bon voila ma compagne plutot allergique a la technique galère tellement
avec son win que j'ai l’idée de lui installer un linux sur un ssd tout
neuf (il y a une promo electro depau a 60 e) mais quel linux ? il faut
que ce soit le plus pres possible de win7 auquel elle est habituée
depuis des années j'ai pensé a mint ,moi j'ai un mint17 sur un disque
mais perso je n'arrive pas a décoller de mon ubuntu avec gnome3
quand pensez vous ? qu'est ce qui serait le mieux pour personne que
l'informatique ne passionne pas
Bonjour, Le 26/08/2017 à 11:43, Nicolas George a écrit dans le message <59a142c4$0$3636$ :
C'est quoi un « environnement stateful » ?
Plus généralement qu'un environnement, un logiciel stateful, c'est un logiciel qui se configure à la volée et fait persister cette configuration. L'exemple le plus élémentaire, ce sont tous ces logiciels qui se rappellent la taille de leur fenêtre quand on les quitte pour rouvrir à la même taille quand on les relance plus tard. Mais il y bien d'autres exemples : les logiciels dont on peut déplacer les barres d'outil à la volée, ceux qui se rappellent l'ordre de tri des listes, ceux qui sauvent la configuration des options automatiquement, etc. Ça a l'air d'une bonne idée comme ça, parce que c'est simple et évident, ça mime la réalité. Mais si on y réfléchit deux secondes on se rend compte que ça mime les mauvais éléments de la réalité. Dans la réalité, si je sors de ma chambre et que j'y rentre tout de suite après, je la retrouve dans le même état ; j'aimerais bien la retrouver avec le lit fait et le linge plié et rangé comme par magie. En informatique, c'est possible, et c'est ce que le stateful fait disparaître.
Ok, je vois. Il y a quand même des cas où c'est ce qui est souhaité ; par exemple, quand tu ajoutes un marque-page dans ton navigateur, il y a peu de chance que tu souhaites qu'il disparaisse à ta prochaine ouverture de session. -- Benoit Izac
Bonjour,
Le 26/08/2017 à 11:43, Nicolas George a écrit dans le message
<59a142c4$0$3636$426a34cc@news.free.fr> :
C'est quoi un « environnement stateful » ?
Plus généralement qu'un environnement, un logiciel stateful, c'est un
logiciel qui se configure à la volée et fait persister cette
configuration.
L'exemple le plus élémentaire, ce sont tous ces logiciels qui se
rappellent la taille de leur fenêtre quand on les quitte pour rouvrir à
la même taille quand on les relance plus tard. Mais il y bien d'autres
exemples : les logiciels dont on peut déplacer les barres d'outil à la
volée, ceux qui se rappellent l'ordre de tri des listes, ceux qui
sauvent la configuration des options automatiquement, etc.
Ça a l'air d'une bonne idée comme ça, parce que c'est simple et évident,
ça mime la réalité. Mais si on y réfléchit deux secondes on se rend
compte que ça mime les mauvais éléments de la réalité. Dans la réalité,
si je sors de ma chambre et que j'y rentre tout de suite après, je la
retrouve dans le même état ; j'aimerais bien la retrouver avec le lit
fait et le linge plié et rangé comme par magie. En informatique, c'est
possible, et c'est ce que le stateful fait disparaître.
Ok, je vois. Il y a quand même des cas où c'est ce qui est souhaité ;
par exemple, quand tu ajoutes un marque-page dans ton navigateur, il
y a peu de chance que tu souhaites qu'il disparaisse à ta prochaine
ouverture de session.
Bonjour, Le 26/08/2017 à 11:43, Nicolas George a écrit dans le message <59a142c4$0$3636$ :
C'est quoi un « environnement stateful » ?
Plus généralement qu'un environnement, un logiciel stateful, c'est un logiciel qui se configure à la volée et fait persister cette configuration. L'exemple le plus élémentaire, ce sont tous ces logiciels qui se rappellent la taille de leur fenêtre quand on les quitte pour rouvrir à la même taille quand on les relance plus tard. Mais il y bien d'autres exemples : les logiciels dont on peut déplacer les barres d'outil à la volée, ceux qui se rappellent l'ordre de tri des listes, ceux qui sauvent la configuration des options automatiquement, etc. Ça a l'air d'une bonne idée comme ça, parce que c'est simple et évident, ça mime la réalité. Mais si on y réfléchit deux secondes on se rend compte que ça mime les mauvais éléments de la réalité. Dans la réalité, si je sors de ma chambre et que j'y rentre tout de suite après, je la retrouve dans le même état ; j'aimerais bien la retrouver avec le lit fait et le linge plié et rangé comme par magie. En informatique, c'est possible, et c'est ce que le stateful fait disparaître.
