La loi ne passera pas, malgré les magouilles des sionistes
français
La loi ne passera pas, malgré les magouilles des sionistes
français
La loi ne passera pas, malgré les magouilles des sionistes
français
Olive :La loi ne passera pas, malgré les magouilles des sionistes
français
Vous sous-estimez peut-être le contrôle exercé par la
communauté organisée sur l'appareil d'Etat et le corps
législatif.
Olive :
La loi ne passera pas, malgré les magouilles des sionistes
français
Vous sous-estimez peut-être le contrôle exercé par la
communauté organisée sur l'appareil d'Etat et le corps
législatif.
Olive :La loi ne passera pas, malgré les magouilles des sionistes
français
Vous sous-estimez peut-être le contrôle exercé par la
communauté organisée sur l'appareil d'Etat et le corps
législatif.
Le 18/02/2019 à 19:47, a écrit :"K." écrivait:Le 18/02/2019 à 10:53, a écrit :"K." écrivait:Suite aux insultes proférées par un "gilet jaune" (de tendance
salafiste) à l'encontre d'Alain Finkielkraut, un groupe de députés issus
de diverses formations politiques prépare un projet de loi visant à
durcir la législation en faisant de l'antisionisme un délit au même
titre que l'antisémitisme (dont il n'est souvent que l'alibi).
Comme le fait justement remarquer Sylvain Maillard (UDI), l'un des
artisans de ce projet, "la haine d'Israël est une nouvelle façon de haïr
les juifs [...] On peut critiquer le gouvernement d'Israël, mais pas
remettre en cause l'existence même de cet État. Personne ne remet en
question l'existence de l'État français ou de l'État allemand".
Fait un petit tour dans la vraie vie et tu verras que les mecs qui ont
insultés M. Finkielkraut ne détestes pas que les sionistes, mais aussi les
"sales gaulois" et plus généralement la société occidentale chrétienne.
Comme souvent quand un projet de loi est déposé sous le coup de l'émotion,
il se trompe de cible et/ou de combat.
A moins que tu penses que nous soyons moins dignes d'être protégé par la loi ?
C'est en tant que "juif/sioniste" que Finkielkraut a été insulté, pas en
tant que Français, Gaulois, Blanc ou "souchien".
J'ai ré écouté les insultes qui ont été adressé à M.Finkielkraut.
Les individus salafistes(?) dont tu parlais ont
- insulté un Français de confession juive
Ce sont les propos qui comptent, pas la nationalité, la religion ou la
couleur de celui qui est victime de l'injure. Si l'on vous traite de
"sale nègre", l'insulte à caractère raciste est constituée même si vous
êtes blanc comme neige.
Que Finkielkraut fréquente ou pas la synagogue, qu'il soit ou non de
nationalité française, cela n'entre pas en ligne de compte dans
l'évaluation du délit.
Les insultes comme "barre-toi, sale sioniste de merde", sont clairement
dirigées contre une communauté, étant entendu que le mot "sioniste" ici
est dévoyé de son sens historique, selon un procédé très largement
employé par les antisémites "modernes" qui pensent ainsi échapper aux
poursuites judiciaires.- rappelé que la France est à eux (les fameux salafistes ?)C'est donc normal que la réaction se focalise sur le problème de
l'antisémitisme.
Non, puisque cela ne correspond que très partiellement à la réalité,
les salafistes/islamistes semblant détester autant les juifs que les chrétiens.
C'est possible, en effet. Mais la Justice ne s'intéresse qu'aux actes,
pas aux pensées supposées ou aux intentions cachées.
Or, les faits en l'occurrence se limitent à des insultes proférées
publiquement et dont le caractère raciste, antisémite pourrait
constituer une circonstance aggravante.
Si le type en question avait aussi vomi sa haine sur les chrétiens, cela
aurait pu aussi être retenu contre lui, mais il s'est apparemment, pour
cette fois, limité aux "sionistes".
C'est donc pour ces faits qu'il sera jugé.En outre, je ne pense pas qu'il s'agisse d'une décision prise sous le
coup de l'émotion puisque la question de la pénalisation des propos dits
"antisionistes" revient régulièrement sur le devant de l'actualité.
Il y a plein de choses qui reviennent régulièrement sur le devant de l'actualité.
Et faire une loi à chaque fois sous le coup de l'émotion n'a jamais résolu le problème.
