Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70% sanctions
prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être sanctionnés par
des professionnels du droit quand il s'agit de magistrats alors que ce
n'est le cas pour aucune autre profession ?
Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70% sanctions
prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être sanctionnés par
des professionnels du droit quand il s'agit de magistrats alors que ce
n'est le cas pour aucune autre profession ?
Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70% sanctions
prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être sanctionnés par
des professionnels du droit quand il s'agit de magistrats alors que ce
n'est le cas pour aucune autre profession ?
D'une part les magistrats ne sont justement pas une profession ordinale,
et d'autre part si un notaire ou un avocat perdent un dossier et que
cela cause un préjudice, ils en répondent selon le droit commun de la
responsabilité : la similitude que vous évoquez n'est donc pas pertinente.
Je ne comprends rien à vos énigmes, de quoi parlez-vous ? Outreau a
donné lieu à une décision de justice définitive, il faut autre chose que
des semblants pour la remettre en question.
D'une part les magistrats ne sont justement pas une profession ordinale,
et d'autre part si un notaire ou un avocat perdent un dossier et que
cela cause un préjudice, ils en répondent selon le droit commun de la
responsabilité : la similitude que vous évoquez n'est donc pas pertinente.
Je ne comprends rien à vos énigmes, de quoi parlez-vous ? Outreau a
donné lieu à une décision de justice définitive, il faut autre chose que
des semblants pour la remettre en question.
D'une part les magistrats ne sont justement pas une profession ordinale,
et d'autre part si un notaire ou un avocat perdent un dossier et que
cela cause un préjudice, ils en répondent selon le droit commun de la
responsabilité : la similitude que vous évoquez n'est donc pas pertinente.
Je ne comprends rien à vos énigmes, de quoi parlez-vous ? Outreau a
donné lieu à une décision de justice définitive, il faut autre chose que
des semblants pour la remettre en question.
Le 05/07/2011 11:37, moisse a écrit :Léon Malkmus avait prétendu :Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de rhétorique ne
sont que du brassage de courant d'air.Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat masturbateur
? Il serait bon d'apporter quelques arguments.
Le 05/07/2011 11:37, moisse a écrit :
Léon Malkmus avait prétendu :
Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.
Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de rhétorique ne
sont que du brassage de courant d'air.
Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat masturbateur
? Il serait bon d'apporter quelques arguments.
Le 05/07/2011 11:37, moisse a écrit :Léon Malkmus avait prétendu :Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de rhétorique ne
sont que du brassage de courant d'air.Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat masturbateur
? Il serait bon d'apporter quelques arguments.
"moisse" a écrit dans le message de news:
4e12db59$0$10624$Léon Malkmus avait prétendu :Le 05/07/2011 08:27, moisse a écrit :Léon Malkmus avait écrit le 04/07/2011 :Que des magistrats puissent "entre eux" se répartir titres et
avancement: passe encore.
Que, pour des questions disciplinaires, des magistrats puissent
*juger* des collègues (et amis, et sortis de la même école, et
camarades de beuverie, et plus si affinités) me semble relever du
conflit d'intérêts le plus invraisemblable. (Mais plus c'est gros,
plus ça passe) *Pas_un_seul* magistrat ne devrait siéger en matière
disciplinaire. Le pompon étant, à ce jour, détenu par le procureur
général d'Outreau qui siégeait au CSM au moment de juger du cas
Burgaud.
Je suis du même avis. Et il est curieux que ce passage qui constitue
l'essentiel de votre contribution ne reçoive aucune réponse...
Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu dire,
je l'aurais dit.
Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70% sanctions
prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être sanctionnés par des
professionnels du droit quand il s'agit de magistrats alors que ce n'est
le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Pour le reste toutes les professions ordinales fonctionnent ainsi.
Vous êtes convaincu de l'excellence du système.
Vous militez donc pour l'étendre et le généraliser:
-seuls des X-Mines ayant déjà construit une centrale nucléaire sont habilités
à juger des ingénieurs dont la centrale a explosé.