Ok, je vois. Il y a quand même des cas où c'est ce qui est souhaité ; par exemple, quand tu ajoutes un marque-page dans ton navigateur, il y a peu de chance que tu souhaites qu'il disparaisse à ta prochaine ouverture de session. -- Benoit Izac
Nicolas George
Marc SCHAEFER , dans le message <onrmde$420$, a écrit :
Peut-être que c'est implémentable via des permissions sur ~/.config ?
Au risque de dysfonctionnements pénibles, comme le fait de ne pas pouvoir sauvegarder la liste des documents récemment utilisés par exemple, ou les cookies pour un navigateur. D'une manière générale, manipuler un logiciel de l'extérieur quand il n'est pas prévu pour peut parfois tirer d'affaire mais est rarement une bonne solution.
Marc SCHAEFER , dans le message <onrmde$420$1@shakotay.alphanet.ch>, a
écrit :
Peut-être que c'est implémentable via des permissions sur ~/.config ?
Au risque de dysfonctionnements pénibles, comme le fait de ne pas
pouvoir sauvegarder la liste des documents récemment utilisés par
exemple, ou les cookies pour un navigateur.
D'une manière générale, manipuler un logiciel de l'extérieur quand il
n'est pas prévu pour peut parfois tirer d'affaire mais est rarement une
bonne solution.
Marc SCHAEFER , dans le message <onrmde$420$, a écrit :
Peut-être que c'est implémentable via des permissions sur ~/.config ?
Au risque de dysfonctionnements pénibles, comme le fait de ne pas pouvoir sauvegarder la liste des documents récemment utilisés par exemple, ou les cookies pour un navigateur. D'une manière générale, manipuler un logiciel de l'extérieur quand il n'est pas prévu pour peut parfois tirer d'affaire mais est rarement une bonne solution.
Nicolas George
Benoit Izac , dans le message , a écrit :
Ok, je vois. Il y a quand même des cas où c'est ce qui est souhaité ; par exemple, quand tu ajoutes un marque-page dans ton navigateur, il y a peu de chance que tu souhaites qu'il disparaisse à ta prochaine ouverture de session.
Oui. Il y a une différence subtile entre la configuration et les données, et la limite est parfois floue. C'est pour ça, entre autres, que jouer sur les permissions des fichiers de configuration sans la collaboration du logiciel n'est pas une bonne solution.
Benoit Izac , dans le message <87y3q6lepc.fsf@izac.org>, a écrit :
Ok, je vois. Il y a quand même des cas où c'est ce qui est souhaité ;
par exemple, quand tu ajoutes un marque-page dans ton navigateur, il
y a peu de chance que tu souhaites qu'il disparaisse à ta prochaine
ouverture de session.
Oui. Il y a une différence subtile entre la configuration et les
données, et la limite est parfois floue. C'est pour ça, entre autres,
que jouer sur les permissions des fichiers de configuration sans la
collaboration du logiciel n'est pas une bonne solution.
Ok, je vois. Il y a quand même des cas où c'est ce qui est souhaité ; par exemple, quand tu ajoutes un marque-page dans ton navigateur, il y a peu de chance que tu souhaites qu'il disparaisse à ta prochaine ouverture de session.
Oui. Il y a une différence subtile entre la configuration et les données, et la limite est parfois floue. C'est pour ça, entre autres, que jouer sur les permissions des fichiers de configuration sans la collaboration du logiciel n'est pas une bonne solution.
Yliur
Le 26 Aug 2017 07:23:36 GMT Nicolas George <nicolas$ a écrit :
Pas un environnement de bureau, c'est une tragique erreur d'egronomie
Pour le fait qu'il y ait un bureau ou pour l'environnement ? Il me semble que KDE avait des idées pour lier plus ou moins ses applications les unes aux autres, passer facilement des information d'un logiciel à l'autre, ... Je ne sais pas si c'est quelque chose de très avancé.
Le 26 Aug 2017 07:23:36 GMT
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> a écrit :
Pas un
environnement de bureau, c'est une tragique erreur d'egronomie
Pour le fait qu'il y ait un bureau ou pour l'environnement ?
Il me semble que KDE avait des idées pour lier plus ou moins ses
applications les unes aux autres, passer facilement des information
d'un logiciel à l'autre, ... Je ne sais pas si c'est quelque chose de
très avancé.
