Dieu existe, je L'ai rencontré !
Le
Ghost-Rider

C'est une très longue mais très belle histoire.
Mardi dernier, 4 septembre, balade à cheval à fond la caisse dans la
forêt de Marly pour remettre en forme une jument que sa proprio n'a pas
eu le temps de monter. Au retour des 12 km, la jument est en sueur et
moi, je découvre avec une indicible horreur que j'ai perdu mes lunettes
sur le trajet !
Ce matin, visite chez l'opticien : monture-de-super-grand-luxe + verres
multi-focaux dichromiques traités super-anti-rayures, devis : 608,60 ¤ !!
Remboursement sécu : 12,31 ¤.
Aââââârrrggghhh !!! Mon pauvre coeur !!!
Alors cet après-midi, je retourne dans la forêt dans le certainement
vain espoir de retrouver mes lunettes, sous le regard incrédule de ma
femme : "Jamais, tu m'entends, tu ne les retrouveras jamais !"
Mais je ne me décourage pas si facilement !
Alors je marche lentement pendant des kilomètres dans la forêt,
retraçant exactement mon trajet, le nez par terre en marmonnant des
prières à Sainte Rita.
Et là, la chance me sourit : d'abord, un couple de libellules en train
de se faire des trucs pas très catholiques en volant en l'air, la tête
de l'une collée à la queue de l'autre. Elles se posent une seconde, je
prends deux-trois photos :
http://cjoint.com/12sp/BIgvf5vJk3e.htm
Un peu plus loin, c'est un scarabée qui s'enfuit à mon approche.
J'arrive à le photographier :
http://cjoint.com/12sp/BIgvhtH43zO.htm
Bon, je n'aurai pas complètement perdu mon temps, mais pas de lunettes
en vue.
Au bout du trajet, toujours rien, je colle une affiche sur un arbre :
"perdu lunettes, forte récompense", mais je dois rebrousser chemin,
le c½ur serré : mes chères lunettes, à jamais enfuies !
Et alors que je refais tristement le trajet du retour, brusquement, je
les vois là, par terre dans la boue, à demi recouvertes de feuilles :
Mes lunettes !
Elles sont vivantes, pas cassées, juste un peu salies, je ne les ai pas
vues à l'aller mais Dieu dans son infini bonté, devant l'émerveillement
que j'ai manifesté devant ses créatures, a décidé de faire un geste pour
moi.. Alors je serre mes lunettes dans mes bras au risque de les
étouffer et je téléphone triomphalement à ma femme.
Et après ça, il y en aura encore qui ne croiront pas en Dieu !
Mardi dernier, 4 septembre, balade à cheval à fond la caisse dans la
forêt de Marly pour remettre en forme une jument que sa proprio n'a pas
eu le temps de monter. Au retour des 12 km, la jument est en sueur et
moi, je découvre avec une indicible horreur que j'ai perdu mes lunettes
sur le trajet !
Ce matin, visite chez l'opticien : monture-de-super-grand-luxe + verres
multi-focaux dichromiques traités super-anti-rayures, devis : 608,60 ¤ !!
Remboursement sécu : 12,31 ¤.
Aââââârrrggghhh !!! Mon pauvre coeur !!!
Alors cet après-midi, je retourne dans la forêt dans le certainement
vain espoir de retrouver mes lunettes, sous le regard incrédule de ma
femme : "Jamais, tu m'entends, tu ne les retrouveras jamais !"
Mais je ne me décourage pas si facilement !
Alors je marche lentement pendant des kilomètres dans la forêt,
retraçant exactement mon trajet, le nez par terre en marmonnant des
prières à Sainte Rita.
Et là, la chance me sourit : d'abord, un couple de libellules en train
de se faire des trucs pas très catholiques en volant en l'air, la tête
de l'une collée à la queue de l'autre. Elles se posent une seconde, je
prends deux-trois photos :
http://cjoint.com/12sp/BIgvf5vJk3e.htm
Un peu plus loin, c'est un scarabée qui s'enfuit à mon approche.
J'arrive à le photographier :
http://cjoint.com/12sp/BIgvhtH43zO.htm
Bon, je n'aurai pas complètement perdu mon temps, mais pas de lunettes
en vue.
Au bout du trajet, toujours rien, je colle une affiche sur un arbre :
"perdu lunettes, forte récompense", mais je dois rebrousser chemin,
le c½ur serré : mes chères lunettes, à jamais enfuies !
Et alors que je refais tristement le trajet du retour, brusquement, je
les vois là, par terre dans la boue, à demi recouvertes de feuilles :
Mes lunettes !
Elles sont vivantes, pas cassées, juste un peu salies, je ne les ai pas
vues à l'aller mais Dieu dans son infini bonté, devant l'émerveillement
que j'ai manifesté devant ses créatures, a décidé de faire un geste pour
moi.. Alors je serre mes lunettes dans mes bras au risque de les
étouffer et je téléphone triomphalement à ma femme.
Et après ça, il y en aura encore qui ne croiront pas en Dieu !
Très belle histoire, mais si selon toi, c'est la volonté de Dieu qui
t'as permis de les retrouver, quel en sera sa récompense, à combien de
"notre père" ou sinon dans une urne dans la première église venue.
Car chose promise, chose due.
tu t'es fait une petite récompense en rentant à la maison ?
et tout cas je suis super content pour toi, même si tes photos de bêbettes me
gavent toujours autant.
Ben 609 € ! ! !
ha-ha-ha !
te voilà démasqué, dans
news:k1krgf$ao0$
tu affirme "Enfin monter... avec des lunettes est une ineptie."
(j'ai oublié "en compétition" mais on fera comme si non, parce que
compète ne compte pas c'est connu)
Et là que constate-je, qu'ouis-je, qu'acoustiquais-je ?
Tu montes toi même avec des lunettes !!!!!
alors là je m'étonne, m'insurge, suis pris de spasmes tonitruants à la
lecture de cette ineptie équinesque.
honte à toi, la prochaine fois que je monte à Paris je ferais les
abors à la recherche de cavaliers opticiens, et je ne manquerais pas
de publier ici une photo qui fera grand bruit, qu'on se le dise !
--
pas de turlututu. apres l'@robase
Oui, on voit bien que tu avais perdu tes lunettes... Pas top ces photos
par rapport à tes dernières productions...
--
François.
allah w akhbar
viens prendre aussi une bière à la maison !
Volontier, on poura se donner rdv au lutecia dans le 15eme, à coups de
pintes uniquement !
--
pas de turlututu. apres l'@robase
hummmmmm
voilà donc le "dieu" dont tu parles, ta femme devant laquelle il
fallait à tout prix que tu prouve que les lunette n'étaient pas
perduent, bien avant dieux qui, lui même, savait ou tu les avais
perdu!
--
pas de turlututu. apres l'@robase
Mais non...
Qu'il est bête !
Excusez-moi M'sieurs-Dames, ça m'a échappé.
Si j'avais eu mes lunettes sur mon nez, je me serais aperçu de leur
chute, évidemment.
Là elle étaient dans ma poche, et avec les secousses de mon destrier au
grand galop, volant de bosses en creux, elles en sont tombées.
Voilà, tu as compris maintenant ?