Le problème est simple : sans certificat, c'est une absence injustifiée.
Non, dispense injustifiée, puisque l'enfant était présent à l'école
car le responsable d'établissement a l'obligation de vérifier la légitimité.
Oui. Enfin, la présence du certificat. Seul le médecin scolaire peut vérifier la légitimité d'une dispense, car le médeicin de famille se contentera d'écrire "...contre-indique les séances de piscine pour une durée de xx jours..."
Et si il y a de nouvelles absences par la suite, pas forcément à la piscine, il est aussi dans l'obligation de le signaler.
Après avoir tout tenté pour (r)établir le dialogue avec la famille.
-- Djeel
Patrick V wrote:
Le problème est simple : sans certificat, c'est une absence
injustifiée.
Non, dispense injustifiée, puisque l'enfant était présent à l'école
car le responsable d'établissement a l'obligation de vérifier la
légitimité.
Oui. Enfin, la présence du certificat. Seul le médecin scolaire peut
vérifier la légitimité d'une dispense, car le médeicin de famille se
contentera d'écrire "...contre-indique les séances de piscine pour une durée
de xx jours..."
Et si il y a de nouvelles absences par la suite, pas
forcément à la piscine, il est aussi dans l'obligation de le signaler.
Après avoir tout tenté pour (r)établir le dialogue avec la famille.
Le problème est simple : sans certificat, c'est une absence injustifiée.
Non, dispense injustifiée, puisque l'enfant était présent à l'école
car le responsable d'établissement a l'obligation de vérifier la légitimité.
Oui. Enfin, la présence du certificat. Seul le médecin scolaire peut vérifier la légitimité d'une dispense, car le médeicin de famille se contentera d'écrire "...contre-indique les séances de piscine pour une durée de xx jours..."
Et si il y a de nouvelles absences par la suite, pas forcément à la piscine, il est aussi dans l'obligation de le signaler.
Après avoir tout tenté pour (r)établir le dialogue avec la famille.
-- Djeel
Patrick V
On 19 déc, 17:07, "Djeel" wrote:
> Le problème est simple : sans certificat, c'est une absence > injustifiée.
Non, dispense injustifiée, puisque l'enfant était présent à l'éc ole
Non, l'assiduité concerne les cours, pas la seule présence dans l'établissement :
Article L131-8 du Code de l'Education : Lorsqu'un enfant manque momentanément la classe
La classe, là, c'était piscine.
> car le responsable d'établissement a l'obligation de vérifier la > légitimité.
Oui. Enfin, la présence du certificat. Seul le médecin scolaire peut vérifier la légitimité d'une dispense, car le médeicin de famille se contentera d'écrire "...contre-indique les séances de piscine pour une durée de xx jours..."
Tout à fait. Si ce n'est que même le médecin scolaire n'a pas à vérifier la validité de la dispence, car je doûte que ce soit prévu par les textes.
On 19 déc, 17:07, "Djeel" <dj...@vcmadb.org> wrote:
> Le problème est simple : sans certificat, c'est une absence
> injustifiée.
Non, dispense injustifiée, puisque l'enfant était présent à l'éc ole
Non, l'assiduité concerne les cours, pas la seule présence dans
l'établissement :
Article L131-8 du Code de l'Education :
Lorsqu'un enfant manque momentanément la classe
La classe, là, c'était piscine.
> car le responsable d'établissement a l'obligation de vérifier la
> légitimité.
Oui. Enfin, la présence du certificat. Seul le médecin scolaire peut
vérifier la légitimité d'une dispense, car le médeicin de famille se
contentera d'écrire "...contre-indique les séances de piscine pour une durée
de xx jours..."
Tout à fait. Si ce n'est que même le médecin scolaire n'a pas à
vérifier la validité de la dispence, car je doûte que ce soit prévu
par les textes.
> Le problème est simple : sans certificat, c'est une absence > injustifiée.
Non, dispense injustifiée, puisque l'enfant était présent à l'éc ole
Non, l'assiduité concerne les cours, pas la seule présence dans l'établissement :
Article L131-8 du Code de l'Education : Lorsqu'un enfant manque momentanément la classe
La classe, là, c'était piscine.
