Certains sur le forum france.corse ont tenu des propos que l'on
qualifiera charitablement d'excessifs et à force de polémiques ont
généré de sérieuses inimitiés.
Ces personnes se présentent par ailleurs
comme dépositaires de l'identité corse et, par un tour de passe-passe
que seul un médecin pourraient expliquer sont convaincues qu'elles ont
été prises en grippe parce que corses.
A la recherche d'un prétexte pour déposer à nouveau plainte, ces
personnes sont actuellement en train de creuser la piste de la
discrimination et se raccrochent à tout ce qu'elles pensent aller dans
leur sens.
Pour en revenir au droit
Certains sur le forum france.corse ont tenu des propos que l'on
qualifiera charitablement d'excessifs et à force de polémiques ont
généré de sérieuses inimitiés.
Ces personnes se présentent par ailleurs
comme dépositaires de l'identité corse et, par un tour de passe-passe
que seul un médecin pourraient expliquer sont convaincues qu'elles ont
été prises en grippe parce que corses.
A la recherche d'un prétexte pour déposer à nouveau plainte, ces
personnes sont actuellement en train de creuser la piste de la
discrimination et se raccrochent à tout ce qu'elles pensent aller dans
leur sens.
Pour en revenir au droit
Certains sur le forum france.corse ont tenu des propos que l'on
qualifiera charitablement d'excessifs et à force de polémiques ont
généré de sérieuses inimitiés.
Ces personnes se présentent par ailleurs
comme dépositaires de l'identité corse et, par un tour de passe-passe
que seul un médecin pourraient expliquer sont convaincues qu'elles ont
été prises en grippe parce que corses.
A la recherche d'un prétexte pour déposer à nouveau plainte, ces
personnes sont actuellement en train de creuser la piste de la
discrimination et se raccrochent à tout ce qu'elles pensent aller dans
leur sens.
Pour en revenir au droit
Dominique Gobeaut wrote:Les autres nations sont discriminées en France ?
Ah, mais vous introduisez là un nouveau paramètre. Pour autant que je
sache, les Corses ne sont pas une nation, même si certains le
revendiquent. Et le jour où ils le deviendront, si tant est que ça
finisse par arriver, la loi française les protègera, au même titre que
les autres nationalités. Mais ce sera alors le cadet de leurs soucis.
Cela dit, je ne vois pas non plus pourquoi on parle des Corses et pas
des Auvergnats, des Bretons, des Basques, des Limousins, des Berrichons,
des Lorrains, des Catalans et de tous ces peuples folkloriques qui
composent notre beau pays.
Dominique Gobeaut<dmkgbt@free.fr> wrote:
Les autres nations sont discriminées en France ?
Ah, mais vous introduisez là un nouveau paramètre. Pour autant que je
sache, les Corses ne sont pas une nation, même si certains le
revendiquent. Et le jour où ils le deviendront, si tant est que ça
finisse par arriver, la loi française les protègera, au même titre que
les autres nationalités. Mais ce sera alors le cadet de leurs soucis.
Cela dit, je ne vois pas non plus pourquoi on parle des Corses et pas
des Auvergnats, des Bretons, des Basques, des Limousins, des Berrichons,
des Lorrains, des Catalans et de tous ces peuples folkloriques qui
composent notre beau pays.
Dominique Gobeaut wrote:Les autres nations sont discriminées en France ?
Ah, mais vous introduisez là un nouveau paramètre. Pour autant que je
sache, les Corses ne sont pas une nation, même si certains le
revendiquent. Et le jour où ils le deviendront, si tant est que ça
finisse par arriver, la loi française les protègera, au même titre que
les autres nationalités. Mais ce sera alors le cadet de leurs soucis.
Cela dit, je ne vois pas non plus pourquoi on parle des Corses et pas
des Auvergnats, des Bretons, des Basques, des Limousins, des Berrichons,
des Lorrains, des Catalans et de tous ces peuples folkloriques qui
composent notre beau pays.
http://loi.blogs.liberation.fr/dufief/2010/01/un-passager-d%C3%A9pose-pla
inte-contre-eurostar-pour-s%C3%A9questration.html
http://loi.blogs.liberation.fr/dufief/2010/01/un-passager-d%C3%A9pose-pla
inte-contre-eurostar-pour-s%C3%A9questration.html
http://loi.blogs.liberation.fr/dufief/2010/01/un-passager-d%C3%A9pose-pla
inte-contre-eurostar-pour-s%C3%A9questration.html
oiiiimé a écrit :Non, par contre on peut avoir eu droit à des remarques ou réflexions
désobligeantes de la part d'employeur ou de collègues de travail. Du
genre faire porter la responsabilité d'un individu sur un groupe de
personnes.
par exemple, un contributeur sur france.corse : "les corses flinguent
leur préfet"
Effectivement. Il y en a qui l'on tué et il y en a qui ont apporté
soutien à l'assassin présumé au motif qu'ils agissaient au nom de
valeurs que les gaulois ne peuvent pas comprendre.