Le 26 Aug 2017 07:23:36 GMT Nicolas George <nicolas$ a écrit :
Pas un environnement de bureau, c'est une tragique erreur d'egronomie
Pour le fait qu'il y ait un bureau ou pour l'environnement ? Il me semble que KDE avait des idées pour lier plus ou moins ses applications les unes aux autres, passer facilement des information d'un logiciel à l'autre, ... Je ne sais pas si c'est quelque chose de très avancé.
Nicolas George
Yliur , dans le message , a écrit :
Pour le fait qu'il y ait un bureau ou pour l'environnement ?
Pour les icônes du fond d'écran. Regarde le « bureau » de n'importe quel utilisateur de windows ou de macos : un fouillis d'icônes de documents provisoires, de logiciels fraîchement installés qui couvre les trois quarts de l'écran. Et même pour ceux qui arrivent à se tenir à un ordre minimum, les icônes qui sont sur le bureau sont par définition les plus importantes, mais justement elles sont à l'endroit le moins accessible, sous les fenêtres de travail.
Yliur , dans le message <20170826152141.3b7b5b1d@free.fr>, a écrit :
Pour le fait qu'il y ait un bureau ou pour l'environnement ?
Pour les icônes du fond d'écran. Regarde le « bureau » de n'importe quel
utilisateur de windows ou de macos : un fouillis d'icônes de documents
provisoires, de logiciels fraîchement installés qui couvre les trois
quarts de l'écran.
Et même pour ceux qui arrivent à se tenir à un ordre minimum, les icônes
qui sont sur le bureau sont par définition les plus importantes, mais
justement elles sont à l'endroit le moins accessible, sous les fenêtres
de travail.
Pour le fait qu'il y ait un bureau ou pour l'environnement ?
Pour les icônes du fond d'écran. Regarde le « bureau » de n'importe quel utilisateur de windows ou de macos : un fouillis d'icônes de documents provisoires, de logiciels fraîchement installés qui couvre les trois quarts de l'écran. Et même pour ceux qui arrivent à se tenir à un ordre minimum, les icônes qui sont sur le bureau sont par définition les plus importantes, mais justement elles sont à l'endroit le moins accessible, sous les fenêtres de travail.
DV
Nicolas George a écrit ceci :
Pour les icônes du fond d'écran. Regarde le « bureau » de n'importe quel utilisateur de windows ou de macos : un fouillis d'icônes de documents provisoires,
Ça, ce n'est pas le bureau de "n'importe quel utilisateur", mais plutôt celui d'un utilisateur franchement bordélique. ;-)
de logiciels fraîchement installés qui couvre les trois quarts de l'écran.
L'ajout quasi systématique d'un raccourci sur le bureau lors de l'installation d'un nouveau logiciel vaut pour Windows, pas pour macOS.
Et même pour ceux qui arrivent à se tenir à un ordre minimum,
Sur Windows, on peut choisir de ne pas afficher du tout les icônes du bureau. Le bureau de macOS contient au minimum les icônes des volumes montés (et ce minimum est un maximum chez moi).
les icônes qui sont sur le bureau sont par définition les plus importantes, mais justement elles sont à l'endroit le moins accessible, sous les fenêtres de travail.
D'où l'intérêt, à mon avis, du dock de macOS. Ou à la rigueur, pour Windows 10, de l'utilisation de plusieurs bureaux virtuels. -- Denis
Nicolas George a écrit ceci :
Pour les icônes du fond d'écran. Regarde le « bureau » de n'importe quel
utilisateur de windows ou de macos : un fouillis d'icônes de documents
provisoires,
Ça, ce n'est pas le bureau de "n'importe quel utilisateur", mais plutôt
celui d'un utilisateur franchement bordélique. ;-)
de logiciels fraîchement installés qui couvre les trois
quarts de l'écran.
L'ajout quasi systématique d'un raccourci sur le bureau lors de
l'installation d'un nouveau logiciel vaut pour Windows, pas pour macOS.
Et même pour ceux qui arrivent à se tenir à un ordre minimum,
Sur Windows, on peut choisir de ne pas afficher du tout les icônes du
bureau. Le bureau de macOS contient au minimum les icônes des volumes
montés (et ce minimum est un maximum chez moi).
les icônes
qui sont sur le bureau sont par définition les plus importantes, mais
justement elles sont à l'endroit le moins accessible, sous les fenêtres
de travail.
D'où l'intérêt, à mon avis, du dock de macOS. Ou à la rigueur, pour
Windows 10, de l'utilisation de plusieurs bureaux virtuels.
