Voil=E0 un petit coup de guelle.
Comme beaucoup d'entre vous, doiventt surement le savoir, une
entreprise (Ovanet pour pas la cit=E9e) soit disant leader (leader de
quoi??) a eu quelques soucis disons "intra-associ=E9", le r=E9sultat est
que pendant environ une semaine tous les services de cette soci=E9t=E9
n'ont pu =EAtre assur=E9, c'est =E0 dire : support, accueille
t=E9l=E9phonique, urgence, gestion etc..
En effet, le staff administratif et technique (cad 2 personnes
contrairement =E0 ce qu'on nous a eu dit) ont =E9t=E9 mis ou se sont
retir=E9 pendant le temps de cette crise (vive le comportement pro).
Contrairement =E0 ce qui est dis ici : http://minilien.com/?La8XQR6v0o ,
pendant cette semaine, la soci=E9t=E9 n'a pas =E9t=E9 transparente, aucune
explication valable n'a =E9t=E9 donn=E9, pour seul explication "officiel",
nous avons eu un communiqu=E9 IRC (nouvelle mode?) ou l'actionnaire
principale (oxyd) annonce , je cite : "Suite au d=E9part volontaire de
la direction de la soci=E9t=E9 OVANET S.A.R.L depuis le lundi 29 ao=FBt
2005, OVANET S.A.R.L vous informe qu'une nouvelle organisation est
actuellement entrain d'=EAtre mise en place...."
Que leur support soit disant 24/24 - 7/7 (on se demande comment ils
font =E0 2?), n'a pas du tout =E9t=E9 joignable pendant environ cette
p=E9riode, que pendant cette temps, les clients n'ont pu dispos=E9
pleinement de LEUR infrastructure (impossible de sortir ou de se faire
livr=E9/racker du mat=E9riel) et j'en passe.
Tout cela, pour quel raison, on ne sait pas....Et on apprend
aujourd'hui qu'un accord a =E9t=E9 trouv=E9 (lequel ? on ne sait pas
.=2E..), que l'ancienne =E9quipe reprend sa place et que tout rentre dans
l'ordre.
Aucune communication sur le d=E9dommagement pr=E9vu, et surtout aucune
explication clair et pr=E9cise sur les raisons de cette crise, afin de
savoir si del=E0 peut ou pas se reproduire.
Afin apr=E8s tout del=E0, on se rend contre que cette soci=E9t=E9 au niveau
p=E9rennit=E9 est tr=E8s instable, que le comportement des associ=E9s :
- genre on est dans une cours d'=E9cole, on se dispute
- je boude (peut importe les clients qui nous ont fais confiance)
- on fait la paix,
n'est pas tr=E8s pro.
A cela vient se rajouter, les mensonges en tout genre, cf.
:http://groups.google.fr/group/fr.reseaux.internet.hebergement/browse_threa=
d/thread/b4a0f4036714ee80/239a6a81192eebbe?q=3Dovanet+bilan&rnum=3D1&hl=3Df=
r#239a6a81192eebbe
Voil=E0 le coup de gueule !!
Nous savons que de nombreux poste va suivre d=E9fendant cette pauvre
soci=E9t=E9 et son pauvre g=E9rant (honn=EAte et tout ...), mais la
v=E9rit=E9 est que leur comportement =E0 TOUS (associ=E9) n'a pas =E9t=E9
pro, envers les clients pris en otage pour s=FBrement une histoire de
gros sous.
P=2ES.: afin de pr=E9venir toutes mauvaises langue, nous postons en tant
qu'anonyme et nous souhaitons le rest=E9, pour ne pas subir le gourou de
notre fournisseur chez qui nous sommes encore engag=E9 pour un temps,
mais il n'emp=EAche que ce poste ne refl=E8te que la v=E9rit=E9.
[tout un tas de choses déjà traités par d'autres réponses]
Voilà le coup de gueule !! Nous savons que de nombreux poste va suivre défendant cette pauvre société et son pauvre gérant (honnête et tout ...), mais la vérité est que leur comportement à TOUS (associé) n'a pas été pro, envers les clients pris en otage pour sûrement une histoire de gros sous.
La vérité, elle est qu'il faut avoir des boules de la taille d'une cacahouète pour ne pas assumer ses dires et cracher son mécontentement dans un pauvre post public.
Bien à toi de préférer "bouder" plutôt que d'avoir une discussion "constructive" avec les personnes concernées.
Bonne journée, -- Guillaume Rousseau
[tout un tas de choses déjà traités par d'autres réponses]
Voilà le coup de gueule !!
Nous savons que de nombreux poste va suivre défendant cette pauvre
société et son pauvre gérant (honnête et tout ...), mais la
vérité est que leur comportement à TOUS (associé) n'a pas été
pro, envers les clients pris en otage pour sûrement une histoire de
gros sous.
La vérité, elle est qu'il faut avoir des boules de la taille d'une
cacahouète pour ne pas assumer ses dires et cracher son mécontentement
dans un pauvre post public.
Bien à toi de préférer "bouder" plutôt que d'avoir une discussion
"constructive" avec les personnes concernées.
[tout un tas de choses déjà traités par d'autres réponses]
Voilà le coup de gueule !! Nous savons que de nombreux poste va suivre défendant cette pauvre société et son pauvre gérant (honnête et tout ...), mais la vérité est que leur comportement à TOUS (associé) n'a pas été pro, envers les clients pris en otage pour sûrement une histoire de gros sous.
