Dominique de Corse wrote:
> jr wrote:
>
>> Dominique de Corse wrote:
>>> jr wrote:
>>>
>>>> Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:
>>>>> jr a écrit:
>>>>>
>>>>>> Je vous
>>>>>> rappelle que l'essentiel de la population de l'X sont des mâles blancs
>>>>>> bourgeois parisiens.
>>>>>
>>>>> La province n'a qu'à bosser. Par ailleurs, les élèves du quartier latin
>>>>> et de Ginette sont très loin d'être tous parisiens, ça y vient du monde
>>>>> entier.
>>>>
>>>> http://www.ecoleprovence.fr/Ces-lycees-qui-monopolisent-la.html
>>>
>>> Le concurrent direct en maths (et copain) de mon fils au lycée de
>>> Sartène sait depuis déjà deux ans qu'il va faire une classe prépa à
>>> Louis-le-Grand.
>>> Pourquoi lui et pas mon fils?
>>> Parce que moi, sa mère, je ne connais personne de bien placé dans ce
>>> milieu et je n'ai pas de famille vivant à Paris...
>>
>> Bah, c'est sur dossier. Et vaut mieux avoir une très bonne première voire
>> une très bonne seconde, ce n'est pas au premier trimestre de la terminale
>> que ça se joue.
>
> Ils sont tous deux dans les 5 premiers de chaque classe depuis la 6ème
> :-)
Il n'y a pas de place pour 5 premiers, vous savez,...
Vaut mieux être le
premier dans un lycée connu. C'est d'ailleurs le traumatisme classique de
ces classes où des gosses qui on toujours été largement premiers se
retrouvent en peloton.
>> Après il vaut mieux être interne qu'en famille.
>
> Ça dépend.
> Souvent, la famille ne fait pas payer l'hébergement ou de façon minime.
> C'est combien l'internat à Louis-le-Grand quand on ne peut pas avoir de
> bourse?
Je le trouve en 2 mn alors que je suis dans le train,
vous devriez y arriver: 2000/an.
>> C'est un excellent exemple de cercle vicieux construit sur des lois en
>> principe égalitaires: les meilleurs élèves veulent Ginette & cie, donc les
>> résultats y sont excellents, les profs hyper-surveillés et les élèves
>> hyper-cornaqués pour cause de concurrences des statistiques. Pour les
>> lycées publics les postes de profs sont très demandés et très sélectionnés
>> en douce (inutile de croire qu'il suffit d'avoir les points pour y être
>> muté comme c'est en principe la règle).
>>
>> Donc...les meilleurs élèves veulent y aller, goto 10. Et on voit que ça ne
>> s'arrange pas.
>
> En principe la carte scolaire est censée empêcher ce phénomène, au moins
> dans les collèges et lycées publics jusqu'à la Terminale mais les
> dérogations sont tellement simples à obtenir.
Moi qui habite à côté du lycée Thiers, j'ai déjà été sollicité deux fois
par des collègues pour faire un hébergement fictif.
Cela dit à Marseille je
serais plutôt pour un système de busing.
> Des Mozart, il s'en assassine tous les jours, dans l'indifférence la
> plus totale.
> Ce qui serait efficace c'est de choisir d'autres critères que la
> réussite scolaire ou le milieu social d'origine pour le recrutement des
> élites.
J'aime autant qu'ils sachent lire et ecrire.
> Moi, je verrais bien un tirage au sort.
Au berceau, et on les nourrit à la gelée royale:)
Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> jr <jqs@froc.net> wrote:
>
>> Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> wrote:
>>> jr <jqs@froc.net> wrote:
>>>
>>>> Khat Tsang Huit Phe Zho <nestor@pingouins.gouv> wrote:
>>>>> jr a écrit:
>>>>>
>>>>>> Je vous
>>>>>> rappelle que l'essentiel de la population de l'X sont des mâles blancs
>>>>>> bourgeois parisiens.
>>>>>
>>>>> La province n'a qu'à bosser. Par ailleurs, les élèves du quartier latin
>>>>> et de Ginette sont très loin d'être tous parisiens, ça y vient du monde
>>>>> entier.
>>>>
>>>> http://www.ecoleprovence.fr/Ces-lycees-qui-monopolisent-la.html
>>>
>>> Le concurrent direct en maths (et copain) de mon fils au lycée de
>>> Sartène sait depuis déjà deux ans qu'il va faire une classe prépa à
>>> Louis-le-Grand.
