si une raison de rejeter les typedef est les conflits entre en-têtes,
si une raison de rejeter les typedef est les conflits entre en-têtes,
si une raison de rejeter les typedef est les conflits entre en-têtes,
(C'est le même genre d'objections que j'ai avec du code qui veut éviter les
variables globales et les singletons à tout prix. On se retrouve en
pratique avec un bazillon de pointeur et du code qui suppose que tous
pointent vers la même chose et si c'est pas le cas, ça casse et c'est
(C'est le même genre d'objections que j'ai avec du code qui veut éviter les
variables globales et les singletons à tout prix. On se retrouve en
pratique avec un bazillon de pointeur et du code qui suppose que tous
pointent vers la même chose et si c'est pas le cas, ça casse et c'est
(C'est le même genre d'objections que j'ai avec du code qui veut éviter les
variables globales et les singletons à tout prix. On se retrouve en
pratique avec un bazillon de pointeur et du code qui suppose que tous
pointent vers la même chose et si c'est pas le cas, ça casse et c'est
Vincent Belaïche a écrit :OK, la représentation textuelle est complètement orthogonale de la
représentation en mémoire, et dépend de la machine.
J'avais ajouté la dernière colonne parce que la discussion était
partie sur ce que veut dire "binaire" ou "décimal" lorsque on parle de
nombre binaire ou de nombre "décimal". Je maintiens que, en français,
lorsque on applique cette épithète au mot nombre, on fait référence à
ses propriétés mathématiques, qui en dernier ressort dépendent de la
façon dont il est mémorisé dans la machine.
Je ne suis pas d'accord. Décimal ou binaire n'est absolument pas une
propriété intrinsèque d'un nombre. Un nombre est un truc qui existe
indépendamment de la façon de l'écrire. Est-ce que sqrt(2) est binaire
ou décimal? Ni l'un ni l'autre, par contre on peut le *représenter* avec
des chiffres binaires ou décimaux.
Vincent Belaïche a écrit :
OK, la représentation textuelle est complètement orthogonale de la
représentation en mémoire, et dépend de la machine.
J'avais ajouté la dernière colonne parce que la discussion était
partie sur ce que veut dire "binaire" ou "décimal" lorsque on parle de
nombre binaire ou de nombre "décimal". Je maintiens que, en français,
lorsque on applique cette épithète au mot nombre, on fait référence à
ses propriétés mathématiques, qui en dernier ressort dépendent de la
façon dont il est mémorisé dans la machine.
Je ne suis pas d'accord. Décimal ou binaire n'est absolument pas une
propriété intrinsèque d'un nombre. Un nombre est un truc qui existe
indépendamment de la façon de l'écrire. Est-ce que sqrt(2) est binaire
ou décimal? Ni l'un ni l'autre, par contre on peut le *représenter* avec
des chiffres binaires ou décimaux.
Vincent Belaïche a écrit :OK, la représentation textuelle est complètement orthogonale de la
représentation en mémoire, et dépend de la machine.
J'avais ajouté la dernière colonne parce que la discussion était
partie sur ce que veut dire "binaire" ou "décimal" lorsque on parle de
nombre binaire ou de nombre "décimal". Je maintiens que, en français,
lorsque on applique cette épithète au mot nombre, on fait référence à
ses propriétés mathématiques, qui en dernier ressort dépendent de la
façon dont il est mémorisé dans la machine.
Je ne suis pas d'accord. Décimal ou binaire n'est absolument pas une
propriété intrinsèque d'un nombre. Un nombre est un truc qui existe
indépendamment de la façon de l'écrire. Est-ce que sqrt(2) est binaire
ou décimal? Ni l'un ni l'autre, par contre on peut le *représenter* avec
des chiffres binaires ou décimaux.
Bonjour,
sqrt(2) n'est ni binaire ni décimal, mais on pourrait avoir une format
interne en machine qui le représente exactement (par exemple une suite
d'entiers coefficients d'un polynôme dont il est racine, et un numéro
d'ordre donnant la racine considérée).
représenter sqrt(2) (dont la façon textuelle ``sqrt(2)'') il me semble
un peu abusif, parlant des nombre non transcendants, de dire qu'ils
existent complètement indépendamment de la façon de les écrire, puisque
en général la façon de les écrire est basée sur une méthode pour les
construire.
Bonjour,
sqrt(2) n'est ni binaire ni décimal, mais on pourrait avoir une format
interne en machine qui le représente exactement (par exemple une suite
d'entiers coefficients d'un polynôme dont il est racine, et un numéro
d'ordre donnant la racine considérée).
représenter sqrt(2) (dont la façon textuelle ``sqrt(2)'') il me semble
un peu abusif, parlant des nombre non transcendants, de dire qu'ils
existent complètement indépendamment de la façon de les écrire, puisque
en général la façon de les écrire est basée sur une méthode pour les
construire.