La vérité, elle est qu'il faut avoir des boules de la taille d'une cacahouète pour ne pas assumer ses dires et cracher son mécontentement dans un pauvre post public.
Bien à toi de préférer "bouder" plutôt que d'avoir une discussion "constructive" avec les personnes concernées.
Bonne journée, -- Guillaume Rousseau
Dominik
Bonjour,
Finalement, je constate que nous en revenons toujours au même constat et je vais m'en expliquer ci après : je trouve inacceptable qu'un hébergeur nous impose des conditions générales de vente qu'il peut et sait utiliser à bon escient (impayé, contenu interdit, etc = coupure de service) mais en ce qui concerne le client, il se trouve généralement démunie. Vous allez me dire qu'il y a toujours moyen, en tant que consommateur, un moyen de faire valoir ses droits. Mais dans les faits, il n'en est rien. Les actions sont lourdes (envoie de courrier à divers organismes (associations) de défense des consommateurs, action auprès des tribunaux compétents, etc) et réclament du temps. Et le temps, dans des cas comme ceux là, on en a jamais suffisament. Finalement, les clients subissent les désagréments qui peuvent parfois se transformer en de gros préjudices, particulièrement si ce dernier est une société et que le service d'hébergement centralise la gestion de ses comptes mails, de son web ou mieux encore, les services de ses clients (cas de sites de e-commerce ou de revente d'hébergement). Si j'évoque tout cela, c'est que plus récemment, la mésaventure d'AMEN (et d'autres aussi, car ils n'ont pas été ceux qui ont ) nous a permis d'en tirer un certain enseignement, enseignement qu'il faudrait, je pense fortement, utiliser pour faire changer les choses. Un flou, un TRES GROS FLOU existe côté client. En gros, le client ne peut rien exiger... mais doit, dans les faits, subir, sans rien dire ni rien réclamer. Et cela est inacceptable.
Ainsi, on s'aperçoit que le premier des manquements de ces prestataires est l'information : en cas de crise, les hébergeurs ne communiquent pas. Ils pratiquent la langue de bois, laissent leurs clients dans le floue et pire, racontent çà et là (la presse, par exemple) que TOUT va bien et que l'on "grossit" l'ampleur du problème. Il ne communique pas non plus (du moins pas tous) sur l'état de leur service. On nous annonce des disponibilités qui sont plus souvent des arguments commerciaux qu'une réalité technique. Même les délais d'assistance sont bien souvent en deçà de nos attentes (on connait tous les réponses expresses qui ont pour but de faire gagner du temps... et après, c'est une partie de ping-pong sans fin...)... ou encore (et là, je trouve cela pire que tous), l'utilisation d'un numéro payant pour l'assistance sans que le service soit honoré !!!! Bref, j'en passe et des meilleures... la liste des reproches ou plutôt de nos attentes est longue.
Ou je veux en venir ? En fait, à une chose et une seule : je pense qu'il est plus que nécessaire aujourd'hui de définir une charte du "bon hébergeur", charte ayant pour vocation à la fois de dresser une liste des OBLIGATIONS qu'un hébergeur se doit d'accomplir envers ses clients, mais aussi les actions ou recours que peuvent effectuer les clients envers ce dernier en cas de manquement. Cette charte pourrait être rédigée par une communcauté de clients, composée de professionnels et de particuliers (ayant des intérêts différents mais des services communs). Puis ensuite, une fois rédigée, elle serait proposée aux hébergeurs afin qu'elle soit approuvée et signée. Un label pourrait être proposé (j'ai déjà quelques idées sur ce point). Si les prestataires ne respectent pas les engagements de la charte client/hébergeurs, alors, le label leur est retiré, mais pire encore, nous utilisons les moyens mis à notre disposition pour faire valoir nos droits : communiqué de presse, ouverture de dialogue via une association, actions en justice si besoin est, etc.
Notons que dans le domaine de la téléphonie, ou encore de l'accès à Internet, les choses ont bougé grâce à ce type d'organisation (ou quelque chose d'approchant)... alors pourquoi ne pas le faire ?
Pour ma part, ayant déjà une association en action sur ce sujet et m'étant chargé de la défense des clients d'AMEN (AMENHELP.ORG) je suis partant pour que l'on y continue cette discussion et surtout, que l'on rédige un document allant dans ce sens...
Vos réactions SVP ?
Cordialement. Dominik (webmaster AMENHELP). Pdt de l'association les Défenseurs du Numérique
Bonjour,
Finalement, je constate que nous en revenons toujours au même constat
et je vais m'en expliquer ci après :
je trouve inacceptable qu'un hébergeur nous impose des conditions
générales de vente qu'il peut et sait utiliser à bon escient
(impayé, contenu interdit, etc = coupure de service) mais en ce qui
concerne le client, il se trouve généralement démunie.
Vous allez me dire qu'il y a toujours moyen, en tant que consommateur,
un moyen de faire valoir ses droits. Mais dans les faits, il n'en est
rien. Les actions sont lourdes (envoie de courrier à divers organismes
(associations) de défense des consommateurs, action auprès des
tribunaux compétents, etc) et réclament du temps. Et le temps, dans
des cas comme ceux là, on en a jamais suffisament.
