OVH Cloud OVH Cloud

comment écouter des fichiers .midi avec un son pas trop ... informatique ?

74 réponses
Avatar
ludovic leman
bonjour,

je récupère des partitions pour piano à partir de mutopia.org
pour chaque morceau, il y a la version pdf et une version .midi

le pdf : c'est pour mettre devant les yeux sur le pupitre du piano et le
jouer
et le .midi c'est pour que j'écoute à quoi ressemble le morceau

sous mon XP, j'ai un lecteur par défaut (realplayer) qui me joue le
.midi sans problème

Le seul truc c'est que le son est complètement nul.
Y a t il une possibilité d'avoir un son qui ressemble à un "vrai piano"
avec un soft "tout simple". Je n'ai pas l'intention d'éditer le midi, de
mixer ou je ne sais quoi d'autres, je voudrais juste améliorer le rendu.
(je sais on veut toujours un résultat performant avec un minimum d'effort)
(ce peut être sous windows ou linux)

à titre d'exemple, gnu solfege (solfege.org) permet de sélectionner le
type d'instrument pour la sortie audio

merci d'avance

10 réponses

1 2 3 4 5
Avatar
Gerald
Alain Naigeon wrote:

Je n'attends évidemment pas de musicalité de la part d'un automate, mais
au moins un timbre un tout petit peu vraisemblable. La grosse bourde
du MIDI qui pilote les soundfonts, c'est d'avoir un même n° d'instrument
pour toutes les voix, féminines et masculines. C'est évidemment absurde,
car on entend les "homme" basculer en timbre féminin au-dessus d'une
certaine note !



Heureusement, le MIDI n'y est absolument pour rien. Le "pseudo" standard
"Général MIDI" peut-être (et c'est loin d'être "le MIDI" !), mais c'est
une sottise que d'y accorder plus qu'un intérêt de quelques secondes :
c'est une sous-classification de *noms* de patchs, même pas organisée de
manière vraiment musicale.

Je lui ai toujours reproché son nivellement par le bas : seuls les
fichiers (ou les instruments) présentant la plus faible expressivité (ou
la plus conventionnelle) peuvent y créer un résultat convenable. Bon,
tant pis :-(

Autres *gros* problèmes des soundfonts : le niveau, la réverb,
l'articulation
peuvent êter extrêmement divers pour un même instrument, selon le patch.
De sorte qu'un fichier est à retravailler ou à re-"mixer" dès qu'on change.



Ce qui revient à prendre le problème à l'envers, qui explique bien des
désillusions. Par "à l'envers" je veux dire que, selon moi, pour obtenir
un résultat musical, le bon ordre serait :

1/ (optionnel) créer son propre son, avec une technologie de synthèse
permettant aux différents paramètres et contrôles MIDI d'obtenir un
maximum d'expressivité (qu'elle soit destinée à mimer un instrument
existant ou à explorer de nouveaux espaces sonores)

2/ (PAS optionnel si 1 a été choisi) : apprendre à s'en servir de
manière expressive. Ne pas exclure que pour un très bon son, très
expressif, cela puisse représenter un investissement équivalent à celui
de l'apprentissage d'un instrument à part entière !

3/ *Enregistrer* le morceau *avec* le son choisi. Seul le retour
expressif du son au moment où on le joue permet d'apporter les nuances
de la bonne manière et au bon moment.

Partir d'un fichier MIDI existant enregistré dans des conditions dont on
ne connaît rien (type de clavier/contrôleur, type de son, interprète)
crée forcément des problèmes ! Ce fichier a forcément été créé avec un
son précis et *pour* ce son et ses caractéristiques. Sans le connaître,
on part en aveugle à la recherche du son le plus approchant.
Naturellement plus le son était original et intéressant et plus ça va
être dur. Par contre plus l'expressivité mise en oeuvre était minimum et
plus ça va être facile de trouver quelque chose d'approchant, ce que
j'appelle le PPCM de l'expressivité, que j'estime globalement
anti-musical.

