Je ne suis pas d'accord. Décimal ou binaire n'est absolument pas une
propriété intrinsèque d'un nombre. Un nombre est un truc qui existe
indépendamment de la façon de l'écrire. Est-ce que sqrt(2) est binaire
ou décimal? Ni l'un ni l'autre, par contre on peut le *représenter* avec
des chiffres binaires ou décimaux.
Je ne suis pas d'accord. Décimal ou binaire n'est absolument pas une
propriété intrinsèque d'un nombre. Un nombre est un truc qui existe
indépendamment de la façon de l'écrire. Est-ce que sqrt(2) est binaire
ou décimal? Ni l'un ni l'autre, par contre on peut le *représenter* avec
des chiffres binaires ou décimaux.
Je ne suis pas d'accord. Décimal ou binaire n'est absolument pas une
propriété intrinsèque d'un nombre. Un nombre est un truc qui existe
indépendamment de la façon de l'écrire. Est-ce que sqrt(2) est binaire
ou décimal? Ni l'un ni l'autre, par contre on peut le *représenter* avec
des chiffres binaires ou décimaux.
Je n'y connais pas grand chose en C par rapport à vous tous et je me
contente d'essayer de suivre (en partie du moins) ce fil. Mais je
voulais juste apporter une précision à ceci (car les maths je connais
mieux) :
Samuel DEVULDER a écrit :Je ne suis pas d'accord. Décimal ou binaire n'est absolument pas une
propriété intrinsèque d'un nombre. Un nombre est un truc qui existe
indépendamment de la façon de l'écrire. Est-ce que sqrt(2) est binaire
ou décimal? Ni l'un ni l'autre, par contre on peut le *représenter*
avec des chiffres binaires ou décimaux.
Je ne suis pas tout à fait d'accord ou alors il y a ambiguïté sur le mot
"décimal" (ou alors j'ai pas bien lu tout le contexte du message et dans
ce cas désolé pour mon intervention). Pour moi, "décimal" a un sens
mathématique :
Un nombre est "décimal" ssi c'est un réel de la forme n/(10^k) avec n un
entier relatif et k un entier naturel.
Par ailleurs, il y a "l'écriture décimale" d'un nombre qui est la façon
(pas forcément unique) de le représenter avec des symboles appelés
"chiffres", au même titre qu'il y a "l'écriture binaire" d'un nombre.
En revanche, "un nombre binaire" n'a pas de sens pour moi du point de
vue mathématique.
Je n'y connais pas grand chose en C par rapport à vous tous et je me
contente d'essayer de suivre (en partie du moins) ce fil. Mais je
voulais juste apporter une précision à ceci (car les maths je connais
mieux) :
Samuel DEVULDER a écrit :
Je ne suis pas d'accord. Décimal ou binaire n'est absolument pas une
propriété intrinsèque d'un nombre. Un nombre est un truc qui existe
indépendamment de la façon de l'écrire. Est-ce que sqrt(2) est binaire
ou décimal? Ni l'un ni l'autre, par contre on peut le *représenter*
avec des chiffres binaires ou décimaux.
Je ne suis pas tout à fait d'accord ou alors il y a ambiguïté sur le mot
"décimal" (ou alors j'ai pas bien lu tout le contexte du message et dans
ce cas désolé pour mon intervention). Pour moi, "décimal" a un sens
mathématique :
Un nombre est "décimal" ssi c'est un réel de la forme n/(10^k) avec n un
entier relatif et k un entier naturel.
Par ailleurs, il y a "l'écriture décimale" d'un nombre qui est la façon
(pas forcément unique) de le représenter avec des symboles appelés
"chiffres", au même titre qu'il y a "l'écriture binaire" d'un nombre.
En revanche, "un nombre binaire" n'a pas de sens pour moi du point de
vue mathématique.
Je n'y connais pas grand chose en C par rapport à vous tous et je me
contente d'essayer de suivre (en partie du moins) ce fil. Mais je
voulais juste apporter une précision à ceci (car les maths je connais
mieux) :
Samuel DEVULDER a écrit :Je ne suis pas d'accord. Décimal ou binaire n'est absolument pas une
propriété intrinsèque d'un nombre. Un nombre est un truc qui existe
indépendamment de la façon de l'écrire. Est-ce que sqrt(2) est binaire
ou décimal? Ni l'un ni l'autre, par contre on peut le *représenter*
avec des chiffres binaires ou décimaux.
Je ne suis pas tout à fait d'accord ou alors il y a ambiguïté sur le mot
"décimal" (ou alors j'ai pas bien lu tout le contexte du message et dans
ce cas désolé pour mon intervention). Pour moi, "décimal" a un sens
mathématique :
Un nombre est "décimal" ssi c'est un réel de la forme n/(10^k) avec n un
entier relatif et k un entier naturel.