Pour les icônes du fond d'écran. Regarde le « bureau » de n'importe quel utilisateur de windows ou de macos : un fouillis d'icônes de documents provisoires,
Ça, ce n'est pas le bureau de "n'importe quel utilisateur", mais plutôt celui d'un utilisateur franchement bordélique. ;-)
de logiciels fraîchement installés qui couvre les trois quarts de l'écran.
L'ajout quasi systématique d'un raccourci sur le bureau lors de l'installation d'un nouveau logiciel vaut pour Windows, pas pour macOS.
Et même pour ceux qui arrivent à se tenir à un ordre minimum,
Sur Windows, on peut choisir de ne pas afficher du tout les icônes du bureau. Le bureau de macOS contient au minimum les icônes des volumes montés (et ce minimum est un maximum chez moi).
les icônes qui sont sur le bureau sont par définition les plus importantes, mais justement elles sont à l'endroit le moins accessible, sous les fenêtres de travail.
D'où l'intérêt, à mon avis, du dock de macOS. Ou à la rigueur, pour Windows 10, de l'utilisation de plusieurs bureaux virtuels. -- Denis
capfree
Le 26/08/2017 à 12:09, jp willm a écrit :
Depuis quelques mois, j'ai opté pour Manjaro Linux, car dès le départ tu te retrouve avec un tableau de bord (en bas) un peu à la WindowsXP et le tout bien agencé pour une utilisation standard. Ce qui me plaît les plus et j'espère que l'avenir me le confirmera, c'est que c'est une distribution "rolling release" que tu n'as pas besoin de réinstaller tout les deux ou quatre ans ; elle se met à jour continuellement. Donc, mes "protégés" (des éternels débutants) qui comptent sur moi, n'auront en principe plus besoin de me re-confier leur PC pour une remise à niveau.
Bonjour jp Avec cette distrib quelques mois de recul c'est court, pas trop de problèmes, et même pourquoi pas un certain confort ? Parce qu'Archlinux et son aide entièrement en anglais, ce n'était pas pour moi, mais venant de rénover une tour, je pourrais peut-être me lancer dans un essai non virtuel... et à mon âge c'est un plus grand investissement que le hard ;-) Merci de ton avis. -- capfree -
Le 26/08/2017 à 12:09, jp willm a écrit :
Depuis quelques mois, j'ai opté pour Manjaro Linux, car dès le départ tu
te retrouve avec un tableau de bord (en bas) un peu à la WindowsXP et le
tout bien agencé pour une utilisation standard.
Ce qui me plaît les plus et j'espère que l'avenir me le confirmera,
c'est que c'est une distribution "rolling release" que tu n'as pas
besoin de réinstaller tout les deux ou quatre ans ; elle se met à jour
continuellement.
Donc, mes "protégés" (des éternels débutants) qui comptent sur moi,
n'auront en principe plus besoin de me re-confier leur PC pour une
remise à niveau.
Bonjour jp
Avec cette distrib quelques mois de recul c'est court, pas trop de
problèmes, et même pourquoi pas un certain confort ?
Parce qu'Archlinux et son aide entièrement en anglais, ce n'était pas
pour moi, mais venant de rénover une tour, je pourrais peut-être me
lancer dans un essai non virtuel... et à mon âge c'est un plus grand
investissement que le hard ;-)
Depuis quelques mois, j'ai opté pour Manjaro Linux, car dès le départ tu te retrouve avec un tableau de bord (en bas) un peu à la WindowsXP et le tout bien agencé pour une utilisation standard. Ce qui me plaît les plus et j'espère que l'avenir me le confirmera, c'est que c'est une distribution "rolling release" que tu n'as pas besoin de réinstaller tout les deux ou quatre ans ; elle se met à jour continuellement. Donc, mes "protégés" (des éternels débutants) qui comptent sur moi, n'auront en principe plus besoin de me re-confier leur PC pour une remise à niveau.
Bonjour jp Avec cette distrib quelques mois de recul c'est court, pas trop de problèmes, et même pourquoi pas un certain confort ? Parce qu'Archlinux et son aide entièrement en anglais, ce n'était pas pour moi, mais venant de rénover une tour, je pourrais peut-être me lancer dans un essai non virtuel... et à mon âge c'est un plus grand investissement que le hard ;-) Merci de ton avis. -- capfree -
jp willm
Le 26/08/2017 à 19:55, capfree a écrit :
Bonjour jp
Bonsoir,
Avec cette distrib quelques mois de recul c'est court, pas trop de problèmes, et même pourquoi pas un certain confort ?
