Bonjour,
Tout est (presque) dit dans ce beau texte :
http://leschroniquesdelornithorynque.fr/WordPress3/ornithorynque-225/
Bonjour,
Tout est (presque) dit dans ce beau texte :
http://leschroniquesdelornithorynque.fr/WordPress3/ornithorynque-225/
Bonjour,
Tout est (presque) dit dans ce beau texte :
http://leschroniquesdelornithorynque.fr/WordPress3/ornithorynque-225/
Dominique wrote:
> Bonjour,
>
> Tout est (presque) dit dans ce beau texte :
> http://leschroniquesdelornithorynque.fr/WordPress3/ornithorynque-225/
>
J'ai complété le presque.
Dominique <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> Bonjour,
>
> Tout est (presque) dit dans ce beau texte :
> http://leschroniquesdelornithorynque.fr/WordPress3/ornithorynque-225/
>
J'ai complété le presque.
Dominique wrote:
> Bonjour,
>
> Tout est (presque) dit dans ce beau texte :
> http://leschroniquesdelornithorynque.fr/WordPress3/ornithorynque-225/
>
J'ai complété le presque.
jr wrote:
Je me souviens aussi de ce procureur qui s'était endormi pendant
l'audition du prévenu, lors d'une audience à laquelle j'assistais et
qu'on a laissé dormir jusqu'à la suspension...
Et ce, d'autant plus qu'il est courant, malheureusement, que cette
"collusion" existe hors de tout contrôle puisque non visible, simplement
par le fait qu'il n'y a pas de cloison étanche entre siège et parquet
jr <jqs@froc.net> wrote:
Je me souviens aussi de ce procureur qui s'était endormi pendant
l'audition du prévenu, lors d'une audience à laquelle j'assistais et
qu'on a laissé dormir jusqu'à la suspension...
Et ce, d'autant plus qu'il est courant, malheureusement, que cette
"collusion" existe hors de tout contrôle puisque non visible, simplement
par le fait qu'il n'y a pas de cloison étanche entre siège et parquet
jr wrote:
Je me souviens aussi de ce procureur qui s'était endormi pendant
l'audition du prévenu, lors d'une audience à laquelle j'assistais et
qu'on a laissé dormir jusqu'à la suspension...
Et ce, d'autant plus qu'il est courant, malheureusement, que cette
"collusion" existe hors de tout contrôle puisque non visible, simplement
par le fait qu'il n'y a pas de cloison étanche entre siège et parquet
Dominique wrote:
> jr wrote:
>
>> Dominique wrote:
>>> Bonjour,
>>>
>>> Tout est (presque) dit dans ce beau texte :
>>> http://leschroniquesdelornithorynque.fr/WordPress3/ornithorynque-225/
>>>
>>
>> J'ai complété le presque.
>
> J'ai vu (1) et, sur le fond, je ne peux pas dire que je suis en
> désaccord avec vous sur cet aspect.
C'est désolant, en général vous êtes utile en tant que boussole qui indique
le sud.
> Je me souviens aussi de ce procureur qui s'était endormi pendant
> l'audition du prévenu, lors d'une audience à laquelle j'assistais et
> qu'on a laissé dormir jusqu'à la suspension...
J'ai vu ça en correctionnelle, et aussi un assesseur qui lisait le journal.
> A noter cependant que les avocats eux-mêmes et pas seulement ceux qui
> twittent sont divisés à la fois sur le fait de twitter "pendant une
> audience" ( ce qui n'est pas prouvé) ou "pendant les suspensions
> d'audience" (ce qui est limite mais est affirmé par un des auteurs au
> moins), sur le contenu des tweets (que seuls ceux qui suivaient les
> twitters pouvaient lire)
Vi enfin, plus public que Twitter c'est la Lune.
> et sur le fait d'avoir dénoncé cette pratique à
> la hiérarchie ( devoir citoyen vs délation) mais que tous s'accordent
> pour dire que ni le magistrat du siège ni la parquetier en cause ne sont
> soupçonnables de "collusion" lors des audiences qu'ils ont pu assurer
> ensemble.
Ah. Sauf erreur la simple conversation amicale entre parquet et siège
pendant une suspension faisait casser un procès, dans le temps d'avant les
SMS.
> Maître Eolas raconte, à ce propos, une anecdote édifiante dans une suite
> de tweets publiés hier, à l'époque où, jeune avocat en formation, il
> faisait un stage au parquet.
...et il n'a pas dénoncé. Donc ce futur auxiliaire de justice a laissé
faire un forfait de justice, en toute connaissance de cause. Je ne dis pas
que c'eût été humainement possible de dénoncer, mais de là à présenter la
chose comme une constante de l'Univers pour la défense de ses potes...
> Par contre, sur la forme de la délation, je ne vous ai pas vu vous
> exprimer.
> Admettons que le journaliste ait été surpris - et horrifié - de
> s'apercevoir que les tweets qu'il lisait provenaient de l'audience à
> laquelle il assistait, admettons qu'il se soit inquiété - à juste titre
> - du sérieux des magistrats, pourquoi attendre 3 jours après le procès
> pour aller les dénoncer?
Pourquoi pas. C'est mieux que 4.
> Pourquoi attendre au lieu de signaler immédiatement les faits,
Pour vérifier?
> Et pourquoi jeter les vrais noms en pâture au public dans son article?
Je le lis, je le crois pas. Taux de vergogne dans le sang = zéro. Vous
devriez consulter.
> La présomption d'innocence n'existe pas pour les chroniqueurs
> judiciaires?
La présomption d'innocence ne concerne que les gens mis en cause par la
justice dans une affaire.
Vous devriez faire un peu de droit.
> Bref, c'est sur la délation que je voulais attirer l'attention
Signaler un délit n'est pas obligatoire, mais de là à appeler ça
délation...
> (1) et je salue le fait que vous êtes intervenu en signant votre
> commentaire.
Oui Brigitte.
Dominique <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> jr <jqs@froc.net> wrote:
>
>> Dominique <dmkgbt@free.invalid> wrote:
>>> Bonjour,
>>>
>>> Tout est (presque) dit dans ce beau texte :
>>> http://leschroniquesdelornithorynque.fr/WordPress3/ornithorynque-225/
>>>
>>
>> J'ai complété le presque.
