Le 5 janvier, Debian lançait un concours: quand Etch sera-t-il livré?
Visiblement, le 7% qui ont opté pour janvier se sont trompés. Ceux qui ont
choisi février aussi apparemment puisque, depuis le moment où Debian devait
être livré à la fin décembre, le nombre de bugs a encore augmenté. Un autre
mois ne suffira certainement pas.
De sorte que la seule réponse possible semble encore une fois être «lorsqu'il
sera prêt», c'est-à-dire d'ici trois ou quatre ans.
Mais elle est très stable, cette distro! Quand ils la sortent, ça fait des
années que les autres distros utilisent les softs et qu'elles ont écrit tous
les correctifs! Il ne reste ensuite qu'à assembler les paquets selon les
règles congrues, un boulot d'à peine 12 à 18 mois.
Mais, cette fois-ci, c'est une chance, ils se pressent parce que Ubuntu leur
chauffe les fesses. Parlez-moi d'une organisation efficace!
Est-ce à l'usager de faire ces choix, à déterminer quels sont les paquets essentiels et les superflus?
Il y a des distribs qui te laissent faire ces choix, d'autres qui t'aident à choisir. Debian fait partie de celles qui proposent le plus de choix possible pour te laisser choisir, si ca ne te convient pas, utilise autre chose.
-- http://n0x.org/ -
On 2007-01-30, Yugo <yugo@noemailaddress.com> wrote:
Est-ce à l'usager de faire ces choix, à déterminer quels sont les paquets
essentiels et les superflus?
Il y a des distribs qui te laissent faire ces choix, d'autres qui
t'aident à choisir. Debian fait partie de celles qui proposent le plus
de choix possible pour te laisser choisir, si ca ne te convient pas,
utilise autre chose.
Est-ce à l'usager de faire ces choix, à déterminer quels sont les paquets essentiels et les superflus?
Il y a des distribs qui te laissent faire ces choix, d'autres qui t'aident à choisir. Debian fait partie de celles qui proposent le plus de choix possible pour te laisser choisir, si ca ne te convient pas, utilise autre chose.
-- http://n0x.org/ -
Yugo
Sam Hocevar wrote:
On Tue, 30 Jan 2007 16:45:32 -0500, Yugo wrote:
Si Abiword a un problème de buffer overflow et que OO fonctionne correctment, la solution n'est-elle pas simple?
Depuis quand OO n'a pas de buffer overflows ?
Il n'y en a pas d'indiqués sur la page bugs de Debian.
Sam Hocevar wrote:
On Tue, 30 Jan 2007 16:45:32 -0500, Yugo wrote:
Si Abiword a un problème de buffer overflow et que OO fonctionne
correctment, la solution n'est-elle pas simple?
Depuis quand OO n'a pas de buffer overflows ?
Il n'y en a pas d'indiqués sur la page bugs de Debian.
Si Abiword a un problème de buffer overflow et que OO fonctionne correctment, la solution n'est-elle pas simple?
Depuis quand OO n'a pas de buffer overflows ?
Il n'y en a pas d'indiqués sur la page bugs de Debian.
Yugo
Nicolas George wrote:
Si Abiword a un problème de buffer overflow et que OO fonctionne correctment, la solution n'est-elle pas simple?
Tu te rends compte de la connerie de cette remarque ?
Pas vraiment, non, Il va falloir que tu m'expliques.
Est-ce à l'usager de faire ces choix, à déterminer quels sont les paquets essentiels et les superflus?
C'est à l'usager de choisir quels programmes il préfère utiliser, quand ça fait une différence sensible. Ça ne te paraît pas une évidence ?
C'est sûr que c'est à l'usager de parcourir le foutoir qu'est la page bugs de Debian où sont mélangés tous les bugs, qu'ils soient de la version à sortir ou des suivantes. Ceci, évidemment, afin qu'on ne puisse voir au premier coup d'oeil ce qui a vraiment besoin d'être réglé de ce qui est complètement accessoire.
Ensuite, on se demande comment avec tant de jugement de la part de Debian, les gens préfèrent Ubuntu.
Nicolas George wrote:
Si Abiword a un problème de buffer
overflow et que OO fonctionne correctment, la solution n'est-elle pas simple?
Tu te rends compte de la connerie de cette remarque ?
Pas vraiment, non, Il va falloir que tu m'expliques.
Est-ce à l'usager de faire ces choix, à déterminer quels sont les paquets
essentiels et les superflus?
C'est à l'usager de choisir quels programmes il préfère utiliser, quand ça
fait une différence sensible. Ça ne te paraît pas une évidence ?
C'est sûr que c'est à l'usager de parcourir le foutoir qu'est la page bugs de
Debian où sont mélangés tous les bugs, qu'ils soient de la version à sortir ou
des suivantes. Ceci, évidemment, afin qu'on ne puisse voir au premier coup
d'oeil ce qui a vraiment besoin d'être réglé de ce qui est complètement
accessoire.
Ensuite, on se demande comment avec tant de jugement de la part de Debian, les
gens préfèrent Ubuntu.
Si Abiword a un problème de buffer overflow et que OO fonctionne correctment, la solution n'est-elle pas simple?
