Bonsoir,
Tout, ou presque, est dans titre. Toutefois je cherche un logiciel
gratuit qui me permette de lever les DRM, morceaux par morceaux. En
effet, j'en ai trouvé, mais ils enlèvent des DRM de tous les morceaux
qui sont dans la bibliothèque d' iTunes et c'est très très long et sans
intérêt pour moi. Je préfère choisir le morceaux qui m'intéresse.
--
René
Lascia la spina cogli la rosa
http://chabada@chala.net
On se demande un peu ce qu'il y ferait... ce n'est pas très catholique.
Là, pas d'accord ! Ça ne l'est hélas que trop :-( (au vu d'un nombre de scandales très spécifiques à cette religion et dont on peut se demander s'ils ne sont pas à mettre en lien avec une obligation du célibat finalement plutôt isolée par rapport à d'autres religions). Par contre que cette réponse soit équivoque au vu des posts précédents, ça, je te l'accorde ! ;-) D'ac', je sors ! (oups !) -- Gérald
Le Moustique <ze.mosquito@free.fr> wrote:
On se demande un peu ce qu'il y ferait... ce n'est pas très catholique.
Là, pas d'accord ! Ça ne l'est hélas que trop :-(
(au vu d'un nombre de scandales très spécifiques à cette religion et
dont on peut se demander s'ils ne sont pas à mettre en lien avec une
obligation du célibat finalement plutôt isolée par rapport à d'autres
religions).
Par contre que cette réponse soit équivoque au vu des posts précédents,
ça, je te l'accorde ! ;-)
On se demande un peu ce qu'il y ferait... ce n'est pas très catholique.
Là, pas d'accord ! Ça ne l'est hélas que trop :-( (au vu d'un nombre de scandales très spécifiques à cette religion et dont on peut se demander s'ils ne sont pas à mettre en lien avec une obligation du célibat finalement plutôt isolée par rapport à d'autres religions). Par contre que cette réponse soit équivoque au vu des posts précédents, ça, je te l'accorde ! ;-) D'ac', je sors ! (oups !) -- Gérald
Le Moustique
Le 11/03/2017 03:51, Gerald a écrit :
Là, pas d'accord ! Ça ne l'est hélas que trop:-(
Je pensais en fait à l'endroit où JPK "officie". :-)
Par contre que cette réponse soit équivoque au vu des posts précédents, ça, je te l'accorde !;-)
C'était un peu le but...
D'ac', je sors ! (oups !)
Ahem.... non, rien. :-D -- /) -:oo= Guillaume ) Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
Le 11/03/2017 03:51, Gerald a écrit :
Là, pas d'accord ! Ça ne l'est hélas que trop:-(
Je pensais en fait à l'endroit où JPK "officie". :-)
Par contre que cette réponse soit équivoque au vu des posts précédents,
ça, je te l'accorde !;-)
C'était un peu le but...
D'ac', je sors ! (oups !)
Ahem.... non, rien. :-D
--
/)
-:oo= Guillaume
)
Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
Je pensais en fait à l'endroit où JPK "officie". :-)
Par contre que cette réponse soit équivoque au vu des posts précédents, ça, je te l'accorde !;-)
C'était un peu le but...
D'ac', je sors ! (oups !)
Ahem.... non, rien. :-D -- /) -:oo= Guillaume ) Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
pehache
Le 10/03/2017 à 15:24, DV a écrit :
pehache a écrit ceci :
Tout ça c'est en grande partie de la rhétorique et ça dépend de quoi on parle. Si on parle des droits moraux sur l'oeuvre (qui sont inaliénables en France), ça a(urait) un sens de ne pas les transmettre. Si on parle des autres droits je ne vois pas trop ce que ça change pour la société qu'ils changent de main.
Ça vaudrait le coup de lire le document Wikisource que j'ai cité (le texte parlant du domaine public court des pages 92 à 99) : « Mais ce que nous voulons fermement, c’est que le droit de publication reste absolu et entier à la société. » C'est essentiellement ce droit qui intéressait Hugo. Après le décès de l'auteur, l'œuvre étant dans le domaine public, n'importe quel éditeur aurait été en droit de la republier, et la seule contrepartie accordée aux héritiers aurait consisté en un petit pourcentage du bénéfice des ventes.