>
> J'ai vu (1) et, sur le fond, je ne peux pas dire que je suis en
> désaccord avec vous sur cet aspect.
C'est désolant, en général vous êtes utile en tant que boussole qui indique
le sud.
> Je me souviens aussi de ce procureur qui s'était endormi pendant
> l'audition du prévenu, lors d'une audience à laquelle j'assistais et
> qu'on a laissé dormir jusqu'à la suspension...
J'ai vu ça en correctionnelle, et aussi un assesseur qui lisait le journal.
> A noter cependant que les avocats eux-mêmes et pas seulement ceux qui
> twittent sont divisés à la fois sur le fait de twitter "pendant une
> audience" ( ce qui n'est pas prouvé) ou "pendant les suspensions
> d'audience" (ce qui est limite mais est affirmé par un des auteurs au
> moins), sur le contenu des tweets (que seuls ceux qui suivaient les
> twitters pouvaient lire)
Vi enfin, plus public que Twitter c'est la Lune.
> et sur le fait d'avoir dénoncé cette pratique à
> la hiérarchie ( devoir citoyen vs délation) mais que tous s'accordent
> pour dire que ni le magistrat du siège ni la parquetier en cause ne sont
> soupçonnables de "collusion" lors des audiences qu'ils ont pu assurer
> ensemble.
Ah. Sauf erreur la simple conversation amicale entre parquet et siège
pendant une suspension faisait casser un procès, dans le temps d'avant les
SMS.
> Maître Eolas raconte, à ce propos, une anecdote édifiante dans une suite
> de tweets publiés hier, à l'époque où, jeune avocat en formation, il
> faisait un stage au parquet.
...et il n'a pas dénoncé. Donc ce futur auxiliaire de justice a laissé
faire un forfait de justice, en toute connaissance de cause. Je ne dis pas
que c'eût été humainement possible de dénoncer, mais de là à présenter la
chose comme une constante de l'Univers pour la défense de ses potes...
> Par contre, sur la forme de la délation, je ne vous ai pas vu vous
> exprimer.
> Admettons que le journaliste ait été surpris - et horrifié - de
> s'apercevoir que les tweets qu'il lisait provenaient de l'audience à
> laquelle il assistait, admettons qu'il se soit inquiété - à juste titre
> - du sérieux des magistrats, pourquoi attendre 3 jours après le procès
> pour aller les dénoncer?
Pourquoi pas. C'est mieux que 4.
> Pourquoi attendre au lieu de signaler immédiatement les faits,
Pour vérifier?
> Et pourquoi jeter les vrais noms en pâture au public dans son article?
Je le lis, je le crois pas. Taux de vergogne dans le sang = zéro. Vous
devriez consulter.
> La présomption d'innocence n'existe pas pour les chroniqueurs
> judiciaires?
La présomption d'innocence ne concerne que les gens mis en cause par la
justice dans une affaire.
Vous devriez faire un peu de droit.
> Bref, c'est sur la délation que je voulais attirer l'attention
Signaler un délit n'est pas obligatoire, mais de là à appeler ça
délation...
> (1) et je salue le fait que vous êtes intervenu en signant votre
> commentaire.
Oui Brigitte.
Dominique wrote:
> jr wrote:
>
>> Dominique wrote:
>>> Bonjour,
>>>
>>> Tout est (presque) dit dans ce beau texte :
>>> http://leschroniquesdelornithorynque.fr/WordPress3/ornithorynque-225/
>>>
>>
>> J'ai complété le presque.
>
> J'ai vu (1) et, sur le fond, je ne peux pas dire que je suis en
> désaccord avec vous sur cet aspect.
C'est désolant, en général vous êtes utile en tant que boussole qui indique
le sud.
> Je me souviens aussi de ce procureur qui s'était endormi pendant
> l'audition du prévenu, lors d'une audience à laquelle j'assistais et
> qu'on a laissé dormir jusqu'à la suspension...
J'ai vu ça en correctionnelle, et aussi un assesseur qui lisait le journal.
> A noter cependant que les avocats eux-mêmes et pas seulement ceux qui
> twittent sont divisés à la fois sur le fait de twitter "pendant une
> audience" ( ce qui n'est pas prouvé) ou "pendant les suspensions
> d'audience" (ce qui est limite mais est affirmé par un des auteurs au
> moins), sur le contenu des tweets (que seuls ceux qui suivaient les
> twitters pouvaient lire)
Vi enfin, plus public que Twitter c'est la Lune.
> et sur le fait d'avoir dénoncé cette pratique à
> la hiérarchie ( devoir citoyen vs délation) mais que tous s'accordent
> pour dire que ni le magistrat du siège ni la parquetier en cause ne sont
> soupçonnables de "collusion" lors des audiences qu'ils ont pu assurer
> ensemble.
Ah. Sauf erreur la simple conversation amicale entre parquet et siège
pendant une suspension faisait casser un procès, dans le temps d'avant les
SMS.
> Maître Eolas raconte, à ce propos, une anecdote édifiante dans une suite
> de tweets publiés hier, à l'époque où, jeune avocat en formation, il
> faisait un stage au parquet.
...et il n'a pas dénoncé. Donc ce futur auxiliaire de justice a laissé
faire un forfait de justice, en toute connaissance de cause. Je ne dis pas
que c'eût été humainement possible de dénoncer, mais de là à présenter la
chose comme une constante de l'Univers pour la défense de ses potes...
> Par contre, sur la forme de la délation, je ne vous ai pas vu vous
> exprimer.
> Admettons que le journaliste ait été surpris - et horrifié - de
> s'apercevoir que les tweets qu'il lisait provenaient de l'audience à
> laquelle il assistait, admettons qu'il se soit inquiété - à juste titre
> - du sérieux des magistrats, pourquoi attendre 3 jours après le procès
> pour aller les dénoncer?
Pourquoi pas. C'est mieux que 4.
> Pourquoi attendre au lieu de signaler immédiatement les faits,
Pour vérifier?
> Et pourquoi jeter les vrais noms en pâture au public dans son article?
Je le lis, je le crois pas. Taux de vergogne dans le sang = zéro. Vous
devriez consulter.
> La présomption d'innocence n'existe pas pour les chroniqueurs
> judiciaires?