Affaires Halimi, Mohammed Merah, Hyper Cacher de la Porte de Vincennes,
etc. Il me semble que l'antisémitisme ne se contente plus de mots en
France. Il tue.
Il est donc évident qu'il faut renforcer la protection des citoyens face
à ce fléau. Et si ça revient si souvent dans l'actualité, c'est
peut-être bien parce que le problème est réel.
Surtout quand cela fait confondre deux notions différentes: anti-juifs et anti-sionistes.
Argument massue des "nouveaux antisémites". Il faut en finir avec
l'hypocrisie qui consiste à se retrancher derrière un "antisionisme" qui
serait légitime pour exprimer des sentiments de haine qui relèvent de
l'antisémitisme.
La loi permettrait justement de clarifier les choses.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes d'antisémitisme.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes de discrimination.
Que cela soit envers des juifs ou des chrétiens, des noirs ou des blancs.
Distinguer les uns des autres ne peut aboutir qu'a un renforcement des haines.
Se rappeler des valeurs de la république: liberté, égalité, fraternité.
Nous sommes bien d'accord. La loi est d'ailleurs la même pour tous et
condamne pareillement "l’injure raciste, la diffamation, la provocation
à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une
personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur
appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une
race ou une religion déterminée."
Vous remarquerez qu'elle ne marque pas de différence entre les religions
ou les origines. Simplement, en fonction de l'actualité, certains sujets
sont peut-être plus sensibles que d'autres.
Le 18/02/2019 à 19:47, a@a.a.invalid a écrit :
"K." <secwin88@yahoo.co.jp> écrivait:
Le 18/02/2019 à 10:53, a@a.a.invalid a écrit :
"K." <secwin88@yahoo.co.jp> écrivait:
Suite aux insultes proférées par un "gilet jaune" (de tendance
salafiste) à l'encontre d'Alain Finkielkraut, un groupe de députés issus
de diverses formations politiques prépare un projet de loi visant à
durcir la législation en faisant de l'antisionisme un délit au même
titre que l'antisémitisme (dont il n'est souvent que l'alibi).
Comme le fait justement remarquer Sylvain Maillard (UDI), l'un des
artisans de ce projet, "la haine d'Israël est une nouvelle façon de haïr
les juifs [...] On peut critiquer le gouvernement d'Israël, mais pas
remettre en cause l'existence même de cet État. Personne ne remet en
question l'existence de l'État français ou de l'État allemand".
Fait un petit tour dans la vraie vie et tu verras que les mecs qui ont
insultés M. Finkielkraut ne détestes pas que les sionistes, mais aussi les
"sales gaulois" et plus généralement la société occidentale chrétienne.
Comme souvent quand un projet de loi est déposé sous le coup de l'émotion,
il se trompe de cible et/ou de combat.
A moins que tu penses que nous soyons moins dignes d'être protégé par la loi ?
C'est en tant que "juif/sioniste" que Finkielkraut a été insulté, pas en
tant que Français, Gaulois, Blanc ou "souchien".
J'ai ré écouté les insultes qui ont été adressé à M.Finkielkraut.
Les individus salafistes(?) dont tu parlais ont
- insulté un Français de confession juive
Ce sont les propos qui comptent, pas la nationalité, la religion ou la
couleur de celui qui est victime de l'injure. Si l'on vous traite de
"sale nègre", l'insulte à caractère raciste est constituée même si vous
êtes blanc comme neige.
Que Finkielkraut fréquente ou pas la synagogue, qu'il soit ou non de
nationalité française, cela n'entre pas en ligne de compte dans
l'évaluation du délit.
Les insultes comme "barre-toi, sale sioniste de merde", sont clairement
dirigées contre une communauté, étant entendu que le mot "sioniste" ici
est dévoyé de son sens historique, selon un procédé très largement
employé par les antisémites "modernes" qui pensent ainsi échapper aux
poursuites judiciaires.
- rappelé que la France est à eux (les fameux salafistes ?)
C'est donc normal que la réaction se focalise sur le problème de
l'antisémitisme.
Non, puisque cela ne correspond que très partiellement à la réalité,
les salafistes/islamistes semblant détester autant les juifs que les chrétiens.
C'est possible, en effet. Mais la Justice ne s'intéresse qu'aux actes,
pas aux pensées supposées ou aux intentions cachées.
Or, les faits en l'occurrence se limitent à des insultes proférées
publiquement et dont le caractère raciste, antisémite pourrait
constituer une circonstance aggravante.
