuscule susceptible de
bouger, une vitesse d’obturation rapide est nécessaire. De plus, la
lumière qu’il réfléchit est souvent insuffisante à maintenir l’ISO bas.
D’où l’intérêt d’utiliser un flash.
GR : oui
Blog : Ne comptez pas sur le flash intégré à votre appareil photo; en
photographie rapprochée, l’objectif lui-même ferait de l’ombre au sujet.
GR : exact, utiliser un diffuseur
Blog : Une première solution est d’utiliser un flash annulaire à DEL,
habituellement vendu entre 60$ et 120$ (de 40 à 80 euros). Ces flashs
viennent avec des bagues adaptatrices destinées à visser le flash à
l’ouverture de votre objectif.
GR : inutile de dépenser des sous
Oui, j'ai essayé ce type de flash au club photo, pas du tout convainquant.Blog : On peut également utiliser un flash traditionnel, couplé à un
diffuseur de lumière. C’est ainsi que travaille le photographe
australien Mark Berkery.
GR : ...et GR : diffuseur sur le flash interne
Oui, à base de papier calque Canson pour ma part.
Blog : Conclusion
Toutefois, en mode macro, l’étroitesse de sa profondeur de champ —
toujours moindre que cinq millimètres — le limite aux sujets où cela est
souhaitable (en entomologie, c’est-à-dire dans l’étude des insectes,
plutôt qu’en botanique, par exemple).
Pour terminer, le néophyte doit savoir que rater une photo est une chose
normale en photographie très rapprochée… du moins lorsque le sujet est
un être vivant incontrôlable.
GR : non, il faut une technique adaptée
Si par là tu penses utiliser un autre objectif et passer en proxi, je
suis d'accord.
Blog : À titre d’exemple, je rate plus de 90% de mes mes photos de
papillon. Si les photos publiées sur ce blogue sont réussies, c’est
qu’elles sont la crème de la crème parmi les milliers photos de papillon
que j’ai prises.
GR : Avec ma technique, je réussis 90% de mes photos de papillons.
Les papillons sont d'ailleurs un cas particulier plus difficile que des
insectes rampants car la majorité des espèces volètent en zig-zag sans
se poser, sauf les Paons du jour, qui sont communs, ou quelques autres.
Piéride du navet :
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlmNmt5eL6_D7000-07923-003.jpg
Pas de flash, il y avait du soleil au bon endroit.
Les piérides se posent rarement, on a deux secondes pour les photographier.
Mais sur ton exemple, on voit bien que la profondeur de champ est
étroite; comme elle commence au-devant du papillon, tu n'as pas celui-ci
entièrement net. Bon, c'est juste une critique à froid, parce que dans
les faits il fallait la prendre et ça reste un beau cliché.
Blog : Ceci étant dit, en obtenir d’aussi bonnes n’est pas compliqué.
N’importe quel utilisateur du M.Zuiko 60mm Macro peut faire pareil; il
lui suffit de s’armer d’un peu de patience. Les résultats assurés qu’il
obtiendra récompenseront ses efforts.
GR : bonne chasse !
Oui, pour l'instant, les papillons sont hors champ de la macro pour moi.
En proxi, même sans flash et environnement peut favorable, j'arrive à
avoir des résultats honnêtes:
Exemple à 3200ISO
https://www.cjoint.com/data/JDloqwiI8Si_-1020881-01.jpg
Le 11/04/2020 à 16:27, efji a écrit :Le 11/04/2020 à 16:18, Thierry Houx a écrit :Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
C'est quoi ça? J'ai vu que je l'ai activé en manipulant les menus du GX9
mais je n'ai aucune idée de ce que c'est.
Ben dans cette plage l'objectif balaie toute sa plage de mise au point
une fois avant de revenir et faire le focus. Au début, je mettais ça sur
le fait que c'est un objectif Oly sur du Pana, mais même monté sur un
Oly ça le fait aussi. C'est surprenant mais ça n'empêche pas de fonctionner.Cet objectif est réputé être le meilleur en macro pour le µ4/3, mais
effectivement ce n'est pas pour autant qu'il est parfait.
La chasse à main levée, je suis plutôt avec le zoom "animalier" en
mode proxi.
Je peux te dire que le 2.8/30 Pana est vraiment excellentissime, et il
n'a pas ces histoires de zones de mise au point qui en pratique doivent
être galères à utiliser. Par contre à 1:1 on est vraiment tout prêt de
la lentille frontale. Pas question d'utiliser le flash interne par
exemple, diffusé ou pas, ni de s'approcher d'un papillon vivant.