-seuls des pédophiles avérés sont habilités à juger des agresseurs d'enfants.
Vous tenez vraiment à me faire rallonger la liste avant que de comprendre que
la confraternité *EST* le problème?
"moisse" <morobars@hotinvalidmail.fr> a écrit dans le message de news:
4e12db59$0$10624$426a34cc@news.free.fr...
Léon Malkmus avait prétendu :
Le 05/07/2011 08:27, moisse a écrit :
Léon Malkmus avait écrit le 04/07/2011 :
Que des magistrats puissent "entre eux" se répartir titres et
avancement: passe encore.
Que, pour des questions disciplinaires, des magistrats puissent
*juger* des collègues (et amis, et sortis de la même école, et
camarades de beuverie, et plus si affinités) me semble relever du
conflit d'intérêts le plus invraisemblable. (Mais plus c'est gros,
plus ça passe) *Pas_un_seul* magistrat ne devrait siéger en matière
disciplinaire. Le pompon étant, à ce jour, détenu par le procureur
général d'Outreau qui siégeait au CSM au moment de juger du cas
Burgaud.
Je suis du même avis. Et il est curieux que ce passage qui constitue
l'essentiel de votre contribution ne reçoive aucune réponse...
Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu dire,
je l'aurais dit.
Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70% sanctions
prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être sanctionnés par des
professionnels du droit quand il s'agit de magistrats alors que ce n'est
le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Pour le reste toutes les professions ordinales fonctionnent ainsi.
Vous êtes convaincu de l'excellence du système.
Vous militez donc pour l'étendre et le généraliser:
-seuls des X-Mines ayant déjà construit une centrale nucléaire sont habilités
à juger des ingénieurs dont la centrale a explosé.
-seuls des pédophiles avérés sont habilités à juger des agresseurs d'enfants.
Vous tenez vraiment à me faire rallonger la liste avant que de comprendre que
la confraternité *EST* le problème?
"moisse" a écrit dans le message de news:
4e12db59$0$10624$Léon Malkmus avait prétendu :Le 05/07/2011 08:27, moisse a écrit :Léon Malkmus avait écrit le 04/07/2011 :Que des magistrats puissent "entre eux" se répartir titres et
avancement: passe encore.
Que, pour des questions disciplinaires, des magistrats puissent
*juger* des collègues (et amis, et sortis de la même école, et
camarades de beuverie, et plus si affinités) me semble relever du
conflit d'intérêts le plus invraisemblable. (Mais plus c'est gros,
plus ça passe) *Pas_un_seul* magistrat ne devrait siéger en matière
disciplinaire. Le pompon étant, à ce jour, détenu par le procureur
général d'Outreau qui siégeait au CSM au moment de juger du cas
Burgaud.
Je suis du même avis. Et il est curieux que ce passage qui constitue
l'essentiel de votre contribution ne reçoive aucune réponse...
Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu dire,
je l'aurais dit.
Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70% sanctions
prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être sanctionnés par des
professionnels du droit quand il s'agit de magistrats alors que ce n'est
le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Pour le reste toutes les professions ordinales fonctionnent ainsi.
Vous êtes convaincu de l'excellence du système.
Vous militez donc pour l'étendre et le généraliser:
-seuls des X-Mines ayant déjà construit une centrale nucléaire sont habilités
à juger des ingénieurs dont la centrale a explosé.
-seuls des pédophiles avérés sont habilités à juger des agresseurs d'enfants.
Vous tenez vraiment à me faire rallonger la liste avant que de comprendre que
la confraternité *EST* le problème?
Le 05/07/2011 12:13, Léon Malkmus a écrit :D'une part les magistrats ne sont justement pas une profession ordinale,
et d'autre part si un notaire ou un avocat perdent un dossier et que
cela cause un préjudice, ils en répondent selon le droit commun de la
responsabilité : la similitude que vous évoquez n'est donc pas
pertinente.