Si le type en question avait aussi vomi sa haine sur les chrétiens, cela
aurait pu aussi être retenu contre lui, mais il s'est apparemment, pour
cette fois, limité aux "sionistes".
C'est donc pour ces faits qu'il sera jugé.
En outre, je ne pense pas qu'il s'agisse d'une décision prise sous le
coup de l'émotion puisque la question de la pénalisation des propos dits
"antisionistes" revient régulièrement sur le devant de l'actualité.
Il y a plein de choses qui reviennent régulièrement sur le devant de l'actualité.
Et faire une loi à chaque fois sous le coup de l'émotion n'a jamais résolu le problème.
Affaires Halimi, Mohammed Merah, Hyper Cacher de la Porte de Vincennes,
etc. Il me semble que l'antisémitisme ne se contente plus de mots en
France. Il tue.
Il est donc évident qu'il faut renforcer la protection des citoyens face
à ce fléau. Et si ça revient si souvent dans l'actualité, c'est
peut-être bien parce que le problème est réel.
Surtout quand cela fait confondre deux notions différentes: anti-juifs et anti-sionistes.
Argument massue des "nouveaux antisémites". Il faut en finir avec
l'hypocrisie qui consiste à se retrancher derrière un "antisionisme" qui
serait légitime pour exprimer des sentiments de haine qui relèvent de
l'antisémitisme.
La loi permettrait justement de clarifier les choses.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes d'antisémitisme.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes de discrimination.
Que cela soit envers des juifs ou des chrétiens, des noirs ou des blancs.
Distinguer les uns des autres ne peut aboutir qu'a un renforcement des haines.
Se rappeler des valeurs de la république: liberté, égalité, fraternité.
Nous sommes bien d'accord. La loi est d'ailleurs la même pour tous et
condamne pareillement "l’injure raciste, la diffamation, la provocation
à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une
personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur
appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une
race ou une religion déterminée."
Vous remarquerez qu'elle ne marque pas de différence entre les religions
ou les origines. Simplement, en fonction de l'actualité, certains sujets
sont peut-être plus sensibles que d'autres.
Le 18/02/2019 à 19:47, a écrit :"K." écrivait:Le 18/02/2019 à 10:53, a écrit :"K." écrivait:Suite aux insultes proférées par un "gilet jaune" (de tendance
salafiste) à l'encontre d'Alain Finkielkraut, un groupe de députés issus
de diverses formations politiques prépare un projet de loi visant à
durcir la législation en faisant de l'antisionisme un délit au même
titre que l'antisémitisme (dont il n'est souvent que l'alibi).
Comme le fait justement remarquer Sylvain Maillard (UDI), l'un des
artisans de ce projet, "la haine d'Israël est une nouvelle façon de haïr
les juifs [...] On peut critiquer le gouvernement d'Israël, mais pas
remettre en cause l'existence même de cet État. Personne ne remet en
question l'existence de l'État français ou de l'État allemand".
Fait un petit tour dans la vraie vie et tu verras que les mecs qui ont
insultés M. Finkielkraut ne détestes pas que les sionistes, mais aussi les
"sales gaulois" et plus généralement la société occidentale chrétienne.
Comme souvent quand un projet de loi est déposé sous le coup de l'émotion,
il se trompe de cible et/ou de combat.
A moins que tu penses que nous soyons moins dignes d'être protégé par la loi ?
C'est en tant que "juif/sioniste" que Finkielkraut a été insulté, pas en
tant que Français, Gaulois, Blanc ou "souchien".
J'ai ré écouté les insultes qui ont été adressé à M.Finkielkraut.
Les individus salafistes(?) dont tu parlais ont
- insulté un Français de confession juive
Ce sont les propos qui comptent, pas la nationalité, la religion ou la
couleur de celui qui est victime de l'injure. Si l'on vous traite de
"sale nègre", l'insulte à caractère raciste est constituée même si vous
êtes blanc comme neige.
Que Finkielkraut fréquente ou pas la synagogue, qu'il soit ou non de
nationalité française, cela n'entre pas en ligne de compte dans
l'évaluation du délit.
Les insultes comme "barre-toi, sale sioniste de merde", sont clairement
dirigées contre une communauté, étant entendu que le mot "sioniste" ici
est dévoyé de son sens historique, selon un procédé très largement
employé par les antisémites "modernes" qui pensent ainsi échapper aux
poursuites judiciaires.- rappelé que la France est à eux (les fameux salafistes ?)C'est donc normal que la réaction se focalise sur le problème de
l'antisémitisme.
