Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:
> Dominique de Corse a écrit:
>
>> Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:
>>>
>>> A Paris, foyer des lycéennes rue du Docteur-Blanche, XVIe, et autres
>>> foyers privés dans le quartier latin.
>> Vous imaginez ces dispositions à Hogwarts?
>> Hermione logée à Hogmeade et non dans la tour des Gryffindor?
>
> ???
Faites des gosses, vous comprendrez.
Khat Tsang Huit Phe Zho <nestor@pingouins.gouv> wrote:
> Dominique de Corse a écrit:
>
>> Khat Tsang Huit Phe Zho <nestor@pingouins.gouv> wrote:
>>>
>>> A Paris, foyer des lycéennes rue du Docteur-Blanche, XVIe, et autres
>>> foyers privés dans le quartier latin.
>> Vous imaginez ces dispositions à Hogwarts?
>> Hermione logée à Hogmeade et non dans la tour des Gryffindor?
>
> ???
Faites des gosses, vous comprendrez.
Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:
> Dominique de Corse a écrit:
>
>> Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:
>>>
>>> A Paris, foyer des lycéennes rue du Docteur-Blanche, XVIe, et autres
>>> foyers privés dans le quartier latin.
>> Vous imaginez ces dispositions à Hogwarts?
>> Hermione logée à Hogmeade et non dans la tour des Gryffindor?
>
> ???
Faites des gosses, vous comprendrez.
Dominique de Corse a écrit:
> Thomas wrote:
>
>
>>Dominique de Corse avait soumis l'idée :
>>
>>
>>>"Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
>>>milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
>>>modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
>>>que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
>>>bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
>>>place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
>>>pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
>>>
>>>
>>><http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
>>>nations_594239>
>>
>>"En effet..." lol
>>Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
>>conséquence.
>>
>>De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
>>les filles que pour les garçons.
>
>
> Et pourquoi donc?
>
> Premier exemple : au lycée que fréquente mon fils, il y a des chambres
> d'internat, non sexuées.
> S'il y a plus de filles que de garçons internes une année et l'inverse
> l'année suivante, il n'y a aucun problème.
> Les seuls problèmes qu'il peut y avoir, c'est si, une année, il y a trop
> de demandes par rapport au nombre total de chambres disponibles.
> Dans ce cas, la priorité d'attribution se fera sur divers critères
> (distance domicile/lycée, possibilité d'aller dans un autre
> établissement, autre possibilité d'hébergement, critères sociaux...) et
> le seul cas où on examinera la question du sexe c'est s'il ne reste
> qu'un lit dans une chambre à plusieurs.
> Et encore, il y a toujours possibilité de transférer un lit d'une
> chambre à une autre.
>
> Autre exemple : il ne m'est jamais arrivé en allant à l'hôtel de tomber
> sur un hôtelier qui me dise : "Désolée madame, nous n'avons plus de
> chambres disponibles pour femmes, il n'y en a plus que pour les hommes.
> Il faut dire aussi que nous n'avons que 34 chambres pour femmes alors
> que nous en avons 60 pour hommes. A notre décharge, nous ne nous
> attendions pas à voir plus de 34 femmes souhaiter venir dans notre
> hôtel".
>
> Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
> pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
> lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
> Comment expliquez vous ce mystère?
Parce que maintenant il y a des portes ; dans l'Antiquité, à
Saint-Louis, il y avait un couloir, des chambranles, mais un rideau au
lieu de la porte.
Et il y avait des ronfleurs.
En plus, tout le monde
n'appréciait pas mes albums des B-52's.
Après deux ans comme ça j'ai loué avec un pote un petit deux-pièces
derrière la place Saint-Michel pour l'année cruciale.
https://www.youtube.com/watch?v=2VCCiY17hKw
Dominique de Corse a écrit:
> Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
>
>
>>Dominique de Corse avait soumis l'idée :
>>
>>
>>>"Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
>>>milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
>>>modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
>>>que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
>>>bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
>>>place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
>>>pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
>>>
>>>
>>><http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
>>>nations_594239>
>>
>>"En effet..." lol
>>Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
>>conséquence.
>>
>>De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
>>les filles que pour les garçons.
>
>
> Et pourquoi donc?
>
> Premier exemple : au lycée que fréquente mon fils, il y a des chambres
> d'internat, non sexuées.
> S'il y a plus de filles que de garçons internes une année et l'inverse
> l'année suivante, il n'y a aucun problème.
> Les seuls problèmes qu'il peut y avoir, c'est si, une année, il y a trop
> de demandes par rapport au nombre total de chambres disponibles.
> Dans ce cas, la priorité d'attribution se fera sur divers critères
> (distance domicile/lycée, possibilité d'aller dans un autre
> établissement, autre possibilité d'hébergement, critères sociaux...) et
> le seul cas où on examinera la question du sexe c'est s'il ne reste
> qu'un lit dans une chambre à plusieurs.
> Et encore, il y a toujours possibilité de transférer un lit d'une
> chambre à une autre.
>
> Autre exemple : il ne m'est jamais arrivé en allant à l'hôtel de tomber
> sur un hôtelier qui me dise : "Désolée madame, nous n'avons plus de
> chambres disponibles pour femmes, il n'y en a plus que pour les hommes.
> Il faut dire aussi que nous n'avons que 34 chambres pour femmes alors
> que nous en avons 60 pour hommes. A notre décharge, nous ne nous
> attendions pas à voir plus de 34 femmes souhaiter venir dans notre
> hôtel".
>
> Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
> pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
> lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
> Comment expliquez vous ce mystère?
Parce que maintenant il y a des portes ; dans l'Antiquité, à
Saint-Louis, il y avait un couloir, des chambranles, mais un rideau au
lieu de la porte.
Et il y avait des ronfleurs.
En plus, tout le monde
n'appréciait pas mes albums des B-52's.
Après deux ans comme ça j'ai loué avec un pote un petit deux-pièces
derrière la place Saint-Michel pour l'année cruciale.
https://www.youtube.com/watch?v=2VCCiY17hKw
Dominique de Corse a écrit:
> Thomas wrote:
>
>
>>Dominique de Corse avait soumis l'idée :
>>
>>
>>>"Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
>>>milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
>>>modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
>>>que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
>>>bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
>>>place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
>>>pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
>>>
>>>
>>><http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
>>>nations_594239>
>>
>>"En effet..." lol
>>Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
>>conséquence.
>>
>>De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
>>les filles que pour les garçons.
>
>
> Et pourquoi donc?
>
> Premier exemple : au lycée que fréquente mon fils, il y a des chambres
> d'internat, non sexuées.
> S'il y a plus de filles que de garçons internes une année et l'inverse
> l'année suivante, il n'y a aucun problème.
> Les seuls problèmes qu'il peut y avoir, c'est si, une année, il y a trop
> de demandes par rapport au nombre total de chambres disponibles.
> Dans ce cas, la priorité d'attribution se fera sur divers critères
> (distance domicile/lycée, possibilité d'aller dans un autre
> établissement, autre possibilité d'hébergement, critères sociaux...) et
> le seul cas où on examinera la question du sexe c'est s'il ne reste
> qu'un lit dans une chambre à plusieurs.