Écrire *les* corses tient effectivement de la généralisation imbécile.
Aussi crétin que ceux qui parlent des "corses de sang" tout en jurant
ne pas être des racistes.
oiiiimé a écrit :
Non, par contre on peut avoir eu droit à des remarques ou réflexions
désobligeantes de la part d'employeur ou de collègues de travail. Du
genre faire porter la responsabilité d'un individu sur un groupe de
personnes.
par exemple, un contributeur sur france.corse : "les corses flinguent
leur préfet"
Effectivement. Il y en a qui l'on tué et il y en a qui ont apporté
soutien à l'assassin présumé au motif qu'ils agissaient au nom de
valeurs que les gaulois ne peuvent pas comprendre.
Écrire *les* corses tient effectivement de la généralisation imbécile.
Aussi crétin que ceux qui parlent des "corses de sang" tout en jurant
ne pas être des racistes.
oiiiimé a écrit :Non, par contre on peut avoir eu droit à des remarques ou réflexions
désobligeantes de la part d'employeur ou de collègues de travail. Du
genre faire porter la responsabilité d'un individu sur un groupe de
personnes.
par exemple, un contributeur sur france.corse : "les corses flinguent
leur préfet"
Effectivement. Il y en a qui l'on tué et il y en a qui ont apporté
soutien à l'assassin présumé au motif qu'ils agissaient au nom de
valeurs que les gaulois ne peuvent pas comprendre.
Écrire *les* corses tient effectivement de la généralisation imbécile.
Aussi crétin que ceux qui parlent des "corses de sang" tout en jurant
ne pas être des racistes.
Vous mélangez bien des aspects de la vie sociale dans un fouilli qui ne permet pas de penser:
- la transformation des sociétés, minoritaires ou non, est le fait de temps et de la modernité. Avec plus d'un
demi siècle de vision personnelle, j'ai vu la société française particulièrement évoluer, dans sa considération
des sexes, des races, de l'art, de la religion, dans les métiers (80% de paysans en France à ma naissance!). La
nature et la qualité d'une société ne se juge heureusement pas en fonction de son immobilisme, mais à quelques
principes tellement implantés dans l'esprit de tous que personne n'a plus conscience (1).
- Se désigner en tant que communauté à défendre dans un ensemble plus vaste, c'est dès le départ s'avouer en
état d'infériorité par rapport au reste de la société, et lui quémander l'aumone d'une compensation (d'une
'discrimination positive', d'un quota d'admission, etc). Les Corses méritent bien mieux que cela!
Enfin, pour revenir au sujet principal, vous voulez une sorte de représentation communautaire pour pouvoir
répondre à quelques intervenants dont la seule originalité est d'insulter pour compenser leur absence d'idée(
un s à la fin de ce mot leur serait bien flatteur!).
Je reste dans ma conviction personnelle: l'ignorance méprisante me semble la réponse plus appropriée ..... sans
compter que si nous acceptons le communautarisme, il faudra bien accépter de donner les mêmes droits à une
communauté instituée entre imbéciles. Elle nous submergerait tous! :-)))
Vous mélangez bien des aspects de la vie sociale dans un fouilli qui ne permet pas de penser:
- la transformation des sociétés, minoritaires ou non, est le fait de temps et de la modernité. Avec plus d'un
demi siècle de vision personnelle, j'ai vu la société française particulièrement évoluer, dans sa considération
des sexes, des races, de l'art, de la religion, dans les métiers (80% de paysans en France à ma naissance!). La
nature et la qualité d'une société ne se juge heureusement pas en fonction de son immobilisme, mais à quelques
principes tellement implantés dans l'esprit de tous que personne n'a plus conscience (1).
- Se désigner en tant que communauté à défendre dans un ensemble plus vaste, c'est dès le départ s'avouer en
état d'infériorité par rapport au reste de la société, et lui quémander l'aumone d'une compensation (d'une
'discrimination positive', d'un quota d'admission, etc). Les Corses méritent bien mieux que cela!