Par ailleurs, il y a "l'écriture décimale" d'un nombre qui est la façon
(pas forcément unique) de le représenter avec des symboles appelés
"chiffres", au même titre qu'il y a "l'écriture binaire" d'un nombre.
En revanche, "un nombre binaire" n'a pas de sens pour moi du point de
vue mathématique.
In article <20100407160607$,
Vincent Lefevre wrote:
>Je trouve les typedef utiles pour les bibliothèques, afin de cacher
>l'implémentation interne à l'utilisateur, et afin de pouvoir changer
>(on évite tout de même) sans casser l'API.
... et tu fais comment pour etre sur que tes noms ne vont pas empieter
sur ceux des voisins dans les fichiers d'entete ?
>> Par exemple, si je suis sous Unix, je peux tres bien ecrire:
>> pid_t fd = open("/etc/passwd", O_RDONLY);
>> et mon compilo ne bronchera pas...
>
>C'est une limite des typedef, qui ne définissent pas des nouveaux
>types. Ce n'est pas une raison pour ne pas les utiliser.
Si, c'est une raison. Ils n'apportent rien en terme de surete du code, et
In article <20100407160607$5b2a@prunille.vinc17.org>,
Vincent Lefevre <vincent-news@vinc17.net> wrote:
>Je trouve les typedef utiles pour les bibliothèques, afin de cacher
>l'implémentation interne à l'utilisateur, et afin de pouvoir changer
>(on évite tout de même) sans casser l'API.
... et tu fais comment pour etre sur que tes noms ne vont pas empieter
sur ceux des voisins dans les fichiers d'entete ?
>> Par exemple, si je suis sous Unix, je peux tres bien ecrire:
>> pid_t fd = open("/etc/passwd", O_RDONLY);
>> et mon compilo ne bronchera pas...
>
>C'est une limite des typedef, qui ne définissent pas des nouveaux
>types. Ce n'est pas une raison pour ne pas les utiliser.
Si, c'est une raison. Ils n'apportent rien en terme de surete du code, et
In article <20100407160607$,
Vincent Lefevre wrote:
>Je trouve les typedef utiles pour les bibliothèques, afin de cacher
>l'implémentation interne à l'utilisateur, et afin de pouvoir changer
>(on évite tout de même) sans casser l'API.
... et tu fais comment pour etre sur que tes noms ne vont pas empieter
sur ceux des voisins dans les fichiers d'entete ?
>> Par exemple, si je suis sous Unix, je peux tres bien ecrire:
>> pid_t fd = open("/etc/passwd", O_RDONLY);
>> et mon compilo ne bronchera pas...
>
>C'est une limite des typedef, qui ne définissent pas des nouveaux
>types. Ce n'est pas une raison pour ne pas les utiliser.
Si, c'est une raison. Ils n'apportent rien en terme de surete du code, et
Francois a écrit :Je n'y connais pas grand chose en C par rapport à vous tous et je me
contente d'essayer de suivre (en partie du moins) ce fil. Mais je
voulais juste apporter une précision à ceci (car les maths je connais
mieux) :
Samuel DEVULDER a écrit :Je ne suis pas d'accord. Décimal ou binaire n'est absolument pas une
propriété intrinsèque d'un nombre. Un nombre est un truc qui existe
indépendamment de la façon de l'écrire. Est-ce que sqrt(2) est binaire
ou décimal? Ni l'un ni l'autre, par contre on peut le *représenter*
avec des chiffres binaires ou décimaux.
Je ne suis pas tout à fait d'accord ou alors il y a ambiguïté sur le mot
"décimal" (ou alors j'ai pas bien lu tout le contexte du message et dans
Oui je crois aussi qu'il y a d'ambiguïté, ou du moins un mélange entre
propriétés d'un nombre et sa représentation symbolique.
Par ailleurs vu qu'on en est à parler de ces types de nombres, j'ai
toujours eu du mal à y voir un intérêt mathématique particulier autre
que celui d'exister. Pour moi, ce ne sont plus ou moins qu'un sous
ensemble de Q sans grosses propriétés utiles.
As tu connaissance de
théorèmes sur cet ensemble nombres? (à part les trucs triviaux d'être
dense dans |R, d'être stable par l'addition, multiplication, etc), bref
un théorème utile ou curieux? (cf les p-adiques ci-après)
Par ailleurs, il y a "l'écriture décimale" d'un nombre qui est la façon
(pas forcément unique) de le représenter avec des symboles appelés
le classique p.nnnnnn00000... = p.nnnnn(n-1)999999... ?