La présomption d'innocence ne concerne que les gens mis en cause par la
justice dans une affaire.
Vous devriez faire un peu de droit.
> Bref, c'est sur la délation que je voulais attirer l'attention
Signaler un délit n'est pas obligatoire, mais de là à appeler ça
délation...
> (1) et je salue le fait que vous êtes intervenu en signant votre
> commentaire.
Oui Brigitte.
M'sieur Rouillard :-)
J'ai lu aussi un type nommé Aubineau
et sur le fait d'avoir dénoncé cette pratique à
la hiérarchie ( devoir citoyen vs délation) mais que tous s'accordent
pour dire que ni le magistrat du siège ni la parquetier en cause ne sont
soupçonnables de "collusion" lors des audiences qu'ils ont pu assurer
ensemble.
Ah. Sauf erreur la simple conversation amicale entre parquet et siège
pendant une suspension faisait casser un procès, dans le temps d'avant les
SMS.
J'avoue que je ne m'étais jamais préoccupée des rapports entre les
procureurs et les magistrats du siège.
Sachant que le tribunal dont nous parlons est assez petit, comment
font-ils pour ne jamais se parler des affaires qu'ils ont en commun, les
autres, ceux qui ne twittent pas?
Maître Eolas raconte, à ce propos, une anecdote édifiante dans une suite
de tweets publiés hier, à l'époque où, jeune avocat en formation, il
faisait un stage au parquet.
...et il n'a pas dénoncé. Donc ce futur auxiliaire de justice a laissé
faire un forfait de justice, en toute connaissance de cause. Je ne dis pas
que c'eût été humainement possible de dénoncer, mais de là à présenter la
chose comme une constante de l'Univers pour la défense de ses potes...
Vous n'avez pas compris : il dénonçait ces collusions entre Procureur et
Président du tribunal.
Pourquoi attendre au lieu de signaler immédiatement les faits,
Pour vérifier?
Vérifier quoi?
Il n'y avait pas besoin de vérifier quoi que ce soit en apportant son
smartphone ou son IPad au président de la juridiction pour que celui-ci
constate immédiatement le problème et puisse, au besoin, intervenir
avant que le procès ne soit terminé.
Et pourquoi jeter les vrais noms en pâture au public dans son article?
Je le lis, je le crois pas. Taux de vergogne dans le sang = zéro. Vous
devriez consulter.
Consulter une voyante, sans doute, pour savoir de quoi vous parlez.
La présomption d'innocence n'existe pas pour les chroniqueurs
judiciaires?
La présomption d'innocence ne concerne que les gens mis en cause par la
justice dans une affaire.
Si vous voulez.
Parlons de secret de l'instruction, alors : comment se fait-il que j'ai
pu lire les PV d'audition de Nicolas Sarkozy "en exclusivité", dans le
même torchon ?
Signaler un délit n'est pas obligatoire, mais de là à appeler ça
délation...
Dites moi un peu, M'sieur Rouillard,
vous qui avez l'air aussi au
courant qu'un journaliste de SudOuest, quel est le délit qui a été
dénoncé?
M'sieur Rouillard :-)
J'ai lu aussi un type nommé Aubineau
et sur le fait d'avoir dénoncé cette pratique à
la hiérarchie ( devoir citoyen vs délation) mais que tous s'accordent
pour dire que ni le magistrat du siège ni la parquetier en cause ne sont
soupçonnables de "collusion" lors des audiences qu'ils ont pu assurer
ensemble.
Ah. Sauf erreur la simple conversation amicale entre parquet et siège
pendant une suspension faisait casser un procès, dans le temps d'avant les
SMS.
J'avoue que je ne m'étais jamais préoccupée des rapports entre les
procureurs et les magistrats du siège.
Sachant que le tribunal dont nous parlons est assez petit, comment
font-ils pour ne jamais se parler des affaires qu'ils ont en commun, les
autres, ceux qui ne twittent pas?
Maître Eolas raconte, à ce propos, une anecdote édifiante dans une suite
de tweets publiés hier, à l'époque où, jeune avocat en formation, il
faisait un stage au parquet.
...et il n'a pas dénoncé. Donc ce futur auxiliaire de justice a laissé
faire un forfait de justice, en toute connaissance de cause. Je ne dis pas
que c'eût été humainement possible de dénoncer, mais de là à présenter la
chose comme une constante de l'Univers pour la défense de ses potes...
Vous n'avez pas compris : il dénonçait ces collusions entre Procureur et
Président du tribunal.
Pourquoi attendre au lieu de signaler immédiatement les faits,
Pour vérifier?
Vérifier quoi?
Il n'y avait pas besoin de vérifier quoi que ce soit en apportant son
smartphone ou son IPad au président de la juridiction pour que celui-ci
constate immédiatement le problème et puisse, au besoin, intervenir
avant que le procès ne soit terminé.
Et pourquoi jeter les vrais noms en pâture au public dans son article?
Je le lis, je le crois pas. Taux de vergogne dans le sang = zéro. Vous
devriez consulter.
Consulter une voyante, sans doute, pour savoir de quoi vous parlez.
La présomption d'innocence n'existe pas pour les chroniqueurs
judiciaires?
La présomption d'innocence ne concerne que les gens mis en cause par la
justice dans une affaire.
Si vous voulez.
Parlons de secret de l'instruction, alors : comment se fait-il que j'ai
pu lire les PV d'audition de Nicolas Sarkozy "en exclusivité", dans le
même torchon ?
Signaler un délit n'est pas obligatoire, mais de là à appeler ça
délation...
Dites moi un peu, M'sieur Rouillard,
vous qui avez l'air aussi au
courant qu'un journaliste de SudOuest, quel est le délit qui a été
dénoncé?
M'sieur Rouillard :-)
J'ai lu aussi un type nommé Aubineau
et sur le fait d'avoir dénoncé cette pratique à
la hiérarchie ( devoir citoyen vs délation) mais que tous s'accordent
pour dire que ni le magistrat du siège ni la parquetier en cause ne sont
soupçonnables de "collusion" lors des audiences qu'ils ont pu assurer
ensemble.
Ah. Sauf erreur la simple conversation amicale entre parquet et siège
pendant une suspension faisait casser un procès, dans le temps d'avant les
SMS.