Finalement, les clients subissent les désagréments qui peuvent
parfois se transformer en de gros préjudices, particulièrement si ce
dernier est une société et que le service d'hébergement centralise
la gestion de ses comptes mails, de son web ou mieux encore, les
services de ses clients (cas de sites de e-commerce ou de revente
d'hébergement).
Si j'évoque tout cela, c'est que plus récemment, la mésaventure
d'AMEN (et d'autres aussi, car ils n'ont pas été ceux qui ont ) nous
a permis d'en tirer un certain enseignement, enseignement qu'il
faudrait, je pense fortement, utiliser pour faire changer les choses.
Un flou, un TRES GROS FLOU existe côté client. En gros, le client ne
peut rien exiger... mais doit, dans les faits, subir, sans rien dire ni
rien réclamer. Et cela est inacceptable.
Ainsi, on s'aperçoit que le premier des manquements de ces
prestataires est l'information : en cas de crise, les hébergeurs ne
communiquent pas. Ils pratiquent la langue de bois, laissent leurs
clients dans le floue et pire, racontent çà et là (la presse, par
exemple) que TOUT va bien et que l'on "grossit" l'ampleur du problème.
Il ne communique pas non plus (du moins pas tous) sur l'état de leur
service. On nous annonce des disponibilités qui sont plus souvent des
arguments commerciaux qu'une réalité technique. Même les délais
d'assistance sont bien souvent en deçà de nos attentes (on connait
tous les réponses expresses qui ont pour but de faire gagner du
temps... et après, c'est une partie de ping-pong sans fin...)... ou
encore (et là, je trouve cela pire que tous), l'utilisation d'un
numéro payant pour l'assistance sans que le service soit honoré !!!!
Bref, j'en passe et des meilleures... la liste des reproches ou plutôt
de nos attentes est longue.
Ou je veux en venir ?
En fait, à une chose et une seule : je pense qu'il est plus que
nécessaire aujourd'hui de définir une charte du "bon hébergeur",
charte ayant pour vocation à la fois de dresser une liste des
OBLIGATIONS qu'un hébergeur se doit d'accomplir envers ses clients,
mais aussi les actions ou recours que peuvent effectuer les clients
envers ce dernier en cas de manquement.
Cette charte pourrait être rédigée par une communcauté de clients,
composée de professionnels et de particuliers (ayant des intérêts
différents mais des services communs). Puis ensuite, une fois
rédigée, elle serait proposée aux hébergeurs afin qu'elle soit
approuvée et signée. Un label pourrait être proposé (j'ai déjà
quelques idées sur ce point).
Si les prestataires ne respectent pas les engagements de la charte
client/hébergeurs, alors, le label leur est retiré, mais pire encore,
nous utilisons les moyens mis à notre disposition pour faire valoir
nos droits : communiqué de presse, ouverture de dialogue via une
association, actions en justice si besoin est, etc.
Notons que dans le domaine de la téléphonie, ou encore de l'accès à
Internet, les choses ont bougé grâce à ce type d'organisation (ou
quelque chose d'approchant)... alors pourquoi ne pas le faire ?
Pour ma part, ayant déjà une association en action sur ce sujet et
m'étant chargé de la défense des clients d'AMEN (AMENHELP.ORG) je
suis partant pour que l'on y continue cette discussion et surtout, que
l'on rédige un document allant dans ce sens...
Vos réactions SVP ?
Cordialement.
Dominik (webmaster AMENHELP).
Pdt de l'association les Défenseurs du Numérique
Finalement, je constate que nous en revenons toujours au même constat et je vais m'en expliquer ci après : je trouve inacceptable qu'un hébergeur nous impose des conditions générales de vente qu'il peut et sait utiliser à bon escient (impayé, contenu interdit, etc = coupure de service) mais en ce qui concerne le client, il se trouve généralement démunie. Vous allez me dire qu'il y a toujours moyen, en tant que consommateur, un moyen de faire valoir ses droits. Mais dans les faits, il n'en est rien. Les actions sont lourdes (envoie de courrier à divers organismes (associations) de défense des consommateurs, action auprès des tribunaux compétents, etc) et réclament du temps. Et le temps, dans des cas comme ceux là, on en a jamais suffisament. Finalement, les clients subissent les désagréments qui peuvent parfois se transformer en de gros préjudices, particulièrement si ce dernier est une société et que le service d'hébergement centralise la gestion de ses comptes mails, de son web ou mieux encore, les services de ses clients (cas de sites de e-commerce ou de revente d'hébergement). Si j'évoque tout cela, c'est que plus récemment, la mésaventure d'AMEN (et d'autres aussi, car ils n'ont pas été ceux qui ont ) nous a permis d'en tirer un certain enseignement, enseignement qu'il faudrait, je pense fortement, utiliser pour faire changer les choses. Un flou, un TRES GROS FLOU existe côté client. En gros, le client ne peut rien exiger... mais doit, dans les faits, subir, sans rien dire ni rien réclamer. Et cela est inacceptable.
