Je lis tout et son contraire sur la durée de vie des CD et DVD gravés, mais
jamais que c'est aussi stable que je le souhaiterais.
Retours d'expérience, avis et toutes infos sont les bienvenus.
Je doute que beaucoup aillent passer le temps qu'il faut, voici des extraits de l'un des documents, concernant les tests de fiabilités sur un stock de 254 CD - une trentaine gravés pour l'occasion, et le reste gravés depuis 0 à 10 ans !
Z'ont les mêmes problèmes que tout le monde, ça fait presque plaisir à voir.
Christophe a écrit
( 459fc6d8$0$287$426a74cc@news.free.fr )
Je doute que beaucoup aillent passer le temps qu'il faut, voici des
extraits de l'un des documents, concernant les tests de fiabilités sur un
stock de 254 CD - une trentaine gravés pour l'occasion, et le reste
gravés depuis 0 à 10 ans !
Z'ont les mêmes problèmes que tout le monde, ça fait presque plaisir à voir.
Je doute que beaucoup aillent passer le temps qu'il faut, voici des extraits de l'un des documents, concernant les tests de fiabilités sur un stock de 254 CD - une trentaine gravés pour l'occasion, et le reste gravés depuis 0 à 10 ans !
Z'ont les mêmes problèmes que tout le monde, ça fait presque plaisir à voir.
markorki
A supposer que certains équipements le fasse, ils boxent dans une autre catégorie. Et je ne vois pas l'intéret d'un logiciel pour nous. Il suffit de regarder la couleur du CD pour savoir s'il s'agit d'un CD "économique" ou de techno plus avancée (après il y a sans doute des subtilités mais je ne suis pas sur que ca ait un sens pratique pour nous ;-)).
non, c'est plus compliqué: par exemple le bleu assez soutenu (qq part entre bleu roi et bleu outremer) est commun a des CDR déplorables comme à d'excellents.
Des tas de logiciels signalent le type de la momécule active, que ce soit leur seul boulot (cdrident, cdrdiag sûrement remplacés maintenant par des produits dont le nom évoque les DVD) ou que ce soit la tache initiale d'un logiciel qui va en tenir compte pour graver : tous les produits dérivés du monde Linux, tels les appendices de cygwin, cdrfe, etc, qui en début de toute opération fournissent tous les détails sur le support, vierge ou non, qur lequel on va effectuer l'opération demandée (gravage monosession, première sessionde multisession, ajout de session, effacement de support réinscriptible, etc...)
Un autre produit qui fait ça : le paquet "plextool" , livré avec tout périf optique Plextor version "boite" et parfois aussi en "bulk".
A supposer que certains équipements le fasse, ils boxent dans une autre
catégorie. Et je ne vois pas l'intéret d'un logiciel pour nous. Il
suffit de regarder la couleur du CD pour savoir s'il s'agit d'un CD
"économique" ou de techno plus avancée (après il y a sans doute des
subtilités mais je ne suis pas sur que ca ait un sens pratique pour nous
;-)).
non, c'est plus compliqué: par exemple le bleu assez soutenu (qq part
entre bleu roi et bleu outremer) est commun a des CDR déplorables comme
à d'excellents.
Des tas de logiciels signalent le type de la momécule active, que ce
soit leur seul boulot (cdrident, cdrdiag sûrement remplacés maintenant
par des produits dont le nom évoque les DVD)
ou que ce soit la tache initiale d'un logiciel qui va en tenir compte
pour graver : tous les produits dérivés du monde Linux, tels les
appendices de cygwin, cdrfe, etc, qui en début de toute opération
fournissent tous les détails sur le support, vierge ou non, qur lequel
on va effectuer l'opération demandée (gravage monosession, première
sessionde multisession, ajout de session, effacement de support
réinscriptible, etc...)
Un autre produit qui fait ça : le paquet "plextool" , livré avec tout
périf optique Plextor version "boite" et parfois aussi en "bulk".
A supposer que certains équipements le fasse, ils boxent dans une autre catégorie. Et je ne vois pas l'intéret d'un logiciel pour nous. Il suffit de regarder la couleur du CD pour savoir s'il s'agit d'un CD "économique" ou de techno plus avancée (après il y a sans doute des subtilités mais je ne suis pas sur que ca ait un sens pratique pour nous ;-)).
non, c'est plus compliqué: par exemple le bleu assez soutenu (qq part entre bleu roi et bleu outremer) est commun a des CDR déplorables comme à d'excellents.
