Des essais de nouvelles juxtapositions, toujours dans l'esprit de
rendre
plus claires les images, ainsi que les suites d'images :
-(3 pages) dont deux images en mouvement avec son sous forme de
mélodie :
http://www.octav.fr/quotidien/08-01-26/26jan08.html
-(2 pages) essai de mettre du son avec une image fixe, son qui ne
ferait
qu'un avec l'image :
http://www.octav.fr/quotidien/08-03-01/01mar08.html
-(1 page) intégration d'une image avec un morceau de texte lu :
http://www.octav.fr/quotidien/08-03-02/02mar08.html
-(10 pages) même chose dans une suite :
http://www.octav.fr/quotidien/08-03-06/06mar08.html
(Les deux pages ci-dessus ne sont pas reliées à la page d'accueil du
site, dans l'attente d'une réponse de la part de l'éditeur pour
l'utilisation du texte. Elles seront retirées en cas de réponse
négative.)
Merci de vos commentaires, surtout pour les pages ci-dessus
Encore quelques suites simples (de photos seules) :
-(5 pages) au dessus de la route, sur l'ancienne ligne de chemin de
fer :
http://www.octav.fr/quotidien/08-01-20/20jan08.html
-(16 pages) au bord du Lez :
http://www.octav.fr/quotidien/08-01-27/27jan08.html
-(16 pages) en attendant qu'il cesse de pleuvoir, petite balade et
retour :
http://www.octav.fr/quotidien/08-02-03/3fev08.html
-(24 pages) fin de jour, beaucoup de noir :
http://www.octav.fr/quotidien/08-02-22/22fev08.html
-(41 pages) dans la forêt, beaucoup de pierres :
http://www.octav.fr/quotidien/08-02-23/23fev08.html
Si un jour tu pouvais faire une critique qui ne soit pas dans le sarcasme facile...
Ça je l'ai fait, et à maintes reprises. Mais bon...
Qu'il est mignon ce petit prétentieux !
Ceci dit vous reconnaissez que vous êtes dans la carricature et pas dans la critique.
Et en plus bien entendu il évite de répondre sur le fond :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown <Bour-Brown@wnd.fr> wrote:
FiLH a écrit
( 1igmwz0.15c1nf01551ukgN%filh@filh.orgie )
Si un jour tu pouvais faire une critique qui ne soit pas dans le
sarcasme facile...
Ça je l'ai fait, et à maintes reprises. Mais bon...
Qu'il est mignon ce petit prétentieux !
Ceci dit vous reconnaissez que vous êtes dans la carricature et pas dans
la critique.
Et en plus bien entendu il évite de répondre sur le fond :)
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Si un jour tu pouvais faire une critique qui ne soit pas dans le sarcasme facile...
Ça je l'ai fait, et à maintes reprises. Mais bon...
Qu'il est mignon ce petit prétentieux !
Ceci dit vous reconnaissez que vous êtes dans la carricature et pas dans la critique.
Et en plus bien entendu il évite de répondre sur le fond :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Bour-Brown wrote:
Faut dire aussi que s'inventer des rêves dans les fossés, euh, je crois qu'on l'a tous suffisamment fait dans notre enfance pour avoir envie aujourd'hui de passer à autre chose.
Ah, en plus il fait des complexes d'adulte mal assumé...
Mon dieu mon dieu mon dieux !
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown <Bour-Brown@wnd.fr> wrote:
Faut dire aussi que s'inventer des rêves dans les fossés, euh, je crois
qu'on l'a tous suffisamment fait dans notre enfance pour avoir envie
aujourd'hui de passer à autre chose.
Ah, en plus il fait des complexes d'adulte mal assumé...
Mon dieu mon dieu mon dieux !
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Faut dire aussi que s'inventer des rêves dans les fossés, euh, je crois qu'on l'a tous suffisamment fait dans notre enfance pour avoir envie aujourd'hui de passer à autre chose.