Il faudrait un minimum de normalisation !



Je suis d'un avis contraire : surtout pas ! Car il y a très peu de
chances que cette normalisation puisse être faite par et pour des
musiciens ! Si elle se fait un jour (hélas !) ce ne sera que par et pour
des motifs exclusivement commerciaux dont on ne peut rien attendre de
bon, l'expressivité ayant déserté la musique "qu'on nous fait écouter"
depuis bientôt vingt ans. Exemple simple : y a-t-il eu une seule radio,
une seule télé pour passer "Allan's psychedelic breakfast" des Pink
Floyd ces vingt dernières années ? Ce morceau à grande amplitude
dynamique commence par des niveaux extrêment faibles que même avec une
compression de folie, on n'arrivera pas à rendre audibles dans des
conditions pourries d'écoute standard (bruit ambiant, traffic...)...
Personne pour prendre le risque que le blaireau moyen puisse penser à
une plage de silence de plusieurs minutes à l'antenne ! Idem en
classique pour le "beau blaireau de Draveil", d'ailleurs.

La normalisation vue par les commerciaux, ça donne les exemples stupides
de gammes microtonales présents dans tous les pianos numériques et les
synthés depuis le DX7II. Si on le souhaite, je veux bien radoter et vous
resservir la belle histoire du quiproquo hallucinant, sur le sujet,
entre les ingénieurs de l'Ircam et ceux de Yamaha en 1985 (quand on
pense que les instruments traditionnels japonais sont pourtant les
premiers à utiliser de la manière la plus intéressante qui soit les
gammes microtonales et qu'on n'a même pas UNE gamme de Koto dans un
DX7II !).

Le standard MIDI est une normalisation parfaitement *accidentelle* qui
n'a vu le jour qu'à cause d'une minute d'inattention des commerciaux sur
un créneau qu'ils croyaient parfaitement marginal. Ils ont laissé la
bride sur le cou à des ingénieurs talentueux dont l'esprit avait été
perverti par des contacts avec des *scientifiques*, eux aussi talentueux
et inspirés par l'INTÉRÊT GÉNÉRAL. C'est vous dire à quel point on était
partis loin du commerce et de la phynance !

Et quand on voit comment cette dernière arrive à renaître de ses cendres
malgré ses incroyables merdoiements récents, on ne peut qu'être
pessimiste sur la possibilité de retrouver des conditions équivalentes.
Là encore je veux bien reprendre l'histoire de la naissance du MIDI s'il
y a de la demande.

hth,

--
Gérald
Avatar
P.a.SOUDAN
Alain Naigeon a écrit :

Par exemple, jusqu'à tes récents liens, je n'avais jamais jamais entendu
un violon qui ressemble, de temps à autre, à un violon.
Pour les voix (choeur et encore plus solistes), j'attends encore et c'est
presque à désespérer :-(
Je n'attends évidemment pas de musicalité de la part d'un automate, mais
au moins un timbre un tout petit peu vraisemblable. La grosse bourde
du MIDI qui pilote les soundfonts, c'est d'avoir un même n° d'instrument
pour toutes les voix, féminines et masculines. C'est évidemment absurde,
car on entend les "homme" basculer en timbre féminin au-dessus d'une
certaine note ! Je ne sais pas comment ce problème est géré par les VST.

Autres *gros* problèmes des soundfonts : le niveau, la réverb,
l'articulation
peuvent êter extrêmement divers pour un même instrument, selon le patch.
De sorte qu'un fichier est à retravailler ou à re-"mixer" dès qu'on change.
Il faudrait un minimum de normalisation !