Non, puisque cela ne correspond que très partiellement à la réalité,
les salafistes/islamistes semblant détester autant les juifs que les chrétiens.
C'est possible, en effet. Mais la Justice ne s'intéresse qu'aux actes,
pas aux pensées supposées ou aux intentions cachées.
Or, les faits en l'occurrence se limitent à des insultes proférées
publiquement et dont le caractère raciste, antisémite pourrait
constituer une circonstance aggravante.
Si le type en question avait aussi vomi sa haine sur les chrétiens, cela
aurait pu aussi être retenu contre lui, mais il s'est apparemment, pour
cette fois, limité aux "sionistes".
C'est donc pour ces faits qu'il sera jugé.En outre, je ne pense pas qu'il s'agisse d'une décision prise sous le
coup de l'émotion puisque la question de la pénalisation des propos dits
"antisionistes" revient régulièrement sur le devant de l'actualité.
Il y a plein de choses qui reviennent régulièrement sur le devant de l'actualité.
Et faire une loi à chaque fois sous le coup de l'émotion n'a jamais résolu le problème.
Affaires Halimi, Mohammed Merah, Hyper Cacher de la Porte de Vincennes,
etc. Il me semble que l'antisémitisme ne se contente plus de mots en
France. Il tue.
Il est donc évident qu'il faut renforcer la protection des citoyens face
à ce fléau. Et si ça revient si souvent dans l'actualité, c'est
peut-être bien parce que le problème est réel.
Surtout quand cela fait confondre deux notions différentes: anti-juifs et anti-sionistes.
Argument massue des "nouveaux antisémites". Il faut en finir avec
l'hypocrisie qui consiste à se retrancher derrière un "antisionisme" qui
serait légitime pour exprimer des sentiments de haine qui relèvent de
l'antisémitisme.
La loi permettrait justement de clarifier les choses.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes d'antisémitisme.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes de discrimination.
Que cela soit envers des juifs ou des chrétiens, des noirs ou des blancs.
Distinguer les uns des autres ne peut aboutir qu'a un renforcement des haines.
Se rappeler des valeurs de la république: liberté, égalité, fraternité.
Nous sommes bien d'accord. La loi est d'ailleurs la même pour tous et
condamne pareillement "l’injure raciste, la diffamation, la provocation
à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une
personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur
appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une
race ou une religion déterminée."
Vous remarquerez qu'elle ne marque pas de différence entre les religions
ou les origines. Simplement, en fonction de l'actualité, certains sujets
sont peut-être plus sensibles que d'autres.
Le 18/02/2019 à 21:11, Cl.Massé a écrit :"K." a écrit dans le message de groupe de discussion :
q4due9$tg5$Suite aux insultes proférées par un "gilet jaune" (de tendance
salafiste) à l'encontre d'Alain Finkielkraut, un groupe de députés
issus de diverses formations politiques prépare un projet de loi
visant à durcir la législation en faisant de l'antisionisme un délit
Déjà c'est pas possible, une opinion ne peut jamais être un délit.
L'injure à caractère raciste n'est pas une "opinion", c'est un délit.
Le 18/02/2019 à 21:11, Cl.Massé a écrit :
"K." a écrit dans le message de groupe de discussion :
q4due9$tg5$1@dont-email.me...
Suite aux insultes proférées par un "gilet jaune" (de tendance
salafiste) à l'encontre d'Alain Finkielkraut, un groupe de députés
issus de diverses formations politiques prépare un projet de loi
visant à durcir la législation en faisant de l'antisionisme un délit
Déjà c'est pas possible, une opinion ne peut jamais être un délit.
L'injure à caractère raciste n'est pas une "opinion", c'est un délit.
Le 18/02/2019 à 21:11, Cl.Massé a écrit :"K." a écrit dans le message de groupe de discussion :
q4due9$tg5$Suite aux insultes proférées par un "gilet jaune" (de tendance
salafiste) à l'encontre d'Alain Finkielkraut, un groupe de députés
issus de diverses formations politiques prépare un projet de loi
visant à durcir la législation en faisant de l'antisionisme un délit
Déjà c'est pas possible, une opinion ne peut jamais être un délit.
L'injure à caractère raciste n'est pas une "opinion", c'est un délit.