Ah, en plus il fait des complexes d'adulte mal assumé...
Mon dieu mon dieu mon dieux !
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
LG
"Octave" a écrit dans le message de news:
LG a présenté l'énoncé suivant :
Bonjour, tu te dit plasticien, alors regarde ton originale et la rcadrée ci-jointe. Tu apercevras que tout ce qui est en dehors de tes lignes de force (vers la gauche, donc) je l'ais enlevé. http://cjoint.com/?fikE1nEiSE
Que pense tu de ce recadrage? On reste mieux dans la photo, non ?
Je mets l'adresse de mon image, pour comparer : http://www.octav.fr/quotidien/08-01-20/01.html
Ton recadrage n'est pas proportionnel, je n'aurais donc pas pu obtenir ce que tu montres avec mon appareil (en considérant que je ne recadre pas, sauf cas où le projet utilise le recadrage).
C'est vrai que ton image est plus stable, calée sur le bord gauche, avec une direction à droite que n'a plus la mienne. Dans l'absolu la tienne est mieux sentie.
Ca éclaire peut-être sur ce que je cherche, qui n'est pas de faire une image équilibrée (sauf exception), mais plutôt de rendre une vision de façon la plus directe possible, une vision rapide, sans mise en place de tout un système de conditionnement avec des lois logiques, historiques. Je n'en ai pas le temps, si je veux garder le regard incisif et spontané, et surtout, ça ne m'intéresse pas. J'admets que ta version est plus fine, mais ma version est plus directe, plus sincère (la maison, sujet principal étant davantage au centre), version qui a elle-même une forme d'équilibre qui me convient mieux, moins évident, moins voyant, mais quand-même bien présent.
En tout cas sujet intéressant. J'aimerai savoir ce que tu penses de ma réponse, si tu vois dans ma version ce que je dis, ou pas.
--
Je veux bien admettre ton point de vue et le comprendre. Mais : le fait d'intégrer dans une image, des lignes fuyantes vers l'extérieure de l'image amène le spectateur à sortir de la dite image et ainsi à passer à la suivante. Ce qui, en photo n'est pas le but, le but étant justement d'accrocher le quidam et a scotcher son regard sur une photo et l'obliger inconsciemment à en faire le tour et chercher les détails qui ne lui on pas sautés aux yeux d'un premier regard. Lg
"Octave" <octavoctav@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
mn.42a47d8560adc459.72551@wanadoo.fr...
LG a présenté l'énoncé suivant :
Bonjour, tu te dit plasticien, alors regarde ton originale et la
rcadrée ci-jointe.
Tu apercevras que tout ce qui est en dehors de tes lignes de force
(vers la gauche, donc) je l'ais enlevé.
http://cjoint.com/?fikE1nEiSE
Que pense tu de ce recadrage? On reste mieux dans la photo, non ?
Je mets l'adresse de mon image, pour comparer :
http://www.octav.fr/quotidien/08-01-20/01.html
Ton recadrage n'est pas proportionnel, je n'aurais donc pas pu obtenir
ce que tu montres avec mon appareil (en considérant que je ne recadre
pas, sauf cas où le projet utilise le recadrage).
C'est vrai que ton image est plus stable, calée sur le bord gauche,
avec
une direction à droite que n'a plus la mienne.
Dans l'absolu la tienne est mieux sentie.
Ca éclaire peut-être sur ce que je cherche, qui n'est pas de faire une
image équilibrée (sauf exception), mais plutôt de rendre une vision de
façon la plus directe possible, une vision rapide, sans mise en place
de
tout un système de conditionnement avec des lois logiques,
historiques.
Je n'en ai pas le temps, si je veux garder le regard incisif et
spontané, et surtout, ça ne m'intéresse pas. J'admets que ta version
est
plus fine, mais ma version est plus directe, plus sincère (la maison,
sujet principal étant davantage au centre), version qui a elle-même
une
forme d'équilibre qui me convient mieux, moins évident, moins voyant,
mais quand-même bien présent.