> car le responsable d'établissement a l'obligation de vérifier la > légitimité.
Oui. Enfin, la présence du certificat. Seul le médecin scolaire peut vérifier la légitimité d'une dispense, car le médeicin de famille se contentera d'écrire "...contre-indique les séances de piscine pour une durée de xx jours..."
Tout à fait. Si ce n'est que même le médecin scolaire n'a pas à vérifier la validité de la dispence, car je doûte que ce soit prévu par les textes.
JPP
"Barbara" a écrit dans le message de news: 4768fb75$0$21149$
Jeffbie wrote:
> Mais qu'est-ce que ça peut te foutre ?????
D'autant plus que l'explication a déjà été donnée et qu'il suffisait de la lire.
--- Bonsoir Il est clair qu'avec un peu de finesse il est parfois subtil de savoir lire entre les lignes. JPP
"Barbara" <barbara@laposte.net> a écrit dans le message de news:
4768fb75$0$21149$7a628cd7@news.club-internet.fr...
Jeffbie wrote:
> Mais qu'est-ce que ça peut te foutre ?????
D'autant plus que l'explication a déjà été donnée et qu'il suffisait de la
lire.
---
Bonsoir
Il est clair qu'avec un peu de finesse il est parfois subtil de savoir lire
entre les lignes.
JPP
"Barbara" a écrit dans le message de news: 4768fb75$0$21149$
Jeffbie wrote:
> Mais qu'est-ce que ça peut te foutre ?????
D'autant plus que l'explication a déjà été donnée et qu'il suffisait de la lire.
--- Bonsoir Il est clair qu'avec un peu de finesse il est parfois subtil de savoir lire entre les lignes. JPP
Barbara
Djeel wrote:
Des absences répétées signifient soit un problème médical (dispense partielle ou totale avec certificat médical) soit un caprice (des parents ou de l'enfant) - inacceptable pour l'école - soit un problème sérieux (la piscine est le bon endroit pour découvrir des marques de coups, une réticence "religieuse" incompatible avec l'enseignement laïc, ...).
Ou encore une phobie de l'enfant. Mes parents ne m'ont jamais laissé manquer une seule séance de piscine, mais ils auraient peut-être dû, car je conçois depuis cette époque une grande peur de l'eau -alors qu'avant je pataugeais allègrement comme tous les gosses. Mais c'est vrai qu'il y a 20 ans les méthodes d'apprentissage étaient un peu plus musclées que maintenant.
Djeel wrote:
Des absences répétées signifient soit un problème médical (dispense
partielle ou totale avec certificat médical) soit un caprice (des
parents ou de l'enfant) - inacceptable pour l'école - soit un
problème sérieux (la piscine est le bon endroit pour découvrir des
marques de coups, une réticence "religieuse" incompatible avec
l'enseignement laïc, ...).
Ou encore une phobie de l'enfant. Mes parents ne m'ont jamais laissé manquer
une seule séance de piscine, mais ils auraient peut-être dû, car je conçois
depuis cette époque une grande peur de l'eau -alors qu'avant je pataugeais
allègrement comme tous les gosses. Mais c'est vrai qu'il y a 20 ans les
méthodes d'apprentissage étaient un peu plus musclées que maintenant.
Des absences répétées signifient soit un problème médical (dispense partielle ou totale avec certificat médical) soit un caprice (des parents ou de l'enfant) - inacceptable pour l'école - soit un problème sérieux (la piscine est le bon endroit pour découvrir des marques de coups, une réticence "religieuse" incompatible avec l'enseignement laïc, ...).
Ou encore une phobie de l'enfant. Mes parents ne m'ont jamais laissé manquer une seule séance de piscine, mais ils auraient peut-être dû, car je conçois depuis cette époque une grande peur de l'eau -alors qu'avant je pataugeais allègrement comme tous les gosses. Mais c'est vrai qu'il y a 20 ans les méthodes d'apprentissage étaient un peu plus musclées que maintenant.