Des tas de logiciels signalent le type de la momécule active, que ce soit leur seul boulot (cdrident, cdrdiag sûrement remplacés maintenant par des produits dont le nom évoque les DVD) ou que ce soit la tache initiale d'un logiciel qui va en tenir compte pour graver : tous les produits dérivés du monde Linux, tels les appendices de cygwin, cdrfe, etc, qui en début de toute opération fournissent tous les détails sur le support, vierge ou non, qur lequel on va effectuer l'opération demandée (gravage monosession, première sessionde multisession, ajout de session, effacement de support réinscriptible, etc...)
Un autre produit qui fait ça : le paquet "plextool" , livré avec tout périf optique Plextor version "boite" et parfois aussi en "bulk".
Christophe
On 6-Jan-2007, Christophe wrote:
Graver à vitesse lente (x12 par exemple pour les CDs; pas x48)
Exact. Mes meilleurs résultats avec des CDRs 48x sont obtenus en gravure 16X
question à 100 balles Vous faites comment pour savoir que les résultats sont "meilleurs" à x16?
Je n'ai jamais su comment on détermine la valeur optimale....
christophe
On 6-Jan-2007, Christophe <chpnp@nospam.com> wrote:
Graver à vitesse lente (x12 par exemple pour les CDs; pas x48)
Exact.
Mes meilleurs résultats avec des CDRs 48x sont obtenus en gravure 16X
question à 100 balles
Vous faites comment pour savoir que les résultats sont "meilleurs" à x16?
Je n'ai jamais su comment on détermine la valeur optimale....
Tu fait la mesure des erreurs C1/C2 pour les CDRs, et PI/PO pour les DVDs avec un logiciel tel que Plextool ou Kprobe.
Ou Nero qui fait cela très bien également.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Christophe
Jean-Pierre Roche a écrit ( enod91$24q0$ )
Il ne faut pas contenter de l'introduction ;-) Cliquer sur "plates-formes d'archivage électronique" puis dans "Recommandations" (version longue) ou "Mémento pratique" (version courte)
Ah oui, très bien.
Ceci dit, je trouve édifiant que des spécialistes qui ont les moyens et qui font appel à des prestataires professionnels vont se retrouver avec la même imprévisibilité qu'un particulier et qu'ils auront au final à jouer les statistiques et les compromis pour assurer leur archivage.
Les problèmes sont de la même nature, mais les sociétés disposant d'une vraie exploitation informatiques ont les moyens de mettre en place les procédures ad hoc, en comprenant le compromis éventuel qu'elles font.
A une époque j'ai vu des sites avec plus de 200 disques (sur une seule machine) et un MTBF de 20 ans par disque, environ. Avec ce volume, en moyenne un disque dégage tout les mois. Le directeur informatique qui ignorerait ce problème aurait peu de chance de survivre plus de deux ou trois mois. (déjà qu'ils ont du mal à survivre plus de 24 mois....)
Certaines exploitations disposent d'un site de secours, (parfois totalement secret) et font régulièrement (une fois par mois) des tests de restauration et/ou de basculement ce qui leur permet de valider leurs procédures.
(Ca ne permet pas toujours de régler tous les problèmes, j'ai connu un client dont le système se trouvait dans les twin towers. Il avait un site de backup se trouvant.... dans l'autre twin tower...)
A l'inverse l'immense majorité des particuliers n'a pas de procédure de sauvegarde ou une procédure de sauvegarde inefficace (ce qu'ils ignorent jusqu'au jour où il faut restaurer et qu'on voit alors que ca ne marche pas, ou c'est trop vieux, ou incomplet...)
Le gros problème de la sauvegarde n'est pas la sauvegarde, mais la restauration....
Christophe
Jean-Pierre Roche a écrit
( enod91$24q0$1@talisker.lacave.net )
Il ne faut pas contenter de l'introduction ;-)
Cliquer sur "plates-formes d'archivage électronique" puis dans
"Recommandations" (version longue) ou "Mémento pratique" (version courte)
Ah oui, très bien.
Ceci dit, je trouve édifiant que des spécialistes qui ont les moyens et qui
font appel à des prestataires professionnels vont se retrouver avec la même
imprévisibilité qu'un particulier et qu'ils auront au final à jouer les
statistiques et les compromis pour assurer leur archivage.
Les problèmes sont de la même nature, mais les
sociétés disposant d'une vraie exploitation informatiques ont les moyens de
mettre en place les procédures ad hoc, en comprenant le compromis éventuel
qu'elles font.
A une époque j'ai vu des sites avec plus de 200 disques (sur une seule machine) et un MTBF
de 20 ans par disque, environ. Avec ce volume, en moyenne un disque dégage tout les mois.