En tout cas sujet intéressant.
J'aimerai savoir ce que tu penses de ma réponse, si tu vois dans ma
version ce que je dis, ou pas.
--
Je veux bien admettre ton point de vue et le comprendre.
Mais : le fait d'intégrer dans une image, des lignes fuyantes vers
l'extérieure de l'image amène le spectateur à sortir de la dite image et
ainsi à passer à la suivante. Ce qui, en photo n'est pas le but, le but
étant justement d'accrocher le quidam et a scotcher son regard sur une
photo et l'obliger inconsciemment à en faire le tour et chercher les
détails qui ne lui on pas sautés aux yeux d'un premier regard.
Lg
Bonjour, tu te dit plasticien, alors regarde ton originale et la rcadrée ci-jointe. Tu apercevras que tout ce qui est en dehors de tes lignes de force (vers la gauche, donc) je l'ais enlevé. http://cjoint.com/?fikE1nEiSE
Que pense tu de ce recadrage? On reste mieux dans la photo, non ?
Je mets l'adresse de mon image, pour comparer : http://www.octav.fr/quotidien/08-01-20/01.html
Ton recadrage n'est pas proportionnel, je n'aurais donc pas pu obtenir ce que tu montres avec mon appareil (en considérant que je ne recadre pas, sauf cas où le projet utilise le recadrage).
C'est vrai que ton image est plus stable, calée sur le bord gauche, avec une direction à droite que n'a plus la mienne. Dans l'absolu la tienne est mieux sentie.
Ca éclaire peut-être sur ce que je cherche, qui n'est pas de faire une image équilibrée (sauf exception), mais plutôt de rendre une vision de façon la plus directe possible, une vision rapide, sans mise en place de tout un système de conditionnement avec des lois logiques, historiques. Je n'en ai pas le temps, si je veux garder le regard incisif et spontané, et surtout, ça ne m'intéresse pas. J'admets que ta version est plus fine, mais ma version est plus directe, plus sincère (la maison, sujet principal étant davantage au centre), version qui a elle-même une forme d'équilibre qui me convient mieux, moins évident, moins voyant, mais quand-même bien présent.
En tout cas sujet intéressant. J'aimerai savoir ce que tu penses de ma réponse, si tu vois dans ma version ce que je dis, ou pas.
--
Je veux bien admettre ton point de vue et le comprendre. Mais : le fait d'intégrer dans une image, des lignes fuyantes vers l'extérieure de l'image amène le spectateur à sortir de la dite image et ainsi à passer à la suivante. Ce qui, en photo n'est pas le but, le but étant justement d'accrocher le quidam et a scotcher son regard sur une photo et l'obliger inconsciemment à en faire le tour et chercher les détails qui ne lui on pas sautés aux yeux d'un premier regard. Lg
Charles VASSALLO
FiLH wrote:
Moi je trouve que sa présentation [Octave] au contraire est très cohérente et correspond bien à ce qui se dit dans ses photos.
Je m'explique : la vision traditionnelle de la photo est qu'elle doit montrer quelque chose d'intéressant, de remarquable, de pitoresque. Chaque photo est un petit événement une petite « sacralisation ».
Pas d'accord, c'est simplement la dimension "documentaire" de la photographie. Bien sûr, c'est important. Mais il y a belle lurette (100 ans, 150 ans?) qu'on s'intéresse bien davantage à la manière de photographier. Au style des photographes.
Octave est dans le flux, comme il le dit : tout est important ou rien n'est important. Ce n'est donc pas fini car ce n'est pas dans cette sacralisation de l'art des siècles derniers...
Ce qui est important est d'arriver à intéresser un public. Tant mieux pour Octave s'il en trouve un, mais je n'en serais pas. C'est simple, je n'arrive pas à m'extasier quand on photographie la banalité des choses de façon banale (ou délibéremment laide, pour ne pas faire comme tout le monde avant qui recherchait une certaine beauté).