Tu te rends compte de la connerie de cette remarque ?
Pas vraiment, non, Il va falloir que tu m'expliques.
Est-ce à l'usager de faire ces choix, à déterminer quels sont les paquets essentiels et les superflus?
C'est à l'usager de choisir quels programmes il préfère utiliser, quand ça fait une différence sensible. Ça ne te paraît pas une évidence ?
C'est sûr que c'est à l'usager de parcourir le foutoir qu'est la page bugs de Debian où sont mélangés tous les bugs, qu'ils soient de la version à sortir ou des suivantes. Ceci, évidemment, afin qu'on ne puisse voir au premier coup d'oeil ce qui a vraiment besoin d'être réglé de ce qui est complètement accessoire.
Ensuite, on se demande comment avec tant de jugement de la part de Debian, les gens préfèrent Ubuntu.
Yugo
nicolas vigier wrote:
On 2007-01-30, Yugo wrote:
Est-ce à l'usager de faire ces choix, à déterminer quels sont les paquets essentiels et les superflus?
Il y a des distribs qui te laissent faire ces choix, d'autres qui t'aident à choisir. Debian fait partie de celles qui proposent le plus de choix possible pour te laisser choisir, si ca ne te convient pas, utilise autre chose.
Je veux bien que Debian m'offre le plus de choix possibles... parmi ce qui n'est pas buggé! que le reste n'empêche pas la distribution de sortir des années durant. *Que ce qui est buggé* soit ready when it's ready. Et que ceux qui tiennent tant à, par exemple, leur cher traitement de texte utilisent l'ancienne version si la présente est buggée.
Actuellement, Debian est carrément en train de se saborder à force de stupidités.
nicolas vigier wrote:
On 2007-01-30, Yugo <yugo@noemailaddress.com> wrote:
Est-ce à l'usager de faire ces choix, à déterminer quels sont les paquets
essentiels et les superflus?
Il y a des distribs qui te laissent faire ces choix, d'autres qui
t'aident à choisir. Debian fait partie de celles qui proposent le plus
de choix possible pour te laisser choisir, si ca ne te convient pas,
utilise autre chose.
Je veux bien que Debian m'offre le plus de choix possibles... parmi ce qui
n'est pas buggé! que le reste n'empêche pas la distribution de sortir des
années durant. *Que ce qui est buggé* soit ready when it's ready. Et que ceux
qui tiennent tant à, par exemple, leur cher traitement de texte utilisent
l'ancienne version si la présente est buggée.
Actuellement, Debian est carrément en train de se saborder à force de stupidités.
Est-ce à l'usager de faire ces choix, à déterminer quels sont les paquets essentiels et les superflus?
Il y a des distribs qui te laissent faire ces choix, d'autres qui t'aident à choisir. Debian fait partie de celles qui proposent le plus de choix possible pour te laisser choisir, si ca ne te convient pas, utilise autre chose.
Je veux bien que Debian m'offre le plus de choix possibles... parmi ce qui n'est pas buggé! que le reste n'empêche pas la distribution de sortir des années durant. *Que ce qui est buggé* soit ready when it's ready. Et que ceux qui tiennent tant à, par exemple, leur cher traitement de texte utilisent l'ancienne version si la présente est buggée.
Actuellement, Debian est carrément en train de se saborder à force de stupidités.
Yugo
Jack Holborn wrote:
Sinon tu peux toujours installer la testing (je ne reviens pas sur le rôle de ces différentes moutures) qui possède des applis/services plus récents (je dis bien récents et non à jour) tout en assurant un minimum d'erreurs à corriger,
Le problème, c'est tout ce que le mot «testing» peur cacher comme genre de bugs. Tu peux avoir des vices rédhibitoires comme des buffers overflows ou de simple petits problèmes dans un instrument de recherche par exemple. Faudrait-il que chaque usager se mettre à évaluer quels sont les bugs dangereux, ceux qui rendent un soft inutilisable et ceux qui ne présentent que des inconvenients mineurs?
Évidemment, non! Aussi bien adopter Linux from Scratch et se monter sa propre distro. Si les distributions existent, c'est justement pour régler ce genre de problème. C'est ce que Volkerding fait: il élimine les softs qui présentent des problèmes majeurs côté sécurité ou fonctionnalité. Et, à peu près seul, il réussit à sortir sa distro au 6 mois. Avec un bon packet manager, ce que Slackware n'offre pas, c'est tout ce que tout le monde demande d'une distro.
Quand un administrateur de système veut faire une mise à jour, il ne veut pas se mettre à examiner chaque fichier du foutoir de la liste de 750 bugs pour savoir si c'est ou non un paquet inclu dans Etch, si c'est un bug de sécurité, ou un simple bug mineur dans un outil de recherche de Mozilla qui empêche la sortie. Il veut avoir une distro à laquelle il puisse se fier sans faire des journées d'analyse.
Debian n'offre pas cela et est en train de perdre sur tous les tableaux. Les serveurs s'en vont chez Red Hat/CentOS, les amateurs chez Ubuntu. Il est évident que les gens qui recommandent le statu quo n'ont d'autre objectif que de détruire Debian.