Le directeur informatique qui ignorerait ce problème aurait peu de chance de survivre
plus de deux ou trois mois. (déjà qu'ils ont du mal à survivre plus de 24 mois....)
Certaines exploitations disposent d'un site de secours, (parfois totalement secret)
et font régulièrement (une fois par mois) des tests de restauration et/ou de basculement
ce qui leur permet de valider leurs procédures.
(Ca ne permet pas toujours de régler tous les problèmes, j'ai connu un client dont le
système se trouvait dans les twin towers. Il avait un site de backup se trouvant....
dans l'autre twin tower...)
A l'inverse l'immense majorité des particuliers n'a pas de procédure de sauvegarde
ou une procédure de sauvegarde inefficace (ce qu'ils ignorent jusqu'au jour où
il faut restaurer et qu'on voit alors que ca ne marche pas, ou c'est trop vieux,
ou incomplet...)
Le gros problème de la sauvegarde n'est pas la sauvegarde, mais la restauration....
Il ne faut pas contenter de l'introduction ;-) Cliquer sur "plates-formes d'archivage électronique" puis dans "Recommandations" (version longue) ou "Mémento pratique" (version courte)
Ah oui, très bien.
Ceci dit, je trouve édifiant que des spécialistes qui ont les moyens et qui font appel à des prestataires professionnels vont se retrouver avec la même imprévisibilité qu'un particulier et qu'ils auront au final à jouer les statistiques et les compromis pour assurer leur archivage.
Les problèmes sont de la même nature, mais les sociétés disposant d'une vraie exploitation informatiques ont les moyens de mettre en place les procédures ad hoc, en comprenant le compromis éventuel qu'elles font.
A une époque j'ai vu des sites avec plus de 200 disques (sur une seule machine) et un MTBF de 20 ans par disque, environ. Avec ce volume, en moyenne un disque dégage tout les mois. Le directeur informatique qui ignorerait ce problème aurait peu de chance de survivre plus de deux ou trois mois. (déjà qu'ils ont du mal à survivre plus de 24 mois....)
Certaines exploitations disposent d'un site de secours, (parfois totalement secret) et font régulièrement (une fois par mois) des tests de restauration et/ou de basculement ce qui leur permet de valider leurs procédures.
(Ca ne permet pas toujours de régler tous les problèmes, j'ai connu un client dont le système se trouvait dans les twin towers. Il avait un site de backup se trouvant.... dans l'autre twin tower...)
A l'inverse l'immense majorité des particuliers n'a pas de procédure de sauvegarde ou une procédure de sauvegarde inefficace (ce qu'ils ignorent jusqu'au jour où il faut restaurer et qu'on voit alors que ca ne marche pas, ou c'est trop vieux, ou incomplet...)
Le gros problème de la sauvegarde n'est pas la sauvegarde, mais la restauration....
Christophe
Jean-Claude Ghislain
Tu fait la mesure des erreurs C1/C2 pour les CDRs, et PI/PO pour les DVDs avec un logiciel tel que Plextool ou Kprobe.
Un petit article sur le sujet : http://www.gravure-news.com/html/arts/17/page01.php
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Tu fait la mesure des erreurs C1/C2 pour les CDRs, et PI/PO pour les
DVDs avec un logiciel tel que Plextool ou Kprobe.
Un petit article sur le sujet :
http://www.gravure-news.com/html/arts/17/page01.php
Tu fait la mesure des erreurs C1/C2 pour les CDRs, et PI/PO pour les DVDs avec un logiciel tel que Plextool ou Kprobe.
Un petit article sur le sujet : http://www.gravure-news.com/html/arts/17/page01.php
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Christophe
Des tas de logiciels signalent le type de la momécule active, que ce soit leur seul boulot (cdrident, cdrdiag sûrement remplacés maintenant par des produits dont le nom évoque les DVD)
Ah oui j'ai vu ca après mon post (pas avec autant de détail quand même :-( ) J'ai tiré un peu vite, par incompréhension de l'affirmation d'origine :-(
Je suppose que cela est fait par lecture d'une donnée inscrite sur le support (ce qui me semble etre le cas de cdcheck)? Je vois mal une vraie "analyse", sauf par un équipement dédié ? Ou bien on arrive réellement avec un "simple" laser de lecteur à déterminer la nature du support à ce niveau de détail ??
christophe
Des tas de logiciels signalent le type de la momécule active, que ce
soit leur seul boulot (cdrident, cdrdiag sûrement remplacés maintenant
par des produits dont le nom évoque les DVD)
Ah oui j'ai vu ca après mon post (pas avec autant de détail quand même :-( )
J'ai tiré un peu vite, par incompréhension de l'affirmation d'origine :-(
Je suppose que cela est fait par lecture d'une donnée inscrite sur le
support (ce qui me semble etre le cas de cdcheck)? Je vois mal une vraie
"analyse", sauf par un équipement dédié ?