Bonjour,
sqrt(2) n'est ni binaire ni décimal, mais on pourrait avoir une format
interne en machine qui le représente exactement (par exemple une suite
d'entiers coefficients d'un polynôme dont il est racine, et un numéro
d'ordre donnant la racine considérée).
représenter sqrt(2) (dont la façon textuelle ``sqrt(2)'') il me semble
un peu abusif, parlant des nombre non transcendants, de dire qu'ils
existent complètement indépendamment de la façon de les écrire, puisque
en général la façon de les écrire est basée sur une méthode pour les
construire.
bonjour tout le monde,
[snip]
une question de vrai débutant :
Apparremment, 1.7+0.1 et x+0.1 sont égaux ; j'imagine qu'il s'agit d'un
problème de représentation des flottants en machine mais j'aimerais bien
avoir une confirmation ou une infirmation (et une explication, si
possible).
Merci par avance.
Emmanuel
bonjour tout le monde,
[snip]
une question de vrai débutant :
Apparremment, 1.7+0.1 et x+0.1 sont égaux ; j'imagine qu'il s'agit d'un
problème de représentation des flottants en machine mais j'aimerais bien
avoir une confirmation ou une infirmation (et une explication, si
possible).
Merci par avance.
Emmanuel
bonjour tout le monde,
[snip]
une question de vrai débutant :
Apparremment, 1.7+0.1 et x+0.1 sont égaux ; j'imagine qu'il s'agit d'un
problème de représentation des flottants en machine mais j'aimerais bien
avoir une confirmation ou une infirmation (et une explication, si
possible).
Merci par avance.
Emmanuel
sqrt(2) [...]
Et c'est même pire.. Il y a quelques milliers d'années, à l'époque de
pythagore, certains pensaient que sqrt(2) n'était pas un nombre car il n
n'entrait pas dans les calculs et la vision du monde de l'époque.
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
tu sous entends qu'il n'y a qu'une seule façon d'écrire un nombre.
Quelque part on est finalement parti à la recherche de "qu'est ce qu'un
nombre" et ça nous éloigne carrément du C..
sqrt(2) [...]
Et c'est même pire.. Il y a quelques milliers d'années, à l'époque de
pythagore, certains pensaient que sqrt(2) n'était pas un nombre car il n
n'entrait pas dans les calculs et la vision du monde de l'époque.
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
tu sous entends qu'il n'y a qu'une seule façon d'écrire un nombre.
Quelque part on est finalement parti à la recherche de "qu'est ce qu'un
nombre" et ça nous éloigne carrément du C..
sqrt(2) [...]
Et c'est même pire.. Il y a quelques milliers d'années, à l'époque de
pythagore, certains pensaient que sqrt(2) n'était pas un nombre car il n
n'entrait pas dans les calculs et la vision du monde de l'époque.
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
tu sous entends qu'il n'y a qu'une seule façon d'écrire un nombre.
Quelque part on est finalement parti à la recherche de "qu'est ce qu'un
nombre" et ça nous éloigne carrément du C..
Samuel DEVULDER écrivit :sqrt(2) [...]
Et c'est même pire.. Il y a quelques milliers d'années, à l'époque de
pythagore, certains pensaient que sqrt(2) n'était pas un nombre car il n
n'entrait pas dans les calculs et la vision du monde de l'époque.
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
En même temps cela fait plus de 100 ans que ce « problème » est résolu ;
mais évidemment la « solution » (les complexes) n'est pas pratique...
Samuel DEVULDER écrivit :
sqrt(2) [...]
Et c'est même pire.. Il y a quelques milliers d'années, à l'époque de
pythagore, certains pensaient que sqrt(2) n'était pas un nombre car il n
n'entrait pas dans les calculs et la vision du monde de l'époque.
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
En même temps cela fait plus de 100 ans que ce « problème » est résolu ;
mais évidemment la « solution » (les complexes) n'est pas pratique...
Samuel DEVULDER écrivit :sqrt(2) [...]
Et c'est même pire.. Il y a quelques milliers d'années, à l'époque de
pythagore, certains pensaient que sqrt(2) n'était pas un nombre car il n
n'entrait pas dans les calculs et la vision du monde de l'époque.
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
En même temps cela fait plus de 100 ans que ce « problème » est résolu ;
mais évidemment la « solution » (les complexes) n'est pas pratique...
Samuel DEVULDER écrivit :sqrt(2) [...]
Et c'est même pire.. Il y a quelques milliers d'années, à l'époque de
pythagore, certains pensaient que sqrt(2) n'était pas un nombre car il n
n'entrait pas dans les calculs et la vision du monde de l'époque.
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
En même temps cela fait plus de 100 ans que ce « problème » est résolu ;
Samuel DEVULDER écrivit :
sqrt(2) [...]
Et c'est même pire.. Il y a quelques milliers d'années, à l'époque de
pythagore, certains pensaient que sqrt(2) n'était pas un nombre car il n
n'entrait pas dans les calculs et la vision du monde de l'époque.
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
En même temps cela fait plus de 100 ans que ce « problème » est résolu ;
Samuel DEVULDER écrivit :sqrt(2) [...]