Le 18/02/2019 à 19:48, Fang a écrit :Le 18/02/2019 à 18:23, K. a écrit :Le fait de ne pas pouvoir dire ou écrire le mot "Israël" est un signe
qui ne trompe pas. C'est le schibboleth des antisionistes les plus
radicaux.
Je ne comprends pas.
http://www.vatican.va/archive/hist_councils/ii_vatican_council/documents/vat-ii_const_19641121_lumen-gentium_fr.html
« le nouvel Israël qui s’avance dans le siècle présent en quête de la
cité future, celle-là permanente (cf. He 13, 14), est appelé lui aussi
: l’Église du Christ (cf. Mt 16, 18) : c’est le Christ, en effet, qui
l’a acheté de son sang (cf. Ac 20, 28), empli de son Esprit et pourvu
des moyens adaptés pour son unité visible et sociale. »
Bel exemple d'usurpation d'identité.
C'est du même ordre d'idée que les
Arabes qui se sont fait passer pour "palestiniens"
Le 18/02/2019 à 19:48, Fang a écrit :
Le 18/02/2019 à 18:23, K. a écrit :
Le fait de ne pas pouvoir dire ou écrire le mot "Israël" est un signe
qui ne trompe pas. C'est le schibboleth des antisionistes les plus
radicaux.
Je ne comprends pas.
http://www.vatican.va/archive/hist_councils/ii_vatican_council/documents/vat-ii_const_19641121_lumen-gentium_fr.html
« le nouvel Israël qui s’avance dans le siècle présent en quête de la
cité future, celle-là permanente (cf. He 13, 14), est appelé lui aussi
: l’Église du Christ (cf. Mt 16, 18) : c’est le Christ, en effet, qui
l’a acheté de son sang (cf. Ac 20, 28), empli de son Esprit et pourvu
des moyens adaptés pour son unité visible et sociale. »
Bel exemple d'usurpation d'identité.
C'est du même ordre d'idée que les
Arabes qui se sont fait passer pour "palestiniens"
Le 18/02/2019 à 19:48, Fang a écrit :Le 18/02/2019 à 18:23, K. a écrit :Le fait de ne pas pouvoir dire ou écrire le mot "Israël" est un signe
qui ne trompe pas. C'est le schibboleth des antisionistes les plus
radicaux.
Je ne comprends pas.
http://www.vatican.va/archive/hist_councils/ii_vatican_council/documents/vat-ii_const_19641121_lumen-gentium_fr.html
« le nouvel Israël qui s’avance dans le siècle présent en quête de la
cité future, celle-là permanente (cf. He 13, 14), est appelé lui aussi
: l’Église du Christ (cf. Mt 16, 18) : c’est le Christ, en effet, qui
l’a acheté de son sang (cf. Ac 20, 28), empli de son Esprit et pourvu
des moyens adaptés pour son unité visible et sociale. »
Bel exemple d'usurpation d'identité.
C'est du même ordre d'idée que les
Arabes qui se sont fait passer pour "palestiniens"
K. :Comme le fait justement remarquer Sylvain Maillard (UDI)
LREM.
K. :
Comme le fait justement remarquer Sylvain Maillard (UDI)
LREM.
K. :Comme le fait justement remarquer Sylvain Maillard (UDI)
LREM.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes d'antisémitisme.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes de discrimination.
Que cela soit envers des juifs ou des chrétiens, des noirs ou des blancs.
Distinguer les uns des autres ne peut aboutir qu'a un renforcement des haines.
Se rappeler des valeurs de la république: liberté, égalité, fraternité.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes d'antisémitisme.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes de discrimination.
Que cela soit envers des juifs ou des chrétiens, des noirs ou des blancs.
Distinguer les uns des autres ne peut aboutir qu'a un renforcement des haines.
Se rappeler des valeurs de la république: liberté, égalité, fraternité.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes d'antisémitisme.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes de discrimination.
Que cela soit envers des juifs ou des chrétiens, des noirs ou des blancs.
Distinguer les uns des autres ne peut aboutir qu'a un renforcement des haines.
Se rappeler des valeurs de la république: liberté, égalité, fraternité.
Le 18/02/2019 à 10:53, a écrit :"K." écrivait:Suite aux insultes proférées par un "gilet jaune" (de tendance
salafiste) à l'encontre d'Alain Finkielkraut, un groupe de députés issus
de diverses formations politiques prépare un projet de loi visant à
durcir la législation en faisant de l'antisionisme un délit au même
titre que l'antisémitisme (dont il n'est souvent que l'alibi).