Ainsi, on s'aperçoit que le premier des manquements de ces prestataires est l'information : en cas de crise, les hébergeurs ne communiquent pas. Ils pratiquent la langue de bois, laissent leurs clients dans le floue et pire, racontent çà et là (la presse, par exemple) que TOUT va bien et que l'on "grossit" l'ampleur du problème. Il ne communique pas non plus (du moins pas tous) sur l'état de leur service. On nous annonce des disponibilités qui sont plus souvent des arguments commerciaux qu'une réalité technique. Même les délais d'assistance sont bien souvent en deçà de nos attentes (on connait tous les réponses expresses qui ont pour but de faire gagner du temps... et après, c'est une partie de ping-pong sans fin...)... ou encore (et là, je trouve cela pire que tous), l'utilisation d'un numéro payant pour l'assistance sans que le service soit honoré !!!! Bref, j'en passe et des meilleures... la liste des reproches ou plutôt de nos attentes est longue.
Ou je veux en venir ? En fait, à une chose et une seule : je pense qu'il est plus que nécessaire aujourd'hui de définir une charte du "bon hébergeur", charte ayant pour vocation à la fois de dresser une liste des OBLIGATIONS qu'un hébergeur se doit d'accomplir envers ses clients, mais aussi les actions ou recours que peuvent effectuer les clients envers ce dernier en cas de manquement. Cette charte pourrait être rédigée par une communcauté de clients, composée de professionnels et de particuliers (ayant des intérêts différents mais des services communs). Puis ensuite, une fois rédigée, elle serait proposée aux hébergeurs afin qu'elle soit approuvée et signée. Un label pourrait être proposé (j'ai déjà quelques idées sur ce point). Si les prestataires ne respectent pas les engagements de la charte client/hébergeurs, alors, le label leur est retiré, mais pire encore, nous utilisons les moyens mis à notre disposition pour faire valoir nos droits : communiqué de presse, ouverture de dialogue via une association, actions en justice si besoin est, etc.
Notons que dans le domaine de la téléphonie, ou encore de l'accès à Internet, les choses ont bougé grâce à ce type d'organisation (ou quelque chose d'approchant)... alors pourquoi ne pas le faire ?
Pour ma part, ayant déjà une association en action sur ce sujet et m'étant chargé de la défense des clients d'AMEN (AMENHELP.ORG) je suis partant pour que l'on y continue cette discussion et surtout, que l'on rédige un document allant dans ce sens...
Vos réactions SVP ?
Cordialement. Dominik (webmaster AMENHELP). Pdt de l'association les Défenseurs du Numérique
delaf
D'autre part un gérant peut ne pas avoir de parts dans la société, et être choisi par les associés.
Le gérant peut tout a fait être l'un des associés, il est effectivement choisi par les associés.
-- delaf
D'autre part un gérant peut ne pas avoir de parts dans la société, et
être choisi par les associés.
Le gérant peut tout a fait être l'un des associés, il est effectivement
choisi par les associés.
D'autre part un gérant peut ne pas avoir de parts dans la société, et être choisi par les associés.
Le gérant peut tout a fait être l'un des associés, il est effectivement choisi par les associés.
-- delaf
Thierry TOBAILEM
Spyou wrote:
Salut Spyou
Faut quand meme veiller a pas tomber dans le syndrome "cette boite est génialissime, regardez, elle a des problemes et elle arrive a les resoudre" :)
Non, non, bien sûr, c'est en me faisant la même réflexion que j'ai voulu ajouter les mots lucidité et prise de responsabilité en fin de post qui sous entendaient en l'espèce celles dont doit aussi faire preuve le client, qu'il pense blanc ou noir.
Spyou wrote:
Salut Spyou
Faut quand meme veiller a pas tomber dans le syndrome "cette boite est
génialissime, regardez, elle a des problemes et elle arrive a les
resoudre" :)
Non, non, bien sûr, c'est en me faisant la même réflexion que j'ai voulu
ajouter les mots lucidité et prise de responsabilité en fin de post qui
sous entendaient en l'espèce celles dont doit aussi faire preuve le client,
qu'il pense blanc ou noir.
Faut quand meme veiller a pas tomber dans le syndrome "cette boite est génialissime, regardez, elle a des problemes et elle arrive a les resoudre" :)
Non, non, bien sûr, c'est en me faisant la même réflexion que j'ai voulu ajouter les mots lucidité et prise de responsabilité en fin de post qui sous entendaient en l'espèce celles dont doit aussi faire preuve le client, qu'il pense blanc ou noir.
Dominique ROUSSEAU
Le jeu, 08 sep 2005 at 16:09 GMT, Thierry TOBAILEM a écrit : [...]
Je vis, mange, dors en pensant à mes clients, j'ai annulé des vacances pour mes clients, je ne compte plus les nuits blanches que j'ai passé pour eux, ni celles que j'ai imposé à mes collaborateurs (pas plus tard que Mardi),
Essaye le monde extérieur, c'est bien aussi, des fois.
Le jeu, 08 sep 2005 at 16:09 GMT, Thierry TOBAILEM
<thierry-no-spam-please@sivit.fr> a écrit :
[...]
Je vis, mange, dors en pensant à mes clients, j'ai annulé des vacances
pour mes clients, je ne compte plus les nuits blanches que j'ai passé
pour eux, ni celles que j'ai imposé à mes collaborateurs (pas plus
tard que Mardi),
Essaye le monde extérieur, c'est bien aussi, des fois.
Le jeu, 08 sep 2005 at 16:09 GMT, Thierry TOBAILEM a écrit : [...]