Ce qui revient plus ou moins à découpler les droits moraux des droits pécuniers. Mais plus facile à dire qu'à faire, d'autant que la technologie et les pratiques (commerciales et d'usage) ont beaucoup évolué depuis Hugo.
Le 10/03/2017 à 15:24, DV a écrit :
pehache a écrit ceci :
Tout ça c'est en grande partie de la rhétorique et ça dépend de quoi on
parle.
Si on parle des droits moraux sur l'oeuvre (qui sont inaliénables en
France), ça a(urait) un sens de ne pas les transmettre.
Si on parle des autres droits je ne vois pas trop ce que ça change pour la
société qu'ils changent de main.
Ça vaudrait le coup de lire le document Wikisource que j'ai cité (le
texte parlant du domaine public court des pages 92 à 99) : « Mais ce que
nous voulons fermement, c’est que le droit de publication reste absolu
et entier à la société. » C'est essentiellement ce droit qui intéressait
Hugo.
Après le décès de l'auteur, l'œuvre étant dans le domaine public,
n'importe quel éditeur aurait été en droit de la republier, et la seule
contrepartie accordée aux héritiers aurait consisté en un petit
pourcentage du bénéfice des ventes.
Ce qui revient plus ou moins à découpler les droits moraux des droits
pécuniers. Mais plus facile à dire qu'à faire, d'autant que la
technologie et les pratiques (commerciales et d'usage) ont beaucoup
évolué depuis Hugo.
Tout ça c'est en grande partie de la rhétorique et ça dépend de quoi on parle. Si on parle des droits moraux sur l'oeuvre (qui sont inaliénables en France), ça a(urait) un sens de ne pas les transmettre. Si on parle des autres droits je ne vois pas trop ce que ça change pour la société qu'ils changent de main.
Ça vaudrait le coup de lire le document Wikisource que j'ai cité (le texte parlant du domaine public court des pages 92 à 99) : « Mais ce que nous voulons fermement, c’est que le droit de publication reste absolu et entier à la société. » C'est essentiellement ce droit qui intéressait Hugo. Après le décès de l'auteur, l'œuvre étant dans le domaine public, n'importe quel éditeur aurait été en droit de la republier, et la seule contrepartie accordée aux héritiers aurait consisté en un petit pourcentage du bénéfice des ventes.
Ce qui revient plus ou moins à découpler les droits moraux des droits pécuniers. Mais plus facile à dire qu'à faire, d'autant que la technologie et les pratiques (commerciales et d'usage) ont beaucoup évolué depuis Hugo.
J.P
In article , pehache wrote:
les droits moraux
Cela fait deux fois que tu utilises ce terme: cela existe dans la panoplie juridique, les lois, le Code Civil ... ? -- Jean-Pierre
In article <eilpldFh1l3U1@mid.individual.net>,
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
les droits moraux
Cela fait deux fois que tu utilises ce terme: cela existe dans la
panoplie juridique, les lois, le Code Civil ... ?
OK, merci. Cela m'a l'air très franco-français, non ? -- Jean-Pierre
voir_le_reply-to
J.P wrote:
Cela m'a l'air très franco-français, non ?
Ben voyons ! Je cite : "La Convention de Berne reprend ce droit" donc : <https://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_de_Berne_pour_la_protection_des_½uvres_littéraires_et_artistiques> Considère juste d'une oeil distrait la carte en haut à droite ! Pour du "franco-français" on fait mieux ! Ce que ça a de "franco-français" est à relier à l'histoire du droit d'auteur <https://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_d%27auteur#Histoire> et à son lien direct avec la nuit du 4 août 1789 et l'abolition des privilèges (sacré nuit de cuite chez les aristos ! Et quelle gueule de bois le lendemain !). Après, et c'est heureux, ce sujet a fait l'objet de débats de tous temps et aujourd'hui encore. Certains, dont je suis, seraient pour une remise en cause et mise à plat, en ne gardant comme objectif que de protéger la création et de lutter contre la falsification. -- Gérald
J.P <jpp@gmail.com> wrote:
Cela m'a l'air très franco-français, non ?