>>> Pourquoi lui et pas mon fils?
>>> Parce que moi, sa mère, je ne connais personne de bien placé dans ce
>>> milieu et je n'ai pas de famille vivant à Paris...
>>
>> Bah, c'est sur dossier. Et vaut mieux avoir une très bonne première voire
>> une très bonne seconde, ce n'est pas au premier trimestre de la terminale
>> que ça se joue.
>
> Ils sont tous deux dans les 5 premiers de chaque classe depuis la 6ème
> :-)
Il n'y a pas de place pour 5 premiers, vous savez,...
Vaut mieux être le
premier dans un lycée connu. C'est d'ailleurs le traumatisme classique de
ces classes où des gosses qui on toujours été largement premiers se
retrouvent en peloton.
>> Après il vaut mieux être interne qu'en famille.
>
> Ça dépend.
> Souvent, la famille ne fait pas payer l'hébergement ou de façon minime.
> C'est combien l'internat à Louis-le-Grand quand on ne peut pas avoir de
> bourse?
Je le trouve en 2 mn alors que je suis dans le train,
vous devriez y arriver: 2000/an.
>> C'est un excellent exemple de cercle vicieux construit sur des lois en
>> principe égalitaires: les meilleurs élèves veulent Ginette & cie, donc les
>> résultats y sont excellents, les profs hyper-surveillés et les élèves
>> hyper-cornaqués pour cause de concurrences des statistiques. Pour les
>> lycées publics les postes de profs sont très demandés et très sélectionnés
>> en douce (inutile de croire qu'il suffit d'avoir les points pour y être
>> muté comme c'est en principe la règle).
>>
>> Donc...les meilleurs élèves veulent y aller, goto 10. Et on voit que ça ne
>> s'arrange pas.
>
> En principe la carte scolaire est censée empêcher ce phénomène, au moins
> dans les collèges et lycées publics jusqu'à la Terminale mais les
> dérogations sont tellement simples à obtenir.
Moi qui habite à côté du lycée Thiers, j'ai déjà été sollicité deux fois
par des collègues pour faire un hébergement fictif.
Cela dit à Marseille je
serais plutôt pour un système de busing.
> Des Mozart, il s'en assassine tous les jours, dans l'indifférence la
> plus totale.
> Ce qui serait efficace c'est de choisir d'autres critères que la
> réussite scolaire ou le milieu social d'origine pour le recrutement des
> élites.
J'aime autant qu'ils sachent lire et ecrire.
> Moi, je verrais bien un tirage au sort.
Au berceau, et on les nourrit à la gelée royale:)
Dominique de Corse wrote:
> jr wrote:
>
>> Dominique de Corse wrote:
>>> jr wrote:
>>>
>>>> Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:
>>>>> jr a écrit:
>>>>>
>>>>>> Je vous
>>>>>> rappelle que l'essentiel de la population de l'X sont des mâles blancs
>>>>>> bourgeois parisiens.
>>>>>
>>>>> La province n'a qu'à bosser. Par ailleurs, les élèves du quartier latin
>>>>> et de Ginette sont très loin d'être tous parisiens, ça y vient du monde
>>>>> entier.
>>>>
>>>> http://www.ecoleprovence.fr/Ces-lycees-qui-monopolisent-la.html
>>>
>>> Le concurrent direct en maths (et copain) de mon fils au lycée de
>>> Sartène sait depuis déjà deux ans qu'il va faire une classe prépa à
>>> Louis-le-Grand.
>>> Pourquoi lui et pas mon fils?
>>> Parce que moi, sa mère, je ne connais personne de bien placé dans ce
>>> milieu et je n'ai pas de famille vivant à Paris...
>>
>> Bah, c'est sur dossier. Et vaut mieux avoir une très bonne première voire
>> une très bonne seconde, ce n'est pas au premier trimestre de la terminale
>> que ça se joue.
>
> Ils sont tous deux dans les 5 premiers de chaque classe depuis la 6ème
> :-)
Il n'y a pas de place pour 5 premiers, vous savez,...
Vaut mieux être le
premier dans un lycée connu. C'est d'ailleurs le traumatisme classique de
ces classes où des gosses qui on toujours été largement premiers se
retrouvent en peloton.
>> Après il vaut mieux être interne qu'en famille.