Je crois qu'il y a ces dernières années une grosse mutation sur ce que devient la photo. Et je crois que la photo amateur française passe complètement à côté de la plaque.
J'ignore sur quel belvédère tu te tiens pour observer l'évolution de la photo d'amateur. Pour ma part, je serais plus circonspect : baignant dedans, je ne peux pas prétendre à un point de vue d'ensemble. Quant à la photo, certes, elle évolue ; il me semble même qu'elle n'a pas arrêté de le faire depuis le tout début. Sans doute le mouvement s'est-il accéléré avec les moyens de communication modernes.
Il y a eu tellement de photos tellement d'images qu'il est vain de continuer d'en faire...encore du flou ? Encore du net ? Encore encore encore ? Quelle est donc cette vanité qui nous pousse à photographier encore ?
Rien de bien compliqué : le petit léger prurit de laisser une trace derrière nous. De créer quelque chose qui nous soit personnel et qui marque notre entourage. Cela me paraît profondément humain et très salvateur pour les individus. Bien sûr, il se peut que cela ait déjà été fait, et alors ? On ne prétend pas tous jouer les Léonards et entrer dans les musées -- même si on le voudrait bien quand on se pique au jeu.
On ne va tout de même pas passer son temps à tout lire et tout visiter pour s'assurer que nul n'a déjà fait les images qu'on se prépare à faire. On les fait, c'est tout, et parallèlement, on peut regarder, lire, visiter. On en retire de nouvelles idées ou on infléchit sa manière. Ou bien aussi on peut se conforter dans l'opinion que certains font fausse route.
[le travail d'Octave] n'est pas l'extase dont se moque Bour Brown. Ce n'est pas l'ouverture de 1812 avec ses coups de canon tonnitruants, ce n'est pas le bling bling des photos de Jmg... ce n'est pas le monde soudain organisé de l'école française des années 50...
Je partage le point de vue de Bour Brown, et je trouve qu'il l'a exprimé de manière remarquablement pondérée. En regard, je regrette que certaines de tes interventions (cf «Qu'il est mignon ce petit prétentieux») soient d'un niveau aussi faible en comparaison -- ou en comparaison du tien message que je reprends ici.
Charles
FiLH wrote:
Moi je trouve que sa présentation [Octave] au contraire est
très cohérente et correspond bien à ce qui se dit dans ses photos.
Je m'explique : la vision traditionnelle de la photo est qu'elle doit
montrer quelque chose d'intéressant, de remarquable, de pitoresque.
Chaque photo est un petit événement une petite « sacralisation ».
Pas d'accord, c'est simplement la dimension "documentaire" de la
photographie. Bien sûr, c'est important. Mais il y a belle lurette (100
ans, 150 ans?) qu'on s'intéresse bien davantage à la manière de
photographier. Au style des photographes.
Octave est dans le flux, comme il le dit : tout est important ou rien
n'est important. Ce n'est donc pas fini car ce n'est pas dans cette
sacralisation de l'art des siècles derniers...
Ce qui est important est d'arriver à intéresser un public. Tant mieux
pour Octave s'il en trouve un, mais je n'en serais pas. C'est simple, je
n'arrive pas à m'extasier quand on photographie la banalité des choses
de façon banale (ou délibéremment laide, pour ne pas faire comme tout le
monde avant qui recherchait une certaine beauté).
Je crois qu'il y a ces dernières années une grosse mutation sur ce que
devient la photo. Et je crois que la photo amateur française passe
complètement à côté de la plaque.
J'ignore sur quel belvédère tu te tiens pour observer l'évolution de la
photo d'amateur. Pour ma part, je serais plus circonspect : baignant
dedans, je ne peux pas prétendre à un point de vue d'ensemble. Quant à
la photo, certes, elle évolue ; il me semble même qu'elle n'a pas arrêté
de le faire depuis le tout début. Sans doute le mouvement s'est-il
accéléré avec les moyens de communication modernes.