J'avoue que je ne m'étais jamais préoccupée des rapports entre les
procureurs et les magistrats du siège.
Sachant que le tribunal dont nous parlons est assez petit, comment
font-ils pour ne jamais se parler des affaires qu'ils ont en commun, les
autres, ceux qui ne twittent pas?
Maître Eolas raconte, à ce propos, une anecdote édifiante dans une suite
de tweets publiés hier, à l'époque où, jeune avocat en formation, il
faisait un stage au parquet.
...et il n'a pas dénoncé. Donc ce futur auxiliaire de justice a laissé
faire un forfait de justice, en toute connaissance de cause. Je ne dis pas
que c'eût été humainement possible de dénoncer, mais de là à présenter la
chose comme une constante de l'Univers pour la défense de ses potes...
Vous n'avez pas compris : il dénonçait ces collusions entre Procureur et
Président du tribunal.
Pourquoi attendre au lieu de signaler immédiatement les faits,
Pour vérifier?
Vérifier quoi?
Il n'y avait pas besoin de vérifier quoi que ce soit en apportant son
smartphone ou son IPad au président de la juridiction pour que celui-ci
constate immédiatement le problème et puisse, au besoin, intervenir
avant que le procès ne soit terminé.
Et pourquoi jeter les vrais noms en pâture au public dans son article?
Je le lis, je le crois pas. Taux de vergogne dans le sang = zéro. Vous
devriez consulter.
Consulter une voyante, sans doute, pour savoir de quoi vous parlez.
La présomption d'innocence n'existe pas pour les chroniqueurs
judiciaires?
La présomption d'innocence ne concerne que les gens mis en cause par la
justice dans une affaire.
Si vous voulez.
Parlons de secret de l'instruction, alors : comment se fait-il que j'ai
pu lire les PV d'audition de Nicolas Sarkozy "en exclusivité", dans le
même torchon ?
Signaler un délit n'est pas obligatoire, mais de là à appeler ça
délation...
Dites moi un peu, M'sieur Rouillard,
vous qui avez l'air aussi au
courant qu'un journaliste de SudOuest, quel est le délit qui a été
dénoncé?
Il y a des tas de gens qui utilisent twitter comme mailing-list, pas
pour savoir ce qui se dit dans les prétoires.
Il y a des tas de gens qui utilisent twitter comme mailing-list, pas
pour savoir ce qui se dit dans les prétoires.
Il y a des tas de gens qui utilisent twitter comme mailing-list, pas
pour savoir ce qui se dit dans les prétoires.
Le 01/12/2012 18:26, Dominique a écrit :
> M'sieur Rouillard :-)
(...)
> J'ai lu aussi un type nommé Aubineau
(...)
>>> Pourquoi attendre au lieu de signaler immédiatement les faits,
>>
>> Pour vérifier?
>
> Vérifier quoi?
L'identité supposée des pseudos. Les conséquences de sa dénonciation.
Les risques encourus. La réalité de l'anomalie. Que sais-je?
>> Je le lis, je le crois pas. Taux de vergogne dans le sang = zéro. Vous
>> devriez consulter.
>
> Consulter une voyante, sans doute, pour savoir de quoi vous parlez.
C'est bien vous qui avez réussi à caser deux patronymes, supra? Qui
n'étaient ni dans mon article, ni dans les entêtes?
Puisque vous sucez la roue d'Eolas, voyez ce qu'il en dit.
> Parlons de secret de l'instruction, alors : comment se fait-il que j'ai
> pu lire les PV d'audition de Nicolas Sarkozy "en exclusivité", dans le
> même torchon ?
Je ne vois pas très bien le rapport, mais bon, je suppose que vous
voulez faire de la fumée.
Le dossier est accessible à des tas de gens dont l'avocat de Sarkozy;
et la question du secret de l'instruction est un marronnier qui ne date
pas d'hier.
>> Signaler un délit n'est pas obligatoire, mais de là à appeler ça
>> délation...
>
> Dites moi un peu, M'sieur Rouillard,
Oui Brigitte. C'est bien mon nom. Qui n'est pas dans le From.
> vous qui avez l'air aussi au courant qu'un journaliste de SudOuest, quel
> est le délit qui a été dénoncé?
C'est vrai, il n'y a pas de qualification pénale.
Mais quoi que ce soit qui ait été dénoncé, appeler ça "délation" fait un
peu défense de popote mafieuse.
Ce n'est pas comme si la dénonciation portait sur l'absentéisme du juge
ou son utilisation abusive du téléphone de l'administration: il s'agit
d'un procès public où quelqu'un est là pour l'affaire de sa vie.
Si personne ne dénonce, c'est lui, et les parties civiles, et
accessoirement l'institution, qui seront lésés par la coterie qui parle
péjorativement de délation. Il y a un fruit positif de cette
dénonciation,
il ne s'agit pas de dénoncer un juif comme le suggère par
amalgame l'article que vous citez.
Le 01/12/2012 18:26, Dominique a écrit :
> M'sieur Rouillard :-)
(...)
> J'ai lu aussi un type nommé Aubineau
(...)
>>> Pourquoi attendre au lieu de signaler immédiatement les faits,
>>
>> Pour vérifier?
>
> Vérifier quoi?
L'identité supposée des pseudos. Les conséquences de sa dénonciation.
Les risques encourus. La réalité de l'anomalie. Que sais-je?
>> Je le lis, je le crois pas. Taux de vergogne dans le sang = zéro. Vous
>> devriez consulter.
>
> Consulter une voyante, sans doute, pour savoir de quoi vous parlez.
C'est bien vous qui avez réussi à caser deux patronymes, supra? Qui
n'étaient ni dans mon article, ni dans les entêtes?
Puisque vous sucez la roue d'Eolas, voyez ce qu'il en dit.
> Parlons de secret de l'instruction, alors : comment se fait-il que j'ai
> pu lire les PV d'audition de Nicolas Sarkozy "en exclusivité", dans le
> même torchon ?
Je ne vois pas très bien le rapport, mais bon, je suppose que vous
voulez faire de la fumée.
Le dossier est accessible à des tas de gens dont l'avocat de Sarkozy;
et la question du secret de l'instruction est un marronnier qui ne date
pas d'hier.