> Et encore, il y a toujours possibilité de transférer un lit d'une
> chambre à une autre.
>
> Autre exemple : il ne m'est jamais arrivé en allant à l'hôtel de tomber
> sur un hôtelier qui me dise : "Désolée madame, nous n'avons plus de
> chambres disponibles pour femmes, il n'y en a plus que pour les hommes.
> Il faut dire aussi que nous n'avons que 34 chambres pour femmes alors
> que nous en avons 60 pour hommes. A notre décharge, nous ne nous
> attendions pas à voir plus de 34 femmes souhaiter venir dans notre
> hôtel".
>
> Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
> pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
> lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
> Comment expliquez vous ce mystère?
Parce que maintenant il y a des portes ; dans l'Antiquité, à
Saint-Louis, il y avait un couloir, des chambranles, mais un rideau au
lieu de la porte.
Et il y avait des ronfleurs.
En plus, tout le monde
n'appréciait pas mes albums des B-52's.
Après deux ans comme ça j'ai loué avec un pote un petit deux-pièces
derrière la place Saint-Michel pour l'année cruciale.
https://www.youtube.com/watch?v=2VCCiY17hKw
Dominique de Corse vient de nous annoncer :
> Thomas wrote:
>
>> Dominique de Corse avait soumis l'idée :
>>
>>> "Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
>>> milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
>>> modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
>>> que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
>>> bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
>>> place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
>>> pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
>>>
>>>
>>> <http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
>>> nations_594239>
>>
>> "En effet..." lol
>> Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
>> conséquence.
>>
>> De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
>> les filles que pour les garçons.
>
> Et pourquoi donc?
>
> Premier exemple : au lycée que fréquente mon fils, il y a des chambres
> d'internat, non sexuées.
> S'il y a plus de filles que de garçons internes une année et l'inverse
> l'année suivante, il n'y a aucun problème.
> Les seuls problèmes qu'il peut y avoir, c'est si, une année, il y a trop
> de demandes par rapport au nombre total de chambres disponibles.
> Dans ce cas, la priorité d'attribution se fera sur divers critères
> (distance domicile/lycée, possibilité d'aller dans un autre
> établissement, autre possibilité d'hébergement, critères sociaux...) et
> le seul cas où on examinera la question du sexe c'est s'il ne reste
> qu'un lit dans une chambre à plusieurs.
> Et encore, il y a toujours possibilité de transférer un lit d'une
> chambre à une autre.
>
> Autre exemple : il ne m'est jamais arrivé en allant à l'hôtel de tomber
> sur un hôtelier qui me dise : "Désolée madame, nous n'avons plus de
> chambres disponibles pour femmes, il n'y en a plus que pour les hommes.
> Il faut dire aussi que nous n'avons que 34 chambres pour femmes alors
> que nous en avons 60 pour hommes. A notre décharge, nous ne nous
> attendions pas à voir plus de 34 femmes souhaiter venir dans notre
> hôtel".
>
> Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
> pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
> lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
> Comment expliquez vous ce mystère?
Ce n'est pas un mystre, c'est un constat simple à expliquer: il
n'existe pas de chambres pour filles et des chambres pour garçons, pas
plus dans les hôtels que dans les résidences universitaires. Les lits,
les douches, les lavabos sont les mêmes.
Il existe éventuellement des "quartiers" pour les filles. Quand j'étais
en grande école, j'ai eu droit aux clapiers à deux par chambre. Il y a
avait quelque chose comme 8 fois plus de garçons que de filles. Toutes
nouvelles arrivantes (1ere année) étaient regroupées dans une
résidence, laquelle était complètée par des garçons. Sinon, il y avait
des résidences mixtes san saucun problème, puisqu'on avait déjà inventé
les piaules à murs opaques.
Dominique de Corse vient de nous annoncer :
> Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
>
>> Dominique de Corse avait soumis l'idée :
>>
>>> "Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
>>> milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
>>> modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
>>> que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
>>> bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
>>> place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
>>> pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
>>>
>>>
>>> <http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
>>> nations_594239>
>>
>> "En effet..." lol
>> Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
>> conséquence.
>>
>> De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
>> les filles que pour les garçons.
>
> Et pourquoi donc?
>
> Premier exemple : au lycée que fréquente mon fils, il y a des chambres
> d'internat, non sexuées.
> S'il y a plus de filles que de garçons internes une année et l'inverse
> l'année suivante, il n'y a aucun problème.
> Les seuls problèmes qu'il peut y avoir, c'est si, une année, il y a trop
> de demandes par rapport au nombre total de chambres disponibles.
> Dans ce cas, la priorité d'attribution se fera sur divers critères
> (distance domicile/lycée, possibilité d'aller dans un autre
> établissement, autre possibilité d'hébergement, critères sociaux...) et
> le seul cas où on examinera la question du sexe c'est s'il ne reste
> qu'un lit dans une chambre à plusieurs.
> Et encore, il y a toujours possibilité de transférer un lit d'une
> chambre à une autre.
>
> Autre exemple : il ne m'est jamais arrivé en allant à l'hôtel de tomber
> sur un hôtelier qui me dise : "Désolée madame, nous n'avons plus de
> chambres disponibles pour femmes, il n'y en a plus que pour les hommes.
> Il faut dire aussi que nous n'avons que 34 chambres pour femmes alors
> que nous en avons 60 pour hommes. A notre décharge, nous ne nous
> attendions pas à voir plus de 34 femmes souhaiter venir dans notre
> hôtel".
>
> Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
> pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
> lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
> Comment expliquez vous ce mystère?
Ce n'est pas un mystre, c'est un constat simple à expliquer: il
n'existe pas de chambres pour filles et des chambres pour garçons, pas
plus dans les hôtels que dans les résidences universitaires. Les lits,
les douches, les lavabos sont les mêmes.
Il existe éventuellement des "quartiers" pour les filles. Quand j'étais
en grande école, j'ai eu droit aux clapiers à deux par chambre. Il y a
avait quelque chose comme 8 fois plus de garçons que de filles. Toutes
nouvelles arrivantes (1ere année) étaient regroupées dans une
résidence, laquelle était complètée par des garçons. Sinon, il y avait
des résidences mixtes san saucun problème, puisqu'on avait déjà inventé
les piaules à murs opaques.
Dominique de Corse vient de nous annoncer :
> Thomas wrote:
>
>> Dominique de Corse avait soumis l'idée :
>>
>>> "Pour intégrer une classe prépa, il vaut mieux être brillant, d'un
>>> milieu aisé et de sexe masculin plutôt que, à talent égal, d'origine
>>> modeste, habiter en banlieue et être de sexe féminin. En effet, alors
>>> que le logement est une dépense majeure dans le budget étudiant, il est
>>> bien plus difficile pour les filles que pour les garçons de trouver une
>>> place en internat dans les lycées à prépas : on y compte 3 412 chambres
>>> pour les premières, contre 6 087 pour les seconds."