Si tu veux, pour ne pas être tributaire (ou victime) des tricheries
habituelles des morceaux de démo, je peux te faire, brut de décoffrage,
un petit fill des sonorités.
Le gros + de MSI est sa richesse en instrus ethniques et sa réverb à
convulsion, qui est, toutefois comme toutes ces réverbs, un peu
gourmande en CPU...
º¿º
Avatar
Bernard Meylan
Le Mon, 22 Dec 2008 23:21:17 +0100, Alain Naigeon a
écrit:


Par exemple, jusqu'à tes récents liens, je n'avais jamais jamais entendu
un violon qui ressemble, de temps à autre, à un violon.
Pour les voix (choeur et encore plus solistes), j'attends encore et c'est
presque à désespérer :-(



Ce serait presque parfait tout ça, non? Cela voudrait dire que l'humain
n'a pas perdu sa place et que rien ne remplacera un choeur, violon, luth
*humain*. Et que même si dans l'avenir on approchait de très près les
imperfections huamines (c'est quand même ce qui fait l'essence (une des...
en tous cas) de la musique: toutes ces petites imperfections qu'on entend
ou pas...), il resterait des années de boulot (si j'en juge par les dires
de Gérald ou de P-A) à accomplir pour maîtriser les engins capables de ces
"prouesses".

Bernard
Avatar
P.a.SOUDAN
Bernard Meylan a écrit :
...Et que même si dans l'avenir on approchait de très près les
imperfections huamines (c'est quand même ce qui fait l'essence (une
des... en tous cas) de la musique: toutes ces petites imperfections
qu'on entend ou pas...), il resterait des années de boulot à accomplir pour maîtriser les engins
capables de ces "prouesses".



Tout à fait, et étant clarinettiste classique de formation... ça
m'arrange ! ;o)))....
De toutes façons, c'est la raison pour laquelle je mets volontairement
les grosses usines à gaz de côté (type VSL ou autres ...):
pour avoir un peu bossé avec de tels engins, il n'y a plus beaucoup de
rapports avec la musique comme on l'entend du côté artistique, même si
la prouesse technique est époustouflante, il n'y a plus aucune
spontanéité (Motu SI est cependant un peu plus souple à ce niveau, comme
on le voit sur les videos).
Par contre il ne faut pas non plus être borné: j'ai beaucoup de plaisir
à mélanger de la synthèse et de l'acoustique ou à bosser mes EWI qui ne
sont pas des imitations d'instruments à vent mais bien de nouveaux
instruments nécessitant une grande maitrise et des heures de travail
chaque jour pour exprimer une sensibilité musicale.


"la musique est l'art d'arranger les sons d'une manière agréable à
l'oreille"... et l'art c'est humain avant tout.

dis donc Bernard, ne serions-nous pas un peu voisins (je suis du côté de
Montreux/ St Gingolph) ?
º¿º
Avatar
Bernard Meylan
Le Tue, 23 Dec 2008 12:13:16 +0100, P.a.SOUDAN a
écrit:


dis donc Bernard, ne serions-nous pas un peu voisins (je suis du côté de
Montreux/ St Gingolph) ?




Mais oui! je me trouve un peu plus haut, du côté de Romont (Fribourg) avec
une activité d'organiste à Montreux/Vevey... :-)

Bernard
Avatar
Alain Naigeon
"Bernard Meylan" a écrit dans le message de news:

Le Mon, 22 Dec 2008 23:21:17 +0100, Alain Naigeon a
écrit:


Par exemple, jusqu'à tes récents liens, je n'avais jamais jamais entendu
un violon qui ressemble, de temps à autre, à un violon.
Pour les voix (choeur et encore plus solistes), j'attends encore et c'est
presque à désespérer :-(



Ce serait presque parfait tout ça, non? Cela voudrait dire que l'humain
n'a pas perdu sa place et que rien ne remplacera un choeur, violon, luth
*humain*. Et que même si dans l'avenir on approchait de très près les
imperfections huamines (c'est quand même ce qui fait l'essence (une des...
en tous cas) de la musique: toutes ces petites imperfections qu'on entend
ou pas...), il resterait des années de boulot (si j'en juge par les dires
de Gérald ou de P-A) à accomplir pour maîtriser les engins capables de ces
"prouesses".

Bernard



Tout à fait d'accord, mais tu as peut-être loupé que je parlais de timbre.
Or un violon solo qui couine comme une scie, tu auras beau le travailler,
c'est sans espoir.

