Pourtant il me semble comprendre assez facilement que l'on, Filh par ex,
puisse vouloir se situer « ailleurs » que dans une reaction opposée à ce
qui existe.
Pourtant il me semble comprendre assez facilement que l'on, Filh par ex,
puisse vouloir se situer « ailleurs » que dans une reaction opposée à ce
qui existe.
Pourtant il me semble comprendre assez facilement que l'on, Filh par ex,
puisse vouloir se situer « ailleurs » que dans une reaction opposée à ce
qui existe.
Oui, mais faire des coucher de soleil pas banal, c'est pas banal en quelque
sorte. C'est une de mes questions, comment les sujets les plus évidents (les
grands sites, les grands monuments, les "coucher de soleil" etc) peuvent
être traités en sortant du banal, de l'ordinaire et du déjà vu.
Je pense qu'il faut pas mal de travail pour y arriver.
Mais j'aime bien ta réponse sur la sortie des poncifs photograpiques de
l'amateur convenu ... J'ai essayé photosig, c'est consternant comme de
pauvres photographes laborieux peuvent avoir comme idées pour arranger ta
sauce, une sauce qui ne demande rien à personne en fait.
Il faut plaire ...
Moi j'aime bien le mot pitoresque. Peut-être qu'en lisant Souvenirs
pieux, je suis tombé sur cette page où elle dit qu'un des ses ancètre
voyageait non pas tant pour voir du pays que pour avoir cette
sensation du pitoresque.
en anglais picturesque ... picture, etc ... voyager pour faire des photos,
c'est bien toi ça !
Oui, mais faire des coucher de soleil pas banal, c'est pas banal en quelque
sorte. C'est une de mes questions, comment les sujets les plus évidents (les
grands sites, les grands monuments, les "coucher de soleil" etc) peuvent
être traités en sortant du banal, de l'ordinaire et du déjà vu.
Je pense qu'il faut pas mal de travail pour y arriver.
Mais j'aime bien ta réponse sur la sortie des poncifs photograpiques de
l'amateur convenu ... J'ai essayé photosig, c'est consternant comme de
pauvres photographes laborieux peuvent avoir comme idées pour arranger ta
sauce, une sauce qui ne demande rien à personne en fait.
Il faut plaire ...
Moi j'aime bien le mot pitoresque. Peut-être qu'en lisant Souvenirs
pieux, je suis tombé sur cette page où elle dit qu'un des ses ancètre
voyageait non pas tant pour voir du pays que pour avoir cette
sensation du pitoresque.
en anglais picturesque ... picture, etc ... voyager pour faire des photos,
c'est bien toi ça !
Oui, mais faire des coucher de soleil pas banal, c'est pas banal en quelque
sorte. C'est une de mes questions, comment les sujets les plus évidents (les
grands sites, les grands monuments, les "coucher de soleil" etc) peuvent
être traités en sortant du banal, de l'ordinaire et du déjà vu.
Je pense qu'il faut pas mal de travail pour y arriver.
Mais j'aime bien ta réponse sur la sortie des poncifs photograpiques de
l'amateur convenu ... J'ai essayé photosig, c'est consternant comme de
pauvres photographes laborieux peuvent avoir comme idées pour arranger ta
sauce, une sauce qui ne demande rien à personne en fait.
Il faut plaire ...
Moi j'aime bien le mot pitoresque. Peut-être qu'en lisant Souvenirs
pieux, je suis tombé sur cette page où elle dit qu'un des ses ancètre
voyageait non pas tant pour voir du pays que pour avoir cette
sensation du pitoresque.
en anglais picturesque ... picture, etc ... voyager pour faire des photos,
c'est bien toi ça !
(Pour tenter d'avancer un peu, on fera pour le moment abstraction du
contexte et de la continuité, qui font qu'une photo n'est pas une chose
isolée, que les propriétés du tout ne sont pas celles de la partie.)