Je vis, mange, dors en pensant à mes clients, j'ai annulé des vacances pour mes clients, je ne compte plus les nuits blanches que j'ai passé pour eux, ni celles que j'ai imposé à mes collaborateurs (pas plus tard que Mardi),
Essaye le monde extérieur, c'est bien aussi, des fois.
Thierry TOBAILEM
Essaye le monde extérieur, c'est bien aussi, des fois.
Et bien écoute, tu viens de m'illuminer, je réalise que lorsque je ne suis pas devant mon écran, je suis sois en spéléo dans des cavités noires et humides à croiser des chauves souris, soit autour d'un table de billard dans une salle sombre.
J'ai peur d'avoir un jour les dents qui poussent ne crois tu pas ?
Déjà que j'étais un peu soupçonneux de la literie 1 place en pur sapin avec capiton de soie mauve que ma femme à tenu qu'on s'achète ...
Essaye le monde extérieur, c'est bien aussi, des fois.
Et bien écoute, tu viens de m'illuminer, je réalise que lorsque je ne suis
pas devant mon écran, je suis sois en spéléo dans des cavités noires et
humides à croiser des chauves souris, soit autour d'un table de billard
dans une salle sombre.
J'ai peur d'avoir un jour les dents qui poussent ne crois tu pas ?
Déjà que j'étais un peu soupçonneux de la literie 1 place en pur sapin avec
capiton de soie mauve que ma femme à tenu qu'on s'achète ...
Essaye le monde extérieur, c'est bien aussi, des fois.
Et bien écoute, tu viens de m'illuminer, je réalise que lorsque je ne suis pas devant mon écran, je suis sois en spéléo dans des cavités noires et humides à croiser des chauves souris, soit autour d'un table de billard dans une salle sombre.
J'ai peur d'avoir un jour les dents qui poussent ne crois tu pas ?
Déjà que j'étais un peu soupçonneux de la literie 1 place en pur sapin avec capiton de soie mauve que ma femme à tenu qu'on s'achète ...
Dominique ROUSSEAU
Le ven, 09 sep 2005 at 07:01 GMT, Thierry TOBAILEM a écrit :
Essaye le monde extérieur, c'est bien aussi, des fois.
Et bien écoute, tu viens de m'illuminer, je réalise que lorsque je ne suis pas devant mon écran, je suis sois en spéléo dans des cavités noires et humides à croiser des chauves souris, soit autour d'un table de billard dans une salle sombre.
J'ai peur d'avoir un jour les dents qui poussent ne crois tu pas ?
Déjà que j'étais un peu soupçonneux de la literie 1 place en pur sapin avec capiton de soie mauve que ma femme à tenu qu'on s'achète ...
:o))
Le ven, 09 sep 2005 at 07:01 GMT, Thierry TOBAILEM <thierry-no-spam-please@sivit.fr> a écrit :
Essaye le monde extérieur, c'est bien aussi, des fois.
Et bien écoute, tu viens de m'illuminer, je réalise que lorsque je ne suis
pas devant mon écran, je suis sois en spéléo dans des cavités noires et
humides à croiser des chauves souris, soit autour d'un table de billard
dans une salle sombre.
J'ai peur d'avoir un jour les dents qui poussent ne crois tu pas ?
Déjà que j'étais un peu soupçonneux de la literie 1 place en pur sapin avec
capiton de soie mauve que ma femme à tenu qu'on s'achète ...
Le ven, 09 sep 2005 at 07:01 GMT, Thierry TOBAILEM a écrit :
Essaye le monde extérieur, c'est bien aussi, des fois.
Et bien écoute, tu viens de m'illuminer, je réalise que lorsque je ne suis pas devant mon écran, je suis sois en spéléo dans des cavités noires et humides à croiser des chauves souris, soit autour d'un table de billard dans une salle sombre.
J'ai peur d'avoir un jour les dents qui poussent ne crois tu pas ?
Déjà que j'étais un peu soupçonneux de la literie 1 place en pur sapin avec capiton de soie mauve que ma femme à tenu qu'on s'achète ...
:o))
Christophe Casalegno
Patrick Mevzek wrote:
prenante au capital de la societé, l'ont monté avec leur petites mains potelées, a la sueur de leur front ...
Donc non soumises aux 35 heures, c'est bien ça?
S'ils ne sont pas salariés. Les 35h s'appliquent aux salariés, mais donc pas aux gérants, ni aux professions libérales, ni à tous les postes non salariés.
Pour le gérant je veux bien, mais les associés n'ont pas vraiment le droit de travailler, tout au plus d'apporter un certain nombre de contributions à l'entreprise, financière, matériel et/ou humain.
prenante au capital de la societé, l'ont monté avec
leur petites mains potelées, a la sueur de leur front ...
Donc non soumises aux 35 heures, c'est bien ça?
S'ils ne sont pas salariés.
Les 35h s'appliquent aux salariés, mais donc pas aux gérants, ni aux
professions libérales, ni à tous les postes non salariés.
Pour le gérant je veux bien, mais les associés n'ont pas vraiment le droit
de travailler, tout au plus d'apporter un certain nombre de contributions à
l'entreprise, financière, matériel et/ou humain.
prenante au capital de la societé, l'ont monté avec leur petites mains potelées, a la sueur de leur front ...
Donc non soumises aux 35 heures, c'est bien ça?