>
> Ça dépend.
> Souvent, la famille ne fait pas payer l'hébergement ou de façon minime.
> C'est combien l'internat à Louis-le-Grand quand on ne peut pas avoir de
> bourse?
Je le trouve en 2 mn alors que je suis dans le train,
vous devriez y arriver: 2000/an.
>> C'est un excellent exemple de cercle vicieux construit sur des lois en
>> principe égalitaires: les meilleurs élèves veulent Ginette & cie, donc les
>> résultats y sont excellents, les profs hyper-surveillés et les élèves
>> hyper-cornaqués pour cause de concurrences des statistiques. Pour les
>> lycées publics les postes de profs sont très demandés et très sélectionnés
>> en douce (inutile de croire qu'il suffit d'avoir les points pour y être
>> muté comme c'est en principe la règle).
>>
>> Donc...les meilleurs élèves veulent y aller, goto 10. Et on voit que ça ne
>> s'arrange pas.
>
> En principe la carte scolaire est censée empêcher ce phénomène, au moins
> dans les collèges et lycées publics jusqu'à la Terminale mais les
> dérogations sont tellement simples à obtenir.
Moi qui habite à côté du lycée Thiers, j'ai déjà été sollicité deux fois
par des collègues pour faire un hébergement fictif.
Cela dit à Marseille je
serais plutôt pour un système de busing.
> Des Mozart, il s'en assassine tous les jours, dans l'indifférence la
> plus totale.
> Ce qui serait efficace c'est de choisir d'autres critères que la
> réussite scolaire ou le milieu social d'origine pour le recrutement des
> élites.
J'aime autant qu'ils sachent lire et ecrire.
> Moi, je verrais bien un tirage au sort.
Au berceau, et on les nourrit à la gelée royale:)
jr wrote:La discrimination dite positive entre dans le champ général des choix
entre plusieurs mauvaises solutions, quand ne rien faire fait partie des
mauvaises solutions.
Au cas précis, je vois juste dans ces bourses réservées aux filles une
prime à la médiocrité.
Si, au plan des résultats scolaires et universitaires la meilleure des
filles n'arrive pas à hauteur du pire des garçons, on va quand même lui
donner de l'argent pour qu'elle continue dans la voie de l'informatique?
Et elle va peut-être choisir cette voie sans réelle envie, juste parce
qu'il y a une bourse à la clef.
Quitte à ce qu'elle en sorte avec un diplôme obtenu à ras de la moyenne,
ce qui ne lui donnera pas plus de chances d'être embauchée par un patron
cherchant l'excellence.
C'est juste du gaspillage, surtout si, dans le même temps, il y a un
garçon plus brillant qui n'a pas droit aux bourses mais doit travailler
pour payer ses études.
jr <jqs@froc.net> wrote:
La discrimination dite positive entre dans le champ général des choix
entre plusieurs mauvaises solutions, quand ne rien faire fait partie des
mauvaises solutions.
Au cas précis, je vois juste dans ces bourses réservées aux filles une
prime à la médiocrité.
Si, au plan des résultats scolaires et universitaires la meilleure des
filles n'arrive pas à hauteur du pire des garçons, on va quand même lui
donner de l'argent pour qu'elle continue dans la voie de l'informatique?
Et elle va peut-être choisir cette voie sans réelle envie, juste parce
qu'il y a une bourse à la clef.
Quitte à ce qu'elle en sorte avec un diplôme obtenu à ras de la moyenne,
ce qui ne lui donnera pas plus de chances d'être embauchée par un patron
cherchant l'excellence.
C'est juste du gaspillage, surtout si, dans le même temps, il y a un
garçon plus brillant qui n'a pas droit aux bourses mais doit travailler
pour payer ses études.
jr wrote:La discrimination dite positive entre dans le champ général des choix
entre plusieurs mauvaises solutions, quand ne rien faire fait partie des
mauvaises solutions.
Au cas précis, je vois juste dans ces bourses réservées aux filles une
prime à la médiocrité.
Si, au plan des résultats scolaires et universitaires la meilleure des
filles n'arrive pas à hauteur du pire des garçons, on va quand même lui
donner de l'argent pour qu'elle continue dans la voie de l'informatique?
Et elle va peut-être choisir cette voie sans réelle envie, juste parce
qu'il y a une bourse à la clef.