>>>
>>>
>>> <http://www.liberation.fr/societe/2009/11/18/l-internat-foyer-de-discrimi
>>> nations_594239>
>>
>> "En effet..." lol
>> Ces journaleux bobos ont toujours l'art de toujours inverser cause et
>> conséquence.
>>
>> De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
>> les filles que pour les garçons.
>
> Et pourquoi donc?
>
> Premier exemple : au lycée que fréquente mon fils, il y a des chambres
> d'internat, non sexuées.
> S'il y a plus de filles que de garçons internes une année et l'inverse
> l'année suivante, il n'y a aucun problème.
> Les seuls problèmes qu'il peut y avoir, c'est si, une année, il y a trop
> de demandes par rapport au nombre total de chambres disponibles.
> Dans ce cas, la priorité d'attribution se fera sur divers critères
> (distance domicile/lycée, possibilité d'aller dans un autre
> établissement, autre possibilité d'hébergement, critères sociaux...) et
> le seul cas où on examinera la question du sexe c'est s'il ne reste
> qu'un lit dans une chambre à plusieurs.
> Et encore, il y a toujours possibilité de transférer un lit d'une
> chambre à une autre.
>
> Autre exemple : il ne m'est jamais arrivé en allant à l'hôtel de tomber
> sur un hôtelier qui me dise : "Désolée madame, nous n'avons plus de
> chambres disponibles pour femmes, il n'y en a plus que pour les hommes.
> Il faut dire aussi que nous n'avons que 34 chambres pour femmes alors
> que nous en avons 60 pour hommes. A notre décharge, nous ne nous
> attendions pas à voir plus de 34 femmes souhaiter venir dans notre
> hôtel".
>
> Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
> pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
> lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
> Comment expliquez vous ce mystère?
Ce n'est pas un mystre, c'est un constat simple à expliquer: il
n'existe pas de chambres pour filles et des chambres pour garçons, pas
plus dans les hôtels que dans les résidences universitaires. Les lits,
les douches, les lavabos sont les mêmes.
Il existe éventuellement des "quartiers" pour les filles. Quand j'étais
en grande école, j'ai eu droit aux clapiers à deux par chambre. Il y a
avait quelque chose comme 8 fois plus de garçons que de filles. Toutes
nouvelles arrivantes (1ere année) étaient regroupées dans une
résidence, laquelle était complètée par des garçons. Sinon, il y avait
des résidences mixtes san saucun problème, puisqu'on avait déjà inventé
les piaules à murs opaques.
jr a écrit:
>>La province n'a qu'à bosser. Par ailleurs, les élèves du quartier latin
>>et de Ginette sont très loin d'être tous parisiens, ça y vient du monde
>>entier.
>
> http://www.ecoleprovence.fr/Ces-lycees-qui-monopolisent-la.html
Bon, quand j'avais cet âge-là, je me disais, les jours où le moral était
moyen et où des têtes d'abruti mal shampouinés avaient eu une meilleure
note "Bon, je suis dans un bon lycée, c'est normal, il y a de bonnes stats
aux concours". Et puis à l'approche des concours de la dernière chance, la
deuxième édition, je me suis dit "c'est idiot comme raisonnement, ce n'est
pas les stats de mon lycée qui me feront réussir, c'est mes résultats qui
feront les stats de mon lycée".
jr a écrit:
>>La province n'a qu'à bosser. Par ailleurs, les élèves du quartier latin
>>et de Ginette sont très loin d'être tous parisiens, ça y vient du monde
>>entier.
>
> http://www.ecoleprovence.fr/Ces-lycees-qui-monopolisent-la.html
Bon, quand j'avais cet âge-là, je me disais, les jours où le moral était
moyen et où des têtes d'abruti mal shampouinés avaient eu une meilleure
note "Bon, je suis dans un bon lycée, c'est normal, il y a de bonnes stats
aux concours". Et puis à l'approche des concours de la dernière chance, la
deuxième édition, je me suis dit "c'est idiot comme raisonnement, ce n'est
pas les stats de mon lycée qui me feront réussir, c'est mes résultats qui
feront les stats de mon lycée".
jr a écrit:
>>La province n'a qu'à bosser. Par ailleurs, les élèves du quartier latin
>>et de Ginette sont très loin d'être tous parisiens, ça y vient du monde
>>entier.
>
> http://www.ecoleprovence.fr/Ces-lycees-qui-monopolisent-la.html
Bon, quand j'avais cet âge-là, je me disais, les jours où le moral était
moyen et où des têtes d'abruti mal shampouinés avaient eu une meilleure
note "Bon, je suis dans un bon lycée, c'est normal, il y a de bonnes stats
aux concours". Et puis à l'approche des concours de la dernière chance, la
deuxième édition, je me suis dit "c'est idiot comme raisonnement, ce n'est
pas les stats de mon lycée qui me feront réussir, c'est mes résultats qui
feront les stats de mon lycée".
Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:
> Dominique de Corse a écrit:
>
>> jr wrote:
>>>> Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:
>>>
>>>> jr a écrit:
>>>>
>>>>> Je vous
>>>>> rappelle que l'essentiel de la population de l'X sont des mâles blancs
>>>>> bourgeois parisiens.
>>>>
>>>> La province n'a qu'à bosser. Par ailleurs, les élèves du quartier latin
>>>> et de Ginette sont très loin d'être tous parisiens, ça y vient du monde
>>>> entier.
>>>
>>> http://www.ecoleprovence.fr/Ces-lycees-qui-monopolisent-la.html
>>> Le concurrent direct en maths (et copain) de mon fils au lycée de
>> Sartène sait depuis déjà deux ans qu'il va faire une classe prépa à
>> Louis-le-Grand.
>> Pourquoi lui et pas mon fils?
>> Parce que moi, sa mère, je ne connais personne de bien placé dans ce
>> milieu et je n'ai pas de famille vivant à Paris...
>
> Quand la soeur d'un copain de classe de Nantes, qui a ensuite eu l'X en
> 3/2, a été prise à LLG, sa famille nantaise, aisée certes, ne connaissait
> personne dans "la haute" à Paris, elle avait juste 15 ou plus dans toutes
> les matières, à une époque où ça voulait dire quelque chose.
Eh bien "la" taupine qui était avec moi et qui avait 15 partout aussi en
étant encore plus jeune que moi si c'est possible, était, elle, d'un milieu
où on voulait qu'elle fasse BTS fleuriste. Elle a passé sa scolarité
supérieure (majorité à 21 ans, diplômée, en thèse) à rentrer chez elle le
samedi sans savoir si elle serait là le lundi, soutenue à bout de bras par
une assistante sociale.
Là elle prend sa retraite à 140k¤, sa maman a changé d'avis.
Khat Tsang Huit Phe Zho <nestor@pingouins.gouv> wrote:
> Dominique de Corse a écrit:
>
>> jr <jqs@froc.net> wrote:
>>>> Khat Tsang Huit Phe Zho <nestor@pingouins.gouv> wrote:
>>>
>>>> jr a écrit:
>>>>
>>>>> Je vous
>>>>> rappelle que l'essentiel de la population de l'X sont des mâles blancs
>>>>> bourgeois parisiens.