Et c'est même pire.. Il y a quelques milliers d'années, à l'époque de
pythagore, certains pensaient que sqrt(2) n'était pas un nombre car il n
n'entrait pas dans les calculs et la vision du monde de l'époque.
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
En même temps cela fait plus de 100 ans que ce « problème » est résolu ;
Antoine Leca a écrit :Samuel DEVULDER écrivit :sqrt(2) [...]
Et c'est même pire.. Il y a quelques milliers d'années, à l'époque de
pythagore, certains pensaient que sqrt(2) n'était pas un nombre car il n
n'entrait pas dans les calculs et la vision du monde de l'époque.
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
En même temps cela fait plus de 100 ans que ce « problème » est résolu ;
Oui mais non,
car sitôt qu'on accepte une extension à un nombre, on
invente une autre classe de "choses" qui pourraient être des nombres,
mais qu'on a encore du mal à imaginer ou manipuler aussi facilement
qu'on le fait avec les choses acceptées comme nombres, voir qui choquent
tellement l'intuition qu'on se faisait des nombre auparavant, qu'on les
rejette. Par exemple: les ordinaux, ou les "choses" qui se baladent dans
le halo autour des nombres rééls dans l'analyse non standard.
Evidemment, aucune de ces choses "infinitésimale" n'a de représentation
en base dix ou deux,
mais je ne serais pas étonné d'apprendre que
1.000...???...0000<chiffres en nb finis> (avec ??? représentant une
certaine infinité de zero) puisse correspondre avec l'une des partie des
éléments du halo.
Antoine Leca a écrit :
Samuel DEVULDER écrivit :
sqrt(2) [...]
Et c'est même pire.. Il y a quelques milliers d'années, à l'époque de
pythagore, certains pensaient que sqrt(2) n'était pas un nombre car il n
n'entrait pas dans les calculs et la vision du monde de l'époque.
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
En même temps cela fait plus de 100 ans que ce « problème » est résolu ;
Oui mais non,
car sitôt qu'on accepte une extension à un nombre, on
invente une autre classe de "choses" qui pourraient être des nombres,
mais qu'on a encore du mal à imaginer ou manipuler aussi facilement
qu'on le fait avec les choses acceptées comme nombres, voir qui choquent
tellement l'intuition qu'on se faisait des nombre auparavant, qu'on les
rejette. Par exemple: les ordinaux, ou les "choses" qui se baladent dans
le halo autour des nombres rééls dans l'analyse non standard.
Evidemment, aucune de ces choses "infinitésimale" n'a de représentation
en base dix ou deux,
mais je ne serais pas étonné d'apprendre que
1.000...???...0000<chiffres en nb finis> (avec ??? représentant une
certaine infinité de zero) puisse correspondre avec l'une des partie des
éléments du halo.
Antoine Leca a écrit :Samuel DEVULDER écrivit :sqrt(2) [...]
Et c'est même pire.. Il y a quelques milliers d'années, à l'époque de
pythagore, certains pensaient que sqrt(2) n'était pas un nombre car il n
n'entrait pas dans les calculs et la vision du monde de l'époque.
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
En même temps cela fait plus de 100 ans que ce « problème » est résolu ;
Oui mais non,
car sitôt qu'on accepte une extension à un nombre, on
invente une autre classe de "choses" qui pourraient être des nombres,
mais qu'on a encore du mal à imaginer ou manipuler aussi facilement
qu'on le fait avec les choses acceptées comme nombres, voir qui choquent
tellement l'intuition qu'on se faisait des nombre auparavant, qu'on les
rejette. Par exemple: les ordinaux, ou les "choses" qui se baladent dans
le halo autour des nombres rééls dans l'analyse non standard.
Evidemment, aucune de ces choses "infinitésimale" n'a de représentation
en base dix ou deux,
mais je ne serais pas étonné d'apprendre que
1.000...???...0000<chiffres en nb finis> (avec ??? représentant une
certaine infinité de zero) puisse correspondre avec l'une des partie des
éléments du halo.
In article <hpmoe0$quk$,
Antoine Leca wrote:sqrt(2) [...]
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
En même temps cela fait plus de 100 ans que ce « problème » est résolu ;
mais évidemment la « solution » (les complexes) n'est pas pratique...
Qu'est-ce qu'elle a de non pratique ?
les complexes permettent de completer R vis-a-vis des equations algebriques,
In article <hpmoe0$quk$1@shakotay.alphanet.ch>,
Antoine Leca <root@localhost.invalid> wrote:
sqrt(2) [...]
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
En même temps cela fait plus de 100 ans que ce « problème » est résolu ;
mais évidemment la « solution » (les complexes) n'est pas pratique...
Qu'est-ce qu'elle a de non pratique ?
les complexes permettent de completer R vis-a-vis des equations algebriques,
In article <hpmoe0$quk$,
Antoine Leca wrote:sqrt(2) [...]
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
En même temps cela fait plus de 100 ans que ce « problème » est résolu ;
mais évidemment la « solution » (les complexes) n'est pas pratique...
Qu'est-ce qu'elle a de non pratique ?
les complexes permettent de completer R vis-a-vis des equations algebriques,