--

Français *==> "Musique renaissance" <==* English
midi - facsimiles - ligatures - mensuration
http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/
Alain Naigeon - - Oberhoffen/Moder, France
http://fr.youtube.com/user/AlainNaigeon
Avatar
Alain Naigeon
"Gerald" a écrit dans le message de news:
1ise31w.1uzil6a1mywstsN%

Il y a beaucoup de choses dans ton intervention,
donc je ne réponds immédiatement qu'à ceci, le
reste pour ce soir ou demain ?!

Il faudrait un minimum de normalisation !



Je suis d'un avis contraire : surtout pas ! Car il y a très peu de
chances que cette normalisation puisse être faite par et pour des
musiciens ! Si elle se fait un jour (hélas !) ce ne sera que par et pour
des motifs exclusivement commerciaux dont on ne peut rien attendre de
bon, l'expressivité ayant déserté la musique "qu'on nous fait écouter"
depuis bientôt vingt ans. Exemple simple : y a-t-il eu une seule radio,
une seule télé pour passer "Allan's psychedelic breakfast" des Pink
Floyd ces vingt dernières années ? Ce morceau à grande amplitude
dynamique commence par des niveaux extrêment faibles que même avec une
compression de folie, on n'arrivera pas à rendre audibles dans des
conditions pourries d'écoute standard (bruit ambiant, traffic...)...
Personne pour prendre le risque que le blaireau moyen puisse penser à
une plage de silence de plusieurs minutes à l'antenne ! Idem en
classique pour le "beau blaireau de Draveil", d'ailleurs.



J'avais en tête quelque chose de *beaucoup plus simple* :

1) tu peux trouver, pour un même instrument, des patchs généralistes
dont le niveau sonore est *très* différent ; il n'y a aucune raison
valable à cela, sauf pour des soundfonts qui s'affirmeraient spécialisées
(du genre "piano" ou "forte") ;

2) qui plus est, la moindre des choses serait que les rapports de
niveaux entre instruments soient *à peu près* vraisemblables, c'est
à dire conformes à ce qu'on trouve dans un traité d'instrumention ;
or, tu vas trouver des soundfont de flûte qui sont presque au niveau
d'un trombone. C'est ridicule !

Le premier point éviterait d'invalider tout un fichier à cause d'un
simple changement de soundfont (parce que quand le niveau change,
l'effet n'est pas forcément proportionnel, à l'écoute, sur les notes dont
tu as modifié le poids)
Et le deuxième, remarque-le, serait plutôt de nature à élever le niveau
culturel des usagers, plutôt que de l'abaisser !

Une autre chose très basique serait aussi de respecter l'ambitus des
instruments ! Ce n'est pas le cas.
(même si certaines expériences sont amusantes : certains tubas utilisés
vers le haut de la clé de Sol peuvent ressembler à... un cornetto !)

--

Français *==> "Musique renaissance" <==* English
midi - facsimiles - ligatures - mensuration
http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/
Alain Naigeon - - Oberhoffen/Moder, France
http://fr.youtube.com/user/AlainNaigeon
Avatar
Achim Bombota
P.a.SOUDAN a envoyé 11 lignes d'octets en forme de :

Gerald a écrit :

Mais avec GarageBand, dont l'interface brouille de plus en plus les
pistes ce n'est même pas le cas. On pige simplement que certains "sons"
ne peuvent pas être joués note à note et d'autres le peuvent, ils ont
une couleur différente, mais quant à comprendre pourquoi...



franchement, je ne sais pas comment tu fais pour bosser sérieusement
avec Garageband...
º¿º