>>>>
>>>> La province n'a qu'à bosser. Par ailleurs, les élèves du quartier latin
>>>> et de Ginette sont très loin d'être tous parisiens, ça y vient du monde
>>>> entier.
>>>
>>> http://www.ecoleprovence.fr/Ces-lycees-qui-monopolisent-la.html
>>> Le concurrent direct en maths (et copain) de mon fils au lycée de
>> Sartène sait depuis déjà deux ans qu'il va faire une classe prépa à
>> Louis-le-Grand.
>> Pourquoi lui et pas mon fils?
>> Parce que moi, sa mère, je ne connais personne de bien placé dans ce
>> milieu et je n'ai pas de famille vivant à Paris...
>
> Quand la soeur d'un copain de classe de Nantes, qui a ensuite eu l'X en
> 3/2, a été prise à LLG, sa famille nantaise, aisée certes, ne connaissait
> personne dans "la haute" à Paris, elle avait juste 15 ou plus dans toutes
> les matières, à une époque où ça voulait dire quelque chose.
Eh bien "la" taupine qui était avec moi et qui avait 15 partout aussi en
étant encore plus jeune que moi si c'est possible, était, elle, d'un milieu
où on voulait qu'elle fasse BTS fleuriste. Elle a passé sa scolarité
supérieure (majorité à 21 ans, diplômée, en thèse) à rentrer chez elle le
samedi sans savoir si elle serait là le lundi, soutenue à bout de bras par
une assistante sociale.
Là elle prend sa retraite à 140k¤, sa maman a changé d'avis.
Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:
> Dominique de Corse a écrit:
>
>> jr wrote:
>>>> Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:
>>>
>>>> jr a écrit:
>>>>
>>>>> Je vous
>>>>> rappelle que l'essentiel de la population de l'X sont des mâles blancs
>>>>> bourgeois parisiens.
>>>>
>>>> La province n'a qu'à bosser. Par ailleurs, les élèves du quartier latin
>>>> et de Ginette sont très loin d'être tous parisiens, ça y vient du monde
>>>> entier.
>>>
>>> http://www.ecoleprovence.fr/Ces-lycees-qui-monopolisent-la.html
>>> Le concurrent direct en maths (et copain) de mon fils au lycée de
>> Sartène sait depuis déjà deux ans qu'il va faire une classe prépa à
>> Louis-le-Grand.
>> Pourquoi lui et pas mon fils?
>> Parce que moi, sa mère, je ne connais personne de bien placé dans ce
>> milieu et je n'ai pas de famille vivant à Paris...
>
> Quand la soeur d'un copain de classe de Nantes, qui a ensuite eu l'X en
> 3/2, a été prise à LLG, sa famille nantaise, aisée certes, ne connaissait
> personne dans "la haute" à Paris, elle avait juste 15 ou plus dans toutes
> les matières, à une époque où ça voulait dire quelque chose.
Eh bien "la" taupine qui était avec moi et qui avait 15 partout aussi en
étant encore plus jeune que moi si c'est possible, était, elle, d'un milieu
où on voulait qu'elle fasse BTS fleuriste. Elle a passé sa scolarité
supérieure (majorité à 21 ans, diplômée, en thèse) à rentrer chez elle le
samedi sans savoir si elle serait là le lundi, soutenue à bout de bras par
une assistante sociale.
Là elle prend sa retraite à 140k¤, sa maman a changé d'avis.
Thomas wrote:
> Pour le coup, c'est frappé au coin du bon sens. Une bourse étudiante,
> c'est fait pour aider les étudiants aux revenus modestes, point.
Et/ou autre raison, point.
Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
> Pour le coup, c'est frappé au coin du bon sens. Une bourse étudiante,
> c'est fait pour aider les étudiants aux revenus modestes, point.
Et/ou autre raison, point.
Thomas wrote:
> Pour le coup, c'est frappé au coin du bon sens. Une bourse étudiante,
> c'est fait pour aider les étudiants aux revenus modestes, point.
Et/ou autre raison, point.
Thomas wrote:Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
Comment expliquez vous ce mystère?
Ce n'est pas un mystre, c'est un constat simple à expliquer: il
n'existe pas de chambres pour filles et des chambres pour garçons, pas
plus dans les hôtels que dans les résidences universitaires. Les lits,
les douches, les lavabos sont les mêmes.
Il existe éventuellement des "quartiers" pour les filles. Quand j'étais
en grande école, j'ai eu droit aux clapiers à deux par chambre. Il y a
avait quelque chose comme 8 fois plus de garçons que de filles. Toutes
nouvelles arrivantes (1ere année) étaient regroupées dans une
résidence, laquelle était complètée par des garçons. Sinon, il y avait
des résidences mixtes san saucun problème, puisqu'on avait déjà inventé
les piaules à murs opaques.
Donc, vous confirmez qu'il n'y a aucune raison objective de mettre tous
les garçons dans une résidence proche de l'école et toutes les filles
dans une résidence éloignée.
Merci de votre témoignage.
Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
Comment expliquez vous ce mystère?
Ce n'est pas un mystre, c'est un constat simple à expliquer: il
n'existe pas de chambres pour filles et des chambres pour garçons, pas
plus dans les hôtels que dans les résidences universitaires. Les lits,
les douches, les lavabos sont les mêmes.
Il existe éventuellement des "quartiers" pour les filles. Quand j'étais
en grande école, j'ai eu droit aux clapiers à deux par chambre. Il y a
avait quelque chose comme 8 fois plus de garçons que de filles. Toutes
nouvelles arrivantes (1ere année) étaient regroupées dans une
résidence, laquelle était complètée par des garçons. Sinon, il y avait
des résidences mixtes san saucun problème, puisqu'on avait déjà inventé
les piaules à murs opaques.
Donc, vous confirmez qu'il n'y a aucune raison objective de mettre tous
les garçons dans une résidence proche de l'école et toutes les filles
dans une résidence éloignée.
Merci de votre témoignage.
Thomas wrote:Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
Comment expliquez vous ce mystère?
Ce n'est pas un mystre, c'est un constat simple à expliquer: il
n'existe pas de chambres pour filles et des chambres pour garçons, pas
plus dans les hôtels que dans les résidences universitaires. Les lits,
les douches, les lavabos sont les mêmes.
Il existe éventuellement des "quartiers" pour les filles. Quand j'étais
en grande école, j'ai eu droit aux clapiers à deux par chambre. Il y a
avait quelque chose comme 8 fois plus de garçons que de filles. Toutes
nouvelles arrivantes (1ere année) étaient regroupées dans une
résidence, laquelle était complètée par des garçons. Sinon, il y avait
des résidences mixtes san saucun problème, puisqu'on avait déjà inventé
les piaules à murs opaques.
Donc, vous confirmez qu'il n'y a aucune raison objective de mettre tous
les garçons dans une résidence proche de l'école et toutes les filles
dans une résidence éloignée.