Ready when it's ready, c'est de la foutaise. Jamais Debian ne pourra avancer avec une telle philosophie.
Quant à reste, quand tu auras appris à faire des paragraphes, je verrai si j'ai envie de te lire.
Jack Holborn wrote:
Sinon tu peux toujours
installer la testing (je ne reviens pas sur le rôle de ces différentes
moutures) qui possède des applis/services plus récents (je dis bien
récents et non à jour) tout en assurant un minimum d'erreurs à corriger,
Le problème, c'est tout ce que le mot «testing» peur cacher comme genre de
bugs. Tu peux avoir des vices rédhibitoires comme des buffers overflows ou de
simple petits problèmes dans un instrument de recherche par exemple.
Faudrait-il que chaque usager se mettre à évaluer quels sont les bugs
dangereux, ceux qui rendent un soft inutilisable et ceux qui ne présentent que
des inconvenients mineurs?
Évidemment, non! Aussi bien adopter Linux from Scratch et se monter sa propre
distro. Si les distributions existent, c'est justement pour régler ce genre de
problème. C'est ce que Volkerding fait: il élimine les softs qui présentent
des problèmes majeurs côté sécurité ou fonctionnalité. Et, à peu près seul, il
réussit à sortir sa distro au 6 mois. Avec un bon packet manager, ce que
Slackware n'offre pas, c'est tout ce que tout le monde demande d'une distro.
Quand un administrateur de système veut faire une mise à jour, il ne veut pas
se mettre à examiner chaque fichier du foutoir de la liste de 750 bugs pour
savoir si c'est ou non un paquet inclu dans Etch, si c'est un bug de sécurité,
ou un simple bug mineur dans un outil de recherche de Mozilla qui empêche la
sortie. Il veut avoir une distro à laquelle il puisse se fier sans faire des
journées d'analyse.
Debian n'offre pas cela et est en train de perdre sur tous les tableaux. Les
serveurs s'en vont chez Red Hat/CentOS, les amateurs chez Ubuntu. Il est
évident que les gens qui recommandent le statu quo n'ont d'autre objectif que
de détruire Debian.
Ready when it's ready, c'est de la foutaise. Jamais Debian ne pourra avancer
avec une telle philosophie.
Quant à reste, quand tu auras appris à faire des paragraphes, je verrai si
j'ai envie de te lire.
Sinon tu peux toujours installer la testing (je ne reviens pas sur le rôle de ces différentes moutures) qui possède des applis/services plus récents (je dis bien récents et non à jour) tout en assurant un minimum d'erreurs à corriger,
Le problème, c'est tout ce que le mot «testing» peur cacher comme genre de bugs. Tu peux avoir des vices rédhibitoires comme des buffers overflows ou de simple petits problèmes dans un instrument de recherche par exemple. Faudrait-il que chaque usager se mettre à évaluer quels sont les bugs dangereux, ceux qui rendent un soft inutilisable et ceux qui ne présentent que des inconvenients mineurs?
Évidemment, non! Aussi bien adopter Linux from Scratch et se monter sa propre distro. Si les distributions existent, c'est justement pour régler ce genre de problème. C'est ce que Volkerding fait: il élimine les softs qui présentent des problèmes majeurs côté sécurité ou fonctionnalité. Et, à peu près seul, il réussit à sortir sa distro au 6 mois. Avec un bon packet manager, ce que Slackware n'offre pas, c'est tout ce que tout le monde demande d'une distro.
Quand un administrateur de système veut faire une mise à jour, il ne veut pas se mettre à examiner chaque fichier du foutoir de la liste de 750 bugs pour savoir si c'est ou non un paquet inclu dans Etch, si c'est un bug de sécurité, ou un simple bug mineur dans un outil de recherche de Mozilla qui empêche la sortie. Il veut avoir une distro à laquelle il puisse se fier sans faire des journées d'analyse.
Debian n'offre pas cela et est en train de perdre sur tous les tableaux. Les serveurs s'en vont chez Red Hat/CentOS, les amateurs chez Ubuntu. Il est évident que les gens qui recommandent le statu quo n'ont d'autre objectif que de détruire Debian.
Ready when it's ready, c'est de la foutaise. Jamais Debian ne pourra avancer avec une telle philosophie.
Quant à reste, quand tu auras appris à faire des paragraphes, je verrai si j'ai envie de te lire.
nicolas vigier
On 2007-01-31, Yugo wrote:
Jack Holborn wrote:
Sinon tu peux toujours installer la testing (je ne reviens pas sur le rôle de ces différentes moutures) qui possède des applis/services plus récents (je dis bien récents et non à jour) tout en assurant un minimum d'erreurs à corriger,
Le problème, c'est tout ce que le mot «testing» peur cacher comme genre de bugs. Tu peux avoir des vices rédhibitoires comme des buffers overflows ou de simple petits problèmes dans un instrument de recherche par exemple. Faudrait-il que chaque usager se mettre à évaluer quels sont les bugs dangereux, ceux qui rendent un soft inutilisable et ceux qui ne présentent que des inconvenients mineurs?