Kookoo

boh je crois pas qu'il soit vraiment question de GarageBand ou autre. Quel
que soit le produit utilisé, on sait qu'il faudra y passer du temps pour
avoir quelque chose d'acceptable à nos oreilles.
J'ai un mac depuis 15 jours, j'ai vaguement vu GarageBand sans vraiment le
tester mais on doit pouvoir en sortir quelque chose de valable dans
certaines limites. Je sais que pour l'instant je suis plus opérationnel
avec mon Cubase Light sur PC, mon E-mu1616, mon M3 et mes guitares. Mais
quel que soit l'environnement il me faudra quand même faire 4 ou 5 ou 10
prises de guitare, de synthé ou de voix pour être content :)
Bref pour moi la partie hardware/software ne peut pas nous faire oublier le
compositeur, instrumentiste, arrangeur qui sommeille et que c'est lui au
final qui décide qu'il faut un petit "chting" au triangle, là dans le coin
à gauche... ou un coup de vibrato sur ce Si bémol.

--
For those all-night hacks, pizza and microwaved burritos are big.
Avatar
Gerald
Achim Bombota wrote:

Bref pour moi la partie hardware/software ne peut pas nous faire oublier le
compositeur, instrumentiste, arrangeur qui sommeille et que c'est lui au
final qui décide qu'il faut un petit "chting" au triangle, là dans le coin
à gauche... ou un coup de vibrato sur ce Si bémol.



Ce que tu décris ne vaut que pour la partie de l'informatique musicale
qui utilise l'ordinateur comme un gros magnéto numérique multipiste.

C'est une partie majoritaire en terme d'utilisation certes, mais, amha,
minoritaire en termes de possibilités et de perspectives historiques.

Tout un pan de l'informatique musicale utilise les ordinateurs pour
créer *en dehors des choix humains* de la musique selon certaines lois
préétablies qui peuvent intégrer le hasard et/ou l'I.A. par exemple.
Dans ce cas, ce n'est pas le compositeur qui « décide du petit "chting"
dans le coin à gauche » mais bien la machine. Certains pensent que c'est
intéressant *aussi*.

Max/MSP (et ses avatars) dont il a été question ici déjà permet
d'exploiter certains aspects de l'informatique musicale dépendant non
pas de "choix" musicaux mais d'autres phénomènes : mouvements d'un
danseur ou du public, phénomènes physiques -chaleur-chocs-bruits...-,
tables de Markov... (dans ce dernier cas, la partition résultante est
déduite/extrapolée à partir d'une partition ou de plusieurs partitions
sources qui créent une "logique de composition")...

Mais il ne faut pas non plus ignorer tout l'intérêt des logiciels du
package Recherche du forum Ircam et en particulier de OpenMusic :
<http://www.ircam.fr/746.html>

Il y a également toute une partie de la création musicale qui dépend de
logiciels de *synthèse* sonore pour lesquels il y a ici des gens
beaucoup plus compétents que moi.

Tout ça non pas pour dire que tu as tort mais que d'autres vérités sont
aussi possibles. Cordialement,

--
Gérald
Avatar
Achim Bombota
Gerald a envoyé 41 lignes d'octets en forme de :

Tout ça non pas pour dire que tu as tort mais que d'autres vérités sont
aussi possibles. Cordialement,



Tu as raison, c'est un peu ce que j'ai avec le KARMA du M3, à savoir de
l'imprévu, mais j'ai déjà tellement de mal à finir une compo que je préfère
fixer les choses, même si je sais que ce n'est jamais fini.
Un de mes premiers programmes, sur Electron, permettait de générer
Randommement des paramètres (ADSR, niveau et durée) pour la fonction
Enveloppe fournie par le BBC Basic de l'époque. J'avais fait des tableaux
de notes correspondant à des accords majeurs/mineurs et d'autres tableaux
avec des suites d'accords et, là aussi, le choix se faisait grâce à la
généreuse fonction Random. Je crois me souvenir qu'on avait droit à une
forme d'onde sinus, un carré, un triangle et un noise! Et peut-être bien
qu'il y avait déjà 4 canaux mono.

Sinon pour avoir encore plus d'imprévu, je joue (de la musique) avec mes
gosses, ma femme ou mes frères et soeurs. Mais là c'est HS :)

--
Q: What does the word 'benign' mean?
A: Benign is what you will be after you be eight.
1 2 3 4 5