Merci de votre témoignage.
Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
> Thomas wrote:
>>> Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
>>> pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
>>> lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
>>> Comment expliquez vous ce mystère?
>>
>> Ce n'est pas un mystre, c'est un constat simple à expliquer: il
>> n'existe pas de chambres pour filles et des chambres pour garçons, pas
>> plus dans les hôtels que dans les résidences universitaires. Les lits,
>> les douches, les lavabos sont les mêmes.
>>
>> Il existe éventuellement des "quartiers" pour les filles. Quand j'étais
>> en grande école, j'ai eu droit aux clapiers à deux par chambre. Il y a
>> avait quelque chose comme 8 fois plus de garçons que de filles. Toutes
>> nouvelles arrivantes (1ere année) étaient regroupées dans une
>> résidence, laquelle était complètée par des garçons. Sinon, il y avait
>> des résidences mixtes san saucun problème, puisqu'on avait déjà inventé
>> les piaules à murs opaques.
>
> Donc, vous confirmez qu'il n'y a aucune raison objective de mettre tous
> les garçons dans une résidence proche de l'école et toutes les filles
> dans une résidence éloignée.
> Merci de votre témoignage.
Dès lors qu'il ne s'agit pas de dortoirs collectifs, il n'y a aucune
raison d'éviter les résidences mixtes. Cependant, s'il y a 20 filles
pour 150 garçons, il est légitime de regrouper les filles dans la même
résidence afin de faciliter leur intégration sociale.
Au moins pour les
nouvelles arrivantes: ensuite, des couples peuvent se former dans
d'autres résidences pour partager la même piaule.
C'est ce que j'ai pu
observer en tant qu'étudiant, et à ma connaissance cela n'a jamais posé
aucun problème de principe ni de fonctionnement.
Mais où donc avez-vous trouvé cette séparation filles/garçons dans le
cas de Louis-le-Grand ?
Ce que l'on peut constater, c'est que ce lycée
adhère au concept d'internat d'excellence, basé sur l'excellence du
dossier et de l'adresse des postulants:
http://www.louislegrand.org/index.php/hier-et-aujourdhui-articlesmenu-29/o
uverture-sociale-et-mixitrticlesmenu-179/linternat-dexcellence-articlesmen
u-180
Au passage, ce même lycée fait l'objet de bourses pour les candidats de
conditions financières modestes, celles pour lesquelles il n'y a rien à
redire:
Dans le cadre du dispositif « CORDEES DE LA REUSSITE », le lycée a noué
un partenariat avec 8 collèges parisiens, les 4 du réseau « Ambition
Réussite », et 4 autres collèges du « Réseau d'Éducation Prioritaire ».
Depuis la rentrée 2010, les élèves de seconde originaires de ces
établissements, se voient proposer des stages intensifs de prérentrée
et lors des vacances scolaires, ainsi qu'un tutorat pour chacun d'entre
eux assuré par des étudiants de première année de classe préparatoire.
Ces actions, financées par l'ACSE (Agence nationale pour la Cohésion
Sociale et l'Égalité des chances) et cofinancées par la Fondation
L'Oréal et l'enseignement supérieur, permettent à notre établissement
d'offrir un suivi personnalisé de grande qualité à chaque élève
concerné. Le lycée Louis le Grand est ainsi devenu une passerelle pour
des collégiens méritants de quartiers ou milieux sociaux défavorisés en
proposant un lien concret et enrichissant entre collège, lycée et
classes préparatoires.
http://www.louislegrand.org/index.php/hier-et-aujourdhui-articlesmenu-29/o
uverture-sociale-et-mixitrticlesmenu-179
Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
> Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
>>> Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
>>> pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
>>> lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
>>> Comment expliquez vous ce mystère?
>>
>> Ce n'est pas un mystre, c'est un constat simple à expliquer: il
>> n'existe pas de chambres pour filles et des chambres pour garçons, pas
>> plus dans les hôtels que dans les résidences universitaires. Les lits,
>> les douches, les lavabos sont les mêmes.
>>
>> Il existe éventuellement des "quartiers" pour les filles. Quand j'étais
>> en grande école, j'ai eu droit aux clapiers à deux par chambre. Il y a
>> avait quelque chose comme 8 fois plus de garçons que de filles. Toutes
>> nouvelles arrivantes (1ere année) étaient regroupées dans une
>> résidence, laquelle était complètée par des garçons. Sinon, il y avait
>> des résidences mixtes san saucun problème, puisqu'on avait déjà inventé
>> les piaules à murs opaques.
>
> Donc, vous confirmez qu'il n'y a aucune raison objective de mettre tous
> les garçons dans une résidence proche de l'école et toutes les filles
> dans une résidence éloignée.
> Merci de votre témoignage.
Dès lors qu'il ne s'agit pas de dortoirs collectifs, il n'y a aucune
raison d'éviter les résidences mixtes. Cependant, s'il y a 20 filles
pour 150 garçons, il est légitime de regrouper les filles dans la même
résidence afin de faciliter leur intégration sociale.
Au moins pour les
nouvelles arrivantes: ensuite, des couples peuvent se former dans
d'autres résidences pour partager la même piaule.
C'est ce que j'ai pu
observer en tant qu'étudiant, et à ma connaissance cela n'a jamais posé
aucun problème de principe ni de fonctionnement.
Mais où donc avez-vous trouvé cette séparation filles/garçons dans le
cas de Louis-le-Grand ?
Ce que l'on peut constater, c'est que ce lycée
adhère au concept d'internat d'excellence, basé sur l'excellence du
dossier et de l'adresse des postulants:
http://www.louislegrand.org/index.php/hier-et-aujourdhui-articlesmenu-29/o
uverture-sociale-et-mixitrticlesmenu-179/linternat-dexcellence-articlesmen
u-180
Au passage, ce même lycée fait l'objet de bourses pour les candidats de
conditions financières modestes, celles pour lesquelles il n'y a rien à
redire:
Dans le cadre du dispositif « CORDEES DE LA REUSSITE », le lycée a noué
un partenariat avec 8 collèges parisiens, les 4 du réseau « Ambition
Réussite », et 4 autres collèges du « Réseau d'Éducation Prioritaire ».
Depuis la rentrée 2010, les élèves de seconde originaires de ces
établissements, se voient proposer des stages intensifs de prérentrée
et lors des vacances scolaires, ainsi qu'un tutorat pour chacun d'entre
eux assuré par des étudiants de première année de classe préparatoire.
Ces actions, financées par l'ACSE (Agence nationale pour la Cohésion
Sociale et l'Égalité des chances) et cofinancées par la Fondation
L'Oréal et l'enseignement supérieur, permettent à notre établissement
d'offrir un suivi personnalisé de grande qualité à chaque élève
concerné. Le lycée Louis le Grand est ainsi devenu une passerelle pour
des collégiens méritants de quartiers ou milieux sociaux défavorisés en
proposant un lien concret et enrichissant entre collège, lycée et
classes préparatoires.
http://www.louislegrand.org/index.php/hier-et-aujourdhui-articlesmenu-29/o
uverture-sociale-et-mixitrticlesmenu-179
Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
> Thomas wrote:
>>> Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
>>> pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
>>> lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
>>> Comment expliquez vous ce mystère?