Et celle-ci non plus, car ce n'est pas l'avocat ou le notaire en tant
que personne physique qui est responsable civilement, c'est la personne
morale, l'entreprise.
Je ne comprends rien à vos énigmes, de quoi parlez-vous ? Outreau a
donné lieu à une décision de justice définitive, il faut autre chose que
des semblants pour la remettre en question.
Il y a une nouvelle affaire avec un couple d'acquittés.
Le 05/07/2011 12:13, Léon Malkmus a écrit :
D'une part les magistrats ne sont justement pas une profession ordinale,
et d'autre part si un notaire ou un avocat perdent un dossier et que
cela cause un préjudice, ils en répondent selon le droit commun de la
responsabilité : la similitude que vous évoquez n'est donc pas
pertinente.
Et celle-ci non plus, car ce n'est pas l'avocat ou le notaire en tant
que personne physique qui est responsable civilement, c'est la personne
morale, l'entreprise.
Je ne comprends rien à vos énigmes, de quoi parlez-vous ? Outreau a
donné lieu à une décision de justice définitive, il faut autre chose que
des semblants pour la remettre en question.
Il y a une nouvelle affaire avec un couple d'acquittés.
Le 05/07/2011 12:13, Léon Malkmus a écrit :D'une part les magistrats ne sont justement pas une profession ordinale,
et d'autre part si un notaire ou un avocat perdent un dossier et que
cela cause un préjudice, ils en répondent selon le droit commun de la
responsabilité : la similitude que vous évoquez n'est donc pas
pertinente.
Et celle-ci non plus, car ce n'est pas l'avocat ou le notaire en tant
que personne physique qui est responsable civilement, c'est la personne
morale, l'entreprise.
Je ne comprends rien à vos énigmes, de quoi parlez-vous ? Outreau a
donné lieu à une décision de justice définitive, il faut autre chose que
des semblants pour la remettre en question.
Il y a une nouvelle affaire avec un couple d'acquittés.
Léon Malkmus a pensé très fort :Le 05/07/2011 11:37, moisse a écrit :Léon Malkmus avait prétendu :Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.
Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil, mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Léon Malkmus a pensé très fort :
Le 05/07/2011 11:37, moisse a écrit :
Léon Malkmus avait prétendu :
Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.
Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.
Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.
Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil, mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Léon Malkmus a pensé très fort :Le 05/07/2011 11:37, moisse a écrit :Léon Malkmus avait prétendu :Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.
Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil, mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Le 05/07/2011 14:27, moisse a écrit :Léon Malkmus a pensé très fort :Le 05/07/2011 11:37, moisse a écrit :Léon Malkmus avait prétendu :Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil, mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Je répondais à votre argument selon lequel les magistrats devaient être jugés
par des gens compétents en droit.
Le 05/07/2011 14:27, moisse a écrit :
Léon Malkmus a pensé très fort :
Le 05/07/2011 11:37, moisse a écrit :
Léon Malkmus avait prétendu :
Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.
Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.
Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.
Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil, mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Je répondais à votre argument selon lequel les magistrats devaient être jugés
par des gens compétents en droit.
Le 05/07/2011 14:27, moisse a écrit :Léon Malkmus a pensé très fort :Le 05/07/2011 11:37, moisse a écrit :Léon Malkmus avait prétendu :Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil, mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Je répondais à votre argument selon lequel les magistrats devaient être jugés
par des gens compétents en droit.
Léon Malkmus avait soumis l'idée :Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil, mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Je répondais à votre argument selon lequel les magistrats devaient
être jugés par des gens compétents en droit.
Dans la mesure où c'est le sujet, puisque toute autre faute sera établie
et suivi selon le droit commun.
Si on aborde celui d'une perversion , par exemple sexuelle, je conçois
qu'on puisse désigner des psychologes, psychiatres..
Mais tant que la faute est attachée à la fonction, elle sera subie par
tout un chacun mais sa réalité et son étendue seront forcément appréciés
par des juristes.
Léon Malkmus avait soumis l'idée :
Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.
Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.
Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.
Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil, mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Je répondais à votre argument selon lequel les magistrats devaient
être jugés par des gens compétents en droit.
Dans la mesure où c'est le sujet, puisque toute autre faute sera établie
et suivi selon le droit commun.
Si on aborde celui d'une perversion , par exemple sexuelle, je conçois
qu'on puisse désigner des psychologes, psychiatres..
Mais tant que la faute est attachée à la fonction, elle sera subie par
tout un chacun mais sa réalité et son étendue seront forcément appréciés
par des juristes.
Léon Malkmus avait soumis l'idée :Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil, mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Je répondais à votre argument selon lequel les magistrats devaient
être jugés par des gens compétents en droit.
Dans la mesure où c'est le sujet, puisque toute autre faute sera établie
et suivi selon le droit commun.
Si on aborde celui d'une perversion , par exemple sexuelle, je conçois
qu'on puisse désigner des psychologes, psychiatres..
Mais tant que la faute est attachée à la fonction, elle sera subie par
tout un chacun mais sa réalité et son étendue seront forcément appréciés
par des juristes.
Le 05/07/2011 17:27, moisse a écrit :Léon Malkmus avait soumis l'idée :Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil, mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Je répondais à votre argument selon lequel les magistrats devaient
être jugés par des gens compétents en droit.
Dans la mesure où c'est le sujet, puisque toute autre faute sera établie
et suivi selon le droit commun.
Si on aborde celui d'une perversion , par exemple sexuelle, je conçois
qu'on puisse désigner des psychologes, psychiatres..
Mais tant que la faute est attachée à la fonction, elle sera subie par
tout un chacun mais sa réalité et son étendue seront forcément appréciés
par des juristes.
Mais pourquoi forcément ? C'est précisément l'objet de ce fil : quelle valeur
ajoutée apporte le fait d'être un juriste pour sanctionner retards,
partialité, perte de pièces, manquement au secret professionnel, etc. quand
ils sont le fait de magistrats, si ce n'est d'entretenir la réputation de
corporatisme exacerbé attachée à la magistrature. Ou dit autrement, en quoi
le fait que des sanctions disciplinaires pour de tels manquements soient
prononcées par des non-juristes constituerait une atteinte intolérable (à
quoi d'ailleurs ?) alors que c'est ce qui se passe pour la plupart des autres
professions ?
Le 05/07/2011 17:27, moisse a écrit :
Léon Malkmus avait soumis l'idée :
Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.
Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.
Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.
Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil, mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Je répondais à votre argument selon lequel les magistrats devaient
être jugés par des gens compétents en droit.
Dans la mesure où c'est le sujet, puisque toute autre faute sera établie
et suivi selon le droit commun.
Si on aborde celui d'une perversion , par exemple sexuelle, je conçois
qu'on puisse désigner des psychologes, psychiatres..
Mais tant que la faute est attachée à la fonction, elle sera subie par
tout un chacun mais sa réalité et son étendue seront forcément appréciés
par des juristes.
Mais pourquoi forcément ? C'est précisément l'objet de ce fil : quelle valeur
ajoutée apporte le fait d'être un juriste pour sanctionner retards,
partialité, perte de pièces, manquement au secret professionnel, etc. quand
ils sont le fait de magistrats, si ce n'est d'entretenir la réputation de
corporatisme exacerbé attachée à la magistrature. Ou dit autrement, en quoi
le fait que des sanctions disciplinaires pour de tels manquements soient
prononcées par des non-juristes constituerait une atteinte intolérable (à
quoi d'ailleurs ?) alors que c'est ce qui se passe pour la plupart des autres
professions ?
Le 05/07/2011 17:27, moisse a écrit :Léon Malkmus avait soumis l'idée :Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais voulu
dire, je l'aurais dit.Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil, mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Je répondais à votre argument selon lequel les magistrats devaient
être jugés par des gens compétents en droit.
Dans la mesure où c'est le sujet, puisque toute autre faute sera établie
et suivi selon le droit commun.