Quitte à ce qu'elle en sorte avec un diplôme obtenu à ras de la moyenne,
ce qui ne lui donnera pas plus de chances d'être embauchée par un patron
cherchant l'excellence.
C'est juste du gaspillage, surtout si, dans le même temps, il y a un
garçon plus brillant qui n'a pas droit aux bourses mais doit travailler
pour payer ses études.
"Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
<http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discriminations_594239>
"Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
<http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discriminations_594239>
"Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
<http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discriminations_594239>
Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:Dominique de Corse a écrit:"le respect dû à la liberté de manifestation...
... ne fait pas obstacle à ce que
l'autorité investie du pouvoir de police interdise une activité si une
telle mesure est seule de nature à prévenir un trouble à l'ordre public.
Oui, en français ça se dit : "le préfet de police, toujours franc-mac
depuis 1801, garde tout son droit à l'arbitraire".
Dites, j'ai une question à vous poser depuis pas mal de temps que je
vous lis :
les francs-maçons, vous les reconnaissez à l'odeur, à la forme du nez ou
à une couleur d'yeux, de peau et de cheveux particulière?
Parce que ça m'a toujours fascinée, _les gens comme vous_, qui
connaissent tout des opinions politiques, de l'appartenance ou non à une
association ou à une religion, des options philosophiques ou des
préférences sexuelles d'une personne qui n'a jamais révélé tout ça en
public et que vous n'avez parfois jamais rencontrée de toute votre vie.
Vous faites comment?
Ont-ils une couleur ou une odeur particulière, un stigmate visible
seulement des _gens comme vous_, qui fait que vous ne vous trompez
jamais quand vous désignez un franc-mac, un arabe, un juif, un musulman,
un athée ou un homosexuel d'un doigt accusateur?
Khat Tsang Huit Phe Zho <nestor@pingouins.gouv> wrote:
Dominique de Corse a écrit:
"le respect dû à la liberté de manifestation...
... ne fait pas obstacle à ce que
l'autorité investie du pouvoir de police interdise une activité si une
telle mesure est seule de nature à prévenir un trouble à l'ordre public.
Oui, en français ça se dit : "le préfet de police, toujours franc-mac
depuis 1801, garde tout son droit à l'arbitraire".
Dites, j'ai une question à vous poser depuis pas mal de temps que je
vous lis :
les francs-maçons, vous les reconnaissez à l'odeur, à la forme du nez ou
à une couleur d'yeux, de peau et de cheveux particulière?
Parce que ça m'a toujours fascinée, _les gens comme vous_, qui
connaissent tout des opinions politiques, de l'appartenance ou non à une
association ou à une religion, des options philosophiques ou des
préférences sexuelles d'une personne qui n'a jamais révélé tout ça en
public et que vous n'avez parfois jamais rencontrée de toute votre vie.
Vous faites comment?
Ont-ils une couleur ou une odeur particulière, un stigmate visible
seulement des _gens comme vous_, qui fait que vous ne vous trompez
jamais quand vous désignez un franc-mac, un arabe, un juif, un musulman,
un athée ou un homosexuel d'un doigt accusateur?
Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:Dominique de Corse a écrit:"le respect dû à la liberté de manifestation...
... ne fait pas obstacle à ce que
l'autorité investie du pouvoir de police interdise une activité si une
telle mesure est seule de nature à prévenir un trouble à l'ordre public.
Oui, en français ça se dit : "le préfet de police, toujours franc-mac
depuis 1801, garde tout son droit à l'arbitraire".
Dites, j'ai une question à vous poser depuis pas mal de temps que je
vous lis :
les francs-maçons, vous les reconnaissez à l'odeur, à la forme du nez ou
à une couleur d'yeux, de peau et de cheveux particulière?
Parce que ça m'a toujours fascinée, _les gens comme vous_, qui
connaissent tout des opinions politiques, de l'appartenance ou non à une
association ou à une religion, des options philosophiques ou des
préférences sexuelles d'une personne qui n'a jamais révélé tout ça en
public et que vous n'avez parfois jamais rencontrée de toute votre vie.
Vous faites comment?
Ont-ils une couleur ou une odeur particulière, un stigmate visible
seulement des _gens comme vous_, qui fait que vous ne vous trompez
jamais quand vous désignez un franc-mac, un arabe, un juif, un musulman,
un athée ou un homosexuel d'un doigt accusateur?
Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:Dominique de Corse a écrit:jr wrote:De mon temps c'était assez simple: pas ou peu d'internat filles en prépa.
Pas chez moi en tous cas. Oh certes elles étaient gérées, pardon, elle
était gérée par le Crous en cité, mais n'avait pas ces soirées de boulot
entre potaches qui peuvent débloquer dans tous les sens du terme.
Je ne connais pas les pratiques en prépa :-)
A Paris, foyer des lycéennes rue du Docteur-Blanche, XVIe, et autres
foyers privés dans le quartier latin.
Vous imaginez ces dispositions à Hogwarts?
Hermione logée à Hogmeade et non dans la tour des Gryffindor?
Khat Tsang Huit Phe Zho <nestor@pingouins.gouv> wrote:
Dominique de Corse a écrit:
jr <jqs@froc.net> wrote:
De mon temps c'était assez simple: pas ou peu d'internat filles en prépa.
Pas chez moi en tous cas. Oh certes elles étaient gérées, pardon, elle
était gérée par le Crous en cité, mais n'avait pas ces soirées de boulot
entre potaches qui peuvent débloquer dans tous les sens du terme.
Je ne connais pas les pratiques en prépa :-)
A Paris, foyer des lycéennes rue du Docteur-Blanche, XVIe, et autres
foyers privés dans le quartier latin.
Vous imaginez ces dispositions à Hogwarts?
Hermione logée à Hogmeade et non dans la tour des Gryffindor?
Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:Dominique de Corse a écrit:jr wrote:De mon temps c'était assez simple: pas ou peu d'internat filles en prépa.
Pas chez moi en tous cas. Oh certes elles étaient gérées, pardon, elle
était gérée par le Crous en cité, mais n'avait pas ces soirées de boulot
entre potaches qui peuvent débloquer dans tous les sens du terme.
Je ne connais pas les pratiques en prépa :-)
A Paris, foyer des lycéennes rue du Docteur-Blanche, XVIe, et autres
foyers privés dans le quartier latin.
Vous imaginez ces dispositions à Hogwarts?
Hermione logée à Hogmeade et non dans la tour des Gryffindor?
jr wrote:Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:jr a écrit:Je vous
rappelle que l'essentiel de la population de l'X sont des mâles blancs
bourgeois parisiens.
La province n'a qu'à bosser. Par ailleurs, les élèves du quartier latin
et de Ginette sont très loin d'être tous parisiens, ça y vient du monde
entier.
http://www.ecoleprovence.fr/Ces-lycees-qui-monopolisent-la.html
Le concurrent direct en maths (et copain) de mon fils au lycée de
Sartène sait depuis déjà deux ans qu'il va faire une classe prépa à
Louis-le-Grand.
Pourquoi lui et pas mon fils?
Parce que moi, sa mère, je ne connais personne de bien placé dans ce
milieu et je n'ai pas de famille vivant à Paris...
Ce con de Bourdieu n'avait pas tort sur la reproduction des élites.
jr <jqs@froc.net> wrote:
Khat Tsang Huit Phe Zho <nestor@pingouins.gouv> wrote:
jr a écrit:
Je vous
rappelle que l'essentiel de la population de l'X sont des mâles blancs
bourgeois parisiens.
La province n'a qu'à bosser. Par ailleurs, les élèves du quartier latin
et de Ginette sont très loin d'être tous parisiens, ça y vient du monde
entier.
http://www.ecoleprovence.fr/Ces-lycees-qui-monopolisent-la.html
Le concurrent direct en maths (et copain) de mon fils au lycée de
Sartène sait depuis déjà deux ans qu'il va faire une classe prépa à
Louis-le-Grand.
Pourquoi lui et pas mon fils?
Parce que moi, sa mère, je ne connais personne de bien placé dans ce
milieu et je n'ai pas de famille vivant à Paris...
Ce con de Bourdieu n'avait pas tort sur la reproduction des élites.
jr wrote:Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:jr a écrit:Je vous
rappelle que l'essentiel de la population de l'X sont des mâles blancs
bourgeois parisiens.
La province n'a qu'à bosser. Par ailleurs, les élèves du quartier latin
et de Ginette sont très loin d'être tous parisiens, ça y vient du monde
entier.
http://www.ecoleprovence.fr/Ces-lycees-qui-monopolisent-la.html
Le concurrent direct en maths (et copain) de mon fils au lycée de
Sartène sait depuis déjà deux ans qu'il va faire une classe prépa à
Louis-le-Grand.