Évidemment, non! Aussi bien adopter Linux from Scratch et se monter sa propre distro. Si les distributions existent, c'est justement pour régler ce genre de problème. C'est ce que Volkerding fait: il élimine les softs qui présentent des problèmes majeurs côté sécurité ou fonctionnalité. Et, à peu près seul, il réussit à sortir sa distro au 6 mois. Avec un bon packet manager, ce que Slackware n'offre pas, c'est tout ce que tout le monde demande d'une distro.
Ok, ben utilise Slackware, et arrette de nous faire chier.
-- http://n0x.org/ -
On 2007-01-31, Yugo <yugo@noemailaddress.com> wrote:
Jack Holborn wrote:
Sinon tu peux toujours
installer la testing (je ne reviens pas sur le rôle de ces différentes
moutures) qui possède des applis/services plus récents (je dis bien
récents et non à jour) tout en assurant un minimum d'erreurs à corriger,
Le problème, c'est tout ce que le mot «testing» peur cacher comme genre de
bugs. Tu peux avoir des vices rédhibitoires comme des buffers overflows ou de
simple petits problèmes dans un instrument de recherche par exemple.
Faudrait-il que chaque usager se mettre à évaluer quels sont les bugs
dangereux, ceux qui rendent un soft inutilisable et ceux qui ne présentent que
des inconvenients mineurs?
Évidemment, non! Aussi bien adopter Linux from Scratch et se monter sa propre
distro. Si les distributions existent, c'est justement pour régler ce genre de
problème. C'est ce que Volkerding fait: il élimine les softs qui présentent
des problèmes majeurs côté sécurité ou fonctionnalité. Et, à peu près seul, il
réussit à sortir sa distro au 6 mois. Avec un bon packet manager, ce que
Slackware n'offre pas, c'est tout ce que tout le monde demande d'une distro.
Ok, ben utilise Slackware, et arrette de nous faire chier.
Sinon tu peux toujours installer la testing (je ne reviens pas sur le rôle de ces différentes moutures) qui possède des applis/services plus récents (je dis bien récents et non à jour) tout en assurant un minimum d'erreurs à corriger,
Le problème, c'est tout ce que le mot «testing» peur cacher comme genre de bugs. Tu peux avoir des vices rédhibitoires comme des buffers overflows ou de simple petits problèmes dans un instrument de recherche par exemple. Faudrait-il que chaque usager se mettre à évaluer quels sont les bugs dangereux, ceux qui rendent un soft inutilisable et ceux qui ne présentent que des inconvenients mineurs?
Évidemment, non! Aussi bien adopter Linux from Scratch et se monter sa propre distro. Si les distributions existent, c'est justement pour régler ce genre de problème. C'est ce que Volkerding fait: il élimine les softs qui présentent des problèmes majeurs côté sécurité ou fonctionnalité. Et, à peu près seul, il réussit à sortir sa distro au 6 mois. Avec un bon packet manager, ce que Slackware n'offre pas, c'est tout ce que tout le monde demande d'une distro.
Ok, ben utilise Slackware, et arrette de nous faire chier.
-- http://n0x.org/ -
Nicolas George
Yugo , dans le message , a écrit :
Pas vraiment, non, Il va falloir que tu m'expliques.
Eh bien voilà : à partir de maintenant, j'ai décidé que tu ne devrais plus utiliser que trn comme newsreader, couplé avec eclipse pour éditer les messages. Tu es content ?
Yugo , dans le message <1170282964.681635@www.vif.com>, a écrit :
Pas vraiment, non, Il va falloir que tu m'expliques.
Eh bien voilà : à partir de maintenant, j'ai décidé que tu ne devrais plus
utiliser que trn comme newsreader, couplé avec eclipse pour éditer les
messages. Tu es content ?
Pas vraiment, non, Il va falloir que tu m'expliques.
Eh bien voilà : à partir de maintenant, j'ai décidé que tu ne devrais plus utiliser que trn comme newsreader, couplé avec eclipse pour éditer les messages. Tu es content ?
Jack Holborn
Ma réponse à Yugo dans le message du 31-01-2007 réf:
Jack Holborn wrote:
[...] Faudrait-il que chaque usager se mettre à évaluer quels sont les bugs
dangereux, ceux qui rendent un soft inutilisable et ceux qui ne présentent que des inconvenients mineurs?
Évidemment, non! Aussi bien adopter Linux from Scratch et se monter sa propre distro. Si les distributions existent, c'est justement pour régler ce genre de problème. C'est ce que Volkerding fait: il élimine les softs qui présentent des problèmes majeurs côté sécurité ou fonctionnalité. Et, à peu près seul, il réussit à sortir sa distro au 6 mois. Avec un bon packet manager, ce que Slackware n'offre pas, c'est tout ce que tout le monde demande d'une distro.
Aucun utilisateur moyen n'a jamais eu à le faire que je sache, ce n'est
ni dans leurs cordes (à priori) ni dans leurs attributions, exception faite de ceux qui désirent participer, c'est aussi ça le libre! D'autre part le mainteneur d'une distribution n'est pas non plus censé corriger les bugs d'une application, à la limite l'erreur de Debian c'est d'avoir voulu aller aussi loin en fournissant une telle pléthorre de paquets, mais il faut bien plaire à tous ces utilisateurs exigeants.