Il y a eu tellement de photos tellement d'images qu'il est vain de
continuer d'en faire...encore du flou ? Encore du net ? Encore encore
encore ? Quelle est donc cette vanité qui nous pousse à photographier
encore ?
Rien de bien compliqué : le petit léger prurit de laisser une trace
derrière nous. De créer quelque chose qui nous soit personnel et qui
marque notre entourage. Cela me paraît profondément humain et très
salvateur pour les individus. Bien sûr, il se peut que cela ait déjà été
fait, et alors ? On ne prétend pas tous jouer les Léonards et entrer
dans les musées -- même si on le voudrait bien quand on se pique au jeu.
On ne va tout de même pas passer son temps à tout lire et tout visiter
pour s'assurer que nul n'a déjà fait les images qu'on se prépare à
faire. On les fait, c'est tout, et parallèlement, on peut regarder,
lire, visiter. On en retire de nouvelles idées ou on infléchit sa
manière. Ou bien aussi on peut se conforter dans l'opinion que certains
font fausse route.
[le travail d'Octave] n'est pas l'extase dont se moque Bour Brown. Ce
n'est pas l'ouverture de 1812 avec ses coups de canon tonnitruants, ce
n'est pas le bling bling des photos de Jmg... ce n'est pas le monde
soudain organisé de l'école française des années 50...
Je partage le point de vue de Bour Brown, et je trouve qu'il l'a exprimé
de manière remarquablement pondérée. En regard, je regrette que
certaines de tes interventions (cf «Qu'il est mignon ce petit
prétentieux») soient d'un niveau aussi faible en comparaison -- ou en
comparaison du tien message que je reprends ici.
Moi je trouve que sa présentation [Octave] au contraire est très cohérente et correspond bien à ce qui se dit dans ses photos.
Je m'explique : la vision traditionnelle de la photo est qu'elle doit montrer quelque chose d'intéressant, de remarquable, de pitoresque. Chaque photo est un petit événement une petite « sacralisation ».
Pas d'accord, c'est simplement la dimension "documentaire" de la photographie. Bien sûr, c'est important. Mais il y a belle lurette (100 ans, 150 ans?) qu'on s'intéresse bien davantage à la manière de photographier. Au style des photographes.
Octave est dans le flux, comme il le dit : tout est important ou rien n'est important. Ce n'est donc pas fini car ce n'est pas dans cette sacralisation de l'art des siècles derniers...
Ce qui est important est d'arriver à intéresser un public. Tant mieux pour Octave s'il en trouve un, mais je n'en serais pas. C'est simple, je n'arrive pas à m'extasier quand on photographie la banalité des choses de façon banale (ou délibéremment laide, pour ne pas faire comme tout le monde avant qui recherchait une certaine beauté).
Je crois qu'il y a ces dernières années une grosse mutation sur ce que devient la photo. Et je crois que la photo amateur française passe complètement à côté de la plaque.
J'ignore sur quel belvédère tu te tiens pour observer l'évolution de la photo d'amateur. Pour ma part, je serais plus circonspect : baignant dedans, je ne peux pas prétendre à un point de vue d'ensemble. Quant à la photo, certes, elle évolue ; il me semble même qu'elle n'a pas arrêté de le faire depuis le tout début. Sans doute le mouvement s'est-il accéléré avec les moyens de communication modernes.
Il y a eu tellement de photos tellement d'images qu'il est vain de continuer d'en faire...encore du flou ? Encore du net ? Encore encore encore ? Quelle est donc cette vanité qui nous pousse à photographier encore ?