(Pour tenter d'avancer un peu, on fera pour le moment abstraction du
contexte et de la continuité, qui font qu'une photo n'est pas une chose
isolée, que les propriétés du tout ne sont pas celles de la partie.)
(Pour tenter d'avancer un peu, on fera pour le moment abstraction du
contexte et de la continuité, qui font qu'une photo n'est pas une chose
isolée, que les propriétés du tout ne sont pas celles de la partie.)
:-) Des fois j'aimerai être une femme...
J'en suis une mais je ne comprends pas le rapport avec ce qui précéde.
:-) Des fois j'aimerai être une femme...
J'en suis une mais je ne comprends pas le rapport avec ce qui précéde.
:-) Des fois j'aimerai être une femme...
J'en suis une mais je ne comprends pas le rapport avec ce qui précéde.
Je n'ai pas de volonté de faire des photos contre la photo bien léchée.
Voilà... je cherche malgré tout depuis des années à tenter d'éviter au
max cette voix qui consite à faire un peu plus.
Je n'ai pas de volonté de faire des photos contre la photo bien léchée.
Voilà... je cherche malgré tout depuis des années à tenter d'éviter au
max cette voix qui consite à faire un peu plus.
Je n'ai pas de volonté de faire des photos contre la photo bien léchée.
Voilà... je cherche malgré tout depuis des années à tenter d'éviter au
max cette voix qui consite à faire un peu plus.
:-) Des fois j'aimerai être une femme...
J'en suis une mais je ne comprends pas le rapport avec ce qui précéde.
Parce que j'ai l'impression qu'il y a, et c'est ontologique, une plus
grande faculté chez les femmes à trouver une liberté dans tout ça, à
exister sans être contre, à ne pas se perdre, à être libre sans avoir
besoin de contrainte, etc.
Aprés, je ne généralise pas...
:-) Des fois j'aimerai être une femme...
J'en suis une mais je ne comprends pas le rapport avec ce qui précéde.
Parce que j'ai l'impression qu'il y a, et c'est ontologique, une plus
grande faculté chez les femmes à trouver une liberté dans tout ça, à
exister sans être contre, à ne pas se perdre, à être libre sans avoir
besoin de contrainte, etc.
Aprés, je ne généralise pas...
:-) Des fois j'aimerai être une femme...
J'en suis une mais je ne comprends pas le rapport avec ce qui précéde.
Parce que j'ai l'impression qu'il y a, et c'est ontologique, une plus
grande faculté chez les femmes à trouver une liberté dans tout ça, à
exister sans être contre, à ne pas se perdre, à être libre sans avoir
besoin de contrainte, etc.
Aprés, je ne généralise pas...
Je n'ai pas de volonté de faire des photos contre la photo bien léchée.
Il y a cet aspect, mais je l'entendais aussi dans le sens de faire des
photos contre ce que l'on photographie, comme si, de ces paysages tu n'avais
voulu montrer que les défauts.
J'ai sous les yeux le livre des "Arbres inédits" d'Atget. Un arbre est
comme un paysage, et les cadrages très peu conventionnels d'Atget renforcent
la présence et le caractère particulier de chacun de ces arbres.
La seule photo de ta série qui n'écrase pas le paysage dans la banalité
panoramique est celle qui n'est pas panoramique. Et encore, il reste ces
grandes plages de vide.
Voilà... je cherche malgré tout depuis des années à tenter d'éviter au
max cette voix qui consite à faire un peu plus.
Je ne comprends pas, éviter de faire un peu plus dans la façon de rendre
attrayante une photographie, c'est à dire éviter la banalité cliquante des
tireurs de labo ? Ou éviter d'être trop avec son sujet et de lui donner trop
de présence et de caractère (à la façon d'Atget) ?
Je n'ai pas de volonté de faire des photos contre la photo bien léchée.