Oui, je sais. Je n'ai pas pris les Pana pour la simple raison qu'ils ne
permettent pas une distance suffisante pour ne pas effrayer les petites
bêtes. Je ne me fais pas d'illusion, la macro est une technique
particulière et il y a une phase d'apprentissage.
Pour les papillons, libellules et autres insectes "rapides", je me
contente de la proxi avec un gros zoom; j'ai pu dégotter un 100-400
impec en occase à prix disons raisonnable, je vais l'essayer quand on
pourra sortir.
Le 11/04/2020 à 16:27, efji a écrit :
Le 11/04/2020 à 16:18, Thierry Houx a écrit :
Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
C'est quoi ça? J'ai vu que je l'ai activé en manipulant les menus du GX9
mais je n'ai aucune idée de ce que c'est.
Ben dans cette plage l'objectif balaie toute sa plage de mise au point
une fois avant de revenir et faire le focus. Au début, je mettais ça sur
le fait que c'est un objectif Oly sur du Pana, mais même monté sur un
Oly ça le fait aussi. C'est surprenant mais ça n'empêche pas de fonctionner.
Cet objectif est réputé être le meilleur en macro pour le µ4/3, mais
effectivement ce n'est pas pour autant qu'il est parfait.
La chasse à main levée, je suis plutôt avec le zoom "animalier" en
mode proxi.
Je peux te dire que le 2.8/30 Pana est vraiment excellentissime, et il
n'a pas ces histoires de zones de mise au point qui en pratique doivent
être galères à utiliser. Par contre à 1:1 on est vraiment tout prêt de
la lentille frontale. Pas question d'utiliser le flash interne par
exemple, diffusé ou pas, ni de s'approcher d'un papillon vivant.
Oui, je sais. Je n'ai pas pris les Pana pour la simple raison qu'ils ne
permettent pas une distance suffisante pour ne pas effrayer les petites
bêtes. Je ne me fais pas d'illusion, la macro est une technique
particulière et il y a une phase d'apprentissage.
Pour les papillons, libellules et autres insectes "rapides", je me
contente de la proxi avec un gros zoom; j'ai pu dégotter un 100-400
impec en occase à prix disons raisonnable, je vais l'essayer quand on
pourra sortir.
Le 11/04/2020 à 16:27, efji a écrit :Le 11/04/2020 à 16:18, Thierry Houx a écrit :Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
C'est quoi ça? J'ai vu que je l'ai activé en manipulant les menus du GX9
mais je n'ai aucune idée de ce que c'est.
Ben dans cette plage l'objectif balaie toute sa plage de mise au point
une fois avant de revenir et faire le focus. Au début, je mettais ça sur
le fait que c'est un objectif Oly sur du Pana, mais même monté sur un
Oly ça le fait aussi. C'est surprenant mais ça n'empêche pas de fonctionner.Cet objectif est réputé être le meilleur en macro pour le µ4/3, mais
effectivement ce n'est pas pour autant qu'il est parfait.
La chasse à main levée, je suis plutôt avec le zoom "animalier" en
mode proxi.
Je peux te dire que le 2.8/30 Pana est vraiment excellentissime, et il
n'a pas ces histoires de zones de mise au point qui en pratique doivent
être galères à utiliser. Par contre à 1:1 on est vraiment tout prêt de
la lentille frontale. Pas question d'utiliser le flash interne par
exemple, diffusé ou pas, ni de s'approcher d'un papillon vivant.
Oui, je sais. Je n'ai pas pris les Pana pour la simple raison qu'ils ne
permettent pas une distance suffisante pour ne pas effrayer les petites
bêtes. Je ne me fais pas d'illusion, la macro est une technique
particulière et il y a une phase d'apprentissage.
Pour les papillons, libellules et autres insectes "rapides", je me
contente de la proxi avec un gros zoom; j'ai pu dégotter un 100-400
impec en occase à prix disons raisonnable, je vais l'essayer quand on
pourra sortir.
Les libellules font souvent des vols stationnaires courts, mais il faut
être très rapide.
Au 300 mm (équiv. 450).
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqZHZP3w6_D7000-07741-CV-001.jpg
Les libellules font souvent des vols stationnaires courts, mais il faut
être très rapide.
Au 300 mm (équiv. 450).
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqZHZP3w6_D7000-07741-CV-001.jpg
Les libellules font souvent des vols stationnaires courts, mais il faut
être très rapide.