Comme le fait justement remarquer Sylvain Maillard (UDI), l'un des
artisans de ce projet, "la haine d'Israël est une nouvelle façon de haïr
les juifs [...] On peut critiquer le gouvernement d'Israël, mais pas
remettre en cause l'existence même de cet État. Personne ne remet en
question l'existence de l'État français ou de l'État allemand".
Fait un petit tour dans la vraie vie et tu verras que les mecs qui ont
insultés M. Finkielkraut ne détestes pas que les sionistes, mais aussi les
"sales gaulois" et plus généralement la société occidentale chrétienne.
Comme souvent quand un projet de loi est déposé sous le coup de
l'émotion, il se trompe de cible et/ou de combat. A moins que tu penses
que nous soyons moins dignes d'être protégé par la loi ?
C'est en tant que "juif/sioniste" que Finkielkraut a été insulté, pas en
tant que Français, Gaulois, Blanc ou "souchien".
C'est donc normal que la réaction se focalise sur le problème de
l'antisémitisme.
En outre, je ne pense pas qu'il s'agisse d'une décision prise sous le
coup de l'émotion puisque la question de la pénalisation des propos dits
"antisionistes" revient régulièrement sur le devant de l'actualité.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes d'antisémitisme.
Le 18/02/2019 à 10:53, a@a.a.invalid a écrit :
> "K." <secwin88@yahoo.co.jp> écrivait:
>
>> Suite aux insultes proférées par un "gilet jaune" (de tendance
>> salafiste) à l'encontre d'Alain Finkielkraut, un groupe de députés issus
>> de diverses formations politiques prépare un projet de loi visant à
>> durcir la législation en faisant de l'antisionisme un délit au même
>> titre que l'antisémitisme (dont il n'est souvent que l'alibi).
>>
>> Comme le fait justement remarquer Sylvain Maillard (UDI), l'un des
>> artisans de ce projet, "la haine d'Israël est une nouvelle façon de haïr
>> les juifs [...] On peut critiquer le gouvernement d'Israël, mais pas
>> remettre en cause l'existence même de cet État. Personne ne remet en
>> question l'existence de l'État français ou de l'État allemand".
>
> Fait un petit tour dans la vraie vie et tu verras que les mecs qui ont
> insultés M. Finkielkraut ne détestes pas que les sionistes, mais aussi les
> "sales gaulois" et plus généralement la société occidentale chrétienne.
>
> Comme souvent quand un projet de loi est déposé sous le coup de
> l'émotion, il se trompe de cible et/ou de combat. A moins que tu penses
> que nous soyons moins dignes d'être protégé par la loi ?
C'est en tant que "juif/sioniste" que Finkielkraut a été insulté, pas en
tant que Français, Gaulois, Blanc ou "souchien".
C'est donc normal que la réaction se focalise sur le problème de
l'antisémitisme.
En outre, je ne pense pas qu'il s'agisse d'une décision prise sous le
coup de l'émotion puisque la question de la pénalisation des propos dits
"antisionistes" revient régulièrement sur le devant de l'actualité.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes d'antisémitisme.
Le 18/02/2019 à 10:53, a écrit :"K." écrivait:Suite aux insultes proférées par un "gilet jaune" (de tendance
salafiste) à l'encontre d'Alain Finkielkraut, un groupe de députés issus
de diverses formations politiques prépare un projet de loi visant à
durcir la législation en faisant de l'antisionisme un délit au même
titre que l'antisémitisme (dont il n'est souvent que l'alibi).
Comme le fait justement remarquer Sylvain Maillard (UDI), l'un des
artisans de ce projet, "la haine d'Israël est une nouvelle façon de haïr
les juifs [...] On peut critiquer le gouvernement d'Israël, mais pas
remettre en cause l'existence même de cet État. Personne ne remet en
question l'existence de l'État français ou de l'État allemand".
Fait un petit tour dans la vraie vie et tu verras que les mecs qui ont
insultés M. Finkielkraut ne détestes pas que les sionistes, mais aussi les
"sales gaulois" et plus généralement la société occidentale chrétienne.
Comme souvent quand un projet de loi est déposé sous le coup de
l'émotion, il se trompe de cible et/ou de combat. A moins que tu penses
que nous soyons moins dignes d'être protégé par la loi ?
C'est en tant que "juif/sioniste" que Finkielkraut a été insulté, pas en
tant que Français, Gaulois, Blanc ou "souchien".