Ou bien on arrive réellement avec un "simple" laser de lecteur à déterminer
la nature du support à ce niveau de détail ??
Des tas de logiciels signalent le type de la momécule active, que ce soit leur seul boulot (cdrident, cdrdiag sûrement remplacés maintenant par des produits dont le nom évoque les DVD)
Ah oui j'ai vu ca après mon post (pas avec autant de détail quand même :-( ) J'ai tiré un peu vite, par incompréhension de l'affirmation d'origine :-(
Je suppose que cela est fait par lecture d'une donnée inscrite sur le support (ce qui me semble etre le cas de cdcheck)? Je vois mal une vraie "analyse", sauf par un équipement dédié ? Ou bien on arrive réellement avec un "simple" laser de lecteur à déterminer la nature du support à ce niveau de détail ??
christophe
Christophe
Tu fait la mesure des erreurs C1/C2 pour les CDRs, et PI/PO pour les DVDs avec un logiciel tel que Plextool ou Kprobe. Gravé avec le même fichier .iso (le plus grand possible, faut remplir le disque), et les même logiciels et graveur. Seul change un paramètre, la vitesse de gravage. L'interprétation du nombre d'erreur est significatif. Simple. Long, mais simple. A faire régulièrement, et surtout si l'envie te prends de changer de média.
Ah je vois. Merci
christophe
Tu fait la mesure des erreurs C1/C2 pour les CDRs, et PI/PO pour les DVDs
avec un logiciel tel que Plextool ou Kprobe.
Gravé avec le même fichier .iso (le plus grand possible, faut remplir le
disque), et les même logiciels et graveur.
Seul change un paramètre, la vitesse de gravage.
L'interprétation du nombre d'erreur est significatif.
Simple.
Long, mais simple.
A faire régulièrement, et surtout si l'envie te prends de changer de média.
Tu fait la mesure des erreurs C1/C2 pour les CDRs, et PI/PO pour les DVDs avec un logiciel tel que Plextool ou Kprobe. Gravé avec le même fichier .iso (le plus grand possible, faut remplir le disque), et les même logiciels et graveur. Seul change un paramètre, la vitesse de gravage. L'interprétation du nombre d'erreur est significatif. Simple. Long, mais simple. A faire régulièrement, et surtout si l'envie te prends de changer de média.
Ah je vois. Merci
christophe
Jean-Claude Ghislain
Les deux précités sont toutefois livrés avec le graveur, et gratuits.
Nero est également livré avec certains graveurs et/ou ordinateurs. J'ai une belle petite pile de CD "Nero", livré avec l'un ou l'autre matériel.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Les deux précités sont toutefois livrés avec le graveur, et gratuits.
Nero est également livré avec certains graveurs et/ou ordinateurs. J'ai
une belle petite pile de CD "Nero", livré avec l'un ou l'autre matériel.
Les deux précités sont toutefois livrés avec le graveur, et gratuits.
Nero est également livré avec certains graveurs et/ou ordinateurs. J'ai une belle petite pile de CD "Nero", livré avec l'un ou l'autre matériel.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Jean-Claude Ghislain
Versions complètes ? Ou Express V6 SE ?
Souvent des versions allégées, mais parfois des versions complètes.
En tout cas, même dans sa version complète, Néro (CD/DVD speed) ne permet pas les différents tests (sum1 ET sum8, par exemple) que permet Plextool.
Oui d'accord, mais si on a déjà Nero, il est bien de savoir qu'il possède des fonctions de test, il ne doit pas y avoir beaucoup d'utilisateurs qui sont au courant.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Versions complètes ?
Ou Express V6 SE ?
Souvent des versions allégées, mais parfois des versions complètes.
En tout cas, même dans sa version complète, Néro (CD/DVD speed) ne
permet pas les différents tests (sum1 ET sum8, par exemple) que permet
Plextool.
Oui d'accord, mais si on a déjà Nero, il est bien de savoir qu'il
possède des fonctions de test, il ne doit pas y avoir beaucoup
d'utilisateurs qui sont au courant.
Souvent des versions allégées, mais parfois des versions complètes.
En tout cas, même dans sa version complète, Néro (CD/DVD speed) ne permet pas les différents tests (sum1 ET sum8, par exemple) que permet Plextool.
Oui d'accord, mais si on a déjà Nero, il est bien de savoir qu'il possède des fonctions de test, il ne doit pas y avoir beaucoup d'utilisateurs qui sont au courant.