Au 300 mm (équiv. 450).
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqZHZP3w6_D7000-07741-CV-001.jpg
C'est le gros désavantage de l'autofocus par contraste : il fait le
point par approches successives, bien qu'il y ait eu d'énormes progrès
récents, il ne peut pas suivre une abeille qui vit sa vie.
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqr5mYHZ6_D90-7095-002.JPG
Les abeilles sont diaboliques à suivre en vol.
Le focus peaking est un pis-aller adapté à la photo purement statique.
C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce qu'imagine efji dans
ses rêves les plus fous, la MAP par différence de phase des réflex
optiques a encore de beaux jours devant elle pour tout ce qui est sujets
dynamiques.
Ou alors, comme sur mes anciens Olympus E10/E20, une MAP par contraste
épaulée par une MAP par infra-rouge. Ça marchait très bien, MAP directe
sans pompage.
Le seul défaut était que l'IR était désactivé en macro à cause de la
parallaxe entre axe optique et axe de l'IR.
C'est le gros désavantage de l'autofocus par contraste : il fait le
point par approches successives, bien qu'il y ait eu d'énormes progrès
récents, il ne peut pas suivre une abeille qui vit sa vie.
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqr5mYHZ6_D90-7095-002.JPG
Les abeilles sont diaboliques à suivre en vol.
Le focus peaking est un pis-aller adapté à la photo purement statique.
C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce qu'imagine efji dans
ses rêves les plus fous, la MAP par différence de phase des réflex
optiques a encore de beaux jours devant elle pour tout ce qui est sujets
dynamiques.
Ou alors, comme sur mes anciens Olympus E10/E20, une MAP par contraste
épaulée par une MAP par infra-rouge. Ça marchait très bien, MAP directe
sans pompage.
Le seul défaut était que l'IR était désactivé en macro à cause de la
parallaxe entre axe optique et axe de l'IR.
C'est le gros désavantage de l'autofocus par contraste : il fait le
point par approches successives, bien qu'il y ait eu d'énormes progrès
récents, il ne peut pas suivre une abeille qui vit sa vie.
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqr5mYHZ6_D90-7095-002.JPG
Les abeilles sont diaboliques à suivre en vol.
Le focus peaking est un pis-aller adapté à la photo purement statique.
C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce qu'imagine efji dans
ses rêves les plus fous, la MAP par différence de phase des réflex
optiques a encore de beaux jours devant elle pour tout ce qui est sujets
dynamiques.
Ou alors, comme sur mes anciens Olympus E10/E20, une MAP par contraste
épaulée par une MAP par infra-rouge. Ça marchait très bien, MAP directe
sans pompage.
Le seul défaut était que l'IR était désactivé en macro à cause de la
parallaxe entre axe optique et axe de l'IR.
Les libellules font souvent des vols stationnaires courts, mais il faut
être très rapide.
Au 300 mm (équiv. 450).
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqZHZP3w6_D7000-07741-CV-001.jpg
Les libellules font souvent des vols stationnaires courts, mais il faut
être très rapide.
Au 300 mm (équiv. 450).
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqZHZP3w6_D7000-07741-CV-001.jpg
Les libellules font souvent des vols stationnaires courts, mais il faut
être très rapide.
Au 300 mm (équiv. 450).
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqZHZP3w6_D7000-07741-CV-001.jpg
Le 11/04/2020 à 18:47, Ghost-Raider a écrit :C'est le gros désavantage de l'autofocus par contraste : il fait le
point par approches successives, bien qu'il y ait eu d'énormes progrès
récents, il ne peut pas suivre une abeille qui vit sa vie.
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqr5mYHZ6_D90-7095-002.JPG
Les abeilles sont diaboliques à suivre en vol.
Le focus peaking est un pis-aller adapté à la photo purement statique.
C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce qu'imagine efji dans
ses rêves les plus fous, la MAP par différence de phase des réflex
optiques a encore de beaux jours devant elle pour tout ce qui est sujets
dynamiques.
Sans doute, mais je pense que les autofocus des mirorless actuels sont
au moins aussi performants que ton antique D7000 de 2010 :
https://www.dpreview.com/reviews/canon-eos-rp-review/6
Ou alors, comme sur mes anciens Olympus E10/E20, une MAP par contraste
épaulée par une MAP par infra-rouge. Ça marchait très bien, MAP directe
sans pompage.