Enfin, pour revenir au sujet principal, vous voulez une sorte de représentation communautaire pour pouvoir
répondre à quelques intervenants dont la seule originalité est d'insulter pour compenser leur absence d'idée(
un s à la fin de ce mot leur serait bien flatteur!).
Je reste dans ma conviction personnelle: l'ignorance méprisante me semble la réponse plus appropriée ..... sans
compter que si nous acceptons le communautarisme, il faudra bien accépter de donner les mêmes droits à une
communauté instituée entre imbéciles. Elle nous submergerait tous! :-)))
Vous mélangez bien des aspects de la vie sociale dans un fouilli qui ne permet pas de penser:
- la transformation des sociétés, minoritaires ou non, est le fait de temps et de la modernité. Avec plus d'un
demi siècle de vision personnelle, j'ai vu la société française particulièrement évoluer, dans sa considération
des sexes, des races, de l'art, de la religion, dans les métiers (80% de paysans en France à ma naissance!). La
nature et la qualité d'une société ne se juge heureusement pas en fonction de son immobilisme, mais à quelques
principes tellement implantés dans l'esprit de tous que personne n'a plus conscience (1).
- Se désigner en tant que communauté à défendre dans un ensemble plus vaste, c'est dès le départ s'avouer en
état d'infériorité par rapport au reste de la société, et lui quémander l'aumone d'une compensation (d'une
'discrimination positive', d'un quota d'admission, etc). Les Corses méritent bien mieux que cela!
Enfin, pour revenir au sujet principal, vous voulez une sorte de représentation communautaire pour pouvoir
répondre à quelques intervenants dont la seule originalité est d'insulter pour compenser leur absence d'idée(
un s à la fin de ce mot leur serait bien flatteur!).
Je reste dans ma conviction personnelle: l'ignorance méprisante me semble la réponse plus appropriée ..... sans
compter que si nous acceptons le communautarisme, il faudra bien accépter de donner les mêmes droits à une
communauté instituée entre imbéciles. Elle nous submergerait tous! :-)))
Christophe Raverdy 22.01 2010
> http://loi.blogs.liberation.fr/dufief/2010/01/un-passager-d%C3%A9pose-pla
> inte-contre-eurostar-pour-s%C3%A9questration.html
"Je me suis rapproché de mon avocat"
C'est l'expression typique du pédant quérulent, ça.
Christophe Raverdy 22.01 2010
> http://loi.blogs.liberation.fr/dufief/2010/01/un-passager-d%C3%A9pose-pla
> inte-contre-eurostar-pour-s%C3%A9questration.html
"Je me suis rapproché de mon avocat"
C'est l'expression typique du pédant quérulent, ça.
Christophe Raverdy 22.01 2010
> http://loi.blogs.liberation.fr/dufief/2010/01/un-passager-d%C3%A9pose-pla
> inte-contre-eurostar-pour-s%C3%A9questration.html
"Je me suis rapproché de mon avocat"
C'est l'expression typique du pédant quérulent, ça.
"Dominique Gobeaut" a écrit dans le message de news:
1jcotjd.1l5hduqncm8n3N%
| Si vous expliquiez ce qu'ont perdu - à cette occasion "communautaire"-
| les Indiens ( je suppose que vous parlez des Amérindiens) de plus que
| leur territoire, leurs vies, leurs coutumes ou leurs religions lors de
| la colonisation de l'Amérique et ce qu'ont perdu les "Noirs" descendants
| d'Africains victimes du commerce des esclaves, ça m'arrangerait bien...
Vous mélangez bien des aspects de la vie sociale dans un fouilli qui ne
permet pas de penser:
- la transformation des sociétés, minoritaires ou non, est le fait de
temps et de la modernité. Avec plus d'un demi siècle de vision
personnelle, j'ai vu la société française particulièrement évoluer, dans
sa considération des sexes, des races, de l'art, de la religion, dans les
métiers (80% de paysans en France à ma naissance!). La nature et la
qualité d'une société ne se juge heureusement pas en fonction de son
immobilisme, mais à quelques principes tellement implantés dans l'esprit
de tous que personne n'a plus conscience (1).
- Se désigner en tant que communauté à défendre dans un ensemble plus
vaste, c'est dès le départ s'avouer en état d'infériorité par rapport au
reste de la société, et lui quémander l'aumone d'une compensation (d'une
'discrimination positive', d'un quota d'admission, etc). Les Corses
méritent bien mieux que cela!