Emmanuel
Dans fr.misc.droit, Patrick V composa le message ce Wed, 19 Dec 2007 04:37:55 -0800 (PST) :
J'ai la flemme de vérifier, mais, de mémoire, le signalement intervient après 4 absences non justifiées.
Plus exactement, le signalement _auprès de l'IA_ intervient après 4 demi-journées non justifiées. La famille reçoit alors, *théoriquement* un lettre d'avertissement officiel pour défaut de fréquentation scolaire -- Emmanuel
Dans fr.misc.droit, Patrick V composa le message
<6e26f242-f908-48c6-9cf5-19b55626903b@l32g2000hse.googlegroups.com> ce
Wed, 19 Dec 2007 04:37:55 -0800 (PST) :
J'ai la flemme de vérifier, mais, de mémoire, le signalement
intervient après 4 absences non justifiées.
Plus exactement, le signalement _auprès de l'IA_ intervient après 4
demi-journées non justifiées.
La famille reçoit alors, *théoriquement* un lettre d'avertissement
officiel pour défaut de fréquentation scolaire
--
Emmanuel
Dans fr.misc.droit, Patrick V composa le message ce Wed, 19 Dec 2007 04:37:55 -0800 (PST) :
J'ai la flemme de vérifier, mais, de mémoire, le signalement intervient après 4 absences non justifiées.
Plus exactement, le signalement _auprès de l'IA_ intervient après 4 demi-journées non justifiées. La famille reçoit alors, *théoriquement* un lettre d'avertissement officiel pour défaut de fréquentation scolaire -- Emmanuel
Djeel
Patrick V wrote:
Article L131-8 du Code de l'Education : Lorsqu'un enfant manque momentanément la classe
La classe, là, c'était piscine.
J'ai une autre vue : il n'a pas manqué la classe, mais (à la demande de ses parents) il n'a pas participé à la séance de piscine. Ce qui arrive de temps à autre, c'est la version "hypocrite" : l'élève a malencontreusement oublié ses affaires de piscine !
Tout à fait. Si ce n'est que même le médecin scolaire n'a pas à vérifier la validité de la dispence, car je doûte que ce soit prévu par les textes.
Si, le médecin scolaire est habilité à vérifier auprès d'un médecin (de la famille) la pertinence de tout certificat médical. Voir peut-être http://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/eps/ipr/acad/infoipr/INAP.asp#Décret no 88-977 du 11 octobre 1988
cordialement -- Djeel
Patrick V wrote:
Article L131-8 du Code de l'Education :
Lorsqu'un enfant manque momentanément la classe
La classe, là, c'était piscine.
J'ai une autre vue : il n'a pas manqué la classe, mais (à la demande de ses
parents) il n'a pas participé à la séance de piscine.
Ce qui arrive de temps à autre, c'est la version "hypocrite" : l'élève a
malencontreusement oublié ses affaires de piscine !
Tout à fait. Si ce n'est que même le médecin scolaire n'a pas à
vérifier la validité de la dispence, car je doûte que ce soit prévu
par les textes.
Si, le médecin scolaire est habilité à vérifier auprès d'un médecin (de la
famille) la pertinence de tout certificat médical.
Voir peut-être
http://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/eps/ipr/acad/infoipr/INAP.asp#Décret no
88-977 du 11 octobre 1988
Article L131-8 du Code de l'Education : Lorsqu'un enfant manque momentanément la classe
La classe, là, c'était piscine.
J'ai une autre vue : il n'a pas manqué la classe, mais (à la demande de ses parents) il n'a pas participé à la séance de piscine. Ce qui arrive de temps à autre, c'est la version "hypocrite" : l'élève a malencontreusement oublié ses affaires de piscine !
Tout à fait. Si ce n'est que même le médecin scolaire n'a pas à vérifier la validité de la dispence, car je doûte que ce soit prévu par les textes.
Si, le médecin scolaire est habilité à vérifier auprès d'un médecin (de la famille) la pertinence de tout certificat médical. Voir peut-être http://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/eps/ipr/acad/infoipr/INAP.asp#Décret no 88-977 du 11 octobre 1988
D'une plume alerte, dans le message , Scipion écrit:
Glurps !