Ben voyons ! Je cite : "La Convention de Berne reprend ce droit" donc :
<https://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_de_Berne_pour_la_protection_des_½uvres_littéraires_et_artistiques>
Considère juste d'une oeil distrait la carte en haut à droite ! Pour du
"franco-français" on fait mieux !
Ce que ça a de "franco-français" est à relier à l'histoire du droit
d'auteur <https://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_d%27auteur#Histoire> et à
son lien direct avec la nuit du 4 août 1789 et l'abolition des
privilèges (sacré nuit de cuite chez les aristos ! Et quelle gueule de
bois le lendemain !).
Après, et c'est heureux, ce sujet a fait l'objet de débats de tous temps
et aujourd'hui encore. Certains, dont je suis, seraient pour une remise
en cause et mise à plat, en ne gardant comme objectif que de protéger la
création et de lutter contre la falsification.
Ben voyons ! Je cite : "La Convention de Berne reprend ce droit" donc : <https://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_de_Berne_pour_la_protection_des_½uvres_littéraires_et_artistiques> Considère juste d'une oeil distrait la carte en haut à droite ! Pour du "franco-français" on fait mieux ! Ce que ça a de "franco-français" est à relier à l'histoire du droit d'auteur <https://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_d%27auteur#Histoire> et à son lien direct avec la nuit du 4 août 1789 et l'abolition des privilèges (sacré nuit de cuite chez les aristos ! Et quelle gueule de bois le lendemain !). Après, et c'est heureux, ce sujet a fait l'objet de débats de tous temps et aujourd'hui encore. Certains, dont je suis, seraient pour une remise en cause et mise à plat, en ne gardant comme objectif que de protéger la création et de lutter contre la falsification. -- Gérald
pehache
Le 14/03/2017 à 14:05, Gerald a écrit :
J.P wrote:
Cela m'a l'air très franco-français, non ?
Ben voyons ! Je cite : "La Convention de Berne reprend ce droit" donc : <https://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_de_Berne_pour_la_protection_des_½uvres_littéraires_et_artistiques> Considère juste d'une oeil distrait la carte en haut à droite ! Pour du "franco-français" on fait mieux ! Ce que ça a de "franco-français" est à relier à l'histoire du droit d'auteur <https://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_d%27auteur#Histoire> et à son lien direct avec la nuit du 4 août 1789 et l'abolition des privilèges (sacré nuit de cuite chez les aristos ! Et quelle gueule de bois le lendemain !).
Ce qui est franco-français (en exagérant, car je pense que ça se retrouve dans d'autres pays), c'est qu'en France les droits moraux sont inaliénables : l'auteur ne peut pas les céder.
Après, et c'est heureux, ce sujet a fait l'objet de débats de tous temps et aujourd'hui encore. Certains, dont je suis, seraient pour une remise en cause et mise à plat, en ne gardant comme objectif que de protéger la création et de lutter contre la falsification.
"lutter contre la falsification" est un objectif qui introduit déjà une vision forte et orientée. La "falsification" (en fait la copie sans restriction) ne pose par exemple aucun problème en cas de licence globale. L'objectif de base est de trouver comment rémunérer équitablement les auteurs, alors que la facilité de copie à l'ère numérique rend caduques les schémas basés sur l'achat d'une copie.
Le 14/03/2017 à 14:05, Gerald a écrit :
J.P <jpp@gmail.com> wrote:
Cela m'a l'air très franco-français, non ?
Ben voyons ! Je cite : "La Convention de Berne reprend ce droit" donc :
<https://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_de_Berne_pour_la_protection_des_½uvres_littéraires_et_artistiques>
Considère juste d'une oeil distrait la carte en haut à droite ! Pour du
"franco-français" on fait mieux !
Ce que ça a de "franco-français" est à relier à l'histoire du droit
d'auteur <https://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_d%27auteur#Histoire> et à
son lien direct avec la nuit du 4 août 1789 et l'abolition des
privilèges (sacré nuit de cuite chez les aristos ! Et quelle gueule de
bois le lendemain !).