Enfin, pour revenir au sujet principal, vous voulez une sorte de
représentation communautaire pour pouvoir répondre à quelques intervenants
dont la seule originalité est d'insulter pour compenser leur absence
d'idée( un s à la fin de ce mot leur serait bien flatteur!).
Je reste dans ma conviction personnelle: l'ignorance méprisante me semble
la réponse plus appropriée ..... sans compter que si nous acceptons le
communautarisme, il faudra bien accépter de donner les mêmes droits à
une communauté instituée entre imbéciles. Elle nous submergerait tous!
:-)))
(1) Songez par exemple que chaque travailleur en France (salarié ou non)
sacrifie (indirectement puisqu'il s'agit d'une patronale) 5.4 % de son
salaire pour les allocations familiales et que pratiquement personne n'en
conteste le principe.
En France tout le monde admet comme une évidence qu'il doit
personnellement contribuer à surprotéger les foyers avec enfant(s). Dans
bien d'autres pays, on considère que cette aide est le privilège de la
charité, de la religion, etc.
"Dominique Gobeaut" <dmkgbt@free.fr> a écrit dans le message de news:
1jcotjd.1l5hduqncm8n3N%dmkgbt@free.fr...
| Si vous expliquiez ce qu'ont perdu - à cette occasion "communautaire"-
| les Indiens ( je suppose que vous parlez des Amérindiens) de plus que
| leur territoire, leurs vies, leurs coutumes ou leurs religions lors de
| la colonisation de l'Amérique et ce qu'ont perdu les "Noirs" descendants
| d'Africains victimes du commerce des esclaves, ça m'arrangerait bien...
Vous mélangez bien des aspects de la vie sociale dans un fouilli qui ne
permet pas de penser:
- la transformation des sociétés, minoritaires ou non, est le fait de
temps et de la modernité. Avec plus d'un demi siècle de vision
personnelle, j'ai vu la société française particulièrement évoluer, dans
sa considération des sexes, des races, de l'art, de la religion, dans les
métiers (80% de paysans en France à ma naissance!). La nature et la
qualité d'une société ne se juge heureusement pas en fonction de son
immobilisme, mais à quelques principes tellement implantés dans l'esprit
de tous que personne n'a plus conscience (1).
- Se désigner en tant que communauté à défendre dans un ensemble plus
vaste, c'est dès le départ s'avouer en état d'infériorité par rapport au
reste de la société, et lui quémander l'aumone d'une compensation (d'une
'discrimination positive', d'un quota d'admission, etc). Les Corses
méritent bien mieux que cela!
Enfin, pour revenir au sujet principal, vous voulez une sorte de
représentation communautaire pour pouvoir répondre à quelques intervenants
dont la seule originalité est d'insulter pour compenser leur absence
d'idée( un s à la fin de ce mot leur serait bien flatteur!).
Je reste dans ma conviction personnelle: l'ignorance méprisante me semble
la réponse plus appropriée ..... sans compter que si nous acceptons le
communautarisme, il faudra bien accépter de donner les mêmes droits à
une communauté instituée entre imbéciles. Elle nous submergerait tous!
:-)))
(1) Songez par exemple que chaque travailleur en France (salarié ou non)
sacrifie (indirectement puisqu'il s'agit d'une patronale) 5.4 % de son
salaire pour les allocations familiales et que pratiquement personne n'en
conteste le principe.
En France tout le monde admet comme une évidence qu'il doit
personnellement contribuer à surprotéger les foyers avec enfant(s). Dans
bien d'autres pays, on considère que cette aide est le privilège de la
charité, de la religion, etc.
"Dominique Gobeaut" a écrit dans le message de news:
1jcotjd.1l5hduqncm8n3N%
| Si vous expliquiez ce qu'ont perdu - à cette occasion "communautaire"-
| les Indiens ( je suppose que vous parlez des Amérindiens) de plus que
| leur territoire, leurs vies, leurs coutumes ou leurs religions lors de
| la colonisation de l'Amérique et ce qu'ont perdu les "Noirs" descendants
| d'Africains victimes du commerce des esclaves, ça m'arrangerait bien...
Vous mélangez bien des aspects de la vie sociale dans un fouilli qui ne
permet pas de penser:
- la transformation des sociétés, minoritaires ou non, est le fait de
temps et de la modernité. Avec plus d'un demi siècle de vision
personnelle, j'ai vu la société française particulièrement évoluer, dans
sa considération des sexes, des races, de l'art, de la religion, dans les
métiers (80% de paysans en France à ma naissance!). La nature et la
qualité d'une société ne se juge heureusement pas en fonction de son
immobilisme, mais à quelques principes tellement implantés dans l'esprit
de tous que personne n'a plus conscience (1).