Ca va l'embêter même plus de 5 minutes pour trouver " son " texte. Il ne s'agit pas dans ce cas de faire dans le compassionel mais de mettre les choses au point : elle avance que " c'est la loi ", eh bien il lui revient d'en faire la démonstration.
Quelle autre alternative voyez vous ?
Le texte existe et les références ainsi qu'un long extrait sous la plume de P. Vuichard. Pour le reste lorsqu'il n'existe que 2 solutions, cela constitue une seule alternative.
--
D'une plume alerte, dans le message 476940F5.31859275@free.fr,
Scipion <Coliseum@free.fr> écrit:
Glurps !
Ca va l'embêter même plus de 5 minutes pour trouver " son " texte.
Il ne s'agit pas dans ce cas de faire dans le compassionel mais de
mettre les choses au point : elle avance que " c'est la loi ", eh
bien il lui revient d'en faire la démonstration.
Quelle autre alternative voyez vous ?
Le texte existe et les références ainsi qu'un long extrait sous la plume
de P. Vuichard.
Pour le reste lorsqu'il n'existe que 2 solutions, cela constitue une
seule alternative.
D'une plume alerte, dans le message , Scipion écrit:
Glurps !
Ca va l'embêter même plus de 5 minutes pour trouver " son " texte. Il ne s'agit pas dans ce cas de faire dans le compassionel mais de mettre les choses au point : elle avance que " c'est la loi ", eh bien il lui revient d'en faire la démonstration.
Quelle autre alternative voyez vous ?
Le texte existe et les références ainsi qu'un long extrait sous la plume de P. Vuichard. Pour le reste lorsqu'il n'existe que 2 solutions, cela constitue une seule alternative.
--
Patrick V
On 19 déc, 20:50, "Djeel" wrote:
> La classe, là, c'était piscine.
J'ai une autre vue : il n'a pas manqué la classe, mais (à la demande d e ses parents) il n'a pas participé à la séance de piscine.
Ce qui revient au même.
> Tout à fait. Si ce n'est que même le médecin scolaire n'a pas à > vérifier la validité de la dispence, car je doûte que ce soit pr évu > par les textes.
Si, le médecin scolaire est habilité à vérifier auprès d'un mé decin (de la famille) la pertinence de tout certificat médical. Voir peut-êtrehttp://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/eps/ipr/acad/infoipr/I NAP.asp#Décret no 88-977 du 11 octobre 1988
Outre le fait que ce décret est abrogé, il ne dit absolument pas ça.
On 19 déc, 20:50, "Djeel" <dj...@vcmadb.org> wrote:
> La classe, là, c'était piscine.
J'ai une autre vue : il n'a pas manqué la classe, mais (à la demande d e ses
parents) il n'a pas participé à la séance de piscine.
Ce qui revient au même.
> Tout à fait. Si ce n'est que même le médecin scolaire n'a pas à
> vérifier la validité de la dispence, car je doûte que ce soit pr évu
> par les textes.
Si, le médecin scolaire est habilité à vérifier auprès d'un mé decin (de la
famille) la pertinence de tout certificat médical.
Voir peut-êtrehttp://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/eps/ipr/acad/infoipr/I NAP.asp#Décret no
88-977 du 11 octobre 1988
Outre le fait que ce décret est abrogé, il ne dit absolument pas ça.
J'ai une autre vue : il n'a pas manqué la classe, mais (à la demande d e ses parents) il n'a pas participé à la séance de piscine.
Ce qui revient au même.
> Tout à fait. Si ce n'est que même le médecin scolaire n'a pas à > vérifier la validité de la dispence, car je doûte que ce soit pr évu > par les textes.
Si, le médecin scolaire est habilité à vérifier auprès d'un mé decin (de la famille) la pertinence de tout certificat médical. Voir peut-êtrehttp://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/eps/ipr/acad/infoipr/I NAP.asp#Décret no 88-977 du 11 octobre 1988
Outre le fait que ce décret est abrogé, il ne dit absolument pas ça.