Je l'ai installée sur 5 ou 6 PC dont certains ont des puces Nvidia et même un portable avec Nvidia Optimus. Les seuls petits bugs que j'ai rencontrés sont les suivants : Sur certains PC (notamment les portables) il fallait rester sur les options par défaut (choix de la langue, du clavier etc.), sinon le système live bloquait au démarrage. Sur mes PC à moi, j'ai installé la version open-rc (sans systemd) et là, régulièrement, après la mise à jour du noyau, il faut après le premier redémarrage faire un sudo update-grub pour avoir le menu GRUB au complet. A part cela, que du bonheur : j'ai un petit voyant rouge qui me prévient tous les 15 jours lorsqu'il y a des mises à jour disponibles. Après installation de yaourt, pamac (le gestionnaire graphique de paquets) me propose également les dépôts AUR.
Parce qu'Archlinux et son aide entièrement en anglais, ce n'était pas pour moi, mais venant de rénover une tour, je pourrais peut-être me lancer dans un essai non virtuel... et à mon âge c'est un plus grand investissement que le hard ;-)
Franchement, j'avais séché sur Arch il y a quelques années. C'est donc avec une certaine appréhension que j'ai testé/installé Manjaro. A ma grande surprise, il n'y a pas eu de mauvaises surprises. Ah si, au début j'avais un double boot xubuntu/manjaro et après un sudo update-grub sur xubuntu, je ne pouvais plus booter sur manjaro. Mais c'est un problème connu que j'ai réussi à surmonter suite à une petite recherche sur internet et notamment sur le wiki de Manjaro. J'utilise entre autres Manjaro pour la DAO (FreeCAD et LibreCAD) et pour piloter une imprimante 3D (Cura et Pronterface).
Merci de ton avis.
De rien, on ne donne rien aussi libéralement que son avis :o) -- jp willm http://perso.orange.fr/willms/index.html
Le 26/08/2017 à 19:55, capfree a écrit :
Bonjour jp
Bonsoir,
Avec cette distrib quelques mois de recul c'est court, pas trop de
problèmes, et même pourquoi pas un certain confort ?
Je l'ai installée sur 5 ou 6 PC dont certains ont des puces Nvidia et
même un portable avec Nvidia Optimus.
Les seuls petits bugs que j'ai rencontrés sont les suivants :
Sur certains PC (notamment les portables) il fallait rester sur les
options par défaut (choix de la langue, du clavier etc.), sinon le
système live bloquait au démarrage.
Sur mes PC à moi, j'ai installé la version open-rc (sans systemd) et là,
régulièrement, après la mise à jour du noyau, il faut après le premier
redémarrage faire un sudo update-grub pour avoir le menu GRUB au complet.
A part cela, que du bonheur : j'ai un petit voyant rouge qui me prévient
tous les 15 jours lorsqu'il y a des mises à jour disponibles.
Après installation de yaourt, pamac (le gestionnaire graphique de
paquets) me propose également les dépôts AUR.
Parce qu'Archlinux et son aide entièrement en anglais, ce n'était pas
pour moi, mais venant de rénover une tour, je pourrais peut-être me
lancer dans un essai non virtuel... et à mon âge c'est un plus grand
investissement que le hard ;-)
Franchement, j'avais séché sur Arch il y a quelques années.
C'est donc avec une certaine appréhension que j'ai testé/installé
Manjaro. A ma grande surprise, il n'y a pas eu de mauvaises surprises.
Ah si, au début j'avais un double boot xubuntu/manjaro et après un sudo
update-grub sur xubuntu, je ne pouvais plus booter sur manjaro.
Mais c'est un problème connu que j'ai réussi à surmonter suite à une
petite recherche sur internet et notamment sur le wiki de Manjaro.
J'utilise entre autres Manjaro pour la DAO (FreeCAD et LibreCAD) et pour
piloter une imprimante 3D (Cura et Pronterface).
Merci de ton avis.
De rien, on ne donne rien aussi libéralement que son avis :o)
Avec cette distrib quelques mois de recul c'est court, pas trop de problèmes, et même pourquoi pas un certain confort ?
Je l'ai installée sur 5 ou 6 PC dont certains ont des puces Nvidia et même un portable avec Nvidia Optimus. Les seuls petits bugs que j'ai rencontrés sont les suivants : Sur certains PC (notamment les portables) il fallait rester sur les options par défaut (choix de la langue, du clavier etc.), sinon le système live bloquait au démarrage. Sur mes PC à moi, j'ai installé la version open-rc (sans systemd) et là, régulièrement, après la mise à jour du noyau, il faut après le premier redémarrage faire un sudo update-grub pour avoir le menu GRUB au complet. A part cela, que du bonheur : j'ai un petit voyant rouge qui me prévient tous les 15 jours lorsqu'il y a des mises à jour disponibles. Après installation de yaourt, pamac (le gestionnaire graphique de paquets) me propose également les dépôts AUR.