Le seul défaut était que l'IR était désactivé en macro à cause de la
parallaxe entre axe optique et axe de l'IR.
haha
Sinon pour Thierry :
https://www.dpreview.com/reviews/buying-guide-best-lenses-for-micro-four-thirds
Le meilleur macro c'est le 30 mm :)
Le 11/04/2020 à 18:47, Ghost-Raider a écrit :
C'est le gros désavantage de l'autofocus par contraste : il fait le
point par approches successives, bien qu'il y ait eu d'énormes progrès
récents, il ne peut pas suivre une abeille qui vit sa vie.
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqr5mYHZ6_D90-7095-002.JPG
Les abeilles sont diaboliques à suivre en vol.
Le focus peaking est un pis-aller adapté à la photo purement statique.
C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce qu'imagine efji dans
ses rêves les plus fous, la MAP par différence de phase des réflex
optiques a encore de beaux jours devant elle pour tout ce qui est sujets
dynamiques.
Sans doute, mais je pense que les autofocus des mirorless actuels sont
au moins aussi performants que ton antique D7000 de 2010 :
https://www.dpreview.com/reviews/canon-eos-rp-review/6
Ou alors, comme sur mes anciens Olympus E10/E20, une MAP par contraste
épaulée par une MAP par infra-rouge. Ça marchait très bien, MAP directe
sans pompage.
Le seul défaut était que l'IR était désactivé en macro à cause de la
parallaxe entre axe optique et axe de l'IR.
haha
Sinon pour Thierry :
https://www.dpreview.com/reviews/buying-guide-best-lenses-for-micro-four-thirds
Le meilleur macro c'est le 30 mm :)
Le 11/04/2020 à 18:47, Ghost-Raider a écrit :C'est le gros désavantage de l'autofocus par contraste : il fait le
point par approches successives, bien qu'il y ait eu d'énormes progrès
récents, il ne peut pas suivre une abeille qui vit sa vie.
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqr5mYHZ6_D90-7095-002.JPG
Les abeilles sont diaboliques à suivre en vol.
Le focus peaking est un pis-aller adapté à la photo purement statique.
C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce qu'imagine efji dans
ses rêves les plus fous, la MAP par différence de phase des réflex
optiques a encore de beaux jours devant elle pour tout ce qui est sujets
dynamiques.
Sans doute, mais je pense que les autofocus des mirorless actuels sont
au moins aussi performants que ton antique D7000 de 2010 :
https://www.dpreview.com/reviews/canon-eos-rp-review/6
Ou alors, comme sur mes anciens Olympus E10/E20, une MAP par contraste
épaulée par une MAP par infra-rouge. Ça marchait très bien, MAP directe
sans pompage.
Le seul défaut était que l'IR était désactivé en macro à cause de la
parallaxe entre axe optique et axe de l'IR.
haha
Sinon pour Thierry :
https://www.dpreview.com/reviews/buying-guide-best-lenses-for-micro-four-thirds
Le meilleur macro c'est le 30 mm :)
Le 11/04/2020 à 18:47, Ghost-Raider a écrit :C'est le gros désavantage de l'autofocus par contraste : il fait le
point par approches successives, bien qu'il y ait eu d'énormes progrès
récents, il ne peut pas suivre une abeille qui vit sa vie.
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqr5mYHZ6_D90-7095-002.JPG
Les abeilles sont diaboliques à suivre en vol.
Le focus peaking est un pis-aller adapté à la photo purement statique.
C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce qu'imagine efji dans
ses rêves les plus fous, la MAP par différence de phase des réflex
optiques a encore de beaux jours devant elle pour tout ce qui est
sujets dynamiques.
Sans doute, mais je pense que les autofocus des mirorless actuels sont
au moins aussi performants que ton antique D7000 de 2010 :
https://www.dpreview.com/reviews/canon-eos-rp-review/6Ou alors, comme sur mes anciens Olympus E10/E20, une MAP par contraste
épaulée par une MAP par infra-rouge. Ça marchait très bien, MAP
directe sans pompage.
Le seul défaut était que l'IR était désactivé en macro à cause de la
parallaxe entre axe optique et axe de l'IR.
haha
Sinon pour Thierry :
https://www.dpreview.com/reviews/buying-guide-best-lenses-for-micro-four-thirds
Le meilleur macro c'est le 30 mm :)
Le 11/04/2020 à 18:47, Ghost-Raider a écrit :
C'est le gros désavantage de l'autofocus par contraste : il fait le
point par approches successives, bien qu'il y ait eu d'énormes progrès
récents, il ne peut pas suivre une abeille qui vit sa vie.