Dominique G
Djeel a déclaré le mer. 19 déc. 2007 08:50:40p dans le message news:476975d2$0$27285$
Patrick V wrote:
Article L131-8 du Code de l'Education : Lorsqu'un enfant manque momentanément la classe
La classe, là, c'était piscine.
J'ai une autre vue : il n'a pas manqué la classe, mais (à la demande de ses parents) il n'a pas participé à la séance de piscine.
Si, il a manqué la classe puisque l' activité sportive était prévue pendant les heures de classe.
Ce qui arrive de temps à autre, c'est la version "hypocrite" : l'élève a malencontreusement oublié ses affaires de piscine !
De mon temps (hé oui...), ce motif entraînait une punition tout comme l'oubli des instruments de géométrie ou de dessin. Une retenue, par exemple, après les heures de classe :)
Tout à fait. Si ce n'est que même le médecin scolaire n'a pas à vérifier la validité de la dispence, car je doûte que ce soit prévu par les textes.
Si, le médecin scolaire est habilité à vérifier auprès d'un médecin (de la famille) la pertinence de tout certificat médical.
Non. Le médecin est libre de son diagnostic et des conséquences qu'il en tire pour la fréquentation scolaire de son patient. Le médecin scolaire n'a pas à intervenir sur le diagnostic ni la prescription.
-- G:-D http://www.egaltraitement.net/
Djeel a déclaré le mer. 19 déc. 2007 08:50:40p dans le message
news:476975d2$0$27285$426a74cc@news.free.fr
Patrick V wrote:
Article L131-8 du Code de l'Education :
Lorsqu'un enfant manque momentanément la classe
La classe, là, c'était piscine.
J'ai une autre vue : il n'a pas manqué la classe, mais (à la demande
de ses parents) il n'a pas participé à la séance de piscine.
Si, il a manqué la classe puisque l' activité sportive était prévue
pendant les heures de classe.
Ce qui arrive de temps à autre, c'est la version "hypocrite" : l'élève
a malencontreusement oublié ses affaires de piscine !
De mon temps (hé oui...), ce motif entraînait une punition tout comme
l'oubli des instruments de géométrie ou de dessin.
Une retenue, par exemple, après les heures de classe :)
Tout à fait. Si ce n'est que même le médecin scolaire n'a pas à
vérifier la validité de la dispence, car je doûte que ce soit prévu
par les textes.
Si, le médecin scolaire est habilité à vérifier auprès d'un médecin
(de la famille) la pertinence de tout certificat médical.
Non.
Le médecin est libre de son diagnostic et des conséquences qu'il en tire
pour la fréquentation scolaire de son patient.
Le médecin scolaire n'a pas à intervenir sur le diagnostic ni la
prescription.
Djeel a déclaré le mer. 19 déc. 2007 08:50:40p dans le message news:476975d2$0$27285$
Patrick V wrote:
Article L131-8 du Code de l'Education : Lorsqu'un enfant manque momentanément la classe
La classe, là, c'était piscine.
J'ai une autre vue : il n'a pas manqué la classe, mais (à la demande de ses parents) il n'a pas participé à la séance de piscine.
Si, il a manqué la classe puisque l' activité sportive était prévue pendant les heures de classe.
Ce qui arrive de temps à autre, c'est la version "hypocrite" : l'élève a malencontreusement oublié ses affaires de piscine !
De mon temps (hé oui...), ce motif entraînait une punition tout comme l'oubli des instruments de géométrie ou de dessin. Une retenue, par exemple, après les heures de classe :)
Tout à fait. Si ce n'est que même le médecin scolaire n'a pas à vérifier la validité de la dispence, car je doûte que ce soit prévu par les textes.
Si, le médecin scolaire est habilité à vérifier auprès d'un médecin (de la famille) la pertinence de tout certificat médical.
Non. Le médecin est libre de son diagnostic et des conséquences qu'il en tire pour la fréquentation scolaire de son patient. Le médecin scolaire n'a pas à intervenir sur le diagnostic ni la prescription.