Pourquoi lui et pas mon fils?
Parce que moi, sa mère, je ne connais personne de bien placé dans ce
milieu et je n'ai pas de famille vivant à Paris...
Ce con de Bourdieu n'avait pas tort sur la reproduction des élites.
Dominique de Corse avait soumis l'idée :
> "Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
> milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
> modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
> que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
> bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
> place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
> pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
>
>
><http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
>nations_594239>
"En effet..." lol
Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
conséquence.
De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
les filles que pour les garçons.
il y a beaucoup moins de reçues que de reçues
pour accéder aux prépas
scientifiques, et c'est encore plus vrai après les concours.
Pour les autres prépas, c'est à vérifier. Mais que ce journaleux n'ait
même pas idée de vérifier une autre hypothèse que celle de son dogme en
dit long sur la bêtise de ces milieux.
Dominique de Corse avait soumis l'idée :
> "Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
> milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
> modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
> que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
> bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
> place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
> pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
>
>
><http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
>nations_594239>
"En effet..." lol
Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
conséquence.
De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
les filles que pour les garçons.
il y a beaucoup moins de reçues que de reçues
pour accéder aux prépas
scientifiques, et c'est encore plus vrai après les concours.
Pour les autres prépas, c'est à vérifier. Mais que ce journaleux n'ait
même pas idée de vérifier une autre hypothèse que celle de son dogme en
dit long sur la bêtise de ces milieux.
Dominique de Corse avait soumis l'idée :
> "Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
> milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
> modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
> que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
> bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
> place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
> pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
>
>
><http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
>nations_594239>
"En effet..." lol
Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
conséquence.
De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
les filles que pour les garçons.
il y a beaucoup moins de reçues que de reçues
pour accéder aux prépas
scientifiques, et c'est encore plus vrai après les concours.
Pour les autres prépas, c'est à vérifier. Mais que ce journaleux n'ait
même pas idée de vérifier une autre hypothèse que celle de son dogme en
dit long sur la bêtise de ces milieux.
Thomas wrote:Dominique de Corse avait soumis l'idée :"Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
<http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
nations_594239>
"En effet..." lol
Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
conséquence.
De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
les filles que pour les garçons.
Et pourquoi donc?
Premier exemple : au lycée que fréquente mon fils, il y a des chambres
d'internat, non sexuées.
S'il y a plus de filles que de garçons internes une année et l'inverse
l'année suivante, il n'y a aucun problème.
Les seuls problèmes qu'il peut y avoir, c'est si, une année, il y a trop
de demandes par rapport au nombre total de chambres disponibles.
Dans ce cas, la priorité d'attribution se fera sur divers critères
(distance domicile/lycée, possibilité d'aller dans un autre
établissement, autre possibilité d'hébergement, critères sociaux...) et
le seul cas où on examinera la question du sexe c'est s'il ne reste
qu'un lit dans une chambre à plusieurs.
Et encore, il y a toujours possibilité de transférer un lit d'une
chambre à une autre.
Autre exemple : il ne m'est jamais arrivé en allant à l'hôtel de tomber
sur un hôtelier qui me dise : "Désolée madame, nous n'avons plus de
chambres disponibles pour femmes, il n'y en a plus que pour les hommes.
Il faut dire aussi que nous n'avons que 34 chambres pour femmes alors
que nous en avons 60 pour hommes. A notre décharge, nous ne nous
attendions pas à voir plus de 34 femmes souhaiter venir dans notre
hôtel".
Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
Comment expliquez vous ce mystère?
Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
Dominique de Corse avait soumis l'idée :
"Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
<http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
nations_594239>
"En effet..." lol
Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
conséquence.
De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
les filles que pour les garçons.
Et pourquoi donc?
Premier exemple : au lycée que fréquente mon fils, il y a des chambres
d'internat, non sexuées.
S'il y a plus de filles que de garçons internes une année et l'inverse
l'année suivante, il n'y a aucun problème.
Les seuls problèmes qu'il peut y avoir, c'est si, une année, il y a trop
de demandes par rapport au nombre total de chambres disponibles.