Parce qu'Archlinux et son aide entièrement en anglais, ce n'était pas pour moi, mais venant de rénover une tour, je pourrais peut-être me lancer dans un essai non virtuel... et à mon âge c'est un plus grand investissement que le hard ;-)
Franchement, j'avais séché sur Arch il y a quelques années. C'est donc avec une certaine appréhension que j'ai testé/installé Manjaro. A ma grande surprise, il n'y a pas eu de mauvaises surprises. Ah si, au début j'avais un double boot xubuntu/manjaro et après un sudo update-grub sur xubuntu, je ne pouvais plus booter sur manjaro. Mais c'est un problème connu que j'ai réussi à surmonter suite à une petite recherche sur internet et notamment sur le wiki de Manjaro. J'utilise entre autres Manjaro pour la DAO (FreeCAD et LibreCAD) et pour piloter une imprimante 3D (Cura et Pronterface).
Merci de ton avis.
De rien, on ne donne rien aussi libéralement que son avis :o) -- jp willm http://perso.orange.fr/willms/index.html
Doug713705
Le 26-08-2017, DV nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration (<ons09j$oal$) :
Nicolas George a écrit ceci :
Pour les icônes du fond d'écran. Regarde le « bureau » de n'importe quel utilisateur de windows ou de macos : un fouillis d'icônes de documents provisoires,
Ça, ce n'est pas le bureau de "n'importe quel utilisateur", mais plutôt celui d'un utilisateur franchement bordélique. ;-)
C'est le cas de la plupart des utilisateurs. Ok, "la plupart" est estimé au doigt mouille en fonction de l'âge du capitaine mais je ne connais pas beaciup d'utilisateur de Windows qui n'ont pas un bureau recouvert d'icônes inutiles. Dans les faits ces utilisateurs confondent leur bureau et leur homedir. C'est un choix qui leur appartient...
de logiciels fraîchement installés qui couvre les trois quarts de l'écran.
L'ajout quasi systématique d'un raccourci sur le bureau lors de l'installation d'un nouveau logiciel vaut pour Windows, pas pour macOS.
Et même pour ceux qui arrivent à se tenir à un ordre minimum,
Sur Windows, on peut choisir de ne pas afficher du tout les icônes du bureau. Le bureau de macOS contient au minimum les icônes des volumes montés (et ce minimum est un maximum chez moi).
Pour moi c'est déjà trop, d'ailleurs je n'ai même pas de "bureau", pas plus que de "corbeille".
les icônes qui sont sur le bureau sont par définition les plus importantes, mais justement elles sont à l'endroit le moins accessible, sous les fenêtres de travail.
D'où l'intérêt, à mon avis, du dock de macOS. Ou à la rigueur, pour Windows 10, de l'utilisation de plusieurs bureaux virtuels.
Étaler le bordel sur un plus grand nombre de bureaux n'est pas une méthode d'organisation efficace ;-) -- Je ne connaîtrai rien de tes habitudes Il se peut même que tu sois décédée Mais j'demanderai ta main pour la couper -- H.F. Thiéfaine, L'ascenceur de 22H43
Le 26-08-2017, DV nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.configuration
(<ons09j$oal$1@shakotay.alphanet.ch>) :
Nicolas George a écrit ceci :
Pour les icônes du fond d'écran. Regarde le « bureau » de n'importe quel
utilisateur de windows ou de macos : un fouillis d'icônes de documents
provisoires,
Ça, ce n'est pas le bureau de "n'importe quel utilisateur", mais plutôt
celui d'un utilisateur franchement bordélique. ;-)
C'est le cas de la plupart des utilisateurs.
Ok, "la plupart" est estimé au doigt mouille en fonction de l'âge du
capitaine mais je ne connais pas beaciup d'utilisateur de Windows qui
n'ont pas un bureau recouvert d'icônes inutiles.
Dans les faits ces utilisateurs confondent leur bureau et leur homedir.
C'est un choix qui leur appartient...
de logiciels fraîchement installés qui couvre les trois
quarts de l'écran.
L'ajout quasi systématique d'un raccourci sur le bureau lors de
l'installation d'un nouveau logiciel vaut pour Windows, pas pour macOS.
Et même pour ceux qui arrivent à se tenir à un ordre minimum,
Sur Windows, on peut choisir de ne pas afficher du tout les icônes du
bureau. Le bureau de macOS contient au minimum les icônes des volumes
montés (et ce minimum est un maximum chez moi).