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqr5mYHZ6_D90-7095-002.JPG
Les abeilles sont diaboliques à suivre en vol.
Le focus peaking est un pis-aller adapté à la photo purement statique.
C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce qu'imagine efji dans
ses rêves les plus fous, la MAP par différence de phase des réflex
optiques a encore de beaux jours devant elle pour tout ce qui est
sujets dynamiques.
Sans doute, mais je pense que les autofocus des mirorless actuels sont
au moins aussi performants que ton antique D7000 de 2010 :
https://www.dpreview.com/reviews/canon-eos-rp-review/6
Ou alors, comme sur mes anciens Olympus E10/E20, une MAP par contraste
épaulée par une MAP par infra-rouge. Ça marchait très bien, MAP
directe sans pompage.
Le seul défaut était que l'IR était désactivé en macro à cause de la
parallaxe entre axe optique et axe de l'IR.
haha
Sinon pour Thierry :
https://www.dpreview.com/reviews/buying-guide-best-lenses-for-micro-four-thirds
Le meilleur macro c'est le 30 mm :)
Le 11/04/2020 à 18:47, Ghost-Raider a écrit :C'est le gros désavantage de l'autofocus par contraste : il fait le
point par approches successives, bien qu'il y ait eu d'énormes progrès
récents, il ne peut pas suivre une abeille qui vit sa vie.
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqr5mYHZ6_D90-7095-002.JPG
Les abeilles sont diaboliques à suivre en vol.
Le focus peaking est un pis-aller adapté à la photo purement statique.
C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce qu'imagine efji dans
ses rêves les plus fous, la MAP par différence de phase des réflex
optiques a encore de beaux jours devant elle pour tout ce qui est
sujets dynamiques.
Sans doute, mais je pense que les autofocus des mirorless actuels sont
au moins aussi performants que ton antique D7000 de 2010 :
https://www.dpreview.com/reviews/canon-eos-rp-review/6Ou alors, comme sur mes anciens Olympus E10/E20, une MAP par contraste
épaulée par une MAP par infra-rouge. Ça marchait très bien, MAP
directe sans pompage.
Le seul défaut était que l'IR était désactivé en macro à cause de la
parallaxe entre axe optique et axe de l'IR.
haha
Sinon pour Thierry :
https://www.dpreview.com/reviews/buying-guide-best-lenses-for-micro-four-thirds
Le meilleur macro c'est le 30 mm :)
Le 11/04/2020 à 16:18, Thierry Houx a écrit :Le 11/04/2020 à 15:03, Ghost-Raider a écrit :Le 11/04/2020 à 11:21, Thierry Houx a écrit :Le 11/04/2020 à 10:34, Ghost-Raider a écrit :Le 11/04/2020 à 06:01, Thierry Houx a écrit :
Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
C'est le gros désavantage de l'autofocus par contraste : il fait le
point par approches successives, bien qu'il y ait eu d'énormes progrès
récents, il ne peut pas suivre une abeille qui vit sa vie.
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqr5mYHZ6_D90-7095-002.JPG
Les abeilles sont diaboliques à suivre en vol.
Le focus peaking est un pis-aller adapté à la photo purement statique.
C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce qu'imagine efji dans
ses rêves les plus fous, la MAP par différence de phase des réflex
optiques a encore de beaux jours devant elle pour tout ce qui est sujets
dynamiques.
Ou alors, comme sur mes anciens Olympus E10/E20, une MAP par contraste
épaulée par une MAP par infra-rouge. Ça marchait très bien, MAP directe
sans pompage.
Le seul défaut était que l'IR était désactivé en macro à cause de la
parallaxe entre axe optique et axe de l'IR.
GR : deuxième défaut rédhibitoire pour la chasse aux insectes, dont la
distance de sécurité est très généralement de 20 à 30 cm. Pour faire la
chasse aux insectes, il faut un 150 ou 180 mm (cher). Mon 300 en mode
macro a une distance focale effective de 180 mm. Ma distance de prise de
vue est de 350 mm avec un grandissement de 0,9.
Oui, tout dépend de l'insecte en question.
Quand j'en suis à ce type d'insecte c'est le 100-400 qui prend la
relève. La difficulté, c'est qu'il n'ouvre pas à 2.8 comme cet objectif.
Oui, mais quel grandissement obtiens-tu avec le 100-400 ?