- Se désigner en tant que communauté à défendre dans un ensemble plus
vaste, c'est dès le départ s'avouer en état d'infériorité par rapport au
reste de la société, et lui quémander l'aumone d'une compensation (d'une
'discrimination positive', d'un quota d'admission, etc). Les Corses
méritent bien mieux que cela!
Enfin, pour revenir au sujet principal, vous voulez une sorte de
représentation communautaire pour pouvoir répondre à quelques intervenants
dont la seule originalité est d'insulter pour compenser leur absence
d'idée( un s à la fin de ce mot leur serait bien flatteur!).
Je reste dans ma conviction personnelle: l'ignorance méprisante me semble
la réponse plus appropriée ..... sans compter que si nous acceptons le
communautarisme, il faudra bien accépter de donner les mêmes droits à
une communauté instituée entre imbéciles. Elle nous submergerait tous!
:-)))
(1) Songez par exemple que chaque travailleur en France (salarié ou non)
sacrifie (indirectement puisqu'il s'agit d'une patronale) 5.4 % de son
salaire pour les allocations familiales et que pratiquement personne n'en
conteste le principe.
En France tout le monde admet comme une évidence qu'il doit
personnellement contribuer à surprotéger les foyers avec enfant(s). Dans
bien d'autres pays, on considère que cette aide est le privilège de la
charité, de la religion, etc.
Le 22/01/2010 09:36, Broc_Ex_Co a écrit :
>
> Vous mélangez bien des aspects de la vie sociale dans un fouilli qui ne
>permet pas de penser:
>
> - la transformation des sociétés, minoritaires ou non, est le fait de
> temps et de la modernité. Avec plus d'un demi siècle de vision
> personnelle, j'ai vu la société française particulièrement évoluer, dans
> sa considération des sexes, des races, de l'art, de la religion, dans
> les métiers (80% de paysans en France à ma naissance!). La nature et la
> qualité d'une société ne se juge heureusement pas en fonction de son
> immobilisme, mais à quelques principes tellement implantés dans l'esprit
> de tous que personne n'a plus conscience (1).
>
> - Se désigner en tant que communauté à défendre dans un ensemble plus
> vaste, c'est dès le départ s'avouer en état d'infériorité par rapport au
> reste de la société, et lui quémander l'aumone d'une compensation (d'une
> 'discrimination positive', d'un quota d'admission, etc). Les Corses
> méritent bien mieux que cela!
>
> Enfin, pour revenir au sujet principal, vous voulez une sorte de
> représentation communautaire pour pouvoir répondre à quelques
> intervenants dont la seule originalité est d'insulter pour compenser
> leur absence d'idée( un s à la fin de ce mot leur serait bien
> flatteur!).
>
> Je reste dans ma conviction personnelle: l'ignorance méprisante me
> semble la réponse plus appropriée ..... sans compter que si nous
> acceptons le communautarisme, il faudra bien accépter de donner les
> mêmes droits à une communauté instituée entre imbéciles. Elle nous
> submergerait tous! :-)))
>
C'est cross posté sur fr.misc.droit, mais ça fait longtemps que j'avais
pas lu une contribution aussi censée sur france.corse.
Le 22/01/2010 09:36, Broc_Ex_Co a écrit :
>
> Vous mélangez bien des aspects de la vie sociale dans un fouilli qui ne
>permet pas de penser:
>
> - la transformation des sociétés, minoritaires ou non, est le fait de
> temps et de la modernité. Avec plus d'un demi siècle de vision
> personnelle, j'ai vu la société française particulièrement évoluer, dans
> sa considération des sexes, des races, de l'art, de la religion, dans
> les métiers (80% de paysans en France à ma naissance!). La nature et la
> qualité d'une société ne se juge heureusement pas en fonction de son
> immobilisme, mais à quelques principes tellement implantés dans l'esprit
> de tous que personne n'a plus conscience (1).
>
> - Se désigner en tant que communauté à défendre dans un ensemble plus
> vaste, c'est dès le départ s'avouer en état d'infériorité par rapport au
> reste de la société, et lui quémander l'aumone d'une compensation (d'une
> 'discrimination positive', d'un quota d'admission, etc). Les Corses
> méritent bien mieux que cela!