Il y a cet aspect, mais je l'entendais aussi dans le sens de faire des
photos contre ce que l'on photographie, comme si, de ces paysages tu n'avais
voulu montrer que les défauts.
J'ai sous les yeux le livre des "Arbres inédits" d'Atget. Un arbre est
comme un paysage, et les cadrages très peu conventionnels d'Atget renforcent
la présence et le caractère particulier de chacun de ces arbres.
La seule photo de ta série qui n'écrase pas le paysage dans la banalité
panoramique est celle qui n'est pas panoramique. Et encore, il reste ces
grandes plages de vide.
Voilà... je cherche malgré tout depuis des années à tenter d'éviter au
max cette voix qui consite à faire un peu plus.
Je ne comprends pas, éviter de faire un peu plus dans la façon de rendre
attrayante une photographie, c'est à dire éviter la banalité cliquante des
tireurs de labo ? Ou éviter d'être trop avec son sujet et de lui donner trop
de présence et de caractère (à la façon d'Atget) ?
Je n'ai pas de volonté de faire des photos contre la photo bien léchée.
Il y a cet aspect, mais je l'entendais aussi dans le sens de faire des
photos contre ce que l'on photographie, comme si, de ces paysages tu n'avais
voulu montrer que les défauts.
J'ai sous les yeux le livre des "Arbres inédits" d'Atget. Un arbre est
comme un paysage, et les cadrages très peu conventionnels d'Atget renforcent
la présence et le caractère particulier de chacun de ces arbres.
La seule photo de ta série qui n'écrase pas le paysage dans la banalité
panoramique est celle qui n'est pas panoramique. Et encore, il reste ces
grandes plages de vide.
Voilà... je cherche malgré tout depuis des années à tenter d'éviter au
max cette voix qui consite à faire un peu plus.
Je ne comprends pas, éviter de faire un peu plus dans la façon de rendre
attrayante une photographie, c'est à dire éviter la banalité cliquante des
tireurs de labo ? Ou éviter d'être trop avec son sujet et de lui donner trop
de présence et de caractère (à la façon d'Atget) ?
Mais on oublie peut-être aussi le sens de l'histoire. Si au 20e il
fallait être ceci ou cela et tenter l'hégémonie, au 21e siècle on
peut-être ceci et cela, et vivre ensemble.
Je prend du plaisir à regarder les photos de Jérôme toutes dans leur
définition, les couleurs, et ses couchers de soleil bien flashy
(d'ailleurs je vous écrit de sous une de ses photos).
Mais on oublie peut-être aussi le sens de l'histoire. Si au 20e il
fallait être ceci ou cela et tenter l'hégémonie, au 21e siècle on
peut-être ceci et cela, et vivre ensemble.
Je prend du plaisir à regarder les photos de Jérôme toutes dans leur
définition, les couleurs, et ses couchers de soleil bien flashy
(d'ailleurs je vous écrit de sous une de ses photos).
Mais on oublie peut-être aussi le sens de l'histoire. Si au 20e il
fallait être ceci ou cela et tenter l'hégémonie, au 21e siècle on
peut-être ceci et cela, et vivre ensemble.
Je prend du plaisir à regarder les photos de Jérôme toutes dans leur
définition, les couleurs, et ses couchers de soleil bien flashy
(d'ailleurs je vous écrit de sous une de ses photos).
En fait je suis bien embête, les réactions qu'il y a elle me plaisent
bien. Parfois j'ai l'impression de viser finamement assez juste mais que
c'est juste la sensation provoquée qui n'est pas appréciée.
pourtant elle fait partie de moi.
Enfin bon, ça on s'en fout un peu hein ? On parle de ce qu'on voit.
La voie normale voudrait une dramatisation. Mais dramatiser pour montrer
qu'on ne veut pas dramatiser, y a un os non ?