S'ils ne sont pas salariés. Les 35h s'appliquent aux salariés, mais donc pas aux gérants, ni aux professions libérales, ni à tous les postes non salariés.
Pour le gérant je veux bien, mais les associés n'ont pas vraiment le droit de travailler, tout au plus d'apporter un certain nombre de contributions à l'entreprise, financière, matériel et/ou humain.
Vos réactions SVP ? Je pense que l'on dévie du sujet original ;)
Non sinon je crois que la diversité de la prestation d'hébergeur empêche ce genre de "charte". Entre un hébergement dit "discount" à un euro par an, et un hébergement "pro" (services supplémentaires, haute disponibilité, etc), la différence est ... abyssale. Vas-tu imposer les même règles à ces deux hébergeurs ? Je ne pense pas. Le client est libre de choisir son hébergeur selon ses besoins et le prix qu'il est prêt à payer. Que la prestation ne soit que "moyenne" voire "médiocre" n'impactera pas pour autant un étudiant qui veut juste mettre en ligne les photos de ses vacances. Pourtant il y a bien eu service, tu ne vas pas faire un procès à l'hébergeur pour autant ;)
(je sens qu'à partir d'ici le thread va dévier du sujet original - ou plutôt du pamphlet d'un inconnu qui n'ose pas assumer ses dires).
-- Olivier
"Dominik" a écrit dans le message de news:
Bonjour,
Finalement, je constate que nous en revenons toujours au même constat et je vais m'en expliquer ci après : je trouve inacceptable qu'un hébergeur nous impose des conditions générales de vente qu'il peut et sait utiliser à bon escient (impayé, contenu interdit, etc = coupure de service) mais en ce qui concerne le client, il se trouve généralement démunie. Vous allez me dire qu'il y a toujours moyen, en tant que consommateur, un moyen de faire valoir ses droits. Mais dans les faits, il n'en est rien. Les actions sont lourdes (envoie de courrier à divers organismes (associations) de défense des consommateurs, action auprès des tribunaux compétents, etc) et réclament du temps. Et le temps, dans des cas comme ceux là, on en a jamais suffisament. Finalement, les clients subissent les désagréments qui peuvent parfois se transformer en de gros préjudices, particulièrement si ce dernier est une société et que le service d'hébergement centralise la gestion de ses comptes mails, de son web ou mieux encore, les services de ses clients (cas de sites de e-commerce ou de revente d'hébergement). Si j'évoque tout cela, c'est que plus récemment, la mésaventure d'AMEN (et d'autres aussi, car ils n'ont pas été ceux qui ont ) nous a permis d'en tirer un certain enseignement, enseignement qu'il faudrait, je pense fortement, utiliser pour faire changer les choses. Un flou, un TRES GROS FLOU existe côté client. En gros, le client ne peut rien exiger... mais doit, dans les faits, subir, sans rien dire ni rien réclamer. Et cela est inacceptable.
Ainsi, on s'aperçoit que le premier des manquements de ces prestataires est l'information : en cas de crise, les hébergeurs ne communiquent pas. Ils pratiquent la langue de bois, laissent leurs clients dans le floue et pire, racontent çà et là (la presse, par exemple) que TOUT va bien et que l'on "grossit" l'ampleur du problème. Il ne communique pas non plus (du moins pas tous) sur l'état de leur service. On nous annonce des disponibilités qui sont plus souvent des arguments commerciaux qu'une réalité technique. Même les délais d'assistance sont bien souvent en deçà de nos attentes (on connait tous les réponses expresses qui ont pour but de faire gagner du temps... et après, c'est une partie de ping-pong sans fin...)... ou encore (et là, je trouve cela pire que tous), l'utilisation d'un numéro payant pour l'assistance sans que le service soit honoré !!!! Bref, j'en passe et des meilleures... la liste des reproches ou plutôt de nos attentes est longue.
Ou je veux en venir ? En fait, à une chose et une seule : je pense qu'il est plus que nécessaire aujourd'hui de définir une charte du "bon hébergeur", charte ayant pour vocation à la fois de dresser une liste des OBLIGATIONS qu'un hébergeur se doit d'accomplir envers ses clients, mais aussi les actions ou recours que peuvent effectuer les clients envers ce dernier en cas de manquement. Cette charte pourrait être rédigée par une communcauté de clients, composée de professionnels et de particuliers (ayant des intérêts différents mais des services communs). Puis ensuite, une fois rédigée, elle serait proposée aux hébergeurs afin qu'elle soit approuvée et signée. Un label pourrait être proposé (j'ai déjà quelques idées sur ce point). Si les prestataires ne respectent pas les engagements de la charte client/hébergeurs, alors, le label leur est retiré, mais pire encore, nous utilisons les moyens mis à notre disposition pour faire valoir nos droits : communiqué de presse, ouverture de dialogue via une association, actions en justice si besoin est, etc.
Notons que dans le domaine de la téléphonie, ou encore de l'accès à Internet, les choses ont bougé grâce à ce type d'organisation (ou quelque chose d'approchant)... alors pourquoi ne pas le faire ?
Pour ma part, ayant déjà une association en action sur ce sujet et m'étant chargé de la défense des clients d'AMEN (AMENHELP.ORG) je suis partant pour que l'on y continue cette discussion et surtout, que l'on rédige un document allant dans ce sens...