>>
>> Ce n'est pas un mystre, c'est un constat simple à expliquer: il
>> n'existe pas de chambres pour filles et des chambres pour garçons, pas
>> plus dans les hôtels que dans les résidences universitaires. Les lits,
>> les douches, les lavabos sont les mêmes.
>>
>> Il existe éventuellement des "quartiers" pour les filles. Quand j'étais
>> en grande école, j'ai eu droit aux clapiers à deux par chambre. Il y a
>> avait quelque chose comme 8 fois plus de garçons que de filles. Toutes
>> nouvelles arrivantes (1ere année) étaient regroupées dans une
>> résidence, laquelle était complètée par des garçons. Sinon, il y avait
>> des résidences mixtes san saucun problème, puisqu'on avait déjà inventé
>> les piaules à murs opaques.
>
> Donc, vous confirmez qu'il n'y a aucune raison objective de mettre tous
> les garçons dans une résidence proche de l'école et toutes les filles
> dans une résidence éloignée.
> Merci de votre témoignage.
Dès lors qu'il ne s'agit pas de dortoirs collectifs, il n'y a aucune
raison d'éviter les résidences mixtes. Cependant, s'il y a 20 filles
pour 150 garçons, il est légitime de regrouper les filles dans la même
résidence afin de faciliter leur intégration sociale.
Au moins pour les
nouvelles arrivantes: ensuite, des couples peuvent se former dans
d'autres résidences pour partager la même piaule.
C'est ce que j'ai pu
observer en tant qu'étudiant, et à ma connaissance cela n'a jamais posé
aucun problème de principe ni de fonctionnement.
Mais où donc avez-vous trouvé cette séparation filles/garçons dans le
cas de Louis-le-Grand ?
Ce que l'on peut constater, c'est que ce lycée
adhère au concept d'internat d'excellence, basé sur l'excellence du
dossier et de l'adresse des postulants:
http://www.louislegrand.org/index.php/hier-et-aujourdhui-articlesmenu-29/o
uverture-sociale-et-mixitrticlesmenu-179/linternat-dexcellence-articlesmen
u-180
Au passage, ce même lycée fait l'objet de bourses pour les candidats de
conditions financières modestes, celles pour lesquelles il n'y a rien à
redire:
Dans le cadre du dispositif « CORDEES DE LA REUSSITE », le lycée a noué
un partenariat avec 8 collèges parisiens, les 4 du réseau « Ambition
Réussite », et 4 autres collèges du « Réseau d'Éducation Prioritaire ».
Depuis la rentrée 2010, les élèves de seconde originaires de ces
établissements, se voient proposer des stages intensifs de prérentrée
et lors des vacances scolaires, ainsi qu'un tutorat pour chacun d'entre
eux assuré par des étudiants de première année de classe préparatoire.
Ces actions, financées par l'ACSE (Agence nationale pour la Cohésion
Sociale et l'Égalité des chances) et cofinancées par la Fondation
L'Oréal et l'enseignement supérieur, permettent à notre établissement
d'offrir un suivi personnalisé de grande qualité à chaque élève
concerné. Le lycée Louis le Grand est ainsi devenu une passerelle pour
des collégiens méritants de quartiers ou milieux sociaux défavorisés en
proposant un lien concret et enrichissant entre collège, lycée et
classes préparatoires.
http://www.louislegrand.org/index.php/hier-et-aujourdhui-articlesmenu-29/o
uverture-sociale-et-mixitrticlesmenu-179
Thomas wrote:Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :Thomas wrote:Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
Comment expliquez vous ce mystère?
Ce n'est pas un mystre, c'est un constat simple à expliquer: il
n'existe pas de chambres pour filles et des chambres pour garçons, pas
plus dans les hôtels que dans les résidences universitaires. Les lits,
les douches, les lavabos sont les mêmes.
Il existe éventuellement des "quartiers" pour les filles. Quand j'étais
en grande école, j'ai eu droit aux clapiers à deux par chambre. Il y a
avait quelque chose comme 8 fois plus de garçons que de filles. Toutes
nouvelles arrivantes (1ere année) étaient regroupées dans une
résidence, laquelle était complètée par des garçons. Sinon, il y avait
des résidences mixtes san saucun problème, puisqu'on avait déjà inventé
les piaules à murs opaques.
Donc, vous confirmez qu'il n'y a aucune raison objective de mettre tous
les garçons dans une résidence proche de l'école et toutes les filles
dans une résidence éloignée.
Merci de votre témoignage.
Dès lors qu'il ne s'agit pas de dortoirs collectifs, il n'y a aucune
raison d'éviter les résidences mixtes. Cependant, s'il y a 20 filles
pour 150 garçons, il est légitime de regrouper les filles dans la même
résidence afin de faciliter leur intégration sociale.
Les ghettos ne sont jamais créés pour faciliter l'insertion mais bien
plutôt l'exclusion.
Au moins pour les
nouvelles arrivantes: ensuite, des couples peuvent se former dans
d'autres résidences pour partager la même piaule.
Pourquoi parler de couples?
La cohabitation ou la colocation n'impliquent pas d'avoir des relations
de couple, vous savez...
Parlez de paires ou de binômes mais évitez la connotation vaguement
maritale du mot "couple"C'est ce que j'ai pu
observer en tant qu'étudiant, et à ma connaissance cela n'a jamais posé
aucun problème de principe ni de fonctionnement.
Mais où donc avez-vous trouvé cette séparation filles/garçons dans le
cas de Louis-le-Grand ?
Dans vos propos :-)
C'est vous qui avez affirmé :
"De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
les filles que pour les garçons."
Cette façon de présenter les choses laisse à penser que filles et
garçons ont des places réservées par sexe dans l'internat et que ces
places sont plus nombreuses pour les garçons que pour les filles.
Ce que l'on peut constater, c'est que ce lycée
adhère au concept d'internat d'excellence, basé sur l'excellence du
dossier et de l'adresse des postulants:
http://www.louislegrand.org/index.php/hier-et-aujourdhui-articlesmenu-29/o
uverture-sociale-et-mixitrticlesmenu-179/linternat-dexcellence-articlesmen
u-180
Excusez moi si j'ai parlé à la fois de l'internat et des foyers
extérieurs, je vais préciser un peu plus.
L'internat du Lycée Louis le Grand est mixte, en effet :
"Entièrement réservé aux classes préparatoires, il comprend 337 places
(garçons et filles)"
<http://www.louislegrand.org/index.php/admissions-articlesmenu-31/admissions-en-classes-prratoires-1-annarticlesmenu-45>
Mais comme 337 places, c'est peu, il y a les foyers et les foyers, eux,
sont sexués et présentent les disparités notables que j'ai signalées :
<http://www.louislegrand.org/index.php/renseignements-articlesmenu-30/aides-aux-diants-articlesmenu-130>
Au passage, ce même lycée fait l'objet de bourses pour les candidats de
conditions financières modestes, celles pour lesquelles il n'y a rien à
redire:
Oui, ce doit être, à mon avis, le principal critère pour attribuer des
bourses.