C'est donc normal que la réaction se focalise sur le problème de
l'antisémitisme.
En outre, je ne pense pas qu'il s'agisse d'une décision prise sous le
coup de l'émotion puisque la question de la pénalisation des propos dits
"antisionistes" revient régulièrement sur le devant de l'actualité.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes d'antisémitisme.
Bel exemple d'usurpation d'identité. C'est du même ordre d'idée que les
Arabes qui se sont fait passer pour "palestiniens", selon une stratégie de
cannibalisme identitaire qui a parfaitement fonctionné.
Bel exemple d'usurpation d'identité. C'est du même ordre d'idée que les
Arabes qui se sont fait passer pour "palestiniens", selon une stratégie de
cannibalisme identitaire qui a parfaitement fonctionné.
Bel exemple d'usurpation d'identité. C'est du même ordre d'idée que les
Arabes qui se sont fait passer pour "palestiniens", selon une stratégie de
cannibalisme identitaire qui a parfaitement fonctionné.
K. wrote:Le 18/02/2019 à 10:53, a écrit :"K." écrivait:Suite aux insultes proférées par un "gilet jaune" (de tendance
salafiste) à l'encontre d'Alain Finkielkraut, un groupe de députés issus
de diverses formations politiques prépare un projet de loi visant à
durcir la législation en faisant de l'antisionisme un délit au même
titre que l'antisémitisme (dont il n'est souvent que l'alibi).
Comme le fait justement remarquer Sylvain Maillard (UDI), l'un des
artisans de ce projet, "la haine d'Israël est une nouvelle façon de haïr
les juifs [...] On peut critiquer le gouvernement d'Israël, mais pas
remettre en cause l'existence même de cet État. Personne ne remet en
question l'existence de l'État français ou de l'État allemand".
Fait un petit tour dans la vraie vie et tu verras que les mecs qui ont
insultés M. Finkielkraut ne détestes pas que les sionistes, mais aussi les
"sales gaulois" et plus généralement la société occidentale chrétienne.
Comme souvent quand un projet de loi est déposé sous le coup de
l'émotion, il se trompe de cible et/ou de combat. A moins que tu penses
que nous soyons moins dignes d'être protégé par la loi ?
C'est en tant que "juif/sioniste" que Finkielkraut a été insulté, pas en
tant que Français, Gaulois, Blanc ou "souchien".
C'est donc normal que la réaction se focalise sur le problème de
l'antisémitisme.
En outre, je ne pense pas qu'il s'agisse d'une décision prise sous le
coup de l'émotion puisque la question de la pénalisation des propos dits
"antisionistes" revient régulièrement sur le devant de l'actualité.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes d'antisémitisme.
L'antisionisme est un terme inventé par Staline pour ne pas dire
antisémitisme quand il s'attaquait à des Juifs. Affaire Slansky et
London en Tchécoslovaquie mise en scène dans l'Aveu de Costa-Gavras.
A priori le sionisme n'a plus de raison d'être depuis 1948 car son but
était atteint. Les antisionistes d'aujourd'hui ne sont même pas contre
la politique abominable d'Israël d'aujourd'hui mais contre son existence
même.
Ce pays est né dans la plus parfaite légalité sous l'égide de l'ONU.
Posons la question:
Pourquoi de 1948 à 1967 alors qu'il n'y avait pas de territoires
occupés, les pays arabes n'ont pas permis l'émergence du'un état
Palestinien ?
Réponse:
La lutte contre Israël est le seul point de convergence des pays arabes
qui n'ont jamais cessé de s'entretuer.
K. <secwin88@yahoo.co.jp> wrote:
Le 18/02/2019 à 10:53, a@a.a.invalid a écrit :
"K." <secwin88@yahoo.co.jp> écrivait:
Suite aux insultes proférées par un "gilet jaune" (de tendance
salafiste) à l'encontre d'Alain Finkielkraut, un groupe de députés issus
de diverses formations politiques prépare un projet de loi visant à
durcir la législation en faisant de l'antisionisme un délit au même
titre que l'antisémitisme (dont il n'est souvent que l'alibi).
Comme le fait justement remarquer Sylvain Maillard (UDI), l'un des
artisans de ce projet, "la haine d'Israël est une nouvelle façon de haïr
les juifs [...] On peut critiquer le gouvernement d'Israël, mais pas
remettre en cause l'existence même de cet État. Personne ne remet en
question l'existence de l'État français ou de l'État allemand".