Si on aborde celui d'une perversion , par exemple sexuelle, je conçois
qu'on puisse désigner des psychologes, psychiatres..
Mais tant que la faute est attachée à la fonction, elle sera subie par
tout un chacun mais sa réalité et son étendue seront forcément appréciés
par des juristes.
Mais pourquoi forcément ? C'est précisément l'objet de ce fil : quelle valeur
ajoutée apporte le fait d'être un juriste pour sanctionner retards,
partialité, perte de pièces, manquement au secret professionnel, etc. quand
ils sont le fait de magistrats, si ce n'est d'entretenir la réputation de
corporatisme exacerbé attachée à la magistrature. Ou dit autrement, en quoi
le fait que des sanctions disciplinaires pour de tels manquements soient
prononcées par des non-juristes constituerait une atteinte intolérable (à
quoi d'ailleurs ?) alors que c'est ce qui se passe pour la plupart des autres
professions ?
Léon Malkmus vient de nous annoncer :Le 05/07/2011 17:27, moisse a écrit :Léon Malkmus avait soumis l'idée :Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par
des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais
voulu
dire, je l'aurais dit.Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil,
mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Je répondais à votre argument selon lequel les magistrats devaient
être jugés par des gens compétents en droit.
Dans la mesure où c'est le sujet, puisque toute autre faute sera établie
et suivi selon le droit commun.
Si on aborde celui d'une perversion , par exemple sexuelle, je conçois
qu'on puisse désigner des psychologes, psychiatres..
Mais tant que la faute est attachée à la fonction, elle sera subie par
tout un chacun mais sa réalité et son étendue seront forcément appréciés
par des juristes.
Mais pourquoi forcément ? C'est précisément l'objet de ce fil : quelle
valeur ajoutée apporte le fait d'être un juriste pour sanctionner
retards, partialité, perte de pièces, manquement au secret
professionnel, etc. quand ils sont le fait de magistrats, si ce n'est
d'entretenir la réputation de corporatisme exacerbé attachée à la
magistrature. Ou dit autrement, en quoi le fait que des sanctions
disciplinaires pour de tels manquements soient prononcées par des
non-juristes constituerait une atteinte intolérable (à quoi d'ailleurs
?) alors que c'est ce qui se passe pour la plupart des autres
professions ?
Retards, manquement au secret...toutes ces fautes peuvent être détachées
de la fonction, parcequ'on reste dans ce qui est objectif et mesurable.
On rencontre les mêmes partout en entreprise comme en commerce, à la
Sécu...
Par contre une mauvaise appréciation, un raisonnement eronné voire mal
fondé juridiquement (et j'en ai vu), toutes ces situations ne peuvent
pas être censurées par d'autres que des professionels.
A cela s'ajoute l'indépendance, dont la pérénité ne fait pas l'objet de
controverse, avec à l'occasion les effets négatifs dont on discute.
Léon Malkmus vient de nous annoncer :
Le 05/07/2011 17:27, moisse a écrit :
Léon Malkmus avait soumis l'idée :
Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par
des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais
voulu
dire, je l'aurais dit.
Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.
Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.
Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil,
mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Je répondais à votre argument selon lequel les magistrats devaient
être jugés par des gens compétents en droit.
Dans la mesure où c'est le sujet, puisque toute autre faute sera établie
et suivi selon le droit commun.
Si on aborde celui d'une perversion , par exemple sexuelle, je conçois
qu'on puisse désigner des psychologes, psychiatres..
Mais tant que la faute est attachée à la fonction, elle sera subie par
tout un chacun mais sa réalité et son étendue seront forcément appréciés
par des juristes.
Mais pourquoi forcément ? C'est précisément l'objet de ce fil : quelle
valeur ajoutée apporte le fait d'être un juriste pour sanctionner
retards, partialité, perte de pièces, manquement au secret
professionnel, etc. quand ils sont le fait de magistrats, si ce n'est
d'entretenir la réputation de corporatisme exacerbé attachée à la
magistrature. Ou dit autrement, en quoi le fait que des sanctions
disciplinaires pour de tels manquements soient prononcées par des
non-juristes constituerait une atteinte intolérable (à quoi d'ailleurs
?) alors que c'est ce qui se passe pour la plupart des autres
professions ?