Les critères secondaires d'attribution et de renouvellement ne devant
reposer que sur l'assiduité aux cours et les résultats qui en découlent.
Dans le cadre du dispositif « CORDEES DE LA REUSSITE », le lycée a noué
un partenariat avec 8 collèges parisiens, les 4 du réseau « Ambition
Réussite », et 4 autres collèges du « Réseau d'Éducation Prioritaire ».
Depuis la rentrée 2010, les élèves de seconde originaires de ces
établissements, se voient proposer des stages intensifs de prérentrée
et lors des vacances scolaires, ainsi qu'un tutorat pour chacun d'entre
eux assuré par des étudiants de première année de classe préparatoire.
C'est pas mal, le truc du stage, même si c'est un peu tardif dans le
cursus scolaire.
Une forme de remise à niveau, je suppose.Ces actions, financées par l'ACSE (Agence nationale pour la Cohésion
Sociale et l'Égalité des chances) et cofinancées par la Fondation
L'Oréal et l'enseignement supérieur, permettent à notre établissement
d'offrir un suivi personnalisé de grande qualité à chaque élève
concerné. Le lycée Louis le Grand est ainsi devenu une passerelle pour
des collégiens méritants de quartiers ou milieux sociaux défavorisés en
Ha, le mot "méritant" me pique un peu les yeux :-(
proposant un lien concret et enrichissant entre collège, lycée et
classes préparatoires.
http://www.louislegrand.org/index.php/hier-et-aujourdhui-articlesmenu-29/o
uverture-sociale-et-mixitrticlesmenu-179
Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
Comment expliquez vous ce mystère?
Ce n'est pas un mystre, c'est un constat simple à expliquer: il
n'existe pas de chambres pour filles et des chambres pour garçons, pas
plus dans les hôtels que dans les résidences universitaires. Les lits,
les douches, les lavabos sont les mêmes.
Il existe éventuellement des "quartiers" pour les filles. Quand j'étais
en grande école, j'ai eu droit aux clapiers à deux par chambre. Il y a
avait quelque chose comme 8 fois plus de garçons que de filles. Toutes
nouvelles arrivantes (1ere année) étaient regroupées dans une
résidence, laquelle était complètée par des garçons. Sinon, il y avait
des résidences mixtes san saucun problème, puisqu'on avait déjà inventé
les piaules à murs opaques.
Donc, vous confirmez qu'il n'y a aucune raison objective de mettre tous
les garçons dans une résidence proche de l'école et toutes les filles
dans une résidence éloignée.
Merci de votre témoignage.
Dès lors qu'il ne s'agit pas de dortoirs collectifs, il n'y a aucune
raison d'éviter les résidences mixtes. Cependant, s'il y a 20 filles
pour 150 garçons, il est légitime de regrouper les filles dans la même
résidence afin de faciliter leur intégration sociale.
Les ghettos ne sont jamais créés pour faciliter l'insertion mais bien
plutôt l'exclusion.
Au moins pour les
nouvelles arrivantes: ensuite, des couples peuvent se former dans
d'autres résidences pour partager la même piaule.
Pourquoi parler de couples?
La cohabitation ou la colocation n'impliquent pas d'avoir des relations
de couple, vous savez...
Parlez de paires ou de binômes mais évitez la connotation vaguement
maritale du mot "couple"
C'est ce que j'ai pu
observer en tant qu'étudiant, et à ma connaissance cela n'a jamais posé
aucun problème de principe ni de fonctionnement.
Mais où donc avez-vous trouvé cette séparation filles/garçons dans le
cas de Louis-le-Grand ?
Dans vos propos :-)
C'est vous qui avez affirmé :
"De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
les filles que pour les garçons."
Cette façon de présenter les choses laisse à penser que filles et
garçons ont des places réservées par sexe dans l'internat et que ces
places sont plus nombreuses pour les garçons que pour les filles.
Ce que l'on peut constater, c'est que ce lycée
adhère au concept d'internat d'excellence, basé sur l'excellence du
dossier et de l'adresse des postulants:
http://www.louislegrand.org/index.php/hier-et-aujourdhui-articlesmenu-29/o
uverture-sociale-et-mixitrticlesmenu-179/linternat-dexcellence-articlesmen
u-180
Excusez moi si j'ai parlé à la fois de l'internat et des foyers
extérieurs, je vais préciser un peu plus.
L'internat du Lycée Louis le Grand est mixte, en effet :
"Entièrement réservé aux classes préparatoires, il comprend 337 places
(garçons et filles)"
<http://www.louislegrand.org/index.php/admissions-articlesmenu-31/admissions-en-classes-prratoires-1-annarticlesmenu-45>
Mais comme 337 places, c'est peu, il y a les foyers et les foyers, eux,
sont sexués et présentent les disparités notables que j'ai signalées :
<http://www.louislegrand.org/index.php/renseignements-articlesmenu-30/aides-aux-diants-articlesmenu-130>
Au passage, ce même lycée fait l'objet de bourses pour les candidats de
conditions financières modestes, celles pour lesquelles il n'y a rien à
redire:
Oui, ce doit être, à mon avis, le principal critère pour attribuer des
bourses.
Les critères secondaires d'attribution et de renouvellement ne devant
reposer que sur l'assiduité aux cours et les résultats qui en découlent.
Dans le cadre du dispositif « CORDEES DE LA REUSSITE », le lycée a noué
un partenariat avec 8 collèges parisiens, les 4 du réseau « Ambition
Réussite », et 4 autres collèges du « Réseau d'Éducation Prioritaire ».
Depuis la rentrée 2010, les élèves de seconde originaires de ces
établissements, se voient proposer des stages intensifs de prérentrée
et lors des vacances scolaires, ainsi qu'un tutorat pour chacun d'entre
eux assuré par des étudiants de première année de classe préparatoire.
C'est pas mal, le truc du stage, même si c'est un peu tardif dans le
cursus scolaire.
Une forme de remise à niveau, je suppose.
Ces actions, financées par l'ACSE (Agence nationale pour la Cohésion
Sociale et l'Égalité des chances) et cofinancées par la Fondation
L'Oréal et l'enseignement supérieur, permettent à notre établissement
d'offrir un suivi personnalisé de grande qualité à chaque élève
concerné. Le lycée Louis le Grand est ainsi devenu une passerelle pour
des collégiens méritants de quartiers ou milieux sociaux défavorisés en
Ha, le mot "méritant" me pique un peu les yeux :-(
proposant un lien concret et enrichissant entre collège, lycée et
classes préparatoires.
http://www.louislegrand.org/index.php/hier-et-aujourdhui-articlesmenu-29/o
uverture-sociale-et-mixitrticlesmenu-179
Thomas wrote:Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :Thomas wrote:Troisième exemple : il y a moins de femmes que d'hommes militaires,
pourtant les hommes et les femmes militaires ont chacun et chacune un
lit dans chaque caserne où ils et elles sont affectés.