Rien de bien compliqué : le petit léger prurit de laisser une trace derrière nous. De créer quelque chose qui nous soit personnel et qui marque notre entourage. Cela me paraît profondément humain et très salvateur pour les individus. Bien sûr, il se peut que cela ait déjà été fait, et alors ? On ne prétend pas tous jouer les Léonards et entrer dans les musées -- même si on le voudrait bien quand on se pique au jeu.
On ne va tout de même pas passer son temps à tout lire et tout visiter pour s'assurer que nul n'a déjà fait les images qu'on se prépare à faire. On les fait, c'est tout, et parallèlement, on peut regarder, lire, visiter. On en retire de nouvelles idées ou on infléchit sa manière. Ou bien aussi on peut se conforter dans l'opinion que certains font fausse route.
[le travail d'Octave] n'est pas l'extase dont se moque Bour Brown. Ce n'est pas l'ouverture de 1812 avec ses coups de canon tonnitruants, ce n'est pas le bling bling des photos de Jmg... ce n'est pas le monde soudain organisé de l'école française des années 50...
Je partage le point de vue de Bour Brown, et je trouve qu'il l'a exprimé de manière remarquablement pondérée. En regard, je regrette que certaines de tes interventions (cf «Qu'il est mignon ce petit prétentieux») soient d'un niveau aussi faible en comparaison -- ou en comparaison du tien message que je reprends ici.
Charles
jpw
"Charles VASSALLO" a écrit
Je partage le point de vue de Bour Brown, et je trouve qu'il l'a exprimé de manière remarquablement pondérée. En regard, je regrette que certaines de tes interventions (cf «Qu'il est mignon ce petit prétentieux») soient d'un niveau aussi faible en comparaison -- ou en comparaison du tien message que je reprends ici.
mais filh ne s'exprime jamais autrement contre les gens qu'il n'agrèe pas c'est même assez remarquable de la façon dont il tortille du cul devant JCG
un autre que jcg aurait tenu le même discours fihl lui aurait volé dans les plumes autrement plus violemment
jpw
"Charles VASSALLO" <charles.rosemarie.vassallo@waoo.fr> a écrit
Je partage le point de vue de Bour Brown, et je trouve qu'il l'a exprimé
de manière remarquablement pondérée. En regard, je regrette que certaines
de tes interventions (cf «Qu'il est mignon ce petit prétentieux») soient
d'un niveau aussi faible en comparaison -- ou en comparaison du tien
message que je reprends ici.
mais filh ne s'exprime jamais autrement contre les gens qu'il n'agrèe pas
c'est même assez remarquable de la façon dont il tortille du cul
devant JCG
un autre que jcg aurait tenu le même discours
fihl lui aurait volé dans les plumes autrement plus violemment
Je partage le point de vue de Bour Brown, et je trouve qu'il l'a exprimé de manière remarquablement pondérée. En regard, je regrette que certaines de tes interventions (cf «Qu'il est mignon ce petit prétentieux») soient d'un niveau aussi faible en comparaison -- ou en comparaison du tien message que je reprends ici.
mais filh ne s'exprime jamais autrement contre les gens qu'il n'agrèe pas c'est même assez remarquable de la façon dont il tortille du cul devant JCG
un autre que jcg aurait tenu le même discours fihl lui aurait volé dans les plumes autrement plus violemment
jpw
eric
jpw wrote:
un autre que jcg aurait tenu le même discours
fihl lui aurait volé dans les plumes autrement plus violemment
Ca n'impressionne que les nouveaux, nous on sait qui il est et comment il fonctionne, au point que même quand il ne le fait pas, je me plante, c'est dire :=)
eric
jpw wrote:
un autre que jcg aurait tenu le même discours
fihl lui aurait volé dans les plumes autrement plus violemment
Ca n'impressionne que les nouveaux, nous on sait qui il est et comment il
fonctionne, au point que même quand il ne le fait pas, je me plante, c'est
dire :=)
fihl lui aurait volé dans les plumes autrement plus violemment
Ca n'impressionne que les nouveaux, nous on sait qui il est et comment il fonctionne, au point que même quand il ne le fait pas, je me plante, c'est dire :=)
eric
Octave
FiLH a émis l'idée suivante :
À l'opposé la photo « amateur » celle promue par les photo-clubs veut montrer « quelque chose » veut être belle par elle même?