Peut être les nombres de la forme n/2^k par extension (qui ne
recouvrirait pas exactement l'ensemble des décimaux).
Mais il y aurait
plus intéressante et proche de l'informatique en considérant les nombres
2-adiques (http://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre_p-adique). Ces nombres là
sont une généralisation du complément-à-deux à l'infini si j'ai bien
compris (ils se poursuivent indéfiniment sur la gauche) .
Le truc rigolo
avec eux, c'est que bien qu'ayant une écriture qui fait penser à des
entiers signés,
-1 = ...11111111
7 = ...00000111
-7 = ...11111001
ils peuvent en réalité représenter des nombres fractionnaires.
1/3 = ..010101011
(et même des racines carrées, ou des nombres transcendants: exp(4)).
Francois a écrit :
Je n'y connais pas grand chose en C par rapport à vous tous et je me
contente d'essayer de suivre (en partie du moins) ce fil. Mais je
voulais juste apporter une précision à ceci (car les maths je connais
mieux) :
Samuel DEVULDER a écrit :
Je ne suis pas d'accord. Décimal ou binaire n'est absolument pas une
propriété intrinsèque d'un nombre. Un nombre est un truc qui existe
indépendamment de la façon de l'écrire. Est-ce que sqrt(2) est binaire
ou décimal? Ni l'un ni l'autre, par contre on peut le *représenter*
avec des chiffres binaires ou décimaux.
Je ne suis pas tout à fait d'accord ou alors il y a ambiguïté sur le mot
"décimal" (ou alors j'ai pas bien lu tout le contexte du message et dans
Oui je crois aussi qu'il y a d'ambiguïté, ou du moins un mélange entre
propriétés d'un nombre et sa représentation symbolique.
Par ailleurs vu qu'on en est à parler de ces types de nombres, j'ai
toujours eu du mal à y voir un intérêt mathématique particulier autre
que celui d'exister. Pour moi, ce ne sont plus ou moins qu'un sous
ensemble de Q sans grosses propriétés utiles.
As tu connaissance de
théorèmes sur cet ensemble nombres? (à part les trucs triviaux d'être
dense dans |R, d'être stable par l'addition, multiplication, etc), bref
un théorème utile ou curieux? (cf les p-adiques ci-après)
Par ailleurs, il y a "l'écriture décimale" d'un nombre qui est la façon
(pas forcément unique) de le représenter avec des symboles appelés
le classique p.nnnnnn00000... = p.nnnnn(n-1)999999... ?
Peut être les nombres de la forme n/2^k par extension (qui ne
recouvrirait pas exactement l'ensemble des décimaux).
Mais il y aurait
plus intéressante et proche de l'informatique en considérant les nombres
2-adiques (http://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre_p-adique). Ces nombres là
sont une généralisation du complément-à-deux à l'infini si j'ai bien
compris (ils se poursuivent indéfiniment sur la gauche) .
Le truc rigolo
avec eux, c'est que bien qu'ayant une écriture qui fait penser à des
entiers signés,
-1 = ...11111111
7 = ...00000111
-7 = ...11111001
ils peuvent en réalité représenter des nombres fractionnaires.
1/3 = ..010101011
(et même des racines carrées, ou des nombres transcendants: exp(4)).
Francois a écrit :Je n'y connais pas grand chose en C par rapport à vous tous et je me
contente d'essayer de suivre (en partie du moins) ce fil. Mais je
voulais juste apporter une précision à ceci (car les maths je connais
mieux) :
Samuel DEVULDER a écrit :Je ne suis pas d'accord. Décimal ou binaire n'est absolument pas une
propriété intrinsèque d'un nombre. Un nombre est un truc qui existe
indépendamment de la façon de l'écrire. Est-ce que sqrt(2) est binaire
ou décimal? Ni l'un ni l'autre, par contre on peut le *représenter*
avec des chiffres binaires ou décimaux.
Je ne suis pas tout à fait d'accord ou alors il y a ambiguïté sur le mot
"décimal" (ou alors j'ai pas bien lu tout le contexte du message et dans
Oui je crois aussi qu'il y a d'ambiguïté, ou du moins un mélange entre
propriétés d'un nombre et sa représentation symbolique.
Par ailleurs vu qu'on en est à parler de ces types de nombres, j'ai
toujours eu du mal à y voir un intérêt mathématique particulier autre
que celui d'exister. Pour moi, ce ne sont plus ou moins qu'un sous
ensemble de Q sans grosses propriétés utiles.