Quand un administrateur de système veut faire une mise à jour, il ne veut pas se mettre à examiner chaque fichier du foutoir de la liste de 750 bugs pour savoir si c'est ou non un paquet inclu dans Etch, si c'est un bug de sécurité, ou un simple bug mineur dans un outil de recherche de Mozilla qui empêche la sortie. Il veut avoir une distro à laquelle il puisse se fier sans faire des journées d'analyse.
Cet administrateur-là va falloir qu'il fasse un travail sur lui-même et
qu'il acquière un peu plus de conscience professionnelle. J'ai personnellement tiré énormément de satisfaction d'avoir vérifié et revérifié qu'un outil intégré à mon système soit suffisamment fiable, assurant ainsi son intégrité, et sans avoir besoin de gueuler après ceux qui font les distributions. Je conçois parfaitement qu'on ne puisse pas demander ça à un utilisateur, mais alors je pose la question: quand le maçon que tu as engagé te dit qu'il terminera demain, tu attends le lendemain ou tu termines toi-même son travail?
Debian n'offre pas cela et est en train de perdre sur tous les tableaux. Les serveurs s'en vont chez Red Hat/CentOS, les amateurs chez Ubuntu. Il est évident que les gens qui recommandent le statu quo n'ont d'autre objectif que de détruire Debian.
Debian n'offre rien à celui qui ne veut/peut pas attendre, c'est
si difficile que ca à admettre!?! Certes ils sont peut-être en passe de perdre sur un marché toujours en croissance, mais quand on ne fait pas d'argent il ne faut pas se faire d'illusions. Et Ubuntu rencontre les mêmes problèmes que tous les autres, il aura fallu 1 an de patience entre la v5 et la v6 de leur distribution, ce qui est un score moyen si P. Volkerding sort la sienne en 6 mois en bossant tout seul dessus. Je ne comprends pas la dernière phrase.
Ready when it's ready, c'est de la foutaise. Jamais Debian ne pourra avancer avec une telle philosophie.
Ben ça fait jamais que 14 ans que ça dure hein...
Quant à reste, quand tu auras appris à faire des paragraphes, je verrai si j'ai envie de te lire.
On voit que tu n'as pas lu Proust. Cette remarque est particulièrement
déplacée, et tu constateras que tu es le seul à l'avoir faite, je vais donc l'ignorer tout en me retenant de te parler de tes fautes d'orthographe, merci qd même de m'avoir lu.
-- A+ Jack H. "Esbrouffe v2.0...8+)"
Ma réponse à Yugo dans le message du 31-01-2007
réf:<1170284731.5260@www.vif.com>
Jack Holborn wrote:
[...]
Faudrait-il que chaque usager se mettre à évaluer quels sont les bugs
dangereux, ceux qui rendent un soft inutilisable et ceux qui ne présentent que
des inconvenients mineurs?
Évidemment, non! Aussi bien adopter Linux from Scratch et se monter sa propre
distro. Si les distributions existent, c'est justement pour régler ce genre de
problème. C'est ce que Volkerding fait: il élimine les softs qui présentent
des problèmes majeurs côté sécurité ou fonctionnalité. Et, à peu près seul, il
réussit à sortir sa distro au 6 mois. Avec un bon packet manager, ce que
Slackware n'offre pas, c'est tout ce que tout le monde demande d'une distro.
Aucun utilisateur moyen n'a jamais eu à le faire que je sache, ce n'est
ni dans leurs cordes (à priori) ni dans leurs attributions, exception
faite de ceux qui désirent participer, c'est aussi ça le libre!
D'autre part le mainteneur d'une distribution n'est pas non plus censé corriger
les bugs d'une application, à la limite l'erreur de Debian c'est d'avoir
voulu aller aussi loin en fournissant une telle pléthorre de paquets,
mais il faut bien plaire à tous ces utilisateurs exigeants.
Quand un administrateur de système veut faire une mise à jour, il ne veut pas
se mettre à examiner chaque fichier du foutoir de la liste de 750 bugs pour
savoir si c'est ou non un paquet inclu dans Etch, si c'est un bug de sécurité,
ou un simple bug mineur dans un outil de recherche de Mozilla qui empêche la
sortie. Il veut avoir une distro à laquelle il puisse se fier sans faire des
journées d'analyse.
Cet administrateur-là va falloir qu'il fasse un travail sur lui-même et
qu'il acquière un peu plus de conscience professionnelle. J'ai
personnellement tiré énormément de satisfaction d'avoir vérifié et
revérifié qu'un outil intégré à mon système soit suffisamment fiable,
assurant ainsi son intégrité, et sans avoir besoin de gueuler après ceux qui
font les distributions. Je conçois parfaitement qu'on ne puisse pas demander
ça à un utilisateur, mais alors je pose la question: quand le maçon que tu
as engagé te dit qu'il terminera demain, tu attends le lendemain ou tu
termines toi-même son travail?
Debian n'offre pas cela et est en train de perdre sur tous les tableaux. Les
serveurs s'en vont chez Red Hat/CentOS, les amateurs chez Ubuntu. Il est
évident que les gens qui recommandent le statu quo n'ont d'autre objectif que
de détruire Debian.