Oui, sûrement. Toutes les distances peuvent venir de la définition de la Beauté, à quelle époque on pioche cette définition.
Il y a bien sûr après un paradoxe puisque tu en fais quelque chose de ces photos. Si peu de gens aiment tes photos c'est parce qu'il y a peu de gens capable de s'inventer un rêve dans les fossés des chemins, et que ce que tu fais en plus ne correspond pas à « ce que doit être une photo ». Bref c'est à proprement parler invisible.
C'est joli, "invisible"... Je suis pourtant à l'inverse dans une photo on ne peut plus physique, matérielle, réelle.
-- Octave www.octav.fr
FiLH a émis l'idée suivante :
À l'opposé la photo « amateur » celle promue par les photo-clubs veut
montrer « quelque chose » veut être belle par elle même?
Oui, sûrement. Toutes les distances peuvent venir de la définition de
la Beauté, à quelle époque on pioche cette définition.
Il y a bien sûr après un paradoxe puisque tu en fais quelque chose de
ces photos.
Si peu de gens aiment tes photos c'est parce qu'il y a peu de gens
capable de s'inventer un rêve dans les fossés des chemins, et que ce que
tu fais en plus ne correspond pas à « ce que doit être une photo ». Bref
c'est à proprement parler invisible.
C'est joli, "invisible"...
Je suis pourtant à l'inverse dans une photo on ne peut plus physique,
matérielle, réelle.
À l'opposé la photo « amateur » celle promue par les photo-clubs veut montrer « quelque chose » veut être belle par elle même?
Oui, sûrement. Toutes les distances peuvent venir de la définition de la Beauté, à quelle époque on pioche cette définition.
Il y a bien sûr après un paradoxe puisque tu en fais quelque chose de ces photos. Si peu de gens aiment tes photos c'est parce qu'il y a peu de gens capable de s'inventer un rêve dans les fossés des chemins, et que ce que tu fais en plus ne correspond pas à « ce que doit être une photo ». Bref c'est à proprement parler invisible.
C'est joli, "invisible"... Je suis pourtant à l'inverse dans une photo on ne peut plus physique, matérielle, réelle.
-- Octave www.octav.fr
jpw
"Octave" a écrit dans le message de news:
FiLH a émis l'idée suivante :
À l'opposé la photo « amateur » celle promue par les photo-clubs veut montrer « quelque chose » veut être belle par elle même? Oui, sûrement. Toutes les distances peuvent venir de la définition de la
Beauté, à quelle époque on pioche cette définition.
prout prout caca boudin branlette cacahuète....
jpw
-- J'avais 20ans en 1968 http://20ansen68.com
"Octave" <octavoctav@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
mn.4a707d852993aebe.72551@wanadoo.fr...
FiLH a émis l'idée suivante :
À l'opposé la photo « amateur » celle promue par les photo-clubs veut
montrer « quelque chose » veut être belle par elle même?
Oui, sûrement. Toutes les distances peuvent venir de la définition de la
Beauté, à quelle époque on pioche cette définition.