As tu connaissance de
théorèmes sur cet ensemble nombres? (à part les trucs triviaux d'être
dense dans |R, d'être stable par l'addition, multiplication, etc), bref
un théorème utile ou curieux? (cf les p-adiques ci-après)
Par ailleurs, il y a "l'écriture décimale" d'un nombre qui est la façon
(pas forcément unique) de le représenter avec des symboles appelés
le classique p.nnnnnn00000... = p.nnnnn(n-1)999999... ?
Peut être les nombres de la forme n/2^k par extension (qui ne
recouvrirait pas exactement l'ensemble des décimaux).
Mais il y aurait
plus intéressante et proche de l'informatique en considérant les nombres
2-adiques (http://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre_p-adique). Ces nombres là
sont une généralisation du complément-à-deux à l'infini si j'ai bien
compris (ils se poursuivent indéfiniment sur la gauche) .
Le truc rigolo
avec eux, c'est que bien qu'ayant une écriture qui fait penser à des
entiers signés,
-1 = ...11111111
7 = ...00000111
-7 = ...11111001
ils peuvent en réalité représenter des nombres fractionnaires.
1/3 = ..010101011
(et même des racines carrées, ou des nombres transcendants: exp(4)).
Dans l'article <hphoa4$1ldm$,
Marc Espie écrit:Quand j'enseigne le C, je deconseille totalement l'utilisation de typedef
sauf des cas parfaitement definis (en gros, typedef pour les types de
pointeur de fonction, parce que sinon c'est vraiment imbitable).
Et pour les enum, et pour les structures?
Dans l'article <hphoa4$1ldm$5@saria.nerim.net>,
Marc Espie <espie@lain.home> écrit:
Quand j'enseigne le C, je deconseille totalement l'utilisation de typedef
sauf des cas parfaitement definis (en gros, typedef pour les types de
pointeur de fonction, parce que sinon c'est vraiment imbitable).
Et pour les enum, et pour les structures?
Dans l'article <hphoa4$1ldm$,
Marc Espie écrit:Quand j'enseigne le C, je deconseille totalement l'utilisation de typedef
sauf des cas parfaitement definis (en gros, typedef pour les types de
pointeur de fonction, parce que sinon c'est vraiment imbitable).
Et pour les enum, et pour les structures?
J'avais ajouté la dernière colonne parce que la discussion était partie
sur ce que veut dire "binaire" ou "décimal" lorsque on parle de nombre
binaire ou de nombre "décimal".
Je maintiens que, en français, lorsque on applique cette épithète au mot
nombre, on fait référence à ses propriétés mathématiques,
qui en dernier ressort dépendent de la façon dont il est mémorisé dans
la machine.
Toujours est-il que je maintiens aussi que dans "binary exponent part",
"binary" est en rapport avec la base de logarithme utilisée pour la
repésentation textuelle avec %a
et non avec le fait que l'exposant est
en général un nombre binaire, c'est à dire avec une base de numération 2
en mémoire (par ex. sur une machine où la dernière colonne est vraie).
J'avais ajouté la dernière colonne parce que la discussion était partie
sur ce que veut dire "binaire" ou "décimal" lorsque on parle de nombre
binaire ou de nombre "décimal".
Je maintiens que, en français, lorsque on applique cette épithète au mot
nombre, on fait référence à ses propriétés mathématiques,
qui en dernier ressort dépendent de la façon dont il est mémorisé dans
la machine.
Toujours est-il que je maintiens aussi que dans "binary exponent part",
"binary" est en rapport avec la base de logarithme utilisée pour la
repésentation textuelle avec %a
et non avec le fait que l'exposant est
en général un nombre binaire, c'est à dire avec une base de numération 2
en mémoire (par ex. sur une machine où la dernière colonne est vraie).
J'avais ajouté la dernière colonne parce que la discussion était partie
sur ce que veut dire "binaire" ou "décimal" lorsque on parle de nombre
binaire ou de nombre "décimal".
Je maintiens que, en français, lorsque on applique cette épithète au mot
nombre, on fait référence à ses propriétés mathématiques,
qui en dernier ressort dépendent de la façon dont il est mémorisé dans
la machine.
Toujours est-il que je maintiens aussi que dans "binary exponent part",
"binary" est en rapport avec la base de logarithme utilisée pour la
repésentation textuelle avec %a
et non avec le fait que l'exposant est
en général un nombre binaire, c'est à dire avec une base de numération 2
en mémoire (par ex. sur une machine où la dernière colonne est vraie).
En fait binaire ou décimal ne s'applique qu'aux chiffres et pas aux
nombres.
En fait binaire ou décimal ne s'applique qu'aux chiffres et pas aux
nombres.