Comment expliquez vous ce mystère?
Ce n'est pas un mystre, c'est un constat simple à expliquer: il
n'existe pas de chambres pour filles et des chambres pour garçons, pas
plus dans les hôtels que dans les résidences universitaires. Les lits,
les douches, les lavabos sont les mêmes.
Il existe éventuellement des "quartiers" pour les filles. Quand j'étais
en grande école, j'ai eu droit aux clapiers à deux par chambre. Il y a
avait quelque chose comme 8 fois plus de garçons que de filles. Toutes
nouvelles arrivantes (1ere année) étaient regroupées dans une
résidence, laquelle était complètée par des garçons. Sinon, il y avait
des résidences mixtes san saucun problème, puisqu'on avait déjà inventé
les piaules à murs opaques.
Donc, vous confirmez qu'il n'y a aucune raison objective de mettre tous
les garçons dans une résidence proche de l'école et toutes les filles
dans une résidence éloignée.
Merci de votre témoignage.
Dès lors qu'il ne s'agit pas de dortoirs collectifs, il n'y a aucune
raison d'éviter les résidences mixtes. Cependant, s'il y a 20 filles
pour 150 garçons, il est légitime de regrouper les filles dans la même
résidence afin de faciliter leur intégration sociale.
Les ghettos ne sont jamais créés pour faciliter l'insertion mais bien
plutôt l'exclusion.
Au moins pour les
nouvelles arrivantes: ensuite, des couples peuvent se former dans
d'autres résidences pour partager la même piaule.
Pourquoi parler de couples?
La cohabitation ou la colocation n'impliquent pas d'avoir des relations
de couple, vous savez...
Parlez de paires ou de binômes mais évitez la connotation vaguement
maritale du mot "couple"C'est ce que j'ai pu
observer en tant qu'étudiant, et à ma connaissance cela n'a jamais posé
aucun problème de principe ni de fonctionnement.
Mais où donc avez-vous trouvé cette séparation filles/garçons dans le
cas de Louis-le-Grand ?
Dans vos propos :-)
C'est vous qui avez affirmé :
"De façon factuelle, il y a beaucoup moins de places en internat pour
les filles que pour les garçons."
Cette façon de présenter les choses laisse à penser que filles et
garçons ont des places réservées par sexe dans l'internat et que ces
places sont plus nombreuses pour les garçons que pour les filles.
Ce que l'on peut constater, c'est que ce lycée
adhère au concept d'internat d'excellence, basé sur l'excellence du
dossier et de l'adresse des postulants:
http://www.louislegrand.org/index.php/hier-et-aujourdhui-articlesmenu-29/o
uverture-sociale-et-mixitrticlesmenu-179/linternat-dexcellence-articlesmen
u-180
Excusez moi si j'ai parlé à la fois de l'internat et des foyers
extérieurs, je vais préciser un peu plus.
L'internat du Lycée Louis le Grand est mixte, en effet :
"Entièrement réservé aux classes préparatoires, il comprend 337 places
(garçons et filles)"
<http://www.louislegrand.org/index.php/admissions-articlesmenu-31/admissions-en-classes-prratoires-1-annarticlesmenu-45>
Mais comme 337 places, c'est peu, il y a les foyers et les foyers, eux,
sont sexués et présentent les disparités notables que j'ai signalées :
<http://www.louislegrand.org/index.php/renseignements-articlesmenu-30/aides-aux-diants-articlesmenu-130>
Au passage, ce même lycée fait l'objet de bourses pour les candidats de
conditions financières modestes, celles pour lesquelles il n'y a rien à
redire:
Oui, ce doit être, à mon avis, le principal critère pour attribuer des
bourses.
Les critères secondaires d'attribution et de renouvellement ne devant
reposer que sur l'assiduité aux cours et les résultats qui en découlent.
Dans le cadre du dispositif « CORDEES DE LA REUSSITE », le lycée a noué
un partenariat avec 8 collèges parisiens, les 4 du réseau « Ambition
Réussite », et 4 autres collèges du « Réseau d'Éducation Prioritaire ».
Depuis la rentrée 2010, les élèves de seconde originaires de ces
établissements, se voient proposer des stages intensifs de prérentrée
et lors des vacances scolaires, ainsi qu'un tutorat pour chacun d'entre
eux assuré par des étudiants de première année de classe préparatoire.
C'est pas mal, le truc du stage, même si c'est un peu tardif dans le
cursus scolaire.
Une forme de remise à niveau, je suppose.Ces actions, financées par l'ACSE (Agence nationale pour la Cohésion
Sociale et l'Égalité des chances) et cofinancées par la Fondation
L'Oréal et l'enseignement supérieur, permettent à notre établissement
d'offrir un suivi personnalisé de grande qualité à chaque élève
concerné. Le lycée Louis le Grand est ainsi devenu une passerelle pour
des collégiens méritants de quartiers ou milieux sociaux défavorisés en
Ha, le mot "méritant" me pique un peu les yeux :-(
proposant un lien concret et enrichissant entre collège, lycée et
classes préparatoires.
http://www.louislegrand.org/index.php/hier-et-aujourdhui-articlesmenu-29/o
uverture-sociale-et-mixitrticlesmenu-179
jr wrote:Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:Dominique de Corse a écrit:Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:A Paris, foyer des lycéennes rue du Docteur-Blanche, XVIe, et autres
foyers privés dans le quartier latin.Vous imaginez ces dispositions à Hogwarts?
Hermione logée à Hogmeade et non dans la tour des Gryffindor????
Faites des gosses, vous comprendrez.
Même pas. Il suffit de rester jeune.
C'est moi qui ai présenté Harry Potter à mon fils et non l'inverse :-D
jr <jqs@froc.net> wrote:
Khat Tsang Huit Phe Zho <nestor@pingouins.gouv> wrote:
Dominique de Corse a écrit:
Khat Tsang Huit Phe Zho <nestor@pingouins.gouv> wrote:
A Paris, foyer des lycéennes rue du Docteur-Blanche, XVIe, et autres
foyers privés dans le quartier latin.
Vous imaginez ces dispositions à Hogwarts?
Hermione logée à Hogmeade et non dans la tour des Gryffindor?
???
Faites des gosses, vous comprendrez.
Même pas. Il suffit de rester jeune.
C'est moi qui ai présenté Harry Potter à mon fils et non l'inverse :-D
jr wrote:Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:Dominique de Corse a écrit:Khat Tsang Huit Phe Zho wrote:A Paris, foyer des lycéennes rue du Docteur-Blanche, XVIe, et autres
foyers privés dans le quartier latin.Vous imaginez ces dispositions à Hogwarts?
Hermione logée à Hogmeade et non dans la tour des Gryffindor????
Faites des gosses, vous comprendrez.
Même pas. Il suffit de rester jeune.
C'est moi qui ai présenté Harry Potter à mon fils et non l'inverse :-D