Fait un petit tour dans la vraie vie et tu verras que les mecs qui ont
insultés M. Finkielkraut ne détestes pas que les sionistes, mais aussi les
"sales gaulois" et plus généralement la société occidentale chrétienne.
Comme souvent quand un projet de loi est déposé sous le coup de
l'émotion, il se trompe de cible et/ou de combat. A moins que tu penses
que nous soyons moins dignes d'être protégé par la loi ?
C'est en tant que "juif/sioniste" que Finkielkraut a été insulté, pas en
tant que Français, Gaulois, Blanc ou "souchien".
C'est donc normal que la réaction se focalise sur le problème de
l'antisémitisme.
En outre, je ne pense pas qu'il s'agisse d'une décision prise sous le
coup de l'émotion puisque la question de la pénalisation des propos dits
"antisionistes" revient régulièrement sur le devant de l'actualité.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes d'antisémitisme.
L'antisionisme est un terme inventé par Staline pour ne pas dire
antisémitisme quand il s'attaquait à des Juifs. Affaire Slansky et
London en Tchécoslovaquie mise en scène dans l'Aveu de Costa-Gavras.
A priori le sionisme n'a plus de raison d'être depuis 1948 car son but
était atteint. Les antisionistes d'aujourd'hui ne sont même pas contre
la politique abominable d'Israël d'aujourd'hui mais contre son existence
même.
Ce pays est né dans la plus parfaite légalité sous l'égide de l'ONU.
Posons la question:
Pourquoi de 1948 à 1967 alors qu'il n'y avait pas de territoires
occupés, les pays arabes n'ont pas permis l'émergence du'un état
Palestinien ?
Réponse:
La lutte contre Israël est le seul point de convergence des pays arabes
qui n'ont jamais cessé de s'entretuer.
K. wrote:Le 18/02/2019 à 10:53, a écrit :"K." écrivait:Suite aux insultes proférées par un "gilet jaune" (de tendance
salafiste) à l'encontre d'Alain Finkielkraut, un groupe de députés issus
de diverses formations politiques prépare un projet de loi visant à
durcir la législation en faisant de l'antisionisme un délit au même
titre que l'antisémitisme (dont il n'est souvent que l'alibi).
Comme le fait justement remarquer Sylvain Maillard (UDI), l'un des
artisans de ce projet, "la haine d'Israël est une nouvelle façon de haïr
les juifs [...] On peut critiquer le gouvernement d'Israël, mais pas
remettre en cause l'existence même de cet État. Personne ne remet en
question l'existence de l'État français ou de l'État allemand".
Fait un petit tour dans la vraie vie et tu verras que les mecs qui ont
insultés M. Finkielkraut ne détestes pas que les sionistes, mais aussi les
"sales gaulois" et plus généralement la société occidentale chrétienne.
Comme souvent quand un projet de loi est déposé sous le coup de
l'émotion, il se trompe de cible et/ou de combat. A moins que tu penses
que nous soyons moins dignes d'être protégé par la loi ?
C'est en tant que "juif/sioniste" que Finkielkraut a été insulté, pas en
tant que Français, Gaulois, Blanc ou "souchien".
C'est donc normal que la réaction se focalise sur le problème de
l'antisémitisme.
En outre, je ne pense pas qu'il s'agisse d'une décision prise sous le
coup de l'émotion puisque la question de la pénalisation des propos dits
"antisionistes" revient régulièrement sur le devant de l'actualité.
La législation doit s'adapter aux nouvelles formes d'antisémitisme.
L'antisionisme est un terme inventé par Staline pour ne pas dire
antisémitisme quand il s'attaquait à des Juifs. Affaire Slansky et
London en Tchécoslovaquie mise en scène dans l'Aveu de Costa-Gavras.
A priori le sionisme n'a plus de raison d'être depuis 1948 car son but
était atteint. Les antisionistes d'aujourd'hui ne sont même pas contre
la politique abominable d'Israël d'aujourd'hui mais contre son existence
même.
Ce pays est né dans la plus parfaite légalité sous l'égide de l'ONU.
Posons la question:
Pourquoi de 1948 à 1967 alors qu'il n'y avait pas de territoires
occupés, les pays arabes n'ont pas permis l'émergence du'un état
Palestinien ?
Réponse:
La lutte contre Israël est le seul point de convergence des pays arabes
qui n'ont jamais cessé de s'entretuer.