Debian n'offre rien à celui qui ne veut/peut pas attendre, c'est
si difficile que ca à admettre!?! Certes ils sont peut-être en passe de
perdre sur un marché toujours en croissance, mais quand on ne fait pas
d'argent il ne faut pas se faire d'illusions. Et Ubuntu rencontre les mêmes
problèmes que tous les autres, il aura fallu 1 an de patience entre la v5
et la v6 de leur distribution, ce qui est un score moyen si P. Volkerding
sort la sienne en 6 mois en bossant tout seul dessus.
Je ne comprends pas la dernière phrase.
Ready when it's ready, c'est de la foutaise. Jamais Debian ne pourra avancer
avec une telle philosophie.
Ben ça fait jamais que 14 ans que ça dure hein...
Quant à reste, quand tu auras appris à faire des paragraphes, je verrai si
j'ai envie de te lire.
On voit que tu n'as pas lu Proust. Cette remarque est particulièrement
déplacée, et tu constateras que tu es le seul à l'avoir faite, je vais
donc l'ignorer tout en me retenant de te parler de tes fautes d'orthographe,
merci qd même de m'avoir lu.
Ma réponse à Yugo dans le message du 31-01-2007 réf:
Jack Holborn wrote:
[...] Faudrait-il que chaque usager se mettre à évaluer quels sont les bugs
dangereux, ceux qui rendent un soft inutilisable et ceux qui ne présentent que des inconvenients mineurs?
Évidemment, non! Aussi bien adopter Linux from Scratch et se monter sa propre distro. Si les distributions existent, c'est justement pour régler ce genre de problème. C'est ce que Volkerding fait: il élimine les softs qui présentent des problèmes majeurs côté sécurité ou fonctionnalité. Et, à peu près seul, il réussit à sortir sa distro au 6 mois. Avec un bon packet manager, ce que Slackware n'offre pas, c'est tout ce que tout le monde demande d'une distro.
Aucun utilisateur moyen n'a jamais eu à le faire que je sache, ce n'est
ni dans leurs cordes (à priori) ni dans leurs attributions, exception faite de ceux qui désirent participer, c'est aussi ça le libre! D'autre part le mainteneur d'une distribution n'est pas non plus censé corriger les bugs d'une application, à la limite l'erreur de Debian c'est d'avoir voulu aller aussi loin en fournissant une telle pléthorre de paquets, mais il faut bien plaire à tous ces utilisateurs exigeants.
Quand un administrateur de système veut faire une mise à jour, il ne veut pas se mettre à examiner chaque fichier du foutoir de la liste de 750 bugs pour savoir si c'est ou non un paquet inclu dans Etch, si c'est un bug de sécurité, ou un simple bug mineur dans un outil de recherche de Mozilla qui empêche la sortie. Il veut avoir une distro à laquelle il puisse se fier sans faire des journées d'analyse.
Cet administrateur-là va falloir qu'il fasse un travail sur lui-même et
qu'il acquière un peu plus de conscience professionnelle. J'ai personnellement tiré énormément de satisfaction d'avoir vérifié et revérifié qu'un outil intégré à mon système soit suffisamment fiable, assurant ainsi son intégrité, et sans avoir besoin de gueuler après ceux qui font les distributions. Je conçois parfaitement qu'on ne puisse pas demander ça à un utilisateur, mais alors je pose la question: quand le maçon que tu as engagé te dit qu'il terminera demain, tu attends le lendemain ou tu termines toi-même son travail?
Debian n'offre pas cela et est en train de perdre sur tous les tableaux. Les serveurs s'en vont chez Red Hat/CentOS, les amateurs chez Ubuntu. Il est évident que les gens qui recommandent le statu quo n'ont d'autre objectif que de détruire Debian.
Debian n'offre rien à celui qui ne veut/peut pas attendre, c'est
si difficile que ca à admettre!?! Certes ils sont peut-être en passe de perdre sur un marché toujours en croissance, mais quand on ne fait pas d'argent il ne faut pas se faire d'illusions. Et Ubuntu rencontre les mêmes problèmes que tous les autres, il aura fallu 1 an de patience entre la v5 et la v6 de leur distribution, ce qui est un score moyen si P. Volkerding sort la sienne en 6 mois en bossant tout seul dessus. Je ne comprends pas la dernière phrase.
Ready when it's ready, c'est de la foutaise. Jamais Debian ne pourra avancer avec une telle philosophie.
Ben ça fait jamais que 14 ans que ça dure hein...
Quant à reste, quand tu auras appris à faire des paragraphes, je verrai si j'ai envie de te lire.
On voit que tu n'as pas lu Proust. Cette remarque est particulièrement
déplacée, et tu constateras que tu es le seul à l'avoir faite, je vais donc l'ignorer tout en me retenant de te parler de tes fautes d'orthographe, merci qd même de m'avoir lu.
-- A+ Jack H. "Esbrouffe v2.0...8+)"
Yugo
Jack Holborn wrote:
On voit que tu n'as pas lu Proust.
Non. je le trouve ennuyeux à mourir. Donc, tu te prends pour Prosut parce que tu ne sais pas faire de paragraphes?