En fait je suis bien embête, les réactions qu'il y a elle me plaisent
bien. Parfois j'ai l'impression de viser finamement assez juste mais que
c'est juste la sensation provoquée qui n'est pas appréciée.
pourtant elle fait partie de moi.
Enfin bon, ça on s'en fout un peu hein ? On parle de ce qu'on voit.
La voie normale voudrait une dramatisation. Mais dramatiser pour montrer
qu'on ne veut pas dramatiser, y a un os non ?
En fait je suis bien embête, les réactions qu'il y a elle me plaisent
bien. Parfois j'ai l'impression de viser finamement assez juste mais que
c'est juste la sensation provoquée qui n'est pas appréciée.
pourtant elle fait partie de moi.
Enfin bon, ça on s'en fout un peu hein ? On parle de ce qu'on voit.
La voie normale voudrait une dramatisation. Mais dramatiser pour montrer
qu'on ne veut pas dramatiser, y a un os non ?
albert wrote:Je n'ai pas de volonté de faire des photos contre la photo bien
léchée.
Il y a cet aspect, mais je l'entendais aussi dans le sens de faire
des
photos contre ce que l'on photographie, comme si, de ces paysages tu
n'avais
voulu montrer que les défauts.
Je ne sais pas quoi te répondre là. Peut-être que je n'aime que les
défauts des paysages ?J'ai sous les yeux le livre des "Arbres inédits" d'Atget. Un arbre
est
comme un paysage, et les cadrages très peu conventionnels d'Atget
renforcent
la présence et le caractère particulier de chacun de ces arbres.
Mettre son modèle en valeur.La seule photo de ta série qui n'écrase pas le paysage dans la
banalité
panoramique est celle qui n'est pas panoramique. Et encore, il reste ces
grandes plages de vide.
J'aime bien ta banalité panoramique :)Voilà... je cherche malgré tout depuis des années à tenter d'éviter au
max cette voix qui consite à faire un peu plus.
Je ne comprends pas, éviter de faire un peu plus dans la façon de
rendre
attrayante une photographie, c'est à dire éviter la banalité cliquante
des
tireurs de labo ? Ou éviter d'être trop avec son sujet et de lui donner
trop
de présence et de caractère (à la façon d'Atget) ?
Peut-être le point deux. Je rejoins une idée d'il y a longtemps sur les
vides. Une bonne photo condense les choses en enlevant les trous.
Ou un film. Il faut qu'il y ait une tension... une dramatisation,
quelque chose en plus.
Viser une sorte de décondensation. Un rien, un vide. Mais il y a la
tentation de dramatiser le rien aussi. Alors un rien qui soit rien.
Enfin le concept n'est pas vraiment au point. (Nan n'ajoute pas que les
photos ne le sont pas ).
En fait je suis bien embête, les réactions qu'il y a elle me plaisent
bien. Parfois j'ai l'impression de viser finamement assez juste mais que
c'est juste la sensation provoquée qui n'est pas appréciée. Mais
pourtant elle fait partie de moi.
La voie normale voudrait une dramatisation. Mais dramatiser pour montrer
qu'on ne veut pas dramatiser, y a un os non ?
À suivre...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
intellectualiser sur des photos pareilles, dans un sens c'est un record, je
albert <albertlemoine_nospam_@wanadoo.fr> wrote:
Je n'ai pas de volonté de faire des photos contre la photo bien
léchée.
Il y a cet aspect, mais je l'entendais aussi dans le sens de faire
des
photos contre ce que l'on photographie, comme si, de ces paysages tu
n'avais
voulu montrer que les défauts.
Je ne sais pas quoi te répondre là. Peut-être que je n'aime que les
défauts des paysages ?
J'ai sous les yeux le livre des "Arbres inédits" d'Atget. Un arbre
est
comme un paysage, et les cadrages très peu conventionnels d'Atget
renforcent
la présence et le caractère particulier de chacun de ces arbres.
Mettre son modèle en valeur.