Ce qui est franco-français (en exagérant, car je pense que ça se
retrouve dans d'autres pays), c'est qu'en France les droits moraux sont
inaliénables : l'auteur ne peut pas les céder.
Après, et c'est heureux, ce sujet a fait l'objet de débats de tous temps
et aujourd'hui encore. Certains, dont je suis, seraient pour une remise
en cause et mise à plat, en ne gardant comme objectif que de protéger la
création et de lutter contre la falsification.
"lutter contre la falsification" est un objectif qui introduit déjà une
vision forte et orientée. La "falsification" (en fait la copie sans
restriction) ne pose par exemple aucun problème en cas de licence globale.
L'objectif de base est de trouver comment rémunérer équitablement les
auteurs, alors que la facilité de copie à l'ère numérique rend caduques
les schémas basés sur l'achat d'une copie.
Ben voyons ! Je cite : "La Convention de Berne reprend ce droit" donc : <https://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_de_Berne_pour_la_protection_des_½uvres_littéraires_et_artistiques> Considère juste d'une oeil distrait la carte en haut à droite ! Pour du "franco-français" on fait mieux ! Ce que ça a de "franco-français" est à relier à l'histoire du droit d'auteur <https://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_d%27auteur#Histoire> et à son lien direct avec la nuit du 4 août 1789 et l'abolition des privilèges (sacré nuit de cuite chez les aristos ! Et quelle gueule de bois le lendemain !).
Ce qui est franco-français (en exagérant, car je pense que ça se retrouve dans d'autres pays), c'est qu'en France les droits moraux sont inaliénables : l'auteur ne peut pas les céder.
Après, et c'est heureux, ce sujet a fait l'objet de débats de tous temps et aujourd'hui encore. Certains, dont je suis, seraient pour une remise en cause et mise à plat, en ne gardant comme objectif que de protéger la création et de lutter contre la falsification.
"lutter contre la falsification" est un objectif qui introduit déjà une vision forte et orientée. La "falsification" (en fait la copie sans restriction) ne pose par exemple aucun problème en cas de licence globale. L'objectif de base est de trouver comment rémunérer équitablement les auteurs, alors que la facilité de copie à l'ère numérique rend caduques les schémas basés sur l'achat d'une copie.
J.P
In article <1n2vqme.dz9og4zzkveoN% om>, (Gerald) wrote:
J.P wrote:
Cela m'a l'air très franco-français, non ?
Ben voyons ! Je cite : "La Convention de Berne reprend ce droit" donc : <https://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_de_Berne_pour_la_protection_des_½uvr es_littéraires_et_artistiques>
Je pensais surtout aux Etats-Unis et leurs envies en ce qui concerne la propriété intellectuelle en général. Je vois qu'ils ont signé la Convention de Berne version 1971 en 1988, et après ? -- Jean-Pierre
In article
<1n2vqme.dz9og4zzkveoN%voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.c
om>,
voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com (Gerald) wrote:
J.P <jpp@gmail.com> wrote:
> Cela m'a l'air très franco-français, non ?
Ben voyons ! Je cite : "La Convention de Berne reprend ce droit" donc :
<https://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_de_Berne_pour_la_protection_des_½uvr
es_littéraires_et_artistiques>
Je pensais surtout aux Etats-Unis et leurs envies en ce qui concerne la
propriété intellectuelle en général.
Je vois qu'ils ont signé la Convention de Berne version 1971 en 1988, et
après ?
In article <1n2vqme.dz9og4zzkveoN% om>, (Gerald) wrote:
J.P wrote:
Cela m'a l'air très franco-français, non ?
Ben voyons ! Je cite : "La Convention de Berne reprend ce droit" donc : <https://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_de_Berne_pour_la_protection_des_½uvr es_littéraires_et_artistiques>
Je pensais surtout aux Etats-Unis et leurs envies en ce qui concerne la propriété intellectuelle en général. Je vois qu'ils ont signé la Convention de Berne version 1971 en 1988, et après ? -- Jean-Pierre
voir_le_reply-to
pehache wrote:
"lutter contre la falsification" est un objectif qui introduit déjà une vision forte et orientée. La "falsification" (en fait la copie sans restriction) ne pose par exemple aucun problème en cas de licence globale. L'objectif de base est de trouver comment rémunérer équitablement les auteurs, alors que la facilité de copie à l'ère numérique rend caduques les schémas basés sur l'achat d'une copie.