Faire du focus-stacking à main levée, c'est possible, passe encore, mais
de sujets qui bougent, c'est hautement casse-gueule.
Le 11/04/2020 à 16:18, Thierry Houx a écrit :
Le 11/04/2020 à 15:03, Ghost-Raider a écrit :
Le 11/04/2020 à 11:21, Thierry Houx a écrit :
Le 11/04/2020 à 10:34, Ghost-Raider a écrit :
Le 11/04/2020 à 06:01, Thierry Houx a écrit :
Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
C'est le gros désavantage de l'autofocus par contraste : il fait le
point par approches successives, bien qu'il y ait eu d'énormes progrès
récents, il ne peut pas suivre une abeille qui vit sa vie.
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqr5mYHZ6_D90-7095-002.JPG
Les abeilles sont diaboliques à suivre en vol.
Le focus peaking est un pis-aller adapté à la photo purement statique.
C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce qu'imagine efji dans
ses rêves les plus fous, la MAP par différence de phase des réflex
optiques a encore de beaux jours devant elle pour tout ce qui est sujets
dynamiques.
Ou alors, comme sur mes anciens Olympus E10/E20, une MAP par contraste
épaulée par une MAP par infra-rouge. Ça marchait très bien, MAP directe
sans pompage.
Le seul défaut était que l'IR était désactivé en macro à cause de la
parallaxe entre axe optique et axe de l'IR.
GR : deuxième défaut rédhibitoire pour la chasse aux insectes, dont la
distance de sécurité est très généralement de 20 à 30 cm. Pour faire la
chasse aux insectes, il faut un 150 ou 180 mm (cher). Mon 300 en mode
macro a une distance focale effective de 180 mm. Ma distance de prise de
vue est de 350 mm avec un grandissement de 0,9.
Oui, tout dépend de l'insecte en question.
Quand j'en suis à ce type d'insecte c'est le 100-400 qui prend la
relève. La difficulté, c'est qu'il n'ouvre pas à 2.8 comme cet objectif.
Oui, mais quel grandissement obtiens-tu avec le 100-400 ?
Faire du focus-stacking à main levée, c'est possible, passe encore, mais
de sujets qui bougent, c'est hautement casse-gueule.
Le 11/04/2020 à 16:18, Thierry Houx a écrit :Le 11/04/2020 à 15:03, Ghost-Raider a écrit :Le 11/04/2020 à 11:21, Thierry Houx a écrit :Le 11/04/2020 à 10:34, Ghost-Raider a écrit :Le 11/04/2020 à 06:01, Thierry Houx a écrit :
Il a raison, ça "pompe" parfois avant de trouver le focus. C'est
pourquoi je suis tenté d'utiliser le focus peaking.
C'est le gros désavantage de l'autofocus par contraste : il fait le
point par approches successives, bien qu'il y ait eu d'énormes progrès
récents, il ne peut pas suivre une abeille qui vit sa vie.
https://www.cjoint.com/doc/20_04/JDlqr5mYHZ6_D90-7095-002.JPG
Les abeilles sont diaboliques à suivre en vol.
Le focus peaking est un pis-aller adapté à la photo purement statique.
C'est d'ailleurs pour ça que, contrairement à ce qu'imagine efji dans
ses rêves les plus fous, la MAP par différence de phase des réflex
optiques a encore de beaux jours devant elle pour tout ce qui est sujets
dynamiques.
Ou alors, comme sur mes anciens Olympus E10/E20, une MAP par contraste
épaulée par une MAP par infra-rouge. Ça marchait très bien, MAP directe
sans pompage.
Le seul défaut était que l'IR était désactivé en macro à cause de la
parallaxe entre axe optique et axe de l'IR.
GR : deuxième défaut rédhibitoire pour la chasse aux insectes, dont la
distance de sécurité est très généralement de 20 à 30 cm. Pour faire la
chasse aux insectes, il faut un 150 ou 180 mm (cher). Mon 300 en mode
macro a une distance focale effective de 180 mm. Ma distance de prise de
vue est de 350 mm avec un grandissement de 0,9.
Oui, tout dépend de l'insecte en question.
Quand j'en suis à ce type d'insecte c'est le 100-400 qui prend la
relève. La difficulté, c'est qu'il n'ouvre pas à 2.8 comme cet objectif.
Oui, mais quel grandissement obtiens-tu avec le 100-400 ?
Faire du focus-stacking à main levée, c'est possible, passe encore, mais
de sujets qui bougent, c'est hautement casse-gueule.