Le 5 janvier, Debian lançait un concours: quand Etch sera-t-il livré?
Visiblement, le 7% qui ont opté pour janvier se sont trompés. Ceux qui ont
choisi février aussi apparemment puisque, depuis le moment où Debian devait
être livré à la fin décembre, le nombre de bugs a encore augmenté. Un autre
mois ne suffira certainement pas.
De sorte que la seule réponse possible semble encore une fois être «lorsqu'il
sera prêt», c'est-à-dire d'ici trois ou quatre ans.
Mais elle est très stable, cette distro! Quand ils la sortent, ça fait des
années que les autres distros utilisent les softs et qu'elles ont écrit tous
les correctifs! Il ne reste ensuite qu'à assembler les paquets selon les
règles congrues, un boulot d'à peine 12 à 18 mois.
Mais, cette fois-ci, c'est une chance, ils se pressent parce que Ubuntu leur
chauffe les fesses. Parlez-moi d'une organisation efficace!
Si Abiword a un problème de buffer overflow et que OO fonctionne correctment, la solution n'est-elle pas simple?
Tu te rends compte de la connerie de cette remarque ?
Est-ce à l'usager de faire ces choix, à déterminer quels sont les paquets essentiels et les superflus?
C'est à l'usager de choisir quels programmes il préfère utiliser, quand ça fait une différence sensible. Ça ne te paraît pas une évidence ?
talon
Jack Holborn wrote:
Enfin voilà je voulais juste faire partager une vision que j'espère objective, si vous voyez un troll dans mon discours c'est qu'il s'est caché à l'insu de mon plein gré!
Tout ce que tu dis a été battu et rebattu, en particulier par moi. Ce que tu dis est valable pour un serveur, on veut qu'il fonctionne, point, et Debian stable est une bonne solution. Pour une machine de bureau, on veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode *et* que ça marche. Debian ne fournit pas une solution à ce problème. Testing est presque aussi obsolète que Stable, sans pour autant être rééllement stable, donc n'a qu'un intérêt limité. Seul Unstable est intéressant, mais là l'instabilité est maximale. Bref voilà pourquoi Ubuntu a connu un tel succès, c'est essentiellement Unstable, mais rapidement stabilisé par des gens qui s'y consacrent. Depuis que je suis passé à Ubuntu, je n'ai plus aucun problème existentiel avec Debian, en fait je m'en fous complètement, tout en sachant que Ubuntu repose sur le travail de Debian. Une autre solution est donnée par les systèmes "basés sur les sources", comme Gentoo ou FreeBSD où on peut assez aisément avoir quelque chose à la fois de très courant et de suffisamment stable.
Si on applique le principe "le bon outil approprié à la tâche", Debian a tout à fait sa place, comme serveur, dans sa version stable. Pour tout autre usage il y a de meilleures solutions.
--
Michel TALON
Jack Holborn <jack@bbpfrance.homelinux.org> wrote:
Enfin voilà je voulais juste faire partager une vision que j'espère
objective, si vous voyez un troll dans mon discours c'est qu'il s'est
caché à l'insu de mon plein gré!
Tout ce que tu dis a été battu et rebattu, en particulier par moi. Ce
que tu dis est valable pour un serveur, on veut qu'il fonctionne, point,
et Debian stable est une bonne solution. Pour une machine de bureau, on
veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode *et*
que ça marche. Debian ne fournit pas une solution à ce problème.
Testing est presque aussi obsolète que Stable, sans pour autant être
rééllement stable, donc n'a qu'un intérêt limité. Seul Unstable est
intéressant, mais là l'instabilité est maximale. Bref voilà pourquoi
Ubuntu a connu un tel succès, c'est essentiellement Unstable, mais
rapidement stabilisé par des gens qui s'y consacrent. Depuis que je suis
passé à Ubuntu, je n'ai plus aucun problème existentiel avec Debian, en
fait je m'en fous complètement, tout en sachant que Ubuntu repose sur le
travail de Debian. Une autre solution est donnée par les systèmes "basés
sur les sources", comme Gentoo ou FreeBSD où on peut assez aisément
avoir quelque chose à la fois de très courant et de suffisamment stable.
Si on applique le principe "le bon outil approprié à la tâche", Debian a
tout à fait sa place, comme serveur, dans sa version stable. Pour tout
autre usage il y a de meilleures solutions.