Pour moi c'est déjà trop, d'ailleurs je n'ai même pas de "bureau", pas
plus que de "corbeille".
les icônes qui sont sur le bureau sont par définition les plus importantes, mais
justement elles sont à l'endroit le moins accessible, sous les fenêtres
de travail.
D'où l'intérêt, à mon avis, du dock de macOS. Ou à la rigueur, pour
Windows 10, de l'utilisation de plusieurs bureaux virtuels.
Étaler le bordel sur un plus grand nombre de bureaux n'est pas une
méthode d'organisation efficace ;-)
--
Je ne connaîtrai rien de tes habitudes
Il se peut même que tu sois décédée
Mais j'demanderai ta main pour la couper
-- H.F. Thiéfaine, L'ascenceur de 22H43
Le 26-08-2017, DV nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration (<ons09j$oal$) :
Nicolas George a écrit ceci :
Pour les icônes du fond d'écran. Regarde le « bureau » de n'importe quel utilisateur de windows ou de macos : un fouillis d'icônes de documents provisoires,
Ça, ce n'est pas le bureau de "n'importe quel utilisateur", mais plutôt celui d'un utilisateur franchement bordélique. ;-)
C'est le cas de la plupart des utilisateurs. Ok, "la plupart" est estimé au doigt mouille en fonction de l'âge du capitaine mais je ne connais pas beaciup d'utilisateur de Windows qui n'ont pas un bureau recouvert d'icônes inutiles. Dans les faits ces utilisateurs confondent leur bureau et leur homedir. C'est un choix qui leur appartient...
de logiciels fraîchement installés qui couvre les trois quarts de l'écran.
L'ajout quasi systématique d'un raccourci sur le bureau lors de l'installation d'un nouveau logiciel vaut pour Windows, pas pour macOS.
Et même pour ceux qui arrivent à se tenir à un ordre minimum,
Sur Windows, on peut choisir de ne pas afficher du tout les icônes du bureau. Le bureau de macOS contient au minimum les icônes des volumes montés (et ce minimum est un maximum chez moi).
Pour moi c'est déjà trop, d'ailleurs je n'ai même pas de "bureau", pas plus que de "corbeille".
les icônes qui sont sur le bureau sont par définition les plus importantes, mais justement elles sont à l'endroit le moins accessible, sous les fenêtres de travail.
D'où l'intérêt, à mon avis, du dock de macOS. Ou à la rigueur, pour Windows 10, de l'utilisation de plusieurs bureaux virtuels.
Étaler le bordel sur un plus grand nombre de bureaux n'est pas une méthode d'organisation efficace ;-) -- Je ne connaîtrai rien de tes habitudes Il se peut même que tu sois décédée Mais j'demanderai ta main pour la couper -- H.F. Thiéfaine, L'ascenceur de 22H43
Doug713705
Le 26-08-2017, DV nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration (<ons09j$oal$) :
Nicolas George a écrit ceci :
Pour les icônes du fond d'écran. Regarde le « bureau » de n'importe quel utilisateur de windows ou de macos : un fouillis d'icônes de documents provisoires,
Ça, ce n'est pas le bureau de "n'importe quel utilisateur", mais plutôt celui d'un utilisateur franchement bordélique. ;-)
C'est le cas de la plupart des utilisateurs. Ok, "la plupart" est estimé au doigt mouillé en fonction de l'âge du capitaine mais je ne connais pas beaucoup d'utilisateurs de Windows qui n'ont pas un bureau recouvert d'icônes inutiles. Dans les faits ces utilisateurs confondent leur bureau et leur homedir. C'est un choix qui leur appartient...
de logiciels fraîchement installés qui couvre les trois quarts de l'écran.
L'ajout quasi systématique d'un raccourci sur le bureau lors de l'installation d'un nouveau logiciel vaut pour Windows, pas pour macOS.
Et même pour ceux qui arrivent à se tenir à un ordre minimum,
Sur Windows, on peut choisir de ne pas afficher du tout les icônes du bureau. Le bureau de macOS contient au minimum les icônes des volumes montés (et ce minimum est un maximum chez moi).
Pour moi c'est déjà trop, d'ailleurs je n'ai même pas de "bureau", pas plus que de "corbeille".
les icônes qui sont sur le bureau sont par définition les plus importantes, mais justement elles sont à l'endroit le moins accessible, sous les fenêtres de travail.
D'où l'intérêt, à mon avis, du dock de macOS. Ou à la rigueur, pour Windows 10, de l'utilisation de plusieurs bureaux virtuels.