Tu as raison sur toute la ligne. Ma formule était maladroite et trahissait seulement le désarroi occasionnel d'un "auteur" (relatif) quand il se voit pillé sans même être cité (on ne parle même pas d'argent). Note que la quasi-totalité de ce que je produis est placé sous licence Creative Commons, que je suis à fond pour le travail collaboratif, et que je me souviens d'époques où l'anonymat des créateurs était la règle. Pas seulement au XIIe siècle et aux débuts de la polyphonie, mais plus récemment chez les DJ du début des années 80 qui mixaient la "techno" anonymement dans leur cage de verre, et qui auraient été bien étonnés si on leur avait décrit les dérives qui suivraient :-( Reste, je l'admets, mon goût pour Mac OS et même le matériel lié, malgré bien des réserves (retour en charte, zou !). À plusieurs reprises j'ai envisagé une migration vers le libre, mais je reste bloqué par un confort douillet. Y a-t-il un âge à partir duquel il est légitime ou acceptable de résister au changement ? -- Gérald
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
"lutter contre la falsification" est un objectif qui introduit déjà une
vision forte et orientée. La "falsification" (en fait la copie sans
restriction) ne pose par exemple aucun problème en cas de licence globale.
L'objectif de base est de trouver comment rémunérer équitablement les
auteurs, alors que la facilité de copie à l'ère numérique rend caduques
les schémas basés sur l'achat d'une copie.
Tu as raison sur toute la ligne. Ma formule était maladroite et
trahissait seulement le désarroi occasionnel d'un "auteur" (relatif)
quand il se voit pillé sans même être cité (on ne parle même pas
d'argent).
Note que la quasi-totalité de ce que je produis est placé sous licence
Creative Commons, que je suis à fond pour le travail collaboratif, et
que je me souviens d'époques où l'anonymat des créateurs était la règle.
Pas seulement au XIIe siècle et aux débuts de la polyphonie, mais plus
récemment chez les DJ du début des années 80 qui mixaient la "techno"
anonymement dans leur cage de verre, et qui auraient été bien étonnés si
on leur avait décrit les dérives qui suivraient :-(
Reste, je l'admets, mon goût pour Mac OS et même le matériel lié, malgré
bien des réserves (retour en charte, zou !). À plusieurs reprises j'ai
envisagé une migration vers le libre, mais je reste bloqué par un
confort douillet. Y a-t-il un âge à partir duquel il est légitime ou
acceptable de résister au changement ?
"lutter contre la falsification" est un objectif qui introduit déjà une vision forte et orientée. La "falsification" (en fait la copie sans restriction) ne pose par exemple aucun problème en cas de licence globale. L'objectif de base est de trouver comment rémunérer équitablement les auteurs, alors que la facilité de copie à l'ère numérique rend caduques les schémas basés sur l'achat d'une copie.
Tu as raison sur toute la ligne. Ma formule était maladroite et trahissait seulement le désarroi occasionnel d'un "auteur" (relatif) quand il se voit pillé sans même être cité (on ne parle même pas d'argent). Note que la quasi-totalité de ce que je produis est placé sous licence Creative Commons, que je suis à fond pour le travail collaboratif, et que je me souviens d'époques où l'anonymat des créateurs était la règle. Pas seulement au XIIe siècle et aux débuts de la polyphonie, mais plus récemment chez les DJ du début des années 80 qui mixaient la "techno" anonymement dans leur cage de verre, et qui auraient été bien étonnés si on leur avait décrit les dérives qui suivraient :-( Reste, je l'admets, mon goût pour Mac OS et même le matériel lié, malgré bien des réserves (retour en charte, zou !). À plusieurs reprises j'ai envisagé une migration vers le libre, mais je reste bloqué par un confort douillet. Y a-t-il un âge à partir duquel il est légitime ou acceptable de résister au changement ? -- Gérald