Enfin voilà je voulais juste faire partager une vision que j'espère objective, si vous voyez un troll dans mon discours c'est qu'il s'est caché à l'insu de mon plein gré!
Tout ce que tu dis a été battu et rebattu, en particulier par moi. Ce que tu dis est valable pour un serveur, on veut qu'il fonctionne, point, et Debian stable est une bonne solution. Pour une machine de bureau, on veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode *et* que ça marche. Debian ne fournit pas une solution à ce problème. Testing est presque aussi obsolète que Stable, sans pour autant être rééllement stable, donc n'a qu'un intérêt limité. Seul Unstable est intéressant, mais là l'instabilité est maximale. Bref voilà pourquoi Ubuntu a connu un tel succès, c'est essentiellement Unstable, mais rapidement stabilisé par des gens qui s'y consacrent. Depuis que je suis passé à Ubuntu, je n'ai plus aucun problème existentiel avec Debian, en fait je m'en fous complètement, tout en sachant que Ubuntu repose sur le travail de Debian. Une autre solution est donnée par les systèmes "basés sur les sources", comme Gentoo ou FreeBSD où on peut assez aisément avoir quelque chose à la fois de très courant et de suffisamment stable.
Si on applique le principe "le bon outil approprié à la tâche", Debian a tout à fait sa place, comme serveur, dans sa version stable. Pour tout autre usage il y a de meilleures solutions.
--
Michel TALON
Nicolas George
Michel Talon, dans le message <epq2lg$ron$, a écrit :
Pour une machine de bureau, on veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode
Non. C'est valable pour une machine personnelle, clairement, mais pour une machine de travail sérieux et routinier, ce n'est pas nécessaire.
Michel Talon, dans le message <epq2lg$ron$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, a
écrit :
Pour une machine de bureau, on
veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode
Non. C'est valable pour une machine personnelle, clairement, mais pour une
machine de travail sérieux et routinier, ce n'est pas nécessaire.
Michel Talon, dans le message <epq2lg$ron$, a écrit :
Pour une machine de bureau, on veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode
Non. C'est valable pour une machine personnelle, clairement, mais pour une machine de travail sérieux et routinier, ce n'est pas nécessaire.
Jerome Lambert
Michel Talon, dans le message <epq2lg$ron$, a
Pour une machine de bureau, on veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode
Non. C'est valable pour une machine personnelle, clairement, mais pour une machine de travail sérieux et routinier, ce n'est pas nécessaire.
Ca dépend surtout du travail considéré. P.ex. un développeur peut vouloir utiliser les nouvelles fonctionnalités d'un outil (bibliothèque, compilateur, etc.).
Michel Talon, dans le message <epq2lg$ron$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, a
Pour une machine de bureau, on
veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode
Non. C'est valable pour une machine personnelle, clairement, mais pour une
machine de travail sérieux et routinier, ce n'est pas nécessaire.
Ca dépend surtout du travail considéré. P.ex. un développeur peut
vouloir utiliser les nouvelles fonctionnalités d'un outil (bibliothèque,
compilateur, etc.).
Pour une machine de bureau, on veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode
Non. C'est valable pour une machine personnelle, clairement, mais pour une machine de travail sérieux et routinier, ce n'est pas nécessaire.
Ca dépend surtout du travail considéré. P.ex. un développeur peut vouloir utiliser les nouvelles fonctionnalités d'un outil (bibliothèque, compilateur, etc.).
talon
Nicolas George <nicolas$ wrote:
Michel Talon, dans le message <epq2lg$ron$, a écrit :
Pour une machine de bureau, on veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode
Non. C'est valable pour une machine personnelle, clairement, mais pour une machine de travail sérieux et routinier, ce n'est pas nécessaire.
On est d'accord, je me suis mal exprimé.
--
Michel TALON
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
Michel Talon, dans le message <epq2lg$ron$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, a
écrit :
Pour une machine de bureau, on
veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode
Non. C'est valable pour une machine personnelle, clairement, mais pour une
machine de travail sérieux et routinier, ce n'est pas nécessaire.
pour une machine de travail sérieux et routinier, ce n'est pas nécessaire.
voui !
Ma machine est en Debian Stable et me permet tout à fait de travailler convenablement : bureautique/web/mail/trolls/
Je n'ai eu que trois soucis réglés avec des backports ou une install depuis des sources : un scanner, un apn et un caméscope un peu trop récents...
Voila voila !