Cette remarque est particulièrement déplacée, et tu constateras que tu es le seul à l'avoir faite, je vais donc l'ignorer tout en me retenant de te parler de tes fautes d'orthographe,
Que veux-tu, il est certain que la qualité de ma prose ne peut valoir celle d'un Proust!
Jack Holborn wrote:
On voit que tu n'as pas lu Proust.
Non. je le trouve ennuyeux à mourir. Donc, tu te prends pour Prosut parce que
tu ne sais pas faire de paragraphes?
Cette remarque est particulièrement
déplacée, et tu constateras que tu es le seul à l'avoir faite, je vais
donc l'ignorer tout en me retenant de te parler de tes fautes d'orthographe,
Que veux-tu, il est certain que la qualité de ma prose ne peut valoir celle
d'un Proust!
Non. je le trouve ennuyeux à mourir. Donc, tu te prends pour Prosut parce que tu ne sais pas faire de paragraphes?
Cette remarque est particulièrement déplacée, et tu constateras que tu es le seul à l'avoir faite, je vais donc l'ignorer tout en me retenant de te parler de tes fautes d'orthographe,
Que veux-tu, il est certain que la qualité de ma prose ne peut valoir celle d'un Proust!
Jack Holborn
Ma réponse à Michel Talon dans le message du 31-01-2007 réf:<epq2lg$ron$
Jack Holborn wrote:
[...]
Tout ce que tu dis a été battu et rebattu, en particulier par moi. Alors pourquoi t'énerver si tu as compris le problème, par esprit de
contradiction? pour provoquer un effet? Cela porte un nom tu sais...
on veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode *et* que ça marche. Debian ne fournit pas une solution à ce problème. Ce n'est pas son travail, Debian intègre les applications avec leurs
bugs s'il y en a, charge à nous, les adorateurs de Linux de les découvrir et de les remonter, ou bien les corriger on ne sait jamais ;-) Le beurre....l'argent du beurre...tout ça....
Testing est presque aussi obsolète que Stable, Quelle mauvaise foi!
Gnome 2.14, wmaker 0.91, pan 0.119, OOo2.0.4, glibc 2.3, apache2, support de nfs v4... il y a pire je trouve.
Seul Unstable est intéressant, mais là l'instabilité est maximale. Bref voilà pourquoi Ubuntu a connu un tel succès, c'est essentiellement Unstable, mais rapidement stabilisé par des gens qui s'y consacrent. Depuis que je suis passé à Ubuntu, je n'ai plus aucun problème existentiel avec Debian, en fait je m'en fous complètement, tout en sachant que Ubuntu repose sur le travail de Debian. Une autre solution est donnée par les systèmes "basés sur les sources", comme Gentoo ou FreeBSD où on peut assez aisément avoir quelque chose à la fois de très courant et de suffisamment stable.
Le mot important ici c'est "basé sur les sources", qu'est-ce qu'on
attend pour recompiler les programmes qui nous sont si chers et pour arrêter de jouer aux assistés permanents? Debian fournit un environnement de développement correct et utilisable par n'importe qui, mon frère en est la preuve vivante, alors arrêtons de nous plaindre et commençons à vivre vraiment l'esprit du libre qui a fait naître toutes ces bonnes choses. Pas envie de ça? soit alors fait comme pour les logiciels non libre, prends ton mal en patience et attends sagement la version suivante....ou change de crèmerie (mais ça tu le sais déjà n'est-ce pas?). Je reconnais qu'Ubuntu a fait un énorme travail, mais c'est un travail d'intégration, c'est à dire que s'il existe un bug imputable au logiciel il se retrouvera dans Ubuntu comme dans les autres disributions. Ce qu' Ubuntu a su faire c'est fournir un environnement de "production" cohérent donc stable, et une série d'outils ne nécessitant pas de connaissances particulières pour configurer son système. Et avec ça on est encore loin des 15 mille paquets disponibles.
Si on applique le principe "le bon outil approprié à la tâche", Debian a tout à fait sa place, comme serveur, dans sa version stable. Pour tout autre usage il y a de meilleures solutions.
Je suis tout à fait d'accord, si seulement on pouvait se le rappeler au
moment de les gonfler avec une date...
-- A+ Jack H. "Prend les paris...8+)"
Ma réponse à Michel Talon dans le message du 31-01-2007
réf:<epq2lg$ron$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>
Jack Holborn <jack@bbpfrance.homelinux.org> wrote:
[...]
Tout ce que tu dis a été battu et rebattu, en particulier par moi.
Alors pourquoi t'énerver si tu as compris le problème, par esprit de
contradiction? pour provoquer un effet? Cela porte un nom tu sais...
on veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode *et*
que ça marche. Debian ne fournit pas une solution à ce problème.
Ce n'est pas son travail, Debian intègre les applications avec leurs
bugs s'il y en a, charge à nous, les adorateurs de Linux de les
découvrir et de les remonter, ou bien les corriger on ne sait jamais ;-)
Le beurre....l'argent du beurre...tout ça....
Testing est presque aussi obsolète que Stable,
Quelle mauvaise foi!