Vos réactions SVP ?
Cordialement. Dominik (webmaster AMENHELP). Pdt de l'association les Défenseurs du Numérique
Vos réactions SVP ?
Je pense que l'on dévie du sujet original ;)
Non sinon je crois que la diversité de la prestation d'hébergeur empêche ce
genre de "charte". Entre un hébergement dit "discount" à un euro par an, et
un hébergement "pro" (services supplémentaires, haute disponibilité, etc),
la différence est ... abyssale. Vas-tu imposer les même règles à ces deux
hébergeurs ? Je ne pense pas. Le client est libre de choisir son hébergeur
selon ses besoins et le prix qu'il est prêt à payer. Que la prestation ne
soit que "moyenne" voire "médiocre" n'impactera pas pour autant un étudiant
qui veut juste mettre en ligne les photos de ses vacances. Pourtant il y a
bien eu service, tu ne vas pas faire un procès à l'hébergeur pour autant ;)
(je sens qu'à partir d'ici le thread va dévier du sujet original - ou plutôt
du pamphlet d'un inconnu qui n'ose pas assumer ses dires).
--
Olivier
"Dominik" <google@fusina.net> a écrit dans le message de news:
1126245942.339754.90520@g43g2000cwa.googlegroups.com...
Bonjour,
Finalement, je constate que nous en revenons toujours au même constat
et je vais m'en expliquer ci après :
je trouve inacceptable qu'un hébergeur nous impose des conditions
générales de vente qu'il peut et sait utiliser à bon escient
(impayé, contenu interdit, etc = coupure de service) mais en ce qui
concerne le client, il se trouve généralement démunie.
Vous allez me dire qu'il y a toujours moyen, en tant que consommateur,
un moyen de faire valoir ses droits. Mais dans les faits, il n'en est
rien. Les actions sont lourdes (envoie de courrier à divers organismes
(associations) de défense des consommateurs, action auprès des
tribunaux compétents, etc) et réclament du temps. Et le temps, dans
des cas comme ceux là, on en a jamais suffisament.
Finalement, les clients subissent les désagréments qui peuvent
parfois se transformer en de gros préjudices, particulièrement si ce
dernier est une société et que le service d'hébergement centralise
la gestion de ses comptes mails, de son web ou mieux encore, les
services de ses clients (cas de sites de e-commerce ou de revente
d'hébergement).
Si j'évoque tout cela, c'est que plus récemment, la mésaventure
d'AMEN (et d'autres aussi, car ils n'ont pas été ceux qui ont ) nous
a permis d'en tirer un certain enseignement, enseignement qu'il
faudrait, je pense fortement, utiliser pour faire changer les choses.
Un flou, un TRES GROS FLOU existe côté client. En gros, le client ne
peut rien exiger... mais doit, dans les faits, subir, sans rien dire ni
rien réclamer. Et cela est inacceptable.
Ainsi, on s'aperçoit que le premier des manquements de ces
prestataires est l'information : en cas de crise, les hébergeurs ne
communiquent pas. Ils pratiquent la langue de bois, laissent leurs
clients dans le floue et pire, racontent çà et là (la presse, par
exemple) que TOUT va bien et que l'on "grossit" l'ampleur du problème.
Il ne communique pas non plus (du moins pas tous) sur l'état de leur
service. On nous annonce des disponibilités qui sont plus souvent des
arguments commerciaux qu'une réalité technique. Même les délais
d'assistance sont bien souvent en deçà de nos attentes (on connait
tous les réponses expresses qui ont pour but de faire gagner du
temps... et après, c'est une partie de ping-pong sans fin...)... ou
encore (et là, je trouve cela pire que tous), l'utilisation d'un
numéro payant pour l'assistance sans que le service soit honoré !!!!
Bref, j'en passe et des meilleures... la liste des reproches ou plutôt
de nos attentes est longue.
Ou je veux en venir ?
En fait, à une chose et une seule : je pense qu'il est plus que
nécessaire aujourd'hui de définir une charte du "bon hébergeur",
charte ayant pour vocation à la fois de dresser une liste des
OBLIGATIONS qu'un hébergeur se doit d'accomplir envers ses clients,
mais aussi les actions ou recours que peuvent effectuer les clients
envers ce dernier en cas de manquement.
Cette charte pourrait être rédigée par une communcauté de clients,
composée de professionnels et de particuliers (ayant des intérêts
différents mais des services communs). Puis ensuite, une fois
rédigée, elle serait proposée aux hébergeurs afin qu'elle soit
approuvée et signée. Un label pourrait être proposé (j'ai déjà
quelques idées sur ce point).
Si les prestataires ne respectent pas les engagements de la charte
client/hébergeurs, alors, le label leur est retiré, mais pire encore,
nous utilisons les moyens mis à notre disposition pour faire valoir
nos droits : communiqué de presse, ouverture de dialogue via une
association, actions en justice si besoin est, etc.
Notons que dans le domaine de la téléphonie, ou encore de l'accès à
Internet, les choses ont bougé grâce à ce type d'organisation (ou
quelque chose d'approchant)... alors pourquoi ne pas le faire ?
Pour ma part, ayant déjà une association en action sur ce sujet et
m'étant chargé de la défense des clients d'AMEN (AMENHELP.ORG) je
suis partant pour que l'on y continue cette discussion et surtout, que
l'on rédige un document allant dans ce sens...