>> Signaler un délit n'est pas obligatoire, mais de là à appeler ça
>> délation...
>
> Dites moi un peu, M'sieur Rouillard,
Oui Brigitte. C'est bien mon nom. Qui n'est pas dans le From.
> vous qui avez l'air aussi au courant qu'un journaliste de SudOuest, quel
> est le délit qui a été dénoncé?
C'est vrai, il n'y a pas de qualification pénale.
Mais quoi que ce soit qui ait été dénoncé, appeler ça "délation" fait un
peu défense de popote mafieuse.
Ce n'est pas comme si la dénonciation portait sur l'absentéisme du juge
ou son utilisation abusive du téléphone de l'administration: il s'agit
d'un procès public où quelqu'un est là pour l'affaire de sa vie.
Si personne ne dénonce, c'est lui, et les parties civiles, et
accessoirement l'institution, qui seront lésés par la coterie qui parle
péjorativement de délation. Il y a un fruit positif de cette
dénonciation,
il ne s'agit pas de dénoncer un juif comme le suggère par
amalgame l'article que vous citez.
Le 01/12/2012 18:26, Dominique a écrit :
> M'sieur Rouillard :-)
(...)
> J'ai lu aussi un type nommé Aubineau
(...)
>>> Pourquoi attendre au lieu de signaler immédiatement les faits,
>>
>> Pour vérifier?
>
> Vérifier quoi?
L'identité supposée des pseudos. Les conséquences de sa dénonciation.
Les risques encourus. La réalité de l'anomalie. Que sais-je?
>> Je le lis, je le crois pas. Taux de vergogne dans le sang = zéro. Vous
>> devriez consulter.
>
> Consulter une voyante, sans doute, pour savoir de quoi vous parlez.
C'est bien vous qui avez réussi à caser deux patronymes, supra? Qui
n'étaient ni dans mon article, ni dans les entêtes?
Puisque vous sucez la roue d'Eolas, voyez ce qu'il en dit.
> Parlons de secret de l'instruction, alors : comment se fait-il que j'ai
> pu lire les PV d'audition de Nicolas Sarkozy "en exclusivité", dans le
> même torchon ?
Je ne vois pas très bien le rapport, mais bon, je suppose que vous
voulez faire de la fumée.
Le dossier est accessible à des tas de gens dont l'avocat de Sarkozy;
et la question du secret de l'instruction est un marronnier qui ne date
pas d'hier.
>> Signaler un délit n'est pas obligatoire, mais de là à appeler ça
>> délation...
>
> Dites moi un peu, M'sieur Rouillard,
Oui Brigitte. C'est bien mon nom. Qui n'est pas dans le From.
> vous qui avez l'air aussi au courant qu'un journaliste de SudOuest, quel
> est le délit qui a été dénoncé?
C'est vrai, il n'y a pas de qualification pénale.
Mais quoi que ce soit qui ait été dénoncé, appeler ça "délation" fait un
peu défense de popote mafieuse.
Ce n'est pas comme si la dénonciation portait sur l'absentéisme du juge
ou son utilisation abusive du téléphone de l'administration: il s'agit
d'un procès public où quelqu'un est là pour l'affaire de sa vie.
Si personne ne dénonce, c'est lui, et les parties civiles, et
accessoirement l'institution, qui seront lésés par la coterie qui parle
péjorativement de délation. Il y a un fruit positif de cette
dénonciation,
il ne s'agit pas de dénoncer un juif comme le suggère par
amalgame l'article que vous citez.
dans (in) fr.misc.droit, jr ecrivait (wrote) :
> Dominique wrote:
> > Et pourquoi jeter les vrais noms en pâture au public dans son article?
> Je le lis, je le crois pas. Taux de vergogne dans le sang = zéro. Vous
> devriez consulter.
C'est curieux, j'ai eu pile-poil la même réaction. Mais je suppose que
c'est comme pour le hors charte, c'est bon pour les autres, elle, elle
peut.
> > (1) et je salue le fait que vous êtes intervenu en signant votre
> > commentaire.
Je le lis, je le crois pas.
dans (in) fr.misc.droit, jr <jqs@froc.net> ecrivait (wrote) :
> Dominique <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> > Et pourquoi jeter les vrais noms en pâture au public dans son article?
> Je le lis, je le crois pas. Taux de vergogne dans le sang = zéro. Vous
> devriez consulter.
C'est curieux, j'ai eu pile-poil la même réaction. Mais je suppose que
c'est comme pour le hors charte, c'est bon pour les autres, elle, elle
peut.
> > (1) et je salue le fait que vous êtes intervenu en signant votre
> > commentaire.
Je le lis, je le crois pas.
dans (in) fr.misc.droit, jr ecrivait (wrote) :
> Dominique wrote:
> > Et pourquoi jeter les vrais noms en pâture au public dans son article?
> Je le lis, je le crois pas. Taux de vergogne dans le sang = zéro. Vous
> devriez consulter.
C'est curieux, j'ai eu pile-poil la même réaction. Mais je suppose que
c'est comme pour le hors charte, c'est bon pour les autres, elle, elle
peut.
> > (1) et je salue le fait que vous êtes intervenu en signant votre
> > commentaire.
Je le lis, je le crois pas.
C'est bien vous qui avez réussi à caser deux patronymes, supra? Qui
n'étaient ni dans mon article, ni dans les entêtes?
Je ne suis jamais allée dénoncer des manquements à la déontologie ou des
délits à vos patrons, il me semble.
Vous avez longtemps posté avec votre nom et même votre adresse en clair
dans votre signature
et Peio poste avec une adresse e-mail " Pierre
Aubineau",
alors la révélation de vos pseudos à la communauté usenet
n'est pas vraiment un scoop digne de l'attention des journalistes de Sud
Ouest.
Le rapport, c'est la feuille de chou qui va mal financiérement et dont
le rédacteur en chef et les journalistes semblent disposés à reproduire
toute information croustillante pourvu que ça fasse vendre.
C'est un journaliste,
(snip Inspecteur Gadget enquête sur le journaliste)Le dossier est accessible à des tas de gens dont l'avocat de Sarkozy;
Les "tas de gens" sont, officiellement, le juge d'instruction, son
greffier, le témoin assisté et son avocat, et enfin, le procureur, qui a
accès au dossier à tout moment, sur sa demande écrite.