La seule photo de ta série qui n'écrase pas le paysage dans la
banalité
panoramique est celle qui n'est pas panoramique. Et encore, il reste ces
grandes plages de vide.
J'aime bien ta banalité panoramique :)
Voilà... je cherche malgré tout depuis des années à tenter d'éviter au
max cette voix qui consite à faire un peu plus.
Je ne comprends pas, éviter de faire un peu plus dans la façon de
rendre
attrayante une photographie, c'est à dire éviter la banalité cliquante
des
tireurs de labo ? Ou éviter d'être trop avec son sujet et de lui donner
trop
de présence et de caractère (à la façon d'Atget) ?
Peut-être le point deux. Je rejoins une idée d'il y a longtemps sur les
vides. Une bonne photo condense les choses en enlevant les trous.
Ou un film. Il faut qu'il y ait une tension... une dramatisation,
quelque chose en plus.
Viser une sorte de décondensation. Un rien, un vide. Mais il y a la
tentation de dramatiser le rien aussi. Alors un rien qui soit rien.
Enfin le concept n'est pas vraiment au point. (Nan n'ajoute pas que les
photos ne le sont pas ).
En fait je suis bien embête, les réactions qu'il y a elle me plaisent
bien. Parfois j'ai l'impression de viser finamement assez juste mais que
c'est juste la sensation provoquée qui n'est pas appréciée. Mais
pourtant elle fait partie de moi.
La voie normale voudrait une dramatisation. Mais dramatiser pour montrer
qu'on ne veut pas dramatiser, y a un os non ?
À suivre...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
intellectualiser sur des photos pareilles, dans un sens c'est un record, je
albert wrote:Je n'ai pas de volonté de faire des photos contre la photo bien
léchée.
Il y a cet aspect, mais je l'entendais aussi dans le sens de faire
des
photos contre ce que l'on photographie, comme si, de ces paysages tu
n'avais
voulu montrer que les défauts.
Je ne sais pas quoi te répondre là. Peut-être que je n'aime que les
défauts des paysages ?J'ai sous les yeux le livre des "Arbres inédits" d'Atget. Un arbre
est
comme un paysage, et les cadrages très peu conventionnels d'Atget
renforcent
la présence et le caractère particulier de chacun de ces arbres.
Mettre son modèle en valeur.La seule photo de ta série qui n'écrase pas le paysage dans la
banalité
panoramique est celle qui n'est pas panoramique. Et encore, il reste ces
grandes plages de vide.
J'aime bien ta banalité panoramique :)Voilà... je cherche malgré tout depuis des années à tenter d'éviter au
max cette voix qui consite à faire un peu plus.
Je ne comprends pas, éviter de faire un peu plus dans la façon de
rendre
attrayante une photographie, c'est à dire éviter la banalité cliquante
des
tireurs de labo ? Ou éviter d'être trop avec son sujet et de lui donner
trop
de présence et de caractère (à la façon d'Atget) ?
Peut-être le point deux. Je rejoins une idée d'il y a longtemps sur les
vides. Une bonne photo condense les choses en enlevant les trous.
Ou un film. Il faut qu'il y ait une tension... une dramatisation,
quelque chose en plus.
Viser une sorte de décondensation. Un rien, un vide. Mais il y a la
tentation de dramatiser le rien aussi. Alors un rien qui soit rien.
Enfin le concept n'est pas vraiment au point. (Nan n'ajoute pas que les
photos ne le sont pas ).
En fait je suis bien embête, les réactions qu'il y a elle me plaisent
bien. Parfois j'ai l'impression de viser finamement assez juste mais que
c'est juste la sensation provoquée qui n'est pas appréciée. Mais
pourtant elle fait partie de moi.
La voie normale voudrait une dramatisation. Mais dramatiser pour montrer
qu'on ne veut pas dramatiser, y a un os non ?
À suivre...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
intellectualiser sur des photos pareilles, dans un sens c'est un record, je