À l'opposé la photo « amateur » celle promue par les photo-clubs veut montrer « quelque chose » veut être belle par elle même? Oui, sûrement. Toutes les distances peuvent venir de la définition de la
Beauté, à quelle époque on pioche cette définition.
prout prout caca boudin branlette cacahuète....
jpw
-- J'avais 20ans en 1968 http://20ansen68.com
jpw
"eric" a écrit dans le message de news: wPTUj.97$
jpw wrote:
un autre que jcg aurait tenu le même discours
fihl lui aurait volé dans les plumes autrement plus violemment
Ca n'impressionne que les nouveaux, nous on sait qui il est et comment il fonctionne, au point que même quand il ne le fait pas, je me plante, c'est dire :=)
oui mais il a fallut quand même un bon boulot pour mettre ça en évidence
jpw
"eric" <d.francoise32@aliceadsl.fr> a écrit dans le message de news:
wPTUj.97$kd7.6@news1.pds.libertysurf.fr...
jpw wrote:
un autre que jcg aurait tenu le même discours
fihl lui aurait volé dans les plumes autrement plus violemment
Ca n'impressionne que les nouveaux, nous on sait qui il est et comment il
fonctionne, au point que même quand il ne le fait pas, je me plante, c'est
dire :=)
oui mais il a fallut quand même un bon boulot pour mettre ça en évidence
fihl lui aurait volé dans les plumes autrement plus violemment
Ca n'impressionne que les nouveaux, nous on sait qui il est et comment il fonctionne, au point que même quand il ne le fait pas, je me plante, c'est dire :=)
oui mais il a fallut quand même un bon boulot pour mettre ça en évidence
jpw
Octave
Je veux bien admettre ton point de vue et le comprendre. Mais : le fait d'intégrer dans une image, des lignes fuyantes vers l'extérieure de l'image amène le spectateur à sortir de la dite image et ainsi à passer à la suivante. Ce qui, en photo n'est pas le but, le but étant justement d'accrocher le quidam et a scotcher son regard sur une photo et l'obliger inconsciemment à en faire le tour et chercher les détails qui ne lui on pas sautés aux yeux d'un premier regard.
C'est ta préoccupation, je ne sais pas si c'est la mienne. La photo de détails, je ne sais pas. J'ai plutôt l'impression de vouloir imiter le regard, l'oeil qui bouge sans arrêt mais qui peut s'arrêter quand quelque chose l'intrigue, l'intéresse. Je pense qu'on peut glisser sur mes images, de page en page, et s'arrêter parfois si quelque chose accroche.
Merci de ta réponse détaillée !
-- Octave www.octav.fr
Je veux bien admettre ton point de vue et le comprendre.
Mais : le fait d'intégrer dans une image, des lignes fuyantes vers
l'extérieure de l'image amène le spectateur à sortir de la dite image et
ainsi à passer à la suivante. Ce qui, en photo n'est pas le but, le but étant
justement d'accrocher le quidam et a scotcher son regard sur une photo et
l'obliger inconsciemment à en faire le tour et chercher les détails qui ne
lui on pas sautés aux yeux d'un premier regard.
C'est ta préoccupation, je ne sais pas si c'est la mienne. La photo de
détails, je ne sais pas. J'ai plutôt l'impression de vouloir imiter le
regard, l'oeil qui bouge sans arrêt mais qui peut s'arrêter quand
quelque chose l'intrigue, l'intéresse. Je pense qu'on peut glisser sur
mes images, de page en page, et s'arrêter parfois si quelque chose
accroche.
Je veux bien admettre ton point de vue et le comprendre. Mais : le fait d'intégrer dans une image, des lignes fuyantes vers l'extérieure de l'image amène le spectateur à sortir de la dite image et ainsi à passer à la suivante. Ce qui, en photo n'est pas le but, le but étant justement d'accrocher le quidam et a scotcher son regard sur une photo et l'obliger inconsciemment à en faire le tour et chercher les détails qui ne lui on pas sautés aux yeux d'un premier regard.
C'est ta préoccupation, je ne sais pas si c'est la mienne. La photo de détails, je ne sais pas. J'ai plutôt l'impression de vouloir imiter le regard, l'oeil qui bouge sans arrêt mais qui peut s'arrêter quand quelque chose l'intrigue, l'intéresse. Je pense qu'on peut glisser sur mes images, de page en page, et s'arrêter parfois si quelque chose accroche.