Vous en voyez d'autres, vous?
JI et greffier sont tenus au strict respect du secret.
Sarkozy, témoin assisté et son avocat : je ne les vois pas aller donner
le PV d'audition au journaleux local, mais bon, si vous y croyez...
Reste le Procureur, le seul magistrat qui a le droit de communiquer au
public, dans certaines circonstances et selon certaines règles (je vous
laisse les chercher)
Aucune de ces personnes n'a le droit de communiquer une copie de la
pièce elle-même...
et la question du secret de l'instruction est un marronnier qui ne date
pas d'hier.
C'est vous qui le dites, que c'est un marronnier, mais vous ne pouvez
pas à la fois râler contre la "collusion" siège/parquet et traiter comme
négligeable le secret de l'instruction.
On ne peut pas vouloir d'un côté une enquête et des sanctions contre des
magistrats tweeters qui n'ont, a priori, commis aucun délit, et refuser
une enquête et des sanctions contre un délit manifestement commis
(articles 226-13 et 226-14 du Code pénal)
Notez que je ne fais que citer votre vrai nom alors que, régulièrement,
vous m'apostrophez en m'appelant "Chtarbée"
et que Padovani peut vous
poursuivre de ses "Jacques" enamourés sans que vous bronchiez le
moindrement...
Mais quoi que ce soit qui ait été dénoncé, appeler ça "délation" fait un
peu défense de popote mafieuse.
Demandez à (snip ad auditum)
MAIS, il n'a rien fait de cela, il a attendu 3 jours après la fin du
procès.
A votre avis, il a attendu quoi?
Il a attendu, àmha, que son article soit rédigé, approuvé par son
rédac'chef, prêt à être publié et là, il est allé dénoncer les
magistrats.
il ne s'agit pas de dénoncer un juif comme le suggère par
amalgame l'article que vous citez.
Mon cher monsieur jr, si des gens se livrent à la délation aussi
facilement hors période de crise,
Je ne me fais aucune illusion sur la nature humaine,
C'est bien vous qui avez réussi à caser deux patronymes, supra? Qui
n'étaient ni dans mon article, ni dans les entêtes?
Je ne suis jamais allée dénoncer des manquements à la déontologie ou des
délits à vos patrons, il me semble.
Vous avez longtemps posté avec votre nom et même votre adresse en clair
dans votre signature
et Peio poste avec une adresse e-mail " Pierre
Aubineau",
alors la révélation de vos pseudos à la communauté usenet
n'est pas vraiment un scoop digne de l'attention des journalistes de Sud
Ouest.
Le rapport, c'est la feuille de chou qui va mal financiérement et dont
le rédacteur en chef et les journalistes semblent disposés à reproduire
toute information croustillante pourvu que ça fasse vendre.
C'est un journaliste,
(snip Inspecteur Gadget enquête sur le journaliste)
Le dossier est accessible à des tas de gens dont l'avocat de Sarkozy;
Les "tas de gens" sont, officiellement, le juge d'instruction, son
greffier, le témoin assisté et son avocat, et enfin, le procureur, qui a
accès au dossier à tout moment, sur sa demande écrite.
Vous en voyez d'autres, vous?
JI et greffier sont tenus au strict respect du secret.
Sarkozy, témoin assisté et son avocat : je ne les vois pas aller donner
le PV d'audition au journaleux local, mais bon, si vous y croyez...
Reste le Procureur, le seul magistrat qui a le droit de communiquer au
public, dans certaines circonstances et selon certaines règles (je vous
laisse les chercher)
Aucune de ces personnes n'a le droit de communiquer une copie de la
pièce elle-même...
et la question du secret de l'instruction est un marronnier qui ne date
pas d'hier.
C'est vous qui le dites, que c'est un marronnier, mais vous ne pouvez
pas à la fois râler contre la "collusion" siège/parquet et traiter comme
négligeable le secret de l'instruction.
On ne peut pas vouloir d'un côté une enquête et des sanctions contre des
magistrats tweeters qui n'ont, a priori, commis aucun délit, et refuser
une enquête et des sanctions contre un délit manifestement commis
(articles 226-13 et 226-14 du Code pénal)
Notez que je ne fais que citer votre vrai nom alors que, régulièrement,
vous m'apostrophez en m'appelant "Chtarbée"
et que Padovani peut vous
poursuivre de ses "Jacques" enamourés sans que vous bronchiez le
moindrement...
Mais quoi que ce soit qui ait été dénoncé, appeler ça "délation" fait un
peu défense de popote mafieuse.
Demandez à (snip ad auditum)
MAIS, il n'a rien fait de cela, il a attendu 3 jours après la fin du
procès.
A votre avis, il a attendu quoi?
Il a attendu, àmha, que son article soit rédigé, approuvé par son
rédac'chef, prêt à être publié et là, il est allé dénoncer les
magistrats.
il ne s'agit pas de dénoncer un juif comme le suggère par
amalgame l'article que vous citez.
Mon cher monsieur jr, si des gens se livrent à la délation aussi
facilement hors période de crise,
Je ne me fais aucune illusion sur la nature humaine,
C'est bien vous qui avez réussi à caser deux patronymes, supra? Qui
n'étaient ni dans mon article, ni dans les entêtes?
Je ne suis jamais allée dénoncer des manquements à la déontologie ou des
délits à vos patrons, il me semble.
Vous avez longtemps posté avec votre nom et même votre adresse en clair
dans votre signature
et Peio poste avec une adresse e-mail " Pierre
Aubineau",
alors la révélation de vos pseudos à la communauté usenet
n'est pas vraiment un scoop digne de l'attention des journalistes de Sud
Ouest.
Le rapport, c'est la feuille de chou qui va mal financiérement et dont
le rédacteur en chef et les journalistes semblent disposés à reproduire
toute information croustillante pourvu que ça fasse vendre.
C'est un journaliste,
(snip Inspecteur Gadget enquête sur le journaliste)Le dossier est accessible à des tas de gens dont l'avocat de Sarkozy;
Les "tas de gens" sont, officiellement, le juge d'instruction, son
greffier, le témoin assisté et son avocat, et enfin, le procureur, qui a
accès au dossier à tout moment, sur sa demande écrite.