En fait binaire ou décimal ne s'applique qu'aux chiffres et pas aux
nombres.
Vincent Lefevre writes:
> Dans l'article <hphoa4$1ldm$,
> Marc Espie écrit:
>
>> Quand j'enseigne le C, je deconseille totalement l'utilisation de typedef
>> sauf des cas parfaitement definis (en gros, typedef pour les types de
>> pointeur de fonction, parce que sinon c'est vraiment imbitable).
>
> Et pour les enum, et pour les structures?
Là c'est un choix purement stylistique à mon avis. Et je fais trop de C++
pour ne pas être à l'aise le code qui fait systématiquement
typedef struct x x;
Vincent Lefevre <vincent-news@vinc17.net> writes:
> Dans l'article <hphoa4$1ldm$5@saria.nerim.net>,
> Marc Espie <espie@lain.home> écrit:
>
>> Quand j'enseigne le C, je deconseille totalement l'utilisation de typedef
>> sauf des cas parfaitement definis (en gros, typedef pour les types de
>> pointeur de fonction, parce que sinon c'est vraiment imbitable).
>
> Et pour les enum, et pour les structures?
Là c'est un choix purement stylistique à mon avis. Et je fais trop de C++
pour ne pas être à l'aise le code qui fait systématiquement
typedef struct x x;
Vincent Lefevre writes:
> Dans l'article <hphoa4$1ldm$,
> Marc Espie écrit:
>
>> Quand j'enseigne le C, je deconseille totalement l'utilisation de typedef
>> sauf des cas parfaitement definis (en gros, typedef pour les types de
>> pointeur de fonction, parce que sinon c'est vraiment imbitable).
>
> Et pour les enum, et pour les structures?
Là c'est un choix purement stylistique à mon avis. Et je fais trop de C++
pour ne pas être à l'aise le code qui fait systématiquement
typedef struct x x;
Un exemple ici est celui des machines qui manipulent les nombres
flottants en base 10 : comme au final ces machines sont électroniques,
le nombre en base 10 sera à la fin représenté par un ensemble d'états
binaires (normalement en BCD) ; quel est donc la base « en mémoire » ?
Et en quoi le fait de répondre 10 ou 2 change quoi que ce soit ?
Mouais. D'un autre côté, ce serait se mettre la tête dans le sable que
d'imaginer que la représentation hexadécimale des nombres flottants et
le spécificateur %a n'ont rien à voir avec le fait que la très grande
majorité des machines utilisent la base 2 (et non la base 10) pour
représenter les flottants.
Un exemple ici est celui des machines qui manipulent les nombres
flottants en base 10 : comme au final ces machines sont électroniques,
le nombre en base 10 sera à la fin représenté par un ensemble d'états
binaires (normalement en BCD) ; quel est donc la base « en mémoire » ?
Et en quoi le fait de répondre 10 ou 2 change quoi que ce soit ?
Mouais. D'un autre côté, ce serait se mettre la tête dans le sable que
d'imaginer que la représentation hexadécimale des nombres flottants et
le spécificateur %a n'ont rien à voir avec le fait que la très grande
majorité des machines utilisent la base 2 (et non la base 10) pour
représenter les flottants.
Un exemple ici est celui des machines qui manipulent les nombres
flottants en base 10 : comme au final ces machines sont électroniques,
le nombre en base 10 sera à la fin représenté par un ensemble d'états
binaires (normalement en BCD) ; quel est donc la base « en mémoire » ?
Et en quoi le fait de répondre 10 ou 2 change quoi que ce soit ?
Mouais. D'un autre côté, ce serait se mettre la tête dans le sable que
d'imaginer que la représentation hexadécimale des nombres flottants et
le spécificateur %a n'ont rien à voir avec le fait que la très grande
majorité des machines utilisent la base 2 (et non la base 10) pour
représenter les flottants.
Je crois qu'on pourrait se mettre d'accord que le fait que la sens d'une
expression comme « nombre binaire » ou « nombre décimal » dépend du
contexte et relève purement d'une convention (comme un peu tout ce qui
relève du langage et des notations, en fait).
Je crois qu'on pourrait se mettre d'accord que le fait que la sens d'une
expression comme « nombre binaire » ou « nombre décimal » dépend du
contexte et relève purement d'une convention (comme un peu tout ce qui
relève du langage et des notations, en fait).
Je crois qu'on pourrait se mettre d'accord que le fait que la sens d'une
expression comme « nombre binaire » ou « nombre décimal » dépend du
contexte et relève purement d'une convention (comme un peu tout ce qui
relève du langage et des notations, en fait).