Étaler le bordel sur un plus grand nombre de bureaux n'est pas une méthode d'organisation efficace ;-) -- Je ne connaîtrai rien de tes habitudes Il se peut même que tu sois décédée Mais j'demanderai ta main pour la couper -- H.F. Thiéfaine, L'ascenceur de 22H43
Le 26-08-2017, DV nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.configuration
(<ons09j$oal$1@shakotay.alphanet.ch>) :
Nicolas George a écrit ceci :
Pour les icônes du fond d'écran. Regarde le « bureau » de n'importe quel
utilisateur de windows ou de macos : un fouillis d'icônes de documents
provisoires,
Ça, ce n'est pas le bureau de "n'importe quel utilisateur", mais plutôt
celui d'un utilisateur franchement bordélique. ;-)
C'est le cas de la plupart des utilisateurs.
Ok, "la plupart" est estimé au doigt mouillé en fonction de l'âge du
capitaine mais je ne connais pas beaucoup d'utilisateurs de Windows qui
n'ont pas un bureau recouvert d'icônes inutiles.
Dans les faits ces utilisateurs confondent leur bureau et leur homedir.
C'est un choix qui leur appartient...
de logiciels fraîchement installés qui couvre les trois
quarts de l'écran.
L'ajout quasi systématique d'un raccourci sur le bureau lors de
l'installation d'un nouveau logiciel vaut pour Windows, pas pour macOS.
Et même pour ceux qui arrivent à se tenir à un ordre minimum,
Sur Windows, on peut choisir de ne pas afficher du tout les icônes du
bureau. Le bureau de macOS contient au minimum les icônes des volumes
montés (et ce minimum est un maximum chez moi).
Pour moi c'est déjà trop, d'ailleurs je n'ai même pas de "bureau", pas
plus que de "corbeille".
les icônes qui sont sur le bureau sont par définition les plus importantes, mais
justement elles sont à l'endroit le moins accessible, sous les fenêtres
de travail.
D'où l'intérêt, à mon avis, du dock de macOS. Ou à la rigueur, pour
Windows 10, de l'utilisation de plusieurs bureaux virtuels.
Étaler le bordel sur un plus grand nombre de bureaux n'est pas une
méthode d'organisation efficace ;-)
--
Je ne connaîtrai rien de tes habitudes
Il se peut même que tu sois décédée
Mais j'demanderai ta main pour la couper
-- H.F. Thiéfaine, L'ascenceur de 22H43
Le 26-08-2017, DV nous expliquait dans fr.comp.os.linux.configuration (<ons09j$oal$) :
Nicolas George a écrit ceci :
Pour les icônes du fond d'écran. Regarde le « bureau » de n'importe quel utilisateur de windows ou de macos : un fouillis d'icônes de documents provisoires,
Ça, ce n'est pas le bureau de "n'importe quel utilisateur", mais plutôt celui d'un utilisateur franchement bordélique. ;-)
C'est le cas de la plupart des utilisateurs. Ok, "la plupart" est estimé au doigt mouillé en fonction de l'âge du capitaine mais je ne connais pas beaucoup d'utilisateurs de Windows qui n'ont pas un bureau recouvert d'icônes inutiles. Dans les faits ces utilisateurs confondent leur bureau et leur homedir. C'est un choix qui leur appartient...
de logiciels fraîchement installés qui couvre les trois quarts de l'écran.
L'ajout quasi systématique d'un raccourci sur le bureau lors de l'installation d'un nouveau logiciel vaut pour Windows, pas pour macOS.
Et même pour ceux qui arrivent à se tenir à un ordre minimum,
Sur Windows, on peut choisir de ne pas afficher du tout les icônes du bureau. Le bureau de macOS contient au minimum les icônes des volumes montés (et ce minimum est un maximum chez moi).
Pour moi c'est déjà trop, d'ailleurs je n'ai même pas de "bureau", pas plus que de "corbeille".
les icônes qui sont sur le bureau sont par définition les plus importantes, mais justement elles sont à l'endroit le moins accessible, sous les fenêtres de travail.
D'où l'intérêt, à mon avis, du dock de macOS. Ou à la rigueur, pour Windows 10, de l'utilisation de plusieurs bureaux virtuels.
Étaler le bordel sur un plus grand nombre de bureaux n'est pas une méthode d'organisation efficace ;-) -- Je ne connaîtrai rien de tes habitudes Il se peut même que tu sois décédée Mais j'demanderai ta main pour la couper -- H.F. Thiéfaine, L'ascenceur de 22H43