Vous en voyez d'autres, vous?
JI et greffier sont tenus au strict respect du secret.
Sarkozy, témoin assisté et son avocat : je ne les vois pas aller donner
le PV d'audition au journaleux local, mais bon, si vous y croyez...
Reste le Procureur, le seul magistrat qui a le droit de communiquer au
public, dans certaines circonstances et selon certaines règles (je vous
laisse les chercher)
Aucune de ces personnes n'a le droit de communiquer une copie de la
pièce elle-même...
et la question du secret de l'instruction est un marronnier qui ne date
pas d'hier.
C'est vous qui le dites, que c'est un marronnier, mais vous ne pouvez
pas à la fois râler contre la "collusion" siège/parquet et traiter comme
négligeable le secret de l'instruction.
On ne peut pas vouloir d'un côté une enquête et des sanctions contre des
magistrats tweeters qui n'ont, a priori, commis aucun délit, et refuser
une enquête et des sanctions contre un délit manifestement commis
(articles 226-13 et 226-14 du Code pénal)
Notez que je ne fais que citer votre vrai nom alors que, régulièrement,
vous m'apostrophez en m'appelant "Chtarbée"
et que Padovani peut vous
poursuivre de ses "Jacques" enamourés sans que vous bronchiez le
moindrement...
Mais quoi que ce soit qui ait été dénoncé, appeler ça "délation" fait un
peu défense de popote mafieuse.
Demandez à (snip ad auditum)
MAIS, il n'a rien fait de cela, il a attendu 3 jours après la fin du
procès.
A votre avis, il a attendu quoi?
Il a attendu, àmha, que son article soit rédigé, approuvé par son
rédac'chef, prêt à être publié et là, il est allé dénoncer les
magistrats.
il ne s'agit pas de dénoncer un juif comme le suggère par
amalgame l'article que vous citez.
Mon cher monsieur jr, si des gens se livrent à la délation aussi
facilement hors période de crise,
Je ne me fais aucune illusion sur la nature humaine,
Le 02/12/2012 10:24, Dominique a écrit :
> Vous avez longtemps posté avec votre nom et même votre adresse en clair
> dans votre signature
Oui, et donc? Qui êtes-vous pour trouver que j'ai tort de changer de
méthode?
> et Peio poste avec une adresse e-mail " Pierre
> Aubineau",
Et on se demande bien ce qu'il vient faire ici, sinon que vous devez
avoir votre quota de patronymes à caser dans la journée.
> alors la révélation de vos pseudos à la communauté usenet
> n'est pas vraiment un scoop digne de l'attention des journalistes de Sud
> Ouest.
C'est juste une malfaisance ordinaire.
> Le rapport, c'est la feuille de chou qui va mal financiérement et dont
> le rédacteur en chef et les journalistes semblent disposés à reproduire
> toute information croustillante pourvu que ça fasse vendre.
Publier un dossier d'instruction, parlez-moi d'un événement sordide. Le
Monde fait ça à l'année.
> C'est un journaliste,
(snip Inspecteur Gadget enquête sur le journaliste)
>> Le dossier est accessible à des tas de gens dont l'avocat de Sarkozy;
>
> Les "tas de gens" sont, officiellement, le juge d'instruction, son
> greffier, le témoin assisté et son avocat, et enfin, le procureur, qui a
> accès au dossier à tout moment, sur sa demande écrite.
> Vous en voyez d'autres, vous?
Vous avez mis par erreur le témoin, qui n'y a accès que si son avocat le
veut bien;
et vous avez oublié les avocats des mis en examen
et des parties civiles. Des tas de gens, donc.
> JI et greffier sont tenus au strict respect du secret.
> Sarkozy, témoin assisté et son avocat : je ne les vois pas aller donner
> le PV d'audition au journaleux local, mais bon, si vous y croyez...
>
> Reste le Procureur, le seul magistrat qui a le droit de communiquer au
> public, dans certaines circonstances et selon certaines règles (je vous
> laisse les chercher)
>
> Aucune de ces personnes n'a le droit de communiquer une copie de la
> pièce elle-même...
Voilà. Mais ça se fait régulièrement, donc.
>> et la question du secret de l'instruction est un marronnier qui ne date
>> pas d'hier.
>
> C'est vous qui le dites, que c'est un marronnier, mais vous ne pouvez
> pas à la fois râler contre la "collusion" siège/parquet et traiter comme
> négligeable le secret de l'instruction.
Et elle rebelote. Dans ce cas comme dans beaucoup d'autres, les avocats
répandent des rumeurs mensongères sur l'instruction dès les marches du
palais (ici l'affaire de l'orthographe de Bettencourt) en espérant que
le juge ou les autres parties vont être empêchés de répondre par
l'observance du secret; ça ne marche jamais. Mais c'est très vilain, en
effet, et il faut punir.
Il y a des pays civilisés où toute déclaration de quiconque sur tout ce
qui concerne l'affaire est prohibée. Ça a le mérite d'être clair et de
ne pas permettre le jeu des affirmations tronquées ou mensongères.
> On ne peut pas vouloir d'un côté une enquête et des sanctions contre des
> magistrats tweeters qui n'ont, a priori, commis aucun délit, et refuser
> une enquête et des sanctions contre un délit manifestement commis
> (articles 226-13 et 226-14 du Code pénal)
Je ne refuse rien, il faut les pendre. Dénoncez. Ah, on me dit dans
l'oreillette qu'il y a déjà une enquête. Vous arrivez trop tard.
Le 02/12/2012 10:24, Dominique a écrit :
> Vous avez longtemps posté avec votre nom et même votre adresse en clair
> dans votre signature
Oui, et donc? Qui êtes-vous pour trouver que j'ai tort de changer de
méthode?
> et Peio poste avec une adresse e-mail " Pierre
> Aubineau",
Et on se demande bien ce qu'il vient faire ici, sinon que vous devez
avoir votre quota de patronymes à caser dans la journée.
> alors la révélation de vos pseudos à la communauté usenet
> n'est pas vraiment un scoop digne de l'attention des journalistes de Sud
> Ouest.
C'est juste une malfaisance ordinaire.