>
> Enfin, pour revenir au sujet principal, vous voulez une sorte de
> représentation communautaire pour pouvoir répondre à quelques
> intervenants dont la seule originalité est d'insulter pour compenser
> leur absence d'idée( un s à la fin de ce mot leur serait bien
> flatteur!).
>
> Je reste dans ma conviction personnelle: l'ignorance méprisante me
> semble la réponse plus appropriée ..... sans compter que si nous
> acceptons le communautarisme, il faudra bien accépter de donner les
> mêmes droits à une communauté instituée entre imbéciles. Elle nous
> submergerait tous! :-)))
>
C'est cross posté sur fr.misc.droit, mais ça fait longtemps que j'avais
pas lu une contribution aussi censée sur france.corse.
Le 22/01/2010 09:36, Broc_Ex_Co a écrit :
>
> Vous mélangez bien des aspects de la vie sociale dans un fouilli qui ne
>permet pas de penser:
>
> - la transformation des sociétés, minoritaires ou non, est le fait de
> temps et de la modernité. Avec plus d'un demi siècle de vision
> personnelle, j'ai vu la société française particulièrement évoluer, dans
> sa considération des sexes, des races, de l'art, de la religion, dans
> les métiers (80% de paysans en France à ma naissance!). La nature et la
> qualité d'une société ne se juge heureusement pas en fonction de son
> immobilisme, mais à quelques principes tellement implantés dans l'esprit
> de tous que personne n'a plus conscience (1).
>
> - Se désigner en tant que communauté à défendre dans un ensemble plus
> vaste, c'est dès le départ s'avouer en état d'infériorité par rapport au
> reste de la société, et lui quémander l'aumone d'une compensation (d'une
> 'discrimination positive', d'un quota d'admission, etc). Les Corses
> méritent bien mieux que cela!
>
> Enfin, pour revenir au sujet principal, vous voulez une sorte de
> représentation communautaire pour pouvoir répondre à quelques
> intervenants dont la seule originalité est d'insulter pour compenser
> leur absence d'idée( un s à la fin de ce mot leur serait bien
> flatteur!).
>
> Je reste dans ma conviction personnelle: l'ignorance méprisante me
> semble la réponse plus appropriée ..... sans compter que si nous
> acceptons le communautarisme, il faudra bien accépter de donner les
> mêmes droits à une communauté instituée entre imbéciles. Elle nous
> submergerait tous! :-)))
>
C'est cross posté sur fr.misc.droit, mais ça fait longtemps que j'avais
pas lu une contribution aussi censée sur france.corse.
Il y a eu un Front de Libération de la Bretagne à une époque pas si
lointaine.
Quant aux basques, je vous rappelle qu'ils ont à cheval sur deux pays :
la France et l'Espagne et pourtant personne ne nie leur identité
particulière de basques.
Les catalans et les occitans se sont vu reconnaître leur spécificité
(notamment au niveau de la langue), tout comme les provençaux.
Et vous ferais-je l'injure de vous rappeler le statut spécifique issu du
Concordat pour l'Alsace-Moselle ?
Il y a eu un Front de Libération de la Bretagne à une époque pas si
lointaine.
Quant aux basques, je vous rappelle qu'ils ont à cheval sur deux pays :
la France et l'Espagne et pourtant personne ne nie leur identité
particulière de basques.
Les catalans et les occitans se sont vu reconnaître leur spécificité
(notamment au niveau de la langue), tout comme les provençaux.
Et vous ferais-je l'injure de vous rappeler le statut spécifique issu du
Concordat pour l'Alsace-Moselle ?
Il y a eu un Front de Libération de la Bretagne à une époque pas si
lointaine.
Quant aux basques, je vous rappelle qu'ils ont à cheval sur deux pays :
la France et l'Espagne et pourtant personne ne nie leur identité
particulière de basques.
Les catalans et les occitans se sont vu reconnaître leur spécificité
(notamment au niveau de la langue), tout comme les provençaux.
Et vous ferais-je l'injure de vous rappeler le statut spécifique issu du
Concordat pour l'Alsace-Moselle ?
"Je me suis rapproché de mon avocat"
C'est l'expression typique du pédant quérulent, ça.
Quel est le rapport avec la Corse ?
"Je me suis rapproché de mon avocat"
C'est l'expression typique du pédant quérulent, ça.
Quel est le rapport avec la Corse ?
"Je me suis rapproché de mon avocat"
C'est l'expression typique du pédant quérulent, ça.
Quel est le rapport avec la Corse ?