Patrice Karatchentzeff
Jerome Lambert writes:
Michel Talon, dans le message <epq2lg$ron$, a
Pour une machine de bureau, on veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode
Non. C'est valable pour une machine personnelle, clairement, mais pour une machine de travail sérieux et routinier, ce n'est pas nécessaire.
Ca dépend surtout du travail considéré. P.ex. un développeur peut vouloir utiliser les nouvelles fonctionnalités d'un outil (bibliothèque, compilateur, etc.).
C'est valable pour la bureautique au sens large : c'est tout.
Michel Talon, dans le message <epq2lg$ron$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, a
Pour une machine de bureau, on
veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode
Non. C'est valable pour une machine personnelle, clairement, mais pour une
machine de travail sérieux et routinier, ce n'est pas nécessaire.
Ca dépend surtout du travail considéré. P.ex. un développeur peut
vouloir utiliser les nouvelles fonctionnalités d'un outil
(bibliothèque, compilateur, etc.).
C'est valable pour la bureautique au sens large : c'est tout.
Pour une machine de bureau, on veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode
Non. C'est valable pour une machine personnelle, clairement, mais pour une machine de travail sérieux et routinier, ce n'est pas nécessaire.
Ca dépend surtout du travail considéré. P.ex. un développeur peut vouloir utiliser les nouvelles fonctionnalités d'un outil (bibliothèque, compilateur, etc.).
C'est valable pour la bureautique au sens large : c'est tout.
Patrice Karatchentzeff , dans le message , a écrit :
C'est valable pour la bureautique au sens large : c'est tout.
Ce qui doit représenter le gros des installations d'ordinateur « de bureau » en milieu professionnel, non ?
Patrice Karatchentzeff
Nicolas George <nicolas$ writes:
Patrice Karatchentzeff , dans le message , a écrit :
C'est valable pour la bureautique au sens large : c'est tout.
Ce qui doit représenter le gros des installations d'ordinateur « de bureau » en milieu professionnel, non ?
AMHA, non mais une partie non négligeable, oui. Tout dépend de la branche dans laquelle on travaille. Chez moi, les postes bureautiques sont assez rares en fait par exemple.
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> writes:
Patrice Karatchentzeff , dans le message
<87y7njgujc.fsf@belledonne.chartreuse.fr>, a écrit :
C'est valable pour la bureautique au sens large : c'est tout.
Ce qui doit représenter le gros des installations d'ordinateur « de bureau »
en milieu professionnel, non ?
AMHA, non mais une partie non négligeable, oui. Tout dépend de la
branche dans laquelle on travaille. Chez moi, les postes bureautiques
sont assez rares en fait par exemple.
Patrice Karatchentzeff , dans le message , a écrit :
C'est valable pour la bureautique au sens large : c'est tout.
Ce qui doit représenter le gros des installations d'ordinateur « de bureau » en milieu professionnel, non ?
AMHA, non mais une partie non négligeable, oui. Tout dépend de la branche dans laquelle on travaille. Chez moi, les postes bureautiques sont assez rares en fait par exemple.
Depuis que je suis passé à Ubuntu, je n'ai plus aucun problème existentiel avec Debian, en fait je m'en fous complètement, tout en sachant que Ubuntu repose sur le travail de Debian. Une autre solution est donnée par les systèmes "basés sur les sources", comme Gentoo ou FreeBSD où on peut assez aisément avoir quelque chose à la fois de très courant et de suffisamment stable.
Dans mes bras !
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Le 31-01-2007, Michel Talon <talon@lpthe.jussieu.fr> a écrit :
Depuis que je suis
passé à Ubuntu, je n'ai plus aucun problème existentiel avec Debian, en
fait je m'en fous complètement, tout en sachant que Ubuntu repose sur le
travail de Debian. Une autre solution est donnée par les systèmes "basés
sur les sources", comme Gentoo ou FreeBSD où on peut assez aisément
avoir quelque chose à la fois de très courant et de suffisamment stable.
Dans mes bras !
--
When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Depuis que je suis passé à Ubuntu, je n'ai plus aucun problème existentiel avec Debian, en fait je m'en fous complètement, tout en sachant que Ubuntu repose sur le travail de Debian. Une autre solution est donnée par les systèmes "basés sur les sources", comme Gentoo ou FreeBSD où on peut assez aisément avoir quelque chose à la fois de très courant et de suffisamment stable.
Dans mes bras !
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.