Dans ce cas, la priorité d'attribution se fera sur divers critères
(distance domicile/lycée, possibilité d'aller dans un autre
établissement, autre possibilité d'hébergement, critères sociaux...) et
le seul cas où on examinera la question du sexe c'est s'il ne reste
qu'un lit dans une chambre à plusieurs.
Et encore, il y a toujours possibilité de transférer un lit d'une
chambre à une autre.
Autre exemple : il ne m'est jamais arrivé en allant à l'hôtel de tomber
sur un hôtelier qui me dise : "Désolée madame, nous n'avons plus de
chambres disponibles pour femmes, il n'y en a plus que pour les hommes.
Il faut dire aussi que nous n'avons que 34 chambres pour femmes alors
que nous en avons 60 pour hommes. A notre décharge, nous ne nous
attendions pas à voir plus de 34 femmes souhaiter venir dans notre
hôtel".
Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
Comment expliquez vous ce mystère?
Thomas wrote:Dominique de Corse avait soumis l'idée :"Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
<http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
nations_594239>
"En effet..." lol
Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
conséquence.
De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
les filles que pour les garçons.
Et pourquoi donc?
Premier exemple : au lycée que fréquente mon fils, il y a des chambres
d'internat, non sexuées.
S'il y a plus de filles que de garçons internes une année et l'inverse
l'année suivante, il n'y a aucun problème.
Les seuls problèmes qu'il peut y avoir, c'est si, une année, il y a trop
de demandes par rapport au nombre total de chambres disponibles.
Dans ce cas, la priorité d'attribution se fera sur divers critères
(distance domicile/lycée, possibilité d'aller dans un autre
établissement, autre possibilité d'hébergement, critères sociaux...) et
le seul cas où on examinera la question du sexe c'est s'il ne reste
qu'un lit dans une chambre à plusieurs.
Et encore, il y a toujours possibilité de transférer un lit d'une
chambre à une autre.
Autre exemple : il ne m'est jamais arrivé en allant à l'hôtel de tomber
sur un hôtelier qui me dise : "Désolée madame, nous n'avons plus de
chambres disponibles pour femmes, il n'y en a plus que pour les hommes.
Il faut dire aussi que nous n'avons que 34 chambres pour femmes alors
que nous en avons 60 pour hommes. A notre décharge, nous ne nous
attendions pas à voir plus de 34 femmes souhaiter venir dans notre
hôtel".
Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
Comment expliquez vous ce mystère?
Thomas wrote:Dominique de Corse avait soumis l'idée :"Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
<http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
nations_594239>
"En effet..." lol
Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
conséquence.
De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
les filles que pour les garçons.
Et pourquoi donc?
Premier exemple : au lycée que fréquente mon fils, il y a des chambres
d'internat, non sexuées.
S'il y a plus de filles que de garçons internes une année et l'inverse
l'année suivante, il n'y a aucun problème.
Les seuls problèmes qu'il peut y avoir, c'est si, une année, il y a trop
de demandes par rapport au nombre total de chambres disponibles.
Dans ce cas, la priorité d'attribution se fera sur divers critères
(distance domicile/lycée, possibilité d'aller dans un autre
établissement, autre possibilité d'hébergement, critères sociaux...) et
le seul cas où on examinera la question du sexe c'est s'il ne reste
qu'un lit dans une chambre à plusieurs.
Et encore, il y a toujours possibilité de transférer un lit d'une
chambre à une autre.
Autre exemple : il ne m'est jamais arrivé en allant à l'hôtel de tomber
sur un hôtelier qui me dise : "Désolée madame, nous n'avons plus de
chambres disponibles pour femmes, il n'y en a plus que pour les hommes.
Il faut dire aussi que nous n'avons que 34 chambres pour femmes alors
que nous en avons 60 pour hommes. A notre décharge, nous ne nous
attendions pas à voir plus de 34 femmes souhaiter venir dans notre
hôtel".
Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
Comment expliquez vous ce mystère?
il y a beaucoup moins de reçues que de reçues
Calmez vous.pour accéder aux prépas
scientifiques, et c'est encore plus vrai après les concours.
On s'en branle du nombre de reçues.
Pour les autres prépas, c'est à vérifier. Mais que ce journaleux n'ait
même pas idée de vérifier une autre hypothèse que celle de son dogme en
dit long sur la bêtise de ces milieux.
Vous même partez du principe que c'est normal, en fonction de votre
propre dogme.
Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
Dominique de Corse avait soumis l'idée :
"Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
<http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
nations_594239>
"En effet..." lol
Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
conséquence.
De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
les filles que pour les garçons.
Et pourquoi donc?
Premier exemple : au lycée que fréquente mon fils, il y a des chambres
d'internat, non sexuées.
S'il y a plus de filles que de garçons internes une année et l'inverse
l'année suivante, il n'y a aucun problème.
Les seuls problèmes qu'il peut y avoir, c'est si, une année, il y a trop
de demandes par rapport au nombre total de chambres disponibles.
Dans ce cas, la priorité d'attribution se fera sur divers critères
(distance domicile/lycée, possibilité d'aller dans un autre
établissement, autre possibilité d'hébergement, critères sociaux...) et
le seul cas où on examinera la question du sexe c'est s'il ne reste
qu'un lit dans une chambre à plusieurs.
Et encore, il y a toujours possibilité de transférer un lit d'une
chambre à une autre.
Autre exemple : il ne m'est jamais arrivé en allant à l'hôtel de tomber
sur un hôtelier qui me dise : "Désolée madame, nous n'avons plus de
chambres disponibles pour femmes, il n'y en a plus que pour les hommes.
Il faut dire aussi que nous n'avons que 34 chambres pour femmes alors
que nous en avons 60 pour hommes. A notre décharge, nous ne nous
attendions pas à voir plus de 34 femmes souhaiter venir dans notre
hôtel".
Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
Comment expliquez vous ce mystère?
il y a beaucoup moins de reçues que de reçues
Calmez vous.
pour accéder aux prépas
scientifiques, et c'est encore plus vrai après les concours.
On s'en branle du nombre de reçues.
Pour les autres prépas, c'est à vérifier. Mais que ce journaleux n'ait
même pas idée de vérifier une autre hypothèse que celle de son dogme en
dit long sur la bêtise de ces milieux.
Vous même partez du principe que c'est normal, en fonction de votre
propre dogme.
Thomas wrote:Dominique de Corse avait soumis l'idée :"Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
<http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
nations_594239>
"En effet..." lol
Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
conséquence.
De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
les filles que pour les garçons.
Et pourquoi donc?
Premier exemple : au lycée que fréquente mon fils, il y a des chambres
d'internat, non sexuées.
S'il y a plus de filles que de garçons internes une année et l'inverse
l'année suivante, il n'y a aucun problème.
Les seuls problèmes qu'il peut y avoir, c'est si, une année, il y a trop
de demandes par rapport au nombre total de chambres disponibles.
Dans ce cas, la priorité d'attribution se fera sur divers critères
(distance domicile/lycée, possibilité d'aller dans un autre
établissement, autre possibilité d'hébergement, critères sociaux...) et
le seul cas où on examinera la question du sexe c'est s'il ne reste
qu'un lit dans une chambre à plusieurs.
Et encore, il y a toujours possibilité de transférer un lit d'une
chambre à une autre.
Autre exemple : il ne m'est jamais arrivé en allant à l'hôtel de tomber
sur un hôtelier qui me dise : "Désolée madame, nous n'avons plus de
chambres disponibles pour femmes, il n'y en a plus que pour les hommes.
Il faut dire aussi que nous n'avons que 34 chambres pour femmes alors
que nous en avons 60 pour hommes. A notre décharge, nous ne nous
attendions pas à voir plus de 34 femmes souhaiter venir dans notre
hôtel".
Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
Comment expliquez vous ce mystère?
il y a beaucoup moins de reçues que de reçues
Calmez vous.pour accéder aux prépas
scientifiques, et c'est encore plus vrai après les concours.
On s'en branle du nombre de reçues.
Pour les autres prépas, c'est à vérifier. Mais que ce journaleux n'ait
même pas idée de vérifier une autre hypothèse que celle de son dogme en
dit long sur la bêtise de ces milieux.
Vous même partez du principe que c'est normal, en fonction de votre
propre dogme.
A votre avis comment faisaient les gens qui savaient avant 1994 pour
Mitterrand et sa fille Mazarine ("tout Paris savait !") ?
A votre avis comment faisaient les gens qui savaient avant 1994 pour
Mitterrand et sa fille Mazarine ("tout Paris savait !") ?
A votre avis comment faisaient les gens qui savaient avant 1994 pour
Mitterrand et sa fille Mazarine ("tout Paris savait !") ?