Vos réactions SVP ?
Cordialement.
Dominik (webmaster AMENHELP).
Pdt de l'association les Défenseurs du Numérique
Vos réactions SVP ? Je pense que l'on dévie du sujet original ;)
Non sinon je crois que la diversité de la prestation d'hébergeur empêche ce genre de "charte". Entre un hébergement dit "discount" à un euro par an, et un hébergement "pro" (services supplémentaires, haute disponibilité, etc), la différence est ... abyssale. Vas-tu imposer les même règles à ces deux hébergeurs ? Je ne pense pas. Le client est libre de choisir son hébergeur selon ses besoins et le prix qu'il est prêt à payer. Que la prestation ne soit que "moyenne" voire "médiocre" n'impactera pas pour autant un étudiant qui veut juste mettre en ligne les photos de ses vacances. Pourtant il y a bien eu service, tu ne vas pas faire un procès à l'hébergeur pour autant ;)
(je sens qu'à partir d'ici le thread va dévier du sujet original - ou plutôt du pamphlet d'un inconnu qui n'ose pas assumer ses dires).
-- Olivier
"Dominik" a écrit dans le message de news:
Bonjour,
Finalement, je constate que nous en revenons toujours au même constat et je vais m'en expliquer ci après : je trouve inacceptable qu'un hébergeur nous impose des conditions générales de vente qu'il peut et sait utiliser à bon escient (impayé, contenu interdit, etc = coupure de service) mais en ce qui concerne le client, il se trouve généralement démunie. Vous allez me dire qu'il y a toujours moyen, en tant que consommateur, un moyen de faire valoir ses droits. Mais dans les faits, il n'en est rien. Les actions sont lourdes (envoie de courrier à divers organismes (associations) de défense des consommateurs, action auprès des tribunaux compétents, etc) et réclament du temps. Et le temps, dans des cas comme ceux là, on en a jamais suffisament. Finalement, les clients subissent les désagréments qui peuvent parfois se transformer en de gros préjudices, particulièrement si ce dernier est une société et que le service d'hébergement centralise la gestion de ses comptes mails, de son web ou mieux encore, les services de ses clients (cas de sites de e-commerce ou de revente d'hébergement). Si j'évoque tout cela, c'est que plus récemment, la mésaventure d'AMEN (et d'autres aussi, car ils n'ont pas été ceux qui ont ) nous a permis d'en tirer un certain enseignement, enseignement qu'il faudrait, je pense fortement, utiliser pour faire changer les choses. Un flou, un TRES GROS FLOU existe côté client. En gros, le client ne peut rien exiger... mais doit, dans les faits, subir, sans rien dire ni rien réclamer. Et cela est inacceptable.
Ainsi, on s'aperçoit que le premier des manquements de ces prestataires est l'information : en cas de crise, les hébergeurs ne communiquent pas. Ils pratiquent la langue de bois, laissent leurs clients dans le floue et pire, racontent çà et là (la presse, par exemple) que TOUT va bien et que l'on "grossit" l'ampleur du problème. Il ne communique pas non plus (du moins pas tous) sur l'état de leur service. On nous annonce des disponibilités qui sont plus souvent des arguments commerciaux qu'une réalité technique. Même les délais d'assistance sont bien souvent en deçà de nos attentes (on connait tous les réponses expresses qui ont pour but de faire gagner du temps... et après, c'est une partie de ping-pong sans fin...)... ou encore (et là, je trouve cela pire que tous), l'utilisation d'un numéro payant pour l'assistance sans que le service soit honoré !!!! Bref, j'en passe et des meilleures... la liste des reproches ou plutôt de nos attentes est longue.
Ou je veux en venir ? En fait, à une chose et une seule : je pense qu'il est plus que nécessaire aujourd'hui de définir une charte du "bon hébergeur", charte ayant pour vocation à la fois de dresser une liste des OBLIGATIONS qu'un hébergeur se doit d'accomplir envers ses clients, mais aussi les actions ou recours que peuvent effectuer les clients envers ce dernier en cas de manquement. Cette charte pourrait être rédigée par une communcauté de clients, composée de professionnels et de particuliers (ayant des intérêts différents mais des services communs). Puis ensuite, une fois rédigée, elle serait proposée aux hébergeurs afin qu'elle soit approuvée et signée. Un label pourrait être proposé (j'ai déjà quelques idées sur ce point). Si les prestataires ne respectent pas les engagements de la charte client/hébergeurs, alors, le label leur est retiré, mais pire encore, nous utilisons les moyens mis à notre disposition pour faire valoir nos droits : communiqué de presse, ouverture de dialogue via une association, actions en justice si besoin est, etc.
Notons que dans le domaine de la téléphonie, ou encore de l'accès à Internet, les choses ont bougé grâce à ce type d'organisation (ou quelque chose d'approchant)... alors pourquoi ne pas le faire ?
Pour ma part, ayant déjà une association en action sur ce sujet et m'étant chargé de la défense des clients d'AMEN (AMENHELP.ORG) je suis partant pour que l'on y continue cette discussion et surtout, que l'on rédige un document allant dans ce sens...
Vos réactions SVP ?
Cordialement. Dominik (webmaster AMENHELP). Pdt de l'association les Défenseurs du Numérique