Gnome 2.14, wmaker 0.91, pan 0.119, OOo2.0.4, glibc 2.3, apache2,
support de nfs v4... il y a pire je trouve.
Seul Unstable est
intéressant, mais là l'instabilité est maximale. Bref voilà pourquoi
Ubuntu a connu un tel succès, c'est essentiellement Unstable, mais
rapidement stabilisé par des gens qui s'y consacrent. Depuis que je suis
passé à Ubuntu, je n'ai plus aucun problème existentiel avec Debian, en
fait je m'en fous complètement, tout en sachant que Ubuntu repose sur le
travail de Debian. Une autre solution est donnée par les systèmes "basés
sur les sources", comme Gentoo ou FreeBSD où on peut assez aisément
avoir quelque chose à la fois de très courant et de suffisamment stable.
Le mot important ici c'est "basé sur les sources", qu'est-ce qu'on
attend pour recompiler les programmes qui nous sont si chers et pour
arrêter de jouer aux assistés permanents? Debian fournit un
environnement de développement correct et utilisable par n'importe qui,
mon frère en est la preuve vivante, alors arrêtons de nous plaindre et
commençons à vivre vraiment l'esprit du libre qui a fait naître toutes
ces bonnes choses. Pas envie de ça? soit alors fait comme pour les
logiciels non libre, prends ton mal en patience et attends sagement la
version suivante....ou change de crèmerie (mais ça tu le sais déjà
n'est-ce pas?).
Je reconnais qu'Ubuntu a fait un énorme travail, mais c'est un travail
d'intégration, c'est à dire que s'il existe un bug imputable au logiciel
il se retrouvera dans Ubuntu comme dans les autres disributions. Ce qu'
Ubuntu a su faire c'est fournir un environnement de "production" cohérent
donc stable, et une série d'outils ne nécessitant pas de connaissances
particulières pour configurer son système. Et avec ça on est encore loin
des 15 mille paquets disponibles.
Si on applique le principe "le bon outil approprié à la tâche", Debian a
tout à fait sa place, comme serveur, dans sa version stable. Pour tout
autre usage il y a de meilleures solutions.
Je suis tout à fait d'accord, si seulement on pouvait se le rappeler au
Ma réponse à Michel Talon dans le message du 31-01-2007 réf:<epq2lg$ron$
Jack Holborn wrote:
[...]
Tout ce que tu dis a été battu et rebattu, en particulier par moi. Alors pourquoi t'énerver si tu as compris le problème, par esprit de
contradiction? pour provoquer un effet? Cela porte un nom tu sais...
on veut souvent que la machine ait les derniers logiciels à la mode *et* que ça marche. Debian ne fournit pas une solution à ce problème. Ce n'est pas son travail, Debian intègre les applications avec leurs
bugs s'il y en a, charge à nous, les adorateurs de Linux de les découvrir et de les remonter, ou bien les corriger on ne sait jamais ;-) Le beurre....l'argent du beurre...tout ça....
Testing est presque aussi obsolète que Stable, Quelle mauvaise foi!
Gnome 2.14, wmaker 0.91, pan 0.119, OOo2.0.4, glibc 2.3, apache2, support de nfs v4... il y a pire je trouve.
Seul Unstable est intéressant, mais là l'instabilité est maximale. Bref voilà pourquoi Ubuntu a connu un tel succès, c'est essentiellement Unstable, mais rapidement stabilisé par des gens qui s'y consacrent. Depuis que je suis passé à Ubuntu, je n'ai plus aucun problème existentiel avec Debian, en fait je m'en fous complètement, tout en sachant que Ubuntu repose sur le travail de Debian. Une autre solution est donnée par les systèmes "basés sur les sources", comme Gentoo ou FreeBSD où on peut assez aisément avoir quelque chose à la fois de très courant et de suffisamment stable.
Le mot important ici c'est "basé sur les sources", qu'est-ce qu'on
attend pour recompiler les programmes qui nous sont si chers et pour arrêter de jouer aux assistés permanents? Debian fournit un environnement de développement correct et utilisable par n'importe qui, mon frère en est la preuve vivante, alors arrêtons de nous plaindre et commençons à vivre vraiment l'esprit du libre qui a fait naître toutes ces bonnes choses. Pas envie de ça? soit alors fait comme pour les logiciels non libre, prends ton mal en patience et attends sagement la version suivante....ou change de crèmerie (mais ça tu le sais déjà n'est-ce pas?). Je reconnais qu'Ubuntu a fait un énorme travail, mais c'est un travail d'intégration, c'est à dire que s'il existe un bug imputable au logiciel il se retrouvera dans Ubuntu comme dans les autres disributions. Ce qu' Ubuntu a su faire c'est fournir un environnement de "production" cohérent donc stable, et une série d'outils ne nécessitant pas de connaissances particulières pour configurer son système. Et avec ça on est encore loin des 15 mille paquets disponibles.
Si on applique le principe "le bon outil approprié à la tâche", Debian a tout à fait sa place, comme serveur, dans sa version stable. Pour tout autre usage il y a de meilleures solutions.
Je suis tout à fait d'accord, si seulement on pouvait se le rappeler au