Retards, manquement au secret...toutes ces fautes peuvent être détachées
de la fonction, parcequ'on reste dans ce qui est objectif et mesurable.
On rencontre les mêmes partout en entreprise comme en commerce, à la
Sécu...
Par contre une mauvaise appréciation, un raisonnement eronné voire mal
fondé juridiquement (et j'en ai vu), toutes ces situations ne peuvent
pas être censurées par d'autres que des professionels.
A cela s'ajoute l'indépendance, dont la pérénité ne fait pas l'objet de
controverse, avec à l'occasion les effets négatifs dont on discute.
Léon Malkmus vient de nous annoncer :Le 05/07/2011 17:27, moisse a écrit :Léon Malkmus avait soumis l'idée :Vous voulez dire qu'il faut que les magistrats soient jugés par
des
gens
certainement érudits et compétents en tout sauf en droit ?
Épargnez-nous vos figures de rhétorique : si c'est que j'avais
voulu
dire, je l'aurais dit.Sans commentaire, brassage de cournat d'air.
Oui, c'est précisément ce que je viens de dire, les figures de
rhétorique ne sont que du brassage de courant d'air.Et expliquez plutôt pourquoi retards, partialité, perte de pièces,
manquement au secret professionnel etc. (qui représentent 70%
sanctions prononcées par le CSM selon wikipédia) devraient être
sanctionnés par des professionnels du droit quand il s'agit de
magistrats alors que ce n'est le cas pour aucune autre profession ?
Parceque c'est certainement le système le moins mauvais.
Et pourquoi donc ? Quelle valeur ajoutée apporte le fait d'être un
professionnel du droit pour sanctionner par exemple un magistrat
masturbateur ? Il serait bon d'apporter quelques arguments.Certes, mais ce n'est pas la preoccupation qui a généré ce fil,
mais la
faute attachée à l'exercice de la fonction.
Et donc la necessité d'un système permettant la sanction de la faute
comme tout un chacun.
Je répondais à votre argument selon lequel les magistrats devaient
être jugés par des gens compétents en droit.
Dans la mesure où c'est le sujet, puisque toute autre faute sera établie
et suivi selon le droit commun.
Si on aborde celui d'une perversion , par exemple sexuelle, je conçois
qu'on puisse désigner des psychologes, psychiatres..
Mais tant que la faute est attachée à la fonction, elle sera subie par
tout un chacun mais sa réalité et son étendue seront forcément appréciés
par des juristes.
Mais pourquoi forcément ? C'est précisément l'objet de ce fil : quelle
valeur ajoutée apporte le fait d'être un juriste pour sanctionner
retards, partialité, perte de pièces, manquement au secret
professionnel, etc. quand ils sont le fait de magistrats, si ce n'est
d'entretenir la réputation de corporatisme exacerbé attachée à la
magistrature. Ou dit autrement, en quoi le fait que des sanctions
disciplinaires pour de tels manquements soient prononcées par des
non-juristes constituerait une atteinte intolérable (à quoi d'ailleurs
?) alors que c'est ce qui se passe pour la plupart des autres
professions ?
Retards, manquement au secret...toutes ces fautes peuvent être détachées
de la fonction, parcequ'on reste dans ce qui est objectif et mesurable.
On rencontre les mêmes partout en entreprise comme en commerce, à la
Sécu...
Par contre une mauvaise appréciation, un raisonnement eronné voire mal
fondé juridiquement (et j'en ai vu), toutes ces situations ne peuvent
pas être censurées par d'autres que des professionels.
A cela s'ajoute l'indépendance, dont la pérénité ne fait pas l'objet de
controverse, avec à l'occasion les effets négatifs dont on discute.