> Le rapport, c'est la feuille de chou qui va mal financiérement et dont
> le rédacteur en chef et les journalistes semblent disposés à reproduire
> toute information croustillante pourvu que ça fasse vendre.
Publier un dossier d'instruction, parlez-moi d'un événement sordide. Le
Monde fait ça à l'année.
> C'est un journaliste,
(snip Inspecteur Gadget enquête sur le journaliste)
>> Le dossier est accessible à des tas de gens dont l'avocat de Sarkozy;
>
> Les "tas de gens" sont, officiellement, le juge d'instruction, son
> greffier, le témoin assisté et son avocat, et enfin, le procureur, qui a
> accès au dossier à tout moment, sur sa demande écrite.
> Vous en voyez d'autres, vous?
Vous avez mis par erreur le témoin, qui n'y a accès que si son avocat le
veut bien;
et vous avez oublié les avocats des mis en examen
et des parties civiles. Des tas de gens, donc.
> JI et greffier sont tenus au strict respect du secret.
> Sarkozy, témoin assisté et son avocat : je ne les vois pas aller donner
> le PV d'audition au journaleux local, mais bon, si vous y croyez...
>
> Reste le Procureur, le seul magistrat qui a le droit de communiquer au
> public, dans certaines circonstances et selon certaines règles (je vous
> laisse les chercher)
>
> Aucune de ces personnes n'a le droit de communiquer une copie de la
> pièce elle-même...
Voilà. Mais ça se fait régulièrement, donc.
>> et la question du secret de l'instruction est un marronnier qui ne date
>> pas d'hier.
>
> C'est vous qui le dites, que c'est un marronnier, mais vous ne pouvez
> pas à la fois râler contre la "collusion" siège/parquet et traiter comme
> négligeable le secret de l'instruction.
Et elle rebelote. Dans ce cas comme dans beaucoup d'autres, les avocats
répandent des rumeurs mensongères sur l'instruction dès les marches du
palais (ici l'affaire de l'orthographe de Bettencourt) en espérant que
le juge ou les autres parties vont être empêchés de répondre par
l'observance du secret; ça ne marche jamais. Mais c'est très vilain, en
effet, et il faut punir.
Il y a des pays civilisés où toute déclaration de quiconque sur tout ce
qui concerne l'affaire est prohibée. Ça a le mérite d'être clair et de
ne pas permettre le jeu des affirmations tronquées ou mensongères.
> On ne peut pas vouloir d'un côté une enquête et des sanctions contre des
> magistrats tweeters qui n'ont, a priori, commis aucun délit, et refuser
> une enquête et des sanctions contre un délit manifestement commis
> (articles 226-13 et 226-14 du Code pénal)
Je ne refuse rien, il faut les pendre. Dénoncez. Ah, on me dit dans
l'oreillette qu'il y a déjà une enquête. Vous arrivez trop tard.
Le 02/12/2012 10:24, Dominique a écrit :
> Vous avez longtemps posté avec votre nom et même votre adresse en clair
> dans votre signature
Oui, et donc? Qui êtes-vous pour trouver que j'ai tort de changer de
méthode?
> et Peio poste avec une adresse e-mail " Pierre
> Aubineau",
Et on se demande bien ce qu'il vient faire ici, sinon que vous devez
avoir votre quota de patronymes à caser dans la journée.
> alors la révélation de vos pseudos à la communauté usenet
> n'est pas vraiment un scoop digne de l'attention des journalistes de Sud
> Ouest.
C'est juste une malfaisance ordinaire.
> Le rapport, c'est la feuille de chou qui va mal financiérement et dont
> le rédacteur en chef et les journalistes semblent disposés à reproduire
> toute information croustillante pourvu que ça fasse vendre.
Publier un dossier d'instruction, parlez-moi d'un événement sordide. Le
Monde fait ça à l'année.
> C'est un journaliste,
(snip Inspecteur Gadget enquête sur le journaliste)
>> Le dossier est accessible à des tas de gens dont l'avocat de Sarkozy;
>
> Les "tas de gens" sont, officiellement, le juge d'instruction, son
> greffier, le témoin assisté et son avocat, et enfin, le procureur, qui a
> accès au dossier à tout moment, sur sa demande écrite.
> Vous en voyez d'autres, vous?
Vous avez mis par erreur le témoin, qui n'y a accès que si son avocat le
veut bien;
et vous avez oublié les avocats des mis en examen
et des parties civiles. Des tas de gens, donc.
> JI et greffier sont tenus au strict respect du secret.
> Sarkozy, témoin assisté et son avocat : je ne les vois pas aller donner
> le PV d'audition au journaleux local, mais bon, si vous y croyez...
>
> Reste le Procureur, le seul magistrat qui a le droit de communiquer au
> public, dans certaines circonstances et selon certaines règles (je vous
> laisse les chercher)
>
> Aucune de ces personnes n'a le droit de communiquer une copie de la
> pièce elle-même...
Voilà. Mais ça se fait régulièrement, donc.
>> et la question du secret de l'instruction est un marronnier qui ne date
>> pas d'hier.
>
> C'est vous qui le dites, que c'est un marronnier, mais vous ne pouvez
> pas à la fois râler contre la "collusion" siège/parquet et traiter comme
> négligeable le secret de l'instruction.
Et elle rebelote. Dans ce cas comme dans beaucoup d'autres, les avocats
répandent des rumeurs mensongères sur l'instruction dès les marches du
palais (ici l'affaire de l'orthographe de Bettencourt) en espérant que
le juge ou les autres parties vont être empêchés de répondre par
l'observance du secret; ça ne marche jamais. Mais c'est très vilain, en
effet, et il faut punir.
Il y a des pays civilisés où toute déclaration de quiconque sur tout ce
qui concerne l'affaire est prohibée. Ça a le mérite d'être clair et de
ne pas permettre le jeu des affirmations tronquées ou mensongères.
> On ne peut pas vouloir d'un côté une enquête et des sanctions contre des
> magistrats tweeters qui n'ont, a priori, commis aucun délit, et refuser
> une enquête et des sanctions contre un délit manifestement commis
> (articles 226-13 et 226-14 du Code pénal)
Je ne refuse rien, il faut les pendre. Dénoncez. Ah, on me dit dans
l'oreillette qu'il y a déjà